Ci-après le fac-similé de l'Ordonnance de non lieu du 3 juin 1998 relative à l'affaire rapportée sur le site 73331815 html. Mes commentaires sont en italique.
TRIBUNAL DE GRANDE
INSTANCE DE CRETEIL
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Cabinet de Mme SCELLE ORDONNANCE DE NON LIEU
Juge d'instruction
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N° Parquet : C 94 070 99002
N° Ins. : 204/71/94
Nous, Bénédicte SCELLE, Juge d'Instruction au Tribunal de Grande Instance de Créteil,
Vu l'information suivie contre
X ...
des chefs de : Atteintes involontaires à l'intégrité physique
Avant que le procureur Michel Barrau ne lui ait dicté ce qu'il voulait qu'elle fasse, madame Bénédicte Scelle stipula bien plus justement dans ses commandements aux experts "Atteintes volontaires" à l'intégrité physique.
Faits prévus et punis par les articles 112-1, 222-19 et 320 du Code Pénal
PARTIE CIVILE :
Mr CRETIEN Pierre
X, rue Z - 94230 Cachan
Vu le réquisitoire de Monsieur le Procureur de la République en date du 25/02/1998 tendant au non lieu et dont nous adoptons les motifs,
Vu les articles 175, 176, 177, 179, 183 et 184 du Code de Procédure Pénale
Attendu que l'information a établi les faits suivants :
par courrier du 17 janvier 1994, reçu le 11 mars 1994, Mr Pierre CRETIEN, portait plainte en se constituant partie civile contre X pour coups et blessures involontaires
Sa plainte date en réalité du 17 XII 1990, pour mise en danger, non assistance, et atteintes volontaires à l'intégrité physique.
Les hospitalisations dues aux complications médicales consécutives aux actes incriminés, mais aussi les manoeuvres dilatoires diligentées par l'Ordre des médecins sous la houlette des Drs. Jean Pouillard et Patrice Bodenan, qui s'étaient concertés en 1992 pour demandé ma "mise examen" parce que j'avais, en transgression des traditions omertistes de la corporation, signalé les faits à l'Ordre, prétextant que j'étais un malade "procédurier" (sic) atteint de "paranoïa"(resic), et le refus de Madame Toxé de procéder à une instruction en novembre 1994 sous prétexte que le plaignant venait de décéder ont fait que la plainte de mon père contre les amis du Dr. Bodenan pour coups et blessures volontaires , mise en danger de la vie et non assistance à personne en péril, portée à l'attention du Procureur de Créteil le 17 décembre 1990 et reçue sous le n° C 90 361 003 - non pas en janvier 1994, si tant est que sa plainte puisse avoir été reformulée à cette date puisqu' il était alors, après trois mois passés en maison de retraite, bien trop mal en point pour s'en être occupé -et les réticences apeurée de ses avocates après ce qu'elles avaient trouvé d'effrayant au sujet de la Clinique Leon Elmelik en allant consulter le bureau d'ordre pénal au TGI de Créteil et l'hostilité manifeste du parquet à instruire la plainte (voir site 73331815 html chapitre 1 § 13 et 15 ) ont fait que mon père n'avait pas pu se constituer "partie civile" plus rapidement.
Prenant sur elle-même, Maître Dosner-Dolivet avait cependant pu, en dépit de l'hostilité du parquet, réussi à la formuler de façon circonstanciée au Doyen des Juges d'instruction (Serge Portelli), qui la prit en considération.
D'autre part, mon père est décédé non pas le 30 octobre, mais le 2 octobre 1994, et ce n'est pas "47 mois après" que dans un courrier "détaillé, au style bien particulier" (sic) que l'opération du faux professeur-chirurgien Antoine Denis a, par moi été déclarée INTEMPESTIVE (ce terme était tout à fait approprié), mais dans un courrier adressé à un Cabinet d'avocats en août 1993 pour lui résumer l'affaire, après que Me Catherine Scotto-Derouet a restitué les dossier à Me Sylvie Ferval et avant que Me Annick Dorsner-Dolivet ne s'en charge au plan pénal et reçoive le même texte. Introduire délibérément des "erreurs" de date et faire semblant de ne pas comprendre ce que les mots veulent dire est une façon commode de justifier un "non lieu", de minimiser sa responsabilité (puisque l'erreur est "humaine"), et de compliquer les procédures, jusqu'à les rendre inextricables.
