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22 septembre 2016 4 22 /09 /septembre /2016 12:18

Les expertises médicales qui concernent les "bavures" médicales notamment quand ces "bavures"  susceptibles de ternir "l'image" des médecins et de la médecine ne sont quasiment jamais rapportées de façon impartiales par experts médicaux, qui tendent à rendre les patients d'une façon ou d'une autre responsables des fautes et même des exactions caractérisés dont ils ont été victimes.

Cela s'explique en grande partie non seulement du fait que les experts médicaux exercent eux-mêmes au sein des hôpitaux et ne sont donc pas indépendants, mais aussi sinon surtout parce que l'Ordre des médecins veille à sanctionner sévèrement les manquements à l'omerta corporatisteq;

Le problème a été explicitement évoqué par le docteur Bruno Halioua à la page 12 et dans la post-face de "Blouses blanches, étoiles jaunes", un ouvrage paru aux éditions Liana Lévi en décembre 1999 .. avec, chose aussi étrange que paradoxale, non seulement l'autorisation du CNOM, mais sur son injonction pressante, une injonction survenue le 11 octobre 1997 coincidant comme par hasard averc le moment où le professeur Gérard Saïd et la direction de l'hôpital Bicêtre firent interrompre l'abonnement et la parution de la revue "Archives of Neurology" à la bibliothèque universitaire de Bicêtre au prétexte que c'était "une très mauvaise revue" (sic, dixit le professeur Gérard Saïd, qui m'avait aussi précédemment expliqué qu'aucune recherche électro-myographique n'avait été pratiquée sur un de ses malades parce que "cela ne servait à rien" (sic, alors qu'elle avait bel et bien été faite, tant en aoüt 1990 que six mois plus tard en février 1991 lors de sa réhospitalisation), ledit malade ayant failli mourir en septembre 1990 du fait que son Service avait expressément  interdit de lui appliquer le traitement spécifique impérieux et urgent dont relevait son état, en l'occurrence un très sévère syndrome neuro-anémique relevant par conséquent de l'administration urgente et intensive de vitamine B12, c'est-à-dire le traitement spécifique de la maladie de Biermer et des carences vitaminiques B12 profondes, dont le "syndrome de carence vitaminique B12 avec test de Schilling normal" dont il n'avait et ne voulait pas reconnaître l'existence !

Le docteur Bruno Halioua, dermatologue et franc-maçon, ne s'expliquait pourquoi il avait si soudainement non seulement été autorisé à publier son manuscrit, mais y avait été fortement "invité".

Pris dans une situation quelque peu schizophrénique, pour y échapper, il a en post-face, éprouvé le besoin de justifier son obéissance à des ordres contradictoires en incluant cette "justification" dans ses remerciements pour en attribuer la responsabilité à un tiers, en l'ocurrence Bernard Weber, déclarant que sans lui "il n'aurait jamais eu le courage de porter son manuscrit chez son éditeur".

Reste à savoir de quel Bernard Weber il s'agit. Celui des fourmis ? 

Ce qui n'avait pas été dit au docteur Bruno Halioua, et qui le rendait presque schizophrène, c'est que l'Ordre des médecins, sous la présidence de Bernard Glorion, avait intérêt à se concilier les bonnes grâces de l'AMIF (Association des Médecins Israélites de France), depuis toujours la bête noire du Conseil de l'Ordre, pour contrer la plainte d'un rescapé de mégas bavures médicales commises par les médecins de la Clinique Léon Elmelik, bavures majorées si ce n'est sciemment relayées par les neurologues du Service de neurologie du professeur Gérard Saïd, qui avaient rendu ledit malade dans l'incapacité de poursuivre les médecins de la Clinique Léon Elmelik alors même qu'il aurait été très facile de le rétablir en quelques jours dans ses fonctions cognitives par un traitement extrêment simple, en l'occurrence celui de la maladie de Biermer, qui s'imposait de lui-même devant le tableau clinique présenté, celui d'une très sévère carence vitaminique B12 (syndrome tétrapyramidal et cordonal postérieur réalisant tableau de sclérose combinée + glossite de Hunter caractériistiques d' une profonde carence vitaminique B12, un tableau qui impose d'administrer en urgence une vitaminothérapie B12 intensive, un traitement qui non seulement n'avait pas été fait, mais que les neurologues de Bicêtre avaient simulé l'administration et invité le docteur Jean-Yves Beinis, chez qui il l'avaient fait transférer pour qu'il ne vienne pas à décéder dans leur propre Service, à faire de même après qu'ils lui ont adressé le malade en le lui présentant comme "de toutes les façons voué à une inéluctable plus grande aggravation" en prétendant qu'il souffrait d'une "atteinte diffuse du système nerveux" (sic) consécutive à une "encéphalopathie vasculaire" (resic) compliquant une démence sénile de type Alzheimer (une "DTA" dans le jargon médical de l'époque. Pour "preuves" un test de Schilling et une vitaminémie B12 soi-disant normaux et un MMSE rapidement tombé à 22/30).


Les médecins de la Clinique Elmelik étaient bien connus de la police pour être "protégés en hauts lieux", ainsi que le déplorait le Principal du Commissariat de l'Haÿ-les-Roses, qui en avait "par-dessus la tête" d'avoir à enregistrer vainement des plaintes (pour viols), qui toutes étaient "systématiquement bloquées au parquet", le médecin-propriétaire de ladite Clinique s'y livrant à tire-larigot depuis des lustres sans aucune retenue, démontrant par là  que la France est un pays de "basse intensité démocratique"

 Cf. www. clinique elmelik - olivier Ille et www. olivier ille - amour et vérité.

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20 septembre 2016 2 20 /09 /septembre /2016 16:34

Invité à s'exprimer sur la Justice sur France Culture  en 2011 Denis Salas, Magistrat, ancien Juge d'Instruction, Directeur scientifique des Cahiers de la Justice et Secrétaire général de l’Association française pour l’histoire de la Justice avait exprimé l'avis que la fonction  de la Justice n'est pas essentiellement d'administrer  la Justice,  mais de maintenir l'Ordre public, c'est-à-dire social.

Dans ces conditions, pourquoi conserver hypocitement son nom au Garde des Sceaux, et ne pas l'appeler "Ministre de l'Ordre public" (ou de l'Ordre social) et le rattacher soit au ministère de l'Interieur, soit au Ministère des affaires sociales, au lieu d'induire les justiciables en erreur en l'appelant "Ministre de la Justice" puisque maintenir l'Ordre public est considéré dans les pays de "basse intensité démocratique" comme l'est hélas la France, implique d'appliquer trop souvent des non-lieux aussi iniques que révoltants?   

Illustre parfaitement cette évidence le non-lieu réclamé par le parquet de Créteil quand il était présidé par Michel Barrau dans une affaire ou ne serait-ce que le centième des fautes commises (certaines d'entre, celles dui furent commises au sein de l'AP - HP dans le Service de neurologie du professeur Gérard Saïd sous la "direction (?)" de son Interne Olivier Ille) ne pouvaient que l'avoir été sciemment, mais même celles qui n'avaient pas été intentionnellement mortelles mais avaient failli l'être précédemment dans la Clinique des docteurs Elmelik, et avaient été le motif de la plainte Contre X attenté par le rescapé, auraient mérité un procès pénal, ainsi que me l'avait exprimé dans sa colère le docteur Michel Serdaru quand en 1992 je lui ai confié le soin de parfaire le traitement que j'avais été obligé de mettre de toute urgence moi-même en route pour sauver la vie du malade après que ses infirmières m'ont averti qu'elle avaient eu l'ordre de n'administrer qu'un  simulacre de ce traitement ! (pour plus de précisions se reporter aux sites 34640255 et 108281777  html ainsi qu'à ceux que  Google affiche quand on associe le nom des docteurs Elmelik à celui du docteur François Chedru, à celui du professeur Gérard Saïd, à celui du docteurs Jean-Yves-Beinis, qui avait exécuté les ordres d'Olivier Ille, ou encore celui des Conseillers de l'Ordre les Pierre Brassart et Patrice Bodenan, diligentés par le CNOM pour faire pression sur le plaignant et ses avocats et lui faire retirer sa plainte)

Le docteur François Chedru, bien qu'il ait été une relation du docteur Michel Serdaru (ils avaient publié en commun sur la maladie de Marchiafava Bignami et le syndrome de Gayet Wernicke  s'était "sacrifié" piur rendre une expertise bidon niant l'extrême gravité des fautes qui avaient été commises par le docteur Antoine Denis à la Clinique Léon Elmelik alors qu'il avait en main les éléments qui avaient provoqué la colère du docteur Michel Serdaru et lui avait fait dire que ne serait-ce que le centième des fautes qui avaient été commises méritait un procès !

Le suicide du professeur Jean-Louis Mégnien a pusb récemment révélé des pratiques de harcèlement moral qui règnent au sein des hôpitaux de l'AP - HP,  en dépit de "Espace Ethique" que l'AP - HP avait hypocritement mis enplace en 1995.

Cet "Espace" (lapsus d'Ecart ethique ?)  soi-disant éthique avait tout d'abord été installé   à l'hôpital Bicêtre avant d'être ransféré à l'hôpital Saint-Louis pour plus de discrétion, eu égard à ce qui s'était passé à Bicêtre dans le Service du professeur Gérard Saïd,  dans lequel un malade avait failli être astucieusement exécuté au prétexte qu'il était de toute façon rapidement "voué à une plus grande aggravation".

Il avait été mis en place non par pour promouvoir l'éthique, mais, en s'inspirant du système de défense de la pieuvre, pour échapper aux poursuites judiciaires que ledit malade, qui avait réussi à sortir vivant de son exécution programmée. 

Des années plus tard, docteur Olivier Ille, qui ne s'était pas du tout inquiété de ce que son infirmère très dévouée sème la mort dans son Service, suivant l'exemple du professeur Gérard Saïd, membre rédacteur de la Revue d'éthique médicale Médica Judaïca, aime à se parer ange dans des conférences « éthiques », notamment dans celles qu'il donne à Paray le Monial au sein de La Communauté de l'Emmanuel, dont une conférence intitulée "Prends soin de lui" (sic, cf. les 15 et 16 mars 2013)Bizarre autant qu'étrange, le professeur Gérard Saïd, Chef du Service de neurologie de l'hôpital Bicêtre et en 1990 rédacteur de la Revue Médica Judaïca en tant que membre de l'IFREMj (l'Institut de Formation et de Recherche en Ethique Médicale juive édite - éditait - cette Revue, dont Emmanuel Hirsch était le Rédacteur en Chef et dont il est maintenant impossible - ou difficile - de retrouver trace sur le Web et de savoir qui en sont ou en étaient membres alors que c'était encore possible en 2006) m'avait menacé de plainte en diffamation parce que je m'étais seulement étonné de ce qu'il m'avait tout de suite refusé l'accès au dossier de mon père, hospitalisé dans son Service, au prétexte qu'il avait été perdu *.

* Le dossier d'hospitalisation, mais le malade aussi avait été déclaré perdu par les Internistes de son Service, voué qu'il était soi-disant à une "inéluctable aggravation" (sic), un dossier dont il avait pourtant laissé libre accès aux médecins ** contre qui mon père avait à juste titre porté plainte contre X pour escroquerie, coups et blessures volontaires et non assistance à personne en péril.

** Ignorant à l'époque qu'il avait en fait été victime d'une tentative d'assassinat de la part des Internistes du Service de neurologie de l'hôpital Bicêtre, sa plainte visait essentiellement le rhumatologue de l'ex Clinique Léon Elmelik, sise à L'Haÿ-les-Roses et ses complices, connus dans le milieu médical sous le nom de "de la fine équipe des pieds nickelés " en raison de leur spécificité, cf. sur la Toile le site n° 34640255 html).

Le professeur GERARD SAïD a été par la suite, en 2004, lorsque je me suis adressé à la CADA pour accéder à ma demande, puisque j'avais de bonne source appris que le dossier n'était pas "perdu", été jusqu'à me faire accuser par

la DIRECTION DE L'HÔPITAL BICÊTRE d'avoir moi-même "fabriqué" (sic) PAR ANTISEMITISME (sic) la maladie dont mon père avait failli mourir, non pas dans son Service, mais à l' HÔPITAL CHARLES-FOIX, dans l'Unité de Soins Normalisés (sic) du docteur Jean-Yves Beinis, c'est-à-dire avant qu'il ne vienne à décéder à Bicêtre dans son Service.

Son Service de neurologie y avait en conséquence fait transférer mon père en le faisant accompagner de directives verbales émanant de son Chef de Clinique le docteur Pascal Masnou, des directives précisément rappelées pour l'enfumer dans une lettre manuscrite rédigée par Olivier Ille, qui était alors Interne dans le Service du professeur Gérard Saïd.

Les directives qui accompagnaient le malade non seulement étaient erronées mais elles l'étaient volontairement et mortellement.

Les directives rédigées par l'Interne ne pouvaient que l'avoir été volontairement parce qu'elles allaient très précisément à l'encontre du diagnostic de l'affection qui avait motivé l'admission urgente de mon père dans son Service, s'agissant d'un syndrome neuro-anémique caractérisé, un syndrome causé par une profonde carence vitaminiqueB12, une carence rapidement mortelle sans son traitement spécifique, très codifié, qui consiste à administrer par voie parentérale et sans perdre de temps, ne serait-ce que 24 heures, de la vitamine B12 pendant un mois à doses intensives et prolongées, et par la suite ad vitam à doses d'entretien.

Afin que le docteur Jean-Yves Beinis ne s'inquiète pas de l'état à venir de son malade les Intetnistes du Service du professeur Saïd l'avaient prévenu qu'il s'agissait d'un malade atteint d'une "encéphalopathie vasculaire" (sic) et d'une maladie d'Alzheimer se traduisant par "atteinte diffuse du système nerveux" vouant le mqalde à "UNE INELUCTABLE PLUS GRANDE AGGRAVATION " (sic, cf le compte-rendu d'hospitaluation signé Olivier Ille, CR qui qui me fut remis en décembre 1990 par le docteur Pascal Manou à la place du dossier d'hospitalisation).

Olivier Ille et le docteur Masnou avaient conseillé au docteur Beinis de trouver le moyen de tenir le fils du malade (moi en l'occurrence, qui suis médecin) à qui ils avaient fait croire que le traitement du syndrome neuro-anémique qui avait motivé l'hospitalisation de mon père dans leur Service avait été et continuait d'être normalement administré) éloigné durant une quizaine de jours au pretexte qu'il interférait (sic) avec les traitements !

Une quinzaine de jours, c'est-à-dire le temps que leur faux traitement ait produit son effet mortel.

La prédiction qui m'avait été donnée comme au docteur Beinis avait été que le malade était "de toute façon voué à une inéluctable aggravation".

Cette formulation s'est retrouvée telle quelle dans le rapport d'expertise rédigé (rédigée) six ans plus tard (en févtier 1996) par ledocteur François Chedru à la demande de madame Bénedicte Scelle, alors Juge d'Instruction au TGI de Créteil.

Quinze ans plus tard le professeur Olivier Lyon-Caen, bien évdemment au courant des faits,invitera le docteur François Chedru à l'émisson "Avec ou sans rendez-vous" (sur France-Culture "Avec ou sans rendez-vous" du 13 septembre 2011, consacré au monde de l’expertise médicale)

POURQUOI LE PROFESSEUR GERARD SAÏD N'A-T-IL PAS, COMME IL ME L'AVAIS PROMIS DEVANT TEMOINS (devant le docteur Patrick Hardy et devant madame Isabelle Pilot) PORTER CETTE GRAVE ACCUSATION DEVANT LES AUTORITES JUDICIAIRES ALORS QU'IL SAIT TRES BIENQUE SI C'ETAIT VRAI n que IL S'AGIRAIT DE MA PART D'UN CRIME QUE L'ARTICLE 40 DU CPP REND PASSIBLE D'UNE LOURDE CONDAMNATION PENALE ?

NB : Christne Malèvre, en 1997 infirmière dans le Servce du docteur Olivier Ille a été condamnée en 20030 à douze ans d'emrisonnement (elle n'en accomplira que quatre) après qu'elle s'est vantée d'avoir tué - pardon "euthanasié" une trentaine de malades.

Pourquoi ? ---> Les innovations du CNTS (Centre National de Transfusion Sanguine) visaient à rationaliser les transfusions.

Elles n'ont finalement fait que participer très largement à la diffusion du SIDA

Des dispositions judiciaires ad hoc ont par la suite visé innocenter non seulement les responsables mais aussi les exécutants de directives gouvernementales qui avaient favorisé la commercialisation et l'écoulement des lots de sangs alors même qu'ils les savaient contaminés par le virus du SIDA non désactivé par le chauffage (non-lieu général sur les affaires touchant de près ou de loin à l'affaire du sang contaminé, loi Fauchon), et tant pis pour les victimes, qui n'en ont été pas moins affectés que les victimes des attentats perpétrés par DAECH.

Les sites n° 34640255 et 108281777 html exposent comment les malades qui avaient été transfusés avec ces lots ont été traités et comment ces affaires ont "démocratiquement" et astucieusement été étouffées, avec la complicité du Conseil de l'Ordre des médecins, de la Justice et de certains Services de l'AP - HP qui s'y sont par la suite prétés, déjà parées ou se parant de toutes les vertus "éthiques" imaginables en guise de rideau de fumées (L'Espace Ethique de l'AP - HP, créé à Bicêtre en 1995 et confié non pas à un médecin mais à Emmanudel Hirsch, comme par hasard proche du professeur Gérard Saïd et frère de Martin Hirsch.

("Dans cette affaire on n'a rien à craindre", pouvait-on entendre dire à l'hôpital Saint-Louis avant le procès de Christine Malèvre "on tient la Médecine, la Presse et la Justice "

De fait, la Justice ne s'est guère et même pas du tout intéressée au docteur Olivier Ille, qu'elle s'est bien gardée d'interroger sur ses antécédents en vertu de ce qu'elle en savait, qu'il ne fallait pas mettre sur la table.

​Le besoin de se concilier les bonnes grâces du Conseil de l'Ordre des médecins explique aussi pourquoi le gouvernement de l'époque s'est bien gardé de mettre à exécution ses promesses pré-électorales, qui était de le supprimer.

Les décisionnaires en charge de la Santé ont été jugés responsables "mais non coupables" de la mise en circulation et de la commercialisation de ces lots.

Les exécutants ont ainsi pour la plupart pu échapper à leur part de responsabilité, la commauté homosexuelle ayant été rendue le plus largement possible responsable de l'épidémie.

Les directives qui ont suivies ont visé à faire-faire des économies à l'Assurance Maladie.

Elles ont en fin de compte coûté très cher au pays, en sus d'avoir été ruineuses pour les patients qui avaient fait l'objet de transfusions de sangs dans la première moitié des années 1980, et au delà des patients transfusés, à leur famille, mais beucoup moins et même pas du tout aux responsables politiues aux laboratoires pharmaceutiques qui fabriquent les remèdes et les tests destinés à contrer le SIDA, sauf pour les médecins et les soignants qui ont professionnellement contracté ladite maladie - encore qu'il est des cas où ils ont réussi à se faire largement dédommager, sans même qu'il ait été prouvé qu'ils avaient été contaminés dans l'exercice de leur profession.

Il avait paru intelligent aux ministères impliqués de pas laisser les patients qui ignoraient qu'il avaient été contaminés lors de transfusions de sang le temps de développer un Sida maladie puisque cela permettait ne pas avoir à les dédommager !

Les laisser mourir plutôt que de les soigner lorsqu'ils étaient hospitalisés pour une affection spontanément mortelle, voire de les expédier directement ad patres sous prétexte d'euthanazies euthansies lorsque les circonstances s'y prêtaient (cas p. ex. des malades âgés du docteur Olivier Ille exécutés par sa très zélée Christine Malèvre au CHU de Mantes la Jolie en 1997, pour ce qui est des cas qu'il n'a pas été possible de masquer, le docteure Laurence Kouyoumdjian les ayant fait cesser en les signalant, à la différence de son collègue Olivier Ille, qui s'en était gardé, et qui put ainsi conserver son poste de Chef de Service jusqu'à maintenant cependant que Laurence Kouyoumdjian fut, en guise de remerciements, priée de déguerpir comme une malpropre pour avoir osé faire son devoir en faisant cesser ses assassinats et avoir ainsi failli dévoiler une politique génocidaire et ternir l'image de la médecine hexagonale.

Selon le docteure Anne-Marie Casteret ("L'affaire du sang", 1992, aux éditions La découverte, toujours disponible chez votre libraire) durant deux ans et demi environ 200 personnes ont été chaque semaine contaminées. Ce qui fait autour de 26.800 personnes, c'est-à-dire bien plus que ne l'indique le WSWS (le World Socialist Wide Site), quinne comptabilise que les hémophiles).

Les éventuelles causes de fragilités des malades comme le grand âge et la nature de leur maladie étaient mises à profit pour donner le change et faire croire à un processus irrémédiable.

Le cas d'un malade illustre cet état de chose, trop épouvantable pour avoir pu faire l'objet d'un jugement et d'une condamnation pénale.

Il a été étouffé mais a fait l'objet d'un exposé chronologique sur le site 34640255 html .

"En France, de toute façon, il n'y a pas de justice", m'avaient d'emblée prévenu maîtres Catherine Scotto-Derouet et Annick Dorsner-Dolivet lorsque je les avais contactées pour leur confier la défense de ce patient qui avait, à cause de la sagacité d'une infirmière* de l'hôpital gériatrique Charles-Foix réussi à échapper à la fin prochaine qui lui avait été savamment concoctée

*Madame Pondu, était la Surveillante de l'Unité de Soins dits Normalisés, USN alors dirigée par le docteur Jean-Yves Beinis, qui avait aveuglément suivi les directives, subtilement mortifères, que lui avait dans une lettre manuscrite très lisible, datée du 22 août 1990, dicté Olivier Ille depuis le Service de neurologie du CHU Bicêtre, alors dirigé par le professeur Gérard Saïd.

(voir sur ce blog l'article 34640255 html, et en annexe à la Bibliographie relative au syndrome NDB12PP pourquoi le professeur Saïd a en novembre 1997 donné l'ordre de faire disparaître la Revue de référence qu'est "Archives of Neurology" à la bibliothèque universitaire du son CHU).

C'est que la découverte de ce genre de "bavures" qualifiées le 27 avril de "petites erreurs d'interprétation" par le docteur Patrice Bodenan est tellement épouvantable qu'elle a affolé la direction de l'AP - HP et donc le ministère de la Santé avant d'affoler ce qui s'appelle la Justice et l'Ordre des médecins.

Le Dr. Patrice Bodenan s'était dévoué en prenant sans grands risques sur lui d'étouffer dans l'oeuf la plainte du rescapé en le menaçant de représailles ordinales, des représailles à valoir sur son fils au cas où il maintiendrait sa plainte et se porterait Partie Civile.

Médecin anesthésiste formé par Edith Elmelik dans le Service du professeur Pierre Huguenard, il est l'auteur en 1999 d'un Mémoire sur les "Problèmes Éthiques posés par les Commissions de Conciliation hospitalières", alors mis en ligne avant d'être retiré l'an dernier après qu'il a lu les critiques que l'on pouvait lui adresser.

Bodenan était bien placé pour savoir et écrire que "force est de constater que le dispositif opérationnel" risque beaucoup d'être inopérant

Référence de l'affaire communiquée à la Présidence de la République sous l'égide de Nicolas Sarkozy : SCP/Cdo/A117429

Contrairement à de nombreux patients mon père, Pierre-André Cretien, avait, à l'âge de 79 ans, réussi à échapper à une "euthanasie" dont il n'aurait en aucun cas acceptée.

L' "euthanasie" qui lui avait été concoctée a bien failli "réussir" après l'avoir mis dans un état de très grandes souffrances physiques et morales (voir site n°108281777 html et "Une nuit viaminée" sur le blog de leon)

Le Président Nicolas Sarkozy m'avait fait rappeler par son Chef de Cabinet Monsieur Cédric Goubet les dispositions régissant "le droit des malades arrivés en fin de vie"

Mais la question sur laquelle j'avais voulu attirer l'attention du Ministère de la Santé comme celle de la Justice, et plus récemment celles de la Présidence de la République est d'un autre ordre. Elle porte sur l'assassinat des malades qui, quoique vieillissants, sont encore loin d'être "en fin de vie". Elle rejoint les préoccupations du Professeur Jacques Soubeyrand (Cf. "On tue les vieux" et "Douze gériatres en colère", aux éditions Fayard ).

Ces assassinats sont depuis une vingtaine d'années secrètement programmés par les (ou des) autorités sanitaires, sous le regard complaisamment aveugle de l'Ordre des médecins.

En août-septembre 1990, alors qu'il était un patient du docteur Pascal Masnou et de son Interne Olivier Ille, mon père, Pierre-André Cretien et moi-même par la suite par ricochet - en firent lourdement les frais, comme après lui la trentaine de malades qui ont "bénéficié" des soins de Christine Malèvre, qui les exécutait sous l'égide du docteur Olivier Ille, à l'instar du docteur Jean-Yves Beinis, qui les avait exécuté sur la personne de mon père.

Mon père n'était alors pas plus "en fin de vie" qu' "irrécupérable",dixit le docteur Beinis sous la dictée d'Olivier Ille, dont il exécuta les ordres mortifères, qui consistaient à simuler devant moi, pour me faire croire qu'il le recevaitn l'administration du traitement de la maladie de Biermer, une maladie diagnostiquée lors de son admission aux Urgences de Bicêtre le 31 juillet 1990 ... et rapidement mortelle au stade où mon père en était arrivé si cette maladie n'en bénéficie pas ...

Asuivre sur l'article précédent et sur www.genocides.over-blog.com (blog de leon)

 

Bibliographie relative à la découverte du NDB12PP

1 - 1978 Kolhouse & al, New Engl. J. Med. 299, 15, 787 - 792. "Cobalamin analogues are present in human plasma and can mask cobalamin defiency because current radioisotope dilution assays are not specifique for true cobalamin".
2 - 1987 Berger JR & al. Ann Intern Med. 107 : 78 "Progressive multifocal leukoencephalopathy associated with human immunodefiency virus infection".
3 - 1987 Ogier H. & al. éd. Masson "La cobalamine (vitamine B12), APECTS METABOLIQUES, GENETIQUES, NUTRITUIONNELS ET THERAPEUTIQUES"; 254-281.
4 - 1988 J. Lindebaum & al. N. Engl. J. of Med. "Neuropsychiatric disorders caused by cobalamin deficiency in the absence of anemia or macrocytosis"
5 - Arch Neurol 1991;48(3):312-314. "Abnormal vitamin B12 tabolism in human immunodeficiency virus infection : association with neurological dysfunction" (Accepted for publication September 5,1990).
6 - Arch Neurol 1992;49:501-506. "Plasma Vitamin B12 Level as a Potential Cofactor in Studies of Human Immunodeficiency Virus Type 1- Related Cognitive Changes".
7 - Arch Neurol 1993;50:807-811. Robertson et al. "Vitamin B12 Deficiency and Nervous System Disease in HIV Infection"
8 - JAMA 1993;269:1144-1153. "Preventive Health Care for Adults With HIV Infection"
9 - Arch Fam Med 1994;3:988-1002. "Human Immunodeficiency. Physician Guidelines, Advisory Group on HIV Second Edition"
10 - J. Nutr. 1997;127:345-351. "Low Serum Vitamin B-12 Concentrations Are Associated With Faster Human Immunodeficiency Virus Type 1 (HIV-1) Disease Progression".
11 - AIDS Clin Care 1998;1-1 "Peripheral Neuropathy in HIV Disease".
12 - Neurology 1999;53:592-592. "Prevalence of peripheral neuropathy in injection drug users"
13 - Arch Neurol 1999;56:84-89. "Peripheral Nerve Function in HIV Infection: Clinical, Electrophysiologic, and Laboratory Findings"
14 - Pediatrics 2000;106:35e-35. "Distal Sensory Polyneuropathy in a Cohort of HIV-Infected Children Over Five Years of Age"
15 - Neurology 2002;58:730-735. "Abnormal cobalamin-dependent transmethylation in AIDS-associated myelopathy"
16 - Revue de Médecine Interne 2003;24 (4): 218-223. "Carence en vitamine B12 avec test de Schilling normal ou syndrome de non dissociation de la vitamine B12 de ses protéines porteuses chez le sujet âgé. Etude de 60 patients".
17* - Arch Neurol. 2003;60(10):1457-62.) "Neuropsychiatric disturbances in presumed late-onset cobalamin C disease". (E. Roze, D. Gervais, S.Demeret, H. Ogier de Baulny, J. Zittoun, J.-F. Benoist, G. Saïd, C. Pierrot-Deseilligny, F. Bolgert)
18 - L' Encéphale, décembre 2003 Vol 29 (6), p. 560 - 565. "Délire Capgras chez une patiente de 64 ans atteinte d'une maladie de Biermer". ( C. Durand; S. Mary; P. Brazo; S. Dollfus).
.....................................................................................................
NB : En novembre 1997 le Professeur Gérard Saïd fit disparaître tous le numéros de la Revue Archives of Neurology des rayons de la Bibliothèque universitaire du CHU Bicêtre et cesser son abonnement à cette Revue au prétexte que c'était une "très mauvaise Revue" (sic) cependant qu'il fit des pieds et des mains pour pouvoir six ans plus tard y cosigner un article au côté des Drs. Hélène Ogier de Baulny et Jacqueline Zittoun.

