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28 janvier 2015 3 28 /01 /janvier /2015 17:24

Bienvenue au livre  "Au nom du père", de Marc-André Cotton.  Sans doute Eric Fiorile connaît ce livre. Il est je crois comme M-A. Cotton  genevois. Est aussi bon à savoir qu'en 2012 est sorti en salle "L'affaire Freud", mais trop confidentiellement. Le film a été réalisé par le psychiatre Michel Meignant, qui s'est inspiré des révélations de Jeffrey M. Masson après qu'il a pris connaissance de "Le réel escamoté" (Assault on truth). "Enquête aux archives Freud" est la réactualisation de "Le réel escamoté" paru en 1984 mais épuisé et devenu + ou - introuvable. La nouvelle édition n'est pas pour autant facilement accessible. Elle est "indisponible", aux dires des libraires, donc en fait censurée (par qui ?).  Le film "L'affaire Freud" serait disponible en DVD auprès du Dr. Meignant, mais non sur Youtube.  Le dernier livre d'Elisabeth Roudinesco "Freud en son temps et dans le nôtre" est au contraire partout disponible. Bien que Roudinesco y interprête à sa façon (aveuglément admirative pour son héraut ) ce qui aurait dû la révulser, la lecture de ses « indéformations » reste comme celles de Gabrielle Rubin, qu’elle évite soigneusement de rapporter, hautement instructives.

 

"Psychologie magazine" de décembre 2014 présente la "somatic experimencing", une technique comme la REM sans doute pas sans utilité mais politiquement vaine face aux dégâts traumatiques permanents infligés par les pervers X et/ou les prédateurs financiers. Ils sont d'ailleurs trop souvent les mêmes, et alors soutenus par des Institutions plus ou moins conscientes de leurs complicités. Il s’agit d’ Institutions auxquelles l'Etat a très imprudemment confié "Mission de Service Public", notamment l'Ordre des médecins. C'est un Ordre qui cherche et réussit à terroriser la défense des victimes d'abominables exactions médicales, p.ex. les viols et les "euthanasies" de patients vulnérables, par des relations  maçoniques. L'Ordre est ainsi en mesure d'exercer  des "chantiers" contre ceux qui - avocats ou médecins - brisent la loi du silence. Cf. les derniers articles parus sur le Web au "blog de leon - pierre cretien" (www. genocides.over-blog.com). Cet Ordre a couvert, justifié et permis des exactions inqualifiables dont il avait parfaitement connaissance  "parce qu'il faut bien que les médecins gagnent leur vie" (dixit en s'adressant à moi leur Conseiller rapporteur le Dr. Pierre Brassart après qu'il a été vivement remercié par son protégé - voir la lettre manuscrite qu'il lui a adressée fin mars 1994 au site-Web n° 10612950 html, lettre en vain transmise au parquet à l'appui de la plainte de la victime (mon père) des exactions de la "fine équipe des pieds nickelés" (nom donné au trio quand il sévissait à l'hôpital Henri Mondor) après que mon père a, in extremis, par mon intervention substitutive, pu récupérer ses facultés intellectuelles. Ses médecins – les neurologues du CHU Bicêtre - lui avaient refusé le très simple traitement nécessaire à son rétablissement alors qu’il y était hospitalisé. Ils avaient ensuite donné la consigne de faire semblant de le lui administrer après qu’ils l’ont transféré dans un Service de gériatrie à l’hôpital Charles-Foix afin 1° qu’il ne soit plus en mesure de porter plainte contre leurs Confrères de la Clinique prédatrice des Elmelik  et 2° pour qu’il y finisse ses jours. Ces exactions, commises de concert, ont été, après qu’il a tout de même pu porter plainte, sanctionnées par un méprisant "non-lieu". Un non-lieu expressément requis par un parquet placé sous le houlette du très servile Michel Barrau, qui avait tout autant que le CNOM connaissance de ce qui se passait à la Clinique des Elmelik, si ce n’est pourquoi (en l'occurrence l’élimination physique des malades transfusés dans les années 1984 et 1985, rôle qui sera par la suite relayé par le Service de neurologie du Dr. Olivier Ille au CHU de Mantes la Jolie) bien qu’il ait eu en main les preuves des fautes et transgressions qui s’y commettaient, dont  le rapport d’expertise accablant du Dr. Yves Dano, qui les a quasiment  toutes énumérées (cf. ce rapport de 44 pages,  resté aux mains deMe Régine de la Morinerie) au prétexte insensé et absolument  mensonger qu'aucune faute n’avait été commise (voir à "un non lieu abusif" et  à « dans les pays démocratiques de basse intensité » sur http://genocides.over-blog.com et au site-Web n° 116517337 html, et accessoirement  l'article publié le 24 juillet 2014 surwww.advertance.eu/lomerta-regne-dans-le-milieu-médical/  qui les inscrit dans leur effrayant et scandaleux contexte politique.

 

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26 juin 2014 4 26 /06 /juin /2014 11:31

L'Ordre des médecins s'est à la suite d'un très mauvais calcul  empressé de radier à vie le Dr. Bonnemaison.

 

L'Ordre n'avait en effet pas du tout prévu que le Dr. Bonnemaison serait acquitté, croyant qu'il serait  assez sévèrement condamné en  Cour d'Assise. 

 

Est-il besoin de rappeler que l'Ordre des médecins intervient généralement  APRES  que la justice soit passée pour prononcer une condamnation, ainsi qu'il l'a montré en maintes circonstances. 

 

Cf. par exemple l'affaire des urologues toulousains en 1990.

 

L'Ordre intervient généralement pour entraver la justice dans les affaires scabreuses, notamment celles qui ont trait  aux agissements des médecins qui s'arrogent un droit de cuissage.

 

Il n'intervient pas au contraire pour faire condamner à tort certains médecins par la justice : l'Ordre des médécins avait provoqué la justice pour faire interdire et condamner le Dr. Danièl Fouchard, un médecin généraliste Landivy (Cf. Le Parisien du 30 mars 2006, qui titrait "La vie brissée du docteur Fouchard").

 

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25 juin 2014 3 25 /06 /juin /2014 16:57

Le fait que l' Ordre des médecins a radié le Dr. Nicolas Bonnemaison à vie et que la cour d'Assise des Pyrénées-Atlantiques l'a acquité ne va pas manqué de poser problème.

 L'Ordre des médecins est une institution ubuesque dont le PS, dans son "Programme commun de gouvernement" avait prévu la dissolution. 

 Qu'elle soit ubuesque, l'a démontré le fait que les médecins de la Clinique Elmelik ont été en toutes circonstances protégés par l'Ordre (voir sites 73331815 et 108281777 html).

 

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19 février 2014 3 19 /02 /février /2014 18:17

Quand, en mars 1992, à la demande insistante de Me Catherine Scotto-Derouet, je me suis adressé à l’Ordre des médecins pour lui faire part des agissements crapuleux des médecins de la Clinique des Elmelik, la secrétaire, madame André, m'adit qu'en ce qui concernait ladite  Clinique, c'était au Président Pouillard qu'il fallait écrire. J'ai lui ai fait une courte lettre explicative sans encore oser préciser qu'il s'agissait de la Clinique Elmelik. Quand le Dr. Pouillard a lu devant moi ma lettre, ill'a tout de suite compris. Je n'ai pas tardé à me rendre compte qu'il était déjà parfaitement au courant de ce qui s'y passait, qui paraissaittrop inavouable pour que les médecins de cette Clinique puissent faire l'objet d'une sanction ordinale. Le président du Conseil de l'Ordre du Val-de-Marne, pour me faire comprendre qu'il ne voulait surtout pas en entendre parler, s'était devant moi ostensiblement bouché les oreilles avec la paume des mains. Sans ménagement il me pria  de sortir en me disant que c'était à mon père de se plaindre.

 

"On" m'expliquera plus tard qu'il  fallait avant tout préserver l' IMAGE DE LA MEDECINE, déjà bien trop malmenée par la presse.

 

L'Ordre des médecins a le culte des images.

 

Mais alors, m'objectera-t-on, pourquoi l'Ordre des médecins a-t-il fait poursuivre et condamner par la justice le Dr. Daniel Fouchard, un médecin de campagne qui ne pouvait pas, à l'évidence, avoir commis ce dont l'Ordre et la justice l'accusait ?

Je l'ignore. Peut-être pour démontrer à peu de frais à l'opinion publique que l'Ordre et la justice sont le contraire de ce dont ces institutions  sont souvent accusées. 

 

Dans le pays qui réclame des DDH, il apparaît ainsi que plus les exactions provenant de médecins emblématiques sont graves et scandaleuses, moins elles sont susceptibles de faire l'objet de sanctions ordinales,

 

Autrement dit, les médecins ont intérêt à commettre des actes les plus scandaleux qui soient. Ils les garantissent contre toute poursuite ordinales et judiciaires. Les prédations moins sulfureuses, telles des abus de biens sociaux ou des extorsions financières en bénéficient. Se sachant ainsi abrités par les autorités politico-administratives, les tenants de la Clinique Elmelik se souciaient comme d'une guigne des conséquences de leurs actes. A violer les accouchées à tire-larigot son médecin propriétaire faisait profiter de ses protections les confrères qui exerçaient dans sa Clinique, qui pouvaient y commettre des actes chirurgicaux les plus illicites et les plus invraisemblables qui soient. Son rhumatologue maison, le Dr. Antoine Denis y était proclamé et s'auto-proclamait chirurgien de réputation internationale. Se sachant couvert quoi qu'il fasse, ce "chirurgien de banlieue" (dixit à son sujet le Pr. André Lienhart, fâché de d'avoir à le couvrir sous peine de blâme ordinal) s'était permis d'infliger à mon père, après l'avoir fait subrepticement anesthésier, c’est-à-dire sans son consentement et sans se soucier des contre-indications, toutes absolument rédhibitoires, pas plus que des interdictions qui lui avaient été signifiées, des actes de chirurgie orthopédique déplacés réalisés dans des conditions tout à fait rocambolesques en dépit - ou plutôt en profitant - de ce que son patient était vulnérabilisé par un affaiblissement intellectuel tel que son état prêta, pour les neurologues du CHU de Bicêtre qui ensuite le recueillirent, à confusion - avec un cas de maladie d'Alzheimer. Faire disparaître avec le malade les fautes énormes commises à son endroit lors de la double opération orthopédique de ce pseudo-chirurgien de banlieue était une solution. Ils attribuèrent très confraternellement l'état de leur malade à une irrémédiable "atteinte diffuse du système nerveux" (sic), une appelation en fait synonyme de leuco-encéphalopathie multifocale progressive - ou LEMP - c'est-à-dire à une maladie due à pas de chance parce que consécutive à une infestation virale. Leur patiernt ayant été transfusé en avril 1984 à l'hôpital Saint-Louis, ils se ravisèrent pour attribuer son état à une "encéphalopathie vasculaire" alors qu'ils savaient pertinemment, pour en avoir eu la preuve que leur patient souffrait d'un grave syndrome neuropsychiatrique cobalamino-dépendant lorsqu(il a été illicitement opéré à la Clinique des Elmelik (à 5%, le test de Schilling était très significatif d'une carence vitaminique B12, ce que le rétablissement du malade sous cabalamino-thérapie avait démontré). C'était surtout une manière de s'exonérer eux-mêmes de leur responsabilité quant à leur propre manque de perspicacité clinique et thérapeutique dans les lourdes séquelles occasionnées par le simulacre de traitement cobalaminique qu'ils avaient indument infligé à leur patient. L'illégitimité de ce simulacre avait été découvert après son transfert à l'hôpital Charles-Foix. par la Surveillante de l'Unité de Soins Normalisés du Dr. Jean-Yves Beinis. Contrairement à son chef de Service, madame Pondu avait su faire la relation entre l'apparition chez son malade d'une glossite de Hunter, pathognomonique des carences vitaminiques B12 sévères, et la dégradation de plus en plus précipitée de son état avec le simulacre de traitement cobalaminique que celui-ci ordonné de faire. Très peu attentif à l’état de ses malades, il avait aveuglément relayé les consignes des neurologues de Bicêtre sans vouloir voir qu'elles étaient à l'évidence mortellement erronées.

