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16 décembre 2014 2 16 /12 /décembre /2014 17:46

Il est aux États-Unis et en  Suède plus facile qu'en France de livrer des réflexions critiques sur la psychanalyse freudienne et la personnalité de son promoteur.

Élisabeth Roudinesco et son lobby éditorial veillent à ce que toute critique fondée soit empêchée de parution, ou à défaut de la rendre suspecte d'une motivation antisémite, plus ou moins masquée, consciente ou inconsciente. Elle est en cela très freudienne, qui sait barrer la route à la prise de conscience.     

  Michel Onfray s'en est aperçu après qu'il a réussi à faire publier "Le crépuscule d'une idole" (en 2010 chez Grasset) et avant lui Jacques Bénesteau (chez Mardaga en 2002), après que cet auteur iconoclaste a vainement essayé de trouver un éditeurs pour sont livre "Mensonges freudiens". Selon ses dires son manuscrit aurait en France été refusé par 26 éditeurs. Il a de fait fait l'objet d'une violente attaque avant même sa parution en librairie.

A sa parution, les éditions P.U.F. n'ont pourtant pas refusé d'exposer en évidence son livre à la devanture de la Libraire des P.U.F., Place de la Sorbonne; Les éditions P.U.F avaient d'ailleurs déjà publié « Tempête aux Archives Freud » de l'américaine Janet Malcolm en 1986. 

Les éditions Gallimard avaient déjà fait paraître "Freud fils de Jacob" en 1984,  et Aubier Montaigne "Le réel escamoté" (livre épuisé et tardivement découvert par le médecin-psychiatre et cinéaste Michel Meignant, qui a pu en tiré un film, intitulé "L'affaire Freud", film sorti en salle en 2012 et disponible en DVD.)

-/-   

La question de savoir si Sigismund Freud n'a pas pris le jeune Adolfus Hitler en analyse vers 1908 est a priori jugée impossible sinon complétement tabou. Leur rencontre a été présentée comme une fiction dans une représentation théâtrale. Elle mérite pourtant d'être sérieusement envisagée parce que la "philosophie" de Freud rejoignait de celle qui allait devenir celle d'un de ses anciens patients de 1908, en l'occurrence celle d'un certain Adolfus Hitler, un patient qui lui avait fourni de quoi échafauder nombre de ses aperçus théoriques, et qui réciproquement s'est inspiré des idées de Freud  passant par celles de Gustave Le BON, leur commune référence pragmatique pour conduire les foules dans l'irrationnel jusqu'à les faire adhérer à leur propre Weltanschaung, c'est-à-dire à leur conception projective (paranoïaque) qu'ils se faisaient des hommes par rapport à la vie et à la mort.    

AH avait été jusqu'à se rapprocher de Freud sur le plan géographico-symbolique. C'est à Berchtesgaden que Freud prenait ses vacances et c'est à Berchtesgaden qu'AH fit construire son nid d'aigle.    

En France le concept de ''Yavis-syndrome'' n'a pas et même jamais eu cours. Les nombreux sites-Web qui  y renvoient sont quasiment tous états-uniens. 

L'acronyme YAVIS a été créé en 1964 par un psychiatre américain nommé William Schofield dans un livre intitulé "Psychotherapy : The Purchase of Friendship" - Spectrum book, Prentice-Hall 1964, et non pas inventé par le psycho-sociologue William Epstein, comme je l'ai malencontreusement rapporté hier parce que cet auteur a intégré ce concept dans ses livres. William Epstein est en effet l'auteur de The Illusion of Psychotherapy, 1995 Nevada Univ Press, et de  Welfare in America, 1997 Univ of Winconsin Press). 

Le  Yavis syndrome, est censé rendre compte d'une réalité sociologique. 

William Schofield aurait à mon sens mieux fait de l'appeler  le Yravis-syndrome (avec un R comme Richt)

S'y était d'ailleurs employé, si mes souvenirs sont bons un auteur d'origine hollandaise qui a exercé la psychiatrie en Suisse, un auteur dont j'ai oublié le nom et égaré le livre. Il avait rapidement été prié d'aller exercer son art ailleurs qu'en Suisse.

 L'ajout de la lettre R donne YARVIS, c'est-à-dire Young, Attractiv, Richt, Verbal, Intelligent, Succesfull.

Ces termes seraient plus aptes à exprimer les qualités requises pour avoir des chances d’être plus rapidement acceptée en psychothérapie freudienne

Contrairement à ce que les psychanalystes freudiens ont soutenu jusqu'au début de ce millénaire dans leur aveuglement idéologique, bien des pères, mais aussi certaines mères, s'adonnent en secret à l'inceste, y compris, si ce n'est davantage, dans les familles qui présentent toutes les signes extérieurs du prestige et de l'honorabilité, ne serait-ce que parce qu'il faut bien préserver leur bonne réputation.

Il était avant l'ère freudienne aux filles ou aux garçons de familles bourgeoises déjà difficile de parler de ce qu'elles ou ils avaient pu y subir, mais combien plus après l'ère freudienne, après que Sigmund Freud a introduit sur le marché la théorie du fantasme œdipien.

Freud n'avait pas été long à comprendre, après qu'il s'y était essayé, qu'il ne fallait surtout pas parler de "ça" si  l'instar d'un de ses contemporains, Carl Auer von Welsbach (l'inventeur du bec Auer) , il voulait faire fortune. 

Mais Freud était aussi ingénieux que pragmatique, à défaut d'être ingénieur. Il entreprit de consacrer son temps à la problématique conflictuelle (psycho-sexuelle) de patient(e)s fortuné(e)s et très fortuné(e)s, ou tout au moins promis(e)s à de belles espérances, que ce soit par héritages ou par mariages, quitte à les arranger par de judicieux conseils pour qu'ils se réalisent et qu’ils ou elles deviennent riches, pour  les prendre en cure et opèrent sur lui ce qu'il n'a pas manqué d'appeler un "transfert" (affectif évidemment, l'inconscient étant structuré comme un langage)  

Il s'intéressait très peu et même pas du tout aux va-nu-pieds, incapables de "transfert", quoique la problématique sexuelle des sans-dents soit similaire, quoique présumée moins contraignante.

Freud s'est évidemment bien gardé d'afficher qu'il avait en fait le plus profond mépris pour ses patients et patientes. Il confessait en privé que les malades l'insupportaient, qu'ils n'étaient que de la racaille. Du matériel qui ne servait qu'à le faire vivre, et accessoirement à ce qu'il appelait pompeusement ses "recherches", et que le mieux aurait été d'en faire des cargaisons pour les couler (ce qui contredit la thèse qu'il n'était intéressé que par leur fortune, cf. Mikkel Borsh Jacobsen "Destins, les patients de Freud" éd. Sciences humaines, 2011) 

Dans son "Moïse et le monothéisme", Freud fait de Moïse un Chef politique et religieux égyptien. A l'instar de Moïse sortant les Hébreux de l'emprise esclavagiste des pharaons vers la terre promise, son ex patient autrichien promettait aux Allemands de les sortir de l'emprise judéo-maçonnique et du christianisme qui les empêchaient de conquérir le monde et la fortune qui leur étaient dus en tant d'élus de Dieu au moment où il commença à rédiger son livre.

Ce n'est certes pas par hasard qu'Hitler a constamment fait référence à l'inventivité et la grandeur des Egyptiens dans ses vociférations vengeresses.

Freud ne s'est évidemment jamais vanté d'avoir pris cet oiseau-là en cure. Le secret de cette extraordinaire "réussite" a été et restera verrouillé comme un secret militaire, un secret qui, pour la Cause freudienne, mais non seulement pour celle-ci, ne doit en aucun cas être levé.

Les gardiens du Temple sont là qui y veille jalousement. Ils s'étaient déjà bien gardé de révéler un autre plus petit secret, celui de merveilleuse réussite qu'avait été l'analyse d'Emma Eckstein. 

Il aura fallu qu'un "traitre" imbécile, un certain Jeffrey-Moussaëff Masson, à qui Kurt Eissler avait commis l'imprudence de confier les clés du royaume, c'est-à-dire les Archives Freud, déposées à Washington, ville où que l'on pensait pouvoir laver plus blanc que blanc, vienne la révéler en 1981 pour que cette tache ressorte. (Cf. www.jeffreymasson.com/.../the-assault-on-truth.html)

Maqis allez savoir si Masson n'aurait pas été mu par le complexe de la "haine de soi d'être juif" ?

La théorie du complexe de la haine de soi d'être juif a été soutenue lors d'un Colloque consacré à "la psychanalyse de l'antisémitisme" devant un parterre de quelques centaines de personnes, Colloque organisé par l'Alliance Israélite Universelle le dimanche 15 décembre 2002, en la présence des éminents "psys" que sont le Dr. Charles Melman, psy "lacanien"; Daniel Sibony,psychanalyste-mathématicien; Emeric Deutsch, sociologue franco-israèlien; Janine Chasseguet-Smirgel, médecin spécialiste de la sexualité féminine et de celle de Gustave Strindberg, postulée sadique-anale. L'excellent Jean-Claude Winter était venu voir. On attendait l'historien Alexandre Adler, mais il avait été retenu en Chine. Le Colloque était présidé par un pédo-psychiatre exerçant à Etampes, le Dr. Georges Gachnocchi, réputé être un psy très gentil. Il ouvrit la séance en vitupérant contre les journalistes de  "Le Monde", qu'il dit être mus par le complexe de la haine de soi d'être juifs du fait qu'ils signaient des articles critiques envers la politique colonialiste d’Israël.

