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28 février 2015 6 28 /02 /février /2015 18:40

Mon père a été hospitalisé en août 1990 dans un Service de neurologie de l'Assistance Publique, celui de l'hôpital Bicêtre, alors dirigé par le Pr. Gérard Saïd

Le Pr. Saïd était alors parti aux Etats-Unis (aux dires de sa secrétaire) 

En son absence, non seulement les neurologues de son Service refusèrent d'administrer à leur malade le seul traitement en mesure de lui sauver la vie, en l'occurrence le traitement de la maladie de Biermer (qui consiste à administrer massivement de la vitamine B12), mais, me sachant médecin, et alors que la nécessité de ce traitement était évidente et impérative, ils eurent l'idée pour le moins saugrenue de faire semblant de le lui administrer !!  

De ce fait, l'état de leur malade ne pouvait évidemment qu'empirer alors que ce traitement ne coûte guère plus que le prix d'un carnet de métro.

Les neurologues m'expliquèrent alors que mon père n'était pas atteint de la maladie de Biermer mais de la maladie d'Alzheimer compliquée d'une encéphalopathie vasculaire (sic) voire d'une probable tumeur cérébro-spinale, que son état ne pouvait en conséquence que s'aggraver, et qu'ils ne pouvaient donc, eu égard au prix de la journée d'hospitalisation dans un Service très spécialisé, le conserver dans leur Service.

Ils le firent transférer dans un Service de Gériatrie à l'hôpital Charles-Foix (qui dépend également de l'AP - HP) dans l'Unité de Soins Normalisés du Dr. Jean-Yves Beinis avec la consigne, communiquée par écrit au Dr. Beinis par l'Interne du Service de neurologie, Olivier Ille, de continuer à faire semblant devant moi d'administrer au malade le traitement de la maladie de Biermer. 

Mon père souffrait pourtant à l'évidence d'un syndrome neurologique imputable à une sévère carence vitaminique B12. Le diagnostic de maladie de Biermer avait été le motif de son admission en neurologie. Il avait été porté au vu de l'hémogramme du malade et de son examen neurologique (tableau de sclérose combinée beaucoup plus  évocateur de la maladie de Biermer que d'une maladie d'Alzheimer ! ).

Si la plainte de mon père portée le 17 décembre 1990 pour "coups et blessures volontaires et non assistance à personne en péril de mort"  brièvement résumée sur les site-Web n° 108281777 et 73331815 html  a été très activement étouffée par la Justice alors que celle-ci avait en main toutes les preuves matérielles nécessaires et suffisantes pour inculper les X personnes contre lesquelles mon père avait porté plainte avant de se constituer Partie Civile,  c'est apparemment parce qu'elle a suscité la panique au sein de l'AP - HP et les ministères de tutelles.

Mais comment aurait-elle pu semer la panique en si "hauts lieux" ?

Mon père avait été transfusé dans un établissement de l'Assistance Publique (à l'hôpital Saint-Antoine ) en avril 1984, à une époque où les transfusion sanguines étaient contaminées par le VIH.

 Sinon pourquoi aurait-on si farouchelment voulu empêcher le malade de recevoir le seul traitement nécesaire à son rétablissement et à sa survie, puis  décrété, en 1999,  que toutes les plaintes relatives aux transfusions contaminées irrecevables  après 2003

 

Voir "Le dernier procès du sang contaminé" sur Slate.fr

Au sein du Conseil de l'Ordre des médecins et pour le Maire de l'Haÿ-les-Roses les motifs étaient différents, mais rejoingnaient ceux de l'AP - HP.

Pour l'Ordre des médecins, il s'agissait de contenir et de faire à taire les multiples plaintes pour viols portées à l'encontre du Dr. Jean-Claude Elmelik, médecin gynécologue-accoucheur et principal actionnaire, avec sa sœur Edith Elmelik, de la Clinique de l'Haÿ-les-Roses (la Clinique Léon Elmelik, édifiée en 1930 par le docteur Léon Elmelik, ancien maire adjoint, "mort des suites de sa déportation en 1944-45"  (et/mais/puis)  "décédé en novembre 1959" !

Pour Marc Méchain, Maire de l'Haÿ-les-Roses de 1989 à 1993, il s'agissait d'empêcher la Justice de mettre le nez dans ses activités douteuses auprès de son amie Edih Elmelik, avec laquelle il échangeait des informations au sujet de ses administrer, qui, comme mon père, diminués par la maladie, offraient le flanc à la prédation financière.