 

Sachant que la Clinique Elmelik servait en 1990 à ce à quoi allait servir après son changement de mains le Service du Dr. Olivier Ille une fois celui-ci devenu Chef de Service au CHU de Mantes la Jolie, ses prescriptions mortellement inadéqauates et le diagnostic sciemment erroné d'encéphalopathie vasculaire étaient une manière de dégager et la responsabilité de l'AP - HP, et du CNTS dans la survenue d'une très hypothétique LEMP en même temps qu'ils étaient susceptibles de couvrir, par la mort "naturelle" du malade, les exactions des médecins de la Clinique Elmelik.

Olivier Ille avait non seulement prescrit au Dr. Jean-Yves Beinis de simuler le traitement de la maladie de Biermer au malade qu'il lui avait adressé, mais il avait pris soin de le prévenir de n'avoir pas à s'étonner de ce que son malade irait rapidement et inéluctablement "vers un plus grande dégradation" (sic, ainsi que me l'a ingénument répété le Dr. Beinis lorsque je l’ai rencontré le jour du transfert de mo père dans son Service. Répétera cette formulation le Dr. François Chedru en 1996 dans son expertise alors qu'il savait pertinemment que la cobalaminothérapie drastique normalement dévolue au traitement de la maladie de Biermer par moi-même administré au malade après que madame Pondu m'a fait connaître que son malade n'en a reçu qu'un simulacre avait au contraire presque intégralement rétabli le malade dans ses fonctions intellectuelles (30/30 au MMSE en février 1991).

Ce à quoi allait servir le Service du Dr. Olivier Ille à Mantes la Jolie a été incidemment révélé en 1997 par Dr. Laurence Kouyoumdjian. L’infirmière Christine Malèvre, entichée de son patron, croyait bien faire. Elle prit sur elle de se taire après s'être ingénument glorifiée d'avoir exécuté une trentaine de malades. Son cher patron n'y avait rien trouver à redire, qui conserva ainsi son poste, ce pendant que son assistante, qui a fit arrêter ce massacre, été priée de le quitter. Quant à celui par qui la découverte du syndrome NDB12PP est arrivée, cf. à son sujet la lettre maanuscrite du Dr. Patrice Bod °°° (Bodenan) adressée le 10 Janvier 1994 au Dr. Jean Penneau, comme Bod°°° présumé °°° (Cf. sites web n° 69970222, 69972425, 73331815 et 108281777 html ainsi que les plus récents articles de ce blog).

 

 

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25 mars 2013 1 25 /03 /mars /2013 16:13

 Ci-après le fac-similé de l'Ordonnance de non lieu du 3 juin 1998 relative à l'affaire rapportée sur le site 73331815 html. Mes commentaires sont en  italique.   

 

TRIBUNAL DE GRANDE

 

INSTANCE DE CRETEIL

----------

Cabinet de Mme SCELLE ORDONNANCE DE NON LIEU

Juge d'instruction

 

----------- -------------------

N° Parquet : C 94 070 99002

N° Ins. : 204/71/94

 Nous, Bénédicte SCELLE, Juge d'Instruction au Tribunal de Grande Instance de Créteil,

Vu l'information suivie contre

X ...

des chefs de : Atteintes involontaires à l'intégrité physique

Avant que le procureur Michel Barrau ne lui ait dicté ce qu'il voulait qu'elle fasse, madame Bénédicte Scelle stipula bien plus justement dans ses commandements aux experts "Atteintes volontaires" à l'intégrité physique.

 Faits prévus et punis par les articles 112-1, 222-19 et 320 du Code Pénal

 

PARTIE CIVILE :

 

Mr CRETIEN Pierre

X, rue Z - 94230 Cachan

 

Vu le réquisitoire de Monsieur le Procureur de la République en date du 25/02/1998 tendant au non lieu et dont nous adoptons les motifs,

 

Vu les articles 175, 176, 177, 179, 183 et 184 du Code de Procédure Pénale

Attendu que l'information a établi les faits suivants :

par courrier du 17 janvier 1994, reçu le 11 mars 1994, Mr Pierre CRETIEN, portait plainte en se constituant partie civile contre X pour coups et blessures involontaires

 

Sa plainte date en réalité du 17 XII 1990, pour mise en danger, non assistance, et atteintes volontaires à l'intégrité physique.

Les hospitalisations dues aux complications médicales consécutives aux actes incriminés, mais aussi les manoeuvres dilatoires diligentées par l'Ordre des médecins sous la houlette des Drs. Jean Pouillard et Patrice Bodenan, qui s'étaient concertés en 1992 pour demandé ma "mise examen" parce que j'avais, en transgression des traditions omertistes de la corporation, signalé les faits à l'Ordre, prétextant que j'étais un malade "procédurier" (sic) atteint de "paranoïa"(resic), et le refus de Madame Toxé de procéder à une instruction en novembre 1994 sous prétexte que le plaignant venait de décéder ont fait que la plainte de mon père contre les amis du Dr. Bodenan pour coups et blessures volontaires , mise en danger de la vie et non assistance à personne en péril, portée à l'attention du Procureur de Créteil le 17 décembre 1990 et reçue sous le n° C 90 361 003 - non pas en janvier 1994, si tant est que sa plainte puisse avoir été reformulée à cette date puisqu' il était alors, après trois mois passés en maison de retraite, bien trop mal en point pour s'en être occupé -et les réticences apeurée de ses avocates après ce qu'elles avaient trouvé d'effrayant au sujet de la Clinique Leon Elmelik en allant consulter le bureau d'ordre pénal au TGI de Créteil et  l'hostilité manifeste du parquet à instruire la plainte (voir site 73331815 html chapitre 1 § 13 et 15 ) ont fait que mon père n'avait pas pu se constituer "partie civile" plus rapidement.

Prenant sur elle-même, Maître Dosner-Dolivet avait cependant pu, en dépit de l'hostilité du parquet, réussi à la formuler de façon circonstanciée au Doyen des Juges d'instruction (Serge Portelli), qui la prit en considération.

D'autre part, mon père est décédé non pas le 30 octobre, mais le 2 octobre 1994, et ce n'est pas "47 mois après" que dans un courrier "détaillé, au style bien particulier" (sic) que l'opération du faux professeur-chirurgien Antoine Denis a, par moi été déclarée INTEMPESTIVE (ce terme était tout à fait approprié), mais dans un courrier adressé à un Cabinet d'avocats en août 1993 pour lui résumer l'affaire, après que Me Catherine Scotto-Derouet a restitué les dossier à Me Sylvie Ferval et avant que Me Annick Dorsner-Dolivet ne s'en charge au plan pénal et reçoive le même texte. Introduire délibérément des "erreurs" de date et faire semblant de ne pas comprendre ce que les mots veulent dire est une façon commode de justifier un "non lieu", de minimiser sa responsabilité (puisque l'erreur est "humaine"), et de compliquer les procédures, jusqu'à les rendre inextricables.

Le 21 avril 1994, dans les délais ("on" semble le regretter) , il consignait la somme de 3000 Frs.

Après le décès du plaignant le 30 octobre 1994

<< Il résulte de la plainte que le 4 avril 1889, Mr. Pierre CRETIEN père alors âgé de 79 ans a consulté le docteur DENIS à la clinique ELMELIK, à l'Haÿ-les-Roses, avec l'idée qu'à la différence d'un pédicure ce podologue, en tant que médecin, pouvait trouver une solution à ses difficultés Le docteur DENIS proposa une opération dite d'alignement des orteils .>>

Mon père présentait ce que l'on appelle des pieds creux avec scaphoïde cornu, ce qui ne l'avait pas empêché d'être mobilisé dans l'armée de terre en 1940 ni de trouver chaussure à son pied dans celles du commerce. La Juge d'instruction et le Procureur se gardent bien ici de mentionner que mon père avait été voir ce medecin pour la prescription de semelles orthopédiques, et non pas pour se faire opérer.

C'est le 25 mai 1990 que l'opération s'est déroulée. Dans le courrier long, détaillé, au style bien particulier cette opération sera jugée "intempestive et inutile" 47 mois après. La conséquence sera la plainte.

 La Juge et le Procureur omettent l'essentiel, qui est pourtant détaillé dans ce "long courrier" et dans l'expertise du Dr. Yves Dano, à savoir que mon père avait été opéré subrepticement, contre l'avis de son cardiologue le Dr. Joseph Heller et contre mon avis, deux avis expressément signifiés, et contre toute logique médicale, et plus simplement contre le sens commun par un prétendu chirurgien, en fait un rhumatologue à la retraite qui avait perdu tout bon sens puisque mon père était à l'époque à l'évidence neurologiquement et psychologiquement, au sens psychiatrique, très malade, ne pesant plus que 55 kg, affecté d'une très inquiétante hypertension à 24/13, d'insuffisance coronaire avec double bloc de branches, d' epistaxis (d'hémorragies nasales)sévères et répétition, d'une toux subintrante causée par des fausses routes alimentaires consécutives à des paralysies neurologiques hautes (paralysie du voile du palais, notée dans le CR. signé du Dr. O. Ille) , preuve que l' affection neurologique dont il était atteint en était déjà à un stade dangereux. Le syndrome neuro-anémique dont en fait il souffrait, ne demandait qu'à être investigué pour pouvoir faire l'objet d'un traitement cobalaminique urgent, simple et efficace. Cette atteinte avait déjà dangereusement atteint le tronc cérébral, siège de fonctions vitales. Mon père était donc affecté de ce syndrome, facilement détectable à l'examen pourvu qu'on y procède. Il signait l'origine neurologique de ses sensations cinesthésiques douloureuses au niveau des pieds et de ses difficultés à marcher, de sa toux subintrante, de son irritabilité et de son angoisse de mort imminente, ses déséquilibres tensionnels, de ses troubles psychiatriques (délire de Capgras ?   voir  sur ce blog bibliographie de l'article 116 50 95 14  ) , jusqu'à la survenue de ses très inquiétantes pertes du contrôle sphinctérien, comme l'a prouvé leur régression et leur disparition définitive sous traitement cobalaminique. Leur réversibilité sous traitement cobalaminique avait apporté la preuve que tous ces troubles étaient beaucoup moins d'origine vasculaire que métabolique. Le catalogue et la description de ce dont il souffrait alors nécessiterait des pages et des pages, et c'est bien pourquoi mon courrier avait été "long et détaillé", écrits dans style médical approprié, qualifié par le parquet de "bien particulier", alors que mes informations étaient adressées à des médecins. Comme si le jargon juridique, à l'instar du jargon médical, n'était pas, lui aussi, "bien particulier". A relire ce "courrier", adressé aux experts pour les informer, je le trouve au contraire très précis et pertinent, contrairement aux "conclusions" des experts, qui sont, elles manifestement  mensongères. 

Les conclusions et seulement les conclusions de ces trois experts médicaux dont la carrière est soumise  aux pouvoirs discrétionnaires  de l'Ordre des médecins et de l'Assistance Publique sont reprises mot pour mot, virgule pour virgule par le Dr. Yves Dano, telles que les avaient rédigées le Dr. François Chedru (le rapport d'expertise est frappé, on se demande bien pourquoi, de la mention "reproduction interdite"). Elles sont telles que les voulait le Pr. René-Claude Touzart, relation du Pr. Jean Debeyre actionnaire de la Clinique Emelik et membre de l'équipe prédatrice connue  à l'hôpital  Henri  Mondor  lorsqu'elle y exerçait  sous l'appelation "la fine équipe des pieds nickelés" . 

Yves Dano a pourtant  colligé dans la quarantaine des précédentes pages de son expertise les énormes fautes, erreurs et transgressions,  toutes plus incroyables et inadmissibles les unes que les autres, qui  avaient été commises (en en prenant connaissance, le Dr. Michel Serdaru, qui connait pourtant bien Michel Chedru pour avoir publié avec lui, s'était exclamé que son rapport était faux et que même un centième des fautes qui avaient été commises mériterait un procès) 

En tant que contre-expert, le Dr. Dano n'aurait pourtant jamais dû avoir eu connaisance de l'expertise Chedru.  Or il s'en réclame ouvertement. Ce qui fait que ses conclusions, qui sont en fait celles rédigées mensongèrement par le Dr. François Chedru (Chedru m'a lui-même cyniquement avoué le 4 juillet 1996 quelles étaient mensongères puisqu'il m'a dit que << aucun chirurgien n'aurait accepté mon père dans de telles conditions. >>  Nier les fautes  lui évitait d'avoir à affronter les représailles  de l'Ordre des médecins et celles de l'AP - HP  et peut-être aussi celles des "fraternelles" via Patrice Bodenan°°°, les Professeurs Jean Penneau et le très redouté René-Claude Touzart.