Le "Magazine de la Santé", qu’animent sur Fr. 5 les Drs Marina Carrère d'Encausse et Michel Cymès, n'a bizarrement jamais fait état de la découverte du syndrome NDB12PP alors que son enseignement figure au programme de la médecine à la faculté de médecine, aonsi que me l'a rapporté une jeune Interne, stagiaire auprès d'un médecin généraliste, qui l'ignorait totalement, comme l'ignore la presque totalité des praticiens plus ou moins proches de la retraite, et même certains jeunes médecins.

Ne veulent-ils pas en parler par craintes de représailles ordinales ?

Ou pour raisons, dont probablement celles en rapport avec la Clinique Léon Elmelik et les assassinats délibérés de malades abusivement déclarés « en fin de vie » après qu’ils ont été contaminés par le VIH lors de transfusions de sang au cours de la première moitié des années 1980, années au cours desquelles près 25.000 patients ont été ainsi contaminés, dont probablement les 30 malades que Christine Malèvres s’était un peu trop vite vantée d’avoir éliminés en 1997 sous prétexte d’euthanasie dans le Service de pneumo-neurologie du docteur Olivier Ille au CHU de Mantes la Jolie, avant de s’apercevoir que ce n’était pas chose à crier sur les toits et de se rétracter.

Christine Malèvre n’avait en réalité été, en tant qu’exécutante, que la cinquième roue du carrosse.

Elle fit office de fusible, faisant l'objet d'une condamnation pénale cependant le docteure Laurence Kouyoumdjian, qui fit courageusement cesser ces assassinats en les dénonçant, fut sans ménagement débarquée de ce Service et invitée à aller se faire voir ailleurs, et que son collègue le patron de Christine Malèvre, le docteur Olivier Ille, qui déjà en 1990, quand il exerçait au CHU de Bicêtre, avait faillit expédier au moins un de ses malades dans l'au-delà ,en particulier celui dont j'ai alors sauvé la vie en contrecarrant son diagnostic d'Alzheimer et d'encéphalopathie vasculaire (sic) pour poser celui dudit syndrome, que j’avais alors appelé, qu'elle outrecuidance, « syndrome de carence vitaminique B12 avec test de Schilling normal et vitaminémie B12 normale), a conservé son poste de Chef de Service au CHU de Mantes la Jolie.

Olivier Ille joue maintenant à l'ange salvateur dans des conférences « éthiques » qu'il donne à Paray-le-Monial au sein de La Communauté de l'Emmanuel, dont une conférence intitulée "Prends soin de lui" (sic, cf. les 15 et 16 mars 2013)

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19 septembre 2016 1 19 /09 /septembre /2016 16:43

Le suicide du professeur Jean-Louis Mégnien a révélé des pratiques de harcèlement moral règnant au sein des hôpitaux de l'AP - HP,  en dépit de "Espace Ethique" que l'AP - HP avait mis enplace en 1995.

Cet "Espace" soi-disant éthique avait tout d'abord été installé   à l'hôpital Bicêtre avant d'être ransféré à l'hôpital Saint-Louis pour plus de discrétion, eu égard à ce qui s'était passé à Bicêtre dans le Service du professeur Gérard Saïd,  dans lequel un malade avait failli être astucieusement exécuté au prétexte qu'il était de toute façon rapidement "voué à une plus grande aggravation".

Il avait été mis en place non par pour promouvoir l'éthique, mais, en s'inspirant du système de défense de la pieuvre, pour échapper aux poursuites judiciaires que ledit malade, qui avait réussi à sortir vivant de son exécution programmée. 

Des années plus tard, e docteur Olivier Ille, qui ne s'était pas du tout inquiété de ce que son infirmère très dévouée sème la mort dans son Service, suivant l'exemple du professeur Gérard Saïd, membre rédacteur de la Revue d'éthique médicale Médica Judaïca, aime à se parer ange dans des conférences « éthiques », notamment dans celles qu'il donne à Paray le Monial au sein de La Communauté de l'Emmanuel, dont une conférence intitulée "Prends soin de lui" (sic, cf. les 15 et 16 mars 2013)Bizarre autant qu'étrange, le professeur Gérard Saïd, Chef du Service de neurologie de l'hôpital Bicêtre et en 1990 rédacteur de la Revue Médica Judaïca en tant que membre de l'IFREMj (l'Institut de Formation et de Recherche en Ethique Médicale juive édite - éditait - cette Revue, dont Emmanuel Hirsch était le Rédacteur en Chef et dont il est maintenant impossible - ou difficile - de retrouver trace sur le Web et de savoir qui en sont ou en étaient membres alors que c'était encore possible en 2006) m'avait menacé de plainte en diffamation parce que je m'étais seulement étonné de ce qu'il m'avait tout de suite refusé l'accès au dossier de mon père, hospitalisé dans son Service, au prétexte qu'il avait été perdu *.

* Le dossier d'hospitalisation, mais le malade aussi avait été déclaré perdu par les Internistes de son Service, voué qu'il était soi-disant à une "inéluctable aggravation" (sic), un dossier dont il avait pourtant laissé libre accès aux médecins ** contre qui mon père avait à juste titre porté plainte contre X pour escroquerie, coups et blessures volontaires et non assistance à personne en péril.

** Ignorant à l'époque qu'il avait en fait été victime d'une tentative d'assassinat de la part des Internistes du Service de neurologie de l'hôpital Bicêtre, sa plainte visait essentiellement le rhumatologue de l'ex Clinique Léon Elmelik, sise à L'Haÿ-les-Roses et ses complices, connus dans le milieu médical sous le nom de "de la fine équipe des pieds nickelés " en raison de leur spécificité, cf. sur la Toile le site n° 34640255 html).

Le professeur GERARD SAïD a été par la suite, en 2004, lorsque je me suis adressé à la CADA pour accéder à ma demande, puisque j'avais de bonne source appris que le dossier n'était pas "perdu", été jusqu'à me faire accuser par

la DIRECTION DE L'HÔPITAL BICÊTRE d'avoir moi-même "fabriqué" (sic) PAR ANTISEMITISME (sic) la maladie dont mon père avait failli mourir, non pas dans son Service, mais à l' HÔPITAL CHARLES-FOIX, dans l'Unité de Soins Normalisés (sic) du docteur Jean-Yves Beinis, c'est-à-dire avant qu'il ne vienne à décéder à Bicêtre dans son Service.

Son Service de neurologie y avait en conséquence fait transférer mon père en le faisant accompagner de directives verbales émanant de son Chef de Clinique le docteur Pascal Masnou, des directives précisément rappelées pour l'enfumer dans une lettre manuscrite rédigée par Olivier Ille, qui était alors Interne dans le Service du professeur Gérard Saïd.

Les directives qui accompagnaient le malade non seulement étaient erronées mais elles l'étaient volontairement et mortellement.

Les directives rédigées par l'Interne ne pouvaient que l'avoir été volontairement parce qu'elles allaient très précisément à l'encontre du diagnostic de l'affection qui avait motivé l'admission urgente de mon père dans son Service, s'agissant d'un syndrome neuro-anémique caractérisé, un syndrome causé par une profonde carence vitaminiqueB12, une carence rapidement mortelle sans son traitement spécifique, très codifié, qui consiste à administrer par voie parentérale et sans perdre de temps, ne serait-ce que 24 heures, de la vitamine B12 pendant un mois à doses intensives et prolongées, et par la suite ad vitam à doses d'entretien.

Afin que le docteur Jean-Yves Beinis ne s'inquiète pas de l'état à venir de son malade les Intetnistes du Service du professeur Saïd l'avaient prévenu qu'il s'agissait d'un malade atteint d'une "encéphalopathie vasculaire" (sic) et d'une maladie d'Alzheimer se traduisant par "atteinte diffuse du système nerveux" vouant le mqalde à "UNE INELUCTABLE PLUS GRANDE AGGRAVATION " (sic, cf le compte-rendu d'hospitaluation signé Olivier Ille, CR qui qui me fut remis en décembre 1990 par le docteur Pascal Manou à la place du dossier d'hospitalisation).

Olivier Ille et le docteur Masnou avaient conseillé au docteur Beinis de trouver le moyen de tenir le fils du malade (moi en l'occurrence, qui suis médecin) à qui ils avaient fait croire que le traitement du syndrome neuro-anémique qui avait motivé l'hospitalisation de mon père dans leur Service avait été et continuait d'être normalement administré) éloigné durant une quizaine de jours au pretexte qu'il interférait (sic) avec les traitements !

Une quinzaine de jours, c'est-à-dire le temps que leur faux traitement ait produit son effet mortel.

La prédiction qui m'avait été donnée comme au docteur Beinis avait été que le malade était "de toute façon voué à une inéluctable aggravation".

Cette formulation s'est retrouvée telle quelle dans le rapport d'expertise rédigé (rédigée) six ans plus tard (en févtier 1996) par ledocteur François Chedru à la demande de madame Bénedicte Scelle, alors Juge d'Instruction au TGI de Créteil.

Quinze ans plus tard le professeur Olivier Lyon-Caen, bien évdemment au courant des faits,invitera le docteur François Chedru à l'émisson "Avec ou sans rendez-vous" (sur France-Culture "Avec ou sans rendez-vous" du 13 septembre 2011, consacré au monde de l’expertise médicale)

POURQUOI LE PROFESSEUR GERARD SAÏD N'A-T-IL PAS, COMME IL ME L'AVAIS PROMIS DEVANT TEMOINS (devant le docteur Patrick Hardy et devant madame Isabelle Pilot) PORTER CETTE GRAVE ACCUSATION DEVANT LES AUTORITES JUDICIAIRES ALORS QU'IL SAIT TRES BIENQUE SI C'ETAIT VRAI n que IL S'AGIRAIT DE MA PART D'UN CRIME QUE L'ARTICLE 40 DU CPP REND PASSIBLE D'UNE LOURDE CONDAMNATION PENALE ?

NB : Christne Malèvre, en 1997 infirmière dans le Servce du docteur Olivier Ille a été condamnée en 20030 à douze ans d'emrisonnement (elle n'en accomplira que quatre) après qu'elle s'est vantée d'avoir tué - pardon "euthanasié" une trentaine de malades.

Pourquoi ? ---> Les innovations du CNTS (Centre National de Transfusion Sanguine) visaient à rationaliser les transfusions.

Elles n'ont finalement fait que participer très largement à la diffusion du SIDA

Des dispositions judiciaires ad hoc ont par la suite visé innocenter non seulement les responsables mais aussi les exécutants de directives gouvernementales qui avaient favorisé la commercialisation et l'écoulement des lots de sangs alors même qu'ils les savaient contaminés par le virus du SIDA non désactivé par le chauffage (non-lieu général sur les affaires touchant de près ou de loin à l'affaire du sang contaminé, loi Fauchon), et tant pis pour les victimes, qui n'en ont été pas moins affectés que les victimes des attentats perpétrés par DAECH.

Les sites n° 34640255 et 108281777 html exposent comment les malades qui avaient été transfusés avec ces lots ont été traités et comment ces affaires ont "démocratiquement" et astucieusement été étouffées, avec la complicité du Conseil de l'Ordre des médecins, de la Justice et de certains Services de l'AP - HP qui s'y sont par la suite prétés, déjà parées ou se parant de toutes les vertus "éthiques" imaginables en guise de rideau de fumées (L'Espace Ethique de l'AP - HP, créé à Bicêtre en 1995 et confié non pas à un médecin mais à Emmanudel Hirsch, comme par hasard proche du professeur Gérard Saïd et frère de Martin Hirsch.

("Dans cette affaire on n'a rien à craindre", pouvait-on entendre dire à l'hôpital Saint-Louis avant le procès de Christine Malèvre "on tient la Médecine, la Presse et la Justice "

De fait, la Justice ne s'est guère et même pas du tout intéressée au docteur Olivier Ille, qu'elle s'est bien gardée d'interroger sur ses antécédents en vertu de ce qu'elle en savait, qu'il ne fallait pas mettre sur la table.

​Le besoin de se concilier les bonnes grâces du Conseil de l'Ordre des médecins explique aussi pourquoi le gouvernement de l'époque s'est bien gardé de mettre à exécution ses promesses pré-électorales, qui était de le supprimer.

Les décisionnaires en charge de la Santé ont été jugés responsables "mais non coupables" de la mise en circulation et de la commercialisation de ces lots.

Les exécutants ont ainsi pour la plupart pu échapper à leur part de responsabilité, la commauté homosexuelle ayant été rendue le plus largement possible responsable de l'épidémie.

Les directives qui ont suivies ont visé à faire-faire des économies à l'Assurance Maladie.

Elles ont en fin de compte coûté très cher au pays, en sus d'avoir été ruineuses pour les patients qui avaient fait l'objet de transfusions de sangs dans la première moitié des années 1980, et au delà des patients transfusés, à leur famille, mais beucoup moins et même pas du tout aux responsables politiues aux laboratoires pharmaceutiques qui fabriquent les remèdes et les tests destinés à contrer le SIDA, sauf pour les médecins et les soignants qui ont professionnellement contracté ladite maladie - encore qu'il est des cas où ils ont réussi à se faire largement dédommager, sans même qu'il ait été prouvé qu'ils avaient été contaminés dans l'exercice de leur profession.

Il avait paru intelligent aux ministères impliqués de pas laisser les patients qui ignoraient qu'il avaient été contaminés lors de transfusions de sang le temps de développer un Sida maladie puisque cela permettait ne pas avoir à les dédommager !

Les laisser mourir plutôt que de les soigner lorsqu'ils étaient hospitalisés pour une affection spontanément mortelle, voire de les expédier directement ad patres sous prétexte d'euthanazies euthansies lorsque les circonstances s'y prêtaient (cas p. ex. des malades âgés du docteur Olivier Ille exécutés par sa très zélée Christine Malèvre au CHU de Mantes la Jolie en 1997, pour ce qui est des cas qu'il n'a pas été possible de masquer, le docteure Laurence Kouyoumdjian les ayant fait cesser en les signalant, à la différence de son collègue Olivier Ille, qui s'en était gardé, et qui put ainsi conserver son poste de Chef de Service jusqu'à maintenant cependant que Laurence Kouyoumdjian fut, en guise de remerciements, priée de déguerpir comme une malpropre pour avoir osé faire son devoir en faisant cesser ses assassinats et avoir ainsi failli dévoiler une politique génocidaire et ternir l'image de la médecine hexagonale.

Selon le docteure Anne-Marie Casteret ("L'affaire du sang", 1992, aux éditions La découverte, toujours disponible chez votre libraire) durant deux ans et demi environ 200 personnes ont été chaque semaine contaminées. Ce qui fait autour de 26.800 personnes, c'est-à-dire bien plus que ne l'indique le WSWS (le World Socialist Wide Site), quinne comptabilise que les hémophiles).

Les éventuelles causes de fragilités des malades comme le grand âge et la nature de leur maladie étaient mises à profit pour donner le change et faire croire à un processus irrémédiable.

Le cas d'un malade illustre cet état de chose, trop épouvantable pour avoir pu faire l'objet d'un jugement et d'une condamnation pénale.

Il a été étouffé mais a fait l'objet d'un exposé chronologique sur le site 34640255 html .

"En France, de toute façon, il n'y a pas de justice", m'avaient d'emblée prévenu maîtres Catherine Scotto-Derouet et Annick Dorsner-Dolivet lorsque je les avais contactées pour leur confier la défense de ce patient qui avait, à cause de la sagacité d'une infirmière* de l'hôpital gériatrique Charles-Foix réussi à échapper à la fin prochaine qui lui avait été savamment concoctée

*Madame Pondu, était la Surveillante de l'Unité de Soins dits Normalisés, USN alors dirigée par le docteur Jean-Yves Beinis, qui avait aveuglément suivi les directives, subtilement mortifères, que lui avait dans une lettre manuscrite très lisible, datée du 22 août 1990, dicté Olivier Ille depuis le Service de neurologie du CHU Bicêtre, alors dirigé par le professeur Gérard Saïd.

(voir sur ce blog l'article 34640255 html, et en annexe à la Bibliographie relative au syndrome NDB12PP pourquoi le professeur Saïd a en novembre 1997 donné l'ordre de faire disparaître la Revue de référence qu'est "Archives of Neurology" à la bibliothèque universitaire du son CHU).

C'est que la découverte de ce genre de "bavures" qualifiées le 27 avril de "petites erreurs d'interprétation" par le docteur Patrice Bodenan est tellement épouvantable qu'elle a affolé la direction de l'AP - HP et donc le ministère de la Santé avant d'affoler ce qui s'appelle la Justice et l'Ordre des médecins.

Le Dr. Patrice Bodenan s'était dévoué en prenant sans grands risques sur lui d'étouffer dans l'oeuf la plainte du rescapé en le menaçant de représailles ordinales, des représailles à valoir sur son fils au cas où il maintiendrait sa plainte et se porterait Partie Civile.

Médecin anesthésiste formé par Edith Elmelik dans le Service du professeur Pierre Huguenard, il est l'auteur en 1999 d'un Mémoire sur les "Problèmes Éthiques posés par les Commissions de Conciliation hospitalières", alors mis en ligne avant d'être retiré l'an dernier après qu'il a lu les critiques que l'on pouvait lui adresser.

Bodenan était bien placé pour savoir et écrire que "force est de constater que le dispositif opérationnel" risque beaucoup d'être inopérant

Référence de l'affaire communiquée à la Présidence de la République sous l'égide de Nicolas Sarkozy : SCP/Cdo/A117429

Contrairement à de nombreux patients mon père, Pierre-André Cretien, avait, à l'âge de 79 ans, réussi à échapper à une "euthanasie" dont il n'aurait en aucun cas acceptée.

L' "euthanasie" qui lui avait été concoctée a bien failli "réussir" après l'avoir mis dans un état de très grandes souffrances physiques et morales (voir site n°108281777 html et "Une nuit viaminée" sur le blog de leon)

Le Président Nicolas Sarkozy m'avait fait rappeler par son Chef de Cabinet Monsieur Cédric Goubet les dispositions régissant "le droit des malades arrivés en fin de vie"

Mais la question sur laquelle j'avais voulu attirer l'attention du Ministère de la Santé comme celle de la Justice, et plus récemment celles de la Présidence de la République est d'un autre ordre. Elle porte sur l'assassinat des malades qui, quoique vieillissants, sont encore loin d'être "en fin de vie". Elle rejoint les préoccupations du Professeur Jacques Soubeyrand (Cf. "On tue les vieux" et "Douze gériatres en colère", aux éditions Fayard ).

Ces assassinats sont depuis une vingtaine d'années secrètement programmés par les (ou des) autorités sanitaires, sous le regard complaisamment aveugle de l'Ordre des médecins.

En août-septembre 1990, alors qu'il était un patient du docteur Pascal Masnou et de son Interne Olivier Ille, mon père, Pierre-André Cretien et moi-même par la suite par ricochet - en firent lourdement les frais, comme après lui la trentaine de malades qui ont "bénéficié" des soins de Christine Malèvre, qui les exécutait sous l'égide du docteur Olivier Ille, à l'instar du docteur Jean-Yves Beinis, qui les avait exécuté sur la personne de mon père.

Mon père n'était alors pas plus "en fin de vie" qu' "irrécupérable",dixit le docteur Beinis sous la dictée d'Olivier Ille, dont il exécuta les ordres mortifères, qui consistaient à simuler devant moi, pour me faire croire qu'il le recevaitn l'administration du traitement de la maladie de Biermer, une maladie diagnostiquée lors de son admission aux Urgences de Bicêtre le 31 juillet 1990 ... et rapidement mortelle au stade où mon père en était arrivé si cette maladie n'en bénéficie pas ...

Asuivre sur l'article précédent et sur www.genocides.over-blog.com (blog de leon)

 

Bibliographie relative à la découverte du NDB12PP

1 - 1978 Kolhouse & al, New Engl. J. Med. 299, 15, 787 - 792. "Cobalamin analogues are present in human plasma and can mask cobalamin defiency because current radioisotope dilution assays are not specifique for true cobalamin".
2 - 1987 Berger JR & al. Ann Intern Med. 107 : 78 "Progressive multifocal leukoencephalopathy associated with human immunodefiency virus infection".
3 - 1987 Ogier H. & al. éd. Masson "La cobalamine (vitamine B12), APECTS METABOLIQUES, GENETIQUES, NUTRITUIONNELS ET THERAPEUTIQUES"; 254-281.
4 - 1988 J. Lindebaum & al. N. Engl. J. of Med. "Neuropsychiatric disorders caused by cobalamin deficiency in the absence of anemia or macrocytosis"
5 - Arch Neurol 1991;48(3):312-314. "Abnormal vitamin B12 tabolism in human immunodeficiency virus infection : association with neurological dysfunction" (Accepted for publication September 5,1990).
6 - Arch Neurol 1992;49:501-506. "Plasma Vitamin B12 Level as a Potential Cofactor in Studies of Human Immunodeficiency Virus Type 1- Related Cognitive Changes".
7 - Arch Neurol 1993;50:807-811. Robertson et al. "Vitamin B12 Deficiency and Nervous System Disease in HIV Infection"
8 - JAMA 1993;269:1144-1153. "Preventive Health Care for Adults With HIV Infection"
9 - Arch Fam Med 1994;3:988-1002. "Human Immunodeficiency. Physician Guidelines, Advisory Group on HIV Second Edition"
10 - J. Nutr. 1997;127:345-351. "Low Serum Vitamin B-12 Concentrations Are Associated With Faster Human Immunodeficiency Virus Type 1 (HIV-1) Disease Progression".
11 - AIDS Clin Care 1998;1-1 "Peripheral Neuropathy in HIV Disease".
12 - Neurology 1999;53:592-592. "Prevalence of peripheral neuropathy in injection drug users"
13 - Arch Neurol 1999;56:84-89. "Peripheral Nerve Function in HIV Infection: Clinical, Electrophysiologic, and Laboratory Findings"
14 - Pediatrics 2000;106:35e-35. "Distal Sensory Polyneuropathy in a Cohort of HIV-Infected Children Over Five Years of Age"
15 - Neurology 2002;58:730-735. "Abnormal cobalamin-dependent transmethylation in AIDS-associated myelopathy"
16 - Revue de Médecine Interne 2003;24 (4): 218-223. "Carence en vitamine B12 avec test de Schilling normal ou syndrome de non dissociation de la vitamine B12 de ses protéines porteuses chez le sujet âgé. Etude de 60 patients".
17* - Arch Neurol. 2003;60(10):1457-62.) "Neuropsychiatric disturbances in presumed late-onset cobalamin C disease". (E. Roze, D. Gervais, S.Demeret, H. Ogier de Baulny, J. Zittoun, J.-F. Benoist, G. Saïd, C. Pierrot-Deseilligny, F. Bolgert)
18 - L' Encéphale, décembre 2003 Vol 29 (6), p. 560 - 565. "Délire Capgras chez une patiente de 64 ans atteinte d'une maladie de Biermer". ( C. Durand; S. Mary; P. Brazo; S. Dollfus).
.....................................................................................................
NB : En novembre 1997 le Professeur Gérard Saïd fit disparaître tous le numéros de la Revue Archives of Neurology des rayons de la Bibliothèque universitaire du CHU Bicêtre et cesser son abonnement à cette Revue au prétexte que c'était une "très mauvaise Revue" (sic) cependant qu'il fit des pieds et des mains pour pouvoir six ans plus tard y cosigner un article au côté des Drs. Hélène Ogier de Baulny et Jacqueline Zittoun.

Le "Magazine de la Santé", qu’animent sur Fr. 5 les Drs Marina Carrère d'Encausse et Michel Cymès, n'a bizarrement jamais fait état de la découverte du syndrome NDB12PP alors que son enseignement figure au programme de la médecine à la faculté de médecine, aonsi que me l'a rapporté une jeune Interne, stagiaire auprès d'un médecin généraliste, qui l'ignorait totalement, comme l'ignore la presque totalité des praticiens plus ou moins proches de la retraite, et même certains jeunes médecins.

Ne veulent-ils pas en parler par craintes de représailles ordinales ?

Ou pour X raisons, dont probablement celles en rapport avec la Clinique Léon Elmelik et les assassinats délibérés de malades abusivement déclarés « en fin de vie » après qu’ils ont été contaminés par le VIH lors de transfusions de sang au cours de la première moitié des années 1980, années au cours desquelles près 25.000 patients ont été ainsi contaminés, dont probablement les 30 malades que Christine Malèvres s’était un peu trop vite vantée d’avoir éliminés en 1997 sous prétexte d’euthanasie dans le Service de pneumo-neurologie du docteur Olivier Ille au CHU de Mantes la Jolie, avant de s’apercevoir que ce n’était pas chose à crier sur les toits et de se rétracter.

Christine Malèvre n’avait en réalité été, en tant qu’exécutante, que la cinquième roue du carrosse.

Elle fit office de fusible, faisant l'objet d'une condamnation pénale cependant le docteure Laurence Kouyoumdjian, qui fit courageusement cesser ces assassinats en les dénonçant, fut sans ménagement débarquée de ce Service et invitée à aller se faire voir ailleurs, et que son collègue le patron de Christine Malèvre, le docteur Olivier Ille, qui déjà en 1990, quand il exerçait au CHU de Bicêtre, avait faillit expédier au moins un de ses malades dans l'au-delà ,en particulier celui dont j'ai alors sauvé la vie en contrecarrant son diagnostic d'Alzheimer et d'encéphalopathie vasculaire (sic) pour poser celui dudit syndrome, que j’avais alors appelé, qu'elle outrecuidance, « syndrome de carence vitaminique B12 avec test de Schilling normal et vitaminémie B12 normale), a conservé son poste de Chef de Service au CHU de Mantes la Jolie.

Olivier Ille joue maintenant à l'ange salvateur dans des conférences « éthiques » qu'il donne à Paray-le-Monial au sein de La Communauté de l'Emmanuel, dont une conférence intitulée "Prends soin de lui" (sic, cf. les 15 et 16 mars 2013)

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15 septembre 2016 4 15 /09 /septembre /2016 15:20

Bizarre autant qu'étrange, le professeur Gérard Saïd, Chef du Service de neurologie de l'hôpital Bicêtre et en 1990 rédacteur de la Revue Médica Judaïca en tant que membre de l'IFREMj (l'Institut de Formation et de Recherche en Ethique Médicale juive édite - éditait - cette Revue, dont Emmanuel Hirsch était le  Rédacteur en Chef et dont il est maintenant impossible - ou difficile - de retrouver trace sur le Web et de savoir qui en sont ou en étaient membres alors que c'était encore possible en 2006) m'avait menacé de plainte en diffamation parce que je m'étais seulement étonné de ce qu'il m'avait tout de suite refusé l'accès au dossier de mon père, hospitalisé dans son Service, au prétexte qu'il avait été perdu *.

