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6 octobre 2016 4 06 /10 /octobre /2016 12:24

Ce n'est pas le professeur Pierre Huguenard, le directeur et fondateur du SAMU 94, qui le premier me renseigna sur les pratiques délétères et délictueuses de la "fine équipe" des médecins de la Clinique Léon Elmelik - une équipe qu'il ne connaissait que trop bien pour avoir eu à la supporter dans les années 1970 - mais le Principal du Commissariat de La Haÿ-les-Roses, le 23 janvier 1991, qui me confia ce jour-là qu'il en avait "par-dessus la tête" d'avoir continuellement à enregistrer des plaintes pour viols, qui toutes (il m'avait bien dit toutes) étaient systématiquement "bloquées au parquet" de Créteil lorsque ce tribunal était sous la coupe de Michel Barrau.

Après l'Inspecteur Christian Raeckelboom, c'est le docteur Jules Fineltain, médecin généraliste et médecin expert, agréé près de la Cour d'Appel de Paris, qui m'avait parlé de "la fine équipe des pieds nickelés" ... (voir l'origine de cette appellation au site-Web n° 34640255 html), puis dans les années qui suivirent, le docteur Jean-Paul Preziosi, qui à l'époque siégeait au Conseil municipal à la Mairie de La Haÿ-les-Roses, et le professeur Pierre Huguenard, qui explosa de colère dès qu'il m'a entendu prononcer le nom des Elmelik, et aussi, avant Pierre Huguenard, mais moins explicitement, le docteur Michel Serdaru, neurologue émérite de la Fédération Française de Neurologie : scandalisé par ce qui s'y était passé quand mon père a commis l'imprudence d'y mettre les pieds le 24 mai 1990, et dans les semaines qui suivirent ce qui s'était passé dans le Service de neurologie du professeur Gérard Saïd, dans le Service gériatrique du docteur Jean-Yves Beinis, une Unité de Soins dits Normalisés (sic) de laquelle mon père failli une nouvelle fois ne pas sortir vivant, sa première réaction, après la stupéfaction, fut la colère : << Ce qui s'est passé est intolérable, vous m'entendez, intolérable ! Je vais écrire à la presse et vous indiquer un bon avocat >> . Sur ces belles paroles, il m'indiqua le Cabinet parisien de Me Bernfeld (ce qui s'était passé dans la Clinique des Elmelik puis à l'hôpital Bicêtre dans le Service du professeur Gérard Saïd et ensuite dans l'USN du docteur Beinis est rapporté entre autres dans les précédents articles de ce blog et dans ceux cités à la fin de celui-ci).

Mais quand j'ai finalement révélé au docteur Michel Serdaru que celui que j'avais appelé "le docteur Foot" était le docteur Antoine Denis, c'est-à-dire un des 4 membres de la fine équipe des pieds nickelés,  le docteur Serdaru blêmit et changea soudainement d'avis, et pour éviter que je puisse remarquer son trouble, il me tourna le dos avant de me dire  << Ah ! mais celui-là, il a des relations ...  >>. Et il ne fut plus du tout question de vouloir alerter la Presse !

Le docteur Serdaru était donc au fait que les exploits de la fine équipe des pieds nickelés étaient à la fois très "spéciaux" et de ce que l'équipe qui les perpétrait  était "protégée en hauts-lieux".

En "hauts-lieux", c'est-à-dire par les parquets, le CNOM, et, à la CPAM du Val-de-Marne, par la DRPS (Direction des Relations avec les Personels de Santé) , ainsi  me l'avait aussi signalé son sous-directeur, le docteur André Souche dès septembre 1990 (ce qui en fait en réalité mon premier informateur), et ensuite, sans peut-être le vouloir, ou plus probablement en le voulant l'air de rien, les secrétaires de la CPAM 94,  qui me mirent au parfum en oubliant de masquer le microphone du télephone, me laissant ainsi entendre les discussions qu'elles tenaient entre-elles pour savoir si elles étaient ou non autorisées à me dire pourquoi elles ne pouvaient pas répondre à mes questions. Après en avoir longuement et bruyamment débattu je les avais finalement entendu dire "qu'ordre avait été donné de ne donner aucune information sur cette affaire".

