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25 février 2015 3 25 /02 /février /2015 23:53

Si les médias ont généralement fait état des ‘‘euthanasies’’ commises  au CHU de Mantes la Jolie (une trentaine ont  dans un premier temps  été spontanément été proclamées de manière triomphante par Christine Malèbre, qui, faisant du zèle cherchait à être bien notée et éventuellement pouvoir bénéficier d’un avancement professionnel, voire plus simplement pour plaire à son Chef de Service, dont elle était apparemment éprise, je ne connais pas de journaliste qui ait cherché à creuser le problème ou ait vu ou rapporté ce qui aurait dû les faire s’interroger sur les incohérences des décisions judiciaires prises à l'égard de Christine Malèvre.

 

Dans Le Point du 7 février 2003, sous le tire Les « secrets de Christine Malèvre » Emilie Lanez écrit : "De Christine Malèvre, condamnée à dix ans de réclusion, on sait tout, on ne comprend rien".

 

Christine Malèvre avait été à juste titre déclarée "immature". Son cas relevait donc de la psychiatrie.

Elle a pourtant été condamnée en 2003 à douze ans d'emprisonnement (qui furent ramenés à quatre puisqu'elle est sortie de prison en 2007).

N’était-ce pas un peu surprenant ?

Que dire de cette condamnation par rapport aux mesures prises à l'encontre du Dr. Laurence Koyoumdjian, qui avait donné l'alerte et avait ainsi permis de faire cesser ces assassinats commis sous l'égide du Dr. Olivier Ille

 

Olivier Ille a été maintenu en place alors que L. Kouyoumdjian a été « virée » et considérée comme une malpropre alors qu’elle aurait dû être citée à la Légion d’Honneur pour avoir eu le courage de "transgresser" l'omerta médicale et de s'exposer aux mesures de représailles généralement réservées aux "sonneurs d'alerte"

 

Tout s'est passé comme si on lui avait reproché  d'avoir faire cesser les mises à mort de Christine Malèvre.


Il se trouve que quelques années auparavant, en 1990, Olivier Ille, lorsqu'il était Interne dans le Service de neurologie du Pr. Gérard Saïd à l'hôpital Bicêtre, avait donné des directives mortelles au sujet d'un de ses malades.

Il l’avait fait transporter à l'hôpital Charles-Foix. Son malades aurait dû décéder de mort apparemment naturelle si les infirmières du Service où il l’avait fait transporter n’avaient pas compris que leur malade était viable moyennant le traitement qu'elles avaient ordre de ne faire que semblant d'administrer.


Le malade dut la vie grâce à l'intelligence et à la conscience professionnelle de ces infirmières, qui me signalèrent à temps la tromperie sitôt qu'elles ont compris en le constatant par elles-mêmes que leur malade souffrait effectivement d'un syndrome neuro-anémique, et que je n’étais donc pas aussi fou que ce qui leur avait été raconté.


Le signalement de la tromperie eut des conséquences immédiates et plus lointaines :

Immédiates :

La résurrection du malade après qu’il est tombé dans le coma et le rétablissement de  ses capacités intellectuelles

Un rétablissement provoqua  la panique chez les médecins qui à l’AP - HP se sont rendus responsables de tromperies: ils firent tout de suite à faux déclarer par l’administration de leurétablissement que le dossier médical du patient avait été perdu.

Le rattachement du Service du Pr. Gérard Saïd à une Unité de Recherche de l’INSERM pour ses Travaux et Recherches sur les traitements vitaminiques des maladies neurologiques.

Plus lointaines :

la mise en place en 1995 de l'Espace Éthique de l'AP- HP au bénéfice d’Emmanuel Hirsch, relation du Pr. Gérard Saïd.

La redécouverte "au milieu des années 1990" d'un syndrome publié 1973 et oublié depuis : le Syndrome NDB12PP (une conséquence qui peut en fait être rattachée aux chapitre des conséquences immédiates.

La persécution ordinale du Dr. Catherine Bonnet et de l'auteur de ce texte, accusé en 2004 par la direction de l’hôpital Bicêtre d’avoir intentionnellement « fabriqué » (sic) la maladie de son père par « antisémitisme » (sic)

La disparition des rayonnages de la bibliothèque du CHU de Bicêtre d’ouvrages traitant des démences et des troubles neurologiques en rapport avec les carences vitaminiques B12 + l'ordre du Pr. G. Saïd de faire arrêter l’abonnement de l’hôpital Bicêtre à la Revue « Archives of Neurologie », Revue de référence au plan mondial au prétexte que c’était « une très mauvaise Revue » (dixit le Pr. G. Saïd) et la disparition de l' Encéphale de décembre 2003 Vol 29, "Délire Capgras chez une patiente de 64 ans atteinte d'une maladie de Biermer" ( C. Durand; S. Mary; P. Brazo; S. Dollfus).