* Le dossier d'hospitalisation, mais le malade aussi avait été déclaré perdu par les Internistes de son Service, voué qu'il était soi-disant à une "inéluctable aggravation" (sic),  un dossier dont il avait pourtant laissé libre accès aux médecins ** contre qui mon père avait à juste titre porté plainte contre X pour escroquerie, coups et blessures volontaires et non assistance à personne en péril

** Ignorant à l'époque qu'il avait en fait été victime d'une tentative d'assassinat de la part des Internistes du Service de neurologie de l'hôpital Bicêtre, sa plainte visait essentiellement le rhumatologue de l'ex Clinique Léon Elmelik, sise à L'Haÿ-les-Roses et ses complices, connus dans le milieu médical sous le nom de "de la fine équipe des pieds nickelés " en raison de leur spécificité, cf. sur la Toile le site      n° 34640255 html).

Le professeur GERARD SAïD  a été par la suite, en 2004, lorsque je me suis adressé à la CADA pour accéder à ma demande, puisque j'avais de bonne source appris que le dossier n'était pas "perdu", été jusqu'à me faire accuser par

la  DIRECTION DE  L'HÔPITAL BICÊTRE d'avoir moi-même "fabriqué" (sic)  PAR ANTISEMITISME (sic)  la maladie dont mon père avait failli mourir, non pas dans son Service, mais  à l' HÔPITAL CHARLES-FOIX, dans l'Unité de Soins Normalisés (sic) du docteur Jean-Yves Beinis, c'est-à-dire avant qu'il ne vienne à décéder à Bicêtre dans son Service

Son Service de neurologie y avait en conséquence fait transférer mon père en le faisant accompagner de directives verbales émanant de son  Chef de Clinique le docteur Pascal Masnou, des directives précisément rappelées pour l'enfumer dans une lettre  manuscrite  rédigée par Olivier Ille, qui était alors Interne dans le Service du professeur Gérard Saïd.   

Les directives qui accompagnaient le malade non seulement étaient erronées mais elles l'étaient volontairement et mortellement.

Les directives  rédigées par l'Interne ne pouvaient que l'avoir été volontairement parce qu'elles allaient très précisément à l'encontre du diagnostic de l'affection qui avait motivé l'admission urgente de mon père dans son Service, s'agissant d'un syndrome neuro-anémique caractérisé, un syndrome causé par une profonde carence vitaminiqueB12, une carence rapidement mortelle sans son traitement spécifique, très codifié, qui consiste à administrer par voie parentérale et sans perdre de temps, ne serait-ce que 24 heures, de la vitamine B12 pendant un mois à doses intensives et prolongées, et par la suite ad vitam à doses d'entretien.  

Afin que le docteur Jean-Yves Beinis ne s'inquiète pas de l'état à venir de son malade les Intetnistes du Service du professeur Saïd l'avaient prévenu qu'il s'agissait d'un malade atteint d'une "encéphalopathie vasculaire" (sic) et d'une maladie d'Alzheimer se traduisant par "atteinte diffuse du système nerveux" vouant le mqalde à "UNE INELUCTABLE PLUS GRANDE AGGRAVATION " (sic, cf le compte-rendu d'hospitaluation signé Olivier Ille, CR qui qui me fut remis en décembre 1990 par le docteur Pascal Manou à la place du dossier d'hospitalisation).

Olivier Ille et le docteur Masnou avaient conseillé au docteur Beinis de trouver le moyen de tenir le fils du malade (moi en l'occurrence, qui suis médecin) à qui ils avaient fait croire que le traitement du syndrome neuro-anémique  qui avait motivé l'hospitalisation de mon père dans leur Service avait été et continuait d'être normalement administré) éloigné durant une quizaine de jours au pretexte qu'il interférait (sic) avec les traitements !

Une quinzaine de jours, c'est-à-dire le temps que leur faux traitement ait produit son effet mortel. 

La prédiction qui m'avait été donnée comme au docteur Beinis avait été que le malade  était "de toute façon voué à une inéluctable aggravation".

Cette formulation s'est retrouvée telle quelle dans le rapport d'expertise rédigé (rédigée) six ans plus tard (en févtier 1996) par ledocteur François Chedru à la demande de madame Bénedicte Scelle, alors Juge d'Instruction au TGI de Créteil.

Quinze ans plus tard le professeur Olivier Lyon-Caen, bien évdemment au courant des faits,invitera le docteur François Chedru  à l'émisson "Avec ou sans rendez-vous" (sur France-Culture "Avec ou sans rendez-vous" du 13 septembre 2011,  consacré au monde de l’expertise médicale)

POURQUOI LE  PROFESSEUR GERARD SAÏD N'A-T-IL PAS, COMME IL ME L'AVAIS PROMIS DEVANT TEMOINS (devant le docteur Patrick Hardy et devant madame Isabelle PilotPORTER CETTE GRAVE ACCUSATION DEVANT LES AUTORITES JUDICIAIRES ALORS QU'IL SAIT TRES BIENQUE SI C'ETAIT VRAI n que IL S'AGIRAIT DE MA PART D'UN CRIME QUE L'ARTICLE 40 DU CPP REND PASSIBLE D'UNE LOURDE CONDAMNATION PENALE ?

NB : Christne Malèvre, en 1997 infirmière dans le Servce du docteur Olivier Ille a été condamnée en 20030 à douze ans d'emrisonnement (elle n'en accomplira que  quatre) après qu'elle s'est vantée d'avoir tué - pardon "euthanasié" une trentaine de malades. 

Pourquoi ? ---> Les innovations du CNTS (Centre National de Transfusion  Sanguine) visaient à rationaliser les transfusions.

Elles n'ont finalement fait que participer très largement à la diffusion du SIDA

Des dispositions judiciaires ad hoc ont par la suite visé innocenter non seulement les  responsables mais aussi les exécutants de directives gouvernementales qui avaient favorisé la commercialisation et l'écoulement des lots de sangs alors même qu'ils les savaient contaminés par le virus du SIDA non désactivé par le chauffage (non-lieu général sur les affaires touchant de près ou de loin à l'affaire du sang contaminé, loi Fauchon), et tant pis pour les victimes, qui n'en ont été pas moins affectés que les victimes des attentats perpétrés par DAECH.

Les sites n° 34640255 et 108281777 html exposent comment les malades qui avaient été transfusés avec ces lots ont été traités et comment ces affaires ont "démocratiquement" et astucieusement été étouffées, avec la complicité du Conseil de l'Ordre des médecins, de la Justice et de certains Services de l'AP - HP qui s'y sont par la suite prétés, déjà parées ou se parant de toutes les vertus "éthiques" imaginables en guise de rideau de fumées (L'Espace Ethique de l'AP - HP, créé à Bicêtre en 1995 et confié  non pas à un médecin mais à Emmanudel Hirschcomme par hasard proche du professeur Gérard Saïd et  frère de Martin Hirsch.

("Dans cette affaire on n'a rien à craindre", pouvait-on entendre dire à l'hôpital Saint-Louis avant le procès de Christine Malèvre "on tient la Médecine, la Presse et la Justice "

De fait, la Justice ne s'est guère et même pas du tout intéressée au docteur Olivier Ille, qu'elle s'est bien gardée d'interroger sur ses antécédents en vertu de ce qu'elle en savait, qu'il ne fallait pas mettre sur la table.   

​Le besoin de se concilier les bonnes grâces du Conseil de l'Ordre des médecins explique aussi pourquoi le gouvernement de l'époque s'est bien gardé de mettre à exécution ses promesses pré-électorales, qui était de le supprimer.

Les décisionnaires en charge de la Santé ont été jugés responsables "mais non coupables" de la mise en circulation et de la commercialisation de ces lots. 

Les exécutants ont ainsi pour la plupart pu échapper à leur part de responsabilité, la commauté homosexuelle ayant été rendue le plus largement possible responsable de l'épidémie.

Les directives qui ont suivies ont visé  à faire-faire des économies à l'Assurance Maladie

Elles ont en fin de compte coûté très cher au pays, en sus d'avoir été ruineuses pour les patients qui avaient fait l'objet de transfusions de sangs dans la première moitié des années 1980et au delà des patients transfusés, à leur famille, mais beucoup moins et même pas du tout aux responsables politiues aux laboratoires pharmaceutiques qui fabriquent les remèdes et les tests destinés à contrer le SIDA, sauf pour les médecins et les soignants  qui ont professionnellement contracté ladite maladie - encore qu'il est des cas où ils ont réussi à se faire largement dédommager, sans même qu'il ait été  prouvé qu'ils avaient été contaminés dans l'exercice de leur profession.

Il avait paru intelligent aux ministères impliqués de pas laisser les patients qui ignoraient qu'il avaient été contaminés lors de transfusions de sang le temps de développer un Sida maladie puisque cela permettait ne pas avoir à les dédommager !

Les laisser mourir plutôt que de les soigner lorsqu'ils  étaient hospitalisés pour une affection spontanément mortelle, voire de les expédier directement ad patres sous prétexte d'euthanazies euthansies lorsque les circonstances s'y prêtaient (cas p. ex. des malades âgés du docteur Olivier Ille exécutés par sa très zélée Christine Malèvre au CHU de Mantes la Jolie en 1997, pour ce qui est des cas qu'il n'a pas été possible de masquer, le docteure Laurence Kouyoumdjian les ayant fait cesser en les signalant, à la différence de son collègue Olivier Ille, qui s'en était gardé, et qui put ainsi conserver son poste de Chef de Service jusqu'à maintenant cependant que Laurence Kouyoumdjian fut, en guise de remerciements,  priée de déguerpir comme une malpropre pour avoir osé faire son devoir en faisant cesser ses assassinats et avoir ainsi failli dévoiler une politique génocidaire et ternir l'image de la médecine hexagonale.

Selon le docteure Anne-Marie Casteret ("L'affaire du sang", 1992, aux éditions La découverte, toujours disponible chez votre libraire) durant deux ans et demi environ 200 personnes ont été chaque semaine contaminées. Ce qui fait autour de 26.800 personnes, c'est-à-dire bien plus que ne l'indique le WSWS (le World Socialist Wide Site), quinne comptabilise que les hémophiles).

Les éventuelles causes de fragilités des malades comme le grand âge et la nature de leur maladie étaient mises à profit pour donner le change et faire croire à un processus irrémédiable.

Le cas d'un malade illustre cet état de chose, trop épouvantable pour avoir pu faire l'objet d'un jugement et d'une condamnation pénale.

Il a été étouffé mais a fait l'objet d'un exposé chronologique sur le site 34640255 html .

"En France, de toute façon, il n'y a pas de justice", m'avaient d'emblée prévenu maîtres Catherine Scotto-Derouet et Annick Dorsner-Dolivet lorsque je les avais contactées pour leur confier la défense de ce patient qui avait, à cause de la sagacité d'une infirmière* de l'hôpital gériatrique Charles-Foix réussi à échapper à la fin prochaine qui lui avait été savamment concoctée

*Madame Pondu, était la Surveillante de l'Unité de Soins dits Normalisés, USN alors dirigée par le docteur Jean-Yves Beinis, qui avait aveuglément suivi les directives, subtilement mortifères, que lui avait dans une lettre manuscrite très lisible, datée du 22 août 1990, dicté Olivier Ille depuis le Service de neurologie du CHU Bicêtre, alors dirigé par le professeur Gérard Saïd.

(voir sur ce blog l'article 34640255 html, et en annexe à la Bibliographie relative au syndrome NDB12PP pourquoi le professeur Saïd a en novembre 1997 donné l'ordre de faire disparaître la Revue de référence qu'est "Archives of Neurology" à la bibliothèque universitaire du son CHU).

C'est que la découverte de ce genre de "bavures" qualifiées le 27 avril de "petites erreurs d'interprétation" par le docteur Patrice Bodenan est tellement épouvantable qu'elle a affolé la direction de l'AP - HP et donc le ministère de la Santé avant d'affoler ce qui s'appelle la Justice et l'Ordre des médecins.

Le Dr. Patrice Bodenan s'était dévoué en prenant sans grands risques sur lui d'étouffer dans l'oeuf la plainte du rescapé en le menaçant de représailles ordinales, des représailles à valoir sur son fils au cas où il maintiendrait sa plainte et se porterait Partie Civile.

Médecin anesthésiste formé par Edith Elmelik dans le Service du professeur Pierre Huguenard, il est l'auteur en 1999 d'un Mémoire sur les "Problèmes Éthiques posés par les Commissions de Conciliation hospitalières", alors mis en ligne avant d'être retiré l'an dernier après qu'il a lu les critiques que l'on pouvait lui adresser.

Bodenan était bien placé pour savoir et écrire que "force est de constater que le dispositif opérationnel" risque beaucoup d'être inopérant

Référence de l'affaire communiquée à la Présidence de la République sous l'égide de Nicolas Sarkozy : SCP/Cdo/A117429

Contrairement à de nombreux patients mon père, Pierre-André Cretien, avait, à l'âge de 79 ans, réussi à échapper à une "euthanasie" dont il n'aurait en aucun cas acceptée.

L' "euthanasie" qui lui avait été concoctée  a bien failli "réussir" après l'avoir mis dans un état de très grandes souffrances physiques et morales  (voir site n°108281777 html et "Une nuit viaminée" sur le blog de leon) 

Le Président Nicolas Sarkozy m'avait fait rappeler par son Chef de Cabinet Monsieur Cédric Goubet les dispositions régissant "le droit des malades arrivés en fin de vie"

Mais la question sur laquelle j'avais voulu attirer l'attention du Ministère de la Santé comme celle de la Justice, et plus récemment celles de la Présidence de la République est d'un autre ordre. Elle porte sur l'assassinat des malades qui, quoique vieillissants, sont encore loin d'être "en fin de vie". Elle rejoint les préoccupations du Professeur Jacques Soubeyrand (Cf. "On tue les vieux" et "Douze gériatres en colère", aux éditions Fayard ).

Ces assassinats sont depuis une vingtaine d'années secrètement programmés par les (ou des) autorités sanitaires, sous le regard complaisamment aveugle de l'Ordre des médecins.

En août-septembre 1990, alors qu'il était un patient du docteur Pascal Masnou et de son Interne Olivier Ille, mon père, Pierre-André Cretien et moi-même par la suite par ricochet - en firent lourdement les frais, comme après lui la trentaine de malades qui ont "bénéficié" des soins de Christine Malèvre, qui les exécutait sous l'égide du docteur Olivier Ille, à l'instar du docteur Jean-Yves Beinis, qui les avait exécuté sur la personne de mon père.

Mon père n'était alors pas plus "en fin de vie" qu' "irrécupérable",dixit le docteur Beinis sous la dictée d'Olivier Ille, dont il exécuta les ordres mortifères, qui consistaient à simuler devant moi, pour me faire croire qu'il le recevaitn l'administration du traitement de la maladie de Biermer, une maladie diagnostiquée lors de son admission aux Urgences de Bicêtre le 31 juillet 1990 ... et rapidement mortelle au stade où mon père en était arrivé si cette maladie n'en bénéficie pas ...

Asuivre sur l'article précédent et sur www.genocides.over-blog.com (blog de leon)

 

Bibliographie relative à la découverte du NDB12PP

1 - 1978 Kolhouse & al, New Engl. J. Med. 299, 15, 787 - 792. "Cobalamin analogues are present in human plasma and can mask cobalamin defiency because current radioisotope dilution assays are not specifique for true cobalamin".
2 - 1987 Berger JR & al. Ann Intern Med. 107 : 78 "Progressive multifocal leukoencephalopathy associated with human immunodefiency virus infection".
3 - 1987 Ogier H. & al. éd. Masson "La cobalamine (vitamine B12), APECTS METABOLIQUES, GENETIQUES, NUTRITUIONNELS ET THERAPEUTIQUES"; 254-281.
4 - 1988 J. Lindebaum & al. N. Engl. J. of Med. "Neuropsychiatric disorders caused by cobalamin deficiency in the absence of anemia or macrocytosis"
5 - Arch Neurol 1991;48(3):312-314. "Abnormal vitamin B12 tabolism in human immunodeficiency virus infection : association with neurological dysfunction" (Accepted for publication September 5,1990).
6 - Arch Neurol 1992;49:501-506. "Plasma Vitamin B12 Level as a Potential Cofactor in Studies of Human Immunodeficiency Virus Type 1- Related Cognitive Changes".
7 - Arch Neurol 1993;50:807-811. Robertson et al. "Vitamin B12 Deficiency and Nervous System Disease in HIV Infection"
8 - JAMA 1993;269:1144-1153. "Preventive Health Care for Adults With HIV Infection"
9 - Arch Fam Med 1994;3:988-1002. "Human Immunodeficiency. Physician Guidelines, Advisory Group on HIV Second Edition"
10 - J. Nutr. 1997;127:345-351. "Low Serum Vitamin B-12 Concentrations Are Associated With Faster Human Immunodeficiency Virus Type 1 (HIV-1) Disease Progression".
11 - AIDS Clin Care 1998;1-1 "Peripheral Neuropathy in HIV Disease".
12 - Neurology 1999;53:592-592. "Prevalence of peripheral neuropathy in injection drug users"
13 - Arch Neurol 1999;56:84-89. "Peripheral Nerve Function in HIV Infection: Clinical, Electrophysiologic, and Laboratory Findings"
14 - Pediatrics 2000;106:35e-35. "Distal Sensory Polyneuropathy in a Cohort of HIV-Infected Children Over Five Years of Age"
15 - Neurology 2002;58:730-735. "Abnormal cobalamin-dependent transmethylation in AIDS-associated myelopathy"
16 - Revue de Médecine Interne 2003;24 (4): 218-223. "Carence en vitamine B12 avec test de Schilling normal ou syndrome de non dissociation de la vitamine B12 de ses protéines porteuses chez le sujet âgé. Etude de 60 patients".
17* - Arch Neurol. 2003;60(10):1457-62.) "Neuropsychiatric disturbances in presumed late-onset cobalamin C disease". (E. Roze, D. Gervais, S.Demeret, H. Ogier de BaulnyJ. Zittoun, J.-F. Benoist, G. Saïd, C. Pierrot-Deseilligny, F. Bolgert)
18 - L' Encéphale, décembre 2003 Vol 29 (6), p. 560 - 565. "Délire Capgras chez une patiente de 64 ans atteinte d'une maladie de Biermer". ( C. Durand; S. Mary; P. Brazo; S. Dollfus).
.....................................................................................................
NB : En novembre 1997 le Professeur Gérard Saïd fit disparaître tous le numéros de la Revue Archives of Neurology des rayons de la Bibliothèque universitaire du CHU Bicêtre et cesser son abonnement à cette Revue au prétexte que c'était une "très mauvaise Revue" (sic) cependant qu'il fit des pieds et des mains pour pouvoir six ans plus tard y cosigner un article au côté des Drs. Hélène Ogier de Baulny et Jacqueline Zittoun.

Le "Magazine de la Santé", qu’animent sur Fr. 5 les Drs Marina Carrère d'Encausse et Michel Cymès, n'a bizarrement jamais fait état de la découverte du syndrome NDB12PP alors que son enseignement figure au programme de la médecine à la faculté de médecine, aonsi que me l'a rapporté une jeune Interne, stagiaire auprès d'un médecin généraliste, qui l'ignorait totalement, comme l'ignore la presque totalité des praticiens plus ou moins proches de la retraite, et même certains jeunes médecins. 

Ne veulent-ils pas en parler par craintes de représailles ordinales ?

Ou pour X raisons, dont probablement celles en rapport avec la Clinique Léon Elmelik et les assassinats délibérés de malades abusivement déclarés « en fin de vie » après qu’ils ont été contaminés par le VIH lors de transfusions de sang au cours de la première moitié des années 1980, années au cours desquelles près 25.000 patients ont été ainsi contaminés, dont probablement les 30 malades que Christine Malèvres s’était un peu trop vite vantée d’avoir éliminés en 1997 sous prétexte d’euthanasie dans le Service de pneumo-neurologie du docteur Olivier Ille au CHU de Mantes la Jolie, avant de s’apercevoir que ce n’était pas chose à crier sur les toits et de se rétracter. 

Christine Malèvre n’avait en réalité été, en tant qu’exécutante, que la cinquième roue du carrosse.

Elle fit office de fusible, faisant l'objet d'une  condamnation pénale cependant le docteure Laurence Kouyoumdjian, qui fit courageusement cesser ces assassinats en les dénonçant, fut sans ménagement débarquée de ce Service et invitée à aller se faire voir ailleurs, et que son collègue le patron de Christine Malèvre, le docteur Olivier Ille, qui déjà en 1990, quand il exerçait au CHU de Bicêtre, avait faillit expédier au moins un de ses malades dans l'au-delà ,en particulier celui dont j'ai alors sauvé la vie en contrecarrant son diagnostic d'Alzheimer et d'encéphalopathie vasculaire (sic) pour poser celui dudit syndrome, que j’avais alors appelé, qu'elle outrecuidance, « syndrome de carence vitaminique B12  avec  test de Schilling normal et vitaminémie B12 normale), a conservé son poste de Chef de Service au CHU de Mantes la Jolie.

Olivier Ille joue maintenant à l'ange salvateur dans des conférences « éthiques » qu'il donne à Paray-le-Monial au sein de La Communauté de l'Emmanuel, dont une conférence intitulée "Prends soin de lui" (sic, cf. les 15 et 16 mars 2013) 

 
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11 septembre 2016 7 11 /09 /septembre /2016 01:02

Elles ont visé à couvrir la non-assistance médicale délibérée et astucieusement masquéesée ciblant les patients qui avaient été transfusés lors de la première moitié des années 1980, c'est-à-dire quand la quasi totalité des transfusions de sang étaient contaminées par le virus du SIDA alors qu'ils étaient hospitalisés et couraient le risque de mourir rapidement du fait que le motif de leur hospitalisation était d'une maladie intercurrente mortelle sans son traitement spécifique.

Tel a été comme par exemple le cas, certainement pas unique, en août 1990 d'un malade de 79 ans atteint d'un syndrome neuro-anémique qui avait, 6 ans auparavant, subi une transfusion de sang (en avril 1984 à l'hôpital Saint-Louis dans le Service du professeur Witvoët au moment de la pose d'une prothèse totale de la hanche).

Outre qu'elle est rapidement et à tout moment mortelle à partir du moment où elle est cliniquement évidente (troubles neurologiques sévères avec syndrome tétra-pyramidal + symptomatologie cérébelleuse sévère se manifestant par des troubles de la marche avec hypermétrie et astasie-abasie + troubles digestifs causes d'une glossite douloureuse appelée "glossite de Hunter, d'anorexie et d'amaigrissement + troubles cardiovasculaires responsables d'angor et d'essoufflements) la maladie de Biermer était encore en 1990 considérée à 80% comme la cause principale d'un syndrome neuro-anémique.

Elle était réputée toucher préférentiellement les personnes âgées ayant passé l'âge de 65 ans. 

3 à 7 % de ces personnes en étaient victimes selon les auteurs publiant à son sujet. Cf. sur ce site "blog de leon - bibliographie relative au syndrome NDB12PP, un syndrome de même nature que la maladie de Biermer, qui n'en serait qu'une forme clinique à l'époque ignorée alors qu'il touche deux fois plus de personnes.  

Quoi qu'il en soit la vulnérabilité de ces malades a alors été mise à profit pour perpétrer des falsifications, qui ont été  couvertes par la justice et par le Conseil de l'Ordre des médecins, qui volent au secours des médecins qui suivent les directives  le invitant à faire disparaître discrètement, c'est-à-dire ni vu ni connu, les malades qui risquent de développer un SIDA maladie.

Les menaces de représailles ordinales sont proférées par les représentants de l'Ordre des médecins sur les Parties Civiles quand celles-ci découvrent ce qui se cache derrière les pseudo soins administrés aux malades anciennements transfusés. 

Le cas d'un malade illustre cet état de chose, qui a été  et reste d'autant plus épouvantable qu'il avait  a priori paru impensable (il est relaté entre autres sur le site n° 108281777 html) 

Trop épouvanbtable pour avoir pu faire l'objet d'un jugement et d'une condamnation pénale, sauvegarder coûte que coûte l' "image" des médecins et de la médecine oblige, selon les dires que le professeur René-Claude Touzart m'avait adressés le 17 janvier 1996 alors qu'il avait été le mois précédent nommé par madame Bénédice Scelle, juge d'Instruction au TGI de Créteil, pour rendre un rapport sur le cas de mon père, qui avait fait l'objet desdites mesures "préventives" en août-septembre 1990. 

René-Claude Touzart avait  éprouvé le besoin de me rappeler qu'il était fils et petit-fils de chirurgien pour me faire comprendre que les traditions corporatistes lui imposaient de taire la réalité.

L'affaire en question a été exposé en juillet 2009 de façon chronologique quoiqu'un peu trop succintement entre autres sur les sites n° 34640255, 69970222 et 108281777 html.

"En France, de toute façon, il n'y a pas de justice", m'avaient d'emblée prévenu maîtres Catherine Scotto-Derouet et Annick Dorsner-Dolivet lorsque je les abais contacyées pour leur confier la défense d'un patient qui avait réussi à échapper à la fin prochaine qui lui avait été concoctée.

 (voir sur ce blog l'article précédent).

La découverte de ces bavures est tellement épouvantable qu'elle a affolé la direction de l'AP - HP avant d'affoler la justice et l'Ordre des médecins.

Le Dr. Patrice Bodenan s'était dévoué en se chargeant d'étouffer dans l'oeuf la plainte de la victime en le menaçant de représailles ordinales, des représailles à valoir sur son fils au cas où il maintiendrait sa plainte et se porterait Partie Civile.

Médecin anesthésiste formé par Edith Elmelik dans le Service du professeur Pierre Huguenard,  il est l'auteur en 1999 d'un Mémoire sur les "Problèmes Éthiques posés par les Commissions de Conciliation hospitalières", alors mis en ligne avant d'être retiré l'an dernier après qu'il a lu les critiques que l'on pouvait lui adresser.

Bodenan était bien placé pour savoir et écrire que "force est de constater que le dispositif opérationnel" risque beaucoup d'être inopérant

Référence de l'affaire communiquée à la Présidence de la République sous l'égide de Nicolas Sarkozy : SCP/Cdo/A117429

Contrairement à de nombreux patients mon père, Pierre-André Cretien, avait, à l'âge de 79 ans,  réussi à échapper à une "euthanasie" non désirée;

Le Président Nicolas Sarkozy m'avait fait rappeler par son Chef de Cabinet Monsieur Cédric Goubet les dispositions régissant "le droit des malades arrivés en fin de vie"

Mais la question sur laquelle j'avais voulu attirer l'attention du Ministère de la Santé comme celle de la Justice, et plus récemment celles de la Présidence de la République est d'un autre ordre. Elle porte sur l'assassinat des malades qui, quoique vieillissants, sont encore loin d'être "en fin de vie". Elle rejoint les préoccupations du Professeur Jacques Soubeyrand (Cf. "On tue les vieux" et "Douze gériatres en colère", aux éditions Fayard ).

Ces assassinats sont depuis une vingtaine d'années secrètement programmés par les (ou des) autorités sanitaires, sous le regard complaisamment aveugle de l'Ordre des médecins.

En août-septembre 1990, alors qu'il était un patient du docteur Pascal Masnou et de son Interne Olivier Ille, mon père, Pierre-André Cretien et moi-même par la suite par ricochet - en firent lourdement les frais, comme après lui la trentaine de malades qui ont "bénéficié" des soins de Christine Malèvre, qui les exécutait sous l'égide du docteur Olivier Ille, à l'instar du docteur Jean-Yves Beinis, qui les avait exécuté sur la personne de mon père.

