Le malade avait ainsi été abandonné à son sort. Il était alors tout près de mourir dans des conditions épouvabtables.
Tout s'est en fait passé comme si sa mort était l'inavouable but de cet inadmissible refus
inique au groupe Clinéa en 1995.
chargé d'endormir le docteur Jean-Yves Beinis en lui racontant des salades pour obtenir de lui, connu pour n'être pas très sensible à la détresse de ses malades et beaucoup plus à la beauté des yeux de ses assistantes, qu'il suive ses recommandations :
- 1° Tenir le fils du malade éloigner durant au moins une quinzaine de jours.
- 2° Lui faire croire que le traitement de la maladie de Biermer soi-disant commencé à Bicêtre serait normalement poursuivi, mais surtout de ne pas l'administrer réellement (Cf. sa lettre de transmission manuscrite datée du 22 aôut 1990).
Faisant écho à la panique suscitée au sein de la direction de l'hôpital Bicêtre, de l'AP - HP et de l'Ordre des médecins du fait que mon père a pu sortir du coma et recouvrer ses facultés intellectuelles ces avocats ont eux aussi été pris de panique après qu'ils ont été consulter le bureau d'ordre pénal au TGI de Créteil au sujet des médecins et des scabreuses activités de la Clinique Léon Elmelik.
site n° 108281777 html)
au beau milieu de la nuit du 30 juin 2002, tant elles étaient brulantes.
On peut comprendre la panique des avocats : ils savent qu'en France les lanceurs d'alerte, et par ricochet leurs avocats, ne sont pas bien et même pas du tout protégés par la justice lorsque sont en cause tout à la fois les intérêts de l'Etat, du CNTS, de l'AP - HP, du PS ... et de l'Ordre des médecins.
Ces Institutions mettent alors leurs dissensions de côté pour s'entendre et contrecarrer les plaintes des victimes. Ce qui était exprésement réprimé par la loi en 1990.
L'ancien Code Pénal réprimait la coalition de fonctionnaires.
Le NCP a supprimé en mars 1994 les articles relatifs à cette répression. Pourquoi ?
<<Tout concert de mesures contraires aux lois, pratiqué soit par la réunion d'individus ou de corps dépositaires de quelque partie de l'autorité publique, soit par députation ou correspondance entre eux, sera puni d'un emprisonnement de deux mois au moins et de six mois au plus [*sanction, durée*], contre chaque coupable, qui pourra de plus être condamné à l'interdiction des droits civiques, et de tout emploi public, pendant dix ans au plus.>>
Article 123 (abrogé au 1 mars 1994)
En décembre 1995 des professeurs René-Claude Touzard et André Lienhart, fonctionnaires de l'AP - HP, service public, se sont entendus pour tenir leur Confrère le Dr. François Chedru à l'écart de mon témoignage et lui ont dicté ce qu'il devait écrire et ne pas écrire alors qu'il avait été comme eux désigné par la Juge d'instruction, madame Bénédicte Scelle pour m'entendre le 5 janvier 1996.
Il m'avouera lui-même avoir rédigé un rapport d'expertise savamment bidonné.
En témoigne la longue et très accablante (pour les médecins) la contre-expertise du Dr. Yves Dano rédigée l'année suivante, une contre-expertise qui néamoins se termine par une stupéfiante contradiction stipulant que le malade avait consenti à des actes totalement déplacés pour satisfaire les attentes du parquet comme celles du Conseil de l'Ordre des médecins (Cette expertise est aux mains de Me Régine de la Morinerie rue des Ursulines à Paris).
Non seulement les opérations des médecins de la Clinique Leon Elmelik qui avaient été subrepticement infligés à mon père étaient inutiles, mais ils avaient été réalisés contre les règles les plus élémentaires de la médecine et de la chirurgie, et c'est bien pourquoi ils avaient une première fois failli le tuer avant que les neurologues de l'hôpital Bicêtre viennent les aggraver en ne faisant que semblant de lui administrer le traitement qui aurait déjà dû lui être administré quand il a mis les pieds à la Clinique des Elmelik.
Les neurologues de Bicêtre au lieu de taiter convenablement leur patient conjuguèrent ensuites leurs efforts avec ceux des médecins de la Clinique Elmelik, d'où leur entente avec l'Ordre des médecins en 1992 pour faire barrage à la plainte que mon père avait porté, non pas contre eux, médecins de l'AP - HP, mais contre les médicastres de la Clinique Léon Elmelik .
