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4 septembre 2012 2 04 /09 /septembre /2012 15:27

Cher Confrère,   Je vous écris cependant que j'écoute "Maison d'études", l'émission confessionnelle de Victor Malka diffusée le dimanche matin sur France-Culture, où vous-même avez quelquefois été invité.

 

L'invité de cette semaine (le 02.09.2012 est M. Patrick Cabanel, professeur d'histoire contemporaine à l'Université Montmirail à Toulouse. Il est l'auteur d'une "Histoire des Justes en France" (publiée chez Armand Colin). Je vous écris en même temps que j'écoute cette émission.

 

Un livre a déjà été publié sur le sujet, paru si mes souvenirs sont exacts vers 1997. A l'époque, on comptait 3000 Justes en Pologne contre un millier en France.     

 

Selon la définition de Yad Vashem (1962), le "Juste" est celui qui, au péril de sa vie, a sauvé la vie d'un Juif durant la l'occupation nazie. P. Cabanel voit deux catégories de Justes : 1° les gens "ordinaires" qui ont cédé "à la banalité du bien", comme p. ex. les gens de Chambon-sur-Lignon et 2° ceux qui, comme dans l'affaire Finaly, se sont engagés au nom de leur engagement confessionnel, de leurs principes politiques ou idéologiques. Les protestants se sont en France généralement montrés plus concernés que les catholiques dans l'aide aux Juifs à e des persécutions dont ils avaient autrefois eux-mêmes été victimes.

 

Le dicton "Qui sauve un homme sauve le monde", a été rappelé au début de cette émission.

 

Je m'adresse à vous, dont je n'ai pas lu les œuvres, à part quelques chroniques parues dans le N. Obs., parce que nous avons en commun d'avoir lu et apprécié Marie Balmary, qui a été mon analyste de troisième intention.

 

Le grand mérite de cette psychanalyste est d'avoir osé écrire et publier "L'homme au statues" (réédité en 1997), au risque d’être stigmatisée, pour ne pas dire persécutée par les siens, mais aussi de faire l'admiration de Maurice Clavel, du psychanalyste  Pierre Lassus et du Dr. Gérard Lopez, qui me l'a fait connaître.

 

Je préciserai dans un texte sur Jacques Lacan pourquoi, selon moi, Marie Balmary  a vu son travail d'analyste refusé (Elisabeth Roudinesco en donne une fausse raison dans son dictionnaire de psychanalyse : Marie Balmary aurait voulu "christianiser" Freud ! (sic).

 

M. Balmary m'a permis, sans avoir cherché, à me faire comprendre, à travers «Le sacrifice Interdit» (dont je ne partage pourtant pas la thèse), ce que représente en parabole  l'Arbre ‘‘interdit’’ de la Bible  (au temps de la rédaction de ces textes, connaître signifiait avoir relations sexuelles) : je le comprends maintenant comme celui de l'interdit des relations incestueuses et transgénérationnelles, donc de l'abus de pouvoir, mais pas seulement au sens génétique et restreint des relations sexuelles: il faut étendre le concept psychanalytique d'incestualité (concept introduit par Paul-Claude Racamier) à l'entre-soi économique, cet entre-soi qui fait le malheur des exploités et des dominés au profit des détenteurs du pouvoir économique. Par malheur, les lois anti-trust sont transgressées comme l'est la loi anthropologique d'interdiction d'inceste.

 

Prolongeant avec les Drs Maurice Hurni, Giovanna Stoll et Gérard Lopez le concept de Racamier, Marie-France Hirigoyen a fait plus largement connaître sur le plan médiatique, ce qu’était le harcèlement moral et la personnalité narcissique.

 

Contrairement à ce qu'affirment les "psys" freudiens, tel Roger Perron dans le très gros dictionnaire de psychanalyse d'Alain de Mijolla (2002, chez Calmann-Lévy, suivi en 2005 du Dictionnaire international de psychanalyse, chez Flammarion) les incestes sont dans la réalité très loin d’être exceptionnels : ils relèvent souvent de cette problématique, et statistiquement, au moins une femme sur dix a été incestée par son père. Ce qui fait des millions de femmes en France, ce que les concepts mystifiants propagés par Freud et les freudiens ont permis de nier et d'occulter, pour ne pas dire de "forclore", en inversant les rôles (définition dE la perversion). 

