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8 janvier 2017 7 08 /01 /janvier /2017 21:39

Contrairement à ce prétendent ses promoteurs, la "psychanalyse" n'est pas du tout une méthode scientifique d'investigation et de traitement des psychonévroses (Cf. Sacha Nacht "Guérir avec Freud), mais une entreprise commerciale fondée sur un système politique réactionnaire pour la promouvoir, avec le succès que l'on sait, un service à rendre à ce que j'appelle la "pédophilocratie", très active dans les milieux religieux et médicaux, en particulier chez les médecins, les psychiatres et les "psychanalystes",  et  "intelligentsia" (écrivains, avocats, juristes, politiciens etc ...)

C'est si vrai que lorsque je me suis rendu au Conseil disciplinaire de l'Ordre des médecins en avril 1993 pour faire part des exactions qui se commettaient dans la Clinique Léon Elmelik à l'Haÿ-les-Roses dans le Val-de-Marne, les secrétaires de ce Conseil m'ont fait savoir que j'étais bien naïf de penser que l'Ordre des médecins allait y mettre fin.

L'une d'entre elles me dit, en me tendant le dossier relatif à la plainte concernant les exactions des médecins de cette Clinique : << Mon pauvre monsieur (sic), pourquoi voulez-vous que l'Ordre des médecins poursuive les violeurs et les pédophiles, ils sont au Conseil de l'Ordre >> alors même que la plainte en question n'avait pas trait à des exactions de cette nature, mais à une intervention orthopédique aussi illicite que dangereuse, réalisée subrepticement sur une personne extrêmement vulnérable par un rhumatologue qui se prenait et se faisait passer avec l'aval de l'Ordre pour un chirurgien orthopédiste.

Ce que m'avait dit cette secrétaire corroborait ce que j'avais déjà appris le 23 janvier 1991  du Principal du Commissariat de l'Haÿ-les-Roses, le Commandant Christian Raeckelboom, lorsqu'il me reçut avec ledit malade, "miraculeusement" sorti vivant de ses  mésaventures contractées quand et après qu'il a eu la malencontreuse idée d'y mettre les pieds.

S'adressant à moi il m'avait confié : << J'aimerais bien que cette affaire aboutisse, parce que j'en ai par dessus la tête d'avoir à enregistrer pour rien des plaintes  contre cette Clinique. J'ai là sur mes étagères 150 plaintes pour viols. Toutes sont bloquées au parquet. >>

Comme je m'étonnais qu'il m'ait parlé de viols, je lui avais fait répété ce qu'il venait de me dire en jouant sur la confusion possible entre "vols" et "viols". << Je dis bien des viols. Cette Clinique est "protégée en hauts lieux". Ses médecins sont milliardaires. Ils peuvent y faire et y font ce qu'ils veulent >>

(voir site-Web n° 108281777 html la lettre que j'avais adressé à ce sujet au président de la République le 18 juillet 2012, à laquelle celui-ci n'avait pas daigné donner réponse)

Dix ans plus tard, à la suite de la "Marche Blanche" de mars 2001 j'ai appris lors d'une réunion à l'Association Française pour la Protection de l'Enfance *  la part d'une femme déjà âgée qui n'a pas voulu me révéler son nom - parce qu'il  était "trop connu"- me laissant seulement entendre qu'elle était apparentée à la famille des propriétaires de  cette Clinique qu'il n'y avait pas que les femmes en couches qui y (?) étaient violés, mais aussi les enfants !

* l'AFPE a depuis changé de dénomination pour UFSE - Union Française pour le Sauvetage de l'Enfance, et la femme qui ne voulait pas me dire qui elle était était probablement l'épouse, elle-même médecin, du docteur Jean-Claude Elmelik.  

Que la pédophilocratie soit protégée, c'est ce que  le docteur Ernest Jones avait très bien compris. Il avait en 1908 quitté le Canada où il s'était réfugié pour échapper à la justice de son pays, accusé qu'il y était de "détournement de mineur-es".

Il s'était de lui-même institué "psychanalyste", enseignait et pratiquait la "psychanalyse", et eut l'idée de "perfectionner" la sécurité judiciaire qu'elle assurait à la pédophilocratie.  

J'ai bien dit de la pédophilocratie. Ce qu'avaient démontré le psychanalyste "renégat" Jeffrey-Moussaïeff Masson en 1984 après avoir donné un premier aperçu dans le New-York Times en septembre-octobre 1981 de ce qu'il avait trouvé aux "Archives Freud", qu'il avait été exceptionnellement autorisé à consulter en vertu de sa qualité de psychanalyste "bon teint".

Les Français, y compris les psychiatres, n'ont guère lu son rapport, ainsi qu'en témoigne en 2010 le psychiatre-psychanalyste Michel Meignant,  effaré de ce qu'il avait si tardivement découvert en le lisant, qui pourtant était évident à Marie Balmary depuis longtemps, et ce qu'elle avait fait connaître dès 1979 en publiant un Mémoire, c'est-à-dire sa thèse psychanalytique, sans qu'elle ait eu besoin de recourir aux dites "Archives Freud", même si sa thèse contient quelques "inévitables" concessions aux  incongruités du freudisme ambiant (j'en parlerai plus tard à propos d'Eliette Abecassis, qui en a fait ses choux gras en 2014 dans son U-roman "Un secret de Freud").

Sa thèse fut évidemment refusée par son directeur de thèse le professeur psychanalyste le docteur Jean Laplancehe - une planche que l'on peut dire avoir été pour elle  "savonneuse", quoiqu'elle ait beaucoup intéressé Jacques Lacan, curieux d'en savoir un peu plus, inquiet qu'il était d'avoir été dépassé par cette jeune analyste. 

Que Freud ait fait bénéficier la pédophilocratie de ses théorisations fourvoyantes est évident.

C'est ce qu'avait parfaitement compris Ernest Jones, et c'est bien pourquoi il avait rejoint Freud pour l'aider à améliorer son système d'emprise sur les victimes d'exactions pédophilocratiques par des concepts "clés" aptent  à contenir et contrôler les victimes par la sur culpabilisation. C'est lui qui lui suggéra de se servir du concept de "complexe d'Œdipe" et de l'appliquer, pour le populariser, au "cas" d'Hamlet, alors que  William Shakespeare l'avait imaginé dans une perspective bien différente. L'opération promotionnelle a comme on sait hélas parfaitement fonctionnée. Le psychiatre "psychanalyste" Samuel Lepastier s'en est servi pour "expliquer" au Monde (je veux dire au Journal Le Monde du 8 février 2006) qu'à Outreau les enfants avaient été avant tout victimes de fantasmes oedipiens inconscient. 

Même des psychiatres qui se prétendent contestataires de Freud, tel que le docteur Pierre Sabourin, sont tombé dans le panneau, alors même qu'il a pourtant lu les découvertes de Jeffrey Moussaïeff Masson. Le docteur Michel Meignant ne l'a découvert qu'en 2010  Cf. L'affaire Freud (on peut s'adresser à lui pour acquérir un DVD au sujet de cette "ténébreuse affaire", ainsi qu'à "Regard conscient", qui en fait avec le psychologue  Vincent Caux un excellent résumé 

Psychologue au sens populaire du terme Jones s'en était allé à Vienne rencontrer  Sigmund Freud du temps où celui-ci avait pris le jeune Adolfus Hitler  en cure psychanalytique, à la demande du bon docteur Eduard Bloch, le médecin de la famille Hitler. Il était le cousin de Franz Kafka, l'auteur de "La métamorphose", publiée en 1912.  Adolfus ne s'est métamorphosé en un Adolf Hitler antisémite extrêmement virulent qu'en 1919.

Le docteur Bloch connaissait son histoire à travers celle de ses parents. Il avait pris le jeune homme en affection.

Lejeune Aldolfus Hitler venait de perdre sa mère, que le docteur Bloch avait soigné d'un cancer du sein. Elle était décédée à la fin du mois de décembre 1907. La mort de sa mère avait plongé le jeune homme dans une profonde détresse 

Impossible que Freud se soit chargé de prendre le jeune homme en cure, rétorquera-t-on. Non seulement il était sans le sou, et l'analyse coûte cher, surtout avec Freud, qui ne s'intéressait qu'aux personnes extrêmement fortunées (Cf. aux éditions Sciences Humaines, "FREUD et la psychanalyse", décembre 2015) mais Hitler était un antisémite virulent. D'autre part jamais Freud n'a fait état de ce que Hitler a été un de ses patients, et jamais Hitler n'a fait allusion à Freud autrement qu'en faisant brûler ses livres. 

C'est ne pas vouloir connaître la réalité et le dessous des cartes.

Et c'est bien parce que Freud et Hitler ont  soigneusement évité de faire explicitement référence l'un à l'autre alors qu'à partir des années 1920 jusqu'à la déclaration de guerre tous les deux faisaient très souvent la une de la presse.

Mais Freud n'avait certainement pas manqué de parler à Jones de la famille Hitler et de son jeune patient, car c'est à partir de là que Jones lui as suggéré de mettre en avant les deux concepts "phares" et aveuglants de la psychanalyse, à savoir celui de roman familial du névrosé et celui de complexe d'Œdipe,

Le psychiatre "psychanalyste" Roger Zagdoun est tombé dans le panneau dans un livre paru en 2002 ("Freud et Hitler, un rapport paranoïaque"), cependant que le titre de son livre est approprié . 
  
Contrairement à ce que, mal inspiré,  le romancier-dramaturge Eric-Emmanuel Schmitt a laissé entendre dans ses U-biographies ("Le visiteur" et "La part de l'Autre") Sigmund Freud n'était pas du tout un "être d'amour" mais un être habité par une haine projective.

E-E. Schmitt est apparemment, comme moi-même, qui avait quelques raisons de l'être depuis l'enfance, hanté par l'holocauste et les cruautés épouvantables dont les hommes sont ordinairement capables, dès lors qu'ils croient servir une mission "supérieure" ou "divine".

Freud était à l'évidence paranoïaque. Tout comme son alter ego il avait vécu ce que l'on appelle une "expérience primaire" par laquelle il s'était senti métamorphosé (les drogues qu'il prenait y étaient sans doute aussi pour quelque chose).

La haine qu'il  éprouvait envers les malades était projective, c'est-à-dire qu'elle provenait de celle qu'il éprouvait "inconsciemment" à l'encontre de lui-même, qu'il de complaisait à dire "hystérique", 

L'hystérie est  bien proche de la paranoïa.

Alors que je venais d'entrer en psychiatrie, je me souviens d'une malade que deux psychiatres chevronnés, le docteur Gashkel et un de ses collègue.  Ils avaient présenté une jeune femme comme  une "hystérique". Elle avait en effet trouvé le moyen de se faire ouvrir le ventre 67 fois pour des douleurs abdominales d'origine inconnue (un adage proféré par un psychiatre suédois énonce que, quand une malade qui souffre de douleurs abdominales est diagnostiquée hystérique et qu'elle en meurt, c'est qu'elle souffrait en réalité d'une porphyrie)

Non seulement Freud professait que les fous et les malades l'insupportaient, qu'ils ne servaient qu'à ses recherches et à le faire vivre, qu'ils n'étaient que des canailles, mais trouvait que le mieux serait d'en faire des cargaisons pour les couler.  

C'est un programme que son double - le Diable ou "la part de l'Autre" - Adolfus devenu Adolf,  mettra à exécution. 

Reconnaissant ce qu'il doit au docteur Bloch et à Freud Hitler s'arrangera après l'annexion de l'Autriche à l'Allemagne pour leur faire parvenir un sauf conduit, via un certain Anton Sauerwald.

La très naïve Eliette Abécassis, sous l'influence de sa mère, courroucée par la parution d'un livre sur Freud "La liste de Freud", où Freud n'est pas présenté sous un jour très flatteur, lui fera écrire "Un secret de Freud".

Certes Freud avait intérêt à ne pas tout dévoiler, mais le secret  qu'elle invente ne tient pas debout. 

Ce qui ne doit pas être révélé est peut-être contenu dans ce qui n'est pas permis de visiter avant 2113, qui pourrait être que Hitler a été bien été un des patients de Freud dont paraît préférable de ne pas parler.   

Il n'est pas indifférent de noter qu'à partir du moment ou se précisait les menaces qu'Adolf Hitler, l'ex disciple de Sigmund Freud, faisait courir à la démocratie allemande Freud ait éprouvé le besoin de publier "Malaise dans la culture" (on notera aussi que ce texte avait été publié en France sous le titre "Malaise dans la civilisation" alors qu'y était sinon généralement admis du moins répété à l'envie la thèse "freudienne" que c'était la prohibition de l'inceste qui avait permis la civilisation.

Mal renseigné ou de mauvaise foi les zélotes de Freud ne voulaient pas savoir que l'inceste est omniprésent chez les humains alors que les animaux, comme l'a pointé Konrad Lorenz, l'évitent instinctivement !
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Hitler a par la suite tout fait pour en détruire les traces.

La génétique a depuis pu en apporter la preuve. En mai 2010, le Figaro et d'autres journaux ont fait état d'études génétiques qui le démontrent.

Prétendre que Sigismund Freud avait pris Adolf Hitler en "cure" en 1908, et que cette "cure" a eu les conséquences que l'on sait paraît a priori une incongruité, sinon totalement absurde.

Et pourtant il y a lieu de penser qu'il l'ait fait à la demande du docteur Eduard Bloch, son médecin de famille à la suite du décès de sa mère, survenue en décembre 1907. Le docteur Bloch, qui était aussi le cousin de Franz Kafka avait soigné sa mère, victime d'un cancer du sein, et son décès avait plongé son fils dans une profonde détresse.

En tant que de longue date le médecin de la famille Hitler, le docteur Bloch devait très certainement connaître les secrets antécédents de cette famille,à savoir qu' Anne-Maria Schicklegrüber, la mère d'Aloïs Hitler, travaillait chez le baron de Rotschild quand elle tombée enceinte et renvoyée chez elle à Spital, sa ville natale, moyennant une importante pension provenant d'un certain Frankenheimer et d'un certain Frankenberger, qui n'ont jamais existé, d'après les longues recherches effectuées par Ron Rosenbaum, qui les a relatées en 1996 dans un livre paru en France en 1998, que Claude Lanzman, l'ex secrétaire de Jean-Paul Sartre aurait préféré voué aux oubliettes, on se demande pourquoi, sinon que ledit Baron était doté d'un appétit sexuel insatiable, qui faisait qu'il ne pouvait s'empêcher de le satisfaire à la façon d'un certain DSK.

Le livre de Ron Rosenbaum (paru en traduction française en 1998 chez Jean-Claude Lattès ayant été publié bien avant que n'éclate l'affaire Natissato Diallo, l'auteur n'a évidemment pas pu s'en inspirer, mais il est paru en même temps que paraissait le livre de Brigitte Hamann "La Vienne d'Hitler", dans lequel cette historienne que le jeune homme ne pouvait s'empêcher de faire le coup poing quand il était au lycée à Linz et plus tard alors qu'il logeait dans une pension pour travailleurs pauvres à Vienne contre tout ceux qui tenaient des propos antisémites §

Il est évident qu'il savait ses hautes nobles origines, le jeune Adolfus Hitler.

Aussi n'y a -t-il rien d'étonnant à ce Sigismund Freud ait accepté compte tenu de ses antécédents, rapportés par le docteur Bloch, qui avait le jeune homme en affection, de le prendre en cure, compte tenu aussi que Freud ne s'intéressait guère qu'aux patient-e-s fortuné-e-s ou promis-e-s à une très grande fortune, quitte à arranger les divorces et les remariages pour qu'ils ou elles le deviennent (lire Jacques Bénesteau, "Mensonges freudiens" Mardaga 2002, "Freud et la psychanalyse", Qui étaient les patients de Freud, p. 79 - 86, aux éditions Sciences Humaines" en décembre 2015.

On notera que c'est seulement à partir de 2008, donc après qu'il a pris le jeune Adolfus Hitler en cure que Freud et Rank avancent le concept de "roman familial du névrosé" par lequel il est prétendu que les "névrosés" s'inventent de "hautes origines", et que de même il invente celui de Complexe d'Œdipe, sur les conseils et l'influence d'Ernest Jones, qui lui a conseillé de l'appliquer au cas ... d'Hamlet, paradigme d'Adolfus Hitler

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7 janvier 2017 6 07 /01 /janvier /2017 16:27

"Planète interdite" est un film que j'avais été voir à sa sortie, en 1957, au cinéma "Le Panthéon", un après-midi, après les cours. La projection avait déjà commencée. Dans le film le Docteur Morbius est, avec sa fille Altaira, le seul survivant d'une expédition spatiale qui a été décimée par une force inconnue ...