Pour en revenir au YARVIS, loin d'avoir été un va-nu-pieds aux prises avec la misère et le complexe de la haine-de-soi-d'-être-juif  lorsqu'il le prit en analyse, Adolfus Hitler vivait  comme un dandy en mal d'amour pour une jeune beauté présumée juive à cause de son nom (une nommée Stéphanie Zara, si mes souvenirs sont bons) . La mère d'Adolfus était morte depuis peu et sa mort avait beaucoup éprouvé son fils, d'après ce qu'en a rapporter le Dr. Bloch, qui avait soigné sa mère (selon Ron Rosenbaum dans son "Hitler, l'origine du mal", traduit et édité en France en 1998 chez Jean-Claude Lattès. Un livre très peu apprécié de Claude Lanzman, qui aimerait sûrement pouvoir en interdire la lecture.

A cette époque Hitler nourrissait une grande admiration - sans doute non dépourvue d'espérances - à l'égard des Juifs, à en croire l'historien François Delpla, dans un livre paru en décembre 1999 chez Grasset, livre préfacé et alors recommandé par Alexandre Adler, un livre tout bonnement intitulé "Hitler".

Du fait que la mère d'Hitler venait depuis peu de mourir, le jeune Adolfus aurait ainsi hérité d'une petite fortune. Cette fortune lui serait venue de la conséquente pension qu'un certain Frankenheimer et/ou un certain Frankenberger (ceux-ci pourraient en fait être les prête-noms d'un inavouable richissime personnage) que lui aurait allouée, après qu'il l'avoir fait congédier en 1888 de son emploi à son service.

Anna-Maria Schicklegrüber aurait alors été au service de le maison du Baron Rotschild Cette thèse a été fortement combattue en 2011 par une américaine dénommée Carolyn Yeager. On s'est attachée à combattre l'idée répandue que Hitler aurait du sang juif. Carolyn Yeager, ne serait catholique et négationniste de l’holocauste, adepte de mouvements néo-nazis; et "racialistes".

 carolynyeager.net/fake-legends-adolf-hitlers-jewish granfather / 2011

et archive.adl.org/.../carolyn_yeager_holocaust_denial.h.

Carolyn Yeager réfute catégoriquement qu'Hitler puisse avoir eu une quelconque parenté avec le Baron Rotschild et qu'il ait des ascendants juifs. Mais pas qu'il  puisse l’avoir cru ou avoir craint que l'on puisse l'en suspecter. Son article, très argumenté, a pourtant été rédigé après la publication d'une analyse du génome d'Hitler, publiée en août 2010, qui fait état d'un haptogroupe E1b1b1,  plus fréquemment retrouvé chez les berbères, et les juifs ( Cf. www.dailymail.co.uk/.../Hitler-descended-Jews-Africa... )

Selon les rapports de polices, ledit baron aurait souffert du trouble qui bien souvent agite les puissants, celui que n'a pu par exemple s'empêcher présenter un certain ex président du FMI lorsqu'il était à New-York et se croyait comme en France protégé, et un certain président italien, pour ne citer que ceux-là. Or à l'époque des géniteurs de Freud et Hitler, la pilule dite du lendemain, ni la pilule contraceptive n'avaient été inventées.

Reste qu'Hitler a tout fait pour faire disparaître les traces de ses origines.Il s'est bel et bien comporté comme s'il ne fallait pas que l'on puisse les découvrir  (Cf. Ron Rosenbaum, "Hitler, l'origine du mal" éd. J-C. Lattès 1998)

Avec l'invention du fantasme oedipien, Freud aurait-il inconsciemment cherché à occulter, en la révélant, une pratique intrinsèque qui jusqu'à nos jours a obligé l'occultation ces "dérapages" (terme consacré dont fait usage le Dr. René Coutenceau dans ses écrits) ainsi qu'en témoigne dans son fureux commentaire le psychiatre-psychanalyste freudien orthodoxe Samuel Lepastier dans "Le Monde" du 8 février 2006 à propos des enfants d'Outreau. Ces enfants n'auraient selon lui été victimes que de leur inconscient œdipien !

Le psychanalyste Roger Perron - et pas seulement lui en tant que psy freudien patenté - s'est à partir de la théorie œdipienne permis d'affirmer que l'accomplissement de vrais incestes est exceptionnel, qu'il s'agit quasi toujours d'affabulations, de l'expression de fantasmes œdipiens. Lire les conclusions de l'article qu'il a fait paraître dans le gros dictionnaire "international" de psychanalyse édité chez Calman Lévy en 2002, un article qui implique que les 460 autres psychanalystes rédacteurs de ce lourd mais peu lumineux dictionnaire souscrivent à la théorie des fantasmes œdipiens.

Un autre dictionnaire de psychanalyse, celui de Bernard Vandermersch et de Roland Chemamaplus lacanien, édité en 1998 chez Larousse, admet que le complexe d'Oedipe est loin d'être universel. L' Œdipe serait surtout relatif aux familles occidentales. (p.188).

Ce qui n'a pas empêché le psychiatre contestataire de Freud qu'est le Dr. Gérard Lopez de "tomber dans le panneau", comme dirait le psychanalyste André Green.

Gérard Lopez a cru pouvoir écrire que Freud a «démontré» (sic) luniversalité de ce complexe (page 58 de son livre, quand même très courageux, intitulé "Enfants violés, enfants violentés, le scandale oublié".

Mais en quoi les conseils de Freud à Hitler auraient-ils pu être pernicieux ?

 La réponse à cette épineuse question, si elle n'est pas évidente, se trouve dans les précédents articles de ce blog.

 Slut för idag 

 

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13 décembre 2014 6 13 /12 /décembre /2014 10:24

A Freud qui lui demandait que sa puînée devienne intelligente, honnête et psychanalyste, la fée qu'il avait appelée répondit qu'elle ne pouvait pas lui réunir ces trois qualités, que seulement deux étaient compatibles, à lui de choisir.

De fait Anne Freud devint une psychanalyste freudienne pure et dure. Elle avait épousé la thèse de son père. 

Celle-ci postule l'existence de fantasmes oedipiens inconscients tels que les avait défini son père. Anna Freud était consciente des siens, vécus sous l'emprise de son père dans la répétition inconsciente de l'origine incestueuse des théorisations de son père.  

La psychanalyse freudienne est l'art de renverser l'ordre des causalités, de fourvoyer les esprits dans des impasses logiques (apories). Elle participe à la déstructuration (schizophrénisation)  de la société.

Elle continue en France de crétiniser l’intelligentsia psy. Les pays qui l'ont bannie se portent mieux, à l'instar des pays nordiques.

En Suède la prévalence de la schizophrénie n'est actuellement que de 0,35 %, PHC inclue, et ce depuis au moins une trentaine d'années, contre 1% en France, PHC non comprise.

Roger Perron croit ou feint de croire au conte de fée oedipien, qui affirme sans rire que les incestes vrais sont exceptionnels alors que rien qu'en France  deux millions de femmes en ont été victimes !

La décrétinisation de la psychanalyse freudienne passe par la lecture de  Jeffrey Moussaïef Masson  ("Le réel escamoté" et la visualisation du film "L'affaire Freud" (2012) du psychiatre-sexologue Michel Meignant, ou par la lecture  de "Le roman familial de Freud", de la psychanalyste Gabrielle Rubin, ou encore de  "L'homme aux statues", de la psychanalyste Marie Balmary

La théorie oedipienne n'est cohérente (ne "parle vrai") que par rapport à origine incestueuse de Freud, une origine que la théorie oedipienne cache tout en l'exhibant - comme au bonneteau - au nom de la préservation de l'image du grand-papa forclos. 

Jacques Lacan, avait avant tout compris que la problématique freudienne tenait à ce que Sigmund Freud n'avait pas su résoudre sa propre équation, "en racine ² de - 1", c'est à dire à sa propre préhistoire.

 

Lui-même né dans d'une famille en yau de poêle, il n'avait pas eu trop de mal à comprendre la déraison des errements freudiens, à savoir que la psychanlyse était un vaste délire. Un délire qui a été reste et restera longtemps contagieux.

Il est en effet par nature commode de masquer des réalités trop choquantes sous des dehors qui le sont moins: la théorie oedipienne remplit cette fonction: attribuer les conséquences dévastatrices des transgressions incestueuses et/ou pédophiles à la persistances de fantasmes infantiles est beaucoup plus acceptable que de les attribuer à des violations réelles. 

Pierre Cretien, psychiatre lacanien.  

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13 décembre 2014 6 13 /12 /décembre /2014 02:25

En août 1990 j'avais formulé et même vivement soutenu l'hypothèse d'un probable syndrome neuro-anémique en dépit des données négatives du laboratoire (test de Schilling normal, vitaminémie B12 normale, hémogramme normal, etc ...)  au sujet de mon père, cela au vu du tableau clinique observé, d'une part neurologique (tableau de sclérose combinée),  et d'autre part psychiatrique (état d'angoisse panique, baisse drastique des fonctions intellectuelles, délire de Capgras).

Mon père venait d'être hospitalisé d'urgence au CHU de Bicêtre. Je n'ai pas du tout été écouté quand j'ai demandé de ne pas tenir compte de la négativité des données de laboratoire et de lui administrer le traitement de la maladie de Biermer en vertu du vieux principe que "la clinique prime le labratoire", d'autant que le test de Schilling s'était en lui-même montré durant deux ou trois jour thérapeutique, et non pas aggravant, comme cela aurait pu être le cas s'il s'était agi d'un gliome.  