Le 21 avril 1994, dans les délais ("on" semble le regretter) , il consignait la somme de 3000 Frs.
Après le décès du plaignant le 30 octobre 1994
<< Il résulte de la plainte que le 4 avril 1889, Mr. Pierre CRETIEN père alors âgé de 79 ans a consulté le docteur DENIS à la clinique ELMELIK, à l'Haÿ-les-Roses, avec l'idée qu'à la différence d'un pédicure ce podologue, en tant que médecin, pouvait trouver une solution à ses difficultés Le docteur DENIS proposa une opération dite d'alignement des orteils .>>
Mon père présentait ce que l'on appelle des pieds creux avec scaphoïde cornu, ce qui ne l'avait pas empêché d'être mobilisé dans l'armée de terre en 1940 ni de trouver chaussure à son pied dans celles du commerce. La Juge d'instruction et le Procureur se gardent bien ici de mentionner que mon père avait été voir ce medecin pour la prescription de semelles orthopédiques, et non pas pour se faire opérer.
C'est le 25 mai 1990 que l'opération s'est déroulée. Dans le courrier long, détaillé, au style bien particulier cette opération sera jugée "intempestive et inutile" 47 mois après. La conséquence sera la plainte.
La Juge et le Procureur omettent l'essentiel, qui est pourtant détaillé dans ce "long courrier" et dans l'expertise du Dr. Yves Dano, à savoir que mon père avait été opéré subrepticement, contre l'avis de son cardiologue le Dr. Joseph Heller et contre mon avis, deux avis expressément signifiés, et contre toute logique médicale, et plus simplement contre le sens commun par un prétendu chirurgien, en fait un rhumatologue à la retraite qui avait perdu tout bon sens puisque mon père était à l'époque à l'évidence neurologiquement et psychologiquement, au sens psychiatrique, très malade, ne pesant plus que 55 kg, affecté d'une très inquiétante hypertension à 24/13, d'insuffisance coronaire avec double bloc de branches, d' epistaxis (d'hémorragies nasales)sévères et répétition, d'une toux subintrante causée par des fausses routes alimentaires consécutives à des paralysies neurologiques hautes (paralysie du voile du palais, notée dans le CR. signé du Dr. O. Ille) , preuve que l' affection neurologique dont il était atteint en était déjà à un stade dangereux. Le syndrome neuro-anémique dont en fait il souffrait, ne demandait qu'à être investigué pour pouvoir faire l'objet d'un traitement cobalaminique urgent, simple et efficace. Cette atteinte avait déjà dangereusement atteint le tronc cérébral, siège de fonctions vitales. Mon père était donc affecté de ce syndrome, facilement détectable à l'examen pourvu qu'on y procède. Il signait l'origine neurologique de ses sensations cinesthésiques douloureuses au niveau des pieds et de ses difficultés à marcher, de sa toux subintrante, de son irritabilité et de son angoisse de mort imminente, ses déséquilibres tensionnels, de ses troubles psychiatriques (délire de Capgras ? voir sur ce blog bibliographie de l'article 116 50 95 14 ) , jusqu'à la survenue de ses très inquiétantes pertes du contrôle sphinctérien, comme l'a prouvé leur régression et leur disparition définitive sous traitement cobalaminique. Leur réversibilité sous traitement cobalaminique avait apporté la preuve que tous ces troubles étaient beaucoup moins d'origine vasculaire que métabolique. Le catalogue et la description de ce dont il souffrait alors nécessiterait des pages et des pages, et c'est bien pourquoi mon courrier avait été "long et détaillé", écrits dans style médical approprié, qualifié par le parquet de "bien particulier", alors que mes informations étaient adressées à des médecins. Comme si le jargon juridique, à l'instar du jargon médical, n'était pas, lui aussi, "bien particulier". A relire ce "courrier", adressé aux experts pour les informer, je le trouve au contraire très précis et pertinent, contrairement aux "conclusions" des experts, qui sont, elles manifestement mensongères.