Le Docteur Morbius explique au commandant Adams, venu enquêter sur le disparition de l'équipe, avoir découvert qu'il y a plusieurs milliers d'années, la planète était habitée par des êtres à l'intelligence exceptionnelle, les Krells, lesquels ont mystérieusement disparu en laissant derrière eux un cube de plusieurs kilomètres de côté capable de fournir une quantité illimitée d'énergie. Ce cube n'a donc rien à voir avec le STSMC, découvert sur la planète Terre il y a cinq ans par le Dr. "Léon", l'auteur de ces lignes.  L'énergie que peut fournir le STSMC ne se limite en effet à proposer que quelques centaines de terawatts.

Le résumé de "Allociné" ne correspond pas pleinement au souvenir que j'ai gardé du film : le gros cube servait dans mon souvenir non pas à fournir de l'énergie mais à élucider le comportement des insectes. Ou à fournir l'énergie nécessaire à l'élucidation de leur comportement. Il va me falloir revoir le film, qui serait, d'après Allociné "une très libre adaptation de La Tempête de William Shakespeare".    

Quoi qu'il en soit, la machine infernale trouvée sur "La planète interdite" n'est pas ce cube immense, mais une machine à booster l'intelligence, une sorte d'électro-encéphalogramme, à brancher sur le crâne. L'appareillage, à l'instar du divan freudien, tue, rend dingo, pervers ou super "intelligent"  - c'est-à-dire paranoïaque - comme l'est dans le film devenu le Dr. Moebius, qui s'en était servi pour comprendre les Krells.

Ces "Krells" super intelligents n'avaient pourtant pas tenu compte des propos d'Arthur Shopenhauer, dont Freud avait fait ses choux gras, à savoir que l'intellect est conditionné voire gouverné à son insu par les résidus d'un passé enfouis dans les couches inférieures de la conscience.  Freud a TIR2  l'idée l'idée que les "névrosés" en tiennent une couche, comme le dit l'expression populaire "en tenir une sacrée couche", pour les désignés.   

Planète interdite serait une très libre adaptation de La Tempête de William Shakespeare.

Parce qu'il s'est aperçu que la psychanalyse ne guérit pas mais rend fou, pervers ou paranoïaque, quand elle ne conduit pas à l'invincibilité l'imbécillité - cf. Adolfus Hitler, grand lecteur de Schopenhauer après qu'il est passé en 1908 par les mains par le divan  et l'enseignement de Sigismund Freud après la mort de sa mère - le psychanalyste François Roustang l'a reniée, en 1976, pour se tourner vers l'hypnothérapie, alors que celle-ci peut aussi servir les mêmes vices - cf. le même Adolf Hitler passé l'hypnothérapeute Edmund Forster à l'hôpital de Pasewalk en novembre 1918  pour soigner une masculine hystérie (Cf. "Le témoin oculaire", un rapport du docteur Ernst Weiss,  rédigé d'après celui du docteur E. Forster, qu'il avait réussi à sauvegarder avant qu'Hitler, parvenu au pouvoir, ne les fasse disparaître illico avec son auteur (Folio n° 2261, Gallimard, avril 1991).     

François Roustang avait abandonné la psychanalyse après avoir assisté, pétrifié, en 1975, aux conséquences inhérentes aux concepts "psychanalytiques" freudiens.

Cela s'était produit à Villejuif, lors du staff du mardi, dans le Service dit de "psychiatrie institutionnelle" tenu par madame Jeanine Piret-Pillachon,  à hôpital psychiatrique Paul Guiraud, un établissement (un psychiatre farouchement anti-freudien, le docteur Pinchas Borenstein, y faisait l'objet de railleries de la part d'icelle

La "psychiatrie institutionnelle" est la démarche psychiatrique qui cherche à marier la carpe avec le lapin en mariant le marxisme aux fabulations du docteur Freud.

Comme Freud avait lancé ses fables sur le marché de la psychiatrie dans l'intention de se faire du blé de faire fortune, au mépris même de leurs vraisemblances, autant dire qu'il y a comme une contradiction interne à cette très louable intention.  << Il faut en finir avec la plainte, sortir de notre moi chéri, que nous cultivons à coups de jérémiades >> clamait François Roustang (Odile Jacob, 2000, )

François Roustang est décédé 23 novembre dernier.

Madame Piret prenait les concepts "psychanalytiques" de Freud au sérieux, ce qui avaient fait qu'elle avait, en toute innocence (?) rejeté les aveux que m'avait fait un grand-père de 73 ans à son admission dans son Service. Elles les avait ipso facto attribué à des rêves, c'est-à-dire à des fantasmes.

Madame Piret n'avait toutefois pas été jusqu'à parler de "fantasmes oedipiens". Ce que je regrette parce que le "fantasme oedipien" renvoie à celui auquel Freud n'avait ou ni pu, ou ni su, ou ni voulu accéder, inconscient qu'il était demeuré de l'origine de son fantasme originaire.

Il est bien connu que dans les familles le premier concerné par un secret est le dernier à le connaître.

Freud n'avait pas eu, comme Jacques Lacan s'est tout au long de son enseignement  métaphoro-paradigmatique échiné à l'exposer, accès à sa propre équation originaire.

Le cas du grand-papa pas au courant de ce que la conception de Freud en est une, à une différence près, s'il a dit vrai, s'il a "parler vrai", aurait dit Françoise Dolto, qui les disait consentantes.

Ce grand-père venait d'être hospitalisé pour "dépression". Sa dépression n'était pour moi pas du tout évidente. Il m'était surtout apparu inquiet parce que sa petite-fille, la fille de sa fille, venait d'être hospitalisée. Il m'avait fait part des relations sexuelles qu'il avait fait subir à sa petite-fille au cours desquelles il avait certes éjaculé mais, "sans qu'il ait eu réelle pénétration", avait-il tenu à préciser. Il craignait que ces relations puissent lui être reprochées.

Ce en quoi ses craintes étaient non pas illégitimes, mais exagérées parce que "fantasmées". A sa décharge il n'était pas assez savant pour savoir que la doctrine freudienne était faite pour lui et ses semblables, comme l'a bien montré la "sociologue" Marie Balmary en 1979 en publiant sa thèse.

L'adolescente venait d'être hospitalisée à l'hôpital Saint-Anne sur le diagnostic d'une probable schizophrénie.

<< Il n'a fait que rêver >> avait péremptoirement proclamer madame Piret, manifestement prise d'angoisses.

Sur ce, elle avait promptement mis fin à toute discussion, alors que je venais d'insister en proposant de prévenir les psychiatres du Service qui avaient recueilli la petite-fille de ce nouveau patient.

Je n'avais pas encore une assez grande expérience du négationnisme des psychiatres concernant les questions d'incestes, mais mon insistance à vouloir prévenir les psychiatres de Saint-Anne avait mis madame Piret dans tous ses états, au point qu'elle s'était levé et m'avait mis la main devant la bouche lorsque j'ai insisté pour que cela se fasse.

Les participants se taisaient alors que je sollicitai leur avis. Je me suis tourné vers François Roustang pour qu'il exprime le sien, espérant qu'il soutiendrait le mien.

Mais il resta figé, comme pétrifié, allongé sur sa chaise à regarder fixement le bout de ses chaussures (très bien cirées) comme s'il avait été changé en statue de sel (je n'avais pas encore lu "L'homme aux statues", la thèse iconoclaste et révoltante révolutionnaire de Marie Balmary, et pour cause, elle n'a été publiée qu'en 1979, et avait, à l'époque, été jugée exécrable, à commencer par son directeur de thèse, un psychiatre "psychanalyste" demeuré orthodoxe, c'est-à-dire "imbécile", ainsi que l'avait qualifié Jacques Lacan en 1964 (ou 1968, je ne me souviens pas exactement quand c'était - qui s'en souvient ?) après qu'il a publié avec Jean-Bertrand Pontalis un fascicule intitulé Fantasme des origines, Origine du- ou des - fantasme(s) et par la suite plus longuement "Fantasme originaire Fantasme des origines Origine du fantasme" dans lequel Jean Laplanche et J-B. Pontalis traitaient les équations symboliques de Jacques Lacan comme des entités mathématiques pour "démontrer" que le fantasme originaire à l'oeuvre dans les névroses se situait dans le dessous des dessous de ces équations, qu'il était donc difficilement accessible à la conscience !

Autrement dit seuls des psychanalystes de la pointure de Jean Laplanche et Jean-Bertrand Pontalis sont à même de l'atteindre.

Mais comment n'y ai-je pas pensé avant ? N'était-ce pas pour pour tenter d'y accéder que François Roustang regardait si fixement le bout de ses chaussures vernies en 1975 ?

En mauve et bon balm-aryen lacanoïdien j'en ai moi-même tracé la trace innée, la forclusion expliquant où s'origine le délire de Freud, son refoulement expliquant l'inexpliqué, et pourquoi eut recours à la bande de Moebius en guise de métaphore pour en expliciter la nature infernale de sa contagiosité sans limite déli-mythée.

Vous pourrez très difficilement vous procurer ledit fascicule, que ses auteurs se sont empressés de faire disparaître avant de le ressortir après la mort de Lacan, expurgé de ses lacâneries.

La brillantissime thèse de Marie Balmary faisant au goût de Jean Laplanche un peu trop référence à Jacques Lacan, il la black-boulée au prétexte que c'était non pas une thèse de psychanalyste mais la thèse d'une sociologue. Quand on veut noyer son chat ...

Voici néanmoins ce qu'en dit un lecteur : << Dans ce petit ouvrage, J. Laplanche et J-B. Pontalis s'attachent à l'un des éléments fondateurs de la psychanalyse : le fantasme. En effet, comme ils nous le font redécouvrir dans cet ouvrage, la notion de fantasme traverse la théorie freudienne de bout en bout et en dessine les contours. Revenant chronologiquement sur l'évolution de la pensée de Freud et de ses successeurs, les deux auteurs évoquent avec beaucoup de clarté et d'intelligence des questions telles que l'évolution de la théorie freudienne des pulsions, la nature sexuelle du fantasme ou l'importance du conflit originaire. >>

Pour en revenir aux propos négationnistes tenus par madame Piret, bien d'autres "psys" imprégnés de freudistique auraient pu les tenir, puisque les cerveaux ont été contaminés. Ils sont contagieux, appliquent et propagent aveuglément la doctrine du "Maître" de Vienne.

Le professeur Henri Baruk détestait les effets de sa doctrine. Lui qui avait dû porter la croix de David durant le régime de Pétain comparait Freud à Hitler, jusqu'à les mettre dans le même sac ! Leurs doctrines venimeuses sont de fait comparables aux effets du virus du SIDA.

Après avoir pénètré le cerveau d'un individu elles en désorganisent par une transcriptase réthorique perverse les défenses immunitaires, s'y multiplient en silence et finissent par en faire un agent contaminant pour les partenaires de rencontre.

La freudienne nécesseite pour être contenue, en attendant qu'un vaccin efficace soit à même de l'éradiquer, telles les tri-thérapies du SIDA, une approche multi-psychothérapique, telles les TTC combinées à d'autres approches psychothérapiques, l'hypnose, l'analyse systémique, les psychothérapies dites positives, la méthode Coué ....

Roger Perron, qui n'est pas psychiatre, participe aux travers de ses écrits à la propagation de l'épidémie : cf., sous sa signature, le "Que sais-je" (les P.U.F. se consacrent ainsi à la propagation du complexe infectieux, nommé complexe d'Oedipe, comme à son contre-poison, puisqu'elles publient aussi "Tempête aux Archives Freud", de Janet Malcolm (1986).

R. Perron a continué de le propager dans un article consacré - et sacrément ... - à l'inceste", livré dans un des plus gros, mais pas le plus puissant, agent de transmission, le "Dictionnaire international de psychanalyse", paru en 2002 chez Calmann-Lévy, inconscient de ce qu'entre infester et incester, il y a l'Être. Le lui aurait dit s'il était en corps de ce monde d'idiots serre-tifiés/certifiants Jacques Lacan, qui avait au moins eu le mérite d'avoir cherché à éradiquer l'Impair par la vaccination. Le virulent article de Perron est adoubé donc certifié conforme par le responsable de ce dictionnaire, Alain de Mijolla, qui outre Roger Perron a réuni pour sa rédaction une centaine de psychanalystes, dont certains psychiatres.

Je n'ai pas eu l'idée de vérifier si Samuel Lepastier le est de ceux-là. C'est un psychiatre qui se veut "psychanalyste" qui en tant que tel a écrit que les enfant d'Outreau avaient surtout été victimes de le fantames oedipiens. Il a réussi à s'introduire au sein du CHU La Pitié-Salpétrière pour y propager la dite infection au sein même des hôpitaux. Il est en outre paré du titre de professeur, à l'instar de Daniel Wildlöcher, auteur d'un ouvrage traitant du processus de destructuration à l'oeuvre dans la psychanalyse, intitulé "La psychanalyse et le processus du changement". Ce n'est donc pas un secret. La psychanalyste Caroline Gros-Azorin, épouse de pychiatre, a ouvertement anoncé la couleur dans une conférence faite au CIP (Collège International de Philosophie) en disant qu'il s'agissait bien de procéder à la "destructuration" des personnes afin qu'elles se restructurent autrement, c'est-à-dire de façon qu'elles "ne cédent rien sur leur désir".

Ainsi du docteur Jean-Claude Elmelik, gynécologue, qui ne cédait rien sur son désir de "se faire" en salle de réveil les parturientes pendant qu'elles étaient encore endormies. Faute d'être bien renseignées, celles-ci avaient commis la faute l'erreur fautive de mettre les pieds dans sa Clinique pour accoucher ou pour bénéficier d'une IVG suivie de viol, et de l'ex Directeur du FMI, Dominique Strauss-Kahnpour au sortir d'une salle de bain, pour ne rien céder sur le sien lui fit sans doute céder la présidence de la République Française à François Hollande.

Ce qui montre que les voies du Seigneur ne peuvent être violées sans prêter à conséquences.

Comme tant d'autres "psys" contaminés par le freudisme, le professeur Samuel Lepastier, tel un porteur sain n'en véhicule pas moins le virus autrichien.

Sur le même modèle, l'affaire relatée par le docteur Bernard Elhaïk dans son livre "La vérité pour ma fille" sous-titrée "Quand l'erreur médicale est étouffée par l'hôpital et la justice" (récemment paru aux éditions Michalon) pourrait aussi être mise sur le compte de fantasmes cependant qu'elle illustre comme dans tant d'autres affaires étouffées, qu'il est d'autant plus difficile, c'est-à-dire en fait impossible, d'avoir gain de cause en portant plainte contre les méfaits des médecins de l'AP - HP et les structures similaires de l'Assistance Publique que les fautes commises par ceux-ci ont été lourdes, voire intentionnellement mortelles, et quand bien même des preuves factuelles irréfutables abondent, qui sont versées au dossier, parce que :

1° les juges confient les expertises médicales à des médecins qui sont quasiment toujours sanctionnés par le Conseil disciplinaire de l'Ordre des médecins s'ils se permettent de rapporter les fautes et les erreurs commises dans leur intégralité sans en esquiver la grossièreté,

2° parce que même s'ils les rapportent suffisamment clairement et fidèlement dans leurs expertises pour se mettre en accord avec leur conscience ...

3° ils font en sorte, pour se mettre à l'abri des remontrances et des sanctions de l'Ordre, d'arranger leurs conclusions en y noyant quelques éléments qui renversent et annihilent en gros caractères ce qu'ils ont très longuement exposé de façon fastidieusement technique en petits caractères.

Ce fut le cas de la contre-expertise confiée au docteur Yves Dano par madame Bénédicte Scelles, Juge d'instruction au TGI de Créteil, qui l'avait choisi en tant qu'expert étranger à l'AP -HP dans l'affaire précédemment expertisée conduite par un trio d'experts issu de l'AP - HP et conduit par le professeur René-Claude Touzart, relation des premiers médecins à avoir commis les "erreurs" qui avaient failli conduire mon père à la mort, une première fois à la fin du mois de mai 1990 dans les Clinique des docteurs Edith et Jean-Claude Elmelik (le frère et la soeur), une seconde fois en septembre 1990 après "qu'On" (On = les neurologues de l'hôpital Bicêtre en août 1990) a fait semblant de lui administrer le traitement qu'il lui fallait, ce qui avait failli le tuer, un traitement qui aurait déjà dû lui être administré en mai et juin 1990 au moment de son séjour forcé dans la susdite Clinique.

Les neurologues de Bicêtre, au lieu de le lui administrer, avaient intentionnellement falsifié les résultats des examens qu'ils avaient fait réaliser par madame Jeanine Yvart, médecin chargé du Laboratoire de médecine nucléaire de l'hôpital Bicêtre afin de me faire croire, à moi qui suis médecin, et parce que je le suis, que mon père ne souffrait aucunement de la maladie de Biermer diagnostiquée à son admission, cette maladie mortelle ayant le tort de se traiter facilement pour le prix de deux paquet de cigarettes, mais d'une "encéphalopathie vasculaire" (sic) compliquant une maladie d'Alzheimer, toutes deux incurables, le tout baptisé "ATTEINYTE DIFFUSE DU SYSTEME NERVEUX" traité par du Prozac*...