Au lieu de l'administrer, les neurologues firent semblant de suivre mon avis, jusqu'à ce qu'une infirmière, devant l'aggravation épouvantable de l'état du malade et l'apparition d'une glossite de Hunter (signe pathognomonique bien connu de carence vitaminique B12), ait compris que j'avais raison et m'avertisse, après 5 semaines d'hospitalisation, qu'ordre avait été donné par son patron, qui suivait en cela aveuglément celui des neurologues de Bicêtre, de ne donner qu'un simulacre de ce traitement. Les neurologues avaient en effet péremptoirement et irrévocablement décidé qu'il s'agissait d'un malade souffrant de la maladie d'Alzheimer compliquée d'une encéphalopathie vasculaire. Ils l'avaient ainsi envoyé finir ses jours à l'hôpital des incurables à Ivry-sur-Seine.

J'ai alors été placé devant la nécessité d'instituer le traitement de la maladie de Biermer par moi-même de façon urgente. Mon père venait de sombrer dans un coma carus. Le traitement le sortit rapidement du coma. Mon père récupéra peu à peu ses facultés à 30/30 au MMSE, son HTA (très sévère) retomba. Mon hypothèse s'était avérée pertinente mais provoqua ipso facto la panique des neurologues, qui firent disparaître le dossier avant de s'entendre  avec le Conseil de l'Ordre des médecins pour me déconsidérer non seulement auprès du parquet, mais aussi de mes Confrères de l'AFPE en me faisant passer auprès d'eux pour un "paranoïaque antisémite" (sic) doublé d'un pédophile, relevant donc de l'article 460  du CSP. Ils avaient vent (comment?) de ce que je m'étais attelé à déconstruire les théorisations freudiennes, à mes yeux négationnistes et hautement préjudiciables (iatrogènes) pour les enfants et les femmes victimes d'attentats et de violences X, ainsi aux enfants autistes (théorie de la mère toxique. Je fus menacé de représailles par un "haut Conseiller°°° au prétexte que j'aurais dû empêcher mon père de porter plainte contre X après qu'il s'est rétabli - non sans de lourdes séquelles motrices.

Leur panique initia

1° la re-découverte d'un syndrome, oublié depuis 1973, mais désormais connu sous le non de syndrome NDB12PP

2° la mise en place en 1995 de l'Espace Ethique de l'A.P. - H.P. par les responsables, en guise de rideau de fumées (si ce n'est en prévision de ce qui allait se passer un peu plus tard au CHU de Mantes la Jolie sous l'égide du même prescripteur, et

3° sous l'égide du Dr. Bruno Halioua l'inattendu rapprochement de l'AMIF avec le CNOM alors qu'ils étaient depuis toujours en très grand froid.

Pour plus de précisions sur ces très inquiétants comportements de l'Establishment envers les personnes les plus vulmérables  cf. site-Web n° 108281777 html et 73331815 html, en attendant que paraisse le n° 125286186 html nouvellement mis en ligne. ................

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10 décembre 2014 3 10 /12 /décembre /2014 16:07

Il est rapporté en 2008 par  E. Andrès et al.  dans  la Revue "Médecine thérapeutique" que la première publication  décrivant le  syndrome de malabsorption de la vitamine B12 avec test de Schilling normal a été faite en 1973 par Doscherholmen, mais que cette importante découverte était restée sans suite.

Il était cependant en 1990 connu depuis des décennies que les désordres neuro-psychiatriques des patients âgés pouvaient  relever de carences vitaminiques B12 du fait de malabsorptions iléales, comme dans la maladie de Biermer. Mais en dehors de malabsorptions liées à la maladie de Biermer chez les personnes âgées,  les gastrectomies, les résections iléales, le syndrome de Zollinger -Ellison, les pancréatites, les botriocéphaloses, les pullulations bactériennes intestinales massives, les régimes végétariens, les interférences médicamenteuses (l'E.D.T.A. l'acide  P.A.S., le N²O (protoxyde d'azote), colchichine,éthanol, néomycine, metformine  étaient des causes reconnues comme beaucoup moins fréquentes.

Très rarement un trouble congénital du métabolisme  cellulaire était en cause chez l'adulte (voir  Bibliographie article 17* en fin d'article)    

Selon Andrès et alRalph Carmel a redécouvert "dans le milieu des années 1990"  l'existence d'une étiologie plus fréquente de carence vitaminique B12 que celle due à la maladie de Biermer et les autres causes ci-dessus citées.

Dans la copieuse bibliographie de cet article, Andrès et al. citent effectivement, après avoir cité l'article de Doscherholmen, un article de  R. Carmel en date de 1995 intitulé "Malabsorption of  food-cobalamin" (Bailliere’s Clin Haematol 1995 ; 8 : 639-55)

Ainsi a-on fini par se rendre compte, mais seulement à partir du milieu des années 1990, que la cause la plus fréquente des anémies pernicieuses n'était pas à rapporter à la maladie de Biermer mais à la "non dissociation de la vitamine B12 de ses protéines porteuses", c'est-à-dire à un "syndrome de carence vitaminique B12 avec test de Schillng normal". (Cf. Andrès E. et al.  Médecine thérapeutique, mai-juin 2008 vol. 14 n°3  p. 156-61,  "Une nouvelle cause de carence en vitamine B12 chez l'adulte : le syndrome de  non dissociation de la vitamine B12 de ses protéines porteuses" ... et  Doscherholmen et WR. Swain "Impaired assimilation of egg Co vitamin B12 in patients with hypochlorhydria and after gastric resection" Gastroenterology 1973 : 64 : 913-9.)  

Il apparaît donc alors  que la maladie de Biermer n'entre qu'à la hauteur de 30% dans les causes de carences cobalaminiques, contre à 50 à 60 % attribués au syndrome de carence vitaminique B12 avec test de Schilling normal, un syndrome rebaptisé en 2003 sysndrome  NDB12PP du fait que le test de Schilling n'est plus commercialisé depuis cette date.

En 2012,  Carmel et Agrawal reviennent dans le New England Journal of Medicin  sur les causes d'erreurs dans le  diagnostic des anémies pernicieuses : "Failures of cobalamin assays in pernicious anemia"  (N Engl J Med. 2012; 367 : 385-6.) ... article qu'il nous reste à lire pour savoir s'il ne traite pas du problème précédemment abordé en 1978 dans un article de la même revue sur les causes d'erreurs  dans la mesure dela cobalaminémie  (Kolhouse et al : "Cobalamin analogues are present in human plasma and can mask cobalamin defiency because current radioisotope dilution assays are not specifique for true cobalamin" (New Engl. J. Med. 299, 15, 787 - 792.).  

D'après ce que j'ai compris, dans une étude rétrospective, la CBLA, méthodologie actuellement utilisée pour la mesure de la cobalaminémie,  livrerait 5 à 6 fois plus de résultats erronés que les méthodes microbiologiques et de dilutions radio isotopiques en usage dans les précédentes décennies (25 à 30 % contre 5 % ).

Autrement dit, ni un test de Schilling normal ni une cobalaminémie normale n'ont jamais été suffisants pour éliminer le diagnostic de maladie de Biermer ou de carence cobalamnique devant un tableau clinique de neuro-anémie, tel par ex. un tableau dit de sclérose combinée.

Les neurologues de l'hôpital Bicêtre avaient été confrontés à un tel tableau clinique en août 1990. Après le retour des résultats du test de Schilling déclarés normaux, ils s'étaient contentés de soutenir devant moi et contre mon avis le diagnostic de démence de type Alzheimer, avant d'écrire dans leur CRH qu'il s'agissait d'une ATTEINTE DIFFUSE DU SYSTEME NERVEUX (sic, cf.  les conclusions de leur CR. d'hospitalisation), avant d'opter six mois plus tard dans leur CRH pour celui d' "encéphalopathie vasculaire", un CRH par conséquent rédigé après qu'ils ont eu la preuve expérimentale indubitable  (thérapeutique) qu'il s'était agi d'un syndrome neuro-anémique curable par vitamino-thérpie B12 intensive . Le précédent CRH, daté du 20 septembre 1990, a par conséquent été rédigé de très mauvaise foi, alors que les neurologues savaient déjà qu'il s'était bien agi d'un syndrome neuro-anémique sévère !

J'avais dû me résoudre, six semaines après l'hospitalisation du malade, d'instituer  une vitaminothérapie B12  conforme au traitement de la maladie de Biermer  - 1/mg/jour/IM tous les jours. Le 20 septembre 1990,  malade était déjà à moitié rétabli (cf. sur le site- Web "Une nuit vitaminée" site n° 69972429 html et/ou le site 108281777 html )    

Sachant que le syndrome NDB12PP peut provoquer des désordres neurologiques et psychiatriques similaires à ceux que détermine la maladie de Biermer, qu'il est deux fois plus fréquent que celle-ci, maladie elle-même fréquente chez les sujets âgés, son traitement spécifique est nécessairement le même que celui de la maladie de Biermer. Il est aussi efficace et permet d'éviter de porter à tort des diagnostics erronés de maladies incurables tel celui de maladie d'Alzheimer ou d'encéphalopathie vasculaire comme cela s'est vu dans le cas de mon père.

Comment se fait-il alors que l'individualisation d'un tel syndrome soit "resté sans suite" jusqu'au milieu des années 1990, donc ignorée des médecins les plus directement concernés, à savoir les gériatres, les hématologues, les gastro-entérologues, les neurologues, les nutritionnistes, les psychiatres, et les généralistes. 

