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27 février 2015 5 27 /02 /février /2015 18:39

En cherchant à en savoir davantage sur le l'astrophysicien Massimo Teodorani, qui est un physicien italien qui s'intéresse au phénomèmes médiumuniques, j'ai ce matin pris connaissance de l'existence de l'INREES, que j'ignorais.

En consultant le site, je me suis étonné de ne pas trouver le nom d'Alexandre Adler dans la liste des personnalités qui soutiennent l'INREES, mais celle de Bernard Werber.

B.W. est-il un homonyme ou la personne sur laquelle je me suis longtemps demandé qui il pouvait être..

Sans B.W. mon Confrère Bruno Halioua n'aurait pas ose faire publier "Blousses, blanches, étoiles jaunes" (Liana Lévi 1999).

B.H. écrit en post-face de son livre : << sans Bernard Werber, je n'aurais jamais eu le courage de porter mon manuscrit à un éditeur>>.

Je suis médecin psychiatre et je me suis toujours interrogé sur la réelle pertinence des catégorisations relatives aux expériences hallucinatoires, telles celles p. ex. éprouvées par le grand ingénieur suédois Svendenborg au XVIII e siècle.

Il se trouve que des circonstances "extraordinaires" (invraisemblables mais aucunement "paranormales" m'ont conduit à découvrir en 1990 (ou plutôt à redécouvrir) un très important (par sa fréquence et ses conséquences cliniques) syndrome neurologique publié une première fois en 1973 par Doscherholmen,

La découverte de ce syndrome est par la suite incompréhensiblement tombé dans l'oubli.

On ne sait pourquoi alors que sa prise en compte sur le plan thérapeutique est très simple et salvatrice pour les malades qui en souffrent cependant que sa non reconnaissance fait qu'il est confondu avec des états neuro-dégénératifs démentiels étiquetés DTA, quasi irrémédiables (DTA = Démence de Type Alzheimer).

Ce syndrome est désormais connu sous le nom de syndrome NDB12PP. Il se traite de la même façon que la maladie de Biermer, dont il ne serait qu'une variante.

Cette découverte m'a valu la persécution de l'Ordre des médecins, qui a cherché à me déstabiliser en cherchant à me faire appliquer l'article L 460 du CSP.

J'ai ainsi été dépossédé de cette découverte, qui était quand même un peu dans l'air puisqu'un Confrère de la Fédération Française de Neurologie (le Dr. Michel Serdaru) avait signalé l'insuffisance du test de Schilling et de la mesure de la vitaminémie B12 pour éliminer le diagnostic de démence relative à la maladie de Biermer.

Mais peu importe, ce qui importait était de le faire connaître à propos d'un cas particulièrement démonstratif. C'est ce à quoi m'étais employé, à mes dépens du fait que cette démonstration contraria les neurologues qui étaient passé à côté de la découverte alors qu'elle leur tendait les bras.

Mais le fait que le malade avait pu récupérer ses facultés intellectuelles contrariait surtout très sérieusement l'Ordre des médecins, et cela pour des raisons inavouables. Ainsi une autre possibilité, que je pressentais depuis près de 40 ans, qu'un moyen simple, écologique et économique permet de récupérer massivement l'énorme potentiel énergétique des marées sans recourir à la construction de barrages a été aussi retardée. Il s'agit d'un moyen qui permettrait de se dispenser de recourir à l'énergie nucléaire et à l'exploitation des gaz de schistes. Evidemment, en tant que psychiatre, de même que j'ai eu du mal à faire valoir la réalité du "syndrome de carence vitaminique B12 avec test de Schilling normal" (+ vitaminémie B12 normale, c.-à-d. du syndrome NDB12PP) à des neurologues, j'ai mal à crédibiliser la validité du STSMC et du STSMI auprès des ministères responsables de la Recherche, de l'Energie et du Développement durable,. Ces deux procédés permettent pourtant expérimentalement de récupérer très massivement l'énergie marémotrice, c’est-à-dire de rendre les éoliennes dépassées voire inutiles, tout au moins dans les pays bénéficiant de côtes exposées à de grandes marées. D'autant que l'inventivité et l'innovation ont la réputation d'être l’apanage de la jeunesse et non des personnes de mon âge. dans ma soixante-seizième année !

N.B. En dehors de fait que les neurologues qui avaient le malade en charge ont été contrariés de ne pas avoir su faire une découverte qui leur tendait les bras (ils y récupérèrentquand même le droit de se réclamer de l’ INSERM), le fait que leur malade récupéra ses facultés intellectuelles fit très peur au Conseil de l’Ordre, qui se mêla de vouloir entraver la plainte que le patient avait ainsi pu porter contre les médecins de la Clinique Elmelik, où il avait été lourdement grugé précédemment à son hospitalisation à Bicêtre, de crainte que sa plainte ne fasse ressurgir devant la Justice ce qui s’y passait d‘inavouable, qui avait jusqu’alors pu être « contenu ».

J'ai tout à l'heure adressé un texte à INREES au suje de la découverte du syndrome NDB12PP, qui m'a valu un grand nombre d'ennemis et des mesures de représailles de part de ceux que la résurrection du malade n'arrangeait pas du fait qu'il avait été en mesure de porter plainte. Ce n'est donc pas la redécouverte de ce syndrome qui m'a été reprochée, mais le fait que j'avais permis au malade de porter plainte, plus exactement au fait que ne ne l'avais pas empêché de porter plainte, ce qui était paraît-il un manquement à mon de "devoir de confraternité".

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