Ces blocages ont-ils quelques rapports avec l'intervention et le savoir faire de Michel Barrau

En tant que procureur de la République au TGI de Créteil, celui-ci avait laissé en toute connaisance de cause libre cours aux  activités illicites de la fine équipe (illicites, pour ne pas les dire criminelles) malgré toutes les casseroles que la fine équipe trainaient derrière elle, s'agissant de ce qu'entreprendra, après la disparition de cette équipe de la scène quand la Clinique a changé de main et la nommination du docteur Olivier Ille à la tête du Service de neurologie du CHU de Mantes la Jolie, avec cette fois Christine Malèvre dans le rôle qu'il avait fait jouer en 1990 au docteur Jean-Yves Beinis quand il était Interne et sous les ordres des neurologues du Service du professeur Gérard Saïd.

Toujours est-il que c'est ce procureur-là que le ministère de la Justice avait choisi entre tous pour être dépêché  à Toulouse en 2003 pour mettre de l'ordre" dans le scandale provoqué par l'affaire Allègre, dans laquelle quelques 195 prostituées ou ex prostituées toulousaines avaient trouvé la mort, dont certaines en se  suicidant au  moyen d'un couteau planté dans le dos, et d’autres en se noyant dans une casserole ? Elles s'étaient apparemment inspirées de la méthode usitée par l'ancien Ministre de Valéry Giscard d'Estaing, Pierre Boulin, qui avait réussi à se suicider dans une flaque d'eau en forêt de Rambouillet.

Antoine Denis était avec Edith Elmelik et le professeur Jean Debeyre (qui affectionnait de porteu des chaussures à ferrures), l'un des 4 médecins de la fine équipe des pieds nickelés.

Antoine Denis s'était courageusement engagé dans la résistance ... en 1945, puis, une fois  devenu rhumatologue, se prétendit à faux chirurgien orthopédiste, et de surcroît se faisait passer pour  "professeur de réputation internationale" (du moins le disait sa patrone, Edith Elmelik ; l'avoit avalé  le docteure Nathalie Ghidalia, phlébologue à la Clinique.

Antoine Denis usurpait en réalité le titre d'un homonyne, le professeur Jean Denis, successeur du docteur Jean Arnous, protologue Chef de Service à l'hôpital Léopold Bellan, celui-ci effectivement de réputation internationale.

Le docteur Jean Paul Preziosi, qui exerçait à l'époque à La Haÿ-les-Roses,m'avait cependant confié qu'une des victimes avait réussi à obtenir une condamnation en correctionnel pour viol du médecin-directeur de cette Clinique très spéciale, le gynécologue Jean-Claude Elmelik, condamnation judiciaire qui lui vaudra d'être déchu de son titre de directeur au profit de sa sœur, aussi constitutive de la "fine équipe". L'Ordre des médecins, qui était depuis longtemps au courant des viols à tire larigot que commettait le gynécologue sur les parturientes fut "moralement" obligé de le sanctionné, mon pas tant parce qu'il violait les parturientes, mais parce qu'il s'était vu infliger une condamnation.

Ancien  sociétaire de la SFMG - Société Française de Médecine Générale - le Dr. Jean-Paul Preziosi est décédé en avril 2012

Pour compléter ces informations sur les pratiques très scabreuses permises à la fine équipe des pieds nickelés, on pourra se reporter aux derniers articles du « blog de léon » et à ses sites apparemment les plus visités. N'y figure pourtant pas le plus exhaustif sur le plan événementiel, l'article n° 34640255 html, écrit avant que je sache plus explicitement d'un membre du SAMU 94, le 15 avril 2010, la raison inavouable qui faisait que la Clinique Léon Elmelik était "protégée en hauts-lieux", et que ses médecins "pouvaient y faire ce qu'ils voulaient" sans être inquiétés, et avant la découverte que ma découverte du syndrome de carence vitaminique B12 avec test de Schilling normal m'avait été volée par le professeur Gérard Saïd au profit de madame le docteure Jacqueline Zittoun, sinon à l'équipe du professeur Emmanuel Andrès à Strasbourg. Cf. ; 1 /complications-psychiatriques-des-carences-cobalaminiques-69970222.html 2 /le-fetichisme-du-pied-et-le-complexe-d-oedipe-117635374.html    3/-le-delire-de-capgras-ou-delire-des-sosies-79851918.html  4/les-traitements-neuroleptiques-peuvent-ils-aggraver-certains-delires-121591737.html  5/le-dr-laurence-kouyoumdjian-aurait-du-etre-citee-a-la-legion-d-honneur-118980525.html 6/les-enfants-victimes-de-violences-sexuelles-et-les-psys-101958555.html 7/comment-et-pourquoi-le-test-de-schilling-a-été-abandonné-121511333-html

