Contrairement à ce prétendent ses promoteurs, la "psychanalyse" n'est pas du tout une méthode scientifique d'investigation et de traitement des psychonévroses (Cf. Sacha Nacht "Guérir avec Freud), mais une entreprise commerciale fondée sur un système politique réactionnaire pour la promouvoir, avec le succès que l'on sait, un service à rendre à ce que j'appelle la "pédophilocratie", très active dans les milieux religieux et médicaux, en particulier chez les médecins, les psychiatres et les "psychanalystes", et "intelligentsia" (écrivains, avocats, juristes, politiciens etc ...)
C'est si vrai que lorsque je me suis rendu au Conseil disciplinaire de l'Ordre des médecins en avril 1993 pour faire part des exactions qui se commettaient dans la Clinique Léon Elmelik à l'Haÿ-les-Roses dans le Val-de-Marne, les secrétaires de ce Conseil m'ont fait savoir que j'étais bien naïf de penser que l'Ordre des médecins allait y mettre fin.
L'une d'entre elles me dit, en me tendant le dossier relatif à la plainte concernant les exactions des médecins de cette Clinique : << Mon pauvre monsieur (sic), pourquoi voulez-vous que l'Ordre des médecins poursuive les violeurs et les pédophiles, ils sont au Conseil de l'Ordre >> alors même que la plainte en question n'avait pas trait à des exactions de cette nature, mais à une intervention orthopédique aussi illicite que dangereuse, réalisée subrepticement sur une personne extrêmement vulnérable par un rhumatologue qui se prenait et se faisait passer avec l'aval de l'Ordre pour un chirurgien orthopédiste.
Ce que m'avait dit cette secrétaire corroborait ce que j'avais déjà appris le 23 janvier 1991 du Principal du Commissariat de l'Haÿ-les-Roses, le Commandant Christian Raeckelboom, lorsqu'il me reçut avec ledit malade, "miraculeusement" sorti vivant de ses mésaventures contractées quand et après qu'il a eu la malencontreuse idée d'y mettre les pieds.
S'adressant à moi il m'avait confié : << J'aimerais bien que cette affaire aboutisse, parce que j'en ai par dessus la tête d'avoir à enregistrer pour rien des plaintes contre cette Clinique. J'ai là sur mes étagères 150 plaintes pour viols. Toutes sont bloquées au parquet. >>
Comme je m'étonnais qu'il m'ait parlé de viols, je lui avais fait répété ce qu'il venait de me dire en jouant sur la confusion possible entre "vols" et "viols". << Je dis bien des viols. Cette Clinique est "protégée en hauts lieux". Ses médecins sont milliardaires. Ils peuvent y faire et y font ce qu'ils veulent >>
(voir site-Web n° 108281777 html la lettre que j'avais adressé à ce sujet au président de la République le 18 juillet 2012, à laquelle celui-ci n'avait pas daigné donner réponse)
Dix ans plus tard, à la suite de la "Marche Blanche" de mars 2001 j'ai appris lors d'une réunion à l'Association Française pour la Protection de l'Enfance * la part d'une femme déjà âgée qui n'a pas voulu me révéler son nom - parce qu'il était "trop connu"- me laissant seulement entendre qu'elle était apparentée à la famille des propriétaires de cette Clinique qu'il n'y avait pas que les femmes en couches qui y (?) étaient violés, mais aussi les enfants !
* l'AFPE a depuis changé de dénomination pour UFSE - Union Française pour le Sauvetage de l'Enfance, et la femme qui ne voulait pas me dire qui elle était était probablement l'épouse, elle-même médecin, du docteur Jean-Claude Elmelik.
Que la pédophilocratie soit protégée, c'est ce que le docteur Ernest Jones avait très bien compris. Il avait en 1908 quitté le Canada où il s'était réfugié pour échapper à la justice de son pays, accusé qu'il y était de "détournement de mineur-es".
Il s'était de lui-même institué "psychanalyste", enseignait et pratiquait la "psychanalyse", et eut l'idée de "perfectionner" la sécurité judiciaire qu'elle assurait à la pédophilocratie.
