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11 octobre 2013 5 11 /10 /octobre /2013 17:15

J'ai lu la lettre ouverte que le Pr. Bernard Debré à adressé à Valérie Trierweiler.  Je partage les réflexions du Pr. Debré, mais ceci dit, il y a, il me semble, plus important et plus urgent que de s'occuper de remettre cette charmante dame à sa place, les égarements de cette dame n'ayant pas été vraiment préjudiciables au pays. Ce qui détourne l'attention de plus important,  du moins pas autant que les égarements  du Parti Socialiste : j'avais naïvement voté pour l'accession de François Mittrerrand à la présidence en 1981. Il s'est empressé de ne pas tenir ses promesses alors qu'il aurait pu, sans que cela ne lui coûte et ne coûte au pays (sauf quelques voix parmi les  praticiens véreux que le Conseil de l'Ordre protége parce que l'Ordre est lui-même vermoulu et réprésentatifs des escrocs qui surfacturent des actes chirurgicaux aussi inutiles que dangereux, de surcroît commis sans l'autorisation du patient et malgré l'interdiction expresse  de ses médecins, protégés qu'ils se savent, quoi qu'ils fassent, par l'Ordre des médecins, même quand leurs actes sont préjudiciables au patient et à sa famille. Dans l'affaire Rossignol-Léandri, l'Ordre s'était montré complice jusqu'à ce qu'il ne puisse faire autrement que d'infliger un blâme, comme au il avait decerné un blâme au Pr. Pierre Huguenard après qu'il a critiqué das une expertise une anesthésie au cours de laquelle un adoloescent était décédé. L'Ordre est un véritable fléau national, en grande partie responsable de la mauvaise santé de la médecine en France : cf. en autres affaires ce qui se passait à la Clinique Elmelik  à l'Häy-les-Roses.  (rapporté sur Google 73331815 html et 108281777, entre autres articles du blog de leon - genocides) . Une affaire qui en recouvre bien d'autres, et dont la presse, pourtant prévenue, documents à l'appui, n'a pas osé parler. C'est peut-être à cause de ce que cette affaire recouvre que le Parti Socialiste n'a pas tenu ses engagements. Ces corruptions coûtent cher à l'Assurance Maladie, ruinent  la Sécurité Sociale, le budget de l'Etat  en même temps que la santé physique et économique des malades et de la famille des malades.  Le professeur Debré est dans son rôle quand il dénonce une pharmacopée inutile, dangereuse et coûteuse. Lui qui a été Ministre, qui a l'expérience du pouvoir politique, pourquoi n'est-il pas candidat à la présidence de la République ? Il serait certainement un meilleur président que les postulants actuels.
Je soutiens l'entreprise des Prs  Bernard Debré et Philippe Even quand ils dénoncent clairement  que la moitié de l'arsenal pharmaceutique est non seulement inutile, mais nuisible à  l'économie de la santé.(souvent aussi certains actes chirurgicaux, cf. l'affaire Rossignol-Léandri, qui est l'arbre qui cache la forêt). 
Sans être un adepte de l'homéopathie, à laquelle je ne reconnais que le mérite d'être un excellent placebo,  pourvu qu'elle n'en vienne pas remplacer pas les vraies thérapies quand celles-ci sont incontournables : un médecin homéopathe était si convaincu de l'efficacité intrinsèque à sa discipline qu'il avait dû être hospitalisé et traité par la tifomycine. Il était atteint une fièvre typhoïde qu'il traitait par l'homéopathie. Je ne me souviens plus s'il avait ou non fait le diagnostic de sa maladie quand il a cru pouvoir se soigner par l'homépathie.   
Dès qu'ils furent commercialisés, j'ai prescris les génériques (au début des années 1970), sans pour autant m'attirer l'hostilité des pharmaciens. J'ai d'autre part  toujours réfréner recours aux tranquilisants et aux somnifères. Je les ai depuis longtemps suspectés (au moins depuis 1988) d'être sinon la cause de la maladie d'Alzheimer, du moins d'en précipiter l'évolution. J'en avais fait part en 1993 au Pr. François Piette à l'occasion de l'hospitalisation de ma mère dans son Service en lui faisant la somme des tranquilisants que ma mère avait ingurgités en suivant scrupuleusement les traitements que lui prescrivait depuis au moins 28 ans sans, discontinuer,  son médecin traitant, le Dr. X.    
Médecin, j'ai dû par moi-même intervenir le 12 septembre 1990 pour administrer à mon père, qui était en train de mourir à l'hôpital Charles-Foix, le traitement approprié à son état après que Mme Pondu, la Surveillante du Service du Dr. Jean-Yves Beinis, médecin responsable de l'Unité de Soins "Normalisés" (sic) où mon père avait été transféré depuis le Service de Neurologie  de Bicêtre  (Service du Pr. Gérard Saïd) m'avait fait prévenir que son Chef de Service avait commandé de faire semblant de le lui administrer.