Addenda

Que faire lorsque les avocats sabotent délibérément la Partie Civile parce qu'ils préfèrent ne pas être en butte avec le pouvoir politique, sachant qu'en France "il n'y a pas de justice" (dixit en novembre 1993 Me Annick Dorsner-Dolivet, une avocate pénaliste à qui je m'étais adressé pour lui confier une tentative d'assassinat médical qui avait "par ma faute" échouée), la justice n'étant pas indépendante des pouvoirs ministériels et de toute puissante haute administration (la direction de l'AP - HP et l'ex CNTS) s'agissant d'une affaire où la responsabilité de l’État et de l'AP étaient lourdement engagée, puisque ce fut le cas dans l'affaire du sang contaminé.

Non seulement le Service de pneumo-neurologie (sic) du docteur Olivier Ille participait en 1997 au CHU de Mantes la Jolie à l'élimination physique des malades anciennement contaminés, avec Christine Malèvre pour les exécuter sous sa direction (profitant de la séduction qu'il exerçait sur elle) comme précédemment en août 1990 quand il avait livré au docteur Jean-Yves Beinis, dans le Service duquel il avait fait transférer son malade, des directives thérapeutiques qu'il savait pertinemment être mortelles à brève échéance, de façon que malade dont il n'avait pourtant pas vraiment la charge (il n'était alors qu'Interne et transmettait les directives de la hiérarchie) ne vienne à décéder dans le Service de neurologie de l'hôpital Bicêtre, mais  très "naturellement" dans un grand Service de gériatrie, dans lequel il est plus acceptable, car plus banal, pour ne pas dire "normal", de quitter le bas monde des vivants.

Le Service qui abritait Olivier Ille était celui du professeur Gérard Saïd, en principe incapable et donc insoupçonnable de telles monstruosités puisque le professeur Gérard Saïd était membre de l'IFREM et rédacteur à la Revue d’Éthique médicale que cette Institution édite (ou éditait), à savoir Médica Judaïca.  L'IFREM est l'Institut de Formation et de Recherche en Éthique Médicale juive.

L'Institut était dirigé par Emmanuel Hirsch, un acolyte du Pr. Saïd, qui n'est pas médecin, mais professeur de philosophie..

E.H. m'a déclaré "connaître par cœur" l'histoire de mon père lorsque j'ai voulu lui en parler. Le Secret Médical n'a donc pas été respecté. L'histoire médicale de mon père a été racontée à qui n'est pas médecin mais enseigne de l'éthique médicale et la nécessité de respecter le SM.

Le monde étant  petit, E. H.irsch est le frère de Martin Hirsch, énarque et actuel directeur de l'AP - HP

Bien avant l'exécution à Mantes la Jolie des malades contaminés par le VIH dans la première moitié des années 1980 ,d'autres établissements, également protégés par l'Etat, telle p.ex. à La Haÿ-les-Roses l'ex Clinique Léon Elmelik, participaient à ces "euthanasies" avant que lesdits patients n'aient le temps de développer un SIDA maladie.

Ce qui faisait de cette Clinique une Clinique "protégée en hauts lieux", c'est-à-dire par l’État.  c'est-à-dire par le ministères de la Recherche, de la Santé et finalement le ministère de la Justice.

Autour de 25000 patients ont dans ces années-là été contaminés par les flacons livrés par le CNTS aux hôpitaux et autres établissements de soins chirurgicaux, selon le docteure  Anne-Marie Casteret, ("L'affaire du sang", La découverte, 1992, toujours disponible en librairie.)

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