 

Parmi les célébrités, il n’y a guère que Barbara et Nikki de Saint-Phalle qui ont osé confesser publiquement qu’elles ont été victimes d'inceste, mais bien d’autres vedettes de la scène ou de l'écran l’ont payé très cher, prématurément infarctées ou suicidées. Le cas de "Dora" (Ida Bauer) été très perversement interprété par Freud dans ses "cinq psychanalyses"comme celui d’une "refoulée" sexuelle alors qu'elle avait fait l’objet d’une exploitation éhontée, intra puis extra-familiales. Lire la fine critique qu'en a fait le Canadien Patrick Mahony dans "Dora s'en va" (Les empêcheurs de penser en rond / Le Seuil 2001). Freud est ainsi à ranger parmi les pervers et les négationnistes. Il s’était (sciemment) fait l’allié des prédateurs sexuels, leur taillant sur mesure des concepts pervers. Cf. sur Internet le site de Murielle Salmona et «Outreau, la vérité abusée», éd. Hugo & Cie, 2009 et le colloque du 24 février 2011 sur la mystification d'Outreau a été organisé à l'Institut Criminologique Panthéoon sorbonne sous l'implsion du Dr. Gérard Lopez dont le programme peut être consulté sur Intenet ).

 

Au moment où je vous écris, j'apprends par la T.S.F. que le patient qui a étranglé sa psychothérapeute a été placé en hôpital psychiatrique : il a peut-être cédé, dans son geste meurtrier, à la haine intense que lui avait inspiré l’interprétation freudienne qu’elle fait de son mal-être ? Cette haine je l'ai moi-même éprouvée à l'égard du Dr. Francis Hosftein et du Dr. Marie Albertini, tous deux psychanalystes lacaniens, qui changeaient en cours de route les règles qu’ils avaient eux-mêmes préalablement édictés. Je les aurais de fait volontiers étripés.

 

L’intentionnalité des lacaniens de déstructurer les esprits afin de les reprogrammer dans un esprit lacanien a été cyniquement (ou naïvement ?) affirmée en février 2003 aux auditeurs du Collège International de Philosophie par la très verbeuse et absconse psychanalyste lacanienne Caroline Gros-Azorin. La formation psychanalytique lacanienne des Drs. Hofstein et Albertini ne m’a été révélée par Elisabeth Roudinesco qu’en 1994, dans "Généalogies", c'est-à-dire bien après que je me suis naïvement adressé à eux pour une psychanalyse. Le Dr. Catherine Bonnet, pédo-psychiatre, que j’ai rencontrée en octobre 1996 après le colloque de Stockholm consacré à la réalité des insoutenables prédations pédophiles, réalités niées par les freudiens dans leur fumeuses théories m’a dit en avoir elle-même fait l’expérience et les frais (Cf. les Actes 1995 du Colloque du Collectif Féministe Contre le Viol, 9 Villa d’Este, Paris 13). Le négationnisme freudien a fait florès. Il a été à l’origine d’une épidémie prédations pédophiles et par suite de haines dévastatrices au niveau mondial.

 

Accusée de violation du secret médical et de ‘‘paranoïa’’ pour avoir fait le signalement des enfants abusés sexuels (Cf . L’enfantce muselé, 2007, éd. Moll, Toulouse et Le vampirisme au quotidien de son confrère et ami le Dr. G. Lopez , éd. de l’Atelier, 1999), C. Bonnet a été condamnée en 1999 à 9 ans d’interdiction d’exercice. Mais cette interdictio était en fait de pure forme, instituée pour impressionner et déstabilisé Me Régine de la Morinerie, qui avait en charge la très épineuse affaire que je lui avais confiée. Elle reçut le messge 5/5 et s'empressa de la saboter en ne respectant pas les délais mais le rapport d'expertise accablant que le Dr. Yves Dano avait déposé fin octobre 1997. Elle rendit un Mémoire hors délai et prétendit que c'était le témoignage de la partie adverse  et de ma soeur qui était responsable du non-lieu demandé  par le procureur (Michel Barrau) cependant qu'elle avait elle-même trouvé la plainte très bien  étayée.      