Au terme de la cinquième semaine d'hospitalisation de mon père j'avais été averti par une jeune infirmière de l'hôpital Charles-Foix que seulement un simulacre de traitement cobalaminique avait été  administré à mon père. Devant l'urgence qu'il y avait à réellement le mettre en route, mon père se trouvant alors dans le coma, à l'article de la mort et dans un état épouvantable, j'ai appliqué le principe que "la clinique prime le laboratoire" et mis moi-même drastiquement en route ledit traitement (Cf. sitesWeb n° 69972429 et 108281777 html).

Mon père avait de ce fait non seulement miraculeusement réussi à survivre, mais contre toute attente, y compris la mienne, réussi à récupérer ses facultés intellectuelles et à remarcher, contrairement au pronostic qu'avaient formulé les médecins responsables du simulacre. Quand le test de de Schilling a été refait en février 1991, il était à 5%, donc nettement positif. Ce résultat me fut caché. Il ne figure pas dans  le CR d’hospitalisation que l'on s’empressa de me remettre en guise de réponse à ma demande de consulter le dossier d’hospitalisation, à faux déclaré perdu. C'est ça l'éthique médicale en seignée à l'AP - HP. sous l'égide conjuguée du Pr.  Gérard Saïd et de son acolyte le Pr. de philosophie Emmanuel Hirsch, qui sans aucunement être médecin, m'a dit connaître "par coeur" l'histoire médicale de mon père quand je l'ai rencontré au Palais de Justice. C'est ainsi que je me suis aperçu de ce que le respect du secret médical  loin d'être la première préoccupation de l' "Espace Ethique" qu'il dirige, et qu'il est en fait le cadet des soucis du très éthique professeur Gérard Saïd.      

Quand j'ai  demandé à consulter le dossier en 1991, son  Service m'a constamment répondu qu’il avait été perdu alors qu'il ne l'était nullement en 1996, à ce que m'avait avoué le docteur François Chedru, qui avait pu le consulter. Ce qui n'a pas empêché mais à poussé le professeur Saïd  à  création en 1995 d'un Espace Ethique de l'AP - HP et d'y placer Emmanuel Hirsch en guise de rideau de fumées  pour couvrir ses écarts. 

L' IFREM édite (éditait) Médica Judaïca

Deux ans plus tard, en octobre 1997, l'AMIF et l'Ordre des médecins ont cherché à se réconcilier . Le mois suivant le Pr. Saïd fit supprimer de la bibliothèque de son CHU la Revue de référence qu'est Archives of Neurology au prétexe que c'était une très mauvaise revue, en réalité parce qu'il s'était aperçu que j'y avais consulté des articles traitant de la question. Une reviue tellement mauvaise que l'idée lui est venue d'y publier un article trois ans plus tard au sujet des  ... (voir Bibliographie n° 17  - Arch Neurol. 2003;60(10):1457-62.) "Neuropsychiatric disturbances in presumed late-onset cobalamin C disease". (E. Roze, D. Gervais, S.Demeret, H. Ogier de Baulny, J. Zittoun, J.-F. Benoist, G. Saïd, C. Pierrot-Deseilligny, F. Bolgert)  ).  

Après renouvellement de ma demande par courrier RAR à la Direction de l’hôpital en décembre 1995, celle-ci me remit des dossiers ne concernant pas ce qui était spécifiquement demandé. Le dossier de son passage aux Urgences ni celui de son hospitalisation en neurologie ne me furent remis, mais on chercha à me faire signer que la totalité des dossiers m'avait été rendue cependant que ne figurait dans ce qui me fut remis que celui relatif à son hospitalisation de juin 1991 en chirurgie orthopédique à l'occasion d'un remplacement de prothèse, celle placée en avril 1984 à l'hôpital Saint-Louis (qui avait nécessité une transfusion de sang)  s'étant descellée lors d'une chute début avril 1991.

Le premier CR d'hospitalisation, post-daté du 20 septembre 1990, est signé de l’Interne Olivier Ille. Il ne rend pas vraiment compte de ce qui avait motivé son admission aux Urgences de l'hôpital Bicêtre le 31 juillet 1990 au soir. Les vraies circonstances de son hospitalisation sont passé sous silence alors qu’il aurait été nécessaire etimportant de les mentionner, puisqu’elles étaient relatives à un état de panique qui commandaient une investigation psychiatrique, si ce n'est plus. J’avais en vain réclamé cette investigation. Il est pourtant bien spécifié dans ce CR, au chapitre ‘‘état cardio-vasculaire’’ (l?), que le malade avait des idées absurdes (voir sa reproduction site 69970222 html). Il n’est pas même mentionné qu’un état d’angoisse panique avait motivé son passage par les Urgences ni qu’un diagnostic de maladie de Biermer y avait tout de suite été évoqué devant un tableau clinique de sclérose combinée et à la lecture de l'hémogramme. Ces omissions ne sont certainement pas dues à une simple négligence, mais orientées dans le sens d'une occultation du diagnostic qui s'imposait, celui de syndrome neuro-anémique, jamais mentionné (Cf. site n° 69970222 html et ci-après la conclusion extravagante de ce CR ).

CONCLUSION
TROUBLES DE LA MARCHE EN RAPPORT AVEC UNE ATTEINTE DIFFUSE DU SYSTEME NERVEUX
UNTRAITEMENT ANTI-SPASTIQUE POURRAIT ETRE BENEFIQUE
PAS D’INDICATION OPERATOIRE
SYNDROME DEPRESSIF TRAITE PAR PROZAC UN COMPRIME PAR JOUR
REVALUATION DES FONCTIONS SUPERIEURES APRES TRAITEMENT
PATIENT TRANSFERE DANS LE SERVICE DE MEDECINE DU Dr. BEINIS Hôpital CHARLES-FOIX

Sollicité en 2004 pour que soit récupéré le dossier soi-disant perdu du malade, dans le cadre d'une prétendue médiation, le Professeur Gilbert Tchernia, hématologue, a quatorze ans plus tard, à défaut d'avoir pu mettre la main dessus, a quand même pu retrouver les données du test de Schilling.

Voici ce que m'écrit le Pr. Tchernia  dans une lettre datée  du 26 mai 2004  (les valeurs de référence indiquées sont du Pr. Tchernia)

<< Mon cher confère,

Avec un léger retard dont je vous prie de bien vouloir m'excuser, je vous transmets les résultats de mes démarches.

J'ai récupéré concernant votre père Pierre CRETIEN né le 1er mai 1911 les résultats d'hématologie qui datent de début août 1990.

A l'époque (le 6/8), l'hémoglobine était à 14,7 g/dL avec un volume corpusculaire normal à 90 fl. Par ailleurs un dosage de vitamine B12 fait le 3 août 1990 montre un taux normal à 225 pmol/L avec un taux également normal de folates sériques à 7,6 pmol/L (les normes sont de 110 à 735 pour la vitamine B12 et de  5,2 à 25 pour les folates sériques).

Enfin nous disposons de trois tests de Schilling qui ont été réalisés par Jeanine YVART, le 1er le 7/8/90 où la vitamine B12 marquée au Cobalt est dépourvue de facteur intrinsèque et dont les résultats sont normaux.

Le deuxième de février 91 avec facteur intrinsèque est anormal avec un pourcentage de radioactivité ingérée à 5 pour une normale supérieure à 10 (les résultats précédents montrent un résultat à 35)

Ceci est tout à fait étonnant puisque le facteur intrinsèque aurait pu logiquement corriger l'épreuve et c'est probablement pour cette raison que le test a été refait en juillet 1991 avec les deux techniques et trouvait aussi bien avec facteur intrinsèque que sans facteur intrinsèque des valeurs normales respectivement de 19 et de 17 %.>>

COMMENTAIRE  : Les normes ne sont que relatives à la courbe de Gauss. Il faut tenir compte qu'il puisse exister des cas hors normes soit du fait de la non fiabilité des  tests ou des aléas dus à de mauvaises mesures : soit les mesures ont été bien faites mais le cas est particulier, soit elles ont été délibérément faussées, une hypothèse  qui ne peut pas être écarté étant donné qu'il y a eu simulacre de traitement, et aussi ce qui s'est passé six ans plus tard au CHU de Mantes la Jolie sous l'égide du même médecin (Cf. l'affaire "Christine Malèvre", l'infirmière du prescripteur du simulacre de traitement vitaminique B12, cette infirmière ayant sous son égide délibérément envoyé des malades ad patres. Il aura fallu que ce soit la consciencieuse Dr. Laurence Kouyoumdjian en fasse le signalement pour que cessent ces assassinats !).

Bibliographie 

1 - 1978 Kolhouse & al, New Engl. J. Med.  299, 15, 787 - 792. "Cobalamin analogues are present in human plasma and can mask cobalamin defiency because current radioisotope dilution assays are not specifique for true cobalamin". 

2 - 1987 Berger JR & al. Ann Intern Med. 107 : 78  "Progressive multifocal leukoencephalopathy associated with human immunodefiency virus infection". 

3 - 1987 Ogier H. & al. éd. Masson  "La cobalamine (vitamine B12), APECTS METABOLIQUES, GENETIQUES, NUTRITUIONNELS ET THERAPEUTIQUES"; 254-281. 

4 -  1988  J. Lindebaum &  al. N. Engl. J. of Med.  "Neuropsychiatric disorders caused by cobalamin deficiency in the absence of anemia or macrocytosis" 

5 - Arch Neurol 1991;48(3):312-314. "Abnormal vitamin B12 tabolism in human immunodeficiency virus infection : association with neurological dysfunction" (Accepted for publication September 5,1990). 