Mon père était "de toute façon voué à une inéluctable plus grande aggravation" m'avaient prévenu les dits neurologues (dixit le Chef de Clinique Pascal Masnou à la mi-août 1990 ) afin que je m'étonne de rien, paroles reproduites telles quelles six ans plus tard dans son expertise par le docteur François Chedru rédigée en février 1996 malgré la démonstration du contraire, faite en septembre 1990 quand j'ai dû intervenir pour "rectifier" in extremis ces "erreurs", au moment où elles ont failli être fatales réussir.

Les neurologues de Bicêtre n'avaient pas prévu, parce que cela leur semblait inimaginable, que les infirmières du Service du docteur Beinis sauraient reconnaître la maladie de Biermer et qu'elles feraient rater leur plan en m'avertissant qu'elles avaient reçut l'ordre, aberrant à leurs yeux, de ne faire que semblant d'administrer au malade le traitement de la maladie de Biermer !

François Chedru était (est-il encore inscrit au tableau des experts ?) pourtant un expert réputé intègre et honnête. Toujours est-il que c'est, comme par hasard, à lui que professeur Olivier Lyon-Caen, neurologue de la F.F.N., s'est adressé pour venir discuter de la sincérité des expertise à feu l'émission de France-Culture "Avec ou sans rendez-vous" (en septembre 2011, alors qu'il était bien au courant de l'affaire que Chedru avait expertisée en la bidonnant pour en faire disparaître la monstruosité.

+ sur http://genocide-over-blog.com.

J'avais dans cette affaire pu échapper, grâce aux infirmières de l'hôpital Charles-Foix, aux mensonges des neurologues de Bicêtre, et dû par moi-même administrer in extremis à mon père le traitement de la maladie de Biermer, ce qui l'avait sorti du coma prémortel où l'avait plongé le simulacre de traitement que lesdits neurologues lui avaient fait administrer.

Les infirmières de l'Unité de Soins Normailsés (sic) de l'hôpital gériatrique Charles-Foix où les neurologues de Bicêtre l'avaient envoyé mourir m'avaient signalé à temps la supercherie, ce qui m'avait permis d'intervenir, et à mon père de se rétablir ... et par-là même de semer la panique, jusqu'aux ministères concernés : d'où la mise place de l'Espace Éthique de l'AP - HP en tant que ... rideau de fumées pour couvrir ce qui s'était passé à Bicêtre en 1990 et en prévision du procès à venir de Christine Malèvre, qui avait agi sous l'égide du même médecin, le docteur Olivier Ille, toujours en place au CHU de Mantes la Jolie, et qui, pour se couvrir, milite maintenant au sein de la Communauté de l'Emmanuel http://www.exultet.net/eshop/pages-product.../dr-olivier-ille-prends-soin-de-lui-3.html

Ce qui continue de faire problème, le go uvernement étant responsable du maintien du Conseil de l'Ordre, qu'il avait promis d' abolir parce qu'il s'agit d'une organisation terroriste et totalitaire de type soviétique.

L'Ordre des médecins se charge d'entraver et de faire bloquer par les parquets toutes les plaintes portées contre les praticiens coupables de viols, parmi bien d'autres ceux commis par le docteur André Hazout à Clamart, du docteur Jean-Claude Elmelik en sa Clinique de l'Haÿ-les-Roses pour ne parler que ceux-là.

Quant aux viols pédoclastiques du docteur Boscher à Yffigniac, dans les Côtes d'Armor, s'ils ont malgré tout pu faire l'objet d'un procès par lequel le docteur Boscher s'est vu condamné et interdit d'exercice par la justice, celui-ci n'en a pas moins intégré l'Ordre des médecins APRES sa condamnation judiciaire.

Le président François Hollande, que j'avais mis au courant de cette affaire quand il n'était encore que le Secrétaire du PS, en a connaissance, puisqu'il m'avait répondu par lettre en 2008 qu'il n'était pas en son pouvoir de faire quoi que ce soit en ce domaine, alors que le PS, quand il était incarné par François Mitterrand, avait promis d'abolir cet Etat de non-droit dans l'Etat qu'est le Conseil de l'Ordre des médecins.

Quand je la lui ai à nouveau rappelée, en lui écrivant le 18 juillet 2012, depuis la poste l'Haÿ-les-Roses, qui jouxte presque ce lieu de perdition qu'était la Clinique des Elmelik, et alors qu'il était nouvellement élu à la Présidence de la République et alors qu'il aurait pu intervenir en tant qu'il est, de par sa fonction, le premier magistrat de France comme il est aussi le Chef des armées.

Ma lettre du 18 juillet 2012 avait aussi été adressée ce jour-là à Manuel Valls, au professeur Didier Sicard, président d'honneur du Comité National d'Ethique, au Figaro, par lettre et via Internet, telle qu'elle figure au site n° 108281777 html sous le titre "La théorie du complot, mythe et réalité ? " http://genocides.over-blog.com/article-theorie-du-complot-mythes-et-realites-108281777.html

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30 décembre 2016 5 30 /12 /décembre /2016 15:13

Une maxime attribuée à Maître Kong (Confucius), énonce <<Quand le Sage montre la Lune, l'idiot regarde le doigt>> 

(maxime citée par Jean-Claude Coudeyrette, www.compilhistoire, en date du 26 novembre 2016) 

Je ne pense pas que cette maxime soit vraiment de Confucius parce que le Sage sait bien que le doigt du pervers qui montre la Lune veut surtout détourner le regard de celui à qui il s'adresse pour qu'il ne puisse voir ce qu'il cherche à lui cacher et qu'il est en train de le rouler dans la farine.

C'est une façon de détourner l'attention que même les chimpanzés savent utiliser, d'après Frans de Waal, dans son livre "Sommes nous trop bêtes pour comprendre l'intelligence des animaux" (Les Liens qui Libèrent, octobre 2016)

Ce que font aussi par exemple, entre beaucoup d'autres, les "scientifiques" dans articles publiées dans des revues prétendument médicales et "scientifiques" qui en réalité émanent de l'industrie pharmaceutique.

Ils sont chargés de vanter aux médecins un peu trop naïfs ou inexpérimentés les avantages de molécules pharmaceutique qui  soi-disant ont fait preuve de leur efficacité dans des études préliminaires alors qu'elles n'ont que des inconvénients, voire des effets iatrogènes parfois mortels.

Ces études, qui conduites par des médecins, des biologistes ou des pharmacologues subventionnés par les laboratoires au prorata des plus-values escomptées entrent dans la définition du :

"syndrome de Münchhausen" et sont donc en réalité criminelles et

Parce que je suis médecin, l'hôpital Bicêtre m'a accusé en 2004 d'avoir moi-même "sciemment fabriqué de mon père en 1990 par antisémitisme(sic), c'est-à-dire d'avoir 'fabriqué' la maladie qui avait failli le tuer d'une mort apparemment "inéluctable" et "naturelle".

Les neurologues de l'hôpital Bicêtre avaient non seulement interdit que le traitement que j'avais dû in extremis administrer moi-même à mon père hospitalisé sur le diagnostic de syndrome neuro-anémique, mais avaient ordonné qu'il soit ostensiblement fait semblant devant moi de le lui administrer, de façon  me faire croire qu'il ne souffrait pas  de la maladie de Biermer, maladie qui était la cause même de son admission en neurologie, mais d'une "encéphalopathie vasculaire" au dessus de tout recours thérapeutique efficace, compliquée de la maladie d'Alzheimer, elle aussi incurable, et aussi, pour faire bon poids et me faire comprendre que la situation était vraiment désespérée, probablement d'une tumeur cérébro-spinale !

Afin de m'égarer ils avaient déclaré à faux que le test de Schilling était à 35 %, donc normal, ce qui éliminait en principe le diagonstic de maladie de Biermer, celle-i étant parfaitement curable avec un traitement des plus simple et économique, celui qu'il avaient ostensiblement ordonné aux infirmières qui s'occupaient de lui de ne faire que semblant de le lui administrer !  

C'est que mon père avait eu la malchance d'avoir été transfusé en avril 1984, à une époque où quasiment toutes les transfusions étaient contaminées  par le VIH (autour de 25.000 à 27.000 patients furent ainsi contaminés en France. On s'était alors empressé de désigner les homosexuels, dont les mœurs sont réputées débridées, pour expliquer l'explosion des cas de SIDA, pour minimiser le rôle de la "rationalisation industrielle" de la transfusion sanguine (le mélange des sangs collectés était plus "économique" que la méthode archaïque d'un donneur pour un receveur) focalisant ainsi sur un âne émissaire bon à su-culpabiliser l'attention la vindicte des populations

Jean de La Fontaine avait par avance très bien décrit la méthode dans "Les animaux malades de la peste".

Sept ans après le cas de "l'euthanasie" ratée  précédemment évoquée d'autres malades ont été "euthanasiés" avec succès sous l'égide du même médecin, devenu Chef de Service dans  le CHU de Mantes la Jolie, où Christine Malèvre joua le rôle qu'il (Olivier Ille ) avait fait jouer au docteur Jean-Yves Beinis après qu'il l'a fait transporté dans son Service gériatriques pour qu'il y finisse ses jours de façon apparemment naturelle et imparable.

Ces faits ont été masqués par les preuves ostentatoire de vertu compassionnelle (voir  infra)

1°  Anatomie d'une erreur pas possible 

Hospitalisé un 2 août à l'âge de 79 ans en neurologie au CHU de Bicêtre et ne pesant plus que 50 kg contre 72 kg, mon père, 79 ans, y reçut le diagnostic d'encéphalopathie vasculaire sur fond de DTA (Démence deType Alzheimer)

L'ensemble fut finalement baptisé "ATTEINTE DIFFUSE DU SYSTEME NERVEUX", ainsi qu'il est stipulé dans le compte-rendu d'hospitalisation.

Le compte-rendu m'a été communiqué en lieu et place du dossier d'hospitalisation, au prétexte que le dossier avait été perdu, alors qu'il ne l'était pas et ne l'a jamais été, puisque le docteur François Chedru avait pu le consulter six ans après ma demande pour les besoins de son expertise.

Le compte-rendu était signé "Olivier Ille Interne" .

Olivier Ille avait été chargé du traitement de mon père par le docteur Pascal Masnou et leur malade avait été mis sous Prozac * en guise de traitement cependant que le docteur Pascal Masnou, le Chef de Clinique de ce Service, me faisait croire que le traitement de la maladie de Biermer lui était administré, conformément au diagnostic qui avait été porté aux Lits-Portes de l'hôpital Bicêtre dans la soirée du 31 juillet au vu du tableau clinique - un tableau patent de sclérose combinée - comme à la lecture de son hémogramme, faite devant moi ce soir-là par les médecins urgentistes au terme de leur examen clinique, qui portèrent alors le diagnostic de syndrome neuro-anémique probablement consécutif à la maladie de Biermer, cette maladie étant alors connue pour en être principalement la cause.

Après trois semaines passées dans le Service de neurologie, mon père ne pesait plus que 47 kg et son état s'était dégradé à tel point que, le 22 août, il fut transféré à l'hôpital Charles-Foix dans l'Unité de Soins Normalisés du docteur Jean-Yves Beinis, où il pouvait bénéficier d'une belle chambre individuelle, au lieu d'avoir à partager une chambre à plusieurs lits.

Une lettre manuscrite d'Olivier Ille avait accompagné son transfert, que j'ai pu récupérer cinq ans plus tard quand j'ai mis le docteur Beinis en demeure de me communiquer copie de son dossier d'hospitalisation. Outre que cette lettre faisait état du diagnostic d'encéphalopathie vasculaire, elle se terminait en indiquant au docteur Jean-Yves Beinis de n'administrer au malade qu'un faux-semblant de traitement de la maladie de Biermer. bien qu'aucun médecin ne peut ignorer que la maladie de Biermer est, au point où elle en était arrivée, très rapidement et inopinément mortelle sans son traitement spécifique.

La Surveillante de l'USN de l'hôpital Charles-Foix, madame Pondu, qui avait l'expérience de la maladie de Biermer, apprenant que j'étais médecin, s'empressa de me faire savoir par une de ses élèves, avant qu'il ne soit trop tard - l'état du malade s'était dégradé au point d'être très critique - que mon père ne recevait pas réellement le traitement cette maladie, seulement un faux-semblant.

Bien que la Surveillante ait essayé de persuader le docteur Beinis que le traitement de la maladie de Biermer soit réellement administré, elle n'y est pas parvenu, ce qui fit qu'au soir du 12 septembre, à 19 heures, lorsque je suis entré dans la chambre du malade, celui-ci gisait sur son lit, squelettique, prostré, incontinent, presque nu dans ses émonctoires.

A force d'être tombé du lit dans les jours précédents, son corps était, des pieds à la tête, couvert d'ecchymoses. Après s'être un instant agité comme s'il avait cherché à s'agripper à un objet imaginaire - ces mouvements sont dits "carphologiques" et précèdent de peu la mort - le malade sombra dans le coma.

Ma soeur, qui était arrivée avant moi me dit << Toi qui est médecin, tu ne peux vraiment rien faire >> ?

J'étais certain que mon père ne souffrait pas aussi, comme Olivier Ille et les neurologues du CHU de Bicêtre avaient cherché à me faire croire, d'une tumeur cérébro-spinale de type gliale, ne serait-ce que parce que le test de Schilling, qui nécessite d'administrer en intra-musculaire 1 mg de cobalamine, une molécule plus connue sous le nom de vitamine B12, une dose déjà thérapeutique, mais très insuffisante pour le traitement de la maladie de Biermer, et cette dose avait non pas aggravé l'état du malade, mais l'avait au contraire légèrement amélioré, tout au moins l'espace de quelques jours, ce qui prouvait que le malade ne souffrait aucunement d'un gliome, auquel cas la cobalamine l'aurait aggravé.

J'ai dit à ma soeur : << Cette histoire "d'hydrome sous-tentoriel" (sic) pour lequel un rendez-vous d' I.R.M. a été pris ne tient pas debout, et il n'a certainement pas la maladie d'Alzheimer ni celle de la vache folle. Il y a qu'il ne reçoit pas le traitement qu'il lui faudrait.>>

Après avoir fait un un rapide examen neurologique je lui ai dit : << Il ne voit plus. Regarde ses yeux, les pupilles sont complètement dilatées. Elles ne réagissent pas du tout à la lumière quand je les éclaire. Il reste une toute petite chance de le sauver. Si on ne fait rien tout de suite, demain il sera mort. Il n'est plus temps d'attendre jusqu'au 24 septembre le rendez-vous pris à Broca pour l'I.R.M. cérébrale, ni même quelques heures de plus. Je veux bien faire le nécessaire, mais il ne faudra rien me reprocher si ça ne réussit pas. S'il meurt cette nuit, comme c'est malheureusement à craindre, ce ne sera pas de ma faute. J'ai tout juste le temps de courir à la pharmacie chercher ce qu'il lui faut avant qu'elle ne ferme pour le lui administrer, mais il faut aussi me promettre de m'aider après, parce que même si j'arrive à redresser la situation, ça va être très dur >>

Elle promit de m'aider. Il était alors 19 heures 15. Plus le temps de discuter. J'ai dû courir à la pharmacie la plus proche pour arriver avant qu'elle ne ferme.

La pharmacienne était en train de verrouiller les portes de son officine. J'ai ainsi pu d'extrême justesse me procurer, pour 9 francs et quelques trente-six ou trente-neuf centimes une boite de 6 ampoules de cyanocobalamine Labaz*, plus le prix de trois seringues.

Vers 19 h 45 j'ai administré à mon père la moitié du coffret, deux ampoules en IM, le troisième versée dans la bouche, soit 3 mg de cyanocobalamine.

Le lendemain matin vers six heures, mon père était encore en vie. Il y avait même un léger mieux. La mydriase n' était plus aussi complète. Un soupçon d' iris était perceptible à l'orée de la pupille.

Le lendemain soir, j'ai administré les 3 ampoules restantes.

Un mois plus tard, après avoir reçu en intramusculaire 20 mg de ce traitement étiologique, mon père pouvait se tenir debout sans tomber, et même refaire tout seul son lit, à la satisfaction des infirmières, mais pas du tout à celle du docteur Beinis,

Bien que le malade n'ait pas encore récupérer le contrôle de ses sphincters - il les récupéra complément et définitivement que le 17 octobre alors qu'il venait d'être sans ménagement renvoyé chez lui la semaine précédente.

Pour parfaire cette infamie, dans les jours qui suivirent, l'hôpital Charles-Foix fit parvenir une facture d'hospitalisation salée au 7, rue de Parc, à La Haÿ-les-Roses, c'est-à-dire au domicile de son ex-patient.

Il n' était même pas tenu compte de la prise en charge à 100 %, à laquelle il avait pourtant automatiquement droit.