J'ai bien dit de la pédophilocratie. Ce qu'avaient démontré le psychanalyste "renégat" Jeffrey-Moussaïeff Masson en 1984 après avoir donné un premier aperçu dans le New-York Times en septembre-octobre 1981 de ce qu'il avait trouvé aux "Archives Freud", qu'il avait été exceptionnellement autorisé à consulter en vertu de sa qualité de psychanalyste "bon teint".
Les Français, y compris les psychiatres, n'ont guère lu son rapport, ainsi qu'en témoigne en 2010 le psychiatre-psychanalyste Michel Meignant, effaré de ce qu'il avait si tardivement découvert en le lisant, qui pourtant était évident à Marie Balmary depuis longtemps, et ce qu'elle avait fait connaître dès 1979 en publiant un Mémoire, c'est-à-dire sa thèse psychanalytique, sans qu'elle ait eu besoin de recourir aux dites "Archives Freud", même si sa thèse contient quelques "inévitables" concessions aux incongruités du freudisme ambiant (j'en parlerai plus tard à propos d'Eliette Abecassis, qui en a fait ses choux gras en 2014 dans son U-roman "Un secret de Freud").
Sa thèse fut évidemment refusée par son directeur de thèse le professeur psychanalyste le docteur Jean Laplancehe - une planche que l'on peut dire avoir été pour elle "savonneuse", quoiqu'elle ait beaucoup intéressé Jacques Lacan, curieux d'en savoir un peu plus, inquiet qu'il était d'avoir été dépassé par cette jeune analyste.
Que Freud ait fait bénéficier la pédophilocratie de ses théorisations fourvoyantes est évident.
C'est ce qu'avait parfaitement compris Ernest Jones, et c'est bien pourquoi il avait rejoint Freud pour l'aider à améliorer son système d'emprise sur les victimes d'exactions pédophilocratiques par des concepts "clés" aptent à contenir et contrôler les victimes par la sur culpabilisation. C'est lui qui lui suggéra de se servir du concept de "complexe d'Œdipe" et de l'appliquer, pour le populariser, au "cas" d'Hamlet, alors que William Shakespeare l'avait imaginé dans une perspective bien différente. L'opération promotionnelle a comme on sait hélas parfaitement fonctionnée. Le psychiatre "psychanalyste" Samuel Lepastier s'en est servi pour "expliquer" au Monde (je veux dire au Journal Le Monde du 8 février 2006) qu'à Outreau les enfants avaient été avant tout victimes de fantasmes oedipiens inconscient.
Même des psychiatres qui se prétendent contestataires de Freud, tel que le docteur Pierre Sabourin, sont tombé dans le panneau, alors même qu'il a pourtant lu les découvertes de Jeffrey Moussaïeff Masson. Le docteur Michel Meignant ne l'a découvert qu'en 2010 Cf. L'affaire Freud (on peut s'adresser à lui pour acquérir un DVD au sujet de cette "ténébreuse affaire", ainsi qu'à "Regard conscient", qui en fait avec le psychologue Vincent Caux un excellent résumé
Psychologue au sens populaire du terme Jones s'en était allé à Vienne rencontrer Sigmund Freud du temps où celui-ci avait pris le jeune Adolfus Hitler en cure psychanalytique, à la demande du bon docteur Eduard Bloch, le médecin de la famille Hitler. Il était le cousin de Franz Kafka, l'auteur de "La métamorphose", publiée en 1912. Adolfus ne s'est métamorphosé en un Adolf Hitler antisémite extrêmement virulent qu'en 1919.
Le docteur Bloch connaissait son histoire à travers celle de ses parents. Il avait pris le jeune homme en affection.
Lejeune Aldolfus Hitler venait de perdre sa mère, que le docteur Bloch avait soigné d'un cancer du sein. Elle était décédée à la fin du mois de décembre 1907. La mort de sa mère avait plongé le jeune homme dans une profonde détresse
Impossible que Freud se soit chargé de prendre le jeune homme en cure, rétorquera-t-on. Non seulement il était sans le sou, et l'analyse coûte cher, surtout avec Freud, qui ne s'intéressait qu'aux personnes extrêmement fortunées (Cf. aux éditions Sciences Humaines, "FREUD et la psychanalyse", décembre 2015) mais Hitler était un antisémite virulent. D'autre part jamais Freud n'a fait état de ce que Hitler a été un de ses patients, et jamais Hitler n'a fait allusion à Freud autrement qu'en faisant brûler ses livres.