6 - Arch Neurol 1992;49:501-506. "Plasma Vitamin B12 Level as a Potential Cofactor in Studies of Human Immunodeficiency Virus Type 1- Related Cognitive Changes". 

7 - Arch Neurol 1993;50:807-811. Robertson et al. "Vitamin B12 Deficiency and Nervous System Disease in HIV Infection" 

8 - JAMA 1993;269:1144-1153. "Preventive Health Care for Adults With HIV Infection" 

9 - Arch Fam Med 1994;3:988-1002. "Human Immunodeficiency. Physician Guidelines, Advisory Group on HIV Second Edition" 

10 - J. Nutr. 1997;127:345-351. "Low Serum Vitamin B-12 Concentrations Are Associated With Faster Human Immunodeficiency Virus Type 1 (HIV-1) Disease Progression".  

11 - AIDS Clin Care 1998;1-1 "Peripheral Neuropathy in HIV Disease". 

12 - Neurology 1999;53:592-592. "Prevalence of peripheral neuropathy in injection drug users" 

13 - Arch Neurol 1999;56:84-89. "Peripheral Nerve Function in HIV Infection: Clinical, Electrophysiologic, and Laboratory Findings" 

14 - Pediatrics 2000;106:35e-35. "Distal Sensory Polyneuropathy in a Cohort of HIV-Infected Children Over Five Years of Age" 

15 - Neurology 2002;58:730-735. "Abnormal cobalamin-dependent transmethylation in AIDS-associated myelopathy" 

16 - Revue de Médecine Interne 2003;24 (4): 218-223. "Carence en vitamine B12 avec test de Schilling normal ou syndrome de non dissociation de la vitamine B12 de ses protéines porteuses chez le sujet âgé. Etude de 60 patients".

17* - Arch Neurol. 2003;60(10):1457-62.) "Neuropsychiatric disturbances in presumed late-onset cobalamin C disease". (E. Roze, D. Gervais, S.Demeret, H. Ogier de Baulny, J. Zittoun, J.-F. Benoist, G. Saïd, C. Pierrot-Deseilligny, F. Bolgert) 

18 - L' Encéphale, décembre 2003 Vol 29 (6), p. 560 - 565. "Délire Capgras chez une patiente de 64 ans atteinte d'une maladie de Biermer". ( C. Durand; S. Mary; P. Brazo; S. Dollfus).

19 - Revue Neurogique 2006;162 (1):22-42. Atteintes du système nerveux central et infections par le virus VIH -1 (Antoine Moulignier, Service de Neurologie, Fondation Adolphe Rotschild, 75019, Paris)

PS << it was at 1990 since several decades well known that an aetiology to neuro-psychiatric disturbances in elderly patients may consist in vitamin B12 deficiency, mainly by ileum malabsorption, as inBiermers' disease, but not only in the elderly and because Biermers' disease: gastrectomy, ileum resections, Zollinger-Ellison syndroma, pancreatitis, bothriocephalosis, intestin bacterial massive pullulement, vegetarianism, drugs metabolic interferencies, E.D.T.A., P.A.S, N²O, colchicine, éthanol, neomycine, where known as less common causes to B12 vitamin defiency. Very rarely an inborn abnormal B12 cell metabolism is involved in aduld. Sever cobalamin desprive is rapidly lethal in the absence of diagnosis and cobalamin supplies >> (bis).

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8 décembre 2014 1 08 /12 /décembre /2014 16:22

Nombreuses sont les familles qui s'adonnent à l'inceste, y compris celles qui présentent toutes les signes extérieurs de l'honorabilité

Freud le savait pertinemment, qui consacrait son temps à s'occuper de patients fortunés.

Il avait dans ses promenades confié à sa fille Anna, c'était  quelques années avant de l'allonger sur son divan pour l'analyser, autrement dit pour lui extorquer l'intimité de son être sexué - ( )  -  que derrière la façade des jolies maisons bourgeoises se cachaient des réalités moins belles (d'après Elisabeth Young-Bruehl, biographe d'Anna Freud).

En allongeant sa fille sur le divan, Freud s'est livré à ce qui s'apparente de près à un viol incestueux, et ce viol pourrait avoir été inconsciemment l'expression d'une contrainte de répétition, et pour sa fille l'occasion de contracter une indéfectible névrose oedipienne.

Avec l'invention du fantasme oedipien, Freud a cherché à occulter, en la révélant, une pratique intrinsèque que Freud,  une théorie qui jusqu'à nos jours a permis d'occulter ces réalités, comme en témoignent les commentaires du psychiatre-psychanalyste freudien Samuel Lepastier dans Le Monde du 8 février 2006 à propos des enfants d'Outreau, qui n'auraient été victimes que de leur inconscient œdipien.

Le psychanalyste Roger Perron - et pas seulement lui en tant que psychanalyste patenté - s'est à partir de cette  théorie permis d'affirmer contre les faits que l'accomplissement de vrais incestes est exceptionnel, qu'il s'agit d'affabulations, de l'expression de fantasmes œdipiens. Lire les conclusions de l'article qu'il a fait paraître dans le gros dictionnaire de psychanalyse édité chez Calman Lévy en 2002, un article qui implique que les 460 autres psychanalystes rédacteurs de ce dictionnaire souscrivent à la théorie des fantasmes oedipiens.

 

Un autre dictionnaire de psychanalyse, celui de Bernard Vandermersch et de Roland Chemama, édité en 1998 par Larousse, admet que le complexe d'Oedipe est loin d'être universel. 

Le psychiatre contestataire de Freud qu'est le Dr. Gérard Lopez est pourtant "tombé dans le panneau", comme dirait André Green, en croyant pouvoir écrire que Freud  a «démontré» (sic) l’universalité de ce complexe (page 58 de son livre, quand même courageux, intitulé "Enfants violés, enfants violentés, le scandale oublié".

 

Le "Magazine de la Santé" oublie de s’appesantir sur la question de la responsabilité de Freud dans "l'oubli" de ce scandale.

 

La théorie du complexe d'Oedipe a livré et continue de livrer aux parents incestueux des pays restés freudiens une parade  très appréciée. Elle leur permet de nier ces réalités dérangeantes et de rejeter la "faute" sur les enfants qui ont été victimes de ces violences  (Cf. le texte, effectivement  scandaleux, que Freud a fait paraître en 1919 "On bat un enfant", sûrement  inspiré les dires d'Anna du Divan, culpabilisée d'avoir à livrer son intimité sexuelle à son géniteur.

Les psychiatres  appelés en expertise ont dans leurs conclusions invoquée la théorie oedipienne pour nier la réalité de nombreux incestes.

 

L'alibi oedipien arrange une Justice trop souvent  empressée à avaliser l’avis des experts psychiatres.  qui fondent leurs conclusions sur la théorie du fantasme œdipien. Nombreuses sont les femmes qui ont payé de leur vie cette théorie en se suicidant. Ils ont ainsi crucifié les victimes de viols incestueux sur l'autel de l'inversion des accusations alors qu'elles étaient enceintes de le père, ainsi que l'autopsie l'a révélé. Les cas sont rarement rapportés par la presse.

 

L’inceste à des répercutions à long terme socialement et politiquement problématiques. Les mythologies le rappellent, en particulier la première et la plus célèbre d’entre elles, la parabole biblique de l’arbre interdit. Freud aurait pu s'en inspirer, plutôt que d'aller chercher confirmation chez Sophocle.

Le père de Freud n'était probablement pas Jakob Freud, mais Jacob Nathansohn, le père de sa mère, ainsi que l'ont finement précisé, pour qui sait lire intelligemment les psychanalystes Marie Balmary et Gabrielle Rubin, la première dans "L'homme aux statues"  (réédité en 1997) et la deuxième dans "Le roman familial de Freud  (2002), deux livres dont Elisabeth Roudinesco ne recommande évidemment pas la lecture.

Freud, né d’inceste, fut lui même incestueux avec sa fille Anna en lui faisant raconter son intimité sexuelle et en lui interdisant l'héterosexualité. 

 

Lacan faisait, pour qui savait l’entendre, de la Théorie œdipienne un délire né de "la forclusion du nom du père"; (cf. son séminaire sur "la lettre volée").

La théorie freudienne est non seulement controuvée mais inconsciemment projective, c'est-à-dire paranoïaque. D'où la contagiosité de ses effets dévastateurs. 

Jacques Lacan situait plus justement la paranoïa de Freud en racine² de moins un, et non pas comme le faisait Freud dans une homosexualité refoulée.    

 Le médiatique Marcel Rufo a été jusqu'à dire que les incestes sont généralement sans grandes conséquences  (voir ce qu'en pensent les victimes sur le site CRIFIP, et Norman Mailer, qui dans un dernier livre a attribué la monstruosite d'Hiller à l'incestualité de sa conception (dans "Château en forêt") sans en comprendre vraiment le "mécanisme" intime. Le psychiatre-psychanlyste Roger Zadoun commet l'erreur de l'attribuer à ses pulsions incestueuses refoulées. 

 

Elisabeth Roudinesco, qui ne veut rien compredre, se damande "Pourquoi tant de haine ? ". 

 

Sur le site-Web canadien "Dialogus" une certaine Anne-Sophie interroge fictivement Freud, qui dans une longue  réponse lui explique qu'il n'a jamais rencontré Hitler. Cette fiction littéraire non datée ne correspond probablement pas à la réalité. On peut lire cette invraisemblable correspondance entre Freud et Anne-Sophie sur "Dialogus". Il est au contraire vraisemblable  qu'Hitler a été  consulter Freud vers 1908 ou 1909, après la mort de sa mère.  