C'est ainsi que j'ai pu,  in extremis,  rétablir - pour ne pas dire ressusciter - mon père dans ses fonctions (cf. Google 108281777 html)
Il ne faisait aucun doute pour moi que mon père était frappé d'anémie pernicieuse. Il en avait quasiment tous les signes neurologiques (tableau de sclérose combinée - syndrome tétrapyramidal - etc...)  C'est la découverte d'une glossite de Hunter qui avait persuadé la Surveillante que continuer à ne faire que semblant devant moi d'administrer le traitement approprié au traitement de la maladie de Biermer était criminel. Lorsque je me suis adressé à la CADA pour pouvoir consulter le dossier de mon père (dossier à faux déclaré  "égaré" ) j'ai été accusé par madame Isabelle Pilot, sous-directrice ? de l'hôpital Bicêtre, d'avoir moi-même provoqué la maladie de mon père par "antisémitisme" (sic, sans doute à cause de mon nom, et peut-être aussi parce que je ne cachais pas que je tenais Freud et les freudiens pour des charlatans, des faussaires et des négationnistes.  Je crois que le Pr. Robert Debré en disait tout autant !). Pour plus de précisions concernant cette très inquiétante et préjudiciable embrouille médicale, consulter mon site "pierre cretien - blog de leon" ou plus directement Google 108281777 et 73331815 html, entre autres textes confiés à Internet.  Ce sauvetage fut en réalité la découverte du traitement des leucoencéphalopathies multifocales progressives (LEMP), parce que c'était en réalité  de cela que mon père avait  souffert en 1990 après qu'il a été transfusé et contaminé en abril 1984 lors de la mise en place d'une prthèse de hanche à l'hôpital Saint-Louis. La découverte du traitement des LEMP est ainsi due à une (petite) confusion diagnostique de ma part, une confusion beaucoup moins lourde et absurde que celle (volontaire ?) des neurologues de Bicêtre, qui consista à diagnostiquer chez mon père une "ATTEINTE DIFFUSE DU SYSTEME NERVEUX" (sic) consécutive à "encéphalopathie vasculaire" (resic).  Lr Dr. Michel Serdaru, en lisant les CR d'hospitalisation, stupéfait, s'était demandé si mon père avait eu affaire à de vrais médecins.  On peut se demander s'ils étaient  trompé de bonne foi : ma demande que mon père soit aussi vu par un psychiatre - le Service du Pr. Féline  était situé au l'étage du dessus - ne fut pas non plus suivi malgré son évidente nécessité. Certes, l'erreur est humaine, et le Pr Saïd reconnut deux ans plus tard devant moi, quoique que de très mauvaise grâce (le 2 juin 1992, donc après-coup et sans pouvoir faire autrement),  que ses neurologues avaient commis une erreur :  "Des erreurs, j'en commets moi-même tous les jours !" me fit-il très sèchement remarquer.  Il s'était entre-temps arragé pour la masquer, autant pour se couvrir que pour couvrir l'hôpital, qui se mit aussi de la partie afin d'effacer les traces de l'énorme bavure. Le Pr. Saïd persista à faire inscrire le diagnostic d' encéphalopathie vasculaire dans les CR d'hospitalisations qu'il fit rédiger après-coup par l'Interne Olivier Ille  et par son Chef de clinique Pascal Masnou alors que, refait six mois plus tard le test de Schilling affichait 5%, et non plus comme précédemment soi-disant 35% (ainsi que me l'avait révélé, en rougissant jusqu'aux oeilles,  le Dr. Jeannine Yvart (qui se plaignit à moi au passage de ce que le Pr. Saïd voulait à tout prix lui imposer le Dicopac* en lieu et place du test de Schilling classique.
Devant la négativité du test de Schilling, allégués pour rejeter le diagnostic de maladie de Biermer ou de syndrome neuro-anémique, j'avais dans mes discussions avec le Dr. Masnou  (vers 12 août 1990, quelques jours après le test)  soutenu qu'il devait exister des carences cobalaminiques  d'utilisation métaboliques (cellulaires ou plasmatiques) pour expliquer la discordance observée entre les données du test de Schilling (35%) et l'observation clinique, en lui rappelant ce que nous avait enseigné le Pr. Henri Péquignot dans sa leçon inaugurale de médecine que, pour faire un diagnostic , "la clinique prime le laboratoire". D'autant que le test de Schilling s'était par lui-même montré thérapeutique durant quelques jours suivant la passation de ce test du fait que celui-ci avait  nécessité d'administrer une dose non négligeable de vitamine B12. Masnou ne voulut pas entendre raison tout en faisant semblant de m'écouter. Au lieu de faire ce qu'il aurait fallu, il fit semblant de faire administer normalement la vitamine B12. Je n'avais pas pensé qu'il pouvait exister des carences viaminiques B12 d'ulisatition volontairement meurtières (qu'on pourrait appeler "carences hospitalières ou institutionnelles ").
