Overblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
22 janvier 2013 2 22 /01 /janvier /2013 17:34

Pour les psychanalystes, les fécès, l'argent et l'or (money) seraient pour l'inconscient (freudien)  des équivalents symboliques : rêver d'argent ou rêver matière fécales, c'est du pareil au même. 

 

Est-ce pourquoi les psychanalystes freudiens préfèrent, voire exigent, d'être payés en espèces et non pas par chèque ? 

 

OLD NEWS ABOUT PSYCHO- ANALYSYS

 

La psychanalyse mène à "La méditation de l'étreinte", qui serait  une variante du "chimney sweeping" du bon Dr. Joseph Breuer :

 

Curieusement, dans un essai intitulé "De la haine et du pardon", paru chez Payot en 2007, la psychanalyste Gabrielle Rubin attribue l'invention de la méthode cathartique à Sigmund Freud alors que, d'après Elisabeth Roudinesco, tout étudiant en première année de psychanalyse sait qu'elle revient au Dr. Joseph Breuer, ou pourquoi pas plutôt à à Alfred Binet, qui fit la "psycho-analyse" du grand et du petit fétichime (lire  

Le Fétichisme dans l'amour (1887), Payot, coll. « Petite Bibliothèque Payot », un texte que Freud a ou aurait traduit en allenand. Freud s'en est tellement inspiré dans ses développements que l'on doit se demander si Alfred Binet n'a pas en fait été le véritable initiateur de Freud).  

 

Le Guide Rosenwald (l'annuaire des médecinsfrançais) nous apprend que le psychiatre Charles Caille est aussi psychanalyste, et titulaire d'une licence en psychologie.

 

Selon le dictionnaire de psychanalyse du Dr. B. Vandermersch et du psychanalyste R. Chemama (Larousse 2000), est cathartique « toute méthode thérapeutique qui vise à obtenir une situation de crise émotionnelle telle que cette manifestation critique provoque une solution du problème que la crise met en scène » .

 

"Anna O" s'était remise de son traitement et était devenu Assitante Sociale, mais elle ne voulut plus jamais entendre parler du Dr. Joseph Breuer ( selon Franck Sulloway, "Freud, biologiste de l'esprit publié chez Fayard).

 

La méthode cathartique du Dr. Caille se voula-elle plus radicale que celle du Dr. Beuer ? Sa méthode consistait non pas à laisser parler les patientes, mais à se présenter devant elles "nu comme un ver", à s'y coller et à leur demander de lui faire des fellations (cependant qu'il récitait des chapelets). Il appela cette variante de la méthode "la méditation de l'étreinte".

 

Dans l'esprit de son promoteur, la méditation de l'étreinte était au traitement de l'anorexie mentale ce que le "ramonage de cheminée" du Dr. Joseph Breuer était au traitement de la toux hystérique de "Anna O" (alias Bertha Pappenheim, paraît-il une amie de Martha Freud).

La variante technique du Dr. Caille est moins connue que la méthode du Dr. Breuer. Elle n'a été révélée par la presse qu'en avril 2011. Sans doute son efficacité n'était pas plus grande;. DSK ne pourrait-il pas revendiquer de n'avoir fait que l'expérimenter ? La question a-t-elle seulement été soulevée à propos ce qui s'est passé au Sofitel de New-York entre DSK et Nafissato Diallo ?

De "Quand les psychanalyste passent à l'acte(Louise de Urtubay, publié en 2007 aux P.U.F.) on en a pas beaucoup entendu parler de la psychanalyste "

 

Le viol, l'inceste et infection HIV sujets tabous ou secrets d'Etat ?

 

A peine Fadela Amara avait-elle été nommée à la tête de l' IGAS que des voix ont émis des objections à sa nomination du côté d’Act-Up, qui invoque l’existence d’un conflit d’intérêt.

En tant que médecin, j’avais en 1990 été confronté à une difficulté majeure, liée à un « conflit d’intérêt ». Il est superposable à celui qu’à vécu et vit encore Sihem Souid, sauf qu’il concerne l’omerta propre au milieu médical, l’Ordre des médecins imposant le silence sur les viols commis par des médecins à l’encontre des parturientes, notamment sur celles en situation d’IVG.

J’avais été averti de l’existence de ces viols lorsque j’avais accompagné mon père au Commissariat de l’Haÿ-les-Roses: mon père avait été victime d’une incroyable agression de la part des médecins de la Clinique de l’Haÿ-les-Roses. Il avait vraiment failli y « laissez sa peau ». Il n’entrait pas dans l’intention des médecins de cette Clinique de le tuer: ils avaient seulement voulu profiter de sa vulnérabilité psychologique pour l’escroquer, mais il fut peu après victime d’une véritable tentative d’assassinat à l’hôpital Bicêtre. On prétexta à faux une erreur de diagnostic, alors que l’erreur était aussi impossible que frauduleuse, commise soit dans l’intention de protéger la Clinique Elmelik, soit dans l'intention de protéger l’Assistance Publique elle-même contre la possibilité de sa mise en cause dans les contaminations par le VIH lors de transfusions antérieures faites en son sein, soit pour ces deux raisons, la Clinique Elmelik étant de celles qui servaient à l’élimination des malades contaminés par le VIH et dont les services hospitaliers souhaitaient être débarrassés.