En privé, le "bon" Dr. Freud professait au sujet des malades des idées parentes. Elles avaient cours à l'époque, qui attribuait les maladies à la "dégénérescence". Les malades l'insupportaient. Il ne voyait en eux que racaille, du matériel juste bon à le faire vivre et à servir ses recherches, ... que le mieux serait d'en faire des cargaisons pour les couler.

Ce que Freud pensait, Hitler l'a fait.

Le titre que Roger Zagdoun a donné à sa thèse "Hitler et Freud, un rapport paranoïaque" est donc bien choisi. Il suggère que Freud et Hitler n'ont pas fait que se rencontrer brièvement.

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8 décembre 2014 1 08 /12 /décembre /2014 01:13

Freud est mort le 23 septembre 1939 . Les nazis n'avaient pas encore planifié l’extermination des Juifs et des Tziganes. 

Mon premier souvenir date de cette époque. Il ne m'a jamais quitté, si bien que mon sentiment d'exister  est contemporain de sa mort. Cela mis à part, ce souvenir n'a aucun rapport avec la mort de l'inventeur de la psychanalyse. 

Il y a une quinzaine d'années un Confrère, étonné de ce que je sois si critique envers icelui m'a fait remarquer que je lui ressemblais.    

Il ne s'agit pas d'un faux souvenir ou d'un souvenir écran. Quand je l'ai raconté pour la première fois, c'était en 1973. Ce fut à la très grande stupéfaction de mes parents, qui reconnurent la vérité de la scène que je racontais. A deux détails près : elle ne s'étais pas déroulée dans la cour de la ferme de mes parents nourrissiers, mais dans la salle de séjour cette ferme, une grande salle qui servait aussi de cuisine, et ce n'était pas un fémur de poulet attaché à une ficelle qui m'avait y échappé des mains, mais le fémur d'un canard (le Dr. Patrice Bodenan°°°, rapporteur d'une demande d'application de l'article 460 du CSP à mon encontre, fait état dans son Mémoire de DEA  sur "Les problèmes éthiques posés par les commissions de conciliations hospitalières" mis en ligne sur le Web en 1998, d'un certain "rapport Canard".  Quel rapport ?).    

Ce n'est pas ici le lieu de raconter les péripéties que cette reconnaisance a déclenchées  (dont le rapport Canard en guise derideau de fumée ?) 

Je ne pouvais les imaginer. Elles ne furent pourtant pas longues à se manifester, quoique longues dans leurs manifestations (Cf. le rapport Canard et l'Espace Ethique de l 'AP - HP ). Je ne pouvais pas tout de suite les rapporter au fait d'avoir raconté avec assez d'exactitudes ce souvenir lointain. Je n'ai su faire le rapprochement que longtemps après, dans "l'après-coup", après être passé une première fois par une analyse avec un psychanalyste lacanien, d'esprit constructif, une seconde fois avec une psychanalyste lacanienne, doctrinaire et destructrice, et une troisième fois, avec une analyste, synthéto-lacano-jungo-ferenczienne, restructurante.

Je ne savais évidemment pas à ma naissance ce qui m'attendais, qui aurait pu être le sort qu'ont subi des millions de juifs. Mes parents non seulement étaient agnostics, mais très anticléricaux. Mon père l'était à l'extrême (anticlérical). Au point de souffrir de ce que le Pr. Hehri Baruk aurait appelé un "délire de haine".  Et pour cause. Il avait été enfant de choeur. Il avait malgré tout  pris la précaution de me faire baptiser ... en août 1944, alors que l'île de la Loire où mes parents s'étaient réfugiés était prise en tenaille entre l'armée américaine, qui avançait, et les troupes allenandes, qui avaient enjoint les populattions civiles à les rejoindre dans leur retraite ! Ils rejoignèrent l'autre côté de la Loire, le côté de armée américaine.

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Il y a une quinzaine d'années un Confrère, étonné de ce que je sois si critique envers Freud  m'a fait remarquer que je lui ressemblais. 

Sigmund Freud aurait-il pu subir le même sort que ses sœurs ?  Il habitait Vienne quand, le 12 mars 1938, Hitler a fait plébiscité le rattachement de l’Autriche à l’Allemagne.  

Le 13 mars Adolfus Hitler se trouvait à Linz, la ville où il avait été scolarisé. Hitler y prononça un discours en commençant par  « Nous voici enfin revenu dans le pays de celui qui prétend dire la vérité ». 

Dans sa biographie d'Hilter, publiée en 1973 en Allemagne, traduite et publiée en France chez Gallimard (ou flammarion?) , Joachim Fest prénomme Hitler  "Adolfus" sans s'appesentir sur cette dénommination alors qu'elle n'est pas sans suggérer une origine juive, qui aurait récemment été confirmée par des analyses génétiques.

 

Un auteur  (qui est-ce  ?) a imaginé que Freud et Hitler se sont rencontrés alors que Freud aurait lui-même démenti cette éventualité (lire infra la réponse qu'il aurait faite à une certiane

Voici ce que l'on peut lire à ce propos. Je cite : <<

Vienne 1913

Freud-Hitler face à face

Voici la rencontre à Vienne, entre 1910 et 1913, de Freud et d'Adolf, 20 ans, artiste raté. Le personnage est fidèle au dictateur. Elève médiocre renvoyé du collège de Linz, Hitler - le nom n'est pas prononcé - arrive dans la capitale autrichienne en 1907. Deux fois recalé aux Beaux-Arts, il reste dans la ville jusqu'en 1913, vit dans un foyer, y côtoie d'autres miséreux, dont des juifs. « Je ne soupçonnais pas encore qu'il pût y avoir des adversaires systématiques des juifs », note-t-il en 1924 dans Mein Kamf avant d'écrire plus loin : «Je vivais dans une ville où ma haine devenait vive contre ce mélange de peuples étrangers qui commençait à entamer le vieux centre de culture allemand.» Il développe son idéal de « peuple aryen », d'«homme nouveau», sur fond de pangermanisme. Des origines familiales troubles (« Ma grand-mère est tombée enceinte quand elle était placée chez ces juifs ») alimentent naissance à son ressentiment antisémite.

Cette improbable rencontre Adolf-Freud précise les rapports entre psychanalyse et antisémitisme. La pièce traite aussi du conflit Jung-Freud sur l'inconscient. Est-il individuel comme le prétend Freud ou collectif comme le soutient Jung qui, plus tard, cautionnera les nazis? «Ce régime, dit l'auteur de la pièce Alain Didier-Weill, correspond à sa conception de l'inconscient. Il y voit un mouvement politique qui accomplit cette idée.»

Jean-Luc Paliès, le metteur en scène, place ses comédiens derrière des pupitres, comme dans un choeur, qui se lèvent à chaque intervention, à peine distingués par un simple élément de costume : un chapeau, un blouson, etc. Deux mezzo-sopranos rythment le spectacle, ainsi qu'un orchestre d'instruments de verre, utilisé en son temps par le docteur Mesmer pour soigner l'hystérie. L'humour lucide d'Alain Didier-Weill (neuropsychiatre) fait le reste.

 

Evelyne Sellés-Fischer 
Revue Historia N° 709 
http://www.historia.presse.fr/sommaire.php

  • Du 11 janvier au 26 mars, les mercredis, jeudis, samedis à 20 h 30, le dimanche à 16 h: Espace Rachi, 39 rue Broca, 75009 Paris. Tél. : 01 42 17 10 38.
  • Le 9 avril, 16 h : théâtre des Halles, rue du Roi-René, 84000 Avignon. Tél. : 04 90 85 52 57.
  • Les 25 et 26 avril, à 20 h 30 : salle Jacques-Brel, 164, boulevard Gallieni, 94120 Fontenay-sous-Bois. Tél. : 01 48 77 75 00. >>

 

George Steiner a quand à lui imaginé dans un de ses écrits  ce qu'aurait pu être les arguments d'Hitler s'il avait été capturé vivant et que son procès ait pu avoir lieu. 

 

Mais George Steiner n'imagine pas que Freud aurait pu avoir rencontré  Hitler en tant que patient. Ce qui n'est pourtant pas aussi invraisemblable que stipulé dans l'article rappelé ci-dessus. 

 

Or celui qui depuis le début du siècle avait prétendu révéler au monde «la vérité» était très connu en 1938 pour être celui qui se vantait d’avoir découvert un complexe qu'il croyait universel.

Il l'avait appelé "complexe d’Œdipe", au lieu de l’appeler de façon plus appropriée  « le complexe de Freud » puisque l'invention de ce concept est de Freud et qu'il se l'est appliqué à lui-même.  

Sigmund Freud avait lui aussi fait disparaître deux lettres à  son prénom, ce qui, d’après le psychanalyste "lacanien" Bernard Thisserait la cause (!) du cancer de la bouche qu’il a développé plus tard. Parce que ce qui est forclos fait retour dans la réalité, croit-il pouvoir dire.

 

Ce qui est forclos semble effectivement pouvoir resurgir dans un délire, notamment psychanalytique. A preuve.

 

Serait-ce alors parce que Hitler à supprimé deux lettres à son prénom qu’il a développé un délire antisémite ?

La réalité est certainement moins simple.   

La première question qui se pose est celle-ci : pourquoi Adolf Hitler s’est-il montré si timide qu’il s’est refusé à prononcer le  nom de Freud, au lieu de se borner à n’y faire qu’allusion. 