Le 23 janvier 1991, l'Inspecteur principal du Commissariat de l'Haÿ-les-Roses m'avait prévenu que la Clinique était "protégée en hauts lieux", mais il n'en savait pas la raison. Il s'était contenté de m'en faire part. Il attribuait le fait à ce que les proprétaires-actionnaires de la Clinique Léon Elmelik étaient "milliardaires" (sic).

Avec des informations aussi vagues il m'avait été difficile de savoir si le Dr. Jean -Claude Elmelik se permettait de violer les parturientes parce qu'il ne risquait rien, sachant sa Clinique "protégée en hauts lieux", ou si sa Clinique était protégée par l'Ordre des médecins et les pouvoirs publics  de crainte qu'un procès puisse venir  révéler au grand jour que Jean-Claude E. se permettait de satisfaire ses fantasmes œdipien en y violant à tire-larigot les parturientes parce qu'il se savait  protégé. 

J'ai appris plus tard (incidemment en 2010) que la Clinique Elmelik servait, avant qu'elle ne soit vendue en 1995 au groupe Clinéa, à ce à quoi allait aussi servir au CHU de Mantes la Jolie le Service de neurologie du Dr. Olivier Ille, avec cette fois-ci  Christine Malèvre à ouvrage.

Olivier Ille avait en septembre 1990 commandé, au non du Service du Pr. Gérard Saïd, au Dr. Jean Yves Beinis,  de ne pas administrer vraiment à mon père le seul traitement à même de lui sauver la vie, à savoir le traitement de la maladie de Biermer alors qu'il présentait tous les symptômes cliniques d'une sévère carence vitaminique B12 et que la maladie de Biermer en était présumée responsable (diagnostiquée d'entrée à l'admission de mon père aux Urgences de Bicêtre au soir du 31 juillet 1990).

L'Ordre des médecins et l'AMIF (l'Association des Médecins Israélites de France, à laquelle apparenait le Pr. Saïd via l'IFREM, éditrice de Médica Judaïca), trouvèrent ainsi intérêt à enterrer la hache de guerre et à faire cause commune pour faire en sorte que ces deux scandales soient étouffés par la Justice. Cela ne présentait a priori pas de difficultés, avec Michel Barrau procureur à Créteil et Yves Bot à Paris.

C'est dans ces conditions que le Dr. Bruno Halioua, médecin versé dans l'histoire de la médecine sous le régime de Vichy, fut invité à publier son livre "Blouses blanches, étoiles jaunes" le 11 octobre 1997 lors de la réunion annuelle des 280 présidents et secrétaires généraux départementaux, afin de sceller l'Alliance entre l'AMIF le CNOM.

En témoigne la préface du Pr. Bernard Glorion, Président de l'Ordre, au susdit livre, paru en décembre 1999 chez Liana Lévi.

Comme par hasard, c'est dans ces jours-là que le Professeur Saïd a commandé interruption de l'abonnement de la bibliothèque universitaire du CHU de Bicêtre à Archives of Neurology au prétexte que c'était une "très mauvaise revue" (sic).

Quoi qu'il en soit l'Ordre des médecins et les responsables -"mais non coupables" des transfusions contaminantes avaient un commun intérêt à ce que l'affaire ne débouche pas sur un procès en bonne et due forme.

C'est pourquoi le parquet de Créteil, alors sous la houlette du très obéissant Michel Barrau, a requis un méprisant non-lieu (prononcé le 3 juin 1998 en dépit des multiples fautes, toutes plus insensées les unes que les autres, rapportées dans la contre-expertise du Dr. Yves Dano.

Copie de l'expertise Dano est aux  mains de Me Régine de la Morinerie, qui n'a pas eu le courage de le faire valoir, en échange du maintien en fonctionnement de son Cabinet, celui de ma Consoeur Catherine Bonnet, avec qui elle travaillait à la Fondation Danan, à me l'avoir recommandé pour nous défendre, ayant été, comme celui nos prédents Conseils, "pulvérisé".

Le libellé de ce miraculeux non-lieu est reproduit et commenté sur le Net à "Ordonnance de non-lieu abusive et omerta médicale".

Voir aussi les sites-Web n° 34125637, 34640255, 69970222 et les derniers articles du site http://genocides.over-blog.com

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