Les conclusions et seulement les conclusions de ces trois experts médicaux dont la carrière est soumise aux pouvoirs discrétionnaires de l'Ordre des médecins et de l'Assistance Publique sont reprises mot pour mot, virgule pour virgule par le Dr. Yves Dano, telles que les avaient rédigées le Dr. François Chedru (le rapport d'expertise est frappé, on se demande bien pourquoi, de la mention "reproduction interdite"). Elles sont telles que les voulait le Pr. René-Claude Touzart, relation du Pr. Jean Debeyre actionnaire de la Clinique Emelik et membre de l'équipe prédatrice connue à l'hôpital Henri Mondor lorsqu'elle y exerçait sous l'appelation "la fine équipe des pieds nickelés" .
Yves Dano a pourtant colligé dans la quarantaine des précédentes pages de son expertise les énormes fautes, erreurs et transgressions, toutes plus incroyables et inadmissibles les unes que les autres, qui avaient été commises (en en prenant connaissance, le Dr. Michel Serdaru, qui connait pourtant bien Michel Chedru pour avoir publié avec lui, s'était exclamé que son rapport était faux et que même un centième des fautes qui avaient été commises mériterait un procès)
En tant que contre-expert, le Dr. Dano n'aurait pourtant jamais dû avoir eu connaisance de l'expertise Chedru. Or il s'en réclame ouvertement. Ce qui fait que ses conclusions, qui sont en fait celles rédigées mensongèrement par le Dr. François Chedru (Chedru m'a lui-même cyniquement avoué le 4 juillet 1996 quelles étaient mensongères puisqu'il m'a dit que << aucun chirurgien n'aurait accepté mon père dans de telles conditions. >> Nier les fautes lui évitait d'avoir à affronter les représailles de l'Ordre des médecins et celles de l'AP - HP et peut-être aussi celles des "fraternelles" via Patrice Bodenan°°°, les Professeurs Jean Penneau et le très redouté René-Claude Touzart.
Ses conclusions sont de ce fait en complète contradiction avec ce que le même Dr. Yves Dano écrit dans le corps de son très très long rapport (une quarantaine de pages d'une dactylographie serrée, répétitive et fastidieuse à lire, quoique très instructive, puisqu'elle rapporte expressément que l'intervention réalisée n'a pas été celle anodine qui avait été annocée et stipulée - un K20 à faire sous locale , subrepticement remplacé au dernier moment, après endormissement du patient, par une opération en K 60 + 60/2 + 75 % +30 + 30/2 + K20 + 10/2 plus divers actes en ZM2 CS K 6;5 , une opération faite par surprise, sans attendre d'avoir en main les résultats des analyses pré-opératoires, soit un K total de 236 précipitamment fait sur un patient déclaré "grincheux" et de "contact difficile" (et pour cause, vu la très grave maladie neurologique qu'il couvait et qui dejà le minait, l'affaiblissait intellectuellement et le plongeait dans un délire paranoïde assez caractéristique dela maladie de Biermer et des cqarence vitaminiques B12), à que Dr. Antoine Denis avait offert des consultations gratuites pour lui faire croire que'il s'intéressait vraiment à sa personne alors que seul comptait pour "la fine équipe" l'augmentation du chiffre d'affaire de la Clinique de la "fine équipe".