Deux mois après sa sortie d'hôpital, mon père avait regagné la quasi totalité de ses capacités intellectuelles (elles furent objectivées à 30/30 au MMSE en février 1991) et il regagnera jusqu'à 7 kg de poids corporel;

Mais resté fortement handicapé au niveau de ses jambes et de ses mains du fait du retard apporté au traitement de sa maladie, diminué dans son autonomie en raison de parésies résiduelles, le 17 décembre mon père porta plainte devant le procureur de Créteil pour escroquerie, mise en danger de la vie et non assistance à personne en péril, non contre les neurologues, car il était alors encore persuadé que c'était non pas à moi, mais à eux qu'il devait d'être resté en vie, mais contre les médecins de la Clinique Léon Elmelik.

Ceux-ci l'avaient précédemment à son hospitalisation à Bicêtre lourdement escroqué, avec la complicité de Marc Méchain, à l'époque le maire "socialiste" de l'Haÿ-les-Roses et l'ami intime des docteurs Edith et de Jean-Claude Elmelik, médecins héritiers propriétaires de la Clinique Léon Elmelik, et milliardaires, selon le Principal du Commissariat de l'Haÿ-les-Roses, qui en avait "par dessus la tête" d'avoir à enregistrer par centaines les plaintes des parturientes qui y avait été violées par le docteur Jean-Claude Elmelik,celui-ci sa soeur Edith et les médecins de cette bénéficiant de "hautes protections" tant au niveau de l'Ordre des Médecins qu'au niveau de la Justice, c'est-à-dire du ministère de la Santé.

2°En 2004, refusant encore et toujours de me communiquer le dossier de l'hospitalisation de mon père dans son Service au prétexte qu'il avait été perdu par ma faute pour avoir laissé mon père se faire hospitaliser au CEGAP dans le Service du professeur François Piette et avoir confié au docteur Michel Serdaru le soin de parfaire son traitement à la Fédération Française de Neurologie, le professeur Gérard Saïd et la direction de l'hôpital Bicêtre m'accusèrent conjointement d'avoir sciemment fabriqué (sic) la maladie de mon père par "antisémitisme" (sic, autrement dit d'être l'auteur d'un Münchhausen, c'est-à-dire d'être l'auteur d'un crime passible, comme l'a été ceux de Christine Malèvre sous l'égide d'Olivier Ille, d'une lourde peine de prison, quoique celle infligée à Christine Malèvre fut finalement assez légère et peu justifiée puisqu'elle avait été jugée immature. Christine Malèvre ne relevait donc pas de la prison mais de soins psychiatriques.

Mais qu'Est-ce que l'antisémitisme pourrait avoir à faire dans cette affaire ?

Je porte le nom de mon père, Cretien, et non celui de ma mère, bien plus ésotérique. Lui manque tout de mêmeun h pour faire  Chrétien. Or les médecins que Je "persécute" avec mon nom (et mon non, je veux dire mon désaccord) s'appellent Elmelik (Edith), Denis (Antoine), Masnou (Pascal), Saïd (Gérard), Desi (Martine), Beinis (Jean-Yves), Sitruk (Mlle?), et Ille (Olivier), militant d'Amour & Vérité au sein de la Communauté de l'Emmanuel, où il (Olivier) fait de beaux discours intitulés "Prends soin de lui" (5 e Rencontre de la Communauté les 15 et 16 mars 2013)

EPILOGUE : Le professeur Saïd promit le 24 septembre 2004 que cette affaire, qui s'était jouée en 1990, se réglerait devant les autorités judiciaires. J'attends toujours; 3

Pour plus de détails sur cette affaire se reporter aux site n° 34640255 html, au précédent article et à tous les autres sur cette affaire, dans laquelle l'importait surtout de préserver l'existence de la Clinique Elmelik, qui servait à l'époque à ce à quoi servira après sa vente à Clinéa le Servie de pneumo-neurologie du CHU de Mantes la Jolie sous la direction du docteur Olivier Ille.

3° L'article daté du 22 mars 2011 est le plus consulté de mes articles sur ce sujet. Il mérite d'être actualisé.

Je n'ai pas pu insérer les corrections et son actualisation parce que déjà très long l'article du 22 mars ne tolère pas d'être rallongé, ni même corrigé.

Sur les conséquences psychiatriques et donc sociologiques de des carences B12 se reporter aux derniers articles du "blog de leon", dont Médecine de catastrophe et médecin(e)s castatrophiques, et Euthanasies économiques.

Un délire de Capgras - aussi appelé délire d'illusion des sosies - observé chez une patiente de 64 ans atteinte de maladie de Biermer a été rapporté par les psychiatres du Centre Esquirol à Caen en décembre 2003 (l'Encéphale, Vol 29, N° 6, pp 560 - 565).

L' article, déniché bien plus tard en navigant sur Internet, s'intitule "Case report - Mme V., a 64-Year-old woman, was admitted to the hospital because of confusion". Il est repris d'un article de l'Encéphale publié en 2003, l'Encéphale étant une Revue de psychiatrie clinique biologique et thérapeutique éditée par Elsevier Masson

Les troubles neuropsychiatriques rapportés dans cet article ne sont pas sans rappeler ceux que j'ai observés en 1990 chez mon père devenu très malade à 79 ans.

Il était alors en fait atteint d'un syndrome neuro-anémique pathognomonique de carences vitaminiques B12 très sévères, et c'est dans cet état que des médecins de la Clinique Léon Elmelik, qu'il avait été trouver pour savoir d'où lui venait ses douleurs, qu'il croyait d'origine cancéreuse, lui avaient fait subir une opération chirurgicale bilatérale (ils lui avaient subrepticement refait les pieds)

Les neuropathiques déterminés par les avitaminoses B12 sont, comme les sciatalgies, très douloureuses. Elles sont dans la plupart des cas attribuables à la maladie de Biermer, et réversibles pourvu que les malades soient traités sans tarder par une viaminothérapie B12 drastique.

Mais pour mon père le diagnostic d'entrée ne fut même pas évoqué dans la discussion par les internistes (des neurologues) qui l'avaient pris en charge après cette opération aberrante, pour ne pas dire délirante, au prétexte controuvé que le test de Schilling censé mettre la maladie en évidence était normal, de même que la vitaminémie B12, CE QUI N'EXCLUAIT POURTANT ABSOLUMENT PAS LE DIAGNOSTIC DE CARENCE VITAMINIQUE B12, Cf. l'article de Kolhouse et al. paru en 1978 ! (1978 Kolhouse & al, New Engl. J. Med. 299, 15, 787 - 792. "Cobalamin analogues are present in human plasma and can mask cobalamin defiency because current radioisotope dilution assays are not specifique for true cobalamin".)

Outre une glossite de Hunter le malade présentait à son admission au CHU de Bicêtre ce que l’on appelle un « tableau de sclérose combinée », tableau clinique généralement en rapport à la maladie de Biermer, et les carences vitaminiques B12 décompensée (les malades ont alors épuisé leurs réserves hépatiques en vitamine B12 cependant que pour une raison spécifique, il n'absorbent plus ou plus assez la vitamine B12 normalement présente dans une alimentation équilibrée), la maladie de Biermer étant mortelle et elle-même la conséquence d'une affection de l'estomac, qui, pour cause ou une autre, auto-immune et/ou inflammatoire et/ou infectieuse ne sécrète plus une glycoprotéine appelée "facteur intrinsèque", qui permet l'assimilation de la vitamine B12 au niveau iléal de l"intestin.

La maladie de Biermer ne se manifeste donc en principe que lorsque l'organisme a épuisé ses réserves en vitamine B12 du fait que l'estomac des malades ne sécrète plus le "facteur intrisèque";

Une cascade de causalités aboutit ainsi à un déficit de plus en plus sévère en vitamine B12 alosr que la vitamine B12 est aussi indispenssable au bon fonctionnement de l'hématopoïèse, de l'estomac et de l'ensemble du système nerveux, donc aussi des fonctions cérébrales, cognitives et affectives, qu'une huile moteur de viscosité adaptée aux moteurs à explosion est indispensable au fonctionnement de ces moteurs.

Pour ce qui est des incidences sociologiques à propos de ce cas, se reporter sur les sites 34640255 et 108281777 html qu'aux plus récents articles de ce blog.

{It was at 1990 since several decades well known that an aetiology to neuro-psychiatric disturbances in elderly patients may be cobalamin deficiency (B12 vitamin deficiency), mainly by ileum malabsorption, as in Biermers' disease, but not only in the elderly and because of a Biermers' disease : gastrectomy, ileum resections, Zollinger-Ellison syndroma, pancreatitis, bothriocephalosis, intestin bacterial massiv proliferation,vegetarianism, drugs metabolic interferencies, E.D.T.A., P.A.S, N²O, colchicine, éthanol, neomycin, metformine where known as less common causalities to B12 vitamin defiency. Very rarely an inborn abnormal B12 cell metabolism is involved in adulds. Sever cobalamin deprival is rapidly lethal in the absence of diagnosis and cobalamin supplies}.

On sait depuis longtemps que des désordres neuropsychiatriques chez les personnes âgées peuvent être liée à une carence cobalaminique, principalement par une malabsorption au niveau de l'iléon, comme dans la maladie de Biermer, mais pas seulement dans le grand âge et à cause de la maladie de Biermer : les gastrectomies, les résections iléales, le syndrome de Zollinger-Ellison, les pancréatites, les bothriocéphaloses, les proliférations bactériennes intestinales massives, le végétarisme, les interférences médicamenteuses (l'E.D.T.A., le P.A.S., le N²O, la colchicine, l'éthanol, la néomycine, la metformine) sont aussi des causes de carence vitaminique B12 moins fréquentes.

Chez les adultes un métabolisme cellulaire anormal d'origine congénital est très rarement en cause.

Quelle qu'en soit la cause, les états de profonde carence vitaminique B12 sont rapidement mortels quand le diagnostic n'est fait et qu'ils sont laissés sans supplémentation vitaminique B12 drastique.

Le traitement de la maladie de Biermer et des syndromes liés à un déficit en vitamine B 12 consiste donc à administrer cette vitamine par voie intramusculaire, le plus tôt possible parce que ce déficit peut à tout moment être fatal aux malades.

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29 décembre 2016 4 29 /12 /décembre /2016 13:32

 

Admis en neurologie dans le Service du très éthique professeur Gérard Saïd au CHU de Bicêtre le 2 août 1990 à l'âge de 79 ans mon père faillit en perdre la vie.

Le professeur Saïd était à l'époque un pilier de l' (ex ?) Institut de Formation et de Recherche en Éthique Médicale juive (l'IFREM), éditeur de Médica Judaïca, une Revue présidée par son ami Emmanuel Hirsch, un philosophe qui, à ma grande surprise, m'a dit “connaitre par cœur” l'histoire médicale de mon père lorsqu'en 1997 j'ai voulu lui en toucher un mot.

Était-ce parce que mon père avait été admis dans le Service du Pr. Saïd après être malheureusement passé par les mains inexpertes des médecins de la Clinique Léon Elmelik, sise à l'Haÿ-les-Roses, où mes parents habitaient depuis 1964, qu'il avait perdre la vie dans le Service du professeur Gérard Saïd ?

On est en droit de le penser, car c'était après qu'un diagnostic de présomption de maladie de Biermer a logiquement et correctement été porté cliniquement devant moi aux Lits-Portes de cet hôpital dans la soirée du 31 juillet 1990 au retour de l'hémogramme pratiqué en urgence comme au vu d'un tableau clinique de "sclérose combinée de la moelle" (syndrome tétrapyramydal avec clonus rotulien inépuisable, dysmétrie et spasticité relative à un syndrome cérébelleux) que le traitement de cette maladie, à bref délai inéluctablement mortelle en l'absence de son traitement spécifique, avait été remplacé par un faux-semblant 

Le tableau de sclérose combinée de la moelle s'observe dans les formes neurologiques de l'anémie de Biermer.

Très amaigri, mon père ne pesant plus que 50 kg, contre normalement 72 kg.

Mais après son admission dans le Service du professeur Gérard Saïd, il ne fut tenu aucun compte du diagnostic de présomption porté aux Lits-Portes par les Urgentistes, dont Antoine Moulonguet, actuellement Chef d'un Service de neurologie à La Pitié-Salpétrière.

Bizarrement, le diagnostic de maladie de Biermer ne fut pas même mentionné dans le Compte-Rendu d'Hospitalisation établi par l'Interne, Olivier Ille. Celui-ci fera très peu parler de lui bien qu'il ait sept ans plus tard eu à voir avec les assassinats de malades commis dans son Service par Christine Malère.

Le Service me remit son CRH à la place du dossier d'hospitalisation, au mensonger prétexte que celui-ci avait été “égaré”.

Dans le Service du professeur Saïd le diagnostic de neuro-anémie de Biermer avait été bizarrement écarté, au fallacieux prétexte que le test de Schilling et la cobalaminémie (la B12 plasmatique ) étaient normaux.

Autrement dit, on avait fait comme si on ignorait les articles qui depuis longtemps avaient été publiés sur le sujet, dont en 1978 celui de Kolhouse & al, (New Engl. J. Med. 299, 15, 787 – 792.Cobalamin analogues are present in human plasma and can mask cobalamin deficiency because current radioisotope dilution assays are not specifique for true cobalamin”).

On avait fait semblant de l'ignorer au profit du diagnostic sciemment équivoque d'une "encéphalopathie vasculaire" compliquant une "DTA" (Démence deType Alzheimer), le tout étiqueté de façon ni vraie ni fausse, mais floue et ambiguë  ''ATTEINTE DIFFUSE DU SYSTEME NERVEUX'' (sic)

Il s'agit là d'une appellation certes intelligible, mais pour qui est du sérail. Elle sert en effet à désigner de façon cryptée la LEMP (la LeucoEncéphalopathie Multifocale Progressive), c'est-à-dire une affection épouvantable mais heureusement rare, quoique devenue plus fréquente à l'époque, depuis que les transfusions de sang "à l'américaine" on boosté la circulation du VIH : 25.000 patients furent ainsi en France indument contaminés dans la première moitié des années 1980, dont mon père en avril 1984 à l'hôpital Saint-Louis lors de la pose d'une prothèse de hanche dans le Service du Pr. Jacques Witvoet.

Due à ce que l'on appelle un “virus de sortie”,(la réactivation du virus JC), la LEMP est de très sombre pronostic.  Elle survient chez les personnes immunodéprimées, notamment celles qui ont été infectées par le VIH. www.msdmanuals.com/.../leucoencéphalopathie-multifocale-progressive

Ledit fallacieux CRH m'avait été adressé en lieu et place du dossier d'hospitalisation, au prétexte que le dossier avait été perdu, alors qu'il ne l'était pas et ne l'avait jamais été. Six ans après le docteur François Chedru avait pu le consulter pour les besoins de son expertise, commanditée par madame Bénédicte Scelle, Juge d'instruction au TGI de Créteil.

Mon père avait réussi non seulement à sortir miraculeusement vivant de ce cet imbroglio savamment orchestré par les neurologues de l'hôpital Bicêtre, mais à regagner "à la surprise générale" 30/30 au MMSE, contre précédemment 22/30, non pas à la satisfaction, mais au grand mécontentement de ses médecins !

Le CRH était signé “Olivier Ille, Interne

Le Chef de clinique Pascal Masnou avait délégué à Olivier Ille le suivi clinique et traitement de mon père, et l'Interne avait mis son malade mis sous Prozac * pour tout traitement pendant que le docteur Pascal Masnou essayait de me faire croire que le traitement de la maladie de Biermer lui était correctement administré, conformément au diagnostic qui avait été porté aux Lits-Portes de l'hôpital Bicêtre.

Après trois semaines passées dans le Service de neurologie, mon père ne pesait plus que 47 kg et son état s'était dégradé à tel point que, le 22 août, il fut transféré à l'hôpital Charles-Foix dans l'Unité de Soins Normalisés du docteur Jean-Yves Beinis, où il put bénéficier d'une belle chambre individuelle, au lieu d'avoir à partager à Bicêtre une chambre à plusieurs lits.
Une lettre manuscrite de l'Interne avait accompagné son transfert, une lettre que j'ai pu récupérer cinq ans plus tard quand la direction de l'hôpital Charles-Foix a mis le docteur Beinis en demeure de me communiquer copie de son dossier d'hospitalisation.

Outre que cette lettre faisait grandement état du diagnostic d'encéphalopathie vasculaire, elle se terminait en indiquant au docteur Jean-Yves Beinis de n'administrer au malade qu'un faux-semblant de traitement de la maladie de Biermer. bien qu'aucun médecin ne puisse ignorer que la maladie de Biermer est très rapidement et inopinément mortelle sans son traitement spécifique.