La publication en 2003 dans Archives of Neurolgy d’un article sur les troubles innés du métabolisme de la vitamine B12 pour lequel le Pr. Gérard Saïd fit des pieds et des mains pour y faire figurer son nom accolé à ceux des
Drs. d’Hèlène Ogier de Baulny et Jacqueline Zittoun (Arch Neurol. 2003;60(10):1457-62.) "Neuropsychiatric disturbances in presumed late-onset cobalamin C disease". (E. Roze, D. Gervais, S.Demeret, H. Ogier de Baulny, J. Zittoun, J.-F. Benoist, G. Saïd, C. Pierrot-Deseilligny, F. Bolgert)

C'est le fonctionnement « normal » des institutions dans les « démocraties de basse intensité » : frapper d'omerta de ce qui est dérangeant parce qu'il << Il ne faut pas porter atteinte à l’image de la médecine, elle n’a pas besoin de ça >> .
C'est du moins du  Pr. René Claude Touzart le 17 janvier 1996 lorsque je l’ai rencontré à l’Hôtel-Dieu, à propos des viols qui se commettaient à la Clinique Léon Elmelik (il a ce jour-là ostensiblement mis en mardche un magnétophone et donc enregistré notre conversation. Pour quoi en faire ?).

R. C. Touzart, Chirurgien orthopédiste à l’Hôtel-Dieu, qui avait été chargé par la Juge d’Instruction, madame Bénédicte Scelle, de l’éclairer sur ce qui était arrivé à mon père en 1990.

Mais ne voulant pas prendre seul la responsabilité et le risque d’une expertise de complaisance, qui allait donc être mensongère ( le mis en cause était le poulain d’un Con-Frère°°° comme lui chirurgien orthopédiste, le Pr. Jean Debeyre ),

Le Pr. Touzart avait obtenu de la Juge d’instruction de faire nommer à ses côtés un anesthésiste titulaire d‘une Chaire d’enseignement, le Pr. André Lienhart, et un neurologue Chef de Service à l‘AP, le Dr. François Chedru, à qui il fera écrire ce que lui et son Confrère en expertise le Pr. André Lienhart voulaient qu’il écrive, à savoir qu’aucune faute n’avait été commise. Il avait pris soin d’écarter de mon témoignage direct le Dr. Chedru, réputé trop honnête, en lui expliquant que cela lui éviterait d’être en contact avec un « méchant ». (sic)

Le Pr. Touzart, fils et petit-fils de chirurgien (c'est du moins ce qu’il nous avait  raconté le 5 janvier 1996) était très craint à l’Hôtel-Dieu (selon une Consœur qui avait travaillé dans son Service). Ce qui corroborait ce que j'avais moi-même perçu d’après l’attitude anxieuse et soumise adoptée par le Pr. André Lienhart  face à lui lors de la rencontre que j’eus avec les experts (André Lienhart et lui, à l'exclusion du Dr. François Chedru, qui avait omis de se rendre à la convocation d'audition fixée pour le 5 janvier 1996 par la Juge d'Instruction, quoique ce fut lui qui en rédigea l'expertise pour signer et la faire signer par ses partenaires).

Le Pr. Touzart obtint du Dr. Chedru ce qu’il voulait : une expertise parfaitement bidon et lénifiante par rapport à la foultitudes de fautes, d’erreurs et de transgressions, toutes plus inadmissibles et incroyables les unes que les autres, qui avaient été commises à l’encontre de mon père par les médecins de la Clinique Léon Elmelik, comme par la suite aussi par les neurologues de Bicêtre et le Dr. Beinis à Charles-Foix (la plainte de mon père ne visait que les médecins de la Clinique Léon Elmelik)

Témoigne entre autre de la partialité de l’expertise qu’ils avaient à rendre la réflexion méprisante que le Pr. Lienhart adressa au Pr. Touzart en se tournant vers lui lors de l'audition, que son protégé (le Dr. Antoine Denis) était un « chirurgien de banlieue » . Savait-il qu’il n’était pas même chirurgien, mais un rhumatologue auto-proclamé chirurgien.

Ni l’Ordre des médecins ni l’Assurance Maladie n’y avaient trouvé à redire. Ce qui ne l’avait pas empêché de surfacturer ses actes de 75% et de transformer un acte prévu en K 20 en un acte facturé K 60 + 60/2 + 75% + 50 + K 20 + 20/2 + divers actes en CS et K dus aux complications du K 60 + 60/2.

Dans l’expertise rédigée par François Chedru il ne sera pas dit que le Dr. Antoine Denis n'était qu'un «
un chirurgien de banlieue », mais « le spécialiste le plus compétent qui soit » (sic, cf. celle-ci- mise en ligne sur le site intitulé «ordonnance de non-lieu et omerta médicale»)

Slut för i kväll

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