- Il pouvait en effet difficilement penser qu'ils l'avaient délibérément sacrifié au profit des médecins de la Clinique Elmelik comme aux intérêts du CNTS et de l'AP - HP en le vouant à "une inéluctable plus grande aggravation" (dixit le Chef de Clinique Pascal Masnou et le contre-rendu d'expertise rédigé par le Dr. François Chedru). -
- Il avait au contraire voulu les récompenser parce qu'il croyait que c'était à eux, et non à moi, qu'il devait d'être resté en vie.
Il n'avait voulu que s'en prendre aux médecins de la Clinique Léon Elmelik, qui par surprise lui avaient infligé une intervention orthopédique aussi dangereuse qu'inutile (sauf pour le cash-flow de cette Clinique, qui était alors à vendre !)
Tous ces médecins n'ont pas hésité à employer les moyens les plus abjectes qui soient contre moi pour contrecarrer sa plainte, alors même que mon père avait voulu les récompenser par une donation
Le Pr. Gérard Saïd sollicitait en 1992 les familles de malades à participer financièrement à ses cliniques concernant les traitements vitaminiques des affections neurologiques alors que l'entouloupe des médecins de son service, qui avait consisté à ne faire que semblant d'administrer le traitement de la maladie de Biermer à mon père avait finalement abouti, du fait même de mon intervention pour contrecarre ce simulacre, à la mise en évidence, en 1990 d'une entité nosologique parabiermerienne, à savoir le syndrome actuellement dénommé "syndrome NDB12PP", un syndrome qui a débouté la maladie de Biermer en tant que cause principale des carences cobalamniques. La maladie de Biermer est désormais reléguée à le seconde place, ne représentant plus que 30% de ses causes, contre 80% pécédemment, 60% revenant au syndrome NDB12PP).
Ledit syndrome n'aurait probablement été si vite redécouvert sans cette bavure, qui a mis le feu aux poudres.
Ne serait-ce pas les trop fortes pressions exercées pour étouffer les dossiers qui ont mis le feu aux archives de la mairie de l'Haÿ-les-Roses au beau milieu de la nuit du 30 juin 2002, avant que ne s'ouvre le proès de Christine Malèvre ?
(voir sur ce blog L'Ethique de l'AP - HP et l'affaire Christine Malèvre ; Pourquoi la mairie de l'Haÿ-les-Roses a-t-elle brûlée ; Problèmes éthiques posés au CNSA)
Déjà en 1997 la Revue "Archives of neurology" avait été interdite de parution à la bibliothèque du CHU de Bicêtre sur l'ordre expresse du Pr. Gérard Saïd.
Ce syndrome n'est pas l'invention marketing d'une nouvelle maladie par l'industrie pharmaceutique, tout au moins en France.
Aux Etats-Unis, depuis la reconnaissance de cette entité, les médias se chargent de faire croire aux naïfs que la cyanocobalamine, qui ne coûte presque rien et ne rapporte donc pas grand chose, est hautement toxique, qu'il faut par conséquent lui substituer d'autres formes de vitamines B12, qui sont 10 ou 20 fois plus chères.
Quand bien même le syndrome NDB12PP n'avait pas encore été décrit et individualisé lorsque mon père a été admis en urgence à Bicêtre le 31 juillet 1990, le traitement qui s'imposait d'évidence et aurait dû être administré à mon père était bien celui de la maladie de Biermer, cette maladie n'étant finalement qu'une forme clinique dudit syndrome.
ll aurait d'évidence dè le début fallu, comme dans la maladie de Biermer, qui est une "urgence thérapeutique", le lui administrer dès les premiers jours de son hospitalisation, ainsi que je l'avais instamment demandé aux neurologues.
Comme pour le traitement de la maladie de Biermer, la vitamine B12 aurait dû lui être administrée par voie intramusculaire, à doses drastiques pour être poursuivi ad vitam à doses plus modérées. Au lieu de quoi les neurologues de Bicêtre, au prétexte qu'il ne faut surtout pas contrarier les fous, ne firent durant plus de cinq semaines que semblant, je dis bien : ils ne firent que semblant durant cinq semaines, de lui administrer ce traitement ...