C'est ne pas vouloir connaître la réalité et le dessous des cartes.
Et c'est bien parce que Freud et Hitler ont soigneusement évité de faire explicitement référence l'un à l'autre alors qu'à partir des années 1920 jusqu'à la déclaration de guerre tous les deux faisaient très souvent la une de la presse.
Mais Freud n'avait certainement pas manqué de parler à Jones de la famille Hitler et de son jeune patient, car c'est à partir de là que Jones lui as suggéré de mettre en avant les deux concepts "phares" et aveuglants de la psychanalyse, à savoir celui de roman familial du névrosé et celui de complexe d'Œdipe,
Le psychiatre "psychanalyste" Roger Zagdoun est tombé dans le panneau dans un livre paru en 2002 ("Freud et Hitler, un rapport paranoïaque"), cependant que le titre de son livre est approprié .
Contrairement à ce que, mal inspiré, le romancier-dramaturge Eric-Emmanuel Schmitt a laissé entendre dans ses U-biographies ("Le visiteur" et "La part de l'Autre") Sigmund Freud n'était pas du tout un "être d'amour" mais un être habité par une haine projective.
E-E. Schmitt est apparemment, comme moi-même, qui avait quelques raisons de l'être depuis l'enfance, hanté par l'holocauste et les cruautés épouvantables dont les hommes sont ordinairement capables, dès lors qu'ils croient servir une mission "supérieure" ou "divine".
Freud était à l'évidence paranoïaque. Tout comme son alter ego il avait vécu ce que l'on appelle une "expérience primaire" par laquelle il s'était senti métamorphosé (les drogues qu'il prenait y étaient sans doute aussi pour quelque chose).
La haine qu'il éprouvait envers les malades était projective, c'est-à-dire qu'elle provenait de celle qu'il éprouvait "inconsciemment" à l'encontre de lui-même, qu'il de complaisait à dire "hystérique",
L'hystérie est bien proche de la paranoïa.
Alors que je venais d'entrer en psychiatrie, je me souviens d'une malade que deux psychiatres chevronnés, le docteur Gashkel et un de ses collègue. Ils avaient présenté une jeune femme comme une "hystérique". Elle avait en effet trouvé le moyen de se faire ouvrir le ventre 67 fois pour des douleurs abdominales d'origine inconnue (un adage proféré par un psychiatre suédois énonce que, quand une malade qui souffre de douleurs abdominales est diagnostiquée hystérique et qu'elle en meurt, c'est qu'elle souffrait en réalité d'une porphyrie)
Non seulement Freud professait que les fous et les malades l'insupportaient, qu'ils ne servaient qu'à ses recherches et à le faire vivre, qu'ils n'étaient que des canailles, mais trouvait que le mieux serait d'en faire des cargaisons pour les couler.
C'est un programme que son double - le Diable ou "la part de l'Autre" - Adolfus devenu Adolf, mettra à exécution.
Reconnaissant ce qu'il doit au docteur Bloch et à Freud Hitler s'arrangera après l'annexion de l'Autriche à l'Allemagne pour leur faire parvenir un sauf conduit, via un certain Anton Sauerwald.
La très naïve Eliette Abécassis, sous l'influence de sa mère, courroucée par la parution d'un livre sur Freud "La liste de Freud", où Freud n'est pas présenté sous un jour très flatteur, lui fera écrire "Un secret de Freud".
Certes Freud avait intérêt à ne pas tout dévoiler, mais le secret qu'elle invente ne tient pas debout.
Ce qui ne doit pas être révélé est peut-être contenu dans ce qui n'est pas permis de visiter avant 2113, qui pourrait être que Hitler a été bien été un des patients de Freud dont paraît préférable de ne pas parler.