D’où probablement le fait que cette Clinique ait été protégée en hauts lieux, c’est à dire pour sauvegarder les intérêts du C.N.T.S., responsable de nombreuses contaminations hospitalières lors de transfusions faites dans la première moitié des années 1980, mon père entrant dans cette catégorie pour avoir été transfusé en avril 1984 à l’hôpital Saint-Louis.

Quoi qu’il en soit, il avait porté l’affaire devant le procureur de la République à Créteil ( à l’époque Michel Barrau, grand serviteur de l‘État, et par conséquent protecteur de la Clinique Elmelik),

 

Lorsqu’il déposa devant l’Inspecteur Christian Raeckelboom au Commissariat de l’Haÿ-les-Roses, celui-ci nous confia que contre ladite Clinique, aucune plainte ne pouvait aboutir, toutes étant systématiquement « bloquées au parquet ». S’adressant à moi, il dit : « J’ai là sur mes étagères cent cinquante plaintes pour viols. Aucune n’a pu aboutir. Les actionnaires de la Clinique sont milliardaires. Ils font ce qu’ils veulent. Il sont protégés en hauts lieux ». Ce qui faisait que les parturientes pouvaient s'y faire violer en toute impunité .... (voir article Tala om det - blog de Leon)

En vous remerciant de votre attention, je vous prie d’agréer, Madame l’Inspectrice Générale, l’expression de ma très grande Considération

Pierre Cretien, M.D.

Avant-propos du Rapport de Marie-Louise FORT, Députée-Maire de Sens.

<< Maire de Sens, j’ai été confrontée à la situation particulièrement douloureuse et émouvante de victimes d’inceste luttant pour « recouvrer la vie » . Les accompagner a été pour moi l’occasion de mesurer le poids du tabou qui les écrase en même temps que leurs proches.

Surtout, cette expérience m’a permis d’observer le fossé qui peut exister entre d’une part les volontés individuelles et associatives de s’investir pour lever la chape du silence et lutter contre l’inceste , cpontre ses conséquences, et d’autre part les lacunes et les inerties institutionnelles et politiques en la la matière. Certes, nombre des témoignages recueillis au cours de la mission ont souligné les considérables progrès réalisés depuis vingt ans. Mais force est de constater l’incroyable retard de la France sur la plupart des pays développés.

Aussi, dois-je remercier Monsieur le Député Jean-François Copé /…./ de m’avoir confié une mission sur « la lutte contre l’inceste ».

Cette mission s’est organisée en trois phases.

1° La première a été dédiée à l’identification des professionnels, chercheurs et institutions acteurs du dossier ainsi qu’à la compliation et la synthèse de leurs productions.

Cette recherche a été l’occasion d’une observation surprenante. La question de l’inceste a fait l’objet de nombreuses recherches scientifiques; elle a été portée par des associations de victimes importantes par le nombre de leurs adhérents; elle a été le sujet de propositions de lois et de parlementaires dont le très essentiel « Faut-il ériger l’inceste en infraction spécifique ? » de Christian ESTROSI. Pourtant le tabou demeure et l’accompagnement des victimes aurant que celui des auteurs est toujours déficient.

2° Les auditions ont constitué le second temps de la mission ……..De l’ensemble émerge de façon prépondérante l’attente d’une inscripition de l’inceste dans le code pénal.

J’ai en outre pris connaissance d’une somme impressionnante de témoignages qui m’ont été adressés spontanément par les victimes elles-mêmes. Ces lettres singulières par leur discrétion et leur humilité n’en étaient pas moins émouvantes tant on devine derrière chaque mot l’horreur vécue. Ces écrits forcent notre respect car on sait le courage qu’il a fallu à leurs auteurs pour témoigner.

3° nfin, la dernière phase de la mission a été un temps de réflexion et de synthèse. Car travailler à lutter contre l’inceste est humainement ébranlant parce que relatif au négationnisme plus ou moins complice, plus ou moins auto-protecteur, des psychiatres et des psychanalystes restés freudiens (.Cf. aussi les commentaires freudiens sur les enfants d'Outreau des Drs Samuel Lepastier et Paul Bensoussan ) et philosophiquement questionnant * . Techniquement, c’est aussi à une somme de questions pour le moins complexes * qu’il a fallu répondre …Cf. pour plus de précisions Louisa de Urtubay « Quand les psys passent à l’acte », aux PUF, 2007.………...>

« Cette difficulté tient à la très grande transversalité du sujet touchant à la fois aux domaines judiciaire, social, médical et éducatif /……./ L‘ ambition n‘a jamais été de faire table rase de l‘existant ».

