Overblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
25 février 2016 4 25 /02 /février /2016 12:16

Tartufe se porte toujours bien :

A Paray-le-Monial les 15 et 16 mars 2013  le cinquième Rassemblement du  Mouvement  "Amour et Vérité" faisait savoir 

- que  << Prendre soin du malade ne signifie pas seulement s’occuper de la maladie, mais prendre soin de toute sa personne corps, âme, esprit.

- que le malade est plus qu’un simple corps.

- que l'on ne peut séparer le corps de l’âme, car le corps lui-même est spirituel.

- que s’occuper d’un malade entièrement suppose de l’accompagner dans la durée, de l’aider à garder une certaine autonomie et de respecter sa dignité et son humanité

- que le docteur Olivier Ille reçoit la parole  "prends soin de lui"  comme une invitation personnelle du Christ,

- que le docteur Olivier Ille reçoit cette invitation comme un commandement d’amour qui s’adresse à tous,

- que la parabole du bon samaritain est un exemple d’humanité, une invitation à suivre Jésus dans son attention aux personnes qui souffrent,

- que le Christ nous envoie et nous guide,

- que le docteur Olivier Ille montre combien il est important d’être compatissant, mais sans asphyxier les malades…
- que pour lui, à l’hôpital, il est important de savoir faire équipe et de conjuguer les approches,

- que la médecine fondée sur les preuves a pleinement sa valeur pour obtenir une excellence dans la compétence technique, mais elle doit être située à sa juste place dans la relation médecin–malade pour que la dimension humaine puisse aussi pleinement s’exprimer.

- qu'il est nécessaire de bien distinguer ce qui relève des preuves au niveau institutionnel et de santé publique, de la situation personnelle des malades que l’on soigne.

- que la rencontre interpersonnelle est fondamentale,

- qu'Olivier Ille y montre le poids de la parole : « Des paroles inconsidérées blessent comme une épée, la langue des sages guérit » >>
______________________________________
Très bien, mais il se trouve qu'en août 1990 aucun de ces vertueux principes n'avaient été respectés par Olivier Ille.

Il m'avait alors fallu trouver et appliquer moi-même la solution thérapeutique qu'Olivier Ille avait donné ordre de ne pas administrer, mais de faire semblant devant moi de l'administrer à son malade.

L'administration réelle du traitement fut réalisée par moi après six semaines de ce faux-semblant, ce qui permit finalement à son malade, qui en l'occurrence se trouvait être mon père,  de sortir d'un coma carus  alors qu'il se trouvait en passe mourir dans un état cachectique, aussi épouvantable que désespéré https://108281777 html

Son malade avait fini par plonger dans cet état au terme de six semaines d'une vaine hospitalisation du fait de l'obstruction forcenée et délibérée de ce même Olivier Ille alors que la solution thérapeutique était simple et sans aucun danger.

Alors que je ne suis ni neurologue ni nutritionniste ni gériatre, j'avais permis à son malade de se rétablir.

Il retrouva ses esprits bien qu'il avait été à faux diagnostiqué par Olivier Ille, cautionné par ses pairs, "maladie d'Alzheimer" et "encéphalopathie vasculaire", le tout baptisé "atteinte diffuse du système nerveux" (sic, cf. sur ce blog, le CR d'hospitalisation rapporté dans l'article www.bibliographie-vitamine-B12-blog-de-leon 

Lesdits neurologues et gériatres l'avaient ainsi "voué à une inéluctable plus grande dégradation" (sic, dixit le rapport d'expertise rédigé par le Dr. François Chedru conformément aux désirs et sous la dictée des Prs. André Lienhart et René-Claude Touzart.

Ce qui n'avait pas été prévu, c'est que les infirmières du Service gériatrique où ils avaient fait transférer leur malade afin qu'il y termine "normalement" sa vie allaient déjouer leur mortel stratagème.

C'est ainsi que le rétablissement de leur malade ne leur fit nullement plaisir, mais les plongea dans la panique.
Au lieu de s'en réjouir, il les poussa à tout de suite déclarer, à faux, "perdu" son dossier quand j'ai demandé à le consulter.