Jusqu'à ce que les infirmières de l'Unité de Soins Normalisés de l'hôpital Charles-Foix, où lesdits neurologues avaient fait transférer leur malade (afin qu'il fasse son exitus ailleurs que dans leur propre Service), devant son état de plus en plus alarmant (elles avaient découvert qu'il souffrait d'une évidente glossite de Hunter en essayant de le faire manger), me révèlent la supercherie.
Bien que prévenu, pour les raisons ci-dessus présumées, le Dr. Beinis n'avait rien voulu changer aux ordres des neurologues de Bicêtre.
Il était temps que son malade le reçoive. Il était tout près de mourir (cf. www n° 108281777 html).
Ayant mis moi-même en route le traitement le 12 septembre 1990, mon père réussit non seulement à sortir vivant de l'aventure, mais, chose aussi incroyable qu’inespérée, il put regagner assez rapidement ses facultés intellectuelles; Elles furent évaluées à 30/30 au MMSE en février 1991, contre 22/30 le 22 août de l'année précédente, à son entrée dans le Service du Dr. Beinis. Les neurologues de Bicêtre l'avaient ainsi étiqueté "ATTEINTE DIFFUSE DU SYSTEME NERVEUX" (Démence de Type Alzheimer + encéphalopathie vasculaire = DTA = "atteinte diffuse du système nerveux" ) et promis à "une inéluctable plus grande et rapide aggravation" (dixit à Bicêtre le Chef de Clinique à la mi-août 1990 - cf. le CR d'hospitalisation signé de l'Interne Olivier Ille sur www 69970222 html).
Le rétablissement du malade ne fit curieusement pas du tout plaisir au Dr. Beinis, aux neurologues de Bicêtre, et encore moins à l'Ordre des médecins, qui, via de "hauts conseillers" de l'Ordre du Val-de-Marne - en l'occurrence les docteurs Patrice Bodenan et Jean Pouillard - promit de me faire "payer cher" (dixit Bodenan, qui demanda au président du Conseil disciplinaire Jean Penneau à me faire "bénéficier" de l'article L 460 du CSP) non pas parce que j'avais été la cause de l'inattendu rétablissement de mon père, mais parce que ne l'avais pas empêché de porter les reproches qu'il faisait aux X médecins de la Clinique Léon Elmelik devant la justice de l'avoir opéré par surprise.
Un acte qui a été entériné licite par l'Ordre et son rapporteur Pierre Brassart "parce qu'il faut bien que les médecins gagnent leur vie" (sic, cf. sur le Net la lettre de chaleureux remerciements que lui a adressés le Dr. A. Denis le 26 mars 1994, une lettre dont le Dr. Brassart, qui n'osait pas me regarder en face, a exigé qu'elle l'insertion dans le dossier de cette affaire)
Pour comprendre les raison la conjuration, voyez comment Laurence Kouyoumdjian a été récompensée après qu'en 1997 elle a fait cesser les assassinats de malades au CHU de Mantes la Jolie en les révélant, contrairement à ce qu'avait fait son collègue Olivier Ille, qui s'était tu, et qui a ainsi pu garder son poste.
Comme par hasard, Olivier Ille est aussi le médecin qui avait en 1990 passé la consigne au Dr. Jean-Yves Beinis - ce en accord évidemment avec les autres membres du Service de neurologie de Bicêtre - de ne faire que semblant d'administrer à mon père le traitement de la maladie de Biermer (compte tenu que mon père avait été transfusé en avril 1984).
Pour comprendre l'incompréhensible consigne d'Olivier Ille, cf. le blog de leon sur les incohérences du système soignant et/ou me téléphoner au 06 78 58 96 21 (Allt detta är inte lätt att begripa, inte heller att berätta. Kanshe lika bra att ringa mig för att kunna prata om det. I alla fall, tusen tack pour cette émission de "Les pieds sur terre". Pierre Cretien, alias "Andersson")
REMARQUES à l'attention du professeur Philippe Even si à propos du syndrome de Non Dissociation de la vitamine B12 de ses Protéines Porteuses (l'ex "syndrome de carence vitaminique B12 avec test de Schilling normal") il y voit l’invention de l'industrie pharmacologique : ne devrais-je pas moi aussi me poser la question ?