La Surveillante de l'USN de l'hôpital Charles-Foix, madame Pondu, qui avait l'expérience de la maladie de Biermer, apprenant que j'étais médecin, s'empressa de me faire savoir par une de ses élèves, avant qu'il ne soit trop tard – l'état du malade s'était dégradé au point d'être extrêmement critique – que mon père ne recevait pas réellement le traitement cette maladie, mais seulement un faux-semblant.

Bien que madame Pondu ait essayé de persuader le docteur Beinis que le traitement de la maladie de Biermer soit réellement administré, elle n'y est pas parvenu, ce qui fit qu'au soir du 12 septembre, à 19 heures, lorsque je suis entré dans la chambre du malade, celui-ci gisait sur son lit, squelettique, prostré, incontinent, presque nu dans ses émonctoires.

A force d'être tombé du lit dans les jours précédents, son corps était, des pieds à la tête, couvert d'ecchymoses. Il avait deux côtes cassées (fait notésur le cahier d'observation)

Après s'être un instant agité comme s'il avait cherché à s'agripper à un objet imaginaire – ces mouvements sont dits carphologiques et précèdent de peu la mort – le malade sombra dans un coma.carus.

Ma sœur, qui était arrivée avant moi me dit << Toi qui est médecin, tu ne peux vraiment rien faire >> ?

J'étais certain que mon père ne souffrait aucunement, comme les neurologues du CHU de Bicêtre avaient cherché à me le faire croire, d'une tumeur cérébro-spinale de type gliale, ne serait-ce que parce que le test de Schilling, qui nécessite l'injection de 1 mg de cobalamine, une molécule plus connue sous le nom de vitamine B12.

C'est là une dose déjà thérapeutique pour ce qui est de l'anémie, mais très insuffisante pour le traiter les formes neurologiques de la maladie de Biermer, et ladite dose avait non pas aggravé l'état du malade, mais l'avait au contraire légèrement amélioré, tout au moins l'espace de quelques jours, ce qui prouvait que le malade ne souffrait aucunement d'un gliome, auquel cas la cobalamine aurait aggravé son cas.

J'ai dit à ma sœur : << Cette histoire "d'hydrome sous-tentoriel" (sic) pour lequel un rendez-vous d' I.R.M. a été pris ne tient pas debout. Papa n'a certainement pas la maladie d'Alzheimer, ni celle de la vache folle. Il y a qu'il ne reçoit pas le traitement qu'il aurait fallu.>>

Après avoir fait un un rapide examen neurologique je lui ai dit : << Il ne voit plus. Regarde ses yeux, les pupilles sont complètement dilatées. Elles ne réagissent pas du tout à la lumière quand je les éclaire. Il reste pourtant une toute petite chance de le sauver. Si on ne fait rien là, mzintenant, tout de suite, demain il sera mort. Il n'est plus temps d'attendre jusqu'au 24 septembre le rendez-vous pris à Broca pour l'I.R.M. cérébrale, ni même quelques heures de plus. Je veux bien faire le nécessaire, mais il ne faudra rien me reprocher si ça ne réussit pas. S'il meurt cette nuit, comme c'est malheureusement à craindre, ce ne sera pas ma faute. J'ai tout juste le temps de courir à la pharmacie chercher ce qu'il lui faut avant qu'elle ne ferme pour le lui administrer, mais il faut aussi me promettre de m'aider après, parce que même si j'arrive à redresser la situation, ça va être très dur >>

Elle promit de m'aider. Il était alors 19 heures 15. Plus le temps de discuter. J'ai dû courir à la pharmacie la plus proche pour arriver avant qu'elle ne ferme.

La pharmacienne était en train de verrouiller les portes de son officine. J'ai ainsi pu d'extrême justesse me procurer, pour 9 francs et quelques trente-six ou trente-neuf centimes une boite de 6 ampoules de cyanocobalamine Labaz*, plus trois seringues.

Vers 19 h 45 j'ai administré à mon père la moitié du coffret, deux ampoules en IM, le troisième versée dans la bouche, soit 3 mg de cyanocobalamine.

Je resté auprès de lui jusqu'à 1 heure du matin à humecter ses yeux, suis pari me coucher et suis revenu le voir le lendemain matin vers six heures.

Mon père était encore en vie. Il y avait même un léger mieux. La mydriase n'était plus totale. Un soupçon d' iris était perceptible à l'orée de la pupille.

Le lendemain soir, j'ai administré les 3 ampoules restantes.

Un mois plus tard, après que mon père a reçu par mes soins en intramusculaire 20 mg de ce traitement étiologique, le malade pouvait se tenir debout sans tomber, et même refaire tout seul son lit, à la grande satisfaction des infirmières, mais pas du tout à celle du docteur Beinis,

Bien que le malade n'ait pas encore récupérer le contrôle de ses sphincters – il les récupéra complément et définitivement que le 17 octobre, alors qu'il avait sans ménagement été renvoyé chez lui le 12 octobre.

Pour parfaire cette infamie, dans les jours qui suivirent, l'hôpital Charles-Foix fit parvenir une facture d'hospitalisation salée au 7, rue de Parc, à La Haÿ-les-Roses, c'est-à-dire au domicile de son ex-patient.

Il n'était même pas tenu compte de l'ALD, la prise en charge à 100 %, à laquelle il avait pourtant automatiquement droit.

Deux mois après sa sortie d'hôpital, mon père avait regagné la quasi totalité de ses capacités intellectuelles (elles furent objectivées à 30/30 au MMSE en février 1991, ce que l'on m'avait caché), et mon père regagnera jusqu'à 7 kg de poids corporel dans les années suivantes,

Mais resté fortement handicapé au niveau de ses jambes et de ses mains du fait du retard apporté au traitement de sa maladie, diminué dans son autonomie en raison de parésies résiduelles, le 17 décembre mon père porta plainte devant le procureur de Créteil pour escroquerie, mise en danger de la vie et non assistance à personne en péril, non contre les neurologues, car il était alors persuadé que c'était non pas à moi, mais à eux qu'il devait d'être resté en vie, mais contre les médecins de la Clinique Léon Elmelik.

Ceux-ci l'avaient précédemment à son hospitalisation à Bicêtre lourdement escroqué, avec la complicité de Marc Méchain, à l'époque le maire “socialiste” de l'Haÿ-les-Roses et ami intime des docteurs Edith et Jean-Claude Elmelik, médecins qui avaient hérité de leurs parents la Clinique Léon Elmelik.

Ils étaient “milliardaires”, aux dires du Principal du Commissariat de l'Haÿ-les-Roses, le Commandant Chistian Raeckelboom, qui en avait "par dessus la tête" d'avoir à enregistrer par centaines les plaintes des parturientes violées par le docteur Jean-Claude Elmelik, qui bénéficiait avec sœur Edith et les médecins de cette clinique de “hautes protections”, tant au niveau de l'Ordre des Médecins qu'au niveau du parquet de Créteil, c'est-à-dire en fait au niveau du ministère de la Justice et au niveau du ministère de la Santé.

En 2004, refusant encore et toujours de me communiquer le dossier de l'hospitalisation de mon père dans son Service au prétexte qu'il avait été perdu par ma faute pour avoir laissé mon père se faire hospitaliser au CEGAP dans le Service du professeur François Piette et avoir confié au neurologue Michel Serdaru le soin de parfaire son traitement à la Fédération Française de Neurologie, le professeur Gérard Saïd et la direction de l'hôpital Bicêtre m'accusèrent conjointement d'avoir "sciemment 'fabriqué' la maladie de mon père par antisémitisme" (sic, autrement dit d'être l'auteur d'un Münchhausen, c'est-à-dire d'être l'auteur d'un crime passible, comme l'ont été ceux de Christine Malèvre sous l'égide d'Olivier Ille, d'une lourde peine de prison, quoique celle infligée à Christine Malèvre fut finalement assez légère et peu justifiée, puisqu'elle avait été jugée immature. Christine Malèvre ne relevait donc pas de la prison mais de soins psychiatriques.

Mais qu'est-ce l'antisémitisme pourrait avoir à faire dans cette affaire ?

Il est vrai que je porte le nom de mon père, donc celui de Cretien, et non celui de ma mère, plus ésotérique.

A mon nom manque un h. Je ne suis donc pas vraiment chrétien.

Les médecins que je "persécute" s'appellent Elmelik (Edith), Denis (Antoine), Masnou (Pascal), Saïd (Gérard), Desi (Martine), Beinis (Jean-Yves), Sitruk (Mlle), et Ille (Olivier), militant d'Amour & Vérité au sein de la Communauté de l'Emmanuel, où il (Olivier) fait de beaux discours intitulés “Prends soin de lui” (aux 5 e Rencontres de la Communauté de l'Emmanuel les 15 et 16 mars 2013)

ÉPILOGUE : Le professeur Saïd promit que cette affaire se réglerait devant les autorités judiciaires.

J'attends toujours ;

Pour plus de détails sur cette sombre et sinistre bavure médicale, se reporter aux sites n° 34640255 html ainsi qu'aux articles du blog de leon consacrés à cette affaire.

En conclusion, il s'était apparemment agi de préserver l'existence de la Clinique Léon Elmelik, parce qu'elle servait à l'époque à ce à quoi a servi après son changement de propriétaires le Service de pneumo-neurologie du CHU de Mantes la Jolie avec Christine Malèvre sous les auspices très chrétiennes d'Olivier Ille.

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26 décembre 2016 1 26 /12 /décembre /2016 18:18

L'article daté du 22 mars 2011 est le plus consulté de mes articles sur ce sujet. Il mérite d'être actualisé.

Je n'ai pas pu insérer les corrections et son actualisation  parce que déjà très long l'article du 22 mars ne tolère pas d'être rallongé, ni même corrigé.

Sur les conséquences psychiatriques et donc sociologiques de des carences B12 se reporter aux derniers articles du "blog de leon",  dont Médecine de catastrophe et médecin(e)s castatrophiques, et Euthanasies économiques.

Un délire de Capgras - aussi appelé délire d'illusion des sosies - observé chez une patiente de 64 ans  atteinte de  maladie de Biermer a été rapporté par  les psychiatres du Centre Esquirol  à  Caen en décembre 2003 (l'Encéphale,  Vol 29, N° 6, pp 560 - 565).

L' article, déniché bien plus tard en navigant sur Internet, s'intitule  "Case report - Mme V., a 64-Year-old woman, was admitted to the hospital because of confusion". Il est repris d'un article de l'Encéphale publié en 2003,  l'Encéphale étant une Revue de psychiatrie clinique biologique et thérapeutique éditée par Elsevier Masson

Les troubles neuropsychiatriques rapportés dans cet article ne sont pas sans rappeler ceux que j'ai observés en 1990 chez mon père devenu très malade à 79 ans. 

Il était alors en fait atteint d'un syndrome neuro-anémique pathognomonique de carences vitaminiques B12 très sévères, et c'est dans cet état que des médecins de la Clinique Léon Elmelik, qu'il avait été trouver pour savoir d'où lui venait ses douleurs, qu'il croyait d'origine cancéreuse,  lui avaient fait subir une opération chirurgicale bilatérale (ils lui avaient subrepticement refait les pieds)

Les neuropathiques déterminés par les avitaminoses B12 sont, comme les sciatalgies, très douloureuses. Elles sont dans la plupart des cas attribuables à la maladie de Biermer, et réversibles pourvu que les malades soient traités sans tarder par une viaminothérapie B12 drastique. 

Mais pour mon père le diagnostic d'entrée  ne fut même pas évoqué dans la discussion par les internistes (des neurologues) qui l'avaient pris en charge après cette opération aberrante, pour ne pas dire délirante, au prétexte controuvé que le test de Schilling censé mettre la maladie en évidence était normal, de même que la vitaminémie B12, CE QUI N'EXCLUAIT POURTANT ABSOLUMENT PAS LE DIAGNOSTIC DE CARENCE VITAMINIQUE B12, Cf. l'article de Kolhouse et al. paru en 1978 ! (1978 Kolhouse & al, New Engl. J. Med.  299, 15, 787 - 792. "Cobalamin analogues are present in human plasma and can mask cobalamin defiency because current radioisotope dilution assays are not specifique for true cobalamin".)  

Outre une  glossite de Hunter le malade  présentait à son admission au CHU de Bicêtre ce que l’on appelle un  « tableau de sclérose combinée », tableau clinique généralement en rapport à la maladie de Biermer, et les carences vitaminiques B12 décompensée (les malades ont alors épuisé leurs réserves hépatiques en vitamine B12 cependant que pour une raison spécifique, il n'absorbent plus ou plus assez la vitamine B12 normalement présente dans une alimentation équilibrée), la maladie de Biermer étant mortelle et elle-même la conséquence  d'une affection de l'estomac, qui, pour cause ou une autre, auto-immune et/ou inflammatoire et/ou infectieuse ne sécrète plus une glycoprotéine appelée "facteur intrinsèque", qui permet l'assimilation de la vitamine B12 au niveau iléal de l"intestin.

La  maladie de Biermer ne se manifeste donc en principe que lorsque l'organisme a épuisé ses réserves en vitamine B12 du fait que l'estomac des malades ne sécrète plus le "facteur intrisèque";

Une cascade de causalités aboutit ainsi à un déficit de plus en plus sévère en vitamine B12 alosr que la vitamine  B12 est aussi indispenssable au bon fonctionnement de l'hématopoïèse, de l'estomac et de l'ensemble du système nerveux, donc aussi des fonctions cérébrales, cognitives et affectives, qu'une huile moteur de viscosité adaptée aux moteurs à explosion est indispensable au fonctionnement de ces moteurs.

Pour ce qui est des incidences sociologiques à propos de ce cas, se reporter sur les sites 34640255 et 108281777 html qu'aux plus récents articles de ce blog.

{It was at 1990 since several decades well known that an aetiology to neuro-psychiatric disturbances in elderly patients may  be  cobalamin  deficiency (B12 vitamin deficiency), mainly by ileum malabsorption, as in Biermers' disease, but not only in the elderly and because  of a Biermers' disease : gastrectomy, ileum resections, Zollinger-Ellison syndroma, pancreatitis, bothriocephalosis, intestin bacterial massiv proliferation,vegetarianism, drugs metabolic interferencies, E.D.T.A., P.A.S, N²O, colchicine, éthanol, neomycin, metformine where known as less common causalities to B12 vitamin defiency. Very rarely an inborn abnormal B12 cell metabolism is involved in adulds. Sever cobalamin deprival is rapidly lethal in the absence of diagnosis and cobalamin supplies}.

On sait depuis longtemps que des désordres neuropsychiatriques chez les personnes âgées peuvent  être liée à une carence cobalaminique, principalement par une malabsorption au niveau de l'iléon, comme dans la maladie de Biermer, mais pas seulement dans le grand âge et à cause de la maladie de Biermer :  les gastrectomies, les résections iléales, le syndrome de Zollinger-Ellison, les pancréatites, les bothriocéphaloses, les proliférations bactériennes intestinales massives, le végétarisme, les interférences médicamenteuses (l'E.D.T.A., le P.A.S., le N²O, la colchicine, l'éthanol, la néomycine, la metformine) sont aussi des causes de carence vitaminique B12 moins fréquentes. 

Chez les adultes un métabolisme cellulaire anormal d'origine congénital est très rarement en cause.

Quelle qu'en soit la cause, les états de profonde carence vitaminique B12 sont rapidement mortels quand le  diagnostic n'est fait et qu'ils sont laissés sans  supplémentation vitaminique B12 drastique.

Le traitement de la maladie de Biermer et des syndromes liés à un déficit en vitamine B 12 consiste donc à administrer cette vitamine par voie intramusculaire, le plus tôt possible parce que ce déficit peut à tout moment être fatal aux malades.

Dans le cas de mon père, devant l’évidence qu’il s’agissait d’un syndrome neuro-anémique (tableau clinique de sclérose combinée de la moelle + syndrome tétrapyramidal), le malade avait été  transféré  depuis le Service des Urgences de Bicêtre vers le Service  de neurologie  du  Pr. Gérard Saïd.

Le  diagnostic de probabilité de maladie de Biermer avait d'ailleurs été porté devant moi au moment de la lecture de l'hémogramme, que les urgentistes venaient de recevoir, ce qui fort curieusement ne figure nulle part dans le compte-rendu d'hospitalisation qui m'a été ensuite rendu, qui porte la date du 20 septembre 1990.

Ce compte-rendu a été rédigé APRES que la preuve thérapeutique avait été faite qu'il s'était bien agi de troubles neurologiques consécutifs à une carence vitaminique B12 sévère malgré un test de Schilling déclaré normal (à 35%)  ET une vitaminémie 12 elle aussi déclarée normale (à 225 mg/l) 

Ci-après  le fac-similé  du C.-R. d'hospitalisation en principe rédigé par l’Interne Olivier Ille.

Ce CR m‘a été remis au début de l‘année suivante quand j'ai voulu consulter le dossier du patient  (dossier tout de suite curieusement déclaré égaré). Je le rapporte tel quel.