Page 3 :
<< L'existence de troubles sphinctériens sans explication urologique suggère que cet état avait débuté avant l'opération >>
De fait, cet état "sans explication urologique" avait débuté 2 à 3 semaines avant l'opération. Et s'il n'y avait pas "d'explication urologique", c'est bien parce qu'il y avait une autre, et des plus inquiétantes, puisque l'existence de ces "troubles" signait une très redoutable atteinte du système nerveux, atteinte qu'il était impératif d'investiguer pour en connaître la véritable cause pour la traiter. Quelle qu'ait été la cause, vasculaire ou métabolique, il importait avant toute chose de la déterminer, ce que l'on s'était bien gardé de faire pour pouvoir placer une opération au bénéfice du "cash flow" de la Clinique, peu importait les conséquences pour le patient.
Suit dans les conclusions du Dr. Chedru recopiées par le Dr. Dano une succession de considérations mensongères, mélangeant le vrai et le faux, présentées avec des "mais" comme étant le fruit d'interrogations scrupuleuses quant au "rôle exact" (sic)
de l'opération dans le survenue des complications. Ainsi :
<< Le patient s'est aggravé après l'opération de façon relativement rapide sans qu'on puisse dire quel rôle exact celle-ci a eu. Il est difficile, en effet, de faire la part de l'histoire naturelle d'un syndrome lacunaire à prédominance sous corticale, maladie très commune chez les hypertendus, et les conséquences hémodynamiques de l'intervention (vrai) et des médications anti-hypertensives reçues à cette occasion >>.
Les experts feignent ici d'ignorer que le malade était en fait atteint d'un syndrome neuro-anémique lorsqu'il a été opéré, atteinte que les hémorragies post-pératoires (d'autant plus inéluctctables sous anti-coagulants quelles avaient été fréquentes dans les semaines qui avaient précédées et dues être cautérisée dans cette Clinique par le Dr. Semette) impossibles à juguler sans arrêter le traitement anticoagulant ne pouvaient qu'avoir aggravé. Pour la compréhension de ceci, voir le texte que j'ai adressé au nouveau médiateur désigné par la direction de l'hôpital Bicêtre pour remplacer l'excellent professeur Gilbert Tchernia (à qui je l'ai aussi communiqué).
5°) L'intervention a probablement eu un effet délétère sur la santé du patient, en accélérant l'évolution (vrai) d'une maladie (vraie)vasculaire (faux) déjà présente (vrai). Celle-ci était d'aggravation inéluctable (non) mais s'est révélée à cette occasion.
6°) Un risque (énorme) a certainement été pris en intervenant, mais ce risque pouvait être considéré comme raisonnable (non, un risque insensé) compte tenu de l'absence (faux) de contre-indication cardio-vasculaire et de l'absence (faux, hta à 14/13, insuffisance coronarienne et double bloc de branche) de signe neurologique patent (faux, ils étaient évidents, cf.les incontinences shinctériennes. Ces médecins experts osent, sous serment, stipuler d'énormes mensonges et de telles inepties).
7°) Le risque pouvait être considéré comme justifié (évidemment non) dans la mesure où les douleurs des pieds dont se plaignait monsieur Pierre-André CRETIEN résistaient à tout type de prise en charge thérapeutique.
(absolument faux, les douleurs étaient d'origine neurologique et relevaient de l'administration intra-musculaire de Cobalamine, la thérapie spécifique des syndromes neuro-anémiques).
8°) l'ensemble des troubles neurologiques constatés après l'opération n'a pas de relation de causalité certaine avec cette opération dans la mesure où de tels troubles sont fréquents chez les hypertendus en l'absence de tout acte chirurgical
(on peut difficilement mieux mentir).
