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12 décembre 2016 1 12 /12 /décembre /2016 08:34

A l'hôpital de Reims un petit garçon de trois ans est mort il y a une quinzaine de jours, victime des sévices que lui infligeaient constamment sa mère et son compagnon. Alors que tout le voisinage savait que l'enfant était battu, personne n'a essayé d'intervenir  ni même pris l'initiative de faire un signalement à la police.

Ne pas avoir tenté de le secourir correspond au phénomène psychologique décrit par les psycho-sociologues depuis plus de cinquante ans. Il est nommé  effet du témoin ou Effet Spectateur (Bystander Effect).

Voici comment Wikipédia le définit : << Alors que le fait d’apporter de l’aide à une personne en détresse constitue un comportement prosocial socialement valorisé et attendu, la présence d'autrui exerce un impact sur la perception et la réaction — par rapport à la situation de secours — de telle manière que les conduites d'aides se trouvent inhibées. L’effet spectateur est ainsi un facteur qui affecte le comporteme==nt prosocial. Les recherches scientifiques ont montré qu’il s’agit d’un effet psychologique robuste et stable qui apparaît tant dans les situations expérimentales que dans les situations réelles. Toutefois, un certain nombre de recherches récentes ont pu mettre en évidence plusieurs facteurs permettant de modérer cet effet sans pour autant remettre en question son existence.>>

1° Est-ce que l' Effet Spectateur rend compte de ce qui s'est passé en 1997 au CHU de Mantes la Jolie ?

Les infirmières du Service de pneumo-neurologie  (!?)

dirigé par le docteur Olivier Ille y avaient été témoins des nombreux assassinats de malades que commettait leur collègue  Christine Malèvre sous la coupe de son cher Chef de Service avaient mais avaient fait semblant de ne rien voir. Elles ne sont pas intervenues pour enrayer la machine à tuer jusqu'à ce que le docteure Laurence Kouyoumdjian se mêle d'en faire le signalement à la direction et les fasse cesser (il se peut toutefois que les infirmières se soient dans un premier temps adressées au docteur Laurence Kouyoumdjian. Cela lui vaudra non pas d'être félicitée mais au contraire d'être "priée" de déguerpir, cependant que le docteur très "éthique" docteur Olivier Ille, qui avait gardé le silence, a conservé son poste.

La question aurait dû être posée lors du procès auquel cette affaire à très tardivement donné lieu, mais tout s'est passé comme si le tribunal de Versailles n'avait pas cherché à trop éclaircir cette affaire d'assassinats programmés ... de peur d'en  découvrir bien d'autres et leur essence cachée, parce qu'avant le procès on pouvait entendre dire à l'hôpital Saint-Louis, où avait en hâte été  déplacé 'l'Espace Ethique de l'AP - HP que << dans cette affaire, on n'a rien à craindre; on "tient' la Médecine, la Justice et la Presse >> C'est pas l'ami °°° des docteurs Elmelik, le docteur  Patrice Bodenan, un médecin responsable du Bureau de Presse du Conseil de l'Ordre des médecins du Val-de-Marne, qui démentira. Ou plutôt si : il le démentira, car mentir et donner le change son ses qualités premières. Il se faisait d'ailleurs, et ce avec l'aval du Conseil de l'Ordre,  à faux passer pour un médecin réanimateur, alors qu'il savait surtout endormir. Par mesure de précaution, il s'est fait remettre un DEA d'éthique médicale par le professeur Christian Hervé   à l'époque où ces paroles rassurantes ont été proférées.                                              

                                                                    -:/ -

Pourquoi avoir regroupé la pneumologie et la neurologie, deux spécialités si disparates en un seul service ? 

==> Etait-ce pour qu'il y paraisse  "normal" d'y laisser la vie, tout comme il était "normal" de la finir à L'Haÿ-les-Roses dans la Clinique Léon Elmelik ainsi que dans l'Unité de Soins Normalisés (sic) du docteur Jean-Yves Beinis à l'hôpital Charles-Foix ? 

La Clinique des docteurs Edith et Jean-Claude Elmelik très appréciée des Services hospitaliers de la région parce qu'elle acceptait de se charger des malades qui les embarrassaient. C'était

La Clinique Léon Elmelik était une Clinique dans laquelle il était aussi "normal" pour les accouchées et le femmes venues pour une IVG d'être violées par le docteur Jean-Claude Elmelik en salle de réveil alors qu'elles étaient encore sous l'effet de l'anesthésie.  