Or c'est moi qui a énnoncé cette hypothèse en août 1990, en parlant de syndrome para-biermerien parce que le test de Schilling était négatif (il avait été déclaré à 35%, alors que, refait en février 1991 par la même madame J. Yvart, formée à Saint-Louis chez le Pr. Yves Najean, il était à 5%, et l'année suivante, à l'hôpital de Corbeil à 11%) et une vitaminémie B12 normale, Je l'avais formulée conformément à l'adage médical reçu lors de mon premier cours de médecine. Le Pr. Henri Péquignot avait dit de toujours se rappeler qu’en médecine "la clinique prime le laboratoire". Je l'avais répété au Dr. Masnou (voir pourquoi site n°34640255)
J'avais formulé cette hypothèse indépendamment du Dr. Michel Serdaru, neurologue émérite de la F.F.N. (Fédération Française de Neurologie) à peu près à la même époque. Dans un traité intitulé "La maladie d'Alzheimer et autres démences" (Flammarion Médecine-Science 1991) lui aussi avançait que ni un test de Schilling normal ni même une vitaminémie B12 normale ne permettaient d'éliminer le diagnostic de carence vitaminique B12. Ce traité a disparu des rayonnages de la bibliothèque du CHU Bicêtre, de même que les gros volumes d'Archives of Neurology".
Le Pr. Gérard Saïd a en a fait cesser l'abonnement en octobre 1997 au prétexte que c’était « une très mauvaise Revue » (sic, voir bibliog. relative au syndrome NDB12PP et à la LEMP sur ce blog) alors que par la suite il a fait des pieds et des mains pour voir y figurer son nom auprès de celui des Drs. Jacqueline Zittoun et Hélène Ogier de Baulny (voir bibliographie sur le site Problèmes éthiques posés au CNSA )
En 2004 je me suis adressé à la CADA pour avoir enfin accès au dossier soi-disant perdud e mon père (son dossier avait soi-disant été perdu par ma faute parce que j'avais présenté mon père au Pr. François Piette et au Dr. Michel Serdaru).
Le Pr. Gérard Saïd, Chef du Service de neurologie de l'hôpital Bicêtre me fit accuser par la direction de l'hôpital que j'avais "moi-même fabriqué la maladie de mon père" (sic) par "antisémitisme" (resic, dixit madame Isabelle Pilot, "chargée des relations de l'hôpital Bicètre avec la clientèle" !
Le Conseil de l'Ordre, sachant que ma Consoeur Catherine Bonnet m'avait conseillé (comment l'Ordre le savait-il ?) le lui a fait payer cher comme à moi en me faisant très perversement passer auprès d'elle, qui avait été assez naïve pour tomber dans le panneau, (elle s'en est excusée auprès de moi quelques années plus tard) que j'étais de ceux qu'elle combattait, alors qu'en réalité, comme je le lui avais exliqué, l'Ordre qui les protège, raison pour laquelle je l'avais justement prévenue de se méfier de l'Ordre.
Je le tenais des secrétaires de l'Ordre régional et de l'Ordre national. Les sécrétaires sont en effet bien placées pour savoir ce que sont les médecins l'Ordre par rapport aux "dérapages" de ses protégés. J'ai d'ailleurs aussi appris des années plus tard de la part de Confrères armoricains que l'Ordre des Côtes d'Armor avait intégré l'un d'eux, qui exerçait à Yffiniac, après qu'il a été condamné à une lourde peine de prison par la justice !
Le NDB12PP est en fait d'un syndrome que j'ai incidemment déterré sans penser qu'il pourrait donner lieu à récupération par l'industrie pharmaceutique, moi qui ne cessais à l'époque de penser à la manière de récupérer l'énergie cinétique de la Terre.
J'ai fini par la trouver en 2012, une solution économique qui ne contrevient qu'à la politique du tout nucléaire (voir article précédent "Fusion froide, maladie d'Alzheimer, avions renifleurs et autres mystifications")
Le syndrome "NDB12PP" est l'ex "syndrome de carence vitaminique B12 avec test de Schilling normal", soi-disant re-découvert "au milieu des années 1990" (sic) par des médecins strasbourgeois "... une entité nouvellement décrite qui occupe actuellement une place importante parmi les étiologies des carences en cobalamine notamment chez la personne âgée" (2008.09.01 Khalid Serraj , Thomas Vogel , Laure Federici , Ecaterina Ciobanu , Mustapha Mecili , Georges Kaltenbach , Emmanuel Andrès Hôpitaux universitaires de Strasbourg)
La possibilité de l'existence de tels cas cliniques avait été par moi postulée en août 1990 devant l’évidence et l'état critique de mon père. Il avait été hospitalisé après avoir subi les outrances chirurgicales du pseudo chirurgien Antoine Denis alors présentait tous les signes caractéristiques d'une grave carence vitaminique B12 (un tableau sévère de sclérose combinée) . Le rhumatologue de la Clinique Léon Elmelik "de réputation internationale" (dixit Edith Elmelik, sa patronne "milliardaire" anesthésiste se parant du titre de « spécialiste des hôpitaux ») se prenait pour un chirurgien orthopédiste. Il faisait partie avec le Pr. Jean Debeyre et Edith Elmelik de la « fine équipe » (des pieds nickelés).