Ce compte-rendu est daté du 20 eptembre 1991 (rectifié au stylo-bille 1990). Il n'y est en conclusion aucunement question d'un traitement cobalaminique ! ?

Après l'avoir lu, le Dr. Michel Serdaru, neurologue de la Fédération Française de Neurologie, m'a ironiquement demandé si j'étais certain que le malade ait eu affaire à de vrais médecins !

Avait  précédé le  CR d'hospitalisation une lettre  manuscrite  d'Olivier Ille, celle-ci datée du 22 août 1990.

Il  y  est  stipulé de n’administrer  au malade que 1/2 mg de vitamine B 12 par semaine, une dose tout à fait insuffisante pour venir à bout des troubles neurologiques déterminés par cette maladie, le traitement consistant normalement à administrer 1mg par jour pendant au moins un mois, suivi d'un traitement d'entretien à vie

Cette lettre ne m’a été remise par le docteur Jean-Yves Beinis,son destinataire, qu’en 1995, après que la Direction de l’Hôpital Charles-Foix lui a intimé l'ordre de m’ouvrir son dossier et après qu'il m'a fallu le réclamer par lettre recommandée avec AR. 

CR d'hospitalsation daté du 20 septembre 1990 :

 

MOTIF DE L’HOSPITALISATION        
       Troubles de la marche

ANTECEDENTS
       HTA essentielle, ancienneté inconnue.
       Intervention orthopédique pour orteils en marteau en Avril-Mai 90
       Prothèse totale de hanche gauche opérée en 84 pour coxarthrose

HISTOIRE DE LA  MALADIE
      Se plaint de difficultés à la marche d’installation rapidement progressive au décors de l’intervention orthopédique,
      Stable depuis deux mois, la marche est hésitante, la montée des escaliers n’est plus possible, tendance à la rétropulsion et à la chute, le patient étant obligé de
      se déplacer avec un déambulateur

La suite sur sur l'article daté du 22 mars 2011 

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26 décembre 2016 1 26 /12 /décembre /2016 03:05

... prétendait Sigmund Freud en 1938 au sujet de lui-même, en négligeant que la méthode analytique permet au contraire de les savoir.

Et ce n'est pas ce que l'on pourrait être tenter de croire qui restera méconnaissable à jamais (son  origine en racine carrée de moins 1), parce que cet INCONNAISSABLE voulu par Lui se trouve et se lit dans l'analyse textuelle de ses aveux inconscients révélés par Lui-même et ses contemporains, dont celle de X son  grand Chef d'oeuvre autrichien immondialement plus connu que Lui.

Vous le savez aussi bien que Moi, la psychanalyse a beau X coups trop à se faire pardonner, et pas seulement tous les mauvais coups portés par Freud et ses zélotes à ses premières pertinentes mais trop dérangeantes intuitions (Cf. www. Vincent Caux et les archives freud)

Ernest Jones, l'opportuniste, comme Avida Dollars par l'odeur du Schilling alléché, ayant le nez faste, le rejoingnit en 1908 pour jouir par et avec Lui d'un Cyran-O-saurien grand rôle.

E. J. poussa à la roue, trouvant en 1908 en Freud l'A grande occasion de pouvoir faire porter à petit-a la responsabilité de l'a-Chose cacher avouée à Ferenczi inavouable, utilisée à la satisfaction de ses pulsions a-philiques, poursuivies en Angleterre, mais tolérables en Autruiche fraeudienne, quoique Freud n'ait alors déjà plus eu besoin de l'aide d'E. J..

Freud s'y était en effet lui-même employé. En atteste "Cinq psychanalyses", publiées en 1905, vertement avec le cas "Dora". Il y avait été poussé par des forces spécifiques, chez Lui conscientes et intentionnelles avant de devenir subconscientes et rationalisées en dénis contraires, par refoulement, forces "pulsionnelles" voire spécifiques de l'humain (jusqu'à preuve du contraire - cf. Frans de Waal "Sommes-nous trop bêtes pour comprendre l'intelligence des animaux" et celle de Freud ? - Les Liens qui Libèrent - octobre 2016).

Ces "forces" l'avaient poussé à désavouer le Freud de 1895, qui avait publié, avec Josef Breuer, très réticent - connaissant sa responsabilité dans la grossesse "nerveuse" d' Anna O, on le comprend - "Etiologie de l'hystérie".

Paradoxe allemand, Freud était en conséquence resté interdit devant sa propre équation incestuelle, refoulée qu'elle était à son insue dans son sub-Ics² (le sub-Ics² est "ça" du Ca), car ces forces aveuglent au point qu'elles l'ont poussé à mettre lui-même sa fille de 19 ans Anna, Au lit - ou plus exactement sur son vieux divan rouge - pour qu'elle lui déballer ses ébats onanistes, un con-si-amant de son Père à jouir, à l'imitation de son mentor Josef Breuer, morphornicateur d' Anna O, dix-huit mois durant en "ramonage de cheminée" indolores, tous les jouIrs par la parole trois heures par jour. Anna-du-vieux-divan en était restée complétement zélote, au point de faire de son vieux Père-la- vertu-m'aime un Dieu et de faire elle aussi de ses zélotes au carré et donc des abrutis finis -l'un d'eux tel un djihadiste finit la sienne dans son lit virginal pour la possession de 70 comme elle. Parmi d'autres l'irrésistible X, interdit de citation, qui, ayant trop bien mal suivi la marche à suivre de l'Être suprême des dindons à plumer, les pluma tant que Jacques Lacan et Jean-Paul Sartre comprirent de quoi il s'agissaot, mais ne pouvaient dire, forces lanzmaniennes n'obligeant pourtant à nullement au silence éthernel, seulement jusqu'en 2113 (Cf. Janet Malcolm Tempête aux Archives Freud P.U.F. 1986 et Ron Rosenbaum "L'origine du mal" éd. Jean-Claude Lattès 1999. (en lacanien "L' Origine du Mâle & Fils" ).

Lacan avait diaboliquement retourné les poly sonneries de Freud, clamant nécessaire le "Retour à Freud" pour cacher que may be us l'avons tué par la bande, et endosser le rôle du Père qui a tore.

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23 décembre 2016 5 23 /12 /décembre /2016 17:49

 Freud était un écrivain habile qui est arrivé à éblouir tant les naïfs que les pervers accomplis avec ses théories, mais il était avant tout un sophiste, auteur de contes de fées "scientifiques".  Ce que lui avait reproché Richard Von Krafft-Ebing à l'issue d'une conférence qu'il avait tenu en 1896 à Vienne devant un parterre de psychiatres chevronnés.

« Freud possède également, sans aucun doute, un style littéraire consommé et naturel, à l’exception peut-être de l’interprétation des rêves, sur laquelle toute sa doctrine repose. Là, il peut devenir obscur dans ses comptes rendus, et sa souplesse intellectuelle prend fin une fois ses matériaux organisés sur le lit de Procuste de son système. Pour résoudre le chaos du rêve, il travaille alors mécaniquement et de façon assez grossière, sans critique et à l’aide d’un langage symbolique dépouillé à l’extrême : le masculin et le féminin des organes sexuels. Toute la richesse des visions du rêveur sont réduites par des simplifications purement géométriques aux deux formes insinuées. Ce sont des Charybde et Scylla qui ne laissent rien passer. On peut exprimer ainsi quoi que ce soit, mais la méthode devient un peu trop commode et l’échange incontestablement pauvre et monotone. Le fait que Freud ne peut, ne serait-ce qu’un instant, se délivrer du complexe d’œdipe, son idée fixe, ne parle d’ailleurs pas en faveur de la portée pratique de sa méthode curative : une confession illimitée jouant le rôle de l’éboueur de l’inconscient. Que l’époque ait fait main basse sur sa sagesse avec un tel engouement et dans de telles proportions devra être relevé comme un des côtés parmi les plus caractéristiques et les plus inquiétants de cette période. Un tel fait ne constitue pas une raison suffisante pour obtenir le prix Nobel de littérature. C’est d’autant moins le cas que ce sont plus particulièrement les auteurs littéraires qui se sont très souvent embourbés dans sa doctrine et en ont tiré des effets grossiers relevant d’une psychologie bien niaise. »

Son avis s’achève sur : « Celui qui a tant corrompu, ne serait-ce que les plus petits de ces nains littéraires, ne doit certes pas être couronné des lauriers du poète, eût-il une imagination féconde dans ses spéculations scientifiques. »

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Freud était certes un écrivain habile et un orateur qui arrivait à éblouir tant les naïfs consentants que les pervers accomplis avec ses théories, mais il était avant tout un sophiste, auteur de contes de fées "scientifiques".  Ce que lui avait reproché Richard Von Krafft-Ebing à l'issue d'une conférence qu'il avait tenu en 1896 à Vienne devant un parterre de psychiatres chevronnés.

Encore mal rodé, Freud s’y était montré peu convaincant, et sa démonstration fut mal jugée – en revanche une psychanalyste beaucoup moins naïve que le commun de ses  zélotes, s’était montrée trop perspicace dans son Mémoire de psychanalyse.  Marie Balmary en avait profité de l’obscurité de la démonstration de Freud pour faire une analyse brillante et décapante sur l’Inconscient à l’œuvre chez Freud lui-même  - voir www. Vincent Caux - Mary Balmary.

Elle avait ainsi fait l'analyse des analyses de Freud, ce qui lui avait valu des articles élogieux dans le Journal « Le Monde », mais aussi l’hostilité de son directeur de thèse le Dr.  Jean Laplanche, qui la refusa au prétexte  controuvé que c’était une thèse de sociologie et non une thèse psychanalytique !

Marie Balmary s’était en fait montrée beaucoup trop lacanienne alors que Lacan avait traité publiquement Jean Laplanche et Jean-Bertrand Pontalis d’imbéciles pour avoir manié ses équations symboliques comme des équations mathématiques dans leur essai sur  le fantasme originaire et le fantasme des origines, paru en 1964 et disparu de la circulation pour reparaître libéré des imbécilités dénoncées par Jacques Lacan.       

La thèse de Marie Balmary était trop décapante, donc dérangeante. Elle fut encore rejetée pour des raisons inverses, voire imbéciles, c’est-à-dire perverses, au sens que E. Roudinesco attribue à la perversité.

Cocaïnomane, Freud était, en tant que tel – sous l’emprise de cette drogue - c’est un des effets de la cocaïne, aveugle à lui-même, c’est-à-dire à sa propre "équation",  racine² de -1,  avait précisé Jacques Lacan, qui avait apprécié Balmary, mais redoutait aussi qu’elle lui fasse trop concurrence.

Lacan n'avait pas eu trop de mal à la résoudre, cette équation, 7 à dire, pour se servir de son lent gage, à la percer à "plus de jou-i-r",  sept-à-dire à partir de la sienne, racine de 3 (2 + 1), l'objet de grand A sur petit-a.  

« La réalité demeurera à jamais inconnaissable » prétendait Freud en 1938... oubliant que la méthode analytique au contraire le permet. Et ce n'est pas ce que l'on pourrait être tenter de croire qui le restera, parce qu' INCONNAISSABLE freudien est dans l'analyse intertexte de ses aveux inconscients révélés par lui-même et ses contemporains, dont celle du grand X, son Chef d'oeuvre autrichien immondialement plus connu que Lui.

L’a aussi rapporté , moins consciemment, un psychiatre To loose 1, Serge Wasserstrüm (non il ne s’agit pas d’un nom inventé  pour donner lieu à contrepèterie, mais de celui d’un des nègres d'Elisabeth Roue d'Inès Compagnie, la gardienne française du Temple (aux Etats-Unis c’était Kurt Eissler et aux Royaumes-Unis Anna Freud) parce que la psychanalyse est en fait née d’une partie de ping-pong et de jambe l'air jouée en famille. Lacan s’y était reconnu et projeté. Freud avait été sa mère, et même s’il la concevait comme incestueuse (la tétée l’est par nature, sauf chez les nobles, qui faisaient appel à des nourrices) Freud avait été  plus la ‘victime’ du complexe de Pygmalion que d’un quelconque pseudo complexe d'Oedipe.

Ernest Jones, âme damnée venu le rejoindre en 1908, l'avait tout de suite persuadé de construire son château de cartes scientifique pour son propre intérêt : inverser et et faire prendre pour des fantasme oedipiens les accusations portées contre lui en Angleterre pour ses penchants avérés mais inavouables envers  la chair fraiche.

Freud avait au fil du temps fini par se convaincre de la véracité de ses allégations paranoïaques. Il s’était montré grâce ses talents rhétoriques plus convaincant, en dépit de l’absence de fondements scientifiques.

Ces déclarations sont, en 1936, celles de Per Hallström le  président du Comité Nobel, au nom de l’Académie suédoise.

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19 décembre 2016 1 19 /12 /décembre /2016 22:40

<< Mon pauvre monsieur ce n'est pas l'Ordre des médecins qui va poursuivre les violeurs et les pédophiles, ils sont au Conseil de l'Ordre  >>  me fit savoir  en avril 1993 une des secrétaires de l'Ordre Régional des médecins de l'Île-de-France, lorsqu'elle me remit le dossier jaune relatif à la plainte que mon père avait portée à l'Ordre pour ce qui lui était arrivé en 1990 après qu'il a commis l'imprudence de ne pas suivre mon avis, qui avait été de ne pas remettre les pieds dans la Clinique Léon Elmelik où le docteur Antoine Denis, rhumatologue, lui avait offert une consultation gratuite pour à nouveau lui recommander l'opération qu'il lui avait déjà proposée. 

C'était une intervention qu'en tant que médecin expérimenté j'avais estimé être non seulement inutile, mais dangereuse et inacceptable compte tenu de l'état de santé de mon père, depuis quelques mois devenu de plus en plus inquiétant. Ce dont j'avais été directement faire part au Dr. Denis en allant le voir en mars 1990 (j'ai plus longuement relaté ces faits en août 2009 sur ce blog dans l'article numéroté 34640255 html intitulé "Maltraitances faites aux personnes âgées"

C'était à la suite de mon avertissement que le docteur Denis l'avait reçu  gratuitement pour lui remettre un bon d'hospitalisation pour une petite intervention, une IPP, à faire sous anesthésie locale, cotée K20. Un acte acceptable parce qu'aussi anodin que la pose d'un amalgame dentaire.

Mais c'était un piège.

C'était pour lui faire subir une tout autre intervention, plus lucrative pour la Clinique et ledit rhumatologue, qui se prenait et faisait croire qu'il était chirurgien et "professeur".

 Sur le conseils de Maître Catherine Scotto-Derouet, j'avais rendu compte de ce qui s'était passé à la Clinique Léon Elmelik.

La Clinique de l'Haÿ-les-Roses avait été fondée par le docteur Léon Elmelik, grâce à la fortune de son épouse, riche héritière d'une famille de grands banquiers -, (Cf. site-Web n° 108281777 html).

Non seulement l'Ordre poursuit très peu les escroqueries chirurgicales, mais l'Ordre des Médecins, c'est-à-dire le CNOM (que François Mitterrand avait promis d'abolir avant son élection à la Présidence de la République de 1981, tant il en savait les travers mais s'est abstenu de faire arrivé au pouvoir parce que l'Ordre disposait de quoi l'en dissuader), mais l'Ordre veille à faire taire les plaintes des victimes tout autant que les "mauvais Confrères" qui manquent au devoir de confraternité en venant rompre le silence, montant contre eux ce qui s'appelle "un chantier", c'est-à-dire des représailles, via ses réseaux maçonniques.

 Ainsi du Dr. Patrice Bodenan°°°.  Voir sur ce blog la lettre, signée Bod, avait adressée le 10 janvier 1994 au docteur Jean Penneau °°°  quand icelui présidait le Conseil disciplinaire de l'Ordre des médecins d'Île-de-France.

Bod °°° lui succédera d'ailleurs au début des années 2000 pour avoir su faire preuve de son savoir-faire.

En vertu du climat que l'Ordre fait régner au sein de la profession, la presque toutes les expertises médicales sont biaisées, pour ne pas dire "bidonnées" au profit des contrevenants, c'est-à-dire au profit des médecins qui violent les patient-e-s, petits ou vieux, le Code Pénal, l'ancien comme le nouveau, et le Code de déontologie, l'ancien et le nouveau.

Il aurait en conséquence été pour moi préférable de ne pas avoir été dans l'obligation de me faire le médecin de mes parents quand j'ai, en tant que fils et médecin, dû de façon impromptue intervenir pour administrer aux miens des thérapeutiques plus conformes aux principes de la médecine et à leur état de santé en suppléant aux mortelles défaillances des médecins qui s'occupaient d'eux.

Ils leur avaient infligé des traitements non seulement inappropriés, mais mortellement inappropriés, et rapidement mortel en ce qui concerne celui infligé à mon père, au prétexte qu'il était affecté d'une "ATTEINTE DIFFUSE DU SYSTEME NERVEUX" (sic, cf. au site-Web n° 69970222 le compte-rendu d'hospitalisation élaboré à Bicêtre par les neurologues du Service du professeur Gérard Saïd) et donc trop malade pour mériter de survivre longtemps à cette atteinte.