Marie-Louise Fort

Il faut croire que l'occultation de ces réalités, qui se font au détriment des malades et des finances de la Sécurité sociale, relève de la raison d'état; donc aussi croire que le viol de centaines de femmes au cours et au décours d'actes gynécologiques relève aussi du secret d' Etat.

Elisabeth Lévy

, dans une émission de France Culture intitulée "le premier pouvoir" consacré au journalisme, dit 1° qu'elle comprend que la raison d'Etat puisse parfois primer sur le droit à l'information et 2° que la moindre des choses pour un journaliste est de recouper les informations qui lui sont communiquées.

Sans être moi-même journaliste, c'est la règle que je m'étais imposée, tant les déclarations de l'Inspecteur Christian Rakelboom me paraissaient incroyables à l'époque des faits relatés ci-dessus

Or j'ai non seulement eu confirmation auprès de certains Confrères des dires de l'Inspecteur C.Raeckelboom , dont le Dr. Claude Poulain (actuellement à la retrait du côté de Nantes), mais je suis en mesure de prouver par "A plus B" qu' erreur de diagnostic il n'y avait nullement eu en ce qui concerne mon père. Il s'était donc bien agi d'un refus d'assistance à personne en péril de mort, ce que les médecins experts désignés cinq ans après les faits ne pouvaient en aucun cas ignorer.

Il faut croire que l'occultation de ces réalités, qui se font au détriment des malades et des finances de la Sécurité sociale, relève de la raison d'état; donc ausi croire que le viol de centaines de femmes au cours et au décours d'actes gynécologiques relève aussi du secret d' Etat.

LUTTE CONTRE L'INCESTE

Vendredi 6 mai 2011

La bêtise péché mortel

Le Dr. Irène Frachon, s'exprimait ce lundi matin 2 mai 2011 sur France Inter dans une émission intitulée "Service public", animée par Isabelle Giordano. Elle dit avoir été favorablement impressionnée par Xavier BERTRAND, que sous sa direction l'attitude des pouvoirs publics, celui de l'Afssaps notamment, semblait vouloir évoluer dans le bon sens. Je leur adresse cette lettre parce qu’il faut que les français sachent de quoi sont capables les hauts Conseillers de l’Ordre des médecins, les médecins de l’Assistance publique et les pouvoirs publics, le tout sous couvert de l' « éthique », dans ce que l’on croît être une démocratie.

Les embrouilles sont lourdes à porter. Les Conseillers Pouillard et Bodenan n'ont pas hésité à me faire passer pour ce que je ne suis pas auprès du Dr. Catherine Bonnet, via Maître Régine de la Morinerie, qui a en toute connaissance de cause marché dans leur combine, au mieux pour échapper au sort que son Ordre avait réservé à ses prédécesseurs, au pire parce qu'elle est une intruse. Catherine Bonnet, en tant qu'elle était sa collaboratrice à Enfance Majuscule (Fondation Danan), me l’avait recommandée en tant qu'elle la croyait et la disait " de qualité " (sic).

Instruit par l'expérience et par ce que m'en avaient dit les secrétaires de l'Ordre (Cf. le blog de léon), j'avais en octobre 1996 pensé utile de lui dire qu’il ne fallait surtout pas suivre les conseils que le Pr. Breton avait donné aux membres du bureau du Collectif Féministe Contre le viol lors d'un Colloque en 1995. Il leur avait recommandé de d’abord prévenir l’Ordre des médecins dans les signalements de viols (son intervention est rapportée dans les Actes 1995 de ce Colloque, Actes disponibles au CFCV, 9 Villa D’Este, 75013 Paris). Manipulée par de la Morinerie, Catherine Bonnet s’était laissé convaincre que j'aurais voulu la détourner de suivre les recommandations du Pr. Breton. Elle y crut d'autant plus facilement que j'avais devant elle eu la bêtise de critiquer certains critères diagnostics de maltraitances formulés dans le livre de son Confrère et ami le Dr. Pierre Sabourin ("La violence impensable", Nathan, mars 1991). Non seulement elle passa outre mes conseils, et comme moi, le paya très cher, mais elle propagea l'idée que j'étais de l'autre bord. Ce qui expliquerait aussi l'attitude du Dr. Sabourin quand je l'ai revu à l'AFPE alors qu’il m’avait jusqu’ alors renseigné sur qui était qui en la matière (cf. maltraitances.over-blog.com / B § 1). D’avoir fait elle-même l’expérience de ce qu’était véritablement l'Ordre des médecins, elle m'a par la suite demandé pardon de ne m’avoir pas cru et de s'être laissée manipuler par de la Morinerie. Le Collectif Féministe Contre le Viol, présidé par le Dr. Emmanuelle Piet, après son expérience et celle qui fut la mienne apprit à se méfier de ses forfaitures.