Il n'est pas indifférent de noter qu'à partir du moment ou se précisait les menaces qu'Adolf Hitler, l'ex disciple de Sigmund Freud, faisait courir à la démocratie allemande Freud ait éprouvé le besoin de publier "Malaise dans la culture" (on notera aussi que ce texte avait été publié en France sous le titre "Malaise dans la civilisation" alors qu'y était sinon généralement admis du moins répété à l'envie la thèse "freudienne" que c'était la prohibition de l'inceste qui avait permis la civilisation.
Mal renseigné ou de mauvaise foi les zélotes de Freud ne voulaient pas savoir que l'inceste est omniprésent chez les humains alors que les animaux, comme l'a pointé Konrad Lorenz, l'évitent instinctivement !
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Hitler a par la suite tout fait pour en détruire les traces.
La génétique a depuis pu en apporter la preuve. En mai 2010, le Figaro et d'autres journaux ont fait état d'études génétiques qui le démontrent.
Prétendre que Sigismund Freud avait pris Adolf Hitler en "cure" en 1908, et que cette "cure" a eu les conséquences que l'on sait paraît a priori une incongruité, sinon totalement absurde.
Et pourtant il y a lieu de penser qu'il l'ait fait à la demande du docteur Eduard Bloch, son médecin de famille à la suite du décès de sa mère, survenue en décembre 1907. Le docteur Bloch, qui était aussi le cousin de Franz Kafka avait soigné sa mère, victime d'un cancer du sein, et son décès avait plongé son fils dans une profonde détresse.
En tant que de longue date le médecin de la famille Hitler, le docteur Bloch devait très certainement connaître les secrets antécédents de cette famille,à savoir qu' Anne-Maria Schicklegrüber, la mère d'Aloïs Hitler, travaillait chez le baron de Rotschild quand elle tombée enceinte et renvoyée chez elle à Spital, sa ville natale, moyennant une importante pension provenant d'un certain Frankenheimer et d'un certain Frankenberger, qui n'ont jamais existé, d'après les longues recherches effectuées par Ron Rosenbaum, qui les a relatées en 1996 dans un livre paru en France en 1998, que Claude Lanzman, l'ex secrétaire de Jean-Paul Sartre aurait préféré voué aux oubliettes, on se demande pourquoi, sinon que ledit Baron était doté d'un appétit sexuel insatiable, qui faisait qu'il ne pouvait s'empêcher de le satisfaire à la façon d'un certain DSK.
Le livre de Ron Rosenbaum (paru en traduction française en 1998 chez Jean-Claude Lattès ayant été publié bien avant que n'éclate l'affaire Natissato Diallo, l'auteur n'a évidemment pas pu s'en inspirer, mais il est paru en même temps que paraissait le livre de Brigitte Hamann "La Vienne d'Hitler", dans lequel cette historienne que le jeune homme ne pouvait s'empêcher de faire le coup poing quand il était au lycée à Linz et plus tard alors qu'il logeait dans une pension pour travailleurs pauvres à Vienne contre tout ceux qui tenaient des propos antisémites §
Il est évident qu'il savait ses hautes nobles origines, le jeune Adolfus Hitler.
Aussi n'y a -t-il rien d'étonnant à ce Sigismund Freud ait accepté compte tenu de ses antécédents, rapportés par le docteur Bloch, qui avait le jeune homme en affection, de le prendre en cure, compte tenu aussi que Freud ne s'intéressait guère qu'aux patient-e-s fortuné-e-s ou promis-e-s à une très grande fortune, quitte à arranger les divorces et les remariages pour qu'ils ou elles le deviennent (lire Jacques Bénesteau, "Mensonges freudiens" Mardaga 2002, "Freud et la psychanalyse", Qui étaient les patients de Freud, p. 79 - 86, aux éditions Sciences Humaines" en décembre 2015.
On notera que c'est seulement à partir de 2008, donc après qu'il a pris le jeune Adolfus Hitler en cure que Freud et Rank avancent le concept de "roman familial du névrosé" par lequel il est prétendu que les "névrosés" s'inventent de "hautes origines", et que de même il invente celui de Complexe d'Œdipe, sur les conseils et l'influence d'Ernest Jones, qui lui a conseillé de l'appliquer au cas ... d'Hamlet, paradigme d'Adolfus Hitler
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