Et pourquoi n’a-t-il pas immédiatement fait procéder à son arrestation, au lieu de se limiter à ne faire qu’arrêter brièvement sa fille Anna ?

Freud s’est résolu a quitter Vienne quelques mois plus tard avec sa fille pour aller à Londres via Paris grâce au paiement d’une rançon payée par son ex patiente et admiratrice  la richissime Princesse Bonaparte.

Freud aurait fait en partant cette remarque « Avez-vous vu que l’on s’apprêtait en Allemagne à interdire aux Juifs de donner à leurs enfants des prénoms allemands ? »

 

Les recherches de David Cohen auraient mené à des conclusions inédites.

A suivre et à compléter ... avec les articles sur Hitler et Freud;

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3 décembre 2014 3 03 /12 /décembre /2014 17:11

Jacques le Rider a longuement commenté la thèse de Freud, qui, dans un livre que Freud a longtemps hésité à faire paraître, fait de ce vénéré prophète un Egyptien. 

La question qui se pose est de savoir pourquoi Freud a tant hésité à la faire publier  tout en tenant ce qu'elle le soit. 

Freud ne s'y était  décidé qu'au dernier moment alors qu'il était à Londres, donc  en principe à l'abri des représailles antisémites des nazies, et alors qu'il l'avait mis en chantier cinq ans plus tôt, en 1934, c'est-à-dire peu après l'avènement d'Hitler au pouvoir. Ce qui, à mon humble avis, n'est pas sans rapport. 

Je me suis moi-même longuement interrogé sur son hésitation. Je n'étais pas convaincu par ses explications

Que cette thèse puisse soulever des  protestations parmi les tenants de l'orthodoxie religieuse, il fallait s'y attendre, et Freud s'y attendait, mais je ne crois vraiment pas que ce soit ce qui l'avait fait hésiter à la publier. De nombreux commentateurs ont d'ailleurs  fait remarquer qu'elle était loin d'être  inédite. 

Une autre raison que celle invoquée le poussait et le retenait à la faire paraître. 

Mais avant de la livrer, et pour ne pas dire trop d'aneries, il me faut relire cet écrit et les commentaires des commentateurs ...

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3 décembre 2014 3 03 /12 /décembre /2014 15:46

Le problème du réchauffement climatique est un faux problème.

 

Le vrai problème réside en ce que l'on à peine à croire qu'il est tout aussi possible de parer simplement et économiquement au réchauffement  qu'il avait été possible en 1990 sur le plan médical d'empêcher un malade atteint du syndrome NDB12PP d'évoluer vers une mort pronostiquée rapidement inéluctable (sic).

 

Le problème était alors que les neurologues qui avaient en charge le malade atteint de ce syndrome ne savaient pas - ou ne voulait pas comprendre  - qu'un tel  syndrome pouvait exister, et encore moins savoir ou comprendre qu'il pouvait être compatible avec un test de Schilling négatif et une cobalaminémie normale, c'est-à-dire un syndrome para-biermerien remédiable avec le traitement normalement dévolu à la maladie de Biermer.

 

Certes, la solution au réchauffement climatique ne relève pas du traitement de la maladie de Biermer applicable au traitement du syndrome NDB12PP, mais relève de même de l'obtusion intellectuelle qui avait empêcher les médecins de tous les pays du monde de comprendre que certains syndromes neurologiques pris pour des encéphalopathies dégénératives irréversibles comme la maladie d'Alzheimer ou les encéphalopathies vasculaires relevaient en fait d'un traitement aussi simple que celui de la maladie de Biermer.   

 

Le syndrome NDB12PP ne fut reconnu et individualisé qu'après-coup, après que lesdits neurologues ont dû de très mauvaise grâce - c'est le moins que l'on puisse dire - se rendre à l'évidence.

 

Ils ont fini par admettre que j'avais eu raison d'être intervenu contre leur avis pour sauver la vie de leur malade en lui administrant moi-même le traitement de la maladie de Biermer, le traitement que je leur avais durant cinq très longues semaines en vain instamment demandé d'administrer.

 

Ils avaient durant tout ce temps fait semblant de lui faire adminstrer par les infirmières, jusqu'à ce que l'une d'entre elles se décide à me dévoile que ce qu'elle administait n'était qu'un simulacre. Les neurologues avaient ordonné une simulation, soit parce qu'ils avaient pensé qu'il ne fallait pas contrarier un fou, soit parce qu'ils avaient voulu faire semblant de s'être trompé en récusant le diagnostic de carence vitaminique B12 afin que leur malade ne puisse sortir vivant de la mésaventure qu'il avait précédemment subi en se rendant à la  Clinique obstétricale de l'Haÿ-les-Roses, la Clinique Elmelik, où une opération orthopédique lui avait été subrepticement et illicitement infligée  par leurs confrères, soit parce qu'uhe transfusion de sang lui avait été administrée six ans plus tôt à l'hôpital Saint-Louis alors que les transfusions véhiculaient le VIH. Ils auraient ainsi voulu mettre l'AP - HP et le CNTS à l'abri d'un procès  pour "empoisonnement" ?

 

Quoiqu'il en soit, c'est le fait-même d'avoir mis le traitement en route qui fit découvrir l'existence de ce syndrome, qui reçut jusqu'en 2003 le nom de "syndrome de carence en vitamine B12 avec test de Schilling normal", conformément à l'appellation que j'avais initialement proposée. J'avais en 1990 devant l'évidence professé devant les neurologues de l'hôpital Bicêtre qu'un tel syndrome devait exister. Ils n'avaient pas voulu me croire et avaient été jusqu'à me dire que c'était plutôt moi n'était pas normal.

 

Les neurologues et l'AP - HP ont été pris de panique après que leur malade a ressuscité et récupéré ses facultés intellectuelles sous l'effet du traitement que j'avais dû moi-même mettre en route ... (suite et explication de cette incroyable et aventureuse découverte  sur le Web, site  n° 108281777 html, où mieux encore sur le site n° 73331815 html).


Il risque d'en être de même du STSMC, c'est-à-dire de ne pas être pris au sérieux, du procédé technique susceptible de récupérer aussi largement que simplement l'inépuisable et gigantesque potentiel  énergétique des marées, procédé que je  préconise pour parer au réchauffement climatique. A  la différence près qu'il n'entre pas dans mes moyens financiers de faire la démonstration in situ de sa validité alors qu'ils il est fonctionnel sur maquette.

 

Or il n'y ait aucune raison que le procédé ne soit pas transposable en vraie grandeur in situ

 

Il s'agit d'un procédé (ou Système) qui récupère l'énergies des marées quelles que soient les conditions atmosphériques et sans qu'il ne soit nécessaire de faire appel à la construction de barrages ni nécessaire l'existence d'une baie, puisqu'il opére par transfert. D'où sa dénommination : STSMC pour Système Transfert Séquentiel à Mémoire de Charge, élaboré à partir d'un système plus simple, sans Mémoire de Charge, mais en son principe tout aussi performant, le STSMI.  

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1 décembre 2014 1 01 /12 /décembre /2014 17:01

Les incestes sont beaucoup plus fréquents que ce que continuent d'en dire les psychanalystes freudiens, qui soutiennent qu'ils sont exceptionnels.

 Sigmund Freud porte une lourde responsabilité dans la négation de la perpétuation des pratiques incestueuses.

Très nombreux sont en réalité les pères qui s'adonnent à l‘inceste sur leurs enfants,  y compris ceux qui présentent tous les signes extérieurs de l'honorabilité. Cf. à ce sujet l'étude circonstanciée du Dr. Gérard Lopez  ."Enfants violés, enfants violentés, le scandale oublié" (Ed. Dunod, janvier 2013)

Freud savait pertinemment que les viols incestueusont de pratique courante. Au moins une femme sur vingt a subi l'inceste dans son enfance.

Freud était bien conscient de la réalité, qui avant de se renier avait fait paraître en 1895 un livre sur la question. Cf. "Studien über hysterie", coécrit avec son mentor, le Dr. Josef Breuer, qui avant de l'initié au mensonge lénifiant l'avait initié à l'incompréhension du cas de sa patiente Bertha Pappenheim, une jeune patiente dont il avait fait sa maîtresse.

La symptomatologie de sa patiente suggère qu'elle souffrait d'une sclérose en plaque, qui est une maladie qui dans un certain nombre de cas guérit spontanément. Breuer avait aggravé l'état de sa patiente en la rendant dépendante de la morphine, et par-là dépendante de lui.

Bertha Pappenheim est plus connue sous le nom d'Anna O (sic), le nom  que dans les études sur l'hystérie lui avait donné le Dr. Josef Breuer.

Breuer avait raconté à Freud dezs salades en lui disant qu'il avait réussi à débarrasser sa patiente de troubles prétendument "hystériques" par une "talking cure" cependant que celle-ci avait qualifié celle-ci de "chimney sweeping(un ramonage de cheminée), un ramonage si efficace qu'il avait conduit le Dr. Breuer à faire hospitaliser en Suisse sa patiente, qui avait de son "ramonage de cheminée" fini par contracter une grossesse nerveuse.

Son aventure avec sa jeune patiente avait amené son épouse Mathilde Breuer à tenter de se suicider, et conduit sa patiente a faire une "grossesse hystérique" manquant de donner le jour à un enfant.