Ses conclusions sont de ce fait en complète contradiction avec ce que le même Dr. Yves Dano écrit dans le corps de son très très long rapport (une quarantaine de pages d'une dactylographie serrée, répétitive et fastidieuse à lire, quoique très instructive, puisqu'elle rapporte expressément que l'intervention réalisée n'a pas été celle anodine qui avait été annocée et stipulée - un K20 à faire sous locale , subrepticement remplacé au dernier moment, après endormissement du patient, par une opération en K 60 + 60/2 + 75 % +30 + 30/2 + K20 + 10/2  plus divers actes en ZM2  CS  K 6;5 , une opération faite par surprise, sans attendre d'avoir en main les résultats des analyses pré-opératoires, soit un K total de 236 précipitamment fait sur un patient déclaré "grincheux" et de "contact difficile" (et pour cause, vu la très grave maladie neurologique qu'il couvait et qui dejà le minait, l'affaiblissait intellectuellement et le plongeait dans un délire paranoïde assez caractéristique dela maladie de Biermer et des cqarence vitaminiques B12), à que Dr. Antoine Denis  avait offert des consultations gratuites pour lui faire croire que'il s'intéressait vraiment à sa personne alors que seul comptait pour "la fine équipe" l'augmentation du chiffre d'affaire  de la Clinique de la "fine équipe".

Page 3 :

 << L'existence de troubles sphinctériens sans explication urologique suggère que cet état avait débuté avant l'opération >>

De fait, cet état "sans explication urologique" avait débuté 2 à 3 semaines avant l'opération. Et s'il n'y avait pas "d'explication urologique", c'est bien parce qu'il y avait une autre, et des plus inquiétantes, puisque l'existence de ces "troubles" signait une très redoutable atteinte du système nerveux, atteinte qu'il était impératif d'investiguer pour en connaître la véritable cause pour  la traiter. Quelle qu'ait été la cause, vasculaire ou métabolique, il importait avant toute chose de la déterminer, ce que l'on s'était bien gardé de faire pour pouvoir placer une opération au bénéfice du "cash flow" de la Clinique, peu importait les conséquences pour le patient.

Suit dans les conclusions du Dr. Chedru recopiées par le Dr. Dano une succession de considérations  mensongères, mélangeant le vrai et le faux, présentées avec des "mais" comme étant le fruit d'interrogations scrupuleuses quant au "rôle exact" (sic)

de l'opération dans le survenue des complications. Ainsi :

 << Le patient s'est aggravé après l'opération de façon relativement rapide sans qu'on puisse dire quel rôle exact celle-ci a eu. Il est difficile, en effet, de faire la part de l'histoire naturelle d'un syndrome lacunaire à prédominance sous corticale, maladie très commune chez les hypertendus, et les conséquences hémodynamiques de l'intervention (vrai) et des médications anti-hypertensives reçues à cette occasion >>.

Les experts feignent ici d'ignorer que le malade était en fait atteint d'un syndrome  neuro-anémique lorsqu'il a été opéré, atteinte que les hémorragies  post-pératoires (d'autant plus inéluctctables sous anti-coagulants quelles avaient été fréquentes dans les semaines qui avaient précédées et dues être cautérisée dans cette Clinique par le Dr. Semette) impossibles à juguler sans arrêter le traitement anticoagulant ne pouvaient qu'avoir aggravé. Pour la compréhension de ceci, voir le texte que j'ai adressé au nouveau médiateur désigné par la direction de l'hôpital Bicêtre pour remplacer l'excellent professeur Gilbert Tchernia (à qui je l'ai aussi communiqué).

5°) L'intervention a probablement eu un effet délétère sur la santé du patient, en accélérant l'évolution (vrai) d'une maladie (vraie)vasculaire (faux) déjà présente (vrai). Celle-ci était d'aggravation inéluctable (non) mais s'est révélée à cette occasion.

6°) Un risque (énorme) a certainement été pris en intervenant, mais ce risque pouvait être considéré comme raisonnable (non, un risque insensé) compte tenu de l'absence (faux) de contre-indication cardio-vasculaire et de l'absence (faux, hta à 14/13, insuffisance coronarienne et double bloc de branche) de signe neurologique patent (faux, ils étaient évidents, cf.les incontinences shinctériennes. Ces médecins experts osent, sous serment, stipuler d'énormes mensonges et de telles inepties).

7°) Le risque pouvait être considéré comme justifié (évidemment non) dans la mesure où les douleurs des pieds dont se plaignait monsieur Pierre-André CRETIEN résistaient à tout type de prise en charge thérapeutique.

(absolument faux, les douleurs étaient d'origine neurologique et relevaient de l'administration intra-musculaire de Cobalamine, la thérapie spécifique des syndromes neuro-anémiques).

8°) l'ensemble des troubles neurologiques constatés après l'opération n'a pas de relation de causalité certaine avec cette opération dans la mesure où de tels troubles sont fréquents chez les hypertendus en l'absence de tout acte chirurgical

 (on peut difficilement mieux mentir). 

 << Les conclusions des experts déclenchèrent la production d'une volumineuse correspondance rédigée dans le même style particulier que la constitution de la partie-civile elle-même, adressée à l'un des experts ( D112 : 6 pages, D114 : 3 pages sur ordonnancier, D119 : 4 pages, D 120 : 2 pages D 121 : 4 pages accompagnées de photographie, D 122 17 pages), ou au magistrat instructeur (D115 2 pages, et autres) ainsi qu'une demande à fin de contre-expertise (D116) >>. (dixit les  pour réquisitoire 

(Contre-expertise dont  les conclusions sont ici rapportées et 

<< A l'issue de son expertise sur le dossier de Monsieur Pierre-André CRETIEN, l'expert Monsieur DANO conclut ainsi :

 

1° ) J'ai moi-même examiné le dossier de Monsieur Pierre-André CRETIEN

2°)  J'ai moi-même entendu l'ensemble des sachants à savoir :

- Monsieur le Docteurt Antoine DENIS,

-Mademoiselle le Docteur Edith Elmelik,

-Madame le Docteur Geneviève DESCOURTIEUX-PARENT

-Monsieur Pierre Henri CRETIEN

-Mademoiselle Danielle CRETIEN

 Non pas donc "l'ensemble" des "sachants", mais surtout ceux qui étaient a priori (à part moi), en tant que partie prenante et mis en cause, hostile à l'action judiciaire. Le Dr. Dano, outre qu'il commet des erreurs en écrivant que le patient avait été hospitalisé à Corbeil, omet d'avoir entendu de vrais "sachants" , entre autres le Professeur François Piette et le Dr. Michel Serdaru.  

 Michel Serdaru ,  s'était interrogé de savoir si mon père avait eu affaire à de vrais médecins. Très en colère, il estimait que ne serait-ce que le un centième des fautes  qui avaient été commises méritaient un procès.  

Ma sœur avait quant à elle été très hostile à ce que mon père puisse porter plainte de peur qu'un procès entame son héritage. Elle m'avait de ce fait promis "de me faire mordre ma poussière" (sic)  pour ne pas avoir empêché mon père de le faire parce cque ses adversaires étaient réputés trop puissants. Mon père lui avait rapporté ce que lui avait dit le Commandant Christian Raeckelboom le 3 janvier 1991 au Commissariat de l'Haÿ -les-Roses  (Cf; site 73331815 et 108281777 html )  

 3°) Je me suis fait communiquer tous les éléménts et dossiers concernant l'état de santé de Monsieur Pierre André CRETIEN, tant au moment qu'après l'intervention du 25 mai 1990.

5°) L'intervention chirurgicale entreprise a pris en compte la santé et l'âge du patient

(ce qui est à l'évidence faux et mensonger)

 6°) Il ne peut-être établi de lien de causalité entre l'intervention chirurgicale du 25 mai 1990 et l'ensemble des troubles, notamment neurologiques constatés ultérieurement (affirmation qui est manifestement contraire à la réalité, ne serait-ce qu'à cause des hémorragies cataclysmiques, qu'il omet de relater, qui avaient nécessité l'arrêt des anticoaguulants préventifs des accidents tyhrombo-emboliques).

7°) L'intervention chirurgicale  du 25 mai 1990 a justifié : (selon le Dr. Yves Dano)

- Une ITT de 2 mois, s'étendant du 23 mai au 23 juillet 1990

- Pas d'IPP en relation

Les deux expertises ne font apparaître aucune comportement fautif à l'égard de quicconque. La plainte initiale de Mr Pierre André CRETIEN , père,

largement relayée pour ne pas dire impulsée par Pierre Henri CRETIEN, fils, à fait dire à la soeur Danielle CRETIEN qu'elle était "inquiète quant à l'avanir de son frère. (Selon elle ce dernier) ayant fait du problème concernant son père "l'affaire de sa vie", ne serait plus en mesure actuellement d'assumer la moindre activité professionnelle soutenue et régulière, se désocialisant petit à petit".

D'une part c'était ma soeur qui m'avait incité à sauver coûte que coûte la vie de son père alors qu'il était dans le coma, tout prêt de mourir dans un état épouvantable, gisant presque nu, et squelettique dans ses émonctoires le 12 septembre 1990 faute d'avoir reçu la cobalamine nécessaire à son rétablissement, cobalaminothérapie que l'on avait cependant durant un mois et demi fait semblant de lui administrer pour me faire croire qu'il était convenablement traité. (voir sur site 108281777html) . Elle était donc parfaitement au courant de ce qui s'était passé en me promettant de m'aider au cas ou je réussirais à sauver la vie de son père, sachant qu'il risquait de garder de très lourdes séquelles de cette longue et mortifère mascarade. Son père une fois sauvé, elle avait  à toute force essayé de l'empêcher de porter plainte sous prétexte que cela risquait d'entâmer ce qu'elle appelait "son héritage", et non contente ne pas m'aider, avait fait renvoyer les assistantes gardes-malades que j'avais formées et engagées pour s'occuper de son père resté gravement invalide sur le plan moteur, aussi sous prétexte qu'il fallait les payer et que cela entamait "son héritage".  

NON LIEU

Disons n'y avoir lieu à poursuivre quiconque dans cette affaire .

DISONS N'Y AVOIR LIEU A SUIVRE EN L'ETAT.

ORDONNONS LE DEPOT DU DOSSIER AU GREFFE DU TRITUNAL POUR Y ETRE REPRIS EN CAS DE SURVENANCE DE CHARGES NOUVELLES. 

Fait à Créteil le 3 juin 1998

Le Juge d'Instruction, 

Ce qui est aussi arrivé aux malades de Christine Malèvre et du Dr. Olivier ILLE  quand il est devenu Chef de Service au C.H.U. de Mantes-la-Jolie, dument signalé au parquet en février 2003, constituaient des "charges nouvelles" : la preuve qu'il s'était agi d'une tentative d'assassinat, et non d'une "erreur" de diagnostic et de traitement quand mon père a été hospitalisé à la suite des complications dues à son opération, et en 2003, aucune prescription ne pouvait être invoquée, ce qui démontre que le parquet de Créteil était partie prenante dans cette affaire, et explique les entraves qu'il mit en faveur de la "fine équipe"  ainsi que nous l'avait d'entrée signalé l'Inspecteur-Commandant Christian Raeckelboom au Commissariat de La Haÿ-les-Roses lors de son audition le 23 janvier 1991. 

Pour copie certifiée conforme

Le Greffier.   

Suivent les commentaires du parquet (le décès est survenu le 2 octobre, mais passons ...),

son fils Pierre Henri CRETIEN, psychiatre de profession se constituait partie civile aussi bien en son nom personnel qu'en qualité d'héritier de son père.      

Ce n'est que grâce à l'insistance de Maître Dorsner - Dolivet que l'instruction a été ouverte, en contrepartie de ce que l'affaire ne soit pas "ébruitée" .