Les témoignages de victimes montrent qu'en France l'esprit des médecins est resté très freudien, c'est à dire très réactionnaire par rapport aux fautes (y compris les viols) ou aux erreurs qu'ils peuvent commettre : pour ce qu’il en est de Freud et des psychanalystes, cf. Jeffrey M. Masson "Le réel escamoté " (chez Aubier, 1984), et Louisa de Urtubay "Quand les psys passent à l'acte", (aux P.U.F., 2007).

A l’instar du Canada Dry * qui ressemble à de l'alcool mais n'en est pas, les C-R d’hospitalisations de Bicêtre et l'expertise du Dr Chedru peuvent paraître scientifiques objectifs et impartiaux alors qu'ils sont savamment bidonnés. Il faut non seulement être médecin, mais du sérail pour les décrypter. Le Dr. Chedru a produit un rapport mensonger : il me l’a cyniquement avoué un certain 4 juillet 1996, en ajoutant l'air goguenard que je ferais mieux d’abandonner la partie parce que j'allais m’y épuiser pour rien. Lui savait ce que "ATTEINTE DIFFUSE DU SYSTEME NERVEUX" voulait dire, qui écrivit en conclusion de son expertise, conformément à ce que le parquet et l’Ordre des médecins voulaient l’entendre dire, qu’aucune faute majeure n'avait pas été commise à l’encontre du plaignant .... dans la mesure où il était de toute façon voué à une inéluctable dégradation.

Plus astucieux que lui, le Dr. Yves Dano rédigea une très longue expertise : 44 grandes pages d’une dactylographie serrée, à même, pour un lecteur pressé, d’en dissuader la lecture complète. Il y décrit, noyé dans un flot de redites aussi fastidieuses qu’inutiles, ce qui s’était effectivement passé, qui était par certains côtés que j'ignorais, des plus accablants pour les opérateurs, plus que ce que j’avais par moi-même pu savoir. Mais il conclut (astucieusement ? ! ) en dernière page que le plaignant avait été consentant pour tout ce qu’il lui était arrivé … ce qui était tout à l’inverse et de la réalité et de ce qu’ il venait de démontrer dans la masse de son rapport. Une astuce qui lui permettait de se mettre autant à l'abri de sa conscience qu’abri d'un blâme ordinal.

Ces expertises manifestement bidonnées servirent de prétexte au parquet pour requérir un non-lieu, un non lieu où j’étais, moi, fustigé et accusé d’avoir poussé mon père à porter plainte alors qu’aucune faute n’aurait, d'après les experts, été commise par quiconque (sic) alors que les expertises, en tant qu'elles étaient de complaisance et manifestement bidonnées, auraient ipso facto dû faire inculper les experts pour expertise mensongère ou faux en expertise (tout au moins pour ce qui est des premiers, à savoir les Drs M. Chedru, A. Lienhart et R.-C. Touzard ; le Dr. Dano ayant, mis à part ses conclusions, quand même rapporté ce qui s’était effectivement passé. Et les accusés pour coups et blessures volontaires, mise en danger de la vie, non assistance à personne en danger de mort et escroquerie en bande organisée pour ce qui est des médecins de la Clinique Elmelik et le Maire Marc Méchain ; de Tromperies et tentative d’assassinat avec commencement d’exécution pour ce qui est des neurologues de Bicêtre.

Le Docteur Dano était inattaquable, puisqu’il avait révélé la forfaiture. Personne ne pouvait lui reprocher quoi que ce soit, hormis ses conclusions et le fait qu’il avait obligé ma sœur à venir témoigner en la menaçant de la faire venir encadrée par des gendarmes (selon les dires de ma sœur). Il savait qu’elle avait refusé d’être entendue par les premiers nommés (comment pouvait-il le savoir, sinon de s'être informé auprès d'eux, qui l'avaient informé qu'elle était hostile à tout procès parce qu'elle tenait à préserver ce qu’elle appelait « son héritage », tout procès, civil ou pénal, contre des gens réputés si « puissants » risquant de le lui coûter ce qu'elle appelait "son héritage". Dano était censé ne pas avoir connaissance de l’expertise précédente alors qu’il s’en réclame ouvertement dans la sienne. Il cite et se réclame du rapport du ‘’Professeur . Chedru’’ François Chedru n’était pas encore professeur. Sans doute l’est-il devenu depuis en récompense de ses « loyaux services », alors que son excellent Confère Michel Serdaru n’y eut pas droit; Allez savoir pourquoi

Selon de la Morinerie, qui trouva-là un alibi susceptible de masquer sa forfaiture, ce seraient les déclarations de ma sœur qui auraient été déterminantes dans le prononcé du non lieu.