Olivier Ille milite désormais très éthiquement  à Amour & Vérité au sein de la Communauté de l'Emmanuel,  profére à Paray-le-Monial des harangues propres à encourager la contradiction puisqu'il les intitule "Prends soins de lui" (sic)

2° Est-ce que cet effet rend compte de ce qui est arrivé en 1990 à un malade dont le traitement a été confié au même Olivier Ille quand il a été hospitalisé dans le Service de neurologie d'un autre grand grand CHU de l'AP - HP, un malade qu'Olivier Ille et tous les médecins du Service où il était Interne savaient atteint d'une affection rapidement mortelle sans son traitement spécifique, non seulement le lui avait refusé, mais a été jusqu'à donner l'ordre aux infirmières qui l'avaient en charge de ne faire devant son fils, qu'il savait être médecin, que semblant de le lui administrer après qu'il l'a fait transférer dans une Unité de Soins "Normalisés" (sic, "USN" est un euphémisme. Il s'agit en fait de Services gériatriques, c'est-à-dire des Services ou il est "normal", parce que courant et plus facilement admissible, d'y trouver la mort). L' USN en question était située dans un autre hôpital, en l'occurrence l'hôptal Charles-Foix.

3° Est-ce que l' Effet Spectateur rend compte qu'il ait fallu attendre si longtemps avant un syndrome neurologique aussi fréquent qu'est le syndrome NDB12PP n'ait pas pu franchir la frontière des connaissances sans être détecté par les cliniciens avant "le milieu des années 1990" alors qu'il est deux fois plus fréquent que la maladie de Biermer ?

La maladie de Biermer est  elle-même fréquente, et mortelle sans son traitement spécifique, un traitement qui consiste tout bonnement et semblablement à administrer aux malades de la vitamine B12 à doses drastiques, et le syndrome NDB12PP est également causé par un déficit en vitamine B12.

S'il sont abandonnés à eux-mêmes, c'est-à-dire s'ils ne reçoivent pas ce si simple traitement, les malades déficitaires en cette vitamine en deviennent de plus en plus profondément affecté sur le plan neurologique, la vitamine B12 étant aussi indispensable au bon fonctionnement du système nerveux que l'huile moteur au fonctionnement des moteurs à explosion.

La comparaison de la nécessité de la vitamine B12 au fonctionnement du système nerveux avec la nécessité de l'huile au fonctionnement des moteurs à explosion peut même être poussée plus loin :  le foi, les muscles et organisme humain contiennent une réserve en vitamine B12 suffisante pour que le système nerveux supporte de fonctionner normalement sans apport alimentaire durant environ cinq ans, mais quand ces réserves sont épuisées, le système nerveux se dégrade et les troubles neurologiques et cérébraux deviennent  de plus en plus sévères, jusqu'à conduire le malade au coma, et à partir de là rapidement à la mort.

Une voiture automobile mue par un moteur à explosions peut de même facilement parcourir, quand elle est neuve ou pas trop vieille et quand le niveau d'huile est au maximum de 5 à 10.000 kms sans que l'appoint n'ait été fait, mais finira par avoir des ratées avant de caler et de rendre l'âme, alors qu'une  vouture dont le  moteur compte un grand nombre de kilomètres devra faire plus souvent l'appoint pour ne pas se retrouver bloqué sur la route.      

Il en va un de même chez les hommes âgés et encore plus souvent chez les femmes âgées: une supplémentation en vitamine B12 dans l'alimentation peut s'avérer nécessaire pour éviter des dysfonctionnements de leur système nerveux.

Le syndrome NDB12PP peut apparaître, jusqu'à lui faire prendre l'aspect de la maladie d'Alzheimer.

Est-ce parce qu'il peut prendre cet aspect clinique que ce syndrome est passé si longtemps inaperçu ?
C'est difficile à croire, mais c'est bien ce que l'on a essayé de me faire croire en 1990 à propos d'un cas, qui, pourtant, ne pouvait prêter à telle confusion.

Selon E. Andrès & al. dans un article publié en 2008 dans La Presse Médicale,  ce  syndrome n'a été individualisé qu'au "milieu des années 1990" alors que la maladie de Biermer affecte  3 à 7 % des personnes de plus de soixante ans (7% d'après un article retentissant des neurologues du Service du professeur Sonia Dollfus, CHU de Caen, un article publié par L'Encéphale en décembre 2003.

Je n'ai découvert cet article qu'en 2013 (Cf. cet article en bibliographie, n° 8) après en avoir par hasard pu en  lire le résumé sur Internet, dans un article mis en ligne aux Etats-Unis.

Affaire à suivre sur l'article précédent de ce blog

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