 Il est à noter que la fille de Mr CRETIEN père, se s'est pas manifestée dans le même sens

 Comment la Juge d'instruction peut-elle écrire cela, alors qu'elle ne l'a pas entendue ? Explication : un des experts médicaux - en l'occurrence le Dr. Yves DANO, avait, par ses Confrères, appris que ma soeur était maladivement peureuse, craignant qu'un procès n'entame "son héritage". N'obtenant pas qu'elle vienne témoigner, il l'avait mencacée, alors qu'il n'en avait aucunement le droit, de la faire témoigner encadrée par des gendarmes, d'après ce qu'elle m'en a dit . Le 22 mai 1997, s'étant préalablement entendu avec les Drs. Touzart, Lienhart et Chedru, ses prédécesseurs, et sans doute aussi avec l'ordre des médecins, qu'il savait compromis dans cette affaire, il essaya de lui faire dire ce qu'il voulait pour me discréditer, entre autre que je prétendais avoir sauver la vie du plaignant avec de la vitamine C ! selon ce que ma soeur m'a rapportée

Le Dr. Chedru m'a cyniquement avoué qu'il avait  menti en me conseillant de "laisser tompber cette affaire parce que je m'y épuiserais pour rien"

 Ainsi fonctionne l'expertise médicale en France?, et le Dr.  Chedru qui sera invité par le Pr. Olivier Lyon-Caen sur les micros de France-Culture pour  parler de l'objectivité des expertises médicales (émission "avec ou sans rendez-vous" ) !  

.....................................................................

 

 

 

 

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10 novembre 2012 6 10 /11 /novembre /2012 14:42

Une savante tentative descroquerie financière avait été ourdie à lencontre de mon père, alors très malade et psychologiquement des plus vulnérables au début de lannée 1990 à LHaÿ-les-Roses.

  

La Clinique de lHaÿ-les-Roses  travaillait alors en intelligence avec le maire de la commune, à lépoque Marc Méchain. Jignore si cette escroquerie, qui a fini par rater sur le plan financier mais a laissé mon père gravement invalide est en rapport avec le fait que dans les mois suivants les neurologues du CHU Bicêtre ont fait semblant dadministrer à mon père hospitalisé dans leur service le traitement quil lui fallait. Ils ne lui avaient pas administré traitement normalement dévolu à la maladie de Biermer alors que leur malade était à lévidence AUSSI et SURTOUT atteint de cette mortelle maladie. Il y a toutes les raisons de penser que leur "mauvais étiquetage" (sic) avait dété élibéré. Ils sen étaient tenu au diagnostic effrayant «datteinte diffuse du système nervux» (note 1), autrement dit à celui dune leuco-encéphalopathie multifocale progressive, une affection neuro-dégénérative très rare mais gravissime, très biermer-like . La LEMP ne connaissant à lépoque aucun traitement efficace connu cependant que le traitement de la maladie de Biermer sest révélé efficace à partir du moment où je lai mis en route. L'épreuve thérapeutique prouvait que le malade était bel et bien atteint de la maladie de Biermer. Cette maladie étant sans son traitement spécifique non moins mortelle que la LEMP , la négation du diagnostic de maladie de Biermer au profit de celui dune LEMP revenait ipso facto à condamner le malade à brève échéance à une mort douloureuse et affreusement angoissante (on ne donc pas parler d'euthanasie, mais de dysthanasie).

J'ai finalement dû moi-même intervenir pour appliquer le traitement approprié le 12 septembre 1990 , vraiment in extremis alors que le malde se mourait  (108281777 html). 

Il se pourrait qu'ainsi fut découvert que le traitement des LEMP passait par celui de la maladie de Biermer (2) . 

 

La plainte en justice du malade était tout à fait justifiée. Très bien étayée sur des données tangibles et irréfutables, celle-ci m'a valu les persécutions du Conseil de l'Ordre, qui s'est rapproché des neurologues de Bicêtre pour étouffer le scandale des "euthanasies" (en fait des assassinats déguisés) de malades susceptibles de déclarer un SIDA après qu'ils ont été contaminés par des transfusions dans les années à risque. Le malade avait en effet été transfusé en avril 1984 lors de la mise en place une prothèse de hanche à l'hôpital Saint-Louis (3).   

 

Comment en effet  comprendre que rétablir un malade en train de mourir dans ses fonctionspuisse donner lieu à des menaces de représailles de la part de lOrdre des médecins et dun Chef dun Service de lA.P. ?  Avec en prime les moqueries du parquet dans l'énoncé de son non-lieu ?  La plainte du malade était largement fondée sur des documents irréfutables  (cf art. 72862156 html) et par une expertise des plus accablantes. Comment le comprendre la dissimulation du dossier du malade et les directives données au Chef du l'USN de l'hôpital Charles-Foix de ne faire que semblant d'administrer le traitement approprié sinon qu'il s' agissait d'une affaire touchant à une contamination nosocomiale inavouable. Il fallait à tout prix enrayer l'évolution de la contamination  vers un SIDA caractérisé  (les LEMP ne relèvent pas forcément du  Sida, mais ont vu leur  prévalence augmenter avec l'apparition du SIDA).   

 

Voir aussi mon article précédent,  adressé au professeur Pierre Corvol,  sur le traitement étiologique de certaines hypertensions artérielles sévères d'origine psychologique. Mon père a retrouvé une TA normal sous cobalaminothérapie (il s'agit de vitaminothérapie B12, c'est-à-dire avec le traitement spécifique de la maladie de Biermer. Par là-même celui du délire de Capgras en l'occurrence déterminé par cette maladie. Le traitement de son délire passait ainsi par celui de la maladie de Biermer. L'halopéridol aurait  probablement été inopérant dans son cas.    

  ______________________________________________________________________

1 - Le chef de Clinique du service mavait dit que ''pour moi''  mieux valait que mon père meurt.  De fait ! Des menaces de représailles ont suivies son rétablissement, proférées à son encontre comme à la mienne par de hauts représentants de l'Ordre des médecins, au prétexte qu'il n'aurait pas dû porter plainte et que j'aurais dû moi l’en empêcher.  Mon attitude aurait été anti-confraternelle, d'après le Dr. Antoine Denis,  le pseudo chirurgien de la Clinique Elmelik qui avait illicitement infligé sans crier gare  une opération orthopédique bilatérale à mon père pour corriger ses douleurs de pieds alors qu'elles étaient d'origine neuro-dégénératives  (Cf. sa correspondance avec l'Ordre des médecins et le site 73331815 html).  

 

2 -Voir dans mes articles précédents la bibliographie rassemblée au sujet du traitement des LEMP .  Archives of Neurology est une Revue prestigieuse que le Chef du Service de neurologie du CHU Bicêtre ordonna de faire disparaître des rayons de la bibliothèque universitaire de ce CHU après que je lui ai soumis les articles qui y étaient publiés, qui traiaient  de ce sujet.  Au  prétexte allégué par le Professeur que  c'était une  "très mauvaise revue" (sic). La Revue Archives of Neurology avait en effet  accepté le 5 sept 1990  la publication dun article au sujet du possible traitement des "LEMP"  ( l'autre nom des "ATTEINTES DIFFUSES DU SYTEME NERVEUX"  voir site 69970222 html)  par la vitaminothérapie  B 12 .

 

- Les tenants de la Clinique Elmelik, "protégée en hauts lieux"  pouvaient "tout se permettre". L'Ordre a été jusqu'à suggérer au parquet de Créteil que j'avais "impulsé" la plainte de mon père, et l'hôpital Bicêtre que javais "fabriqué" sa LEMP alors que c'est chose absolument impossible. Pour ses "loyaux" services envers les Elmelik, l'un des hauts représentants de lOrdre a été hissé au rang de président du conseil disciplinaire de l'Ordre île-de-francien, et son complice vice-président du CNOM et Rédacteur en Chef du Bulletin de l'Ordre. "Le ver est dans le fruit", m'avait prévenu le S.G. de l' Ordre du Val-de-Marne quand il m a confirmé les viols que perpétrait le propriétaire de la Clinique . affaire a été rapportée le 18 juillet 2012 sur le site 108281777 html, et avant cela plus longuement en juillet 2009 sur le site 34640255 html, reporté pour cause brouillage sur le site 73331815 html.

 

4 -  Lire Barth et Vargas «Quand l' Ordre règne», éd. Mango Documents.   

 

Pierre Cretien,  M.D. le 10 novembre 2012. 

 

 

..............................................

Le Dr. Laurence Kouyoumdjian s’était inquiétée du nombre élevé des décès des malades dont s’occupait Christine Malèvre au CHU de Mantes la Jolie sous l’égide de celui qui avait été quelques années auparavant au CHU de Bicêtre chargé de faire passer mon père de vie à trépas en ne lui faisant administrer un non traitement (voir lequel au site 69970222 html ). Seule Christine Malèvre a été inculpée et le parquet s’est bien gardé de mettre en cause son mentor. Qui plus est  Christine Malèvre a été condamnée à la prison alors qu'elle avait été déclarée immature !  

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13 juin 2012 3 13 /06 /juin /2012 16:54
A la suite de l'émission "Le  téléphone sonne" du 14 juin dernier, j'ai écrit à madame Najat Vallaud Belkacem pour que soit renforcer la lutte contre  la loi du silence qui règne sur les violences sexuelles faites aux femmes, mais aussi faites aux enfants, garçons ou filles (jusqu'aux nourrissons, qui en sont victimes beaucoup plus souvent que l'on oserais imaginer).

Entre autres surcoûts  supportés par l'Assurance Maladie  dont il est quasiment jamais tenu compte, tient  à  cette loi du silence  << la seule loi qui soit vraiment respectée en ce pays >>  (Sophie Coignard et Alexandre Wickham,  L'omertà française, Albin Michel, octobre 1999).

C'est cette loi hors la loi qui permet à l'Ordre des médecins d'imposer, sous peine d'excommunication, un silence confraternel sur les fautes, mêmes et surtout les plus criminelles, commises par des médecins dans l'exercice de leur profession, "loi" qui autorise  tous les débordements, y compris les viols. 

A-t-il  été question dans cette émission du problème des refus délibéré de

Les Socialistes semblaient avoir pris conscience de la nocivité de l'Ordre. Ils en avaient prévu la dissolution dans leur Programme Commun de Gouvernement, mais ont bien vite "oublié" de mettre le projet  à execition une fois arrivés au gouvernement en 1981.

Je me suis ainsi  trouvé en 1990 confronté à l'omerta du milieu médical. 

Ma consœur Catherine Bonnet en a aussi fait l'amère expérience en 1999, qui s'était vue signifier une interdiction de trois fois trois ans d'exercice professionnel par le Conseiol disciplinaire de l'Ordre des Médecins pour avoir fait trois signalements de viols pédophiles, c'est-à-dire pour avoir respecté normalement la loi, qui fait obligation de signaler les crimes dont on a connaissance. Mais en respectant la loi, elle s'était mis en travers de celle de l’Ordre des médecins, qui règne sur la profession, et qu'il faut bien qualifier de mafieuse (2).

Pierre Joxe, ancien ministre, en tant qu'il est avocat et qu'il a pris conscience de ce problème, se consacre maintenant à la défense des enfants et de leurs droits à être respectés. Il était présent à la Table Ronde du 24 février 2011 à l'Institut de criminologie de Paris consacrée aux conséquences de la mystification d'Outreau, Table Ronde courageusement organisée par mon Confrère Gérard Lopez, qui écrit en présentaion << ...... les résultats de la recherche se heurtent aux positions idéologiques et aux réactions émotionnelles largement entretenues par les médias. Les nouveaux masques du déni de la maltraitance infantile - syndrome des faux souvenirs, syndrome d'aliénation parentale, résilience mal interprétée, critique d'une société soi-disant compassionnelle - parviennent à relativiser dans une large mesure le discours scientifique concernant les conséquences personnelles et sociales de la maltraitance infantile. A cet titre le procès dit d'Outreau a des conséquences particulièrement délétères sur le plan sociétal et probablement sur les droits des enfants bien que 12 des 15 enfants aient été reconnus victimes de viols et d'actes de proxénétismes. >> ....... 

A son texte j'ajouterais que des médecins, parfois des psychiatres et des psychanalystes, ont saisi pour eux-mêmes tout l'intérêt, en tant que consommateurs, des théorisations freudiennes. Ces théories sont les anciens masques qui avaient transformé ces maltraitances en fantasmes dus à un prétendu "complexe d'Oedipe".

Il est à noter que le docteur Lopez a fait l'objet d'une campagne de dénigrement tendant à le faire passer pour "scientologue". La gens médico-pédophilocratique ne recule devant aucun procédé pour essayer de discréditer ses contempteurs : Anne Fournier, déléguée  à la lutte contre les dérives sectaires, répétait à l'envie qu'il était "scientologue".