Il est vrai que ma sœur m’avait promis, en Juin 1992, de me « faire mordre la poussière » (sic) pour avoir mis « son héritage » en danger en n’empêchant pas « papa » de porter plainte après ce qu‘avait dit des médecins de la Clinique Elmelik l‘.Inspecteur Christian Raeckelboom. Selon de la Morinerie, ce sont les déclarations de ma sœur qui firent que je fus accusé d’avoir fait toute une histoire de ce qui n’était que vétilles * . (Cf. les attendus du non-lieu).

CONCLUSION

La bêtise est un péché mortel parce qu’elle conduit au crime, le crime conduisant au mensonge, et le mensonge à faire de vétilles tout une histoire..

En vous priant d’excuser mes dérangeantes considérations, je vous remercie de les avoir lues et, j’espère, comprises.

Pierre Cretien, M.D.

BIBLIOGRAPHIE sur les troubles accessibles au traitement cobalaminique chez les patients infectés par le VIH. (Vitamin B12 deficiency may be a frequent and treatable cause of neurological dysfunction in patients with HIV infection)

1 - Abnormal vitamin B12 metabolism in human immunodeficiency virus infection : association with neurological dysfunction

Karl D. Kieburtz, MD; Daniel W. Giang, MD; Randolph B. Schiffer, MD; Nimish Vakil, MD

Arch Neurol. 1991;48(3):312-314. Accepté pour publication en septembre 1990

2 - Plasma Vitamin B12 Level as a Potential Cofactor in Studies of Human Immunodeficiency Virus Type 1--Related Cognitive Changes

Beach et al. Arch Neurol 1992;49:501-506.

3 - Vitamin B12 Deficiency and Nervous System Disease in HIV Infection

-------------------------------------------------------------------------

* N.B. 1 :Le parquet ne poussa pas le machiavélisme jusqu’à me mettre à l’amende pour plainte abusive.

N. B. 2 : ‘’A. H.’’ (Adolf Hitler) pour patient à l’Hôpital de Pasewalk ’’fine équipe des pieds nickelésen novembre 1918. (Cf. Ernst Weiss, « Le témoin oculaire » , aux éditions Arléa 1963, préface de Jean-Michel Palmier) , à la différence près que le parti nazi serait ici les partisans de la

Dans cette effrayante affaire, je suis un peu dans la situation du Docteur Edmund Forster, un psychiatre allemand qui avait eu ’’. Je suis aussi un peu dans la situation du Dr. Ignacio Semmelweis, qui avait, avant l’ère pasteurienne, fait preuve d’intuitions réalistes en prônant la désinfection pour chasser des maternités ce que l’on appelait alors les « miasmes », et aussi, dans la mesure où mon expérience hospitalière en psychiatrie m‘avait conduit à faire la même analyse que Jeffrey M. Masson au sujet de la doctrine freudienne, un peu dans celle du Dr. Sandor Ferenczi, qui avait en septembre 1932 fini par oser dénoncer ladite doctrine.

Semmelweis et Ferenczi

payèrent cher leur rapport au réel, surtout l’audace d‘avoir voulu en tirer les conséquences. Ferenczi mourut en 1933 d'une anémie de Biermer parce que l'on ne pouvait alors pas les traiter par la B 12 aussi efficacement que de nos jours. Il mourut au grand soulagement de Freud, parce qu' avant de mourir il avait entrepris de parler de ce qu'il savait d'expérience (pour ce qui est de Ferenczi consulter Jeffrey M. Masson, op. cit. chap IV et V et notes pp 244 - 245,

En ce qui concerne l'histoire du Dr. Semmelweis, Cf. la thèse du Dr. Louis-Ferdinand Destouches, alias Céline, et, curieusement, celle d' Elisabeth Roudinesco.

- A qui est supposé connaître un peu la psychanalyse et son corpus disciplino-doctrinaire

De ce l'on appelle la "psychanalyse", je ne suis pas l'ennemi inconditionnel, bien qu'elle soit, dans son orthodoxie, devenue la providence des pédoclastes en leur offrant l'alibi des fantasmes oedipiens dont les victimes seraient restées prisonnières

Cette doctrine (le concept de complexes et de fantasmes oedipiens postulés comme des faits établis, indéniables et obligatoires) convenait à Freud, puisqu'il l'avait inventée pour des besoins égocentriques, comme l'a très bien compris Michel Onfrey. Etait-ce parce qu'il avait fini par s'apercevoir qu'elles lui était applicables qu'il avait repoussé ses premières intuitions sur l'inceste hystéro-traumatogène pour lui substituer la théorie du fantasme traumatogène ? N'était-ce pas parce qu'il avait découvert, après la mort de son père, qu'il pourrait lui même être né d'un inceste - ce qui était pour le coup inavouable - qu'il avait (été "obligé" de) renié(r) ses premières intuitions ? Mais dans ce cas, comment l'aurait-il su ? Qui lui aurait révélé une telle réalité, puisqu'elle était inavouable ? C'est oublier que les réalités inavouables ne le sont plus à l'approche de la mort, et que son père (ou sa mère, ou ses demi-frères) l'en aurait plus ou moins directement informé, où ses propres déductions (il disait de lui-même qu'il était comme ses soeurs, "hystérique", confondant ses conséquences directes - sur les victimes - avec les conséquences générationnelles - sur les descendants d'incestes)