Mon père n'était alors pas plus "en fin de vie" qu' "irrécupérable",dixit le docteur Beinis sous la dictée d'Olivier Ille, dont il exécuta les ordres mortifères, qui consistaient à simuler devant moi, pour me faire croire qu'il le recevaitn l'administration du traitement de la maladie de Biermer, une maladie  diagnostiquée lors de son admission aux Urgences de Bicêtre le 31 juillet 1990 ... et rapidement mortelle au stade où mon père en était arrivé si cette maladie n'en bénéficie pas ...

(à suivre sur www.genocides.over-blog.com  (blog de leon)

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9 septembre 2016 5 09 /09 /septembre /2016 13:19

Il peut a priori sembler invraisemblable que d'avoir fait manger le contenu d'un petit pot d'aliments pour bébés de six mois à un malade de 79 ans souffrant d'une "atteinte diffuse du système nerveux" attribuée à la maladie d'Alzheimer (par les neurologues qui l'avaient en charge à l'hôpital Bicêtre dans un Service aussi pointu que celui du Pr.Gérard Saïd) à l'aide d'une petite cuillère ait été à même de semer la panique jusqu'au sein de la direction de l'Assistance Publique, de l'Ordre des médecins et de la Justice (c'est-à-dire au sein même de l’État de Droit dit "socialiste", ndlr)  parce qu'ouvrir la bouche pour les ingurgiter lui avait sauvé la vie bien que lesdits neurologues aient cru pouvoir, et même se faire le devoir (cf. infra pourquoi),  le déclarer "de toute façon voué à une inéluctable plus grande plus grande aggravation".

- Comment ça ?

Parce qu'il a fallu qu'il ouvre la bouche pour les ingurgiter, et que c'est ce qui a montré aux infirmières qui s'occupaient de lui qu'il souffrait non pas comme il leur avait été dit par leur patron de la maladie d'Alzheimer,mais de la maladie de Biermer, qui est une maladie qui relève d'un profond déficit en vitamine B12 et qui se soigne par conséquent très facilement pour presque rien par la vitamine B12,  et non pas par du Prozac*, comme le voulait les neurologues de Bicêtre et leur chef, le Dr. Jean-Yves Beinis, patron de l'Unité de Soins Normalisés de l'hôpital Charles-Foix où les neurologues l'avaient fait transférer pour qu'il y aille terminer ses jours ailleurs que chez eux.  

Même si les profonds déficits en vitaminique  B12 peuvent comme la maladie d'Alzheimer se manifester cliniquement par une "atteinte diffuse du ,système nerveux" il est impossible pour des neurologues de prendre l'une pour l'autre, sauf à être complétement nuls et incompétents, ou à le faire exprès.

- Or le Service de neurologie du Pr. Gérard Saïd, APRÈS qu'il a  remplacé le traitement vitaminique B12 de "l'atteinte diffuse du système nerveux" de leur malade par du Prozac * s'est ostensiblement réclamé, par de grandes affiches placardées dans ses couloirs et dans sa salle d'attente, à la pointe de la Recherche médicale sur l’intérêt des vitamines du groupe B dans le traitement des maladies neurologiques pour solliciter de la part des familles une participation financière à ses Recherches et se faire attribuer une Unité de Recherche par l'INSERM.

- Comme si ses neurologues avaient ignoré que la maladie de Biermer fait partie des maladies classées "urgences médicales": tout retard à son traitement expose en effet les malades à en mourir inopinément ou à ne pas pouvoir se rétablir de l'atteinte diffuse du système nerveux occasionnée par la carence en vitamine B12, et comme s'ils ignoraient que cette maladie carentielle est extrêmement fréquentes chez les personnes qui ont passé la soixantaine.

- Les bébés n'ont pas passé la soixantaine, alors pourquoi bourre-t-on les petits pots destinés à leur alimentation  de vitamine B12 ?

Non, les petits pots pour bébés ne sont pas bourrés de vitamine B12.  C'est pas pour ça que le fait d'avoir essayé de faire manger à la petite cuillère un petit pot pour bébés un malade de 79 ans affecté d'une "atteinte diffuse du système nerveux" a semé la panique en hauts lieux : c'est parce que ses médecins l'avaient déclaré être atteint de la maladie d'Alzheimer et qu'il était "de toute façon inéluctablement voué à une plus grande aggravation de son état", et par conséquent promis à une mort prochaine. Le Chef de Clinique, le Dr. Pascal Masnou avait été jusqu'à dire à son fils (qui est le rédacteur de cet article) qu'il était préférable pour son père comme pour lui que le malade ne survive pas trop longtemps à l'aggravation de son état, alors que ce n'était préférable que pour eux-mêmes, pour les médecins de la Clinique Léon Elmelik (voir sur ce blog les articles < Si c'est la Clinique de l'Haÿ-les-Roses, laissez tomber, Gloup. >< Une affaire à ne pas ébruiter > < Un aigle à deux boss >), pour le CNTS et par conséquent pour l'AP-HP, utilisatrice des flacons de sangs empoisonnés par le VIH que lui avait avait livré le CNTS, et donc pour les ministres de la Mitterrandie, jugés "responsables mais non coupables" de quelque 35.000 contaminations transfusionnelles dans les années 1980. 

Le malade était en fait affecté d'une forme clinique trois à quatre plus fréquente que les formes habituelles de la malade de Biermer, une forme clinique qui recevra en 2003 le nom de "syndrome NDB12PP" (de Non Dissociation de la vitamine B 12 de ses Protéines Porteuses), une forme clinique restée méconnue en France jusque dans "le milieu des  années 1990" (selon l'expression des Drs. E. Andrès & al)

 

En 2011, E.Andrès & al. ont suggéré que la grande fréquence du syndrome NDB12PP nouvellement observée correspond à l'augmentation actuelle de l'incidence du diabète de type II traité par la metformine, qui interfère avec la vitamine B12 (en en empêchant l'absorption digestive et/ou l'utilisation métabolique au niveau des transcobalamines ?). 

Une profonde carence de l'organisme en vitamine 12 peut causer un délire paranoïde qui disparaît non pas avec  un traitement neuroleptique, qui ne pourrait que l'aggraver, mais sous le traitement de la maladie de Biermer Cf. C. Durand; S. Mary; P. Brazo; S. Dollfus L' Encéphale, décembre 2003 Vol 29 (6), p. 560 – 565. "Délire Capgras chez une patiente de 64 ans atteinte d'une maladie de Biermer"

 

Démonstration :

Admis le 2 août 1990 en neurologie à l'hôpital Bicêtre dans le Service du professeur Gérard Saïd, mon père, âgé de 79 ans, avait un peu trop vite été déclaré : "être de toute façon voué à une inéluctable plus grande aggravation".

C'était ce que m'avait annoncé le Chef de Clinique, le docteur Pascal Masnou, dix jours après l'admission de mon père dans son Service.

Le Dr. Masnou avait ajouté à ses dires que mon père avait la maladie d'Alzheimer, et que "dans l'état où il se trouvait, il valait  mieux, pour moi comme pour lui, qu'il ne dure pas trop longtemps". 

J'avais protesté qu'il ne pouvait en aucun cas s'agir de cette maladie parce que l'année précédente mon père avait gardé une mémoire d'éléphant, qu'il s'agissait donc bien de la maladie de Biermer, même si les données du test de Schilling et de la vitaminémie B12 étaient normales, qu'il fallait par conséquent continué le traitement de cette maladie, d'autant que j'avais constaté que le test de Schilling avait en lui même apporté une amélioration clinique transitoire dans les jours suivants sa passation, qu'il n'y avait donc aucun inconvénient à en poursuivre le traitement puisque cette amélioration donnait la preuve qu'un gliome n'était pas en cause dans la survenue de ses troubles neurologiques.        

Le docteur Masnou refusait mordicus de s'être tromper malgré mes remarques circonstanciées et bien que maladie de Biermer ait été la raison même de l'admission de mon père en neurologie après qu'elle a été correctement diagnostiquée par les Urgentistes qui avaient devant moi examiné mon père aux Lits-Portes sur la constatation d'un tableau clinique dit de sclérose combinée de la moelle, de loin le plus fréquemment en cause dans cette maladie. Or la maladie de Biermer est rapidement et inéluctablement mortelle sans son traitement spécifique. C'est d'ailleurs pourquoi elle fait partie des urgences médicales. 

 Le docteur Masnou bien qu'il fasse partie d'un Service qui se prétendait à la pointe de la recherche en neurologie, a fait comme s'il ignorait en 1990 qu'il était depuis longtemps connu qu'un test de Schilling normal ni même une vitaminémie B12 normale ne suffisaient à l'éliminer le diagnostic de maladie de Biermer.  Cf: 1978 Kolhouse & al, New Engl. J. Med. 299, 15, 787 - 792. "Cobalamin analogues are present in human plasma and can mask cobalamin defiency because current radioisotope dilution assays are not specifique for true cobalamin".

Pourtant le Service du professeur Saïd n'a pas manqué, deux ans plus tard, par de grandes affiches placardées partout dans les couloirs et la Salle d'attente de faire savoir qu'une Unité de Recherche sur l'intérêt thérapeutique des vitamines dans le traitement des maladies neurologiques lui avait attribué par  l'INSERM, sollicitant au passage de la part des familles une participation financière à ses Recherches, alors qu'il avait en 1990 fait comme si l'article de Kolhouse & al publié en 1978 dans le prestigieux New England Journal of Mecicin n'existait pas.

Ces affiches furent dès le lendemain que j'en ai fait la remarque au docteur Masnou partout retirer, si bien que je n'ai pas pu en faire des photographies.

L'explication que me donna le docteur Masnou à ce retrait soudain était que Michel Crépeau, le Maire de la Rochelle, interdisait la mendicité ! 

La sentence du docteur Masnou de l’inéluctable aggravation de l'état du malade a été rapportée mot pour mot en février 1996 par le neurologue François Chedru, commis par madame Bénédicte Scelle, Juge d'instruction au TGI de Créteil, pour l'éclairer sur le bien fondé de la plainte de mon père, plainte portée à juste titre pour "coups et blessures volontaires et non assistance à personne en péril" contre les X médecins responsables de ses lourdes séquelles motrices occasionnées après que l'administration du contenu dudit petit pot lui a "miraculeusement" permis d'échapper à la mort : son contenu alimentaire n'était cependant pas en cause. C'était le fait que madame Pondu, la Surveillante de l'Unité de Soins Normalisés du docteur Jean-Yves Beinis, s'était placé en face du malade quand il a fallu lui en faire ingurgiter le contenu avec une petite cuillère qui a révélé la supercherie criminelle qui était à l'origine 1° de la sentence de mort proférée devant moi par le docteur Masnou et 2° de l'inexorable, et pour moi inexplicable, aggravation de son état : alors que le malade était depuis plusieurs semaines censé recevoir de la vitamine B12 à doses drastiques, ce qui est normalement le traitement de l'anémie de Biermer - la maladie qui avait été diagnostiquée à son admission aux Lits-Portes de l'hôpital Bicêtre et la cause de son admission en neurologie - il n'en avait reçu qu'un faux-semblant: 1/2 mg/semaine au lieu d'1 mg/jour par voie intramusculaire, et cela sur l'ordre expresse des neurologues du Service du professeur Gérard Saïd transmis dans un compte-rendu manuscrit de l'Interne Olivier Ille,au docteur Beinis daté du 22 août 1990, dont une copie m'a finalement été communiquée en décembre 1995 par la direction de l'hôpital Charles-Foix après par une lettre RAR j'ai demandé d'avoir copie du dossier d'hospitalisation de mon père dans le Service du docteur Beinis en 1990. Une lettre à laquelle le docteur François Chedru a en tant qu'expert forcément dû prendre connaissance en janvier 1996 mais dont il s'est gardé de faire état dans son expertise.

Demandez-vous pourquoi ?

Le fait que mon père ait, dans l'après-midi du 5 septembre 1990, dû ouvrir la bouche pour en avaler quelques cuillerées avait montré qu'il souffrait d'une GLOSSITE DE HUNTER (une langue rouge complétement dépapillée), pathognomonique des profondes carences vitaminique B12 provoquées par la maladie de Biermer.

L'Administration de l'AP-HP et la Justice firent à la suite de son inattendu rétablissement tout leur possible pour étouffer la reconnaissance de cette monstrueuse supercherie, pour ne pas dire de cette "astucieuse" manière de faire secrètement disparaître des malades gênants pour l'establishment

Pour des raisons compréhensibles quand on se place du point de vue de l'AP-HP et de la Justice, celles-ci ont fait leur possible pour que l'histoire de la résurrection du malade à partir de l'administration de ce petit pot soit enterrée par un "non-lieu" judiciaire.

Rien d'étonnant donc à ce que Emmanuel Hirsch m'ait en 1997 dit "connaitre par cœur" son histoire bien qu'il ne soit pas médecin, parce que c'est beaucoup grâce à cause de ce qui s'est passé en 1990 que depuis 1995, à la demande expresse du professeur Gérard Saïd, il occupe une Chaire d'enseignement de l'éthique médicale à l'AP-HP.

Cette Chaire  a été spécialement créée pour couvrir les égarements de l'AP-HP. Une Chaire d'enseignement hypocritement appelée "Espace Éthique de l'AP-HP", des égarements qui se sont prologés, jusqu'à m'accuser quatorze ans après (en 2004) d'avoir "moi-même sciemment 'fabriqué' la maladie de mon père par antisémitisme" (sic, dixit madame Isabelle Pilot)

Âgé de 79 ans, mon père ne pesait plus que 47 kilos pour 1m76 lorsqu'il a été hospitalisé le 22 août 1990 dans ce qui s'appelle une Unité de Soins Normalisés (sic),  en l'occurrence celle de l'hôpital gériatrique Charles-Foix, tellement "normalisés" qu'on y laissait les pigeons se pavaner dans ses couloirs et se taper furieusement a cloche aux dépens des plateaux repas des malades devenus incapables de les en empêcher. "Ils mettent un peu de vie dans le Service", me fit-on savoir lorsque je m'en suis inquiété.    

Précédemment hospitalisé le 2 août en neurologie pendant trois semaines dans service du professeur Gérard Saïd sur le diagnostic correct de maladie de Biermer, et donc celui d'une profonde avitaminose B12 facile à corriger par une vitaminothéraie B12, il avait été transféré en gériatrie trois semaines plus tard au prétexte que son état s'était aggravé malgré le traitement cependant qu'en réalité il ne l'avait pas reçu. Seul du Prozac* avait été administré bien que l'On (le Chef de Clinique Pascal Masnou) m'ait fait croire que le traitement de cette maladie était administré . 

Resté sans traitement réel, mon père était devenu trop mal en point pour manier la fourchette et pouvoir manger tout seul, mais ce n'est pas dans sa chambre mais dans la chambre voisine que j'avais surpris des pigeons se taper la cloche juchés sur la table de chevet d'une malade impotente.

La personne qui venait apporter les plateaux repas repassait une demi heure plus tard pour les reprendre..

Le malade, devenu squelettique, en était arrivé au point qu'il était en passe de mourir au soir du lundi 11 septembre 1990.

Le Chef du Service, un gériatre répondant au nom de Jean-Yves Beinis, ne s'était pas du tout inquiété de cet état de chose, même après que madame Pondu, la Surveillante, lui a fait part de ce qu'elle-même avait pu observer dans l'après-midi du 5 septembre en essayant de faire manger le malade : il maintint l'ordre qu'il avait lui-même reçu de la part des neurologues du Servie du professeur Gérard Saïd, de ne faire que semblant d'administrer devant moi le traitement de la maladie de Biermer.     .

Il faut le comprendre parce que les neurologues qui lui avaient adressé le malade depuis le CHU de Bicêtre (depuis le Service de neurologie du professeur Gérard Saïd), au vu d'un scanner et d'autres examens para cliniques, avaient astucieusement posé le diagnostic d'une  "ATTEINTE DIFFUSE DU SYSTÈME NERVEUX". Pour que le docteur Jean-Yves Beinis ne soit pas tenté de lui en administrer le traitement, plutôt que de parler d'anémie de Biermer, comme l'avaient fait devant moi les Urgentistes des Lits-Portes de l'hôpital Bicêtre au terme de leur examen neurologique comme au vu de l'hémogramme du malade au soir du mercredi 31 juillet 1990, ils avaient ainsi de façon floue, à la fois ni vraie ni fausse, "étiqueté"  l'affection du malade qu'ils lui adressaient. Ils savaient que le docteur Beinis était peu regardant n'y verrait pas malice. 

Cette  atteinte, ils la disaient être consécutive à une encéphalopathie vasculaire compliquant une probable maladie d'Alzheimer, et sans doute aussi une tumeur du tronc cérébral, qu'ils avaient baptisée "hydrome sous-tentoriel" .

Les neurologues de Bicêtre avaient en conséquence  prévenu le docteur Beinis, comme ils m'avaient aussi prévenu, que le malade était "de toute façon voué à une inéluctable plus grande aggravation" (sic)

Cet "étiquetage" et le pronostic qui allait avec ont  été reporté à l'identique dans une expertise judiciaire rédigée en février 1996 par le docteur François Chedru, neurologue Chef de Service au CHU de Meaux (voir à "omerta médicale et non-lieu abusif" sur le "blog de leon") 

Le professeur René-Claude Touzard avait été pressenti par madame Bénédicte Scelle, Juge d'Instruction au TGI de Créteil, pour instruire le procès que ledit malade avait intenté contre X après qu'il a pu récupérer ses esprits et une dizaine de kilos grâce à l'action conjuguée.

1° - d'un petit d'aliments pot pour bébés 

2° - de la cyanocobalamine à dose drastique.

 

La cyanocobalamine est la vitamine B12, une vitamine

indispensable au bon fonctionnement du système nerveux

 des malades lorsque ceux-ci sont atteints de la très

fréquente maladie de Biermer, une maladie qui touche

environ 5% des personnes âgées. De 3 à 7 % selon les

auteurs ayant publié sur le sujet. La  revue l'Encéphale a 

fait état de 7 % en 2003 dans un article consacré au délire

de Capgras)

Ou du syndrome NDB12PP, une affection apparentée à la

maladie de Biermer touchant deux fois plus de malades que

la maladie de Biermer, un syndrome qui serait sans doute

resté encore plus longtemps méconnu si l'administration d'un

petit pot pour bébés ne l'avait pas fait découvrir en 1990.

Son existence a été reconnue après que la plainte du malade

a semé la panique au sein de l'AP - HP, au point qu'il avait

fallu prendre en considération les dires du rédacteur du

présent article.

Il avait postulé son existence lorsqu'il avait signalé aux neurologues

de l'hôpital Bicêtre qu'il devait exister des formes de maladies de

Biermer avec test de Schilling normal et vitaminémie B12 normal.

Ceux-ci l'avaient très mal pris et avaient conseillé au docteur

Cretien, psychiatre, d'aller se faire soigner en psychiatrie  pour

avoir osé proférer pareilles inepties devant de si savants

neurologues.   

Pour plus de précisions sur ce cas désespéré exemplaire on est prié de se reporter au site n° 34640255 html  (Maltraitances aux prsonnes âgéessur le blog de leon, article daté du 6 août 2009 qui a inauguré ce blog sur l'URL www.genocides.over-blog.com parce que mon père avait en fait été ciblé comme le seront par la suite les malades assassinés par Christine Malèvre au CHU de Mantes la Jolie sous l'égide du même Olivier Ille, qui avait en 1990 lorsqu'il était Interne dans le Service du Pr. Said passé la consigne au Dr. Beinis de ne faire que semblant d'administrer à mon père le traitment de la maladie de Biermer, et sur le même site, l'article "Une affaire à ne pas ébruiter ".

 

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5 septembre 2016 1 05 /09 /septembre /2016 16:30

Le psychiatre Alain Didier-Weill, qui se dit psychanalyste lacanien, est aussi un écrivain et dramaturge freudien.

Il a imaginé et mis en scène "l'impossible rencontre" entre Freud et le jeune Adolfus Hitler 

A l'école des Beaux-Arts, Adolf Hitler a rencontré Hugo, un jeune aristocrate fortuné animé d'un antisémitisme virulent, un mal qui à l'époque était en Autriche très répandu dans la bourgeoisie intellectuelle.

Disciple de Sigmund Freud, le Dr. Carl Gustav Jung n'était pas aurtrichien, mais suisse. 

On sait que  Freud avait projeté de lui confier la présidence de l'API et d'en faire son successeur, histoire d'aryaniser un peu la psychanalyse alors même qu'il soupçonnait Jung de n'être pas vraiment indemne de cette maudite tare.

A la suite ou au prétexte de divergeances conceptuelles irréductibles, rivalités oedipiennes (ou "mimétiques", c'est-à-dire girardiennes) obligent, Jung envoie Hugo exposer  son problème (et ainsi celui de Hitler) à Freud alors qu'à l'époque Hitler n'était pas antisémite mais au contraire philosémite.  

Le philosophe-psychanalyse lacanien et art thérapeute Jean Florence écrit à propos de cette fiction théatrale : 

<<Imaginer l'impossible rencontre entre Freud et le jeune Adolf Hitler, c'est l'occasion de cerner, dans une sorte d'histoire fantastique, les rapports entre la psychanalyse et l'antisémitisme. Ce qui est saississant, c'est que ce drame historique imaginaire aborde avec finesse et sans aucune caricature, les sources du racisme sur le mode d'une lucidité ironique et sans détour propre au théâtre d'Alain Didier-Weill. On peut à juste titre parler d'un "théâtre de la cruauté" qui aborde une réalité effroyable avec cette respectueuse distance que rend possible une pratique de l'humour que je n'hésite pas à qualifier de profondémént éthique >>.

Prétendre qu'une telle rencontre ne peut être qu'imaginaire au prétexte qu'elle n'aurait pas été possible est tout à fait étonnant de la part d'un psychanalyste qui se dit lacanien, parce que "tout" - c'est-à-dire le contexte et l'analyse des données historiques trop souvent passées sous silence malgré la publication, en 1972, des recherches de Walther Langer pour le compte des services secrets de renseignement américains (de l'Office of Strategic Service, l'OSS) avant l'entrée en guerre des Etats-Unis contre l'Allemagne nazie - n'indique pas qu'une rencontre entre Hitler et Freud a eu lieu.

Pourtant la rencontre a certainement eu lieu en 1908, après la mort de la mère d'Adolfus Hitler, qui a même été bénéfique pour l'analyste comme pour son patient.

Les recherches de Ron Rosenbaum sur Hitler et l'origine du mal, publiées en 1996 aux Etats-Unis et en France chez Jean-Claude Lattès en 1998 et son analyse critique du rappport de Walter C. Langer sont généralement passées sous silence et par historiens et par les psychanalystes, de même que celles,très exhaustives, menées par l'historienne Brigitte Hamann.

Ces dernières ont été publiées en Allemagne en 1996 et en France en 2001 aux éditions des Syrtes, sous le titre de "La Vienne d'Hitler" (ouvrage réédité en 2011). 

La "cure" psychanalytique d'Adolf Hiler s'est finalement faite au profit de l'analyste - de Freud et de sa fille Anna, qui bénéficieront d'un sauf conduit en 1938, un sauf conduit qu'un officier SS, un certain Anton Sauerwald, avait été spécialement chargé de lui remettre - comme au profit du futur maître de l'Allemagne nazie, Freud lui ayant permis, par de "judicieux conseils" (des conseils en fait pas vraiment désintéressés) d'accéder à lui-même et d'atteindre le rang, la place et la fortune auxquels son jeune patient se croyait en mesure de prétendre ... du fait de ses origines aristocratiques juives (réelles ou "fantasmées") 

Freud tirera d'ailleurs de cette rencontre, un temps mutuellement bénéfique mais on le sait, par la suite désastreuse pour tout le monde, un célèbre mais fallacieux concept psychanalytique, un concept que Freud s'appliquera à raison à lui-même (celui du roman familial du névrosé, un concept  "perlaboré" après sa rencontre avec le jeune Adolfus Hitler, qui s'installera plus tard à Berchstesgaden pour marquer son attachement en se rapprochant de la villégiature de son bienfaiteur secret.     

Jacques Lacan n'avait-il pas appris que Freud  avait, sur les recommandations du docteur Eduard Bloch, pris le jeune Adolfus Hitler en thérapie après le décès de sa mère ?

Jacques Lacan  n'en était pas alors clairement  conscient mais s'en était  persuadé "dans l'après-coup".

L'après-coup est un "concept" savant "perlaboré" par Freud dans  l'après coup qui implique une prise de conscience analytique retardée (dans l'après coup.) 

Dix ans plus tard, à la fin de la guerre de 14 -18, Adolf Hitler fut diagnostiqué hystérique par le psychiatre Edmund Forster, quand, gazé, il a été hospitalisé à l'hôpital de Pasewalk.

Adolf Hitler lui avait évidemment raconté qu'il avait été en cure avec le docteur Freud, et que celui-ci l'avait promis à un très grand avenir compte tenu de son passé généalogique, pourvu qu'il sache "sublimer" ses troubles psycho-névrotiques en développant ses dons artistiques innés pour la peinture, l'architecture ou la musique. D'où sa tentative d'inscription à l'Ecole des beaux Arts de Vienne. Ou à défaut des dons artistiques des capacités militaires et patriotiques dignes de Napoléon, histoire de clouer le bec aux affreux antisémites, lui qui se prétendait par son grand-père juif et de lignée aristocratique.   

Dans les lettres qu'il avait adressé au docteur Wilhelm Fliessson premier confident, Sigismund Freud s'était à lui-même appliqué le diagnostic d'hystérie.  

Freud les savait compromettantes. Il ne réussit pas à les faire disparaître, contrairement à ce qu'avait su faire de ses observations son ex patient Adolfus Hitler sitôt arrivé à la tête de l'Allemagne.

Hitler n'avait alors pas perdu de temps. Il avait tout de suite chargé ses sbires d'éliminer le docteur Edmund Forster et de faire disparaître les rapports cliniques que celui-ci avait publié à son sujet, prouvant ainsi que l'ex patient de Sigmund Freud et d'Edmund Forster s'était montré bien plus efficace que ses anciens médecins dans l'art de faire disparaître les traces  dérangeantes sur son passé psychiatrique. 

Ernst Weiss avait conservée copie de ces observations cliniques . Il avait cherché à en caché un exemplaire, ainsi qu'il l'a raconté dans un livre écrit dans l'urgence avant de se "suicider". Cf. "Le témoin oculaire" (Der Augenzeuge), édité en France chez Alinéa en 1963, réédité en 1991 chez Gallimard, Collection Folio).

La barbe de Freud était encore bien noire quand, à dix-neuf ans, le jeune Adolf (en 1908), inconsolable après la mort de sa mère, survenue fin décembre 1907.

Sur les recommandations du bon docteur Eduard Bloch, son médecin de famille, qui, "de toute sa carrière n'avait jamais vu quelqu'un d'aussi prostré, quelqu'un souffrir comme Adolf Hitler" (www.Eduard Bloch, médecin de la famille HitlerHitler avait été pour la première fois consulter le docteur Freud à Vienne à son Cabinet du "19 Berggasse". 

Freud rayonnait alors à la tête de l'API, et il avait aux yeux du docteur Bloch paru nécessaire de le lui adresser.

En 1936, le quatorzième Congrès International de Psychanalyse s'est tenu non pas comme aux premiers temps, à Nüremberg, mais à Marie nbad.

Cette année-là, c'était Ernest Jones qui le présidait.