 

Pour en revenir à "qui sauve un homme sauve le monde" et à la banalité du bien et du mal voir sur Internet les sites 109409648 et 73331815 html, qui ont trait au problème du refoulement et de la forclusion de "Archives of Neurology" et de la Revue "l'Encéphale", forclusions faites à la demande du Pr. Gérard Saïd à la bibliothèque du CHU Bicêtre (Cf. sur Internet The Whys to the withrawalls to Archives of Neurology and l'Encéphale at the CHU of Bicêtre hospitals' library"), articles qui font suite aux articles consacrés aux mortelles exactions perpétrées au CHU de Mantes la Jolie sous la houlette "éthique" des commanditaires de l'Espace Éthique de l'A.P.-H.P.

 

 

La mise en place à Bicêtre puis a Saint-Louis, pour plus de discrétion, a comme par hasard été confiée au Pr. Gérard Saïd, après qu’il s’est attribué le mérite d’avoir découvert la possibilité de traiter les leucoencéphalopathies multifocales progressives par la cobalamine-thérapie, ainsi qu’Archives of Neurologie a été une de premières Revue à en faire état : cf. sur Internet l’article précédent.

 

J'ai à ce sujet écrit à des journaux présumés de gauche, comme Marianne ou le N.Obs, qui gardent un pieu silence sur la véritable cause des assassinats de malades commis au CHU de Mantes la Jolie. De même Le Point, dont les journalistes médicaux n'ont pourtant pas hésité a écrire "Le livre noir des hôpitaux" (aux éd. du Cherche-Midi), et qui publient régulièrement le classement des hôpitaux. Voir aussi sur Internet la lettre que j'ai adressée hier à ce sujet au Dr. André Grimaldi, auteur d'un livre collectif paru chez Odile Jacob, sur la nécessité d'une médecine solidaire. 

Une médecine solidaire est certes plus que jamais nécessaire, mais dans quel sens ? Cette médecine "solidaire", je ne l'ai rencontrée qu'à rebours, après que j'ai dû intervenir d'urgence et dans les pires conditions pour tirer mon père d'affaire alors qu'il était hospitalisé à Charles Foix dans l'USN du Dr. Jean-Yves Beinis, victime d’une sévère atteinte neurologique relevant d’une cobalaminothérapie urgente et intensive que ses médecins avaient depuis cinq semaines fait semblant de lui administrer.

 

Le malade recevait un faux traitement en guise du traitement cobalaminique conventionnel de la maladie de Biermer, un traitement qui s’imposait puisque le malade avait été compris diagnostiqué aux urgences comme atteint d’un syndrome neuro-anémique présumé secondaire à la maladie de Biermer : le malade souffrait en réalité d’une leucoencéphalopathie multifocale progressive (LEMP) secondaire à une infection VIH, cause devenue en 1990 la plus fréquente de cette encéphalopathie alors considérée comme rare et intraitable (Cf. 1° Berger JR & al. Ann Intern Med. 1987, 107 : 78 "Progressive multifocal leukoencephalopathy associated with human immunodefiency virus infection". Conclusion (Abstract) : Death occurred within 10 days to 18 months of the onset of symptoms in 22 patients. Various therapies were unsuccessful »  et 2° Archives of Neurology 1991; 48(3):312-314.  "Abnormal vitamin B12 metabolism in human immunodeficiency virus infection : association with neurological dysfunction".

 

 Une affection intraitable sauf par le même traitement que celui de l’anémie de Biermer, c’est-à-dire par l’administration de vitamine 12, ainsi que j’ai dû par moi-même le mettre en route en septembre 1990 après l’avoir vainement réclamé le mois précédent pour avoir alors constaté son efficacité lors du passage du test de Schilling, qui nécessite une conséquente adjonction de cette vitamine. Le Pr. Saïd avait tenu à s’emparer de cette découverte faite fortuitement par moi à l’occasion du passage de ce test, traitement par suite par moi-même institué, à mes risques et périls, après m’être aperçu qu’il n’avait été administré qu’à dose homéopathique. Le Pr. Saïd était alors sur place aux Etats-Unis. C’est peut-être bien pourquoi, averti de ce que j’avais constaté que le test de Schilling s’était montré efficace, il est stipulé, chose surprenante concernant l’article d’Archives of Neurology :  «Accepted for publication September 5, 1990  ».  Était-il si urgent de le préciser ?

 

N'est-ce pas pourquoi :

1° son Service fut  labellisé INSERM pour ses Recherches sur le traitement vitaminique des maladies neurologiques (non seulement du diabète). 