Ceux infligés à ma mère ne l'avaient pas été de façon intentionnelle bien qu'à très long terme, avec un traitement qui maintenant est considéré néfaste parce qu'il favoriserait la survenue de la maladie d'Alzheimer.

Sans mon intervention, mon père serait rapidement mort dans l'Unité de Soins Normalisés du CHU Charles-Foix dans lequel les neurologues du CHU de Bicêtre (à l'époque tenu par le professeur Gérard Saïd et son Assistante le docteure Martine Desi) l'avaient fait transporter trois semaines plus tôt afin qu'il y finisse ses jours plutôt que dans le leur, compte tenu qu'ils avaient refusé et même interdit que lui soit administrer le traitement apte à le rétablir et de ce fait avaient - ils avaient été jusqu'à m'en avertir - que son état était "inéluctablement voué à une plus grande aggravation" (sic, ainsi que l'a rapporté le docteur François Chedru dans son expertise, rédigée dans le but de minimiser à l'extrême les mortels manquements commis à son encontre après que mon intervention a permis de les contrer et de rétablir mon père dans ses fonctions intellectuelles, et par conséquent d'être à mêmede porter l'affaire devant les autorités judiciaires.

Les neurologues de l'hôpital Bicêtre avaient en effet, via leur Interne Olivier Ille, donné l'ordre au médecin-Chef de cette Unité de Soins, le docteur Jean-Yves Beinis, qui s'y était conformé, de n'administrer devant moi au malade qu'ils venaient de lui adresser qu'un faux-semblant du traitement de la maladie de Biermer, afin de me faire croire, comme à lui-même, qu'ils avaient choisi parce qu'ils le savaient obéissant et ne pas très regardant - que le malade qu'ils lui adressaient était atteint de tout autre chose que la maladie de Biermer, qui résulte d'une malabsorption intestinale de la vitamine B12, sachant que cette maladie est rapidement mortelle sans son traitement spécifique, du moins au stade où celui-ci en était arrivé, devenu de plus en plus épouvantable six semaines après son admission à l'hôpital Bicêtre (son état au 12 septembre 1990 est rapporté au site-Web n° 6672425 html)

Le diagnostic de cette maladie avait pourtant été posé au soir du 31 juillet 1990 dès son admission aux Lits-Portes de l'hôpital Bicêtre au vu de l'examen clinique et au retour des résultats l'hémogramme, qui avaient mis en évidence un syndrome neuro-anémique, un syndrome très caractéristique de cette maladie, liée à une malabsorption intestinale de la vitamine B12, et finalement cause d'une sévère carence en cette vitamine, une vitamine qui est aussi nécessaire au fonctionnement du système nerveux que l'huile moteur l'est à celui des moteurs à combustion interne.

Le système nerveux des malades en manque de cette vitamine finit par "gripper", donnant lieu à un tableau clinique caractéristique, dit de "sclérose combinée de la moelle" avant qu'il ne se détruite de façon irréversible et provoque rapidement la mort des personnes, tout comme les moteurs à explosion grippent et rendent rapidement et définitivement "l'âme" quand le niveau de l'huile moteur devient insuffisant.

La différence s'arrête là, car s'il est possible de remplacer un moteur grillé par un neuf, il n'en est pas de même des personnes.

Lire la suite en se reportant aux articles précédent de ce blog et au site n° 34640255, 69970222 et 108281777html

à x.yz@senat.fr

L'affaire à rapport avec les violences faites aux femmes, plus particulièrement les violences faites à celles qui s'étaient adressées à la Clinique Léon Elmelik pour une IVG ou pour accoucher parce que cette Clinique était protégée et par l'Ordre des médecins et par le Parquet, via son procureur Michel Barrau, qui bloquaient systématiquement les plaintes qui parvenaient à l'Ordre des médecins comme au TGI de Créteil.

J'ai, en tant que médecin, eu a subir des menaces de représailles de la part du Conseil de l'Ordre des Médecins via ses hauts représentants, de même que mes avocates de la part du barreau de Paris, qui s'en étaient effrayées, pour n'avoir pas empêché une victime (en l'occurrence mon père) qui avait subi de très lourdes exactions chirurgicales et médicales, exactions qui avaient failli le tuer, de porter l'affaire devant la "Justice".

Les infirmières du Service qui l'avait recueilli pour qu'il y finisse ses jours de façon apparemment "naturelle", conscientes de ce qui leur avait été ordonné de faire était criminel, m'avaient prévenu à temps, c'est-à-dire in extremis.

Ce qui me permit d'intervenir pour tenter de lui  sauver la vie.

Il - le docteur Beinis - leur avait en effet ordonné de ne faire que semblant d'administrer au malade le traitement très spécifique de sa maladie, c'est-à-dire celui de la maladie de Biermer, maladie inéluctablement mortelle sans ce traitement. Il s'agissait pour l'Ordre de protéger les médecins propriétaires de la Clinique Léon Elmelik, où les parturientes et les candidates à l'IVG étaient "régulièrement" violées par le docteur Jean-Claude Elmelik, et pour l'AP - HP de se protéger en même temps que de protéger les responsables qui avaient dans la première moitié des années 1980 laissé l'AP - HP écouler des flacons de sangs non chauffés bien qu'ils aient été conscients qu'ils véhiculaient le VIH (autour de 25.000 patients avaient été ainsi contaminés par ces transfusions, cas de mon père, transfusé en avril 1984 à l'hôpital Saint-Louis lors d'une opération chirurgicale réalisée dans le Service du professeur Jacques Witvoët, auquel je l'avais adressé).

Cette transfusion avait fait de mon père un patient qu'il valait mieux ne pas traiter comme il aurait fallu lorsqu'il a été hospitalisé à l'hôpital Bicêtre en 1990, de façon qu'il n'ait pas le temps de développer un SIDA maladie, parce qu' à cette époque il n'existait pas de thérapie efficace contre un SIDA déclaré !

La Clinique Léon Elmelik participait parmi d'autres dans le Val-de -Marne à cette élimination des malades embarrassants (d'où les protections "en hautes lieux" dont elle bénéficiait, que le Commandant Christian Raeckelboom, le Principal du Commissariat de l'Haÿ-les-Roses, ne s'expliquait pas) tout comme en 1997 les éliminait le Service de neurologie du CHU de Mantes la Jolie, cette fois encore sous les ordres du docteur Olivier Ille, grand catholique, membre du mouvement Amour & Vérité et de la Communauté de l'Emmanuel, avec Christine Malèvre (qui n'en était pas membre) pour faire le "travail", c'est-à-dire faire passer "sces", c'est-à-dire ces et ses malades de vie à trépas, au prétexte d'euthanasies compassionnelles.

 Par ses maladresses, Christine Malèvre a fait que, sous couvert d'euthanasies, les assassinats de malades commis au C.H.U. de Mantes-la-Jolie, contrairement à d'autres, n'ont pas pu être occultés.

Pour en savoir plus cf. http://genocides.over-blog.com

Maltraitances-des-personnes-âgées site 34640255 html

L'attitude de Philippe Bilgert ce soir à "ça vous regarde" était insupportable, à l'image de ce que le Président François Hollande a dit de la magistrature française, ce qu'il n'aurait, parait-il, jamais dû dire !

Ci-après : fac-similé de la carte de visite me tendit le 27 avril 1992 en proférant des menaces de représailles ordinales à  mon encontre. 

(Le titre de "réanimateur" y est usurpé)


Docteur Patrice BODENAN
Anesthésiste  Réanimateur
Chef de service adjoint à l'Hôpital Saint-Camille
Pneumologue attaché à l'Hôtel Dieu de Paris
Expert près des Cours d'Appel de Paris
Membre du Conseil de l'Ordre des Médecins du Val de Marne
Responsable du bureau de Presse
Administrateur du Syndicat des Médecins du Val de Marne
 Hôpital  Saint-Camille   Tel : 49.83.10.10. (Bip 34)      
 Hôtel-Dieu de Paris (poste 2506)    Tel : 42.34.82.34             
Domicile   19, route des Gardes -   92 190 Meudon  Tel : 46 36 02 73 


Détailler et faire le compte de la dissimulation de toutes les fautes criminelles qui ont été commises à l'encontre de mon père serait très long.

La lettre que j'ai adressé les 19  et 20 mai 2008 au Pr. Patrick Hardy  et au Pr. Gilbert Tchernia  complète et  précise les points que je viens d'aborder  (voir site  n° 34640255 hyml)

 

 

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14 décembre 2016 3 14 /12 /décembre /2016 16:29

Cet article, mis en ligne en 2016, est  mal rédigé, mais j'ai en 2021 autre chose à faire que de le réécrire.

J'avais en 1990 agi en tant que médecin et selon la loi, qui oblige quiconque en a les moyens, de secourir les personnes en péril, mais cela m'avait valu l'accusation, proférée par la direction de l'hôpital Bicêtre, d'avoir "moi-même sciemment 'fabriqué' maladie de mon père par antisémitisme".

Le moyen avait été très simple, mais les suites furent compliquées du fait que les neurologues de l'hôpital Bicêtre, qui auraient dû l'utiliser, avaient leur possible pour qu'il ne le soit pas. 

J'avais donc en l'utilisant contrevenu à leur "loi", une loi de "mandarin", une "loi" apparemment supérieure à la loi républicaine.   

Il est donc à lire "tel qu'il est", ce qui veut aussi dire tels qu'il hait.

- / -

Bien qu'il soit préférable de ne pas être le médecin de ses parents, j'ai, en tant que tel été obligé d'intervenir à la suite de la défaillance des médecins qui s'occupaient d'eux.

1° De ma mère, délaissée par son "médecin traitant" en juillet 1988 quand il est devenu pour celui-ci évident qu'elle souffrait de la maladie d'Alzheimer.

2° En septembre 1990, sans mon intervention, mon père serait mort dans le Service où il était hospitalisé à l'hôpital Charles-Foix faute d'avoir durant six semaines réellement reçu le traitement de la maladie diagnostiquée dans la soirée du 31 juillet à son admission aux Lits-Portes de l'hôpital Bicêtre. Il était en septembre dans un état devenu absolument épouvantable  (son cas a été plus amplement relaté sur les sites-Web n° 34640255,  69970222,  699722429 et 108281777 html)

C'était avant de découvrir que son cas correspondait à ce qui depuis 2003 porte le nom de syndrome NDB12PP, un syndrome dont la (re) découverte a été initiée du fait même que mon intervention fut pour mon père salvatrice treize ans plus tôt. Celle-ci avait tout simplement consisté à mettre en route le traitement de la maladie de Biermer.

Ce traitement avait "à la surprise générale" ressuscité un mourant.

Ce syndrome, qui ne serait qu'une forme particulière de la maladie de Biermer, porte dans les pays anglo-saxons plus banalement le nom de syndrome de malabsorption de la vitamine B12, 

Il est d'ailleurs surprenant que l'existence de ce syndrome n'ait pas été reconnu avant "le milieu des années 1990"  (dixit Emmanuel Andrès & al., Internistes des hôpitaux de Strasbourg) alors qu'il est deux fois plus fréquent que la maladie de Biermer, maladie elle-même très fréquente chez les personnes âgées. Comment l'expliquer alors qu'il avait fait l'objet d'un signalement dans une Revue de gastroentérologie américaine en 1973 (selon les articles d' Emmanuel Andrès & al. publiés en 2008)  

En ce qui concerne ma mère, mon intervention, elle aussi obligée, a été l'occasion d' observer non pas une guérison, mais une amélioration de son état sous Dépakine* alors qu'elle était atteinte de la maladie d'Alzheimer.

Le diagnostic de la maladie avait été fait cliniquement de son vivant et a été confirmé après son décès à l'examen post mortem.

Le docteur Michel Serdaru, neurologue de la Fédération Française de Neurologie (CHU  Pitié - Salpêtrière) s'était depuis 1992 chargé de son traitement.

Après avoir constaté que l'absence d'amélioration de son état sous traitement antidépresseur (sous Athymil* 10 mg x 3) éliminait le diagnostic de dépression, il avait conseillé la poursuite du traitement par la Dépakine que j'avais démarré en 1992, après que mon père, en tant qu'opticien, l'a adressé à un ophtalmologiste pour qu'elle soit opérée de la cataracte (l'opération, réalisée par le professeur Offret, eut lieu en décembre 1991 à l'hôpital Bicêtre )

J'avais introduit la Dépakine* après cette opération et après qu'il a fallu que je m'occupe moi-même du traitement de la malade, son "médecin traitant" ayant soudainement refusé de la recevoir alors qu'il l'a "suivait" depuis plus de trente-quatre ans, c'est-à-dire depuis 1958, du temps où il exerçait à l'hôpital Broussais en tant qu'attaché dans le Service du professeur Paul Milliez.

Le professeur Milliez avait jusqu'alors été son médecin, mais elle l'avait quitté parce que le professeur Milliez lui avait un peu trop fait comprendre qu'il la trouvait à son goût.

Malheureusement l'amélioration de son état ne s'est pas maintenu. Son état s'est rapidement détérioré quand mon père a été hospitalisé en septembre 1993 et a été transféré un mois plus tard en maison de retraite dans l'Eure par le Service hospitalier qui l'avait pris en charge alors que son hospitalisation venait de ce qu'il n'avait déjà pas supporté de devoir intégrer une maison de retraite beaucoup plus proche au mois d'août de la même année.

Ma mère ne put dès lors plus compter sur l'aide de mon père. Elle dut  être elle-même hospitalisée.

Faisant fi de l'aval donné à ce traitement par le docteur Serdaru, le traitement par la Depakine* n'a de ce fait pas été reconduit par les médecins du Service psychiatrique du docteur Lapenne, à l'hôpital Paul Guiraud. Il fut  remplacé on ne sait pourquoi par un neuroleptique (en l'occurrence par du Largactil *).

L'état de ma mère s'est alors rapidement dégradé, d'autant plus qu'elle s'est mise à refuser toute nourriture. Elle avait été victime d'une agression sexuelle au sein même de l'hôpital où elle était hospitalisée.

L'agression s'était soldée  par une fracture du col du fémur.  Ma mère n'a pas survécu beaucoup plus d'un mois après la mise en place d'une prothèse*. Elle  est décédée le 2 septembre 1994 à l'hôpital Charles-Foix dans le Service du Professeur Bouchon, un mois avant de décès inopiné de mon père, hospitalisé dans le même Service quinze jours plus tard pour un épisode bronchitique. Il y est décédé un dimanche après-midi, le premier octobre, la veille de son jour de sorti, prévu pour le lendemain, et malgré l'intérêt médico-légal et clinique qu'il y avait de savoir de quoi il était inopinément décédé, cet examen lui a été refusé alors que ma mère a fait l'objet d'une nécropsie sans que cela ait été vraiment nécessaire ! ?

Telle est la logique médicale en France, pays cartésien.

Mon père avait lui aussi été étiqueté quatre plus tôt "maladie d'Alzheimer" par les neurologues qui l'avaient reçu dans leur Service à l'hôpital Bicêtre, mais l'administration du traitement de la maladie de Biermer, c'est-a-dire l'administration de vitamine B12 à dose drastique - un traitement que m'étais vu dans l'obligation de lui administrer moi-même pour ne pas enfreindre la loi qui oblige quiconque en a les moyens de secourir les personnes en péril, voir article précédent traitant de  "l'effet spectateur" -  l'en avait sorti et avait démenti le diagnostic d'Alzheimer et mort prochaine  ... au profit d'un syndrome neurologique alors méconnu, qui a depuis reçu le nom de syndrome NDB12PP (Cf. sites-Web  n° 108281777 html)

C'est d'ailleurs ce malade qui a été l'occasion de la découverte de ce syndrome, qui a tout d'abord reçu le nom de "syndrome de carence vitaminique B12 avec test de Schilling normal" (Cf. les sites-Web consacrés à ces syndromes et les articles précédents de ce blog) .

Le médecin qui s'occupait de ma mère depuis plus de 34 ans, le docteur Henri Ximenès, ne voulait plus s'en chargé. J'avais dû soudain prendre le relai à sa place un 13 juillet, en 1988, alors que je partais en Bretagne et alors qu'elle était la proie d'un bouffée délirante : ce médecin avait associé du Laroxyl * aux tranquillisants qu'il lui prescrivait sans discontinuer depuis des lustres à doses massives, souvent en associant plusieurs d'entre eux (voir la liste sur le blog de leon).

En partance pour la Bretagne j'avais dû à l'improviste l'emmener avec moi chez sa jeune sœur dans sa maison de Dinard.  Sa sœur a maintenant 96 ans  (99 en 2021) et est apparemment toujours indemne de la maladie d'Alzheimer.  A l'entendre parler, un aveugle lui donnerait plutôt 30 ans,  de même qu'une personne n'ayant pas cet handicap, s'il venait à lui parler sans la connaître ... au téléphone. 