Si Freud est véritablement né de son grand-père maternel, c'est d'un inceste de type 1 qu'il s'agit (consanguin), ce qui "colle" avec l'analyse de ses cauchemars d'enfant .... comme avec son nouveau corpus théorique, ses précédentes affirmations de la réalité existentielle des incestes comme source de complications hystériques s'étant comme par enchantement transformées en réalités fantasmatiques, c'est à dire négationnistes par rapport aux précédentes, d'abord timidement, puis de plus en plus furieusement au fur à mesure qu'il vieillissait. Or son nouveau corps doctrinaire stipulait que les dénis trop appuyés et les inversions équivalaient à des aveux inconscients. Ce qui n'est certes pas preuve indéniable pour les non freudiens, mais indéniable pour qui se veut freudien et cohérent par rapport à sa seconde doctrine.

Quoi qu'il en soit, l'éventualité qu'il soit né d'un inceste est selon mon expérience clinique compatible avec un égo propre à l' inceste de type 1. Il en est ainsi sur terre de bons nombres de personnages, dont de mes ex patients-es, qui étaient doté-e-s, comme Freud, d'un Ego paranoïaque (personnalités mégalo-maniaques), mais c'est loin d'être vrai dans tous les cas (heureusement).

Dans "Châteaux en forêt", Norman Mailer fait d' A.H. (Adolf Hitler) le fruit s d'une relation incestueuse consanguine, alors que la sœur d'Hitler était apparemment saine d'esprit.

Et si Freud est né de l'un de ses demi-frères, comme beaucoup l'ont suspecté, il est né d'un inceste non consanguin (selon la classification de Françoise Héritier), ce qui "colle" un peu moins bien les précédentes présuppositions.

Selon Élisabeth Roudinesco, Jaques Lacan, à l'Ego hystéro-paranoïd (personnalité frontale calembourophile ) aurait été élevé dans une famille nucléaire incestueuse non consanguine, son grand-père paternel étant l'amant de sa mère (Cf. E. Roudinesco "Généalogies", Fayard, 1994; François George, "L'effet yau de poêle de Lacan et des lacaniens", 1979, éditions Hachette; le dictionnaire de psychanalyse (lacanoïd) de Roland Chemama et Bernard Vandermersch, Larousse 1998; et sur le web " Freud et le freudisme, deux lectures de Gabrielle Rubin" (26/02/2011)

La "clé de voûte" de l'édifice freudien n'est pas universellle, mais s'applique à son propre cas et à quelques autres, qui plus sont nombreux qu'on le croît à lui être superposables (en France, on évalue à deux millions les victimes d'incestes). Mais le principe interrogateur de la méthode reste valable ... quoique très dangereux quand on s'adresse à des psychanalystes verrouillés de l'intérieur par leur équation personnelle (voir ce qu'en dit excellemment Murielle Salmona sur le Web) : mon analyste en second (Marie Albertini), une psychiatresse freudo-lacanienne, m'interdit de pousser la porte qu'elle avait verrouillée. Il ne m'avait pas été possible de parler de ce qui me posait problème : il fallait que je me limite à ce qu'elle pouvait entendre : "Ce n'est pas à vous d'imposer vos conceptions ", avait-elle martelé cependant que pour répondre à une question intelligente qu'elle tout haut s'était posé au récit de mon histoire, je lui avait répété la fausse explication que mes parents m'avaient donné pour me détourner d'une réalité qu'il ne comprenaient pas ou ne pouvait comprendre, j'en avais posé une autre, qui n'était pas sans rapport, et que je n'ose plus poser, de peur de déclencher la même réaction. Car après que je l'a lui ai posée, elle s'était mise à en trembler comme une feuille, à fuir mon regard comme s'il brûlait le sien. A sa question, j'aurais sans doute dû réfléchir davantage, au lieu de lui retourner illico une question qui allait tellement l'embarrasser. Sa question avait ressuscité une question que depuis longtemps j'aurais dû reposer à mes parents, qui n'y avaient pas réellement répondu en me répétant leur fausse explication.

La question que Marie Albertini s'était posée tout haut au récit de ma vie était aussi simple que naturelle : pourquoi mes parents m'avaient-ils si précipitamment fait partir en Suède en 1946 alors que la guerre était finie, que personne ne risquait rien des Allemands : ma mère bretonne était à demi juive, ce qu'elle ne m'avait jamais dit, si bien que je me demande si elle-même le savait ou s'en était seulement souciée durant la guerre.