2° Le Pr. Saïd fit ostensiblement afficher l'information dans son Service pour solliciter de la part des familles de malades une participation financière à ses vertueuses Recherches et découvertes.

3° Il fut choisi par la direction de l’Assistance publique pour mettre en place, d’abord au CHU Bicêtre , puis au CHU Saint-Louis, une Chaire pour l’enseignement de l’éthique médicale, Chaire pompeusement baptisée « Espace Éthique de l’A.P. - H.P.  ». Chaire qui fut confiée à son ami le philosophe Emmanuel Hirsch, qui trouva là un emploi plus rémunérateur et valorisant que celui prof de philo dans un quelconque Lycée.

4° il fit retirer de la bibliothèque du CHU de Bicêtre la Revue américaine «Archives of Neurology» tout en en faisant supprimer l’abonnement, de même pour les numéros de la Revue «l’Encéphale» antérieurs à 2004, vraisemblablement parce qu’il y était question d’un délire de Capgras, un délire que le patient avait présenté en 1990 quand il avait souffert d’un syndrome neuro-anémique et de troubles neurologiques en rapport cet "Abnormal vitamin B12 metabolism in HIV infection associated with neurological dysfunction". Délire alors qualifié «absurde» dans le CR d'hospitalisation de son Service, délire qui disparut sous cobalamine-thérapie !

5° il fit déclarer introuvable de dossier d’hospitalisation du malade et inutile les examens qui avaient été plus ou moins volontairement oubliés pour caractériser plus pleinement le diagnostic de syndrome neuro-anémique porté dès l’admission du malade aux Urgences de Bicêtre.

6° il fit me fit accuser, par la sous directrice de Bicêtre madame Isabelle Pilot, d’avoir par antisémitisme (?!) moi-même délibérément provoqué la maladie cobalamino-prive du patient hospitalisé dans son Service, c’est-à-dire d’avoir moi-même provoqué un syndrome de Münchhausen, un crime passible d’une condamanation pénale Pénale.

7° malgré cette accusation, contrairement à leurs menaces, ni l’hôpital ni le Pr. Saïd ne portèrent mon prétendu crime devant la justice, ce qui les met en infraction par rapport à l’article 40 du Code de Procédure pénale. 

8° Le Pr. Saïd communiqua au contraire le dossier soi-disant perdu du malade aux médecins de la Clinique Elmelik, les médecins contre lesquels le patient avait porté plainte le 17 décembre 1990 pour coups et blessures volontaires, mise en danger de la vie et non assistance à personne en danger, plainte portée après qu’il a été tiré d’affaire et qu’il retrouvé une plus grande clarté d’esprit grâce au traitement cobalaminique que j’avais dû instituer en lieu et place des neurologues et du Dr. Beinis, et alors que le patient croyait encore leur devoir la vie.

Le Pr. Saïd fit des pieds et des mains pour voir son nom figurer en 2003 dans Archives of Neurology au côté de celui du Dr. Hélène Ogier de Baulny, qui ne le connaissait même pas, et de Jacqueline Zittoun, toutes les deux reconnues comme pionnières dans la clinique des maladies neurologiques induites par les troubles métaboliques (Cf. Arch Neurol. 2003;60(10):1457-62. "Neuropsychiatric disturbances in presumed late-onset cobalamin C disease". (E. Roze, D. Gervais, S.Demeret, H. Ogier de Baulny, J. Zittoun, J.-F. Benoist, G. Saïd, C. Pierrot-Deseilligny, F. Bolgert; et sur Google le  site 109409648 html § 17.

Je ne suis pas arrivé, malgré mes constants effort, à faire en sorte que les médias se penchent sur le mystère, apparemment anodin mais grosse de significations, du retrait des rayonnages de la bibliothèque du CHU Bicêtre d’Archives of Neurolgy et des numéros antérieurs à 2004 de l’Encéphale, retraits non seulement en rapport avec ce qui est ici énuméré, mais aussi, ce qui est beaucoup plus grave, avec les assassinats des malades qui ont été victimes, comme mon père, d’infections VIH dues à des transfusions de sang non sécurisés dans la première moitié des années 1980, assassinats perpétrés et exceptionnellement découverts au CHU de Mantes la Jolie grâce au courageux et très exceptionnel signalement du docteur Laurence Kouyoumdjian cependant que le docteur Olivier Ille, l’ex Interne du Pr. Saïd responsable à Bicêtre de directives thérapeutiques mortelles à l'encontre de mon père, gardait pieusement le silence.

