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1 juillet 2015 3 01 /07 /juillet /2015 11:01

Autant la psychanalyse - inventée par Alfred Binet et non pas par Freud - peut booster ce que Jacques Bénesteau appelle les sphincters de l'intellect, autant elle peut les obstruer.

Freud s'est auto-censuré quand il s'est rendu compte que l'étiologie de l'hystérie, qu'il pensait avoir découvert, n'était pas à dire  s'il voulait faire carrière et bonne fortune  : Cf.  1997  Marie Balmary  "L'homme aux 

statues" (chez Grasset) 

et 2012 Michel Meignant "L'affaire Freud"

 Janine Abécassis tient sa fille Eliette sous sa coupe comme Freud tenait sa fille sous la sienne. Elle s'est servi d'Elle  pour lui faire écrire ce qu'elle-même avait à dire de pour préserver son gagne-pain.    

Les fraeudiens (je suis pas pour rien lacanien) s'étaient déjà beaucoup inquiété de ce que Jacques Bénesteau ait réussi à faire publier chez Mardaga en 2002 "Mensonges freudiens".

Comme Anna Freud l'était par son père Eliette ABK6 sous l'emprise de sa maman, ne peut pas savoir que, pas plus Hitler Adolfus que Freud Sigismund, tenaient à ce que le tout le monde sache ce qui faisait d'eux des jumeaux mimétiques, devenus en 1919 soudainement antithétiques, et donc pourquoi Hitler avait donné l'ordre à Anton Sauerwald (si toutefois celui-ci a réellement existé) de laisser filer le Dr. Bloch aux Etats-Unis, et Sigmund Freud en Angleterre.

Il faudrait que l'on puisse lui expliquer pourquoi Hilter       s'était en 1919 fabriqué un "délire de haine" antisémite, un délire  auquel il a fini par adhérer, tout comme son jumeau s'était fabriqué une théorie délirante, qu'il avait fini par prendre au sérieux.

Eliette ne voudra de toute façon pas l'entendre.

Le « délire de haine » est une maladie psychiatrique conceptualisée par feu le Professeur Henri Baruk, qui lui-même en était affecté, sa haine s'exerçant à l'encontre de Freud et plus encore à l'encontre de Jacques Lacan, à ses yeux les deux grands responsables de l'état d’arriération où se trouve la psychiatrie française.

Outre les écrits du Pr. Baruk, le Dr. Francis Hofstein, psychiatre et psychanalyste parisien (cf. infra l'invention de l'hyobs* qui le lie à sa dame), pourra confirmer mes dires puisqu'il a comme moi eu l'occasion de connaître le Pr. Henri Baruk.

En 1908, après la mort de sa mère, sur les conseils du Dr.Bloch, qui l'avait vu désemparé, Adolfus Hitler avait été consulter le Dr. Freud.

D'après ce que sa mère avait pu lui dire avant sa mort, son époux Aloïs Hilter, né Schicklegrüber, était le descendant ancillaire d'un célèbre et richissime Baron R.  (ledit  Baron qui était affecté  de la maladie qui a empêché un célèbre présidentiable français d'accéder à la présidence de la République)  

L'expérience clinique nous a appris que les malades éprouvent souvent le besoin de révéler des secrets avant de mourir. Le Dr. Bloch, qui s'était longtemps occupé de soigner la mère d'Hilter, avait été très apprécié par la famille.   

Adolfus Hitler était non pas meurtri, mais tirait plutôt fierté de cette ascendance. Il avait d'aiilleurs fait de Mendelsohn et de Gustave Malher ses musiciens préférés.

Il suivit le conseil du Dr. Bloch d'aller consulter Freud. Le Dr. Bloch avait très probablement remis  une lettre à Hitler pour l'introduire auprès du Dr. Freud, une lettre qui évidemment était devenu dérangeante pour Hitler en comme aussi pour Freud en 1938.

Freud était par conséquent  au courant de ce que la mère d'Hilter avait confié au Dr. Bloch.

En 1908Freud  chercha bien évidemment à aider son jeune patient (Hitler n'avait alors que 19 ans). i

Il lui conseilla de tâcher par des œuvres marquantes de s'en rendre digne s'il voulait se faire reconnaître comme issu d'une si haute et si riche lignée (Freud avait alors tout intérêt à ce qu'il y réussisse)  

Adolf ayant échoué aux beaux arts alla tenter sa chance en Allemagne et s'engagea dans l'armée. Il chercha alors à se faire valoir et occupa un poste à hauts risques.

Après l'armistice, lorsqu'il voulut se faire reconnaître en 1919, il se fit, malgré ses évidents mérites, rejeter comme un mal-appris, pour ne pas dire comme un malpropre, si ce n'est comme un "sous-homme".

Il en conçut, comme une femme rejetée par son amant,  un "délire de haine" avec le désir de se venger (outre Valérie Trierweiler lire William Shirer, Ron Ronsenbaum, Alexandre Adler, Francis Hofstein, François Delpla, Joachim Fest, Lionel Richard ...)

Eliette Abécassis est une enfant.

Je ne la pensais pas aussi naïve.

Sigmund Freud partageait avec Hilter  l'histoire d'un père "forclos" (le père "bio" indicible de Sigmund Freud ne s'appelait pas Jakob Freud, mais Jacob Nathansohn, et c'était-là un secret qui faisait de lui le sur le plan de son inconscient psychpathogène, le frère siamois d'Hitler, qui devait au Dr. Bloch et au Dr. Freud sa résistible ascension au pouvoir à défaut d'avoir été accepté pour ce qu'il pensait être. C'est pourquoi et le Dr. Bloch et le Dr. Freud ont pu quitter le Reich, sur l'ordre d'Hilter, qui loin de vouloir éradiquer la psychanalise, voulut l'introduire en Allemagne.

Rappelons pour conclure que  le concept de "roman familial du nevrosé" a été développé par Freud APRES sa rencontre avec Hitler

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* l'a démontré Marie Balmary en publiant en 1979  "L'homme aux statues", (rééditée en 1997) 

* à Lévy-dance* paranoïaqué* par la psyka fraeudienne*, à l'instar de sa dame Nicole Cerf-Hofstein, avec le concept projectif "perlaboré" en commun d' HYOBS *  (Elle HYStérique  et Lui OBSéssionnel), déposé à l'INPI ?

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