La malade avait toujours scrupuleusement suivi ce que son médecin lui prescrivait. Elle avait aussi conservé toutes ses ordonnances, si bien que j'ai pu calculer que le docteur Ximenès avait eu le temps de lui prescrire l'équivalent de 137 grammes de diazépam, un tranquillisant plus connu sous le nom de Valium*, en l'occurrence du Valium 5, à raison de 3 comprimés par jour depuis la date de sa commercialisation, c'est-à-dire depuis 1963 (15 mg x 365 x 25 = 137,5 grammes)

Malheureusement, après l'arrêt des tranquillisants et l'amélioration de son  l'état sous Dépakine - trois ans s'étaient écoulé quand a été mise sous Dépakine*, l'était de la malade s'est par la suite  rapidement détérioré à partir du moment où mon père a été ré-hospitalisé et transféré en maison de retraite par le Service hospitalier qui l'avait pris en charge.

Ma mère a alors elle-même été hospitalisée à l'hôpital Paul Guiraud dans le Service du docteur Lapenne.

La Depakine* n'a dès lors  pas été reconduite, remplacée on ne sait pas pourquoi par un neuroleptique alors qu'elle n'était plus du tout "délirante" (je mets  "délirante" entre guillemets car en fait de "délire" il s'agissait plutôt de la résurgence de souvenirs enfouis et plus ou moins désagréables à entendre, et finalement d'une sorte de "bouffée délirante" avec une soudaine prise de conscience)

Sous neuroleptiques son état s'est rapidement dégradé, d'autant plus qu'elle s'est  mise à refuser toute alimentation après avoir été victime d'une agression au sein même de l'hôpital où elle était hospitalisée. L'agression était à caractère sexuel, un malade l'ayant trouvé à son goût. L'agression s'était soldée par une fracture du col du fémur.

Elle n'a ainsi pas survécu plus d'un mois à la mise en place d'une prothèse et est décédée à l'hôpital Charles-Foix dans le Service du Professeur Bouchon, un mois avant de décès inopiné de son époux dans le même Service.

Son époux avait aussi été étiqueté quatre plus tôt "maladie d'Alzheimer" par les neurologues qui l'avaient reçu dans leur Service à l'hôpital Bicêtre, l'administration du traitement de la maladie de Biermer, c'est-a-dire l'administration de vitamineB12 à dose drastique l'en avait sorti.

Son rétablissement intellectuel fut objectivé par le test de Folstein, revenu à 30/30 alors qu'il était à 22/30 six mois plus tôt, ce qui démentait le diagnostic d'ATTEINTE DIFFUSE DU SYSTEME NERVEUX consécutive à une DTA  (Démence de Type Alzheimer) compliquée d'une "encéphalopathie vasculaire" fait par les neurologues du Service du professeur Gérard Saïd ... car il était en réalité affecté  d'un syndrome neurologique alors mal connu sinon vraiment méconnu, un syndrome qui depuis 2003 a en France reçu le nom de syndrome NDB12PP après s'être jusqu'alors appelé  "syndrome de carence vitaminique B12 avec test de Schilling normal" (NDB12PP se veut l'acronyme de Non Dissociation de la Vitamine B12 de ses Protéines Porteuses)

C'est d'ailleurs ce malade qui a été l'occasion de la découverte de ce syndrome (Cf. les sites-Web consacrés à ces syndromes et les articles précédents de ce blog).

Pour en revenir à la malade victime de la maladie d'Alzheimer qui avait été améliorée par la Dépakine *,  le 13 juillet 1988  le docteur Henri Ximenès m'avait fait savoir qu'il refusait de continuer d' être le médecin "traitant" de ma mère au prétexte qu'elle était "bonne pour l'hôpital psychiatrique" (sic, au téléphone, vers 2 h 30)

Il avait à partir de là fallu que je m'occupe moi-même du traitement de ma mère, en attendant de lui trouver un confrère ou une consœur proche de son domicile.

J'avais recherché les traitements  que le docteur Ximenès lui avait prescrit.

D'après sa dernière ordonnance, il lui avait prescrit un traitement antihypertenseur (Aldomet *) , un traitement anticholestérolémique (Lipavlon*), un traitement tranquillisant (Valium 5* x 3/jour) et du Laroxyl*.

Depuis trente-quatre ans ma mère se rendait très régulièrement à son cabinet parisien, situé dans le 17e arrondissement (mes parents habitaient à l'Haÿ-les-Roses depuis 1964); Ma mère s'y rendait tous les mois par les transports en commun.

Elle avait en ce médecin une totale confiance cependant qu'il ne faisait guère que lui renouveler ses ordonnances de tranquillisants, en sus du traitement antihypertenseur et du Lipavlon*. On peut dire que sa confiance était aveugle. Atteinte de cataracte, son acuité visuelle était tombée à un dixième, d'après un bilan ophtalmologique fait deux an plus tard, fin 1990,  avant qu'elle ne soit opérée en 1991 de la cataracte à l'hôpital Bicêtre par le Pr. Offret.

Ni elle ni le Dr. Ximenès ne semblaient s'être aperçu que sa vue était si basse.

Il m'avait fallu entretemps lui trouver un successeur moins rejetant, en l'occurrence trouvé chez une généraliste exerçant à Cachan, à deux cents mètres de chez elle.

Des traitements qu'il lui avait ordonné, j'avais pu prendre plus précisément connaissance en retrouvant toutes ses ordonnances, pieusement conservées qu'elles étaient dans un carton à chaussures.

Dans les premiers temps, dans les années 1950, ma mère avait eu droit à la Vériane Buriat*, au Gardénal*, à la Natisédine * ainsi qu' à l' Equanil*, puis, dans les années 1960, ce fut le tour du Librium*, de l'Atarax*, du Valium 5*, du Lexomil*, du Xanax*, du Tranxène, sans compter les somnifères tel le Rohypnol*, et j'en passe.

Au total 137  grammes de Valium 5* lui avaient été administrés en 1988.

Plusieurs de ces molécules figuraient souvent sur la même ordonnance. En réalité toute la gamme des benzodiazépines était représentée, histoire sans doute de ne pas toujours reconduire la même ordonnance ?

Mais le Valium 5* était une constante depuis qu'il avait été commercialisé. Ce qui m'avait conduit à penser, ainsi que j'en ai fait part au professeur François Piette en juillet 1993, lorsque ma mère a été hospitalisée dans son Service, que l'émergence de la maladie d'Alzheimer pouvait avoir un rapport avec la prescription exagérée de benzodiazépines.

Alors qu'il n'était pas psychiatre, dans la dernière de ses ordonnances, le docteur Ximenès s'était permis d'adjoindre à ces tranquillisants du Laroxyl*, une association connue pour être potentiellement "explosive".

Cette adjonction fut effectivement suivie d'état psychotique transitoire, une "bouffée délirante" à travers laquelle l'ex patiente du Dr. Ximenès  sembla (enfin) avoir pris conscience de certaines réalités jusque-là moins conscientes ou plus ou moins volontairement tenues sous silence parce que "inavouables".

Mais ne serait-ce pas parce qu'elle les avaient exprimées que le Dr. Ximenès l'avait rejetée ? Ce qui expliquerait qu'il l'ait soudainement trouvée "bonne pour l'asile psychiatrique", car c'est assez souvent ce qui se produit quand une personne se met à dire ce que l'on préfèrerait ne pas savoir ?

On constate en effet, comme l'a récemment rappelé le professeur Bernard Debré sur LCP à "Droit de Suite", à propos des médicaments et des laboratoires  pharmaceutiques (à propos du Vioxx*) , que celui qui dit la vérité "il faut l'exécuter", et c'est qui est arrivé à François Hollande quand il a dit ce qu'il en était en France de la Magistrature.

Ma mère était, avant d'être la patiente du docteur Henri Ximenès, une patiente du professeur Paul Milliez, et celui-ci l'avait trouvée ... très à son goût, avant qu'elle ne change de médecin.

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12 décembre 2016 1 12 /12 /décembre /2016 08:34

A l'hôpital de Reims un petit garçon de trois ans est mort il y a une quinzaine de jours, victime des sévices que lui infligeaient constamment sa mère et son compagnon. Alors que tout le voisinage savait que l'enfant était battu, personne n'a essayé d'intervenir  ni même pris l'initiative de faire un signalement à la police.

Ne pas avoir tenté de le secourir correspond au phénomène psychologique décrit par les psycho-sociologues depuis plus de cinquante ans. Il est nommé  effet du témoin ou Effet Spectateur (Bystander Effect).

Voici comment Wikipédia le définit : << Alors que le fait d’apporter de l’aide à une personne en détresse constitue un comportement prosocial socialement valorisé et attendu, la présence d'autrui exerce un impact sur la perception et la réaction — par rapport à la situation de secours — de telle manière que les conduites d'aides se trouvent inhibées. L’effet spectateur est ainsi un facteur qui affecte le comporteme==nt prosocial. Les recherches scientifiques ont montré qu’il s’agit d’un effet psychologique robuste et stable qui apparaît tant dans les situations expérimentales que dans les situations réelles. Toutefois, un certain nombre de recherches récentes ont pu mettre en évidence plusieurs facteurs permettant de modérer cet effet sans pour autant remettre en question son existence.>>

1° Est-ce que l' Effet Spectateur rend compte de ce qui s'est passé en 1997 au CHU de Mantes la Jolie ?

Les infirmières du Service de pneumo-neurologie  (!?)

dirigé par le docteur Olivier Ille y avaient été témoins des nombreux assassinats de malades que commettait leur collègue  Christine Malèvre sous la coupe de son cher Chef de Service avaient mais avaient fait semblant de ne rien voir. Elles ne sont pas intervenues pour enrayer la machine à tuer jusqu'à ce que le docteure Laurence Kouyoumdjian se mêle d'en faire le signalement à la direction et les fasse cesser (il se peut toutefois que les infirmières se soient dans un premier temps adressées au docteur Laurence Kouyoumdjian. Cela lui vaudra non pas d'être félicitée mais au contraire d'être "priée" de déguerpir, cependant que le docteur très "éthique" docteur Olivier Ille, qui avait gardé le silence, a conservé son poste.

La question aurait dû être posée lors du procès auquel cette affaire à très tardivement donné lieu, mais tout s'est passé comme si le tribunal de Versailles n'avait pas cherché à trop éclaircir cette affaire d'assassinats programmés ... de peur d'en  découvrir bien d'autres et leur essence cachée, parce qu'avant le procès on pouvait entendre dire à l'hôpital Saint-Louis, où avait en hâte été  déplacé 'l'Espace Ethique de l'AP - HP que << dans cette affaire, on n'a rien à craindre; on "tient' la Médecine, la Justice et la Presse >> C'est pas l'ami °°° des docteurs Elmelik, le docteur  Patrice Bodenan, un médecin responsable du Bureau de Presse du Conseil de l'Ordre des médecins du Val-de-Marne, qui démentira. Ou plutôt si : il le démentira, car mentir et donner le change son ses qualités premières. Il se faisait d'ailleurs, et ce avec l'aval du Conseil de l'Ordre,  à faux passer pour un médecin réanimateur, alors qu'il savait surtout endormir. Par mesure de précaution, il s'est fait remettre un DEA d'éthique médicale par le professeur Christian Hervé   à l'époque où ces paroles rassurantes ont été proférées.                                              

                                                                    -:/ -

Pourquoi avoir regroupé la pneumologie et la neurologie, deux spécialités si disparates en un seul service ? 

==> Etait-ce pour qu'il y paraisse  "normal" d'y laisser la vie, tout comme il était "normal" de la finir à L'Haÿ-les-Roses dans la Clinique Léon Elmelik ainsi que dans l'Unité de Soins Normalisés (sic) du docteur Jean-Yves Beinis à l'hôpital Charles-Foix ? 

La Clinique des docteurs Edith et Jean-Claude Elmelik très appréciée des Services hospitaliers de la région parce qu'elle acceptait de se charger des malades qui les embarrassaient. C'était

La Clinique Léon Elmelik était une Clinique dans laquelle il était aussi "normal" pour les accouchées et le femmes venues pour une IVG d'être violées par le docteur Jean-Claude Elmelik en salle de réveil alors qu'elles étaient encore sous l'effet de l'anesthésie.  

Olivier Ille milite désormais très éthiquement  à Amour & Vérité au sein de la Communauté de l'Emmanuel,  profére à Paray-le-Monial des harangues propres à encourager la contradiction puisqu'il les intitule "Prends soins de lui" (sic)

2° Est-ce que cet effet rend compte de ce qui est arrivé en 1990 à un malade dont le traitement a été confié au même Olivier Ille quand il a été hospitalisé dans le Service de neurologie d'un autre grand grand CHU de l'AP - HP, un malade qu'Olivier Ille et tous les médecins du Service où il était Interne savaient atteint d'une affection rapidement mortelle sans son traitement spécifique, non seulement le lui avait refusé, mais a été jusqu'à donner l'ordre aux infirmières qui l'avaient en charge de ne faire devant son fils, qu'il savait être médecin, que semblant de le lui administrer après qu'il l'a fait transférer dans une Unité de Soins "Normalisés" (sic, "USN" est un euphémisme. Il s'agit en fait de Services gériatriques, c'est-à-dire des Services ou il est "normal", parce que courant et plus facilement admissible, d'y trouver la mort). L' USN en question était située dans un autre hôpital, en l'occurrence l'hôptal Charles-Foix.

3° Est-ce que l' Effet Spectateur rend compte qu'il ait fallu attendre si longtemps avant un syndrome neurologique aussi fréquent qu'est le syndrome NDB12PP n'ait pas pu franchir la frontière des connaissances sans être détecté par les cliniciens avant "le milieu des années 1990" alors qu'il est deux fois plus fréquent que la maladie de Biermer ?

La maladie de Biermer est  elle-même fréquente, et mortelle sans son traitement spécifique, un traitement qui consiste tout bonnement et semblablement à administrer aux malades de la vitamine B12 à doses drastiques, et le syndrome NDB12PP est également causé par un déficit en vitamine B12.

S'il sont abandonnés à eux-mêmes, c'est-à-dire s'ils ne reçoivent pas ce si simple traitement, les malades déficitaires en cette vitamine en deviennent de plus en plus profondément affecté sur le plan neurologique, la vitamine B12 étant aussi indispensable au bon fonctionnement du système nerveux que l'huile moteur au fonctionnement des moteurs à explosion.

La comparaison de la nécessité de la vitamine B12 au fonctionnement du système nerveux avec la nécessité de l'huile au fonctionnement des moteurs à explosion peut même être poussée plus loin :  le foi, les muscles et organisme humain contiennent une réserve en vitamine B12 suffisante pour que le système nerveux supporte de fonctionner normalement sans apport alimentaire durant environ cinq ans, mais quand ces réserves sont épuisées, le système nerveux se dégrade et les troubles neurologiques et cérébraux deviennent  de plus en plus sévères, jusqu'à conduire le malade au coma, et à partir de là rapidement à la mort.

Une voiture automobile mue par un moteur à explosions peut de même facilement parcourir, quand elle est neuve ou pas trop vieille et quand le niveau d'huile est au maximum de 5 à 10.000 kms sans que l'appoint n'ait été fait, mais finira par avoir des ratées avant de caler et de rendre l'âme, alors qu'une  vouture dont le  moteur compte un grand nombre de kilomètres devra faire plus souvent l'appoint pour ne pas se retrouver bloqué sur la route.      

Il en va un de même chez les hommes âgés et encore plus souvent chez les femmes âgées: une supplémentation en vitamine B12 dans l'alimentation peut s'avérer nécessaire pour éviter des dysfonctionnements de leur système nerveux.

Le syndrome NDB12PP peut apparaître, jusqu'à lui faire prendre l'aspect de la maladie d'Alzheimer.

Est-ce parce qu'il peut prendre cet aspect clinique que ce syndrome est passé si longtemps inaperçu ?
C'est difficile à croire, mais c'est bien ce que l'on a essayé de me faire croire en 1990 à propos d'un cas, qui, pourtant, ne pouvait prêter à telle confusion.

Selon E. Andrès & al. dans un article publié en 2008 dans La Presse Médicale,  ce  syndrome n'a été individualisé qu'au "milieu des années 1990" alors que la maladie de Biermer affecte  3 à 7 % des personnes de plus de soixante ans (7% d'après un article retentissant des neurologues du Service du professeur Sonia Dollfus, CHU de Caen, un article publié par L'Encéphale en décembre 2003.

Je n'ai découvert cet article qu'en 2013 (Cf. cet article en bibliographie, n° 8) après en avoir par hasard pu en  lire le résumé sur Internet, dans un article mis en ligne aux Etats-Unis.

Affaire à suivre sur l'article précédent de ce blog

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