Que Breuer ait éprouvé le besoin de parler de son idylle avec Bertha Pappenheim, qui était à travers l'épouse de Freud une parente de son jeune Confrère, peut se comprendre, mais Breuer l'avait présentée sous un faux jour pour discréditer ses dires au cas où il lui serait venue à l'idée de raconter à la fiancée de Freud la véritable nature de ses relations avec sa jeune et jolie patiente. Ainsi la psychanalyse repose-t-elle dès le départ sur une mystification, sur un "péché originel" qui deviendra de ce fait iatrogène dans son application. 

On comprend aussi pourquoi Breuer s'était par la suite montré réticent à publier le cas, mais devant l'instance de Freud, Breuer avait dû s'y résoudre en présentant sa patiente aux lecteurs des « Etudes sur l'hystérie » comme une malade hystérique. Sans s'en rendre compte il avait livré la clé de l'énigme en parlant en termes on ne peut plus parlants. 

Freud usera de ce travestissement avec Emma Eckstein. Il en fit aussi une hystérique après qu'il a failli la faire tuer par son délirant compère le Dr. Wilhelm Fliess.

Bien longtemps après, alors qu’il s’était depuis longtemps renié, Freud disait à sa fille Anna, avant qu’il ne la couche sur son divan, que derrière la façade des belles maisons bourgeoises se cachait des choses moins jolies à voir que leur devanture.

C'est d'ailleurs pour masquer cette réalité transgénérationnelle que Freud s'est attaché à développer la théorie du fantasme œdipien, une théorie qui jusqu'à nos jours a très bien fonctionné en France, comme en témoignent les commentaires du psychiatre-psychanalyste freudien Samuel Lepastier dans le journal Le Monde du 8 février 2006 à propos des enfants d'Outreau, qui selon lui auraient avant tout été victimes de leur fantsames œdipiens.

De même le psychanalyste Roger Perron - mais pas seulement lui en tant que psychanalyste patenté - s'est à partir de la théorie œdipienne permis d'affirmer que les vrais incestes sont exceptionnels, qu'il s'agit en réalité d'affabulations reposant sur des fantasmes œdipiens (cf. l'article qu'il a fait paraître dans le gros dictionnaire "international" de psychanalyse édité chez Calman Lévy en 2002, un article qui implique les 460 autres psychanalystes corédacteurs du dictionnaire, dont beaucoup sont aussi psychiatres, ce qu'à ma connaissance n‘est pas Roger Perron !

Un autre dictionnaitre de psychanalyse, celui de Bernard Vandermersch et de Roland Chemama, édité chez Larousse en 1998, admet que le complexe d’œdipe est loin d'être universel cependant que le psychiatre Gérard Lopez est "tombé dans le panneau", qui croit pouvoir écrire que Freud a montré l'universalité dece complexe ("Enfants violés, enfants violentés, le scandale oublié" page 58).

 La théorie du complexe d’œdipe a bel et bien livré et continue de livrer aux incesteurs de tous les pays, mais en particulier à la France, restée freudienne, un extraordinaire alibi. C'est sans doute pour cette raison qu'elle reste très prisée des psychiatres, qui dans leurs expertises la répètent, leurs conclusions clouant les victimes de la pédophilocratie sur l'autel du freudisme, c'est-à-dire sur celui de l'inversion des accusations.

A l'instar du Saint-Siège prêtant assistance aux prêtres pédophiles, le Conseil de l'Ordre des médecins prête traditionnellement main forte aux médecins violeurs, veillant à ce que le silence se fasse autour des pratiques inavouables de ses ressortissants – Cf. entre autrelesitesWeb n°73331815 et 108281777html. 

Freud perpétuait lui-même inconsciemment - un comble pour le père du concept de l'inconscient incestueux pathogène - une pratique parentale "en racine² de moins 1" (comme disait Jacques Lacan, qui avait bien compris de quel bois l'a-chose était faite). 

Lacan disait de la psychanalyse qu'elle est un délire, et que le délire relève de "la forclusion du nom du père".

Il s'agit évidemment de la forclusion du nom du père de Freud, cf. son séminaire sur "la lettre volée". Le père forclos de Freud n'était pas Jakob Freud, mais Jacob Nathansohn, le père de sa mère, ainsi que l'ont finement précisé les psychanalystes Marie Balmary et Gabrielle Rubin, la première dans "L'homme aux statues" (1997) et la deuxième dans "Le roman familial de Freud" (2002), deux livres dont Elisabeth Roudinesco ne recommande évidemment pas la lecture à qui sait lire comme Jacques Lacan, entre les lignes, 

Les négationnistes de la Shoa encourent des sanctions judiciaires, pourquoi pas les tenants du complexe d'Oedipe, c'est-à-dire les négationnistes de l'inceste. Le médiatique Marcel Rufo a été jusqu'à dire que les incestes etles viols sont généralement sans grandes conséquences - voir ce qu'en pensent les victimes sur le site CRIFIP.

C'est sans doute parce qu'il les minimise que  Marcel Rufo a droit à la médiatisation télévisuelle sur France 5, qui produit aussi "Le magazine de la santé", où récemment les graves dommages psychologiques  qu'ils occasionnent ont été rappelés.

La psychanalyse est au départ fondé sur un mensonge, un mensonge qui a fait boule de neige et déclenché une avalanche de conceptions erronées.    

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29 novembre 2014 6 29 /11 /novembre /2014 11:11

Lea, psychiatre-psychanalyste : << Mais madame, votre enfant ne peut pas être normal.  Vous lui avez fait rater son Œdipe parce que  vous n’êtes  pas sorti du vôtre.  

- Mais docteur, je l’ai eu après que mon père m’a violée. 

-  C’est bien ce que je dis. Vous avez fantasmé que votre père vous a violé parce que vous n‘êtes pas sorti de  l’enfance, encore tavaillée par votre Œdipe. Et quand bien même ce serait vrai, non seulement vous auriez été consentante, mais l’auriez cherché ! 

- Ma mère me disait que je racontais n’importe quoi et de me taire quand je lui disais que mon père jouait avec moi au papa et à la maman. Mes parents me gardaient tout le temps enfermée.J'allais pas à l'école.

- C’est que ça vous arrangeais de rester enfermée. Vous avez encore vos parents ? >>  

De tels propos paraîssent surréalistes, mais à l'époque, mais un peu moins souvent maintenant, le "dépassement" du prétendu complexe d'Oedipe était considéré comme un principe organisateur de la psychée et de son indispensable "accomplissement" vers la maturité sexuelle et psychologique. Faute de quoi l'individu devenait psychotique ou englué dans dans des névroses de type histérique.

La "cure" psychanalytique prétendait amener l'analysé à revivre et à dépasser (à liquider) son "conflit oedipien" dans une soi-disant "névrose transfert" (sic) avec l'analyste.   

Les "psys" ont mis du temps en France à se déprendre du discours psychanalytique freudien, qui a causé un nombre considérable de suicides, tant chez les victimes d'incestes, chez des malades prétendument schizophrènes, que chez les parents d’enfants autistes, notamment chez les mères. Les « psys »  les accusant d’être responsables de l’autisme et de l’arriération mentale de leurs enfants. Cf. Maud Mannoni « L’enfant arriéré et sa mère».Voir aussi ce que dit de l’inceste le psychanalyste Roger Perron en 2002 dans le dictionnaire de psychanalyse d’ Alain de Mijolla, et ce que disait Françoise Dolto des filles qui ont connu l‘inceste : « elles sont consentantes » (sic)  

Ce genre de propos étaient tenus il y a quelques années - lire le témoignage de Valérie Talmont,   "Inceste", dans la collection  J’ai lu n° ,  page 123  l'interprétation du Dr X, un  "ponte" de la psychiatrie, et aussi dans la collection pocket "J'avais douze ans". 

Nathalie Schweigoffer a raconté comment elle a été "régulièremenr" violée par son père : <<  J' avais douze ans quand mon père m'a violée .... j'étais toute fière quand il me disait que j'étais déjà une petite femme. Je ne savais pas ce que ça voulait dire être une petite femme. Mon père m'installait sur la machine à laver ... >>. 

Le psychiatre Dr. Pierre Sabourin, auteur de "Quand la famille marche sur la tête"  (il aurait mieux fait de l'intituler "Quand la psychiatrie marche sur la tête" rapporte son témoignage dans "La violence impensable" (publié chez Aubier Montaigne en 1991, un éditeur qui a aussi publié en 1986 "Le viol du silence", d'Eva Thomas, fondatrice de SOS - INCESTE (réédité en Poche en 2003)".

-/- 

En 1975, un mardi matin, en staff dans le Service de psychiatrie institutionnelle du Dr. J. P-P.  (on qualifie d'institutionnel les Services psychiatriques qui font référence à la psychanalyse dite orthodoxe, c'est-à-dire à celle qui fait appel aux théorisations du professeur Sigmund Freud, père de la psychanalyse fondée sur la croyance en l'existence d'un inconscient et de ses avatars pathogènes que seraient les ratées de la triangulation oedipienne nécessaire à l'élaboration normale du complexe dit  d'Œdipe.  

Ainsi, les entretiens à visée thérapeutique avec les malades devaient dans le Service du docteur P.-P. toujours se faire en la présence de deux soignants, un homme et une femme - pour ne pas dire un mâle et une femelle - (la psychanalyse est une psychologie de singe, disait à raison Alain) le patient constituant le troisième zig  de la « triangulation œdipienne » !

Mais cette psychiatrie institutionnelle se revendique aussi l’appareil théorique de Jacques Lacan.  Les croyants voyaient et voient encore Lacan comme un continuateur de Freud, alors qu'il n'est que révélateur de l'effet yau de poêle du délire freudien. 

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