L'histoire s'est donc répétée, encore plus dangereusement que quand j'ai posé la question à Marie Albertini, quand j'ai touché à d'autres mythes: aux mythes d'un Antoine Denis, d'un Gérard Saïd, d'une Assistance Publique, d'un Conseil de l'Ordre, d'un François Chedru, d'une de la Morinerie et tutti quanti irréprochablement "éthiques", .... et last bur not least, d'une Marie Albertini et d'une épouse qui l'étaient aussi forcément, puisque psys lacano-idolâtreuses.

N.B. 3 : Etait-ce dans une semblable intention, me faire passer pour complètement déjanté - mêmes situations mêmes effets - que le Professeur Gilbert Tchernia ( l’hématologue-médiateur de Bicêtre qui avait été dénicher que le test de Schilling avait bien été à 5%, donc que le malade était vraiment affecté d‘une carence cobalaminique) avait été remplacé au dernier moment par un psychiatre proche du Pr Saïd pour conduire un simulacre de « Commission de conciliation » organisé par l’ hôpital Bicêtre et fixé pour 24 septembre 2004. Le Pr. Tchernia fut comme par hasard déclaré indisponible.

Le but de ce simulacre n’était évidemment pas rendre compte de ce qui avait motivé les neurologues du Service Saïd à ne faire que semblant d’administrer à leur malade le traitement qui lui fallait, mais de relayer le Dr. Bodenan avec lequel le Service s’était déjà entendu en 1992 pour « établir » que le malade n’avait fait que développer des complications neurologiques d’ origine vasculaire.

Autrement dit, dans cette affaire, les coupables de fautes mortelles cherchaient à me neutraliser pour échapper à leurs responsabilités Tout un « brain trust » s’était mobilisé pour me faire supporter la responsabilité de leurs « erreurs», des erreurs qui avaient été délibérément commises pour faire disparaître aussi secrètement que possible un malade susceptible, au cas où un traitement bien conduit aurait été fait, de s’en prendre au CNTS et à l’A.P. parce qu’il était susceptible de développer un sida post-transfusionnel. Ce qu’il avait peut-être bien commencé à faire. La maladie de Biermer et les déficits cobalaminiques sont en effet une expression relativement fréquente de l’infection à VIH. Ils sont alors accessibles au traitement cobalaminique (Cf. la Revue Archives of Neurology, qui a consacré un grand nombre d’articles à ce sujet. Le Pr. Saïd a fait disparaître cette Revue des rayonnages de la Bibliothèque du CHU Bicêtre. Allez savoir pourquoi ?.

En France, la politique de l ’Ordre est de tenir les médecins et les avocats en respect par la terreur … Cette attitude est à mon avis en rapport avec une mentalité héritée de son origine vichyssoise, calquée sur le droit des seigneurs, qui avaient droit de cuissage (Cf. « Quand l ’Ordre règne », chez Mango document, avril 2001). C’est pourquoi j’avais demandé à madame Bachelot-Narquin qu’une Commission d’Enquête parlementaire soit constituée pour statuer sur ces graves dysfonctionnements des Services médico-judiciaires..

Ordre dans cette affaire, la mise en examen du Dr. Patrice Bodenan me paraissant à tout le moins nécessaire pour juger de sa capacité à former des experts judiciaires indépendants .

Samedi 12 mars 2011

La psychanalyse, les pseudo-sciences et la zététique.

Dans le numéro hors série de Science et pseudo-sciences consacré aux "dessous du divan" (n° 293, décembre 2010), le zététo-mathématicien Jean-Louis Racca écrit (page 113):

<< Un psychanalyste ne sera pas présenté comme tel lorsqu'il n'est pas à son avantage. Il en fut ainsi lors du premier "procès d'Outreau". On a en général retenu la mise en cause du juge. Mais qui se souvient du rôle de certains experts dans ce qui reste souvent qualifié de " fiascojudiciaire" ?.

Ce n'est pas en lisant l'article du Monde rendant compte de l'audience au cours de laquelle << la présidente de la cour, (..) et l'avocat général (...), ont même éclaré de rire à la lecture de certaines (expertsies) >>que le lecteur pourra savoir que les deux experts défaillants (soulignement mien), sont psychanalystes, ce qui serait purement factuel : l'auteur les qualifie de ''psychologues'' >> ...

Or les experts étaient bien psychologues, et non pas "psychanalystes".

Dans cette affaire d'abus, ce ne sont pas les psychologues qui se sont fourvoyés, mais un ''inénarrable'' psychanalyste (et psychiatre)?

Cf. Marie-Christine Gryson-Dejehansart dans son rapport sur cette affaire, rapport paru chez Hugo & Cie en octobre 1009 sous le titre "OUTREAU - La vérité abusé" un rapport bien tort boycotté par les médias.

Mardi 8 mars 2011

Les secrets de famille et la connaissance interdite.