En vous remerciant de votre attention, je vous prie, cher Confrère, d'agréer l'expression de ma très grande Considération.

                                                                         cretien.pierre@orange.fr  Tel 06 78 58 21

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BIBLIOGRAPHIE 

1 - 1978 Kolhouse & al, New Engl. J. Med.  299, 15, 787 - 792. "Cobalamin analogues are present in human plasma and can mask cobalamin defiency because current radioisotope dilution assays are not specifique for true cobalamin". 

2 - 1987 Berger JR & al. Ann Intern Med. 107 : 78  "Progressive multifocal leukoencephalopathy associated with human immunodefiency virus infection". 

3 - 1987 Ogier H. & al. éd. Masson  "La cobalamine (vitamine B12), APECTS METABOLIQUES, GENETIQUES, NUTRITUIONNELS ET THERAPEUTIQUES"; 254-281. 

4 -  1988  J. Lindebaum &  al. N. Engl. J. of Med.  "Neuropsychiatric disorders caused by cobalamin deficiency in the absence of anemia or macrocytosis" 

5 - Arch Neurol 1991;48(3):312-314. "Abnormal vitamin B12 tabolism in human immunodeficiency virus infection : association with neurological dysfunction" (Accepted for publication September 5,1990). 

6 - Arch Neurol 1992;49:501-506. "Plasma Vitamin B12 Level as a Potential Cofactor in Studies of Human Immunodeficiency Virus Type 1- Related Cognitive Changes". 

7 - Arch Neurol 1993;50:807-811. Robertson et al. "Vitamin B12 Deficiency and Nervous System Disease in HIV Infection" 

8 - JAMA 1993;269:1144-1153. "Preventive Health Care for Adults With HIV Infection" 

9 - Arch Fam Med 1994;3:988-1002. "Human Immunodeficiency. Physician Guidelines, Advisory Group on HIV Second Edition" 

10 - J. Nutr. 1997;127:345-351. "Low Serum Vitamin B-12 Concentrations Are Associated With Faster Human Immunodeficiency Virus Type 1 (HIV-1) Disease Progression".  

11 - AIDS Clin Care 1998;1-1 "Peripheral Neuropathy in HIV Disease". 

12 - Neurology 1999;53:592-592. "Prevalence of peripheral neuropathy in injection drug users" 

13 - Arch Neurol 1999;56:84-89. "Peripheral Nerve Function in HIV Infection: Clinical, Electrophysiologic, and Laboratory Findings" 

14 - Pediatrics 2000;106:35e-35. "Distal Sensory Polyneuropathy in a Cohort of HIV-Infected Children Over Five Years of Age" 


15 - Neurology 2002;58:730-735. "Abnormal cobalamin-dependent transmethylation in AIDS-associated myelopathy" 

16 - Revue de Médecine Interne 2003;24 (4): 218-223. "Carence en vitamine B12 avec test de Schilling normal ou syndrome de non dissociation de la vitamine B12 de ses protéines porteuses chez le sujet âgé. Etude de 60 patients".

17* - Arch Neurol. 2003;60(10):1457-62.) "Neuropsychiatric disturbances in presumed late-onset cobalamin C disease". (E. Roze, D. Gervais, S.Demeret, H. Ogier de Baulny, J. Zittoun, J.-F. Benoist, G. Saïd, C. Pierrot-Deseilligny, F. Bolgert) 

18 - L' Encéphale, décembre 2003 Vol 29 (6), p. 560 - 565. "Délire Capgras chez une patiente de 64 ans atteinte d'une maladie de Biermer". ( C. Durand; S. Mary; P. Brazo; S. Dollfus).
 
19 - Revue Neurogique 2006;162 (1):22-42. Atteintes du système nerveux central et infections par le virus VIH -1 (Antoine Moulignier, Service de Neurologie, Fondation Adolphe Rotschild, 75019, Paris)

Dans un pays démocratique de basse intensité ... les charlattans et les escrocs prospèrent. C'est sans doute pourquoi  Sigmund Freud, qui trouve en France encore actuellement de farouches partisans, pouvait cyniquement déclarer en privé, devant ses fidèles :  << Les névrosés sont juste bons à nous entretenir financièrement et à nous permettre de nous instruire à partir de leur cas >>

Cécile Prieur dans "Le Monde de la santé"  du 19 septembre 2012 à fait paraître les propos du sociologue Philippe Bataille.