Après que mon père a été transféré à l'hôpiital Charles-Foix sous prétexte qu'il ne guérissait pas (son MMSE était passé en deux semaines de 25/30 à 22/30) et qu'il mobilisait "inutilement" (sic) un lit de spécialité,  et après j'ai dû par moi-même administrer un traitement plus conforme à celui de la maladie de Biermer, traitement qui s'estde façon surprenante rapidement montré salvateur, le très éthique  Pr. Gérard Saïd, loin de m'en féliciter, aurait aimé pouvoir s'attribuer le mérite d'avoir trouvé le traitement des LEMP. Il fit mettre en place à Bicêtre puis à Saint-Louis  un "Espace Ethique de l'A.P. -H.P.", s'intituler chercheur habilité par l'INSERM  et supprimer l'abonnement de la bibliothèque du CHU Bicêtre à la Revue "Archives of  Neurology", soi-disant parce que c'était une "très mauvaise Revue" (sic).  Il fit plus tard des pieds et des mains pour voir son nom figurer auprès de celui du Dr. Hélène Ogier du Baulny (qui ne le connaissait pas) dans un article publié par Archives of Neurology  sur les troubles neuropsychiatriques dus aux carences cobalaminiques des maladies métaboliques B12 (Cf.  E. Roze, D. Gervais, S.Demeret, H. Ogier de Baulny, J. Zittoun, J.-F. Benoist, G. Saïd, C. Pierrot-Deseilligny, F. Bolgert Arch Neurol. 2003;60(10):1457-62. "Neuropsychiatric disturbances in presumed late-onset cobalamin C disease") .
Le Pr. B. Debré pourrait peut-être parler de cette affaire au Dr. Michel Serdaru, ou, bien plus près de la rue Poncelet, au Dr. Gérard Lopez, qui exerce  au rez-de-chaussée du 32 de la rue des Renaudes.  Ou m'appeler directement au numéro de téléphone indiqué, parce que  ni le docteure Nora Berra  ni madame Bachelot-Narquin ont fait quoi que ce soit pour me tirer des énormes dificultées  que m'a valu le sauvatage de mon père. Est en cause parce qu'il a porté plainte contre les médecins de la Clinique Elmelik. Ceux-ci avaient, avant son hospitalisation à Bicêtre,  profité de sa grande vulnérabilité psychologique pour l'escroquer. Sous l'impulsion des Drs Jean Pouillard et Patrice Bodenan°°°, l'Ordre des médecins, conformément à sa nature, s'est mêlé d'entraver toute poursuite judiciaire par les moyens les plus pervers. Ceux-ci firent croire au Pr. Saïd comme au Dr. Beinis que mon père avait porté plainte contre eux, ce qui était absolument faux, puisque mon père était resté persuadé que c'était à eux , et non à moi, qu'il devait la vie ! Il était dans le coma lorsque je suis intervenu et ne gardait qu'un souvenir très imprécis de ce qui s'était  passé autour de cette période (Cf Google 73331815 html). 
Je ne suis pas ingénieur, mais suis quand même un esprit  inventif. J'aimerais pouvoir faire valoir à un industriel qualifié un concept nouveau et intéressant pour extraire de façon tout à fait écologique l'énergie des marées sans avoir à construire de lourds et coûteux barrages. Je suis aussi sûr de la faisabilité et de son "écologisité" de mon concept que j'étais sûr de moi lorsque je suis intervenu le 12 septembre1990 pour remettre mon père sur pied. Il vaudrait le "coût" de le tester en miniature. Or j'ai 73 ans et le sauvetage de mon père m'a vraiment complètement ruiné. Mon gendre et mes petits enfants sont Allemands. Dois-je le leur faire connaître, si les Français le boudent ?   
Philippe Even et Bernard Debré signent un réquisitoire implacable. (archives afp)
«On a besoin de gens qui ont le courage de dire les choses. Sinon, on va continuer de tourner dans ce système où on nous affirme que tout va bien alors que c'est faux. »
Le professeur bordelais de pharmacologie Bernard Bégaud est remonté comme une pendule. Il n'a pas encore eu le temps de lire l'ouvrage de Bernard Debré et Philippe Even. Mais il admet que ce guide (1) va peut-être jeter un vrai pavé dans la mare que l'affaire du Mediator a à peine troublée.

 

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