Je renvoie pour l'heure à l'article déjà publié sur "Freud et le Freudisme, deux lectures de Gabrielle Rubin" et aux pertinentes réflexions du Professeur Jean-Yves Hayez au sujet des conséquences possibles des secrets de famille, ainsi qu' à l'oeuvre de Marie Balmary dans "L'homme aux statues" et aux recherhes de Marianne Krüll.

Quel est l'enjeu des secrets de famille (et au delà des secrets restreints à la famille, des secrets politiques ou institutionnels) : quasiment toujours "l'image" d'une personne, d'une institution ou d'une corporation, voire d'une communauté.

Marie Balmary

comme le Professeur Henri Baruk m'avaient, indépendemment l'un de l'autre, invité à voir dans la Bible un livre d'enseignement plutôt qu'un livre religieux.

Le Professeur René-Claude Touzart à propos d'une de ses expertises, m'avait exposé qu'il ne pouvait faire état de la réalité dans la mesure où cela mettrait à mal "l'image des médecins; que la médecine n'avait vraiment pas besoin de cela ", une des raisons pour laquelle il avait chargé un de ses confrères le Dr. François Chedru (que le Pr. Olivier Lyon-Caen invitera sur France Culture à parler d'expertises dans une émission intitulée "Avec ou sans rendez-vous") de rédiger une expertise escamotant sciemment une réalité indicible.

Prise dans un "conflit de loyauté ", Christine Malèvre ne pouvait parler de ce qui l'avait poussé à aller trop loin dans sa complaisance, abusivement transformer par déplacement paradigmatique, en "compassion" envers ses malades. (voir blog de leon 73331815)

Jeffrey Moussaïeff Masson

, quand il fut en tant que psychanalyste expérimenté, pressenti pour prendre la direction des Archives Freud, s'était aperçu que les lettres que Freud avait adressé à son ami Wilhem Fliess étaient systématiquement caviardées, et que le caviardage avait un sens: escamoter une réalité choquante, à savoir la fréquence avec laquelle les malades, et particulièrement les femmes dites "hystériques", avaient dans leur enfance effectivement été victimes d'attentats à la pudeur". Il révela sa découverte dans le New York Times en août 1990, et les publia trois ans plus tard dans un livre, sous le titre "Assault on truth", livre qui eut un grand retentissement aux Etats-Unis, mais pas en France, malgré sa parution un an plus tard sous le titre de "Le réel escamoté", titre que je trouve excellent, même s'il est un peu en deça du titre original, qui aurait dû être "Le viol de la vérité" ou "Le viol du réel " .

Le Dr. Pierre Sabourin a critiqué ce titre dans son propre rapport sur la question, qu'il a intitulé "La violence impensable", paru chez Nathan en 1991.

Peut-être est-ce la raison pour laquelle Eva Thomas a choisi d'intituler sa propre expérience sur la question "Le viol du silence", paru en 1986 chez Aubier l'éditeur français de "Assault on truth".

Ce livre est tellement percutant (ou "père-cutant", pour l'inscrire dans le disqu'our courant lacanoïd) que le psychanalyste Samuel Lepastier, lorsque qu'il l'a cité dans son commentaire, sur l'inconscient des enfants d'Outreau (Cf. "La vérité abusée" de Marie-Christine Gryson-Dejehansart), s'est bien gardé de signaler qu'il en existait une traduction française , Le Monde du 8 février 2006) paru chez Aubier sitôt après sa parution aux Etats-Unis. (Cf. Le procès d'Outreau et la psychanalyse, par Samuel Lepastier

La prochaine fois, il faudra que je parle de la question des 11 dimensions de l'inconscient chez Jacques Lacan et de la réponse que François Balmès a donné lors de la présentation de son livre "Ce que dit Lacan de l'être 1959 - 1960 ".

François Balmès

avait tenté d'apporter une réponse à la question d'un auditeur lors une Table Ronde organisée par Collège de Philosophie le 24 mai 2003.

Celle-ci était "Comment Jacques Lacan concevrait-il l'Inconscient maintenant que l'on sait que l'espace n'a pas quatre, mais onze dimensions " ?

A ma stupéfaction François Balmès a répondu à cette question ...... jusqu'à ce qu'il s'aperçoive, au bout d'une dizaine de minutes, qu'il ne se rappelait plus quelle était la question qui lui avait été posée ... Or de nombreux auditeurs étaient là qui ont enregistré la séance. S'il en est qui ont conservé la conférence, il serait de la plus haute importance de publier cette réponse, avec la permission du Conférencier, cela va sans dire.

Dans sa réponse, je n'ai pas le souvenir que François Balmès ait tenu compte de ce qu'il existerait dans l'Inconscient freudien des variables cachées. Il devrait lire Roudinesco ou Jacques Bénesteau. Les deux sont instructifs, ainsi que Jean-Yves Hayez et Serge Tisseron.

Partager cet article
Repost0

commentaires