Lui-même "victime" de mauvaise castration, ne pouvant donc résister à son désir, forcément pulsionnel, de "castrer" Ernest Jones, Jacques Lacan lui avait coupé la parole pour lui la prendre, et pouvoir ainsi de filer avant lui à l'anglaise pour s'y rendre (à Nüremberg), y admirer la moustache noire du Dieu-du-Stade-Oral-Olympique, à ses yeux bien plus jouissive réjouisante que celle que la docteur Freud donnait à voir avec sa barbe blanche-profeSSe-Orale.

Structurée comme un langage, l'Ecole de Lacan est représentée depuis la mort du Maître par Charles Melman (www.freud-lacan.com/.../1343).

Au chapitre "des relations du i et du a", Thierry Florentin, psychiatre et psychanalyste, membre de cette Ecole*, précise, dans un texte non daté de l'ALI, forcément postérieur à 2006 et certainement contemporain (www.freud-lacan.com/.../1343) :

<< Ce qui dans un discours s'adresse à l'Autre comme un Tu, fait surgir l'identification à ce qu'on peut appeler l'idole humaine.....C'est bien dans la mesure où quelque chose, dans tout discours qui fait appel au Tu, provoque à une identification camouflée, secrète, qui n'est que celle à cet objet énigmatique qui peut être rien du tout : le tout petit plus-de-jouir d'Hitler, qui n'allait peut être pas plus loin que sa moustache, voilà ce qui a suffi (sic) à cristalliser des gens qui n'avaient rien de mystique, qui étaient tout ce qu'il y a de plus engagés dans le procès du discours du capitaliste (avec ce que ça comporte de mise en question de plus-de-jouir sous sa forme de plus-value). Il s'agissait de savoir si à un certain niveau, on en aurait encore son petit bout. Et c'est bien ça qui a suffi (resic) à provoquer cet effet d'identification. Ce "plus-de jouir" a pris la forme d'une idéalisation de la race, de la chose qui, dans l'occasion, était la moins intéressée, mais on peut trouver d'où procède ce caractère de fiction, on peut le trouver. Ce qu'il faut dire, c'est qu'il n'y a aucun besoin de cette idéologie pour qu'un racisme se constitue : il y suffit d'un plus-de-jouir qui se reconnaisse comme tel. Et quiconque s'intéresse un peu à ce qui peut advenir fera bien de se dire que toutes les formes de racisme, en tant qu'un plus-de-jouir suffit très bien à le supporter, voilà ce qui maintenant est à l'ordre du jour. Voilà ce qui pour les années à venir (sic) nous pend au nez / ... / Un plus-de-jouir, ridicule, à peine avouable, qui prit en otage et criminalisa douze ans d'un peuple allemand qui se voulait émancipé, rassemblant et unifiant l'âme d'un peuple derrière le crime et l'abjection, l'impossible moustache d'Hitler ? / ... / Hitler, qui représente si bien l'objet dont Freud nous montre la fonction, dans cette espèce d'homogénéisation de la foule par identification à un objet à l'horizon, à un objet x, à un objet qui n'est pas comme les autres... La manifestation tout à fait énigmatique du signifiant de la puissance comme tel, c'est là ce dont il s'agit / ... / Dans le séminaire qu'il a tenu sur Le désir et son interprétation, quelques années avant son séminaire sur L'identification, Lacan avait déjà posé une remarque sur cette fascination des foules allemandes face à Hitler /... / La moustache d'Hitler, plus-de-jouir de son discours, et signifiant phallique de sa puissance, voilà qui ne laissera pas de nous rendre perplexe >>. Autrement dit, pas de moustache, pas d'hystlerisation des foules ni de viSSes vers ça.

Mais c'est-y pas bien dit, bien que du coup Gustave Le Bon soit un peu passé sous silence. Ce qui n'empêche pas Thierry Florentin de trouver amusant, mais inquiétant, que Lacan ait été le seul à avoir su prophétiser, dès le 20 janvier 1971, que les barbes du da SS nous pendaient au nez (müss tache oblige)

CQFD l'utilité publique d'ALI.

Dans sa biographie, parue en 1973, l'historien Joachim Fest prénomme Hitler Adolfus.

Pourquoi est-il le seul à l'avoir fait - du moins à notre connaissance, et pourquoi les autres historiens n'ont-ils pas recouru à cette dénomination ? Est-elle controuvée, ou trop insignifiante ?

L'historienne Brigitte Hamann a publiée un très savant livre sur la jeunesse d'Hitler. Très documenté, son travail est paru en 1996 en Allemagne, où il a été un "best seller". Le livre a été traduit et publié en France en 2001 aux éditions des Syrtes, et réédité depuis en 2011.

La précision de Joachim Fest n'y est pas répétée !

C'est un livre que George Steiner, l'auteur du "Procès d'AH", a trouvé "impressionnant et fascinan ...Que l'on accepte ou non son postulat de base" (quatrième de couverture)

George Steiner a manifestement du mal à admettre que le jeune Adolf Hitler puisse avoir été philosémite alors qu'il avait toutes les raisons de l'être, au point de faire le coup de poing pour soutenir son point de vue sur la question des immigrant juifs face à ses contradicteurs. Un fait qui explique peut-être pourquoi Wittgenstein ait pu si mystérieusement déclarer, en 1921, que "ce dont on ne peut parler, il faut le taire" (dans le Tractatus logico-philosophique, c'est-à-dire après que son ex ami Adolfus Hitler se soit si incompréhensiblement et si soudainement montré antisémite..

La question se pose aussi de savoir pourquoi Joachim Fest a été le seul à l'avoir faite; et au cas où elle serait controuvée, pourquoi les historiens ne se sont-ils pas attachés à redresser cette erreur, si erreur il y a ?

Pourquoi Joachim Fest est-il le seul à l'avoir pointé ?

Michel Onfray a plus récemment (le 3 mai 2010) montré dans "Libération" que Freud avait par ses lettres,un penchant prononcé pour le fascisme.

Lorsque j'avais dit au professeur Henri Baruk ce que je ressentais au sujet de Freud, il m'avait confié que Freud et Lacan étaient responsables de l’état désastreux où se trouvait la psychiatrie en France. A ma stupéfaction, il avait mis Freud et Hitler sur le même plan.

L'euthanasie des déficients mentaux était en effet une "solution " à laquelle Freud souscrivait, qui déclarait en privé que le mieux serait "d'en faire des cargaisons pour les couler".

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Tobie Nathan n'est pas comme Charles Melman psychanalyste et psychiatre, mais "ethnopsychiatre",  alacanien et afreudien.

De même que  Professeur Henri BarukT. Nathan n'apprécie guère et même pas du tout les conceptions "psychanalytiques" de Freud. Je n'ai pas encore lu la fiction qu'il a écrit à son sujet (Mon patient Sigmund Freud) parue en 2006, mais je doute que Tobie Nathan ait mit Freud sur le même plan qu'Hitler, ce qu'avait fait devant moi le professeur Baruk. Iobie Nathan sait pertinemment ce qu'il en coûte de s'attaquer trop ouvertement au maître-à-penser-de travers d'une  psychiatrie fixée au stade analytique   (au stade sadique-anal freudien)

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Les lettres de Freud à Wilhelm Fliess ont été partiellement publiées en France en 1953 après que Marie Bonaparte a pu les sauver de la destruction à laquelle Freud voulait les vouer.

Désobéissant à l'insistante demande de Freud, elle ne les avait pas brûlées après qu'elle a réussi à les récupérer chez un bouquiniste.

Elles purent ainsi être publiées en France en 1953, mais méticuleusement caviardées par Anna Freud, au prétexte qu'il fallait sauvegarder la "pierre angulaire" de la psychanalyse, à savoir le concept controuvé de "complexe d'oedipe", en realité parce que son père s'y avouait hystérique, et devoir son hystérie à son père Jakob Freud, qui aurait, par ses pratiques incestueuses, aussi hystérisé ses frères et ses soeurs.

Selon le naïf mais très sérieux Didier Anzieu, Freud se serait débarrassé de sa névrose hystérique par une "auto-analyse"...

Faire prendre conscience aux névrosés, grâce "l'analyse du transfert", que leur problématique était la conséquence d'un "complexe d'Oedipe mal liquidé" et d'un "Surmoi" tyranique était selon Freud thérapeutique alors même qu'il confiait en privé à Sandor Ferenczi, son "Grand Vizir secret", qu'il était clair que les malades ne pouvaient guérir, que les patients n'étaient que racailles, et que le mieux serait d'en faire des cargaisons pour les couler.

A en croire Auguste Strindberg, qui s'était un temps réfugié en Suède chez le Dr. Eliasson, un psychiatre de ses amis, celui-ci tenait à peu près le même genre de discours à l’encontre des aliénés "qui faisaient dégénérer l’humanité".

Hitler avait mis les propositions de Freud en action à l'encontre des "fous", en mettant l'idée à exécution.

A cette époque, les notions de races et de dégénérescence battaient leur plein. Le "disque-ourcourant" (pour parler lacanien) faisait des Juifs, par opposition à la "race nordique", présumée "pure", un mélange de races venues d'Afrique, donc une "race" mélangée particulièrement exposées à la dégénérescence ! (un dicours en contradiction avec les obserations anthropologiques)

Malgré leur absurdité et leur illogisme, ces idées sont restées vivaces. Elles ont imprégné les esprits jusqu'après la guerre de 39 - 45, si ce n'est juqu'au jour d'aujourd'hui, car j'ai été témoin de leur persistance dans un Service psychiatrique qui se prétendait "institutionnel" et "de gauche".

Elles occupent actuellement un autre crénau, à droite, celui de "l'entre-soi économique" des classes possédantes. Dans leur idéologie, celles-ci néantisent la découverte que la diversité génétique est bien plus favorable à la solidité des espèces que la "pureté raciale", paradigme de la "pureté économique", elle-même paradigme du pseudo-libéralisme, qui contraint les potentialités inventives des dominés à la stérilité. La culture de l'entre-soi économique est une forme d'incestualité préjudiciable à la santé économique des sociétés parce qu'elle stérilise l'inventivité potentielle des dominés, ainsi que le soutient Joseph Stiglitz dans "Le prix de l'inégalité" (aux éditions Les liens qui libèrent).

Avant et/ou après la guerre de 14 -18 Adolf(us) Hitler le ''névrosé'' aurait été consulter le ''névrosé'' Freud pour tenter de résoudre les problèmes moraux (le conflit intra-psychique) que lui posaient ses hautes origines juives.

D'après un rappport de Ron RosenbaumAdolf Hitler savait en effet qu’à travers sa grand-mère paternelle, Maria Schiklegrüber, une Autrichienne originaire de Spital, celles-ci étaient inavouables parce qu’ancillaires.

En s'adressant à Freud, Hitler était mal tombé : Freud aurait dans son "contre-transfert" projeté son propre complexe filial à Hitler, ainsi que le postule le psychiatre-psychanalyste français Roger Zadoun (2002 aux éditions de l'Harmattan), qui croit pouvoir "expliquer" Hitler par le complexe d'Œdipe, délire oblige, un "contre-transfert" inconsciemment impulsé par la propre équation historico-psycho-pathologique de son concepteur (de Freud évidemment, car de Roger Zagdoun, je ne sais rien, sinon qu'il prend les élucubrations projectives de Freud pour des vérités scientifiques aussi fondées que les lois de la gravitation. N'étant pas le seul à le faire, Roger Zagdoun n'est pas considéré comme psychiatriquement délirant, puisque selon son Confrère Sven Follin, un délire partagé perd son statut (sociologique) de délire.

(S. Follin avait avec Serge Leibovici et quelques autres psychiatres signé en décembre 1947 une pétition dénonçant la psychanalyse pour d'essence totalitaire, fasciste, voire "nazie". Le Dr. Sven Follin avait acquis à l'hôpital Saint-Anne la réputation d'être un fin clinicien pour savoir ne pas confondre, comme l'avait fait Karl Jaspers dans son étude sur Strindberg et Van Goghen - parue en 1953 aux éditions de Minuit, avec une préface de Maurice Blanchot, rééditée en 1970 avec une nouvelle préface du même qui désavoue la précédente - différencier la psychose schizophrénique de la psychose hystérique et de l'épilepsie).

Pour en revenir à Freud son équation personnelle était bien plus inavouable (forclose) que celle d’Hitler, et elle l'est restée. Il déplait d'ailleurs très fortement à Claude Lanzman qu'on puisse en dire quelque chose, et sûrement pas qu'à Claude Lanzman, à en juger par la bibliographie qui a accompagné cette année la diffusion sur France 3 télévision (et en librairie) de "Apocalypse Hitler".

Les prétentions de son patient était apparues à Freud bien trop élevées par rapport à ce que son misérable statut social laissait présager. Freud lui fit comprendre que les origines qu'il s’était inventées relevaient du roman familial des névrosés, ceux-ci se rêvant de hautes origines comme lui-même se l'était dans le passé figuré avant de revenir à la réalité. Une "réalité" qui avait en fait, selon Lacan, échappée au conscient de Freud. Il n'est cependant pas si sûr qu'elle lui ait complètement échappée, puisqu'il l'avait rêvée, mais qui pourrait tout aussi bien lui avoir été révélée par son père officiel, Jakob Freud, avant sa mort, survenue en 1896 : pour soulagé leur conscience, les mourants révèlent très souvent aux derniers moments les inavouables secrets qui les ont taraudés la vie durant : c'est sans doute pourquoi Freud rêva d'avoir à "fermer les yeux" et devoir renier ses premières intuitions, des découvertes dont il disait qu'elles étaient aussi importantes "que la découverte des sources du Nil", à savoir que les névroses - sinon les psychoses - résultent de psycho-traumatismes infantiles, ce que l'on est en train de redécouvrir.

Freud conçut en remplacement de la première, qui avait été très mal reçue, une théorie négationniste, dite œdipienne, sans vouloir (ni pouvoir ? ) en révéler les secrets fondements, des secrets de fabrication inavouables que Marie Balmary fut bien près d'avoir révélés sans le vouloir ni le savoir dans sa très brillante thèse psychanalytique, qui fut publiée et intitulée "L'homme aux statues", et sous titrée "La faute cachée du père". Une thèse que Balmary aurait peut-être dû sous-titrer "La faute cachée du grand-père" . C'est sans doute pour l'avoir évoquée implicitement que celle-ci fut refusée (refoulée et institutionnellement déclarée forclose). Mais sa thèse suscita immédiatement l'intérêt de Jacques Lacan, qui craignait que Balmary ne l'ait comme lui percé à jour, ce qui aurait cassé son savoir (son supposé savoir) raison pour laquelle il l'a convoqua, vérifier ce qu'il en était réellement. Marie Balmary s'en était trouvée à la fois flattée et toute étonnée (dans sa préface au livre d'Eva Thomas "Le sang des maux", si mes souvenirs sont bons").

Pour en revenir à la thèse de Roger Zagdoun, celui-ci n'a pas compris qu'après la guerre, Hitler avait compté sur ses mérites militaires pour être reconnu digne d'intégrer sa prestigieuse et richissime famille d'origine, et non pas d’en être rejeté de façon humiliante. D'où sa résolution, prise en 1919 après moult ruminations, de montrer à Freud comme à sa famille originelle présumée de quel bois il était fait. Ce n'est pas par hasard qu'il choisit, comme FreudBerchtesgaden comme villégiature, rivalité mimétique oblige. Il allait se venger (Vergeltung) de l'affront qui lui avait été fait en renvoyant les Juifs à leur propres inventions (le Ziklon B et le complexe d‘Œdipe). Une "signifiée" vengeance (concept lacanien) paranoïaque qu’il voulut à la mesure de sa grandeur humiliée - de sa grandiosité fantasmatique, pour employer un néologisme forgé par la psychanalyste Alice Miller, qui interpréta Hitler d'une autre manière que celle-ci, qui ne lui est pas incompatible - une vengeance à la mesure des risques encourus durant la guerre pour se faire reconnaître digne d’intégrer la famille. Son admiration ambivalente s’était ainsi muée en un "délire de haine", pour reprendre le concept clinique que le Pr. Henri Baruk a forgé à son sujet, une haine paranoïaque, c'est-à-dire narcissique (ou pharaonique, si on préfère), comme il arrive dans les amours fusionnelles et les généalogies incestueuses.

Le Pr. H. Baruk passait auprès de ses Confrères pour paranoïaque à cause de la haine que lui-même éprouvait envers Freud et Jacques Lacan. Il avait dû porter l’étoile juive pendant l’occupation et rendait, non sans raison, Freud responsable non seulement de la haine persécutive qu’avait porté Hitler à l’encontre des Juifs, mais aussi de l’état déplorable où se trouvait, nous l'avons dit, la psychiatrie française.

Du Pr. Baruk, ses confrères psychiatres se moquaient non seulement à cause de la haine "paranoïaque" qu'il vouait à Freud, mais aussi à cause de sa prétention à faire valoir que les états psychotiques (les bouffées délirantes et les états schizophréniques, qu'il disait être des syndromes plus que des maladies) pouvaient en fait provenir d’une toxicité particulière des sels biliaires (ce serait donc bien des maladies ! ). Il en aurait fait la démonstration, mais ses confrères l’accusèrent être de mauvaise foi, d’avoir triché en falsifiant les résultats de ses recherches cliniques pour en démontrer la validité.

Or il se trouve qu’il est actuellement fait état d’un Système Nerveux Entérique, un deuxième cerveau en constante interaction avec Système Nerveux Central, sans que l’on puisse savoir qui est aux commandes ! (selon Stanislav Disko Ehrlich, directeur de Recherche à l'Inra, à Jouy en Josas)

Freud n’avait en fait pas tellement eu tort de se trouver une autre famille que la sienne dans ses rêveries juvéniles : il ne serait en effet pas né du pauvre Jakob Freud, fils du rabbin Schlomo Freud, mais d'une relation inavouable. Freud pourrait ainsi avoir été le fils de Jacob Nathansohn, son grand-père maternel. Une autre hypothèse a été avancée est qu'il était le fils de son frère Philippe, mais elle entre beaucoup moins en résonance avec la théorie oedipienne. L'origine grand-parternelle en rend bien mieux compte. Elle justifie même sa théorie mythologique du "complexe d' Œdipe ", un complexe que Lacan disait "des dupes" pour marquer qu'il n’était qu’un miroir aux alouettes. La théorie oedipienne rend non pas compte d'une réalité générale, mais d'une réalité restreinte ne triAngulation familiale, qui fit que sa mère s'est retrouvée enceinte de son père et n'a pas pu (ou voulu) faire autrement que garder l'enfant qu'elle portait. La théorie que les fils désirent s'accoupler (copuler, cf. selon la définition freudienne de son complexe) avec leur mère n'est que le corollaire de l'a-Chose ancestrale. Freud serait donc né (selon Lacan) d'un inceste père-fille, un inceste de type I, selon la classification de Françoise Héritier. Une origine ‘‘en racine ² de moins un’’, tout à fait inavouable, que Jacques Lacan, qui prétendait savoir lire entre les lignes, avait percé à jour, sur le modèle de sa propre famille, le grand-père paternel de Jacques Lacan étant l'amant de sa mère, la belle-fille de son grand-père réalisant un inceste non consanguin, de type II (d'après Elisabeth Roudinesco, dans "Généalogies" 1994).

D'où la théorie de la psychose puisée par Lacan dans sa propre tringulation familiale, comme Freud en la sienne, celle de la névrose, en délire projectif .

Dans son énoncé, le complexe d' Œdipe est l'expression cryptée, peu importe qu'elle ait été consciente ou non, d’une réalité trop évidente (selon Lacan) pour n'être pas immédiatement forclose. Cf. son Séminaire sur "La lettre volée".

Lacan a vu dans la "forclusion du nom du père" l’origine des psychoses paranoïaques, projectives par définition. Comment, à propos de lui-même et de Freud, ne pas lui donner raison ?

D’où l’importance que Marie Balmary donne à l’Évangile de Matthieu, qui fait remonter la généalogie du Christ à au roi David. Ce qui exclurait que le Christ puisse avoir été psychotique, contrairement à l'idée que s'en fait le docteur Francis Hofstein.

Dans leur rêves et leurs dessins, les enfants ont la pré-science du "forclos" générationnel, tout comme les psychotiques l'ont dans leurs délires mystiques lorsqu’ils ont été mystifiés par rapport à leur filiation. Ils en deviennent "discordants" (Chaslin), ou "schizophrènes" (Bleuler). Tel le Christ (selon le Francis Hofstein). L’évangéliste Matthieu avait ainsi éprouvé le besoin de faire remonter la filiation du Christ à David, une généalogie fabriquée après -coup pour l’asseoir dans la réalité. (L’après-coup est un concept psychanalytique lui-même forgé dans l’après-coup, la psychanalyse étant une «science» à l’image de la bande de Moebius, qui ramène au même point après vous avoir mis la tête à l’envers, quand on a la chance de ne pas l’avoir perdue au cours du "disque-ourcourant". Est disque "ourcourant" le discours qui ignore sa propre cause - sic Marie-Chalotte Cadeau, psychanalyste lacanienne).

Pour l'interprétation des rêves de Freud, lire Gabrielle Rubin, "Le roman familial de Freud" paru chez Payot en 2002, et Jacques Bénesteau "Mensonges freudiens", paru à la même époque, chez Mardaga, livre consacré "Le livre du mois" par «La Recherche ».

 
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26 août 2016 5 26 /08 /août /2016 15:18

En 1936, taillée au carré, la moustache noire d'Adolfus Hitler "hystlerisait " les foules.

Jacques Lacan était alors beaucoup plus fasciné par ce petit "plus-de-jouir ", c'est-à-dire par sa petite moustache noire, que par la grande barbe blanche-professOrale de son maître à penser, c'est-à-dire par Sigismund Freud, qui l'avait 10 ans  avant le docteur Edmund Forster promis à un très grand avenir (cf. infra). 

Avait-il alors conscience, lui le Maître de l'Ics, que c'était Freud qui avait, sur les recommandations du docteur Eduard Bloch,inspiré et fabriqué Hitler ?

Jacques Lacan  n'en était pas alors clairement conscient mais s'en était  persuadé "dans l'après-coup" (l'après-coup" est un "concept" freudien impliquant une prise de conscience mentale retardée, c'est-à-dire retardée mentalement.) 

* Hitler avait été diagnostiqué hystérique par le psychiatre Edmund Forster, quand, gazé, il avait été hospitalisé en psychiatrie à l'hôpital de Pasewalk à la fin de la guerre de 14 -18, tout comme son alter égo Sigismund Freud s'était lui-même diagnostiqué hystérique dans les lettres qu'il avait adressé à son premier confident, le docteur ouf Wilhelm Fliess, des lettres qu'il ne réussit pas à faire disparaître, contrairement à ce qu'avait su faire disparaître, qu'il pensait être contraire à ses ambitions (ses origines sémitiques  et son passé psychiatrique), son ex patient Adolfus Hitler sitôt arrivé à la tête de l'Allemagne.

Hitler n'avait alors pas perdu de temps. Il avait tout de suite chargé ses sbires d'éliminer le docteur Edmund Forster et de faire disparaître les rapports cliniques que celui-ci avait publié à son sujet, prouvant ainsi que l'ex patient de Sigmund Freud et d'Edmund Forster s'étaient montrés bien plus efficace que ses anciens médecins dans l'art de faire disparaître les traces  dérangeantes de son passé psychiatrique. 

Ernst Weiss avait conservée copie de ces observations cliniques . Il avait cherché à en cacher un exemplaire, ainsi qu'il l'a raconté dans un livre écrit dans l'urgence avant son suicide (?). Cf. "Le témoin oculaire" (Der Augenzeuge), édité en France en 1963, réédité en 1991 chez Gallimard, Collection Folio).

La barbe de Freud était encore bien noire quand, à dix-neuf ans, le jeune Adolf (en 1908), inconsolable après la mort de sa mère, survenue fin décembre 1907.

Sur les recommandations du bon docteur Eduard Bloch, son médecin de famille, qui, "de toute sa carrière n'avait jamais vu quelqu'un d'aussi prostré, quelqu'un souffrir comme Adolf Hitler" (www.Eduard Bloch, médecin de la famille Hitler) Hitler avait été pour la première fois consulter le docteur Freud à Vienne à son Cabinet du "19 Berggasse". 

Freud rayonnait alors à la tête de l'API, et il avait aux yeux du docteur Bloch paru nécessaire de le lui adresser.

En 1936, le quatorzième Congrès International de Psychanalyse s'est tenu non pas comme aux premiers temps, à Nüremberg, mais à Marie nbad.

Cette année-là, c'était Ernest Jones qui le présidait.

Lui-même "victime" de mauvaise castration, ne pouvant donc résister à son désir, forcément pulsionnel, de "castrer" Ernest Jones, Jacques Lacan lui avait coupé la parole pour lui la prendre, et pouvoir ainsi de filer avant lui à l'anglaise pour s'y rendre (à Nüremberg), y admirer la moustache noire du Dieu-du-Stade-Oral-Olympique, à ses yeux bien plus jouissive réjouisante que celle que la docteur Freud donnait à voir avec sa barbe blanche-profeSSe-Orale.

Structurée comme un langage, l'Ecole de Lacan est représentée depuis la mort du Maître par Charles Melman (www.freud-lacan.com/.../1343).

Au chapitre "des relations du i et du a", Thierry Florentin, psychiatre et psychanalyste, membre de cette Ecole*, précise, dans un texte non daté de l'ALI, forcément postérieur à 2006 et certainement contemporain (www.freud-lacan.com/.../1343) :

<< Ce qui dans un discours s'adresse à l'Autre comme un Tu, fait surgir l'identification à ce qu'on peut appeler l'idole humaine.....C'est bien dans la mesure où quelque chose, dans tout discours qui fait appel au Tu, provoque à une identification camouflée, secrète, qui n'est que celle à cet objet énigmatique qui peut être rien du tout : le tout petit plus-de-jouir d'Hitler, qui n'allait peut être pas plus loin que sa moustache, voilà ce qui a suffi (sic) à cristalliser des gens qui n'avaient rien de mystique, qui étaient tout ce qu'il y a de plus engagés dans le procès du discours du capitaliste (avec ce que ça comporte de mise en question de plus-de-jouir sous sa forme de plus-value). Il s'agissait de savoir si à un certain niveau, on en aurait encore son petit bout. Et c'est bien ça qui a suffi (resic) à provoquer cet effet d'identification. Ce "plus-de jouir" a pris la forme d'une idéalisation de la race, de la chose qui, dans l'occasion, était la moins intéressée, mais on peut trouver d'où procède ce caractère de fiction, on peut le trouver. Ce qu'il faut dire, c'est qu'il n'y a aucun besoin de cette idéologie pour qu'un racisme se constitue : il y suffit d'un plus-de-jouir qui se reconnaisse comme tel. Et quiconque s'intéresse un peu à ce qui peut advenir fera bien de se dire que toutes les formes de racisme, en tant qu'un plus-de-jouir suffit très bien à le supporter, voilà ce qui maintenant est à l'ordre du jour. Voilà ce qui pour les années à venir (sic) nous pend au nez / ... / Un plus-de-jouir, ridicule, à peine avouable, qui prit en otage et criminalisa douze ans d'un peuple allemand qui se voulait émancipé, rassemblant et unifiant l'âme d'un peuple derrière le crime et l'abjection, l'impossible moustache d'Hitler ? / ... / Hitler, qui représente si bien l'objet dont Freud nous montre la fonction, dans cette espèce d'homogénéisation de la foule par identification à un objet à l'horizon, à un objet x, à un objet qui n'est pas comme les autres... La manifestation tout à fait énigmatique du signifiant de la puissance comme tel, c'est là ce dont il s'agit / ... / Dans le séminaire qu'il a tenu sur Le désir et son interprétation, quelques années avant son séminaire sur L'identification, Lacan avait déjà posé une remarque sur cette fascination des foules allemandes face à Hitler /... / La moustache d'Hitler, plus-de-jouir de son discours, et signifiant phallique de sa puissance, voilà qui ne laissera pas de nous rendre perplexe >>. Autrement dit, pas de moustache, pas d'hystlerisation des foules ni de viSSes vers ça.