D'autre part, alors qu'il me savait investi dans la lutte contre les mensonges psychanalytiques,  l'Ordre s'était arrangé par je ne sais quel truchement de me faire un temps passer pour pédophile et antisémite auprès de Catherine Bonnet. Celle-ci me demanda par la suite de la pardonner d'y avoir cru ! C'était à la fin des années 1990. L'affaire Dutroux battait son plein, qui coïncidait avec du Congrès de Stockholm d'août 1996 sur la pédophilie. La pédophilocratie ordinale était sur la défensive. Catherine Bonnet, Pascal Vivet et Bernard Lemper en firent aussi les frais. A cette époque, les Colloques vertueux et consanguins sur le droit de personnes handicapés ou sur la responsabilité médicale organisés par l'Ordre et le Barreau faisaient florès (2) .

A propos de l'affaire Elmelik, selon ce que m'avait rapporté maître Annick Dorsner-Dolivet, madame Toxé, juge d'instruction au TGI de Créteil prétendit "que les prisons étaient suffisamment pleines et qu'elle ne voulait pas aller embêter des vieilles personnes " pour refuser d'instruire l'affaire que son doyen, Serge Portelli (3) , lui avait communiquée, et que plus tard madame Scelle accepta d'ouvrir .... à condition qu'il soit fait attention à ce qu'elle ne soit pas "ébruitée" !  

Les raisons de l'interdiction de Catherine Bonnet étaient sur-motivées : l'Ordre avait eu connaissance de ce qu'elle avait essayée de m'aider en me proposant d'avoir recours à Maître de la Morinerie, avec qui elle collaborait à la Fondation Danan, dans l'affaire qui m'opposait aux médecins de la Clinique Elmelik et à l'Ordre lui-même, c'est-à-dire en fin de compte à toute l'organisation informelle et para-étatique du milieu professionnel.Non seulement  la France donne peu de moyens à la justice (elle se situe au trente-septième rang pour la part de financement  consacré à la justice) mais il arrive que elle se consacre à la contrer et laisse corruption prospérer (4).

 Cet état de chose a fait que mon père, et moi-même par ricochet, avons subi toute une serie d'agressions de la part des médecins de la Clinique de l'Haÿ-les-Roses et de ses soutiens logistiques, en l'occurrence l'Ordre des médecins et un parquet dirigé par Michel Barrau.

J'ai brièvement rapporté dans ma lettre d'avant hier à madame Delphine Batho, Ministre déléguée à la Justice, et plus longuement sur Internet (site 73331815 html) comment mon père avait failli une première fois laissez sa peau dans la Clinique des Elmelik, et peu après une seconde fois dans le Service du Pr. Gérard Saïd du fait de la communauté d'intérêt qui liait ce Service à la Clinique Emelik (5)

Les neurologues avaient confié à leur Interne l'irresponsabilité de patronner en leur nom, c'est-à-dire au nom de l' INSERM, un compte-rendu mensonger et par suite un traitement mortel à mon père pour amener le Dr. Jean-Yves Beinis à le poursuivre aveuglément, juqu'à ce mort "naturelle" s'en suive, une mort qui se dev

ait de paraître inéluctablement due au génie propre d'une DTA (Démence de Type Alzheimer) imaginaire.

L'Article 40 du Code pénal fait obligation de signaler aux aurorité compétentes les crimes dont on a connaissance. C'est ce qu'avait fait Catherine Bonnet.

En 2004 j'ai été accusé (dans son bureau et devant témoins) par madame Isabelle Pilot, la sous-directrice de Bicêtre chargée des relations de l'hôpital avec la clientèle d'avoir moi-même volontairement provoqué la maladie de mon père et d'être antisémite. Provoquer volontairement une maladie est un crime, donc elle et le Pr. Saïd auraient dû se saisir de cette obligation pour le signaler à la justice. Comme ils ne l'ont pas fait, je suis logiquement fondé à porter plainte contre eux pour non dénonciation de crimes. 

Lors de sa déposition devant l 'Inspecteur Christian Raeckelboom au commissariat de l'Haÿ-les-Roses, celui-ci nous avait confié que contre la Clinique Elmelik, aucune plainte ne pouvait aboutir, toutes étant systématiquement « bloquées au parquet ». « J'ai là sur mes étagères cent cinquante plaintes pour viols. Aucune n'a pu aboutir. Les actionnaires de la Clinique sont milliardaires. Ils font ce qu'ils veulent. Il sont protégés en hauts lieux ». 

La suite prouva que cet Inspecteur avait dit vrai. 

 La Mairie « socialiste » de l'Haÿ-les-Roses était de longue date accoquinés avec Elmelik, propriétaires de ladite Clinique. 

Je fais confiance l'actuel gouvernement, a priori plus réaliste que les précédents pour mettre à plat cette très sale affaire, une affaire qui m'a laissé financièrement quasi exsangue parce que le parquet s'est jusqu'à maintenant efforcé de la cacher sous le tapis et que l'Ordre a fait tout son possible pour me faire "payer cher" la non observation de ses "lois" 

Notes

1 Catherine Bonnet "L'enfant cassé - l' inceste et la pédophilie" Albin Michel, 1999, "L'enfance muselée", Ed. Molls, Toulouse, 2007. Le Dr. François Chedru, qui avait rédigé un rapport d'expertise satisfaisant à la loi omertiste de l'Ordre et du milieu médical m'avait ri au nez lorsque je lui avais fais remarquer que son expertise était mensongère tout en m'avouant cyniquement qu'elle l'était effectivemen puisqu'il ajouta << qu'aucun chirurgien n'aurait accépté d'opérer dans de telles conditions.  Toute façon, laissez tomber, vous-vous y épuiserz pour rien >> (sic, le 4 juillet 1996 )  cependant que l'opérateur n'était pas même vraiment chirurgien et que François Chedru. Chedru  avait en main toutes les lettres que m'avait adressées son Confrère Michel Serdaru de 1992 à 1994.  Je cite son Confrère Michel Serdaru, avec qui Chedru avait publié des articles dans les journaux médicaux; Il s'était écrié, lorsqu'il a pris connaissance de cas que << même le 1 centième, vous m'entendez, même le 1 centième  des fautes qui ont été commises méritent un procès, même le centième ! Mais qui est ce docteur Foot, qui est-il ? Je vais vous donner le nom d'un bon avocat et prévenir la Presse. Qui c'est, le docteur Foot ? >>

- C'est le docteur Antoine Denis, à laClinique Elmelik 

Le docteur Serdaru blêmit, me ourna le dos et dit "Ah, mais celui-là, il a des relations". Et il ne fut pkus question d'alerter la Presse

2 - Le Colloque du 13 décembre 1997 fut ainsi placé sous la présidence de Bernard Glorion et de Bernard Vatier et organisé par l’Institut de formation permanente du Barreau de Paris.

3 - Cf. son intervention et les avertissements du Pr. Breton rapportés dans les Actes 1995 du Collectif Féministe Contre le Viol.

4 - Vincent Le Coq et Laurent Lèguevaque  "Manifeste contre les notaires ", Max Milo éditeur, 2011

L'ouvrage émane d'un collectif de notaires qui a pris conscience du rôle de la haute corruption et de son impunité dans la paupérisation et la " fracture sociale " de la France.

5 - La Clinique Elmelik était très appréciée des Services hospitaliers non pour son plateau technique, mais parce qu'elle se chargeait de les débarrasser des malades en fin de vie comme des malades contaminés par le VIH.

6 - L' affaire a ILLICO  été classée SANS SUITE à Créteil et porte le n° C 90 361 0032 9, (et non pas C 90 301 0032 9 comme précédemment indiqué d'après un document mal imprimé et difficile à lire)

Remarques  

ll n'entrait pourtantpas dans l'intention des médecin-actionnaires de la Clinique Elmelik de tuer mon père, mais de faire du fric.  Ils avaient seulement voulu l'escroquer en profitant de sa vulnérabilité psychologique, due à sa maladie, et de sa situation patrimoniale après qu'il s'est confié à Marc Méchain, le maire de l'Hay-les-Roses, un grand ami des Emelik. S'agissant de pervers, ils se permettaient de transgresser tous les interdits. Ils lui avait imposé sans prévenir une double opération orthopédique à visée "esthétique" (sic) . A 79 ans, mon père n'était pas, pour de multiples raisons, toutes plus évidentes les unes que les autres, en état de supporter un acte aussi aussi déplacé que dangereux. L'opérateur, un rhumatologue, n'était statuairement pas habilité à procéder à une telle opération. Mon père fut peu après victime d'une véritable tentative d'assassinat à dans le Service de neurologie tenu par le Pr. Gérard Saïd. Une erreur de diagnostic avait soi-disant été commise alors que  l'erreur était impossible à faire. Les infirmières elles-mêmes s'en étaient inquiétées, qui m'avaient demandé de venir contrôler si le traitement qu'On leur disant d'administrer était bien celui qui convdnait avant que leur malade ne trépasse ! 

D 'où probablement le fait que cette Clinique ait été « protégée en hauts lieux », c'est à dire pour sauvegarder les intérêts du C.N.T.S., responsable de nombreuses contaminations hospitalières lors de transfusions faites dans la première moitié des années 1980, mon père entrant dans cette catégorie pour avoir été transfusé en avril 1984 à l'hôpital Saint-Louis

En le corrigeant de façon drastique, mon père sortit du coma et récupéra ses faculté intekllecteuelles. Il porta l'affaire devant le procureur de la République à Créteil (à l'époque Michel Barrau, grand serviteur de l'État, et du CNTS, et par conséquent protecteur de la Clinique Léon Elmelik. qui servait, avant qu'elle ne soit vendue en 1995 à ce à quoi servira aussi le service du Pr Gérard Saïd au CHU de  Bicêtre et le Service du docteur Olovier Ille (encore lui) au CHU de Mantes la Jolie en 1997, avec Christine Malèvre dans le rôle du docteur Jean-Yves Beinis. 

 

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11 juin 2012 1 11 /06 /juin /2012 16:14
J'ai le difficile devoir d'attirer l'attention de la Justice et celle du nouveau gouvernement sur les lourds dysfonctionnements judiciaires dont avaient à se plaindre l'Inspecteur Christian Raeckelboom et les policiers du commissariat de l'Haÿ-les-Roses, dysfonctionnements qui se faisaient au bénéfice de la grande délinquance médicale, et par conséquent aux détriments des victimes.
 
En effet, lorsque mon père a été convoqué au Commissariat de l'Haÿ-les-Roses  le 23 janvier 1991 pour confirmer la plainte qu'il avait porté par courrier postal le mois précédent devant le procureur de Créteil à l'encontre des médecins de la clinique Léon Elmelik l'Inspecteur, le Commandant Christian Raeckelboom, lui fit comme à moi-même, qui avais dû accompagner mon père du fait de son handicap moteur, cette stupéfiante confidence : << J'aimerais que cette affaire aboutisse,  et voir ainsi fermer cette Clinique, mais je dois vous dire, bien que ce ne soit pas dans mes fonctions (gardez ça pour vous),  que j'ai là sur mes étagères cent cinquante plaintes pour viols. Aucune n'a pu aboutir. Les actionnaires de la Clinique sont protégés en hauts lieux, ils sont milliardaires; ils peuvent y faire et y font ce qu'ils veulent. Toutes les plaintes contre eux sont bloquées au parquet >> . 
 
N'en croyant pas mes oreilles, je lui avais dit : << Des vols, il y en a dans toutes les Cliniques et dans tous Hôpitaux -
-Des viols, je dis des viols !
- Comment est-ce possible ? Qui viole qui ?
- Le Directeur. Il viole les accouchées sous anesthésie
- Le Directeur, il est gynécologue ! ... Mais s'il viole les accouchées alors qu'elles sont anesthésiées, comment peuvent-elles après savoir qu'elles ont été violées ?
- Parce que certaines se sont réveillées alors qu'il était encore en train >> ( sic  le 23 janvier 1991

C'était sidérant. Mon père avait 79 ans. Je ne pouvais comprendre que l'Ordre et la Justice puissent se faire les complices de telles monstruosités.

J'appris plus tard - fortuitement en 2002 - de la part d'une personne qui se disait parente des Elmelik (elle ne voulut pas me dire son nom au prétexte qu'il était "trop connu") qu'il n'y avait pas que les parturientes à y être violées. Elle était assise près de moi et assistait à une séance de l'A.F.P.E. (Association Française pour la Protection de l'Enfance).

La Clinique de l'Haÿ-les-Roses, propriété de la famille Elmelik, travaillait en 1990 en connivence avec le Maire de l'Haÿ-les-Roses, Marc Méchain, et le Service de neurologie du Pr. Gérard Saïd.