Ils détournèrent à leur profit la proposition que j'avais conjecturée avant de la mettre en évidence en obtenant la résurrection du mourant

J'avais fait l'hypothèse qu'il devait exister un trouble au niveau de l'absorption ou du métabolisme de la vitamine B12, et parlé de "carence d'utilisation" pour rendre compte de l'existence de ce qui se passait, qui paraissait relever cliniquement de la maladie de Biermer, c'est-à-dire un état de profonde carence vitaminique B12 avec test de Schilling normal. ET vitaminémie normale .
J'étais très près de la réalité de ce qui s'était passé, puisque lesdits neurologues avaient ordonné de ne faire que semblant d'administrer à leur malade un traitement vitaminique B12 drastique, traitement normalement requis pour traiter la maladie de Biermer. Il s'agissait donc bien d'une "carence d'utilisation de la vitamine B 12" au sens strict.
Les affections de ce type, d'abord appelées "carences vitaminiques B 12 avec test de Schilling normal" sont désormais reconnues comme étant plus fréquentes que la maladie de Biermer, dont elles ne seraient que des variantes cliniques.

Ce syndrome a, en 2003, du fait de l'abandon de la commercialisation du test de Schilling, reçu le nom de "syndrome NDB12PP".

Les neurologues profitèrent de cette mise en évidence pour se faire attribuer une Unité de Recherche à l'INSERM pour leurs si méritants travaux.

Pour me clouer le bec, ils me firent accuser par la direction de leur CHU d'avoir moi-même "fabriqué" (sic) la maladie de mon père "par antisémitisme "(*), ce qui s'appelle en médecine un "syndrome de Münchhausen", c'est-à-dire d'être l'auteur d'un crime passible d'une lourde condamnation pénale (ou d'un internement psychiatrique).

Cette accusation leur faisait obligation d'en faire le signalement aux autorités judiciaires (Article 40 du Code de Procédure Pénale). Le Pr. Gérard Saïd m'en menaça en 2004, sans bizarrement oser donner suite

J'ai découvert (en 1992) que le docteur Michel Serdaru, neurologue émérite de la Fédération Fançaise de Neurologie, avait fait la même découverte, celle-ci incidemment mentionnée sous la forme d'une simple remarque dans un précis de neurologie paru chez Flammarion Médecine-Sciences en 1991, un précis intitulé "La maladie Alzheimer et autres démences" (livre rédigé sous la direction des Prs. Jean-Jacques Hauw et Jean-Louis Signoret
..............................................................................
(*) Cette crapuleuse accusation provient en fait du Chef du Service responsable, le très "éthique" Pr. Gérard Saïd.
Il fit appel à Emmanuel Hirsch, un philosophe de ses relations, tout aussi " Madoff" que lui, pour créer en 1995 un enseignement de l'éthique médicale dans son CHU, avant de faire transférer cet enseignement à l'hôpital Saint-Louis.
Ce beau rideau de fumée fut pompeusement appelé "Espace Ethique de l'AP - HP". Il était d'autant plus nécessaire que ce qui s'était passé dans son Service avec Olivier Ille allait se reproduire en 1997 au CHU de Mantes la Jolie.

Sous l'égide du même Dr. Olivier Ille, Christine Malèvre se vantera d'avoir "euthanasié" une trentaine de malades,  avant de comprendre que ce n'était pas surtout chose à claironner sur les toits.
Il fallait garder secret l'entreprise génocidaire.
Elle dut se rétracter et ne concéda finalement  que quatre  assassinats.

Le Dre. Laurence Kouyoumdjian, qui avait fait mettre fin à ces assassinats génocidaires  au lieu d'être récompensée et décorée, fut au contaire sans ménagement prié d'aller se faire voir ailleurs cependant que le très "éthique" et très catholique Dr. Olivier Ille, qui s'était gardé de mettre fin aux assassinats et qui avait déjà transmis, depuis l'hôpital Bicêtre, au Dr. Jean-Yves Beinis la consigne de n'administrer qu'un traitement mortel à mon père, est toujours en place
Ce qui démontre  que le règne de Tartufe est solidement établi en France.

Partager cet article
Repost0

commentaires