Mais c'est-y pas bien dit, bien que du coup Gustave Le Bon soit un peu passé sous silence. Ce qui n'empêche pas Thierry Florentin de trouver amusant, mais inquiétant, que Lacan ait été le seul à avoir su prophétiser, dès le 20 janvier 1971, que les barbes du da SS nous pendaient au nez (müss tache oblige)

CQFD l'utilité publique d'ALI.

Dans sa biographie, parue en 1973, l'historien Joachim Fest prénomme Hitler Adolfus.

Pourquoi est-il le seul à l'avoir fait - du moins à notre connaissance, et pourquoi les autres historiens n'ont-ils pas recouru à cette dénomination ? Est-elle controuvée, ou trop insignifiante ?

L'historienne Brigitte Hamann a publiée un très savant livre sur la jeunesse d'Hitler. Très documenté, son travail est paru en 1996 en Allemagne, où il a été un "best seller". Le livre a été traduit et publié en France en 2001 aux éditions des Syrtes, et réédité depuis en 2011.

La précision de Joachim Fest n'y est pas répétée !

C'est un livre que George Steiner, l'auteur du "Procès d'AH", a trouvé "impressionnant et fascinan ...Que l'on accepte ou non son postulat de base" (quatrième de couverture)

George Steiner a manifestement du mal à admettre que le jeune Adolf Hitler puisse avoir été philosémite alors qu'il avait toutes les raisons de l'être, au point de faire le coup de poing pour soutenir son point de vue sur la question des immigrant juifs face à ses contradicteurs. Un fait qui explique peut-être pourquoi Wittgenstein ait pu si mystérieusement déclarer, en 1921, que "ce dont on ne peut parler, il faut le taire" (dans le Tractatus logico-philosophique, c'est-à-dire après que son ex ami Adolfus Hitler se soit si incompréhensiblement et si soudainement montré antisémite..

La question se pose aussi de savoir pourquoi Joachim Fest a été le seul à l'avoir faite; et au cas où elle serait controuvée, pourquoi les historiens ne se sont-ils pas attachés à redresser cette erreur, si erreur il y a ?

Pourquoi Joachim Fest est-il le seul à l'avoir pointé ?

Michel Onfray a plus récemment (le 3 mai 2010) montré dans "Libération" que Freud avait par ses lettres,un penchant prononcé pour le fascisme.

Lorsque j'avais dit au professeur Henri Baruk ce que je ressentais au sujet de Freud, il m'avait confié que Freud et Lacan étaient responsables de l’état désastreux où se trouvait la psychiatrie en France. A ma stupéfaction, il avait mis Freud et Hitler sur le même plan.

L'euthanasie des déficients mentaux était en effet une "solution " à laquelle Freud souscrivait, qui déclarait en privé que le mieux serait "d'en faire des cargaisons pour les couler".

- / -

Tobie Nathan n'est pas comme Charles Melman psychanalyste et psychiatre, mais "ethnopsychiatre",  alacanien et afreudien.

De même que  Professeur Henri Baruk, T. Nathan n'apprécie guère et même pas du tout les conceptions "psychanalytiques" de Freud. Je n'ai pas encore lu la fiction qu'il a écrit à son sujet (Mon patient Sigmund Freud) parue en 2006, mais je doute que Tobie Nathan ait mit Freud sur le même plan qu'Hitler, ce qu'avait fait devant moi le professeur Baruk. Iobie Nathan sait pertinemment ce qu'il en coûte de s'attaquer trop ouvertement au maître-à-penser-de travers d'une  psychiatrie fixée au stade analytique   (au stade sadique-anal freudien)

- / -

Les lettres de Freud à Wilhelm Fliess ont été partiellement publiées en France en 1953 après que Marie Bonaparte a pu les sauver de la destruction à laquelle Freud voulait les vouer.

Désobéissant à l'insistante demande de Freud, elle ne les avait pas brûlées après qu'elle a réussi à les récupérer chez un bouquiniste.

Elles purent ainsi être publiées en France en 1953, mais méticuleusement caviardées par Anna Freud, au prétexte qu'il fallait sauvegarder la "pierre angulaire" de la psychanalyse, à savoir le concept controuvé de "complexe d'oedipe", en realité parce que son père s'y avouait hystérique, et devoir son hystérie à son père Jakob Freud, qui aurait, par ses pratiques incestueuses, aussi hystérisé ses frères et ses soeurs.

Selon le naïf mais très sérieux Didier Anzieu, Freud se serait débarrassé de sa névrose hystérique par une "auto-analyse"...

Faire prendre conscience aux névrosés, grâce "l'analyse du transfert", que leur problématique était la conséquence d'un "complexe d'Oedipe mal liquidé" et d'un "Surmoi" tyranique était selon Freud thérapeutique alors même qu'il confiait en privé à Sandor Ferenczi, son "Grand Vizir secret", qu'il était clair que les malades ne pouvaient guérir, que les patients n'étaient que racailles, et que le mieux serait d'en faire des cargaisons pour les couler.

A en croire Auguste Strindberg, qui s'était un temps réfugié en Suède chez le Dr. Eliasson, un psychiatre de ses amis, celui-ci tenait à peu près le même genre de discours à l’encontre des aliénés "qui faisaient dégénérer l’humanité".

Hitler avait mis les propositions de Freud en action à l'encontre des "fous", en mettant l'idée à exécution.

A cette époque, les notions de races et de dégénérescence battaient leur plein. Le "disque-ourcourant" (pour parler lacanien) faisait des Juifs, par opposition à la "race nordique", présumée "pure", un mélange de races venues d'Afrique, donc une "race" mélangée particulièrement exposées à la dégénérescence ! (un dicours en contradiction avec les obserations anthropologiques)

Malgré leur absurdité et leur illogisme, ces idées sont restées vivaces. Elles ont imprégné les esprits jusqu'après la guerre de 39 - 45, si ce n'est juqu'au jour d'aujourd'hui, car j'ai été témoin de leur persistance dans un Service psychiatrique qui se prétendait "institutionnel" et "de gauche".

Elles occupent actuellement un autre crénau, à droite, celui de "l'entre-soi économique" des classes possédantes. Dans leur idéologie, celles-ci néantisent la découverte que la diversité génétique est bien plus favorable à la solidité des espèces que la "pureté raciale", paradigme de la "pureté économique", elle-même paradigme du pseudo-libéralisme, qui contraint les potentialités inventives des dominés à la stérilité. La culture de l'entre-soi économique est une forme d'incestualité préjudiciable à la santé économique des sociétés parce qu'elle stérilise l'inventivité potentielle des dominés, ainsi que le soutient Joseph Stiglitz dans "Le prix de l'inégalité" (aux éditions Les liens qui libèrent).

Avant et/ou après la guerre de 14 -18 Adolf(us) Hitler le ''névrosé'' aurait été consulter le ''névrosé'' Freud pour tenter de résoudre les problèmes moraux (le conflit intra-psychique) que lui posaient ses hautes origines juives.

D'après un rappport de Ron Rosenbaum, Adolf Hitler savait en effet qu’à travers sa grand-mère paternelle, Maria Schiklegrüber, une Autrichienne originaire de Spital, celles-ci étaient inavouables parce qu’ancillaires.

En s'adressant à Freud, Hitler était mal tombé : Freud aurait dans son "contre-transfert" projeté son propre complexe filial à Hitler, ainsi que le postule le psychiatre-psychanalyste français Roger Zadoun (2002 aux éditions de l'Harmattan), qui croit pouvoir "expliquer" Hitler par le complexe d'Œdipe, délire oblige, un "contre-transfert" inconsciemment impulsé par la propre équation historico-psycho-pathologique de son concepteur (de Freud évidemment, car de Roger Zagdoun, je ne sais rien, sinon qu'il prend les élucubrations projectives de Freud pour des vérités scientifiques aussi fondées que les lois de la gravitation. N'étant pas le seul à le faire, Roger Zagdoun n'est pas considéré comme psychiatriquement délirant, puisque selon son Confrère Sven Follin, un délire partagé perd son statut (sociologique) de délire.

(S. Follin avait avec Serge Leibovici et quelques autres psychiatres signé en décembre 1947 une pétition dénonçant la psychanalyse pour d'essence totalitaire, fasciste, voire "nazie". Le Dr. Sven Follin avait acquis à l'hôpital Saint-Anne la réputation d'être un fin clinicien pour savoir ne pas confondre, comme l'avait fait Karl Jaspers dans son étude sur Strindberg et Van Goghen - parue en 1953 aux éditions de Minuit, avec une préface de Maurice Blanchot, rééditée en 1970 avec une nouvelle préface du même qui désavoue la précédente - différencier la psychose schizophrénique de la psychose hystérique et de l'épilepsie).

Pour en revenir à Freud son équation personnelle était bien plus inavouable (forclose) que celle d’Hitler, et elle l'est restée. Il déplait d'ailleurs très fortement à Claude Lanzman qu'on puisse en dire quelque chose, et sûrement pas qu'à Claude Lanzman, à en juger par la bibliographie qui a accompagné cette année la diffusion sur France 3 télévision (et en librairie) de "Apocalypse Hitler".

Les prétentions de son patient était apparues à Freud bien trop élevées par rapport à ce que son misérable statut social laissait présager. Freud lui fit comprendre que les origines qu'il s’était inventées relevaient du roman familial des névrosés, ceux-ci se rêvant de hautes origines comme lui-même se l'était dans le passé figuré avant de revenir à la réalité. Une "réalité" qui avait en fait, selon Lacan, échappée au conscient de Freud. Il n'est cependant pas si sûr qu'elle lui ait complètement échappée, puisqu'il l'avait rêvée, mais qui pourrait tout aussi bien lui avoir été révélée par son père officiel, Jakob Freud, avant sa mort, survenue en 1896 : pour soulagé leur conscience, les mourants révèlent très souvent aux derniers moments les inavouables secrets qui les ont taraudés la vie durant : c'est sans doute pourquoi Freud rêva d'avoir à "fermer les yeux" et devoir renier ses premières intuitions, des découvertes dont il disait qu'elles étaient aussi importantes "que la découverte des sources du Nil", à savoir que les névroses - sinon les psychoses - résultent de psycho-traumatismes infantiles, ce que l'on est en train de redécouvrir.

Freud conçut en remplacement de la première, qui avait été très mal reçue, une théorie négationniste, dite œdipienne, sans vouloir (ni pouvoir ? ) en révéler les secrets fondements, des secrets de fabrication inavouables que Marie Balmary fut bien près d'avoir révélés sans le vouloir ni le savoir dans sa très brillante thèse psychanalytique, qui fut publiée et intitulée "L'homme aux statues", et sous titrée "La faute cachée du père". Une thèse que Balmary aurait peut-être dû sous-titrer "La faute cachée du grand-père" . C'est sans doute pour l'avoir évoquée implicitement que celle-ci fut refusée (refoulée et institutionnellement déclarée forclose). Mais sa thèse suscita immédiatement l'intérêt de Jacques Lacan, qui craignait que Balmary ne l'ait comme lui percé à jour, ce qui aurait cassé son savoir (son supposé savoir) raison pour laquelle il l'a convoqua, vérifier ce qu'il en était réellement. Marie Balmary s'en était trouvée à la fois flattée et toute étonnée (dans sa préface au livre d'Eva Thomas "Le sang des maux", si mes souvenirs sont bons").

Pour en revenir à la thèse de Roger Zagdoun, celui-ci n'a pas compris qu'après la guerre, Hitler avait compté sur ses mérites militaires pour être reconnu digne d'intégrer sa prestigieuse et richissime famille d'origine, et non pas d’en être rejeté de façon humiliante. D'où sa résolution, prise en 1919 après moult ruminations, de montrer à Freud comme à sa famille originelle présumée de quel bois il était fait. Ce n'est pas par hasard qu'il choisit, comme Freud, Berchtesgaden comme villégiature, rivalité mimétique oblige. Il allait se venger (Vergeltung) de l'affront qui lui avait été fait en renvoyant les Juifs à leur propres inventions (le Ziklon B et le complexe d‘Œdipe). Une "signifiée" vengeance (concept lacanien) paranoïaque qu’il voulut à la mesure de sa grandeur humiliée - de sa grandiosité fantasmatique, pour employer un néologisme forgé par la psychanalyste Alice Miller, qui interpréta Hitler d'une autre manière que celle-ci, qui ne lui est pas incompatible - une vengeance à la mesure des risques encourus durant la guerre pour se faire reconnaître digne d’intégrer la famille. Son admiration ambivalente s’était ainsi muée en un "délire de haine", pour reprendre le concept clinique que le Pr. Henri Baruk a forgé à son sujet, une haine paranoïaque, c'est-à-dire narcissique (ou pharaonique, si on préfère), comme il arrive dans les amours fusionnelles et les généalogies incestueuses.

Le Pr. H. Baruk passait auprès de ses Confrères pour paranoïaque à cause de la haine que lui-même éprouvait envers Freud et Jacques Lacan. Il avait dû porter l’étoile juive pendant l’occupation et rendait, non sans raison, Freud responsable non seulement de la haine persécutive qu’avait porté Hitler à l’encontre des Juifs, mais aussi de l’état déplorable où se trouvait, nous l'avons dit, la psychiatrie française.

Du Pr. Baruk, ses confrères psychiatres se moquaient non seulement à cause de la haine "paranoïaque" qu'il vouait à Freud, mais aussi à cause de sa prétention à faire valoir que les états psychotiques (les bouffées délirantes et les états schizophréniques, qu'il disait être des syndromes plus que des maladies) pouvaient en fait provenir d’une toxicité particulière des sels biliaires (ce serait donc bien des maladies ! ). Il en aurait fait la démonstration, mais ses confrères l’accusèrent être de mauvaise foi, d’avoir triché en falsifiant les résultats de ses recherches cliniques pour en démontrer la validité.

Or il se trouve qu’il est actuellement fait état d’un Système Nerveux Entérique, un deuxième cerveau en constante interaction avec Système Nerveux Central, sans que l’on puisse savoir qui est aux commandes ! (selon Stanislav Disko Ehrlich, directeur de Recherche à l'Inra, à Jouy en Josas)

Freud n’avait en fait pas tellement eu tort de se trouver une autre famille que la sienne dans ses rêveries juvéniles : il ne serait en effet pas né du pauvre Jakob Freud, fils du rabbin Schlomo Freud, mais d'une relation inavouable. Freud pourrait ainsi avoir été le fils de Jacob Nathansohn, son grand-père maternel. Une autre hypothèse a été avancée est qu'il était le fils de son frère Philippe, mais elle entre beaucoup moins en résonance avec la théorie oedipienne. L'origine grand-parternelle en rend bien mieux compte. Elle justifie même sa théorie mythologique du "complexe d' Œdipe ", un complexe que Lacan disait "des dupes" pour marquer qu'il n’était qu’un miroir aux alouettes. La théorie oedipienne rend non pas compte d'une réalité générale, mais d'une réalité restreinte ne triAngulation familiale, qui fit que sa mère s'est retrouvée enceinte de son père et n'a pas pu (ou voulu) faire autrement que garder l'enfant qu'elle portait. La théorie que les fils désirent s'accoupler (copuler, cf. selon la définition freudienne de son complexe) avec leur mère n'est que le corollaire de l'a-Chose ancestrale. Freud serait donc né (selon Lacan) d'un inceste père-fille, un inceste de type I, selon la classification de Françoise Héritier. Une origine ‘‘en racine ² de moins un’’, tout à fait inavouable, que Jacques Lacan, qui prétendait savoir lire entre les lignes, avait percé à jour, sur le modèle de sa propre famille, le grand-père paternel de Jacques Lacan étant l'amant de sa mère, la belle-fille de son grand-père réalisant un inceste non consanguin, de type II (d'après Elisabeth Roudinesco, dans "Généalogies" 1994).

D'où la théorie de la psychose puisée par Lacan dans sa propre tringulation familiale, comme Freud en la sienne, celle de la névrose, en délire projectif .

Dans son énoncé, le complexe d' Œdipe est l'expression cryptée, peu importe qu'elle ait été consciente ou non, d’une réalité trop évidente (selon Lacan) pour n'être pas immédiatement forclose. Cf. son Séminaire sur "La lettre volée".

Lacan a vu dans la "forclusion du nom du père" l’origine des psychoses paranoïaques, projectives par définition. Comment, à propos de lui-même et de Freud, ne pas lui donner raison ?

D’où l’importance que Marie Balmary donne à l’Évangile de Matthieu, qui fait remonter la généalogie du Christ à au roi David. Ce qui exclurait que le Christ puisse avoir été psychotique, contrairement à l'idée que s'en fait le docteur Francis Hofstein.

Dans leur rêves et leurs dessins, les enfants ont la pré-science du "forclos" générationnel, tout comme les psychotiques l'ont dans leurs délires mystiques lorsqu’ils ont été mystifiés par rapport à leur filiation. Ils en deviennent "discordants" (Chaslin), ou "schizophrènes" (Bleuler). Tel le Christ (selon le Francis Hofstein). L’évangéliste Matthieu avait ainsi éprouvé le besoin de faire remonter la filiation du Christ à David, une généalogie fabriquée après -coup pour l’asseoir dans la réalité. (L’après-coup est un concept psychanalytique lui-même forgé dans l’après-coup, la psychanalyse étant une «science» à l’image de la bande de Moebius, qui ramène au même point après vous avoir mis la tête à l’envers, quand on a la chance de ne pas l’avoir perdue au cours du "disque-ourcourant". Est disque "ourcourant" le discours qui ignore sa propre cause - sic Marie-Chalotte Cadeau, psychanalyste lacanienne).

Pour l'interprétation des rêves de Freud, lire Gabrielle Rubin, "Le roman familial de Freud" paru chez Payot en 2002, et Jacques Bénesteau "Mensonges freudiens", paru à la même époque, chez Mardaga, livre consacré "Le livre du mois" par «La Recherche ».

 

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25 août 2016 4 25 /08 /août /2016 01:04

Il faut savoir comment le CNOM conçoit le Code de déotologie : celui du droit des médecins, du moins de ses protégés au "plus-de-jouir", un concept "psychanalytique" ad hoc "perlaboré" par Jacques Lacan pour son propre usage comme au profit de n psychiatres "psychanalystes", gynécologues et sexologues, tel entre autres le Dr. Gilbert Tordjman.

 

"Le-plus-de-jouir" est un concept que Jacques Lacan a mis sur orbite avec son  "retour à Freud", Freud étant l'objet petit a de ses spéculations cliniques.

Jacques Lacan avait compris le parti qu'il pouvait en tirer et s'est tout au long de son oeuvre appuyé sur le cas de Freud  pour en tirer la substantifique moelle, tandis que lui-même était le sujet grand A, en supposant, nous sans raison, que Freud avait été le grand Autre d'Adolf Hitler.

Le psychiatre-psychanalyste  Charles Caille le perfectionna et "perlaboré" celui de "méditation de l'étreinte" (sic).

Nous y reviendrons en faisant la "psychanalyse" des concepts freudiens (notamment celle  du "roman familial du névrosé, puisé chez son célèbre mais inavouable patient) et de leirs dérives interprétatives délirantes, dont celle, emblématique, du docteur Bernard This, psychiatre et "psychanalyste lacanien" dans un texte prochain (B. This, son nom l'indique, voulait nous faire avaler à travers l'insconscient qu'un changement de prénom - celui de Sigismund en Sigmund, est à l'origine du cancer de la bouche que Sieg-ist-Mund Freud a développé dans les années 1920, parce que l'insconscient est "structuré comme un langage" (sic  cf. genocides.over-blog.com/article-cancer-de-la-bouche-explique-par-l-inconscient/).

Dans son roman "La part de l'autre" le romancier Eric-Emmanuel Schmitt n'a manifestement pas compris, contrairement à Jean-Paul Sartre, qu'Adolf Hitler avait voulu parler de Sigmund Freud en reconnaissant en lui  "la part de l'autre" dans sa destinée : « J'admets la part de l'autre dans la constitution de mon destin » (avait admis A.H. dans une lettre à Sœur Lucie.)

La compréhension qu'en avait Jean-Paul Sartre, rend compte du fait que Claude Lanzman, qui était son secrétaire, se soit violemment  opposé à ce que Ron Rosenbaum puisse le découvrir dans son enquête sur Hitler et "l'origine du mal", un livre paru en France en 1998 aux éditions Jean-Claude Lattès, mais qui a mystérieusement disparu de certaines  médiathèques dès sa parution, une façon de procéder à l'instar du professeur Gérard Saïd, qui a très freudiennement fait interdire "Archives of Neurology" de parution à la bibliothèque universitaire du CHU de Bicêtre en novembre 1997, au prétexte qu'il s'agit "d'une très mauvaise revue", dixit le professeur  Gérard Saïd, qui  pourtant fait, six ans plus tard, des pieds et des mains pour voir son nom associé à celui de Jacqueline Zittoun et Hèlène Ogier de Baulny dans un article de cette "très mauvaise revue" , cf. Arch Neurol. 2003, "Neuropsychiatric disturbances in presumed late-onset cobalamin C disease". (E. Roze, D. Gervais, S.Demeret, H. Ogier de Baulny, J. Zittoun, J.-F. Benoist, G. Saïd, C. Pierrot-Deseilligny, F. Bolgert),

La censure freudienne est un procédé que le docteur Michel Meignant, psychiatre et psyhanalyste, a mis 26 ans à découvrir, Cf. www. l'affaire Freud.      

L'oeuvre de Jacques Lacan continue de hanter les philosophes et les psychanalystes alors qu'elle a été très mal comprise, aussi mal de la part de ses milliers d'admirateurs patentés, dont évidemment Bernard This, que de la part de ses détracteurs (Cf. "Le livre noir de la psychanalyse" et "Mensonges freudiens" de Jacques Bénesteau.)

Sur les "dérives" du CNOM lire aussi René Chiche << Enquête sur les mandarins de la médecine >>, parue en 2013  aux EDITIONS DU MOMENENT, en passant par l'exposé qui suit, à propos du ratage "réussi" d'une laborieuse entourloupe "à la Rossignol", pour ne pas dire "à la Dr. Petiot", car il s'agit bien de l'élimination physique d'une certaine catégorie de malades.

Un ratage réussi dans la mesure ou l'objectif principal du CNOM a été atteint : soustraire les médecins mis en cause à ce qui, en France, s'appelle la justice.

Un ratage tout de même puisque le malade condamné à la perte de ses facultés intellectuelles et à un exitus rapide a réussi à survivre, et qui plus est en récupérant des facultés intellectuelles à 30/30, ce qui pour lesdits médecins avait été très mal vécu.

Le président François Mitterrand était bien conscient de la monstrueuse perversité du CNOM, qui, avant son arrivée au pouvoir en 1981, avait promis sa suppression

René Chiche rappelle, pour introduire son enquête, qu'elles étaient les propositions du "Programme commun de gouvernement", et le docteur Bruno Halioua  à la page 12 de son livre "Blouses blanches étoiles jaunes" (paru en décembre 1999 chez Liana Lévi) comment l'Ordre s'en est sorti bien que l'Ordre  ait "relayé sans état d'âme les idées et les mesures de Vichy", ce qui le prédisposait à continuer sur cette lancée après la Libération.  

Je n'ai présentement pas le texte de Bruno Halioua sous les yeux, mais il se trouve dans mes précédents articles sur les activités criminelles, "protégées en hauts lieux", de la Clinique Léon Elmelik - dixit le Principal du Commissariat de l'Haÿ-les-Roses, le Commandant Christian Raeckelboom lorsqu'il m'a reçu le 23 janvier 1991 au Commissariat de cette sous-préfecture, cf. le site 34640255 html chap. II § 5, sur la maltraitance des personnes âgées au sein des établissements hospitaliers (hôpitaux et Cliniques, et le 108281777 html, le texte de la lettre que j'ai adressée aux pouvoirs publics concernés comme aux contre-pouvoirs médiatiques, dont le CCNE (Comité Consultatif National d'Ethique), le Figaro et Libération, en passant par d'autres médias, dont Le Monde et Médiapart, qui se taisent sur ces affaires, trop scandaleuses pour être réellement portées à la connaissance de l'opinion publique :  le journal "Le Monde" avait, sous la direction d'Edwy Plenel, "couvert" son journaliste maison, le docteur Yves Nau, qui "omertisait" les conséquences désastreuses des transfusions faites avec les flacons de sang fournis par le CNTS aux établissements hospitlaliers dans la première moitié des années 1980, jusqu'en mai 1985 (25.000 contaminations par le VIH sont dues à ces transfusions; cf. Marie Christine Casteret "L'affaire du sang" aux éd. La découverte, 1992, toujours disponible chez votre libraire).

Le CNTS a été depuis rebaptisé "Etablissement Français du Sang" pour atténuer les responsabilités étatiques en la matière.

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CONTEXTE En août 1990, devant une évidence clinique, j'avais  formulé l'hypothèse qu'une forme de la maladie de Biermer devait exister qui ne soit pas détectable  par  le test de Schilling pas plus que par une vitaminémie B12 dans les limites de la normale; Cette hypothèse non seulement m'a valu les moqueries des neurologues du CHU de Bicêtre, mais aussi une demande de radiation du tableau de l'Ordre des médecins et l'application de l'article L460 du CSP de la part du Rapporteur de l'Ordre des Médecins, le docteur Patrice Bodenan, alors même que l’application de mon hypothèse s'était montrée très pertinente, puisque :

devant une situation devenue quasi désespérée, et contre l'avis des internistes du Service de neurologie de Bicêtre, elle avait permis au malade auquel j'avais pris l'initiative de l'appliquée de se rétablir cependant que son état de dégradation était devenu tel qu'il avait été pris par les neurologues de l'hôpital Bicêtre (pilotés par le professeur Gérard Saïd) pour la conséquence d'une "encéphalopathie"  vasculaire" (sic)  compliquant  une maladie d'Alzheimer, le tout baptisé "ATTEINTE DIFFUSE DU SYSTEME NERVEUX" (sic, cf. leur compte-rendu d'hospitalisation daté du 30 septembre 1990 au site 69970222) 

Le eurologue Michel Serdaru  (de la Fédération Française de Neurologie) l'a formulé l'année suivante dans un traité paru chez Flammarion Médecine-Sciences sur "La maladie de d'Alzheimer et autres démences" (Traité sous la direction des professeurs Jean-Louis Signoret Jean-Jacques Hauw).

Ce livre a mystérieusement disparu de la bibliothèque universitaire du CHU de Bicêtre, de même que le livre du professeur Pierre Bouche sur les polyneurophies périphériques dans lequel était exposé l'intérêt d'utiliser d'autres tests que le Schilling pour ne pas passer à côté de ses défaillances dans la mise en évidence des carences vitaminiques B12, de même que le professeur Gérard Said y a fait interdire de parution en 1997 la Revue neurologique de référence qu'est "Archives of Neurology", au prétexte, m'avait-il dit, que c'était une "très mauvaise revue" (sic, donc pour les mêmes motifs que les précédentes disparitions)

La mauvaise opinion qu'il disait avoir de cette revue ne l'a pas empêché six ans plus tard de faire des pieds et des mains pour que son nom figure dans cette "très mauvaise revue" auprès de ceux des Drs. Hélène Ogier de Baulny et Jacqueline Zittoun. Je m'en étais étonné et avais interrogé madame Ogier à ce sujet, qui m'a répondu à peine savoir qui était le professeur Gérard Saïd ! Cf. Arch Neurol. 2003;60(10):1457-62. "Neuropsychiatric disturbances in presumed late-onset cobalamin C disease". (E. Roze, D. Gervais, S.Demeret, H. Ogier de Baulny, J. Zittoun, J.-F. Benoist, G. Saïd, C. Pierrot-Deseilligny, F. Bolgert.

Cf. aussi au "blog de leon" la bibliographie relative à la découverte du syndrome NDB12PP   mise en ligne sur http://génocides.over-blog.com/.