Ainsi s'expliquait que ces médecins aient pu sans être inquiétés par la justice attenter à la vie de mon père en août septembre 1990 après que ceux de la Clinique Elmelik aient profité sans se gêner de sa grande vulnérabiliré pour l'abuser et essayer de l'escroquer financièrement.

Il ressortait pourtant clairement de l'expertise du Dr. Yves Dano, remise au parquet en octobre 1997

- 1° que mon père avait été abusé par les médecins de la Clinique de Elmelik

- 2°  que c'était effectivement mon intervention qui avait permis que sa vie soit in extremis sauvée trois mois et demi plus tard alors qu'il avait été transféré à l' U.S.N. de l'hôpital Charles-Foix et était en passe d'y mourir, victime du faux traitement qu'avaient institué les neurologues de l'hôpital Bicêtre, un traitement que le Dr. Jean-Yves Beinis avait été chargé d'appliquer dans son U.S.N. malgré sa mortelle et évidente inadéquation.

Après que mon père a ainsi pu échapper à la mort, il a porté plainte.  C'est alors que l'Inspecteur Christian Raeckelboom l'a prévenu que les Elmelik étaient protégés en hauts lieux.

Mon père n'en a pas moins maintenu la plainte qu'il avait adressé le 17 décembre 1990 devant le procureur de CréteilMichel Barrau. Il l'avait à juste titre portée pour "coups et blessures volontaires, mise en danger de la vie et non assistance à personne en danger".

Malgré l'extrême la gravité des faits, sa plainte, répertoriée C 90 301 0032, fut classée sans suite, mais cette réponse l'informait de la possibilité qui lui restait de se constituer partie civile.

Son avocate, maître Catherine Scotto-Derouet insista pour que les faits soient signalés à l'Ordre des médecins.

Il s'en est immédiatement suivi que nous  (mon père et moi) avons été menacés de représailles ordinales.

Le président du Conseil de l'Ordre du Val-de-Marne JeanPouillard dépêcha un ami des Elmelik, le Conseiller-Rapporteur bidon Patrice Bodenan, qui nous menaça de représailles. Nous : c'est-à-dire maître Scotto-Derouet mon père et moi.

La suite montra que les avertissements de l'inspecteur Christian Raeckelboom étaient fondés : maître Annick Dorsner-Dolivet, avocate pénaliste, me rapporta que le docteur Bodenan était très influent au Palais, et que parquet était manifestement très réticent à donner suite à la plainte de mon père.

Un non-lieu méprisant, réclamé par Michel Barrau (qui sera en 2003 dépêcher pour éteindre le feu à Toulouse après que les archives de la mairie de l'Haÿ-les-Roses aient pris feu d'elles-mêmes en pleine nuit à 3 heures du matin le 30 juin 1999 tellement elles étaient brûlantes)nous fut effectivement signifié le 3 juin 1998 (Cf. www. omerta médicale et non-lieu abusif );

C'était un flagrant déni de justice formulé avec une évidente mauvaise foi. J'y étais moqué au prétexte, tout à fait infondé, que j'aurais incité mon père à porter plainte et que j'aurais fait toute une histoire de ce qui lui était arrivé alors que je n'avais fait que l'aider à réunir les preuves justifiant le bien fondé de sa plainte. Même un centième des fautes qui avaient été commises justifiait un procès, s'était exclamé en mars 1993, un neurologue très réputé de la Fédération Française de Neurologie. Il avait voulu porter l'affaire devant les médias et nous avait désigné un bon avocat (en l'occurrence maître Bernefeld) pour nous défendre.

L'Ordre des médecins, dont la raison d'être officielle est de faire respecter le code de déontologie médicale, l'avait lui-même transgressé en lon en large et en travers au bénéfice des médecins de la Clinique Elmelik et de l'équipe du Service du Pr. Saïd, qui au Comité scientifique de Médica Judaïca  en fit tout autant. 

Le 10 octobre 1997, il est soudainement apparu nécessaire à l'Association des Médecins Israélites de France (l'A.M.I.F.) et à l'Ordre des médecins de s'entendre alors qu'ils étaient depuis toujours en froid, c'est-à-dire depuis la collaboration de l'Ordre avec l'occupant nazi (une collaboration qui fut pourtant loin d'être systématique, ainsi qu'il apparaît à la lecture du livre du docteur Bruno Halioua sur la question)  

L'entente se fit dix jours après que j'ai eu une dispute avec le Pr. Saïd au sujet de ses mensonges : je venais de récupérer au laboratoire d'électrophysiologie le résultat des examens qui soi-disant n'avaient jamais été faits et de lui signaler un important article du Dr. Reynolds relatif aux avitaminoses B 12 paru en juillet 1993 dans Archives of Neurology, une Revue qu'il fit aussitôt supprimer de la bibliothèqie du CHU au prétexte qu'elle était "très mauvaise" (sic). 

Cette affaire est relatée plus longuement selon un ordre chronologique sur le site Internet n° 34640255 html et 108281777 html 

Rappelons ici plus brièvement les faits qui avaient motivés la plainte de mon père : alors qu'il n'était pas en état de subir une opération importante, au lieu de s'en tenir à une intervention anodine prévue et cotée K 20 pour le débarrasser d'un cor siégeant sur un orteil, le rhumatologue de la Clinique Elmelik (qui se faisait passer et se prenait pour un véritable chirurgien orthopédiste), s'était avanturé à lui faire subir une double opération d'alignement des avant-pieds, une opération qui ne doit pas se faire, même sur un sujet jeune et en bonne santé, à fortiori sur un sujet très amaigri de 79 ans, à la démarche chancelante, agineux et fortement hypertendu (à 24/13 ). Il était alors victimes d'épistaxis à répétitions, d'une atteinte extrapyramidale et d'une vulnérabilté psychologique évidente. Parce que bilatérale, l'opération lui fit ipso facto perdre son autonomie et tomber entre les mains des neurologues de l'hôpital Bicêtre. Ceux-ci profitèrent de ce qu'ils le savaient atteint d'une maladie mortelle, quoique facilement curable par un traitement simple, pour ne faire que semblant de le lui adminstrer. Le bon diagnostic avait été porté dès son admission aux Urgences de Bicêtre. 

La décision de ne pas faire le nécessaire avait été collectivement prise en staff à Bicêtre 1 ° parce qu'il fallait empêcher que le malade puisse porter plainte contre les médecins de la Clinique Elmelik : propriété d'un violeur en série qui satisfaisait ses pulsions sur des parturientes, il était connu comme tel par et l'Ordre des médecins et par le parquet, mais sa Clinique était très utile aux établissements de l'Assistance publique car elle débarrassait  les Services de l'A.P. des malades exposés aux contaminations VIH lors de transfusions en 1984 - 1985, malades devenus ainsi potentiellment sidaïques et 2° parce qu'en avril 1984 mon père avait fait l'objet d'une telle transfusion à l'hôpital Saint-Louis.

En falsifiant les résultats du test de Schilling et en me cachant les résultats de l'hémogramme fait aux Urgences, le Dr. Pascal Masnou, Chef de Clinique dans le Service du Pr. Saïd, avait voulu me faire croire que mon père ne souffrait pas de la maladie immédiatement diagnostiquée aux Urgences (une maladie de Biermer décompensée par des hémorragies post-opératoires) mais d'une "démence vasculaire vouée à une inéluctable dégradation" .

Devant mon incrédutlité et mon insistance à ce qu'il soit traité conformément à l'évident diagnostic porté aux Urgences, Masnou fit mine de souscrire à mon avis de faire administrer le traitement que réclamait impérativement l'état de son malade, puis missionna son Interne (Olivier Ille, le futur patron de Christine Malèvre) pour transmettre ses mortelles consignes au Dr. Jean-Yves Beinis. N'avait été l'intervention d'une de ses infirmières venue m'avertir que mon père ne recevait pas réellement son traitement, mon père serait mort dans la nuit du 12 au 13 septembre 1990 : ne faire que semblant d'administrer le bon traitement revenait à le tuer.

Après que la tentative d'assassinat a ratée, le Pr. Gérard Saïd concéda en vociférant (c'était le mardi 2 juin 1992), qu'une erreur avait effectivement été commise mais que des erreurs, il en faisait "tous les jours". De son côté, l'Assistance publique se dépêcha de créer un "Espace éthique" au sein de l'hôpital Bicêtre, qui fut ensuite transposé à Saint-Louis. Ce "machin" fut confié à un ami du Pr. Saïd, le philosophe Emmanuel Hirsch, qui trouva là un emploi certainement plus rémunérateur que celui de professeur des Lycées. Prévenu de ce que l'Ordre des médecins m'avait fait menacer de représailles par le docteur Bodenan; il s'entendit avec celui-ci et le laissa consulter le dossier du malade cependant qu'il avait donné l'ordre à sa secrétaire (madame Gauthier) de le déclarer perdu.

 Le livre du Pr. Pierre Bouche sur les neuropathies et polyneuropathies périphériques disparut mystérieusement presque immédiatement de la bibliothèque du CHU,  et en novembre 1997, le Pr. Saïd fit en personne supprimer l'abonnement de la bibliothèque du CHU à la soi-disant "très mauvause" Revue "Archives of Neurology". Plus tard la Revue l'Encéphale fut amputée de ses numéros antérieurs à 2004. Y était rapporté l'observation d'un délire de Capgras relatif à une anémie de Biermer ( Vol 29, N° 6, pp 560 - 565, décembre 2003).

Pour ce qu'elle implique et signifie, cette affaire est bien plus inquiétante que l'assassinat commis par le "gang des barbares". Les assassins n'y sont pas des malfrats reconnus et condamnés comme tels, mais des médecins se réclamant de l'éthique. Dans l'affaire Fofana, la mère de la victime et le président du C.R.I.F. estimèrent insuffisantes les condamnations prononcées eu égard aux souffrances infligées. Ils obtinrent ainsi que l'affaire soit rejugée. Qu'aurait pensé madame R. Halimi et le président du C.R.I.F. si, à la place d'une lourde condamnation, la justice avait prononcé un non lieu et s'était moqué de madame Halimi pour avoir fait de l'assassinat de son fils "tout une affaire" ?

Je remercie d'avance le nouveau gouvernement pour ce qu'il fera qui assurera au citoyens de ce pays une justice moins dépendante des forces corporatistes

  Dr.  Pierre Cretien, le 11/06/2012 , c'est-à-dire un an avant que je prenne connaissance de ce que le "syndrome de carence vitaminique B12 avec test de Schilling normalne soit rebaptisé en 2003 en "syndrome NDB12PP", un syndrome jusqu'alors méconnu  que j'avais en septembre  1990 pu mettre en évidence en administrant effectivement à mon père, qui avait fini par  plongé dans le coma, le traitement de la maladie de Biermer, un traitement que ses médecins (dont Olivier Ille, futur Chef du Service où Christine Malèvre faisait allègrement passer ses malades de vie à trépas) n'avaient jusqu'alors fait que semblant de lui administrer. 

Ce sauvetage, réalisé en catastrophe (voir www. une nuit vitaminée et/ou site n° 108281777 html)  m'a valu les persécutions de l'Ordre des médecins et de l'hôpital Bicêtre, qui m'accusa en 2004 d'avoir moi-même "fabriqué" (sic) la maladie de mon père par "antisémitisme" (resic) pour ne pas parler de celles de ma soeur, effrayée par la perspective d'un procès qui risquait de lui coûter ce qu'elle appelait "son héritage", de mon épouse et de son confrère le psychiatre Francis Hofstein, des docteurs Catherine Bonnet (qui m'en demanda pardon) et de Pierre Sabourin, en tant que psychiatres abusés par les interventions du docteur Patrice Bodenan, le rapporteur bidon. 

   

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18 mai 2012 5 18 /05 /mai /2012 15:59

Tout le monde sait qu'en France la justice n'est pas indépendante des pouvoirs politiques et administratifs, pas même de l'Ordre des médecins, auquel l'Etat a commis l'erreur de confier "mission de Service public" alors que celui-ci défend avant tout des intérêts catégoriels.

 

La France n'est donc pas le pays des Droits de l'Homme qu'elle se targue d'être, sa justice se soustrayant trop souvent à ses obligations quand il s'agit d'instruire des affaires où la responsabilité de l'Etat et des pouvoirs publics est engagée, comme p. ex. dans l'affaire dite du sang contaminé.