Le 31 décembre 2014  ce sociologue, auteur en 2012 de  "A la vie à la Mort" est interrogé sur LCP (la chaine parlementaire) au sujet de l'euthanassie. 

Il faudrait que Philippe Bataille et les journalistes prennent la peine de réfléchir sur ce qui est arrivé au Dr. Laurence Kouyoumdjian après qu’elle a fait arrêter les assassinats perpétrés en 1997 par Christine Malèvre  dans son Service, au CHU de  Mantes la Jolie.  
Loin d'avoir été considérée comme digne d'être citée à la Légion d'Honneur pour les avoir fait cesser, Laurence Kouyoumdjian a sans ménagement été  "priée" d'aller  ailleurs  (autrement dit elle a été été virée). 
Les journaux ne s'en ont curieusement pas étonnés. Ils n'ont, à ma connaissance, pas cherché à comprendre pourquoi le Dr. Kouyoumdjian avait  été traitée de la sorte 
 

L'explication a-t-elle été barrée parce qu'elle est inavouable ou contraire à certains intérêts ?
Un sombre calcul auquel Christine Malèvre n'avait certainement aucune part :ont-ils fait que ces morts ont été commandités ? 


 Il  importait en effet de préserver les intérêts financiers  du CNTS,  de l'A.P.- HP  et de l'Assurance Maladie  après que l'on a pris le risque en 198 et 1985  de se  servir  des lots de sang que les ministères concernés - ceux de la Santé et de la Recheche - savaient contaminés par le VIH. 
 
Dans les années 1984-85 l'idée prévalait que le risque de développer un sida-maladie après contamination transfusionnelle par le VIH n'excédait pas 5 %.
 
Transfuser une personne âgée, qui avait le temps de décéder d'autre chose avant de développer un sida-maladie, paraissait "raisonnable".

Le Service du Pr. Gérard Saïd, auquel collaborait  Olivier Ille en tant qu’Interne, a (ou aurait) alors suivi les recommandations (ou des Directives ?) de la haute Administration de l'AP - HP., qui elle-même suivait celles du Ministère de la Santé et de la Recherche . 
 
