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4 septembre 2015 5 04 /09 /septembre /2015 18:32

Un rapport secret de l'ADEME, révélé par Mediapart en avril 2015, stipule que l’électricité française pourrait être produite de façon  entièrement renouvelable en  2050, sans que production soit plus coûteuse qu’avec des centrales nucléaires.

De fait, un procédé technique permet de récupérer le potentiel énergétique des marées plus économiquement, plus écologiquement et beaucoup plus massivement qu'avec le procédé actuellement usité, ledit procédé n'étant pas tributaire de la nécessité d'une baie.

La France dispose ainsi tout le long de sa façade atlantique d'un gisement d'énergie marémotrice gigantesque.

Gigantesque et quasiment inépuisable.

Ce gisement devrait permettre à la France de résoudre, bien avant 2050, le problème de son approvisionnement en énergie non polluante plus rationnellement qu’avec l’énergie nucléaire et les autres procédés alternatifs comme le photo voltaïque, les hydroliennes les éoliennes, qui sont coûteux et au final pas aussi cologiques qu'il a été prétendu.

Plusieurs centaines – des milliers – de térawatts sont aisément récupérables pour opérer la transition énergétique au moyen d’un procédé inédit et performant, qui fonctionne sur le principe des vases communicants.

Qui plus est ce procédé peut être très rapidement mis en service. Quelques mois et même seulement quelques semaines devraient suffire pour mettre en service une unité expérimentale de petite ou moyenne puissance et évaluer ses performances in situ

L'Angleterre et d'autres pays maritimes devraient s'intéresser à ces techniques, qui sont par construction aptes à résister aux pires conditions météorologiques et à la corrosion marine.

P.S. 

J'avais dès juin 2012 fait part de son existence au ministre de l'énergie, c'est-à-dire à Madame Delphine Batho.

Devant son absence de réaction je m'étais en septembre 2012 directement adressé au premier Ministre Jean-Marc Ayrault, puis à l'ADEME. 

Devant son absence de réaction, je m'étais adressé au premier Ministre Jean-Marc Ayrault, puis à l'ADEME.

Depuis trois ans le gouvernement Hollande et l'ADEME ont donc été informés de l’existence de ce procédé ! 

Soit ni l'ADEME ni le gouvernement  ne veulent y croire, soit ils font semblant de l'ignorer ! ?

Pourquoi ?

Serait-ce pour préserver les intérêts des industries nucléaires et pétrolières ?

A moins que ce soit parce que chat échaudé craint l'eau froide ?

Après que gouvernement de Giscard d’Estaing s’est laissé berné dans l' affaire des "avions renifleurs", le gouvernement Hollande ne souhaite pas, comme l'avait été le président Giscard d'Estaing, être la risée du Canard Enchaîné ?

L'entreprise Elf-Aquitaine avait, avec l'accord de l'état et dans le plus grand secret, investi dans cette escroquerie un milliard cinq-cent-mille frances, soit deux-cent-cinquante mille euros ! 

Ou bien le pays attend-il que d’autres ne réalise le projet avant de s’y risquer lui-même ?

Mes petits-enfants sont franco-allemands.

Probablement deviendront-ils ingénieurs, l'ingénierie étant en Allemagne beaucoup plus valorisée qu'en France, où ce sont les énarques qui occupent le dessus du panier. 

Ce qui explique peut-être pourquoi mesdames Delphine Batho et Ségolène Royal, qui auraient dû, en tant que ministres de l'Energie, de l'Ecologie et du Développement durable? s’y intéresser, n'ont pas daigné répondre à mon projet.

Madame Ségolène Royale avait pourtant créé en 2008 "Désirs d'Avenir" (sic), à quoi j'avais eu l'ingénuité d'adhérer.

Le premier ministre Jean-Marc Ayrault avait été informé dès septembre 2012 des possibilités du procédé. Il avait délégué à ses ministres - Delphine Batho et à Philippe Martin - la tâche de s’en préoccuper. Ces ministres n’en avaient rien fait.

Madame Delphine Batho n'avait pas même eu l'idée de me proposer une rencontre aux expositions qui ont eu lieu à Brest les 9 - 10 avril 2013 et les 9 -10 octobre 2013, (Cf."www.delphine-batho-énergies-marines-renouvelables-brest" )

Pas plus d’ailleurs que Ségolène Royal, Arnaud Montebourg, et l’ensemble des parlementaires.

Les sénateurs plus attentifs au problème du réchauffement climatique seront peut-être plus intéressés au développement du procédé.

C'est pourquoi j'adresse aussi l'information à Madame Leila Aïcha, Sénatrice de Paris.

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