 

De ce fait, au CHU de Mantes-la-Jolie, les médecins responsables des Services où des assassinats de malades ont été commis n'ont pas été inquiétés. La justice s'est contentée de faire semblant de croire à la thèse qu'il ne s'était agi que de l'oeuvre d'une infirmière immature prise de compassion pour la souffrance de ses malades cependant qu'au CHU de Bicêtre et à l'hôpital Charles-Foix, la justice s'était contentée de décréter un scandaleux non-lieu au sujet de la tentative d'assassinat à laquelle mon père avait de justesse pu échapper dans les années précédentes.

 

Une ordonnance, apparemment sans rapport avec tous ces assassinats, est venue parfaire l'aveuglement volontaire de la justice quand, en 2003, après la condamnation de Christine Malèvre, a été décrété forclos toute procédure au sujet des malades victimes de contaminations VIH post-transfusionnelles, c'est-à-dire après que j'ai informé le parquet de Versailles de ce que mon père avait été à Bicêtre victime du même médecin alors que celui-ci était sous les ordres du Pr. Gérard Saïd.

 

Au Commissariat de l'Haÿ-les-Roses la police m’avait confié à propos de la plainte de mon père qu’elle ne s'expliquait pas pourquoi les médecins de la Clinique Elmelik jouissaient de protections qui leur faisaient systématiquement échapper à la justice cependant qu'ils se livraient aux pires transgressions.

 

C'est pourquoi j'ai fait  sur Internet état du cas de mon père , rescapé d'une euthanasie imposée et tout à fait indésirable  grâce au signalement d'une infirmière, son cas ayant préfiguré la série des exécutions commises, aussi sous prétexte d'euthanasies,  dans les années suivantes par Christine Malèvre au CHU de Mantes-la-Jolie. Elle était alors sous les ordres du même médecin, le Dr. Olivier Ille, devenu entre-temps Chef de Service dans ce CHU après que mon père est passé par les mains des médecins de la Clinique Elmelik (voir le site référencé Google 73331815 html).

 

Les responsables de l'exécution de mon père avaient maquillé leur forfait en falsifiant les données cliniques Sa plainte fut ainsi classée non-lieu, malgré la communication au parquet de preuves matérielles aussi nombreuses qu' irréfutables de ces falsifications et de collusions administratives.

 

Pour se couvrir et donner le change, le CHU responsable a été incité par la direction de l'A.P. à créer une Chaire d'éthique médicale. Baptisée "Espace éthique de L'AP - HP", cette Chaire a été dévolue à une  relation du Chef du Service responsable de la susdite forfaiture, c'est-à-dire au philospohe Emmanuel Hirsch, probablement en lui cachant alors le pourquoi de coûteux et très inutile "Espace", sinon pour servir de couverture à l'Assistance publique.

 

Pour parfaire le tout, la justice a pris soin de déclarer forclose toute plainte relative aux contaminations VIH transfusionnelles après 2003, ce comme par hasard après qu'elle a été avertie par mes soins de ce que l'affaire Christine Malèvre, plaidée à Versailles, était comme la répétition de ce qui était arrivé à mon père Bicètre en 1990.

.

Quatorze ans après les faits (en juin 2004), ne reculant devant aucune infâmie, les responsables de cette forfaiture meurtrière m'accusèrent verbalement d'avoir "fabriqué" la maladie de leur victime, et d'avoir été en cela motivé par des arrières-pensées "antisémites" (sic). De telles accusations auraient ipso facto dû les conduire à porter l'affaire devant la justice. Je me demande pourquoi ils s'en sont gardés. Je serais donc fondé à porter plainte contre ces accusateurs pour la non dénonciation des actes criminels.

 

De son côté, l'Ordre des médecins fit promettre à mon père comme à moi-même, via ses Conseillers Jean Pouillard et Patrice Bodenan d'exercer des représailles à mon encontre au cas où il maintiendrait sa plainte. Ces menaces furent aussi signifiées à ses avocates, qui prirent peur pour elles-mêmes et m'en avertir (Cf. article 73331815 html sur mon site-blog "genocides.over-blog.com" et la lettre du Dr. Bodenan "responsable du bureau de presse de l'Ordre" au Dr. Pouillard, alors président du Conseil départemental de l'Ordre des médecins du Val-de-Marne.

 

Bien avant son élection à la présidence de la République, j'ai, à plusieurs reprises informé François Hollande de ces incongruités. Il m'avait répondu qu'il n'était pas en son pouvoir d'y remédier.

 

Des gynécologues ont récemment fait grève parce qu'ils restent, trente ans après,  encore responsables et justiciables de leurs actes professionnels, je me demande pourquoi des médecins responsables de meurtres délibérés ne le seraient pas ?

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15 octobre 2011 6 15 /10 /octobre /2011 12:18

à Monsieur Robert Badinter, Président de la Commission éthique du Sénat,  au sujet de la peine de mort et du droit de cuissage.

Monsieur le Président,
 
Si je ne peux que vous féliciter d'avoir puissamment oeuvré pour l'abolition de la peine de mort, votre véhémente intervention télévisuelle pour défendre l'ex patron du FMI  face à Laurent Joffrin était terrifiante et révoltante. Vous  semblez n'avoir pas conscience que des viols,  ou ne serait-ce  que des tentatives de viols commis par des  personnes jouissant d'un ascendant  sont des conduites cousines du nazisme et de l'esclavagisme. Ces aggressions minent à jamais la confiance  que le victimes pouvaient avoir dans l'humanité, dans leur sécurité interne, ce qui les voue trop souvent à des états dépressifs à répétition, des troubles psycho-affectifs incompatibles avec une bonne relation au monde. Les victimes ne font d'ailleurs pas toujours, et même assez rarement,  le rapport avec leur état de souffrance psychologique avec l'aggression  dont elles ont été victimes, bien sûr quand ces agressions ont été perpétrées dans leur prime enfance, mais aussi bien plus tard dans leur enfance, jusqu'à l'adolescence. Le témoignage de "Laomela" ("Le train de la lâcheté" , paru à compte d'auteur  chez Scripta est révélateur de cet état de chose. Son témoignage a été corroboré par vune enquête policière). 

Les exemples sont légions d'une vie post commotionnelle chaotique et suicidaire. Ces agressions conduisent trop souvent les victimes à avoir honte d'elles-mêmes, ce qui les handicape beaucoup sur le plan social et affectif. Elles se vivent comme souillées, et de fait, elles font figure d'épouvantailles  si elles parlent de ce qui leur est arrivé. Elles sont exposées à une mort psychique et à des équivalents suicidaires, comme les toxicomanies, l'alcoolisme, la prostitution, l'anorexie mentale, les phobies, les dépressions, les psychoses  et/ ou, parfois, comme l'a signalé la psychanalyste Alice Miller, les poussent à vouloir dominer et contrôler le monde. Par là elles peuvent  perpétuer ces violences sur des victimes émississaires.  Tout va dépendre de l'âge et de la maturité des victimes au moment de l'agression, de la durée d'expostion, de la nature exacte de l'agression, et du statut sociologique auquel leur agresseur était parvenu. La transmission des vilences subies peut sauter d'une génération à l'autre sur un mode inconscient. 

Les troubles  psychiatriques qui succèdent à ces agressions, dans dans l'incompréhension qu'ils en ont longtemps eu, ont été mis par des médecins sur le compte de la "syphilis héréditaire" (sic, tel que c'est formulé le "savant" livre du Pr. Leriche,  intitulé "Cancérologie", chapitre IX,  pages 115-132, consacré à la "syphilis héréditaire",  publié en 1947 aux éditions  médicales Maloine).

Les victimes de viols, quand elles survivent aux agressions, restent de fait  exposées à des menaces de représailles, quand ce n'est pas à des menaces de mort, menaces qui peuvent être mises à exécution, ainsi que l'a dénoncé le Pr. Léon Schartzenberg dans sa préface à  "Silence, on tue les enfants" Ed. Moll, (livre postfacé par le psychiatre belge Marc Reisinger). Une préface que l'Ordre des médecins  et ses confrères lui ont fait payer cher.

L'agresseur de Tristane Banon, a eu le culot de vouloir porter de plainte en justice contre sa victime, pour "diffamation", alors qu'il était  évident, et avéré par la justice - qui en l'occurrence ne pouvait pas prétendre le contraire - qu'il avait tendu un piège à la journaliste pour pouvoir abuser d'elle.

Qui sauve un homme sauve l'humanité, dit une maxime. Je ne l'ai pour ma part guère vérifié.  Le Dr. Ignacio Semmelweiss ne l'avait pas non plus constaté, qui avait été persécuté par ses pairs pour avoir démontré l'origine nocosomiale des infections puerpérales, cause de tant de morts et de souffrances. J'ai moi-même été menacé de représailles ordinales pour n'avoir pas empêché mon père de porter plainte contre les médecins qui avaient, en 1990,  sciemment attenté à sa vie. Ils l'avaient condamné à mort pour protéger  un de leur confrère,  un violeur en série qui profitait de ses privilèges pour violer impunément  les femmes venues dans son service solliciter une IVG.  Sa Clinique était "protégée en hauts lieux" parce qu'elle était  très utile à des ministres du gouvernement Mitterrand.  Ces ministres ont par la suite été jugés "responsables mais non coupables" de nombreuses contaminations VIH dans les hôpitaux de l'Assistance Publique.

J'ai en ce qui me concerne  été prévenu par une infirmière de l'USN de l'hôpital Charles-Foix de ce que son Chef de Service, le Dr. Jean-Yves Beinis,  administrait à mon père un faux traitement.  j'avais pu grâce à son signalement intervenir  in extremis pour stopper le traitement mortel auquel  il l'avait  à mon insu soumis. Après que mon père est sorti du coma qui était en train de l'emporter  et qu'il a  récupéré ses esprits, j'ai eu par la suite l'impardonnable outrecuidance - impardonnable  aux yeux de l'Ordre des médecins et du procureur Michel Barrau - de l'aider à réunir les preuves matérielles de ce qui s'était passé, qui non seulement avait failli lui coûter la vie, mais l'avait laissé gravement invalide.

J'ignorais alors  pourquoi ses médecins avaient voulu le faire mourir.  Apprenant de la part de la police ce qui se passait à la Clinique Elmelik, j'avais tout d'abord  cru que c'était  pour protéger le Dr. Jean-Claude Elmelik, violeur en série bien connu comme tel de la police, de l'Ordre des médecins et du parquet. En fait, le parquet  le protégeait pour les services que sa Clinique rendait envers les ministres en fonction, à savoir Laurent Fabius et Claude Evin. Sa Clinique, de sinistre réputation, sise à l'Haÿ-les-Roses, servait à l'élimination des malades coupables d'avoir été contaminés par le VIH  au cours de transfusions en 1984.   Mon père était de ceux-là. Il valait de ce fait mieux pour l'Assistance Publique faire en sorte qu'il  ne survivent pas à une nouvelle hospitalisation. D'autres exécutions auront  d'ailleurs cours sous les mêmes hospices au  CHU de Mantes-la-Jolie, mais seule Christine Malèvre a été inculpée et condamnée. Elle n'osa pas avouer qu'elle avait devancé les ordres  de  son Chef de Service par amour pour lui, qui était précisément celui qui  avait depuis l'hôpital Bicêtre conseillé au Dr. Beinis de ne faire que semblant d'administrer  à mon père le traitement nécessaire à son rétablissement.

Vous ignorez ainsi que la peine de mort, cette barbarie  institutionnelle,  continue de sévir en France, aussi secrètement que couramment. Outre que ce qui suit démontre qu'elle est impunément  appliquée par ceux  qui se prétendent médecins, elle est appliquée par des médecins qui se réclament de l'éthique médicale, plus précisément par les médecins  de "Médica Judaïca" et de "l'Espace Ethique de l'Assistance Publique", un "Espace"  tout exprès confié au Pr. Gérard Saïd (et à son comparse Emmanuel Hirsch), en guise de couverture à leurs exactions. 

Ces médecins (le Pr. Gérard  Saïd, son Assistante Martine Desi, le Dr. Pascal Masnou, le Dr. Jean-Yves Beinis, son Assistante Mlle Sitruk) avaient, en toute connaissance de cause (excepté le Dr. Beinis, mystifié par ses pairs),  délibérément condamné mon père à une  mort très douloureuse en 1990 pour préserver les médecins propriétaires de la Clinique Elmelik et les Ministres responsables, mais "non coupables"(en passant par Mesdames Weil  et Saïda - ces dernières en tant complices passives et inconscientes du  rôle qu'elles jouaient dans cette affaire),  ainsi que les médecins chargés de l'expertise du plaignant  (les Drs François Chedru et André Lienhart) après que mon père a réussi à se porter partie civile (malgré les menaces de représailles à mon encontre pour l'en dissuader), de même que  le  procureur  Michel Barrau, chargé par le gouvernement Mitterrand de les protéger, sont de la communauté. Dans cette affaire, seules les infirmières qui m'ont tenu informé de ce que mon père recevait un traitement mortel au lieu d'être convenablement traité n'y appartenaient pas. Tout cela  montre que l'instauration d'un numerus clausus concernant les professions médicales et juridiques, contre lequelle vous-vous êtes élévé, auraient une raison d'être (Cf.  votre livre sur "L'antisémitisme ordinaire" paru en 1997 chez Fayard).