Le Dr. Olivier  Ille  aurait ainsi été un des médecins du Service du Pr. Gérard  à s'être  opposé modicus  à ce que mon père reçoive le seul traitement susceptible de l'empêcher de mourir de son syndrome neurologique alin de le laisser mourir "naturellement" dn gravissime et manifeste syndrome de carence vitaminique B12 - la maladie de Biermer - cliniquement diagnostiqué dès son admission aux Urgences de Bicêtre au soir du 31 juillet 1990.
En 1990, on avait en effet eu le temps de se rendre compte que les patients transfusés avec des lots de sang contaminés dans la première moitié des années 1980 allaient quasiment tous développer un sida maladie. C'était le cas de mon père, qui avait été transfusé en avril 1984 à l'hôpital Saint-Louis lors de la pose d'un prothèse de hanche dans le Service du Pr. Wietvoët. 
Tout s'est alors passé dans le Service de neurologie  du  CHU de Bicêtre comme s'il avait absolument fallu que mon père ne puisse survivre à son état ou à défaut qu'il ne   puise d’être rétabli dans ses fonctions intellectuelles après qu’il a manifesté son intention de porter plainte à l'encontre des médecins de la Clinique Elmelik, cette Clinqiue étant  "protégée en hauts lieux".
Etait-elle protégée par l'Ordre des médecisn du fait de ses pratiques inavouables, des pratiques qui avaient déjà failli lui être fatales quelques semaines avant son hospitalisation  à Bicêtre, ou parce qu'elle servait à ce à quoi servira plus tard au CHU de Mantes la Jolie le Service d'Olivier Ille, entre-temps devenu Chef de Service ? 
 Antoine Peillon a dernièrement exposé  comment fonctionne, au plus hauts niveaux de l'Etat et de l'Administration,  la Corruption dans les démocraties qualifiées « de basse intensité", qu'il accuse la France de devenir de plus en plus.   
Pour ce qui était arrivé à mon père en 1990 à la Clinique Elmelik avant qu'il ne soit admis en neurologie en urgence à Bicêtre comme au cours des 4 années suivantes, que Philippe Bataille ou et/ou la presse me contactent ou consultent les sites-Web consacrés à cette affaire de "dysthanasie", qui est relatée aux sites-Web   n° 73331815 et 108281777 html (le site n° 73331815 a été écrit avant qu'il m'ait incidemment et spontanément été rapporté par un membre du SAMU du Val-de-Marne de ce à quoi servait la Clinique Elmelik dans les années 1990, qui explique pourquoi celle-ci m'avait été déclaré "protégée en hauts-lieux"  au Commissariat de Haÿ-les-Roses le 23 janvier 1991, sans que l'on y sache pourquoi. Cf  aussi les articles dans lesquels j'expose les dessous de l'enseignement de l'éthique médicale à l'AP - HP, un enseignement "rideau de fumées" mis en place en 1995 et appelé Ecart  (pardon) "Espace" Ethique de l'AP-HP.  Il a été confié  non à un médecin, mais à une relation du Pr. Gérard Saïd, qui se présente comme un professeur de philosophie, Emmanuel Hirsch, un homonyme possiblement  parent de Martin Hirsch, qui curieusement m'a déclaré qu'il "connaissait par coeur" cequi était arrivé à mon père en 1990 ! 
 Tout d'abord mis en place à l'hôpital Bicêtre, son burreau  principal a rapidement été déplacé pour l'hôpital Saint-Louis. 
Entre-temps, le Pr. Gérard Saïd et/ou l'hôpital Bicêtre, qui avaient déjà déclaré perdu le dossier de mon père, ont fait disparaître de la bibliothèque universitaire de Bicêtre la Revue "Archives of Neurologie", qui avait le tort de consacrer un certain nombre d'articles faisant état du traitement par la vitamine 12  des "atteintes diffuses du système nerveux" que réalisent des LEMP.   
<< Dans cette affaire, nous  tenons la Presse, la Justice et médecine>> pouvait-on entendre dire dans cet hôpital, après que les assassinats de Christine Malèvre ont été dévoilés.
Pour ces assassinats, seule Christine Malèvre a été condamnée - alors qu'elle n'avait été  - était-ce pour les beaux yeux de son beau Chef de Service ? - qu'une exécutante un peu trop zélée.  De fait, elle été déclarée "immature".
  
Mais puisqu'elle avait été déclarée immature par les experts, pourquoi n'a-t-elle pas été prise en charge dans un Service  psychiatrique plutôt que d’être envoyée en prison. On se  rappelle qu'elle s'était vantée d'avoir expédié ad patres une trentaines de patients, et non pas six ou quatre malades ?


Après que le Dr. Patrice Bodenan m'a personnellement (et illicitement) menacé de représailles ordinales parce que je n'avais pas empêché mon père de porter plainte (pouvait-il ignorer que cela aurait été délictueux de ma part ) contre les médecins de la Clinique de ses très riches amis les Drs. Elmelik, ce haut représentant de l'Ordre des médecins, responsable du "Bureau de Presse" de l'Ordre des médecins du Val-de-Marne » , réputé très influent au Palais" (selon les dires de nos avocats en 1992 comme en 1994, cf. site 73331815 html), suivant en cela la stratégie de l'AP - HP, celui-ci s'est lancé dans la rédaction d'un Mémoire-alibi  intitulé "Problèmes éthiques posés par les commissions de conciliations hospitalières" pour l'obtention d'un DEA d'éthique médicale auprès du Professeur Christian Hervé °°°, du "Laboratoire d''étique médicale" (Université Paris V René Descartes).
De son côté, le procureur du TGI de Créteil, a insinué dans son réquisitoire que j'étais l'instigateur de la plainte que mon père lui avait adressée le 17 décembre 1990 en prétendant qu'elle avait été porté 47 semaines après les faits incriminés !  
On n'est jamais trop prudent : le Mémoire du Conseiller ordinal Patrice Bodenan pour l'obtention d'un DEA d'Ethique médicale a été mis en ligne sur internet en 1999.
 
                                         Dr.  Pierre Cretien                   Mercredi 31 décembre 2014  

 

 

 

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