Y est aussi rapportée la soudaine, "mystérieuse" et bien dérangeante disparition de la Revue "Archives of Neurologyde la bibliothèque universitaire du CHU de Bicêtre" (une Revue que le docteur François Chedru était bien d'accord avec moi pour considérer qu'elle était une Revue de référence, et non pas "une "très mauvaise Revue" !  

Le docteur François Chedru, connaissait très bien le docteur Michel Serdaru pour avoir collaboré avec lui pour rédiger dans Archives of Neurology un article clinique sur la maladie de Marciafava Bignami  (Cf. Arch. of Neuro. 1977 "Signs of Interhemispheric Disconnection in Marchiafava-Bignami ..."

A toute fin utile je reporte cette bibliographie en addenda à la fin de cet article.

F. Chedru s'est en février 1996 chargé de rédiger à la demande des Professeurs André Lienhart et René-Claude Touzart une expertise savamment bidonée pour minimiser les très lourdes fautes médico-chirurgicales. Il était alors chef du Service de neurologie du CHU de Meaux.

le rétablissement de ce malade fut dans les années suivantes plus ou moins  (et plutôt plus que moins étant donné la panique suscitée par le rétablissement de ce malade au sein de l‘AP - HP ) à l'origine de la découverte du  syndrome NDB12PP (syndrome de Non Dissociation de la vitamine B12 de ses Protéines Porteuses touche deux fois plus de patients que la maladie de Biermer, mais reste bizarrement méconnu de la plupart des praticiens, ce dont j'ai déjà informé le CCNE, qui ne s'est guère soucié des ruineuses persécutions que la  mise évidence de ce syndrome me vaut, tant de la part du très "éthique" professeur Gérard Saïd (il était membre de l'IFREM,  éditeur de « Médica Judaïca », une revue d'éthique médicale communautaire) qui m'a fait accuser, en juillet 2004, par la direction de l'hôpital Bicêtre, d'avoir moi-même "fabriqué" (sic) ledit syndrome par "antisémitisme" (sic), que de la part du Conseil de l'Ordre, sous la houlette du docteur Patrice Bodenan, et du parquet de Créteil, celui-ci la houlette de Michel Barrau,, c'est-à-dire de l'Etat.

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L'organisation terroriste : il s'agit du CNOM, le Conseil National de l'Ordre des Médecins, une organisation criminelle à laquelle l'Etat a eu la malencontreuse idée de confier "mission de Service public" (sic, dixit le professeur Bernard Glorion dans un éditorial du Bulletin de l'Ordre lorsqu'il  présidait le CNOM

Ci-après le texte retrouvé figurant à la page 12 du livre du docteur Bruno Halioua "Blouse banches, étoiles jaunes" : << L'Ordre, pouvoir administratif glacial et sans visage, relayait sans état d'âme les idées et les mesures de Vichy. Courroie de transmission du régime, il a répercuté le statut des Juifs du 3 octobre 1940, respectant dans l'esprit et la lettre son décret d'application du 11 août 1041 relatif à la profession médicale. Cinquante sept ans après, l'institution ordinale a besoin d'être en paix. Elle sait qu'elle a failli à l'esprit de confraternité et d'entraide qui l'anime (sic, ndlr), même si dans l'ombre quelques confrères, dignes de ce nom, se sont battus personnellement contre les lois antijuives.>> 

Respectueux de l'omerta médicale Bruno Halioua écrit aussi en post-face à son livre (je  cite mémoire)  que sans l'intervention de Bernard Weber il n'aurait jamais osé publier son manuscrit (qui est Bernard Weber ? BH ne le précise pas)

Voilà textuellement ce qu'il avoue page 275 dans ses remerciements : << Sans Bernard Weber, je n'aurais jamais eu le courage d'adresser mon manuscrit à un éditeur >>, un aveux qui démontre combien l'Ordre des médecins s'arroge un droit de vie et de mort professionnelle sur les praticiens,  non pas sur ceux qui respectent la loi commune et le Code de déontologie, mais sur qui lui déplaisent parce qu'ils dénoncent des crimes et/ou des abus, notamment des viols et des escrioqueries perpétrés par ses protégés, par exemple les médecins propriétaires de l'ex Clinique Léon Elmelik (voir www. viols à la clinique léon elmelik

Pourquoi le gouvernement formé par les socalistes en 1981 s'était-il abstenu de tenir leur promesse ? 

Pourquoi au jour d'aujourd'hui, le 3 août  2016, n'en est-il plus question alors que de très nombreuses affaires ont depuis éclatées, qui mettent l'Ordre, l'AP - HP  et le CNTS en cause, dont les nombreux assassinats de malades commis au sein de l'AP - HP par Christine Malèvre, infirmière dans le Service du docteur Olivier Ille, en passant par les scandaleuses opérations chirurgicales  du docteur Georges Rossignol ? Cf. à son sujet l'article tardivement mis en ligne par l'UNOF - l' Union Nationale des Omnipraticiens Français - le 03 septembre 2013  www.unof.org/les grandes affaires judiciaires. 

Cet urologue toulousain falsifiait éhontément les dossiers médicaux pour guérir des cancers qui n'existaient pas en procédant à l'ablation, très invalidante, de prostates et de vessies. Il pouvait ainsi se tailler une réputation de chirurgien miracle éradiquant des cancers qui n'existaient pas et faire fortune (les abus médicaux dénoncés qui coûtent cher à l'Assurrance maladie sont à 90 % l'oeuvre de praticiens "indélicats" et pour 10% attribuables à la "triche" des Assurés sociaux).

Le scandale est aussi que l'Ordre des médecins n'a sanctionné le docteur Georges Rossignol que d'un simple blâme  t qu'il protégeait d'autre part les agissements criminels des médecins actionnaires de la Clinique Léon Elmelik - apparemment sans savoir que cette Clinique était déjà protégée "en hauts lieux", c'est-à-dire par les ministères responsables de la Santé et de la Justice, c'est-à-dire par l'Etat, pour une raison bien différente que celle des viols qu'y commettaient à tire-larigot son médecin-propriétaire le docteur Jean-Claude Elmelik, à savoir l'élimination physique des malades contaminés par le VIH lors desdites transfusions de sang pratiquées, entre autres, dans les hôpitaux de l'AP - HP, sur des patients qu'il valait mieux, quand les circonstances s'y prêtaient (les médecins de mon père avaient pensé qu'elles s'y prêtaient en ce qui le concernait), faire diparaître avant qu'ils aient eu le temps de développer un SIDA maladie cliniquement évident, ce afin que le CNTS les hôpitaux et les Cliniques qui ont usé des lots infectés puissent échapper à l'obligation de dédommager les bénéficiaires receveurs (Cf. Le Mémoire soutenu en 1999 par le docteur Patrice Bodenan devant le professeur Christian Hervé en vu de l'obtention d'un DEA d'éthique médicale, Mémoire intitulé "Problèmes éthiques posés par les commissions de conciliations hospitalières " mis en ligne sur la Toile jusqu'à l'an dernier, mais prudemment retiré depuis (depuis que Bodenan et/ou Christian Hervé ont pris conscience de son incongruité) . - cf. aussi  www. viols à la Clinique Léon Elmelik.

Ainsi s'explique pourquoi Christine Malèvre s'était glorifiée d'avoir réussi à exécuter une trentaine de malades. Elle avait toutes les raisons de penser que c'était ce que son Chef de Service, le docteur Olivier Ille, lui demandait de faire, et au delà de celui-ci, le CHU de Mantes la Jolie, et au delà de ce CHU la direction de l'AP - HP, gardienne de l'éthique médicale depuis la création, en 1995 de l'Espace Ethique de l'AP - HP, un écart espace "éthique" placé  par le professeur  Gérard Saïd sous la houlette de son ami le philosophe Emmanuel Hirsch. 

Ainsi s'explique  pourquoi le docteure Laurence Kouyoumdjian, qui fit cesser ces assassinats de malades en les signalant, n'en fut nullement récompensée - elle aurait normalment dû être citée à la Légion d'Honneur - mais au contraire implicitement blâmée puisqu'elle fut priée de déguerpir alors que son collègue Olivier Ille, qui s'était bien gardé d'n faire le signalement - et pour cause - a pu garder son poste.   

Olivier Ille en avait déjà réalisé d'autres par personnes interposées, notamment lorsqu'il était Interne dans le Service de neurologie du professeur Gérard Saïd.

Ainsi s'explique pourquoi le Gérard Saïd et le CNOM ont chercher à s'entendre en 1997, quand de surcroît les assassinats de malades commis au CHU de Mantes la Jolie par Christine Malèvre sous la direction du docteur Olivier Ille ont été connus du fait que le docteur Laurence Kouyoumdjian les a dénoncés.

Ainsi s'explique pourquoi Emmanuel Hirsch, sans être médecin, était à cette époque parfaitement au courant des mésavantures cliniques  dudit malade, en dépit du fait qu'en vertu du sectret professionnel il n'aurait jamais dû les connaïtre, un malade qui avait été "normalement" promis en 1990, alors qu'il était aux mains du docteur Olivier Ille, Interne dans le Service du professeur Gérard Saïd, à une fin rapide (dixit son Chef de Clinique  Pascal Masnou).

Au nom de l'équipe de neurologie de ce Service, Olivier Ille avait ordonné au docteur Jean-Yves Beinis, chez qui il avait fait transféré un de ses malades, qui était alors et encore parfaitement curable avec un traitement simple, mais déclaré voué à la mort à brève échéance  (dixit Pascal Masnou) puisqu'il ne le recevait pas réellement, non seulement de ne pas l'administrer, mais de faire croire à son fils, médecin, qu'il le lui administrait réellement.

Afin que le docteur Beinis accepte de suivre une proposition aussi extravagante, il avait fallu mettre celui-ci en condition (on le savait et peu regardant et très receptifs à des ordres venus "d'en haut", conformément au principe mis en évidence en 1963 par Stanley Milgram, d'où son indifférence aux souffrances manifestes endurait son malade.

Seul (ou avec l'équipe de neurologues de son Service - ce point reste à déterminer) Olivier Ille avait fait  croire au docteur Beinis, dans une lettre très savamment bidonnée (une lettre manuscrite datée du 22 août 1990) que ledit malade ne souffrait nullement de ce pourquoi il avait été hospitalisé à Bicêtre, mais d'une démence de type Alzheimer compliquée d'une "encéphalopathie vasculaire" (sic, cf. aussi le compte-rendu officiel de son hospitalisation à Bicêtre au site 69970222 html).

Olivier Ille savait pourtant pertinemment que son malade (qui était aussi celui du docteur Pascal Masnou)  souffrait d'un syndrome neuro-anémique, c'est-à-dire d'une carence vitaminique B12 sévèrement décompensé, une carence spécifique, qui la plupart du temps (à 80%) est consécutive à la maladie de Biermer, sinon à d'autres causes de malabsorption (20%) aboutissant à une telle carence, et qui par conséquent sont réversibles avec le traitement de la maladie de Biermer, à condition que celui-ci soit administré réellement et en temps voulu (avant le décès du malade, qui peut survenir inopinément, et éviter des séquelles neurologiques irréversibles).

Aussi fait-il maintenant le joli coeur, non plus au yeux de Christine Malèvre, dont il n'a plus rien à foutre attendre, mais aux yeux de la Communauté de l'Emmanuel, alias  Amour & Vérité,  dans  des conférences  qu'il a données  en mars 2013 au 5e Rassemblement sous le titre de "Prends soins de lui", imittant en cela l'exemple de son ex Chef de Service à l'hôpital Bicêtre, le professeur Gérard Saïd, membre de IFREM  (l'Institut de Formation et de Recherche en Ethique Médicale et instigateur de "l'Espace Ethique de l'AP - HP" (sic), à la tête duquel il  (Gérard Saïd) fit placé son ami Emmanuel Hirsch, qui, alors qu'il n'est pas médecin, m'a dit "connaître par coeur" (sic) la mésaventure arrivée à mon père à la Clinique Léon Elmelik et ensuite  au CHU de Bicêtre dans le Service de neurologie de son mentor le professeur Gérard Saïd ! 

Bonjour messieurs les Tartuffes, vous-vous portez toujours à merveille.

Et tant pis pour le SM (le Secret Médical), sur lequel Tartuffe Emmanuel Hirsch est censé veiller (à propos d'Emmanuel Hirsch, combien est-il payé à faire le guignol à enseigner l'éthique médicale aux personnel soignat : que je sache madame Pondu, la Surveillante de l'Unité de Soins  du docteur Beinis n'avait pas eu besoin de ses enseignements pour savoir qu'il fallait arrêter de faire semblant d'administrer au malade du docteur Beinis la traitement de la maladie de Biermer.      

A suivre ... sur 34640522 html et autres articles du "blog de leon" consacrés au docteur Patrice Bodenan

<< Dans cette affaire On a rien à craindre  - pouvait-on entendre dire à l'hôpital Saint-Louis en 1999 - On tient la presse, la médecine et la justice >> Qui "On" ?

Le cas relève du principe, mis en évidence en 1963 par Stanley Milgram à la suite du procès d'Adolf Eichmann, de la soumision à l'autorité, ici appliqué à la maltraitance hospitalière, maltraitance en l'occurrence relative à :

1° -  l'affaire du sang contaminé  (subséquentes aux relations "incestueuses" que  l'A.P. entretenait avec le C.N.T.S.)
2° -  aux euthanasies prétendument compassionnelles opérées au CHU de Mantes-la-Jolie en 1997.
(des assassinats "thérapeutiques" ciblant des malades anciennement transfusés)
3° - aux viols de parturientes  commis par le médecin propriétaire de la Clinique Léon Elmelik  à La Hay-les-Roses.  
4° aux  menaces que l'Ordre des médecins a fait peser sur une des victimes du même praticien et ses avocat(e)s, des menaces qui visaient à l'empêcher de se porter partie civile contre ses agresseurs.
5° à l'occultation des preuves, des mystifications de l'Assistance publique et des entraves faites à la manifestation de la vérité, relayées par les manoeuvres dilatoires de l'autorité judiciaire, faits qui reflètent une justice au service du pouvoir politique : la plainte fut classée non-lieu de façon méprisante et quasi injurieuse malgré l'accumulation de preuves présentées, aussi accablantes qu'irréfutables.
6° - à la falsification d'un test diagnostic (le test de Schilling) pour dérouter le diagnostic, et empêcher la cobalamino-thérapie salvatrice d'être mise en oeuvre   
7° - à la mise en place au CHU de Bicêtre de "l'Espace Ethique de l'Assistance Publique", mise en place confiée au  Chef du Service où ladite falsification a été faite
8° - de l'occultation subséquente de la Revue dec référence "Archives of Neurology" à la bibliothèque du CHU Bicêtre
9° - au maintien en service de la Clinique de l'Haÿ-les-Roses et aux "hautes protections" administratives et judiciaires dont elles jouissait  malgré (ou à cause de ?) ce qui s'y passait.
10° - à la nomination du Dr. Patrice Bodenan au poste de président du Conseil disciplinaire de l'Ordre des médecins en Ïle-de-France et à sa qualification (DEA d'éthique madicale en 1999 sur les "Problèmes éthiques posés par les Commissions de Conciliation hospitalières", Mémoire patroné par le Pr. Christian Hervé.
et 11° - à la même annéeé (1999) l'incendie des archives et la reconstruction de la Mairie de l'Haÿ-les-Roses, une réfection luxueuse qui a grevé et continue de le grever lourdement  le budget de la Municipalité de l'Haÿ-les-Roses.


En résumé, comme me l'avait confié en 1994 le Dr.Claude Poulain, l'ex Secrétaire général du Conseil de l'Ordre des médecins du Val-de-Marne à propos du Dr.Bodenan et de son mentor le président Jean Pouillard "le ver est dans le fruit", le docteur Claude Poulain étant bien placé pour savoir les turpitudes des médecins Clinique de l'Haÿ-les-Roses et du docteur Jean Pouillard.   

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Bibliographie relative à la découverte du NDB12PP

1 - 1978 Kolhouse & al, New Engl. J. Med. 299, 15, 787 - 792. "Cobalamin analogues are present in human plasma and can mask cobalamin defiency because current radioisotope dilution assays are not specifique for true cobalamin".
2 - 1987 Berger JR & al. Ann Intern Med. 107 : 78 "Progressive multifocal leukoencephalopathy associated with human immunodefiency virus infection".
3 - 1987 Ogier H. & al. éd. Masson "La cobalamine (vitamine B12), APECTS METABOLIQUES, GENETIQUES, NUTRITUIONNELS ET THERAPEUTIQUES"; 254-281.
4 - 1988 J. Lindebaum & al. N. Engl. J. of Med. "Neuropsychiatric disorders caused by cobalamin deficiency in the absence of anemia or macrocytosis"
5 - Arch Neurol 1991;48(3):312-314. "Abnormal vitamin B12 tabolism in human immunodeficiency virus infection : association with neurological dysfunction" (Accepted for publication September 5,1990).
6 - Arch Neurol 1992;49:501-506. "Plasma Vitamin B12 Level as a Potential Cofactor in Studies of Human Immunodeficiency Virus Type 1- Related Cognitive Changes".
7 - Arch Neurol 1993;50:807-811. Robertson et al. "Vitamin B12 Deficiency and Nervous System Disease in HIV Infection"
8 - JAMA 1993;269:1144-1153. "Preventive Health Care for Adults With HIV Infection"
9 - Arch Fam Med 1994;3:988-1002. "Human Immunodeficiency. Physician Guidelines, Advisory Group on HIV Second Edition"
10 - J. Nutr. 1997;127:345-351. "Low Serum Vitamin B-12 Concentrations Are Associated With Faster Human Immunodeficiency Virus Type 1 (HIV-1) Disease Progression".
11 - AIDS Clin Care 1998;1-1 "Peripheral Neuropathy in HIV Disease".
12 - Neurology 1999;53:592-592. "Prevalence of peripheral neuropathy in injection drug users"
13 - Arch Neurol 1999;56:84-89. "Peripheral Nerve Function in HIV Infection: Clinical, Electrophysiologic, and Laboratory Findings"
14 - Pediatrics 2000;106:35e-35. "Distal Sensory Polyneuropathy in a Cohort of HIV-Infected Children Over Five Years of Age"
15 - Neurology 2002;58:730-735. "Abnormal cobalamin-dependent transmethylation in AIDS-associated myelopathy"
16 - Revue de Médecine Interne 2003;24 (4): 218-223. "Carence en vitamine B12 avec test de Schilling normal ou syndrome de non dissociation de la vitamine B12 de ses protéines porteuses chez le sujet âgé. Etude de 60 patients".
17* - Arch Neurol. 2003;60(10):1457-62.) "Neuropsychiatric disturbances in presumed late-onset cobalamin C disease". (E. Roze, D. Gervais, S.Demeret, H. Ogier de Baulny, J. Zittoun, J.-F. Benoist, G. Saïd, C. Pierrot-Deseilligny, F. Bolgert)
18 - L' Encéphale, décembre 2003 Vol 29 (6), p. 560 - 565. "Délire Capgras chez une patiente de 64 ans atteinte d'une maladie de Biermer". ( C. Durand; S. Mary; P. Brazo; S. Dollfus).
.......................................................................................................................................
NB : En novembre 1997 le Professeur Saïd fit disparaître tous le numéros de la Revue Archives of Neurology des rayons de la Bibliothèque universitaire du CHU Bicêtre et cesser son abonnement à cette Revue au prétexte que c'était une "très mauvaise Revue" (sic) cependant qu'il fit des pieds et des mains pour pouvoir six ans plus tard y cosigner un article au côté des Drs. Hélène Ogier de Baulny et Jacqueline Zittoun. , à qui j'avais, comme au docteur Michel Serdaru, fait part de ce qui était arrivé en 1990 à mon père dans le Service du professeur Gérard Saïd.

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Le "syndrome de carence vitaminique B12 avec test de Schilling normal" n'était pas encore individualisé en 1990  lorsque j'en ai formulé l'hypothèse au sujet de mon père, peu après son admission  à l'hôpital Bicêtre dans le Service du Professeur Gérard Saïd, quand son équipe m'a faussement fait savoir que le test de Schilling était normal ainsi que la cobalaminémie. 

Pourtant le Dr Michel Serdaru, neurologue de la Fédération Française de Neurologie (hôpital Pitié-Salpétrière)  en avait déjà la notion puisqu'il fait remarquer, dans un traité des démences paru en 1991 chez Flammarion  Médecin- Sciences que ni un test de Schilling normal ni une vitaminémie B12 elle aussi normale n'éliminaient un syndrome neuro-anémique, c'est-à-dire une démence possiblement  causée par une carence profonde en vitaminique B12.

Dans "Maladie d'Alzheimer et autres démences" il avait écrit - je le cite de mémoire - "Le test de Schilling et même une vitaminémie B12 peuvent être trompeurs dans le diagnostic étiologique démences".
Je n'avais évidemment pas encore pu lire en 1990 un traité publié en 1991 ni ne connaissais alors le Dr. Serdaru. Je ne l'ai rencontré qu'en  novembre 1992 après lui avaoiri écrit pour lui exposer  l'expérience singulière que m'avait fait vivre mon père deux ans auparavant quand il a été admis à l'hôpital Bicêtre (voir celle-ci à "Une nuit vitaminée" sur le blog de leon) ou au site-Web n° 108281777 html  

Les neurologues de cet hôpital avaient prétexté la normalité de la vitaminémie B12 et du test de Schilling pour exclure la posibilité d'un syndrome neurologique dû à une carence vitaminique B12.  Ils avaient oublié l'adage que "la clinique prime le laboratoire" , un adage que pourtant je ne m'étais pas fait faute de rappeler, d'autant que le test de Schilling s'était en lui même montré transitoirement thérapeutique du fait qu'il se termine par l'injection d'une dose non négligeable de vitaminine B12  (1 mg en intra-musculaire) pour éviter la fixation de la vitamine B12 isotopique nécessaire à sa réalisation

A - Posons la question à Google de deux façons équivalentes
1° -  syndrome de carence vitaminique B12 avec test de Schilling normal
--> 2320 réponses dont en page 1 aucune à génocides.over-blog.com  
2° -  syndrome de carence cobalaminique avec test de Schilling normal
--> 8 réponses dont 6  à génocides.over-blog.com
B - Posons la même question à Bing
1° - syndrome de carence vitaminique B12 avec test de Schilling normal
-->  224 réponses
2° -  syndrome de carence cobalaminique avec test de Schilling normal
--> 128  réponses !  (contre 8 chez Google)
C - Posons la même question à Yahoo
1° - syndrome de carence vitaminique B12 avec test de Schilling normal
--> 290 réponses
2° -  syndrome de carence cobalaminique avec test de Schilling normal
--> 223 réponses  (contre 8 chez Google ?!)
CONCLUSION
Google se montre le plus sélectif

 

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2 août 2016 2 02 /08 /août /2016 17:05

En France, au moins une organisation terroriste a pu et peut continuer d'exercer toute sa destructivité sans que les pouvoirs publics n'interviennent pour y mettre un terme.

Pour comprendre cette aberration, il faut avoir à l'esprit comment le CNOM conçoit les DDH (les Droits de l'Homme) : celui du droit des médecins, du moins de ses protégés au "plus-de-jouir", un concept "psychanalytique" ad hoc "perlaboré" par Jacques Lacan pour son propre usage comme au profit de nombreux psychiatres "psychanalystes", gynécologues et sexologues, tel le Dr. Gilbert Tordjman.

Le psychiatre-psychanalyste  Charles Caille la mit à profit pour "perlaboré" celui de "méditation de l'étreinte" (sic).

"Le-plus-de-jouir" est un concept que Jacques Lacan a mis sur orbite avec son  "retour à Freud", Freud étant l'objet petit a de ses spéculations cliniques.

Jacques Lacan avait compris le parti qu'il pouvait en tirer et s'est tout au long de son oeuvre appuyé sur le cas de Freud  pour en tirer la substantifique moelle, tandis que lui-même était le sujet grand A, en supposant, nous sans raison, que Freud avait été le grand Autre d'Adolf Hitler.

Nous y reviendrons en faisant la "psychanalyse" des concepts freudiens (notamment celle  du "roman familial du névrosé, puisé chez son célèbre mais inavouable patient) et de leirs dérives interprétatives délirantes, dont celle, emblématique, du docteur Bernard This, psychiatre et "psychanalyste lacanien" dans un texte prochain (B. This, son nom l'indique, voulait nous faire avaler à travers l'insconscient qu'un changement de prénom - celui de Sigismund en Sigmund, est à l'origine du cancer de la bouche que Sieg-ist-Mund Freud a développé dans les années 1920, parce que l'insconscient est "structuré comme un langage" (sic  cf. genocides.over-blog.com/article-cancer-de-la-bouche-explique-par-l-inconscient/).

Dans son roman "La part de l'autre" le romancier Eric-Emmanuel Schmitt n'a manifestement pas compris, contrairement à Jean-Paul Sartre, qu'Adolf Hitler avait voulu parler de Sigmund Freud en reconnaissant en lui  "la part de l'autre" dans sa destinée : « J'admets la part de l'autre dans la constitution de mon destin » (avait admis A.H. dans une lettre à Sœur Lucie.)

La compréhension qu'en avait Jean-Paul Sartre, rend compte du fait que Claude Lanzman, qui était son secrétaire, se soit violemment  opposé à ce que Ron Rosenbaum puisse le découvrir dans son enquête sur Hitler et "l'origine du mal", un livre paru en France en 1998 aux éditions Jean-Claude Lattès, mais qui a mystérieusement disparu de certaines  médiathèques dès sa parution, une façon de procéder à l'instar du professeur Gérard Saïd, qui a très freudiennement fait interdire "Archives of Neurology" de parution à la bibliothèque universitaire du CHU de Bicêtre en novembre 1997, au prétexte qu'il s'agit "d'une très mauvaise revue", dixit le professeur  Gérard Saïd, qui  pourtant fait, six ans plus tard, des pieds et des mains pour voir son nom associé à celui de Jacqueline Zittoun et Hèlène Ogier de Baulny dans un article de cette "très mauvaise revue" , cf. Arch Neurol. 2003, "Neuropsychiatric disturbances in presumed late-onset cobalamin C disease". (E. Roze, D. Gervais, S.Demeret, H. Ogier de Baulny, J. Zittoun, J.-F. Benoist, G. Saïd, C. Pierrot-Deseilligny, F. Bolgert),

La censure freudienne est un procédé que le docteur Michel Meignant, psychiatre et psyhanalyste, a mis 26 ans à découvrir, Cf. www. l'affaire Freud.      

L'oeuvre de Jacques Lacan continue de hanter les philosophes et les psychanalystes alors qu'elle a été très mal comprise, aussi mal de la part de ses milliers d'admirateurs patentés, dont évidemment Bernard This, que de la part de ses détracteurs (Cf. "Le livre noir de la psychanalyse" et "Mensonges freudiens" de Jacques Bénesteau.)

Sur les "dérives" du CNOM lire aussi René Chiche << Enquête sur les mandarins de la médecine >>, parue en 2013  aux EDITIONS DU MOMENENT, en passant par l'exposé qui suit, à propos du ratage "réussi" d'une laborieuse entourloupe "à la Rossignol", pour ne pas dire "à la Dr. Petiot", car il s'agit bien de l'élimination physique d'une certaine catégorie de malades.

Un ratage réussi dans la mesure ou l'objectif principal du CNOM a été atteint : soustraire les médecins mis en cause à ce qui, en France, s'appelle la justice.

Un ratage tout de même puisque le malade condamné à la perte de ses facultés intellectuelles et à un exitus rapide a réussi à survivre, et qui plus est en récupérant des facultés intellectuelles à 30/30, ce qui pour lesdits médecins avait été très mal vécu.