Vous trouverez des informations plus détaillées sur cette scabreuse et ténébreuse affaire en consultant sur Internet le rapport que j'y ai consacré (34499148 html) ou en vous informant plus directement auprès du Dr. Francis Hofstein, qui, par ses maladresses psychanalytiques et/ou son par incompétence en matière de psychologie féminine - il est excusable en tant que croyant freudien  - l'a involontairement déclenchée.

Freud avait très bien compris que les troubles psychologiques des femmes comme des hommes étaient  post-traumatiques et relatifs aux  attentats (pudiquement baptisés séductions) sexuels encourus dans l'enfance ou l'adolescence. Il l'avait publiquement exposé à Vienne devant ses pairs  le 21 avril  1896, mais ne tarda pas à s'apercevoir que ce n'était surtout pas chose à faire valoir. Aussi se rétracta-t-il pour déclarer qu'il s'agissait en fait de "fantasmes" dus à un "complexe", qu'il appela "oedipien". Astucieusement présenté, son succès  fut immense, à la mesure de son déni de réalité (Cf  Jeffey Moussaïeff Masson "Le réel escamoté" chez Anbier, et Marie Balmary "L'homme aux statues", chez Grasset).
 
Quand j'ai demandé à la CADA la communication du dossier du malade, j'ai été traité par la direction  de Bicêtre d'antisémite, ce qui est pour moi une insulte aussi intolérable que révoltante, propre à vous le faire devenir, quand bien même on serait  soi-même, comme je le suis, d'origine juive.

Le fait d'avoir sauvé la vie de mon père m'a aiçnsi valu d'être persécuté par l'Ordre des médecins et le Pr. Saïd, complices des activités prédatrices de la Clinique Elmelik, qu'ils couvraient.  Il faut savoir que l'Ordre des  médecins vole systématiquement au secours des médecins prédateurs,  façon DSK, y compris et surtout les médecins pédophiles, qui sont légions dans la profession.   Freud avait à leur intention  inventé que les victimes de ces prédateurs souffraient de  "désirs oedipiens inconscients".  L'ex directeur du FMI s'est-emparé d'invention de l'inconscient pulsionnel. Il déclara très mensongèrement que Tristane Banon avait été victime de son "imaginaire" (sic). 

Votre solidarité avec l'agresseur de madame Diallo est donc  plus que choquante : elle est inquiétante.  Ce prédateur n'a  pas été "frappé à terre".  Tout juste a-t-il été  un peu contrarié d'avoir été démasqué. D'autre part, si Tristane Banon avait porté plainte contre lui en 2003, il est évident qu'elle aurait été laminée par la justice, les théories mensongères de Freud aidant, comme cela a été si souvent le cas. Pour vous en convaincre, demandez ce qu'il en est à votre excellent Confrère Pierre Joxe, ou à madame le Dr. Catherine Bonnet, cassée par l'Ordre des médecins pour avoir voulu obéir à son devoir. Vous n'avez  pas, à ma connaissance,  jugé utile de prendre la défense de Tristane Banon.

E vous remerciant pour le courage  dont vous avez fait preuve en d'autres occasions, veuillez agréer, Monsieur le Président de la Comission éthique du Sénat, l'expression de mon admiration.  

                                                                 Dr. P. Cretien,   le 15.10.2011

Ci après le corollaire : la mise en accusation du test de Schilling, bouc émisaire de l'afaire rapportée ci-desus (cf. aussi 34640255 html ou Maltraitances des personnes âgées,  blog de léon)
........................................................................


Sur l'abandon du test de Schilling et de la peine capitale

Comment se fait-il que le test de Schilling a fini par étre abandonné ?

En 2010, paradoxalement, le Dr. Jean-Yves Beinis, Chef de Service à l'Hôpital Charles-Foix (ex hôpital des Incurables, dans le Val-de-Marne), me confia que le test de Schilling n'était plus guère utilisé, remplacé qu'il était par d'autres tests, jugés plus fiables, pour faire le diagnostic de la maladie de Biermer et des autres syndromes neuro-anémiques.

C'était prêcher un convaincu, parce que vingt ans auparavant, j'avais bataillé au sujet du malade qui venait de lui être adressé pour le convaincre qu'il fallait poursuivre le traitement cobalaminique (la cobalamine est la  vitamine B12). Je lui avais fait remarquer, comme avant lui au Dr. Pascal Masnou, qu'il ne fallait pas se fier aux résultats chiffrés du test de Schilling  fait à Bicêtre parce qu'ils étaient manifestement erronés. Le test avait eu des résultats positifs l'espace de quelques jours sur le plan clinique quand le malade était à Bicêtre, parce que ce test s'accompagne obligatoirement de l'administration d'une quantité non négligeable, déjà thérapeutiqu, de vitamine B12, c'est-à-dire du traitement spécifique des syndromes neuro-anémiques, effective pour corriger l'anémie, mais  très insuffisante pour corriger durablement  le versant neurologique de cette affection, versant qui nécessite que la même dose soit administrée tous les jours sur plusieurs mois. 

Le malade qui venait de lui être adressé, malgré la prétendue négativité de ce test,  souffrait à l'évidence d'un syndrome anémique, une affection rapidement mortelle sans son traitement spécifique, et qui risque de laisser des séquelles d'autant plus graves et irréversibles que le traitement cobalaminique aura tardé. Or ce traitement ne connaît aucune contre-indication, à par les tumeurs gliales, ce dont ne souffrait manifestement pas le malade, puisque dans ce cas le test aurait  aggravé l'état neurlogique du malade. 

Le syndrome neuro-anémique était une évidence clinique caractérisée (tableau neurologique de sclérose combinée + glossite  de Hunter,  pathognomonique des affections biermeriennes), même si manquait le syndrome anémique, comme le prétendit, à faux, le Pr. Gérard Saïd, car  c'est au vu de l'examen hématologique que les urgentistes du Service du Pr. Passeron  confirmèrent le diagnostic qu'ils avaient cliniquement fait au vu du tableau neurologique.

Or sous prétexte que le test de Schilling fait pour confirmer  le diagnostic avait été négatif (alors qu'il ne l'était pas), les neurologues de Bicêtre firent semblant de faire administrer  devant moi au malade la cobalamine nécessaire à son rétablissement. Ils recommandèrent  par la suite au Dr. Beinis de faire de même, après l'avoir mystifié pour qu'il adhère à leurs fausses  explications, ce qui revenait à condamner à mort le malade ... jusqu'à ce qu'une des infirmières du Service du Dr. Beinis, devant l'état du malade devenu alarmant, vienne me demander de vérifier le cahier de prescription sur lequel était inscrit le semblant de traitement que les infirmières du  Service du Dr. Beinis avaient reçu  l'ordre d'administrer à mon père.  Tous ces  médecins  pouvaient se le permettre: on est en France, un pays qu' Alexandre Adler, en sa dernière livraison, qualifie de "Nouvelle Jérusalem".  Je ne suis pas lacanien, mais si je l'étais, je pourrais y trouver explication.  Le lacanisme, à l'instar du freudisme, trouvE explication  à tout et n'importe quoi. Les délires psychanalytiques, à l'instar des délires mystiques, sont avant tout des délires interprétatifs, pour ne pas dire cabalistiques.

Restait à expliquer plus prosaïquement pourquoi les neurologues du Service du Pr Gérard Saïd avaient instamment recommandé au Dr. Beinis de ne faire que semblant d'administrer le traitement salvateur au malade. C'était l'Interne du Service Saïd, Olivier Ille - celui qui deviendra le Chef de Service de Christine Malèvre  au CHU de Mantes-la-Jolie - qui avait été chargé transmettre les directives mortelles de son  Service au Dr. Beinis.

Le malade avait été transfusé à l'Hôpital Saint-Louis en  avril 1984 lors d'une opération orthopédique (c'était moi qui avait  en 1984 recommandé à mon père de s'adresser au Pr. Witvoet pour son opération). Il importait de ce fait pour l'Assistance Publique que le malade décède avant que l'on puisse découvrir qu'il avait été à cette occasion  infecté par les transfusions de sangs  faites avec des lots  contaminés.  De surcroît, mon père venait d'être victime d'une escroquerie de la part des médecins propriétaires de la Clinique de l'Haÿ-les-Roses, et ceux-ci agissaient en connivence avec le Maire Marc Méchain et le parquet. Il fallait à tout prix l'empêcher de porter plainte contre ladite Clinique, celle-ci servant de solution finale aux malades contaminés, ceux du Service de neurologie de Bicêtre comme à bien d'autres Services hospitaliers de la région parisienne. La Clinique de l'Haÿ-les-Roses était en effet spécialisé dans ce genre d'activité, pudiquement dénommé "soins de suite", activité qui la mettait automatiquement sous la protection du parquet, l'état ayant une part de responsabilité dans la mise en circulation de lots de sangs contaminés.
 
Les neurologues de Bicêtre  savaient pertinemment que le Dr. Beinis suivrait aveuglément leurs directives. Ils lui avaient  fait croire que le malade était atteint de troubles vasculaires irréversibles, en sus de l'évolution  rapide d'une prétendue démence "mal étiquétée" (sic). Ils lui avaient expliqué  que ses troubles causeraient sa mort à brève échéance afin qu'il ne s'étonne pas de la dégradation inéluctable de son état. Elle ne pouvait que l'être étant donné qu'ils lui avaient instamment recommandé  (oralement  comme  par écrit, transmis au parquet) de suivre un autre traitement que celui qu'il lui fallait.   

A Bicêtre, les neurologues savaient pertinemment que le test de Schilling pouvait parfois être défaillant, et qu'en cas de désaccord clinique,  il fallait avoir recours à d'autres tests. Ce qu'ils s'étaient bien gardé de faire. Qu'il faille recourir à d'autres tests  était connu et rappelé depuis plus de dix ans. Leur astuce avait été de faire comme s'ils l'ignoraient  afin de pouvoir faire croire à une défaillance technique dont ils ne seraient pas responsables. Aussi prirent-ils soin de faire disparaître des rayons de la Bibliothèque du CHU les livres et les Revues neurologiques traitant de ce sujet. De son côté, la Mairie de l’Haÿ-les-Roses  fit disparaître dans un incendie les traces  concernant les relations que  la Mairie entretenait avec la Clinique Elmelik.  Après l'incendie de la Mairie, les haÿssiens  eurent droit  à luxieuse  nouvelle Mairie, dont la construction a été financée par ?  au profit de ? 

On peut depuis cet incendie admirer la nouvelle plaque commémorative  à la gloire du fondateur de la Clinique Emelik (elle aussi a été refaite de fond en comble our devenir la propriété du groupe Clinéa). La plaque trône dans  le square qui fait face à la nouvelle Mairie. 

Quand j'ai demandé à la CADA la communication du dossier du malade, j'ai été traité par la direction  de Bicêtre d'antisémite, ce qui est pour moi une insulte aussi intolérable que révoltante, propre à vous faire devenir tel, quand bien même serait-on soi-même d'origine juive.

Le fait d'avoir sauvé la vie de mon père m'a ainsi valu d'être vilipendé par le procureur et menacé de représailles par l'Ordre des médecins et  par  le Pr. Saïd (cf Google 34640255 html).  Il faut savoir que l'Ordre des  médecins vole systématiquement au secours des médecins prédateurs,  façon DSK, et encore plus lorsqu'il s'agit de médecins pédophiles, qui sont légions dans la profession.  Freud avait  à leur intention  inventé que les victimes de ce genre de prédateurs  souffraient de "désirs oedipiens inconscients", ce qui avait tout de suite plu à son bras droit le Dr. Ernest Jones. L'ex président du FMI n'a pas manqué de s'emparer de l'invention de l'inconscient pulsionnel pour prétendre  que Tristane Banon avait été victime de son "imaginaire".

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