Il avait à ce titre entrepris d’opérer mon père sans crier gare le week-end du 25 mai 1990 alors qu’il me savait en Suisse, et alors que je l’avais prévenu de ne surtout rien faire de ce qu’il lui avait proposé en raison du très mauvais état de santé de mon père (voir site-Web n° 34640255 html Chapitre II LES FAITS § 1-2-3-4).
Il était alors âgé de 79 ans et souffrait d'une hypertension extrêmement sévère et d'autres pathologies inquiétantes.
A. D. l'opéra des deux pieds en un seul temps après lui avoir fait croire que ses difficultés venaient de la « mauvaise morphostatique » de ses avant-pieds alors qu’il présentait en réalité de nombreux symptômes neurologiques inquiétants.
Ce pseudo chirurgien m’accusera par la suite devant le Conseil de l’Ordre d’être responsable de l’opération qu’il fit parce je n’avais pas réitéré mon interdiction d’intervenir et que je ne m’étais pas présenté au matin de son opération surprise, un argument entériné par le Conseil disciplinaire de l’Ordre et par la Justice (sous la houlette de Michel Barrau. Voir sa réquisition de non-lieu sur «omerta médicale »)
En 2003, ledit syndrome a changé de nom au profit de syndrome NDB12PP du fait de l'arrêt de la commercialisation du Test de Schilling, un test utile malgré ses quelques défaillances.
Le Pr. Pierre Huguenard, du SAMU 94 connaissait si bien Edith Elmelik que rien qu’à entendre son nom « son sang ne faisait qu’un tour ».
D'après lui, la police de l'Haÿ-les-Roses et quelques Confrères de la Commune, sa Clinique était, pour des raisons alors mystérieuses "protégée en hauts lieux".
En réalité parce qu'elle rendait de singuliers services à l’AP –HP , aussi singuliers que ceux d'une autre Clinique également sise dans le Val-de-Marne, et ce probablement pour les mêmes raisons qu’en 1997 le Service d' Olivier Ille, au CHU de Mantes la Jolie, toujours en poste, contrairement à sa collègue Laurence Kouyoumdjian, qui n'avait pas compris qu'il fallait se taire au nom des intérêts supérieurs de l'AP - HP, du CNTS et de l'Etat.
CONCLUSION : Le syndrome NDB12PP n'est pas la pseudo découverte d'une pseudo maladie inventée par des Key Opinion Leader au service de firmes pharmaceutique soucieuses de s'ouvrir un nouveau marché, mais un syndrome para-biermerien, qui se traite de la même façon que la maladie de Biermer, c'est-à-dire avec la vitramine B12.
Il s'agit d'un traitement qui ne peut être source de revenus suffisamment conséquents pour les firmes qui fabriquent cette vitamine vu le prix devenu très modique du traitement. Je n'avais et n’ai toujours aucun lien avec les firmes qui en France ou ailleurs fabriquent cette vitamine.
Last but not least n° 1 - Bonjour le secret médical.
Emmanuel Hirsch, qui n’est pas médecin, mais une relation ifremique du Pr. Saïd, a dans (peut-être bien à cause de toutes ces bavures ?) bénéficié en 1995 à Bicêtre d'une très inutile (sauf pour lui-même son mentor ) Chaire d'enseignement de l'éthique médicale;
Une Chaire bientôt déplacée à l'hôpital Saint-Louis pour s'appeler "l'Espace Ethique de l'AP - HP" (en prévision des écarts éthiques qui se préparaient au CHU de Mantes la Jolie, toujours avec Olivier Ille dans ses oeuvres ?!)
Lorsque je ai rencontré Emmanuel Hirsch pour lui toucher un mot des mésaventures de mon père à Bicêtre, sans attendre que je ne l'a lui raconte, il m'a en effet tout de suite coupé la parole pour me dire qu'il la "connaissait par cœur" !
Pierre Cretien le 30 décembre 2015