Le président François Mitterrand était bien conscient de la monstrueuse perversité du CNOM, qui, avant son arrivée au pouvoir en 1981, avait promis sa suppression

René Chiche rappelle, pour introduire son enquête, qu'elles étaient les propositions du "Programme commun de gouvernement", et le docteur Bruno Halioua  à la page 12 de son livre "Blouses blanches étoiles jaunes" (paru en décembre 1999 chez Liana Lévi) comment l'Ordre s'en est sorti bien que l'Ordre  ait "relayé sans état d'âme les idées et les mesures de Vichy", ce qui le prédisposait à continuer sur cette lancée après la Libération.  

Je n'ai présentement pas le texte de Bruno Halioua sous les yeux, mais il se trouve dans mes précédents articles sur les activités criminelles, "protégées en hauts lieux", de la Clinique Léon Elmelik - dixit le Principal du Commissariat de l'Haÿ-les-Roses, le Commandant Christian Raeckelboom lorsqu'il m'a reçu le 23 janvier 1991 au Commissariat de cette sous-préfecture, cf. le site 34640255 html chap. II § 5, sur la maltraitance des personnes âgées au sein des établissements hospitaliers (hôpitaux et Cliniques, et le 108281777 html, le texte de la lettre que j'ai adressée aux pouvoirs publics concernés comme aux contre-pouvoirs médiatiques, dont le CCNE (Comité Consultatif National d'Ethique), le Figaro et Libération, en passant par d'autres médias, dont Le Monde et Médiapart, qui se taisent sur ces affaires, trop scandaleuses pour être réellement portées à la connaissance de l'opinion publique :  le journal "Le Monde" avait, sous la direction d'Edwy Plenel, "couvert" son journaliste maison, le docteur Yves Nau, qui "omertisait" les conséquences désastreuses des transfusions faites avec les flacons de sang fournis par le CNTS aux établissements hospitlaliers dans la première moitié des années 1980, jusqu'en mai 1985 (25.000 contaminations par le VIH sont dues à ces transfusions; cf. Marie Christine Casteret "L'affaire du sang" aux éd. La découverte, 1992, toujours disponible chez votre libraire).

Le CNTS a été depuis rebaptisé "Etablissement Français du Sang" pour atténuer les responsabilités étatiques en la matière.

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CONTEXTE En août 1990, devant une évidence clinique, j'avais  formulé l'hypothèse qu'une forme de la maladie de Biermer devait exister qui ne soit pas détectable  par  le test de Schilling pas plus que par une vitaminémie B12 dans les limites de la normale; Cette hypothèse non seulement m'a valu les moqueries des neurologues du CHU de Bicêtre, mais aussi une demande de radiation du tableau de l'Ordre des médecins et l'application de l'article L460 du CSP de la part du Rapporteur de l'Ordre des Médecins, le docteur Patrice Bodenan, alors même que l’application de mon hypothèse s'était montrée très pertinente, puisque :

devant une situation devenue quasi désespérée, et contre l'avis des internistes du Service de neurologie de Bicêtre, elle avait permis au malade auquel j'avais pris l'initiative de l'appliquée de se rétablir cependant que son état de dégradation était devenu tel qu'il avait été pris par les neurologues de l'hôpital Bicêtre (pilotés par le professeur Gérard Saïd) pour la conséquence d'une "encéphalopathie"  vasculaire" (sic)  compliquant  une maladie d'Alzheimer, le tout baptisé "ATTEINTE DIFFUSE DU SYSTEME NERVEUX" (sic, cf. leur compte-rendu d'hospitalisation daté du 30 septembre 1990 au site 69970222) 

Le eurologue Michel Serdaru  (de la Fédération Française de Neurologie) l'a formulé l'année suivante dans un traité paru chez Flammarion Médecine-Sciences sur "La maladie de d'Alzheimer et autres démences" (Traité sous la direction des professeurs Jean-Louis Signoret Jean-Jacques Hauw).

Ce livre a mystérieusement disparu de la bibliothèque universitaire du CHU de Bicêtre, de même que le livre du professeur Pierre Bouche sur les polyneurophies périphériques dans lequel était exposé l'intérêt d'utiliser d'autres tests que le Schilling pour ne pas passer à côté de ses défaillances dans la mise en évidence des carences vitaminiques B12, de même que le professeur Gérard Said y a fait interdire de parution en 1997 la Revue neurologique de référence qu'est "Archives of Neurology", au prétexte, m'avait-il dit, que c'était une "très mauvaise revue" (sic, donc pour les mêmes motifs que les précédentes disparitions)

La mauvaise opinion qu'il disait avoir de cette revue ne l'a pas empêché six ans plus tard de faire des pieds et des mains pour que son nom figure dans cette "très mauvaise revue" auprès de ceux des Drs. Hélène Ogier de Baulny et Jacqueline Zittoun. Je m'en étais étonné et avais interrogé madame Ogier à ce sujet, qui m'a répondu à peine savoir qui était le professeur Gérard Saïd ! Cf. Arch Neurol. 2003;60(10):1457-62. "Neuropsychiatric disturbances in presumed late-onset cobalamin C disease". (E. Roze, D. Gervais, S.Demeret, H. Ogier de Baulny, J. Zittoun, J.-F. Benoist, G. Saïd, C. Pierrot-Deseilligny, F. Bolgert.

Cf. aussi au "blog de leon" la bibliographie relative à la découverte du syndrome NDB12PP   mise en ligne sur http://génocides.over-blog.com/.

Y est aussi rapportée la soudaine, "mystérieuse" et bien dérangeante disparition de la Revue "Archives of Neurologyde la bibliothèque universitaire du CHU de Bicêtre" (une Revue que le docteur François Chedru était bien d'accord avec moi pour considérer qu'elle était une Revue de référence, et non pas "une "très mauvaise Revue" !  

Le docteur François Chedru, connaissait très bien le docteur Michel Serdaru pour avoir collaboré avec lui pour rédiger dans Archives of Neurology un article clinique sur la maladie de Marciafava Bignami  (Cf. Arch. of Neuro. 1977 "Signs of Interhemispheric Disconnection in Marchiafava-Bignami ..."

A toute fin utile je reporte cette bibliographie en addenda à la fin de cet article.

F. Chedru s'est en février 1996 chargé de rédiger à la demande des Professeurs André Lienhart et René-Claude Touzart une expertise savamment bidonée pour minimiser les très lourdes fautes médico-chirurgicales. Il était alors chef du Service de neurologie du CHU de Meaux.

le rétablissement de ce malade fut dans les années suivantes plus ou moins  (et plutôt plus que moins étant donné la panique suscitée par le rétablissement de ce malade au sein de l‘AP - HP ) à l'origine de la découverte du  syndrome NDB12PP (syndrome de Non Dissociation de la vitamine B12 de ses Protéines Porteuses touche deux fois plus de patients que la maladie de Biermer, mais reste bizarrement méconnu de la plupart des praticiens, ce dont j'ai déjà informé le CCNE, qui ne s'est guère soucié des ruineuses persécutions que la  mise évidence de ce syndrome me vaut, tant de la part du très "éthique" professeur Gérard Saïd (il était membre de l'IFREM,  éditeur de « Médica Judaïca », une revue d'éthique médicale communautaire) qui m'a fait accuser, en juillet 2004, par la direction de l'hôpital Bicêtre, d'avoir moi-même "fabriqué" (sic) ledit syndrome par "antisémitisme" (sic), que de la part du Conseil de l'Ordre, sous la houlette du docteur Patrice Bodenan, et du parquet de Créteil, celui-ci la houlette de Michel Barrau,, c'est-à-dire de l'Etat.

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L'organisation terroriste : il s'agit du CNOM, le Conseil National de l'Ordre des Médecins, une organisation criminelle à laquelle l'Etat a eu la malencontreuse idée de confier "mission de Service public" (sic, dixit le professeur Bernard Glorion dans un éditorial du Bulletin de l'Ordre lorsqu'il  présidait le CNOM

Ci-après le texte retrouvé figurant à la page 12 du livre du docteur Bruno Halioua "Blouse banches, étoiles jaunes" : << L'Ordre, pouvoir administratif glacial et sans visage, relayait sans état d'âme les idées et les mesures de Vichy. Courroie de transmission du régime, il a répercuté le statut des Juifs du 3 octobre 1940, respectant dans l'esprit et la lettre son décret d'application du 11 août 1041 relatif à la profession médicale. Cinquante sept ans après, l'institution ordinale a besoin d'être en paix. Elle sait qu'elle a failli à l'esprit de confraternité et d'entraide qui l'anime (sic, ndlr), même si dans l'ombre quelques confrères, dignes de ce nom, se sont battus personnellement contre les lois antijuives.>> 

Respectueux de l'omerta médicale Bruno Halioua écrit aussi en post-face à son livre (je  cite mémoire)  que sans l'intervention de Bernard Weber il n'aurait jamais osé publier son manuscrit (qui est Bernard Weber ? BH ne le précise pas)

Voilà textuellement ce qu'il avoue page 275 dans ses remerciements : << Sans Bernard Weber, je n'aurais jamais eu le courage d'adresser mon manuscrit à un éditeur >>, un aveux qui démontre combien l'Ordre des médecins s'arroge un droit de vie et de mort professionnelle sur les praticiens,  non pas sur ceux qui respectent la loi commune et le Code de déontologie, mais sur qui lui déplaisent parce qu'ils dénoncent des crimes et/ou des abus, notamment des viols et des escrioqueries perpétrés par ses protégés, par exemple les médecins propriétaires de l'ex Clinique Léon Elmelik (voir www. viols à la clinique léon elmelik

Pourquoi le gouvernement formé par les socalistes en 1981 s'était-il abstenu de tenir leur promesse ? 

Pourquoi au jour d'aujourd'hui, le 3 août  2016, n'en est-il plus question alors que de très nombreuses affaires ont depuis éclatées, qui mettent l'Ordre, l'AP - HP  et le CNTS en cause, dont les nombreux assassinats de malades commis au sein de l'AP - HP par Christine Malèvre, infirmière dans le Service du docteur Olivier Ille, en passant par les scandaleuses opérations chirurgicales  du docteur Georges Rossignol ? Cf. à son sujet l'article tardivement mis en ligne par l'UNOF - l' Union Nationale des Omnipraticiens Français - le 03 septembre 2013  www.unof.org/les grandes affaires judiciaires. 

Cet urologue toulousain falsifiait éhontément les dossiers médicaux pour guérir des cancers qui n'existaient pas en procédant à l'ablation, très invalidante, de prostates et de vessies. Il pouvait ainsi se tailler une réputation de chirurgien miracle éradiquant des cancers qui n'existaient pas et faire fortune (les abus médicaux dénoncés qui coûtent cher à l'Assurrance maladie sont à 90 % l'oeuvre de praticiens "indélicats" et pour 10% attribuables à la "triche" des Assurés sociaux).

Le scandale est aussi que l'Ordre des médecins n'a sanctionné le docteur Georges Rossignol que d'un simple blâme  t qu'il protégeait d'autre part les agissements criminels des médecins actionnaires de la Clinique Léon Elmelik - apparemment sans savoir que cette Clinique était déjà protégée "en hauts lieux", c'est-à-dire par les ministères responsables de la Santé et de la Justice, c'est-à-dire par l'Etat, pour une raison bien différente que celle des viols qu'y commettaient à tire-larigot son médecin-propriétaire le docteur Jean-Claude Elmelik, à savoir l'élimination physique des malades contaminés par le VIH lors desdites transfusions de sang pratiquées, entre autres, dans les hôpitaux de l'AP - HP, sur des patients qu'il valait mieux, quand les circonstances s'y prêtaient (les médecins de mon père avaient pensé qu'elles s'y prêtaient en ce qui le concernait), faire diparaître avant qu'ils aient eu le temps de développer un SIDA maladie cliniquement évident, ce afin que le CNTS les hôpitaux et les Cliniques qui ont usé des lots infectés puissent échapper à l'obligation de dédommager les bénéficiaires receveurs (Cf. Le Mémoire soutenu en 1999 par le docteur Patrice Bodenan devant le professeur Christian Hervé en vu de l'obtention d'un DEA d'éthique médicale, Mémoire intitulé "Problèmes éthiques posés par les commissions de conciliations hospitalières " mis en ligne sur la Toile jusqu'à l'an dernier, mais prudemment retiré depuis (depuis que Bodenan et/ou Christian Hervé ont pris conscience de son incongruité) . - cf. aussi  www. viols à la Clinique Léon Elmelik.

Ainsi s'explique pourquoi Christine Malèvre s'était glorifiée d'avoir réussi à exécuter une trentaine de malades. Elle avait toutes les raisons de penser que c'était ce que son Chef de Service, le docteur Olivier Ille, lui demandait de faire, et au delà de celui-ci, le CHU de Mantes la Jolie, et au delà de ce CHU la direction de l'AP - HP, gardienne de l'éthique médicale depuis la création, en 1995 de l'Espace Ethique de l'AP - HP, un écart espace "éthique" placé  par le professeur  Gérard Saïd sous la houlette de son ami le philosophe Emmanuel Hirsch. 

Ainsi s'explique  pourquoi le docteure Laurence Kouyoumdjian, qui fit cesser ces assassinats de malades en les signalant, n'en fut nullement récompensée - elle aurait normalment dû être citée à la Légion d'Honneur - mais au contraire implicitement blâmée puisqu'elle fut priée de déguerpir alors que son collègue Olivier Ille, qui s'était bien gardé d'n faire le signalement - et pour cause - a pu garder son poste.   

Olivier Ille en avait déjà réalisé d'autres par personnes interposées, notamment lorsqu'il était Interne dans le Service de neurologie du professeur Gérard Saïd.

Ainsi s'explique pourquoi le Gérard Saïd et le CNOM ont chercher à s'entendre en 1997, quand de surcroît les assassinats de malades commis au CHU de Mantes la Jolie par Christine Malèvre sous la direction du docteur Olivier Ille ont été connus du fait que le docteur Laurence Kouyoumdjian les a dénoncés.

Ainsi s'explique pourquoi Emmanuel Hirsch, sans être médecin, était à cette époque parfaitement au courant des mésavantures cliniques  dudit malade, en dépit du fait qu'en vertu du sectret professionnel il n'aurait jamais dû les connaïtre, un malade qui avait été "normalement" promis en 1990, alors qu'il était aux mains du docteur Olivier Ille, Interne dans le Service du professeur Gérard Saïd, à une fin rapide (dixit son Chef de Clinique  Pascal Masnou).

Au nom de l'équipe de neurologie de ce Service, Olivier Ille avait ordonné au docteur Jean-Yves Beinis, chez qui il avait fait transféré un de ses malades, qui était alors et encore parfaitement curable avec un traitement simple, mais déclaré voué à la mort à brève échéance  (dixit Pascal Masnou) puisqu'il ne le recevait pas réellement, non seulement de ne pas l'administrer, mais de faire croire à son fils, médecin, qu'il le lui administrait réellement.

Afin que le docteur Beinis accepte de suivre une proposition aussi extravagante, il avait fallu mettre celui-ci en condition (on le savait et peu regardant et très receptifs à des ordres venus "d'en haut", conformément au principe mis en évidence en 1963 par Stanley Milgram, d'où son indifférence aux souffrances manifestes endurait son malade.

Seul (ou avec l'équipe de neurologues de son Service - ce point reste à déterminer) Olivier Ille avait fait  croire au docteur Beinis, dans une lettre très savamment bidonnée (une lettre manuscrite datée du 22 août 1990) que ledit malade ne souffrait nullement de ce pourquoi il avait été hospitalisé à Bicêtre, mais d'une démence de type Alzheimer compliquée d'une "encéphalopathie vasculaire" (sic, cf. aussi le compte-rendu officiel de son hospitalisation à Bicêtre au site 69970222 html).

Olivier Ille savait pourtant pertinemment que son malade (qui était aussi celui du docteur Pascal Masnou)  souffrait d'un syndrome neuro-anémique, c'est-à-dire d'une carence vitaminique B12 sévèrement décompensé, une carence spécifique, qui la plupart du temps (à 80%) est consécutive à la maladie de Biermer, sinon à d'autres causes de malabsorption (20%) aboutissant à une telle carence, et qui par conséquent sont réversibles avec le traitement de la maladie de Biermer, à condition que celui-ci soit administré réellement et en temps voulu (avant le décès du malade, qui peut survenir inopinément, et éviter des séquelles neurologiques irréversibles).

Aussi fait-il maintenant le joli coeur, non plus au yeux de Christine Malèvre, dont il n'a plus rien à foutre attendre, mais aux yeux de la Communauté de l'Emmanuel, alias  Amour & Vérité,  dans  des conférences  qu'il a données  en mars 2013 au 5e Rassemblement sous le titre de "Prends soins de lui", imittant en cela l'exemple de son ex Chef de Service à l'hôpital Bicêtre, le professeur Gérard Saïd, membre de IFREM  (l'Institut de Formation et de Recherche en Ethique Médicale et instigateur de "l'Espace Ethique de l'AP - HP" (sic), à la tête duquel il  (Gérard Saïd) fit placé son ami Emmanuel Hirsch, qui, alors qu'il n'est pas médecin, m'a dit "connaître par coeur" (sic) la mésaventure arrivée à mon père à la Clinique Léon Elmelik et ensuite  au CHU de Bicêtre dans le Service de neurologie de son mentor le professeur Gérard Saïd ! 

Bonjour messieurs les Tartuffes, vous-vous portez toujours à merveille.

Et tant pis pour le SM (le Secret Médical), sur lequel Tartuffe Emmanuel Hirsch est censé veiller (à propos d'Emmanuel Hirsch, combien est-il payé à faire le guignol à enseigner l'éthique médicale aux personnel soignat : que je sache madame Pondu, la Surveillante de l'Unité de Soins  du docteur Beinis n'avait pas eu besoin de ses enseignements pour savoir qu'il fallait arrêter de faire semblant d'administrer au malade du docteur Beinis la traitement de la maladie de Biermer.      

A suivre ... sur 34640522 html et autres articles du "blog de leon" consacrés au docteur Patrice Bodenan

<< Dans cette affaire On a rien à craindre  - pouvait-on entendre dire à l'hôpital Saint-Louis en 1999 - On tient la presse, la médecine et la justice >> Qui "On" ?

Le cas relève du principe, mis en évidence en 1963 par Stanley Milgram à la suite du procès d'Adolf Eichmann, de la soumision à l'autorité, ici appliqué à la maltraitance hospitalière, maltraitance en l'occurrence relative à :

1° -  l'affaire du sang contaminé  (subséquentes aux relations "incestueuses" que  l'A.P. entretenait avec le C.N.T.S.)
2° -  aux euthanasies prétendument compassionnelles opérées au CHU de Mantes-la-Jolie en 1997.
(des assassinats "thérapeutiques" ciblant des malades anciennement transfusés)
3° - aux viols de parturientes  commis par le médecin propriétaire de la Clinique Léon Elmelik  à La Hay-les-Roses.  
4° aux  menaces que l'Ordre des médecins a fait peser sur une des victimes du même praticien et ses avocat(e)s, des menaces qui visaient à l'empêcher de se porter partie civile contre ses agresseurs.
5° à l'occultation des preuves, des mystifications de l'Assistance publique et des entraves faites à la manifestation de la vérité, relayées par les manoeuvres dilatoires de l'autorité judiciaire, faits qui reflètent une justice au service du pouvoir politique : la plainte fut classée non-lieu de façon méprisante et quasi injurieuse malgré l'accumulation de preuves présentées, aussi accablantes qu'irréfutables.
6° - à la falsification d'un test diagnostic (le test de Schilling) pour dérouter le diagnostic, et empêcher la cobalamino-thérapie salvatrice d'être mise en oeuvre   
7° - à la mise en place au CHU de Bicêtre de "l'Espace Ethique de l'Assistance Publique", mise en place confiée au  Chef du Service où ladite falsification a été faite
8° - de l'occultation subséquente de la Revue dec référence "Archives of Neurology" à la bibliothèque du CHU Bicêtre
9° - au maintien en service de la Clinique de l'Haÿ-les-Roses et aux "hautes protections" administratives et judiciaires dont elles jouissait  malgré (ou à cause de ?) ce qui s'y passait.
10° - à la nomination du Dr. Patrice Bodenan au poste de président du Conseil disciplinaire de l'Ordre des médecins en Ïle-de-France et à sa qualification (DEA d'éthique madicale en 1999 sur les "Problèmes éthiques posés par les Commissions de Conciliation hospitalières", Mémoire patroné par le Pr. Christian Hervé.
et 11° - à la même annéeé (1999) l'incendie des archives et la reconstruction de la Mairie de l'Haÿ-les-Roses, une réfection luxueuse qui a grevé et continue de le grever lourdement  le budget de la Municipalité de l'Haÿ-les-Roses.


En résumé, comme me l'avait confié en 1994 le Dr.Claude Poulain, l'ex Secrétaire général du Conseil de l'Ordre des médecins du Val-de-Marne à propos du Dr.Bodenan et de son mentor le président Jean Pouillard "le ver est dans le fruit", le docteur Claude Poulain étant bien placé pour savoir les turpitudes des médecins Clinique de l'Haÿ-les-Roses et du docteur Jean Pouillard.   

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Bibliographie relative à la découverte du NDB12PP

1 - 1978 Kolhouse & al, New Engl. J. Med. 299, 15, 787 - 792. "Cobalamin analogues are present in human plasma and can mask cobalamin defiency because current radioisotope dilution assays are not specifique for true cobalamin".
2 - 1987 Berger JR & al. Ann Intern Med. 107 : 78 "Progressive multifocal leukoencephalopathy associated with human immunodefiency virus infection".
3 - 1987 Ogier H. & al. éd. Masson "La cobalamine (vitamine B12), APECTS METABOLIQUES, GENETIQUES, NUTRITUIONNELS ET THERAPEUTIQUES"; 254-281.
4 - 1988 J. Lindebaum & al. N. Engl. J. of Med. "Neuropsychiatric disorders caused by cobalamin deficiency in the absence of anemia or macrocytosis"
5 - Arch Neurol 1991;48(3):312-314. "Abnormal vitamin B12 tabolism in human immunodeficiency virus infection : association with neurological dysfunction" (Accepted for publication September 5,1990).
6 - Arch Neurol 1992;49:501-506. "Plasma Vitamin B12 Level as a Potential Cofactor in Studies of Human Immunodeficiency Virus Type 1- Related Cognitive Changes".
7 - Arch Neurol 1993;50:807-811. Robertson et al. "Vitamin B12 Deficiency and Nervous System Disease in HIV Infection"
8 - JAMA 1993;269:1144-1153. "Preventive Health Care for Adults With HIV Infection"
9 - Arch Fam Med 1994;3:988-1002. "Human Immunodeficiency. Physician Guidelines, Advisory Group on HIV Second Edition"
10 - J. Nutr. 1997;127:345-351. "Low Serum Vitamin B-12 Concentrations Are Associated With Faster Human Immunodeficiency Virus Type 1 (HIV-1) Disease Progression".
11 - AIDS Clin Care 1998;1-1 "Peripheral Neuropathy in HIV Disease".
12 - Neurology 1999;53:592-592. "Prevalence of peripheral neuropathy in injection drug users"
13 - Arch Neurol 1999;56:84-89. "Peripheral Nerve Function in HIV Infection: Clinical, Electrophysiologic, and Laboratory Findings"
14 - Pediatrics 2000;106:35e-35. "Distal Sensory Polyneuropathy in a Cohort of HIV-Infected Children Over Five Years of Age"
15 - Neurology 2002;58:730-735. "Abnormal cobalamin-dependent transmethylation in AIDS-associated myelopathy"
16 - Revue de Médecine Interne 2003;24 (4): 218-223. "Carence en vitamine B12 avec test de Schilling normal ou syndrome de non dissociation de la vitamine B12 de ses protéines porteuses chez le sujet âgé. Etude de 60 patients".
17* - Arch Neurol. 2003;60(10):1457-62.) "Neuropsychiatric disturbances in presumed late-onset cobalamin C disease". (E. Roze, D. Gervais, S.Demeret, H. Ogier de Baulny, J. Zittoun, J.-F. Benoist, G. Saïd, C. Pierrot-Deseilligny, F. Bolgert)
18 - L' Encéphale, décembre 2003 Vol 29 (6), p. 560 - 565. "Délire Capgras chez une patiente de 64 ans atteinte d'une maladie de Biermer". ( C. Durand; S. Mary; P. Brazo; S. Dollfus).
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NB : En novembre 1997 le Professeur Saïd fit disparaître tous le numéros de la Revue Archives of Neurology des rayons de la Bibliothèque universitaire du CHU Bicêtre et cesser son abonnement à cette Revue au prétexte que c'était une "très mauvaise Revue" (sic) cependant qu'il fit des pieds et des mains pour pouvoir six ans plus tard y cosigner un article au côté des Drs. Hélène Ogier de Baulny et Jacqueline Zittoun. , à qui j'avais, comme au docteur Michel Serdaru, fait part de ce qui était arrivé en 1990 à mon père dans le Service du professeur Gérard Saïd.

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Le "syndrome de carence vitaminique B12 avec test de Schilling normal" n'était pas encore individualisé en 1990  lorsque j'en ai formulé l'hypothèse au sujet de mon père, peu après son admission  à l'hôpital Bicêtre dans le Service du Professeur Gérard Saïd, quand son équipe m'a faussement fait savoir que le test de Schilling était normal ainsi que la cobalaminémie. 

Pourtant le Dr Michel Serdaru, neurologue de la Fédération Française de Neurologie (hôpital Pitié-Salpétrière)  en avait déjà la notion puisqu'il fait remarquer, dans un traité des démences paru en 1991 chez Flammarion  Médecin- Sciences que ni un test de Schilling normal ni une vitaminémie B12 elle aussi normale n'éliminaient un syndrome neuro-anémique, c'est-à-dire une démence possiblement  causée par une carence profonde en vitaminique B12.

Dans "Maladie d'Alzheimer et autres démences" il avait écrit - je le cite de mémoire - "Le test de Schilling et même une vitaminémie B12 peuvent être trompeurs dans le diagnostic étiologique démences".
Je n'avais évidemment pas encore pu lire en 1990 un traité publié en 1991 ni ne connaissais alors le Dr. Serdaru. Je ne l'ai rencontré qu'en  novembre 1992 après lui avaoiri écrit pour lui exposer  l'expérience singulière que m'avait fait vivre mon père deux ans auparavant quand il a été admis à l'hôpital Bicêtre (voir celle-ci à "Une nuit vitaminée" sur le blog de leon) ou au site-Web n° 108281777 html  

Les neurologues de cet hôpital avaient prétexté la normalité de la vitaminémie B12 et du test de Schilling pour exclure la posibilité d'un syndrome neurologique dû à une carence vitaminique B12.  Ils avaient oublié l'adage que "la clinique prime le laboratoire" , un adage que pourtant je ne m'étais pas fait faute de rappeler, d'autant que le test de Schilling s'était en lui même montré transitoirement thérapeutique du fait qu'il se termine par l'injection d'une dose non négligeable de vitaminine B12  (1 mg en intra-musculaire) pour éviter la fixation de la vitamine B12 isotopique nécessaire à sa réalisation

A - Posons la question à Google de deux façons équivalentes
1° -  syndrome de carence vitaminique B12 avec test de Schilling normal
--> 2320 réponses dont en page 1 aucune à génocides.over-blog.com  
2° -  syndrome de carence cobalaminique avec test de Schilling normal
--> 8 réponses dont 6  à génocides.over-blog.com
B - Posons la même question à Bing
1° - syndrome de carence vitaminique B12 avec test de Schilling normal
-->  224 réponses
2° -  syndrome de carence cobalaminique avec test de Schilling normal
--> 128  réponses !  (contre 8 chez Google)
C - Posons la même question à Yahoo
1° - syndrome de carence vitaminique B12 avec test de Schilling normal
--> 290 réponses
2° -  syndrome de carence cobalaminique avec test de Schilling normal
--> 223 réponses  (contre 8 chez Google ?!)
CONCLUSION
Google se montre le plus sélectif

 

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