<< Les conclusions des experts déclenchèrent la production d'une volumineuse correspondance rédigée dans le même style particulier que la constitution de la partie-civile elle-même, adressée à l'un des experts ( D112 : 6 pages, D114 : 3 pages sur ordonnancier, D119 : 4 pages, D 120 : 2 pages D 121 : 4 pages accompagnées de photographie, D 122 17 pages), ou au magistrat instructeur (D115 2 pages, et autres) ainsi qu'une demande à fin de contre-expertise (D116) >>. (dixit les pour réquisitoire
(Contre-expertise dont les conclusions sont ici rapportées et
<< A l'issue de son expertise sur le dossier de Monsieur Pierre-André CRETIEN, l'expert Monsieur DANO conclut ainsi :
1° ) J'ai moi-même examiné le dossier de Monsieur Pierre-André CRETIEN
2°) J'ai moi-même entendu l'ensemble des sachants à savoir :
- Monsieur le Docteurt Antoine DENIS,
-Mademoiselle le Docteur Edith Elmelik,
-Madame le Docteur Geneviève DESCOURTIEUX-PARENT
-Monsieur Pierre Henri CRETIEN
-Mademoiselle Danielle CRETIEN
Non pas donc "l'ensemble" des "sachants", mais surtout ceux qui étaient a priori (à part moi), en tant que partie prenante et mis en cause, hostile à l'action judiciaire. Le Dr. Dano, outre qu'il commet des erreurs en écrivant que le patient avait été hospitalisé à Corbeil, omet d'avoir entendu de vrais "sachants" , entre autres le Professeur François Piette et le Dr. Michel Serdaru.
Michel Serdaru , s'était interrogé de savoir si mon père avait eu affaire à de vrais médecins. Très en colère, il estimait que ne serait-ce que le un centième des fautes qui avaient été commises méritaient un procès.
Ma sœur avait quant à elle été très hostile à ce que mon père puisse porter plainte de peur qu'un procès entame son héritage. Elle m'avait de ce fait promis "de me faire mordre ma poussière" (sic) pour ne pas avoir empêché mon père de le faire parce cque ses adversaires étaient réputés trop puissants. Mon père lui avait rapporté ce que lui avait dit le Commandant Christian Raeckelboom le 3 janvier 1991 au Commissariat de l'Haÿ -les-Roses (Cf; site 73331815 et 108281777 html )
3°) Je me suis fait communiquer tous les éléménts et dossiers concernant l'état de santé de Monsieur Pierre André CRETIEN, tant au moment qu'après l'intervention du 25 mai 1990.
5°) L'intervention chirurgicale entreprise a pris en compte la santé et l'âge du patient
(ce qui est à l'évidence faux et mensonger)
6°) Il ne peut-être établi de lien de causalité entre l'intervention chirurgicale du 25 mai 1990 et l'ensemble des troubles, notamment neurologiques constatés ultérieurement (affirmation qui est manifestement contraire à la réalité, ne serait-ce qu'à cause des hémorragies cataclysmiques, qu'il omet de relater, qui avaient nécessité l'arrêt des anticoaguulants préventifs des accidents tyhrombo-emboliques).
7°) L'intervention chirurgicale du 25 mai 1990 a justifié : (selon le Dr. Yves Dano)
- Une ITT de 2 mois, s'étendant du 23 mai au 23 juillet 1990
- Pas d'IPP en relation
Les deux expertises ne font apparaître aucune comportement fautif à l'égard de quicconque. La plainte initiale de Mr Pierre André CRETIEN , père,
largement relayée pour ne pas dire impulsée par Pierre Henri CRETIEN, fils, à fait dire à la soeur Danielle CRETIEN qu'elle était "inquiète quant à l'avanir de son frère. (Selon elle ce dernier) ayant fait du problème concernant son père "l'affaire de sa vie", ne serait plus en mesure actuellement d'assumer la moindre activité professionnelle soutenue et régulière, se désocialisant petit à petit".
D'une part c'était ma soeur qui m'avait incité à sauver coûte que coûte la vie de son père alors qu'il était dans le coma, tout prêt de mourir dans un état épouvantable, gisant presque nu, et squelettique dans ses émonctoires le 12 septembre 1990 faute d'avoir reçu la cobalamine nécessaire à son rétablissement, cobalaminothérapie que l'on avait cependant durant un mois et demi fait semblant de lui administrer pour me faire croire qu'il était convenablement traité. (voir sur site 108281777html) . Elle était donc parfaitement au courant de ce qui s'était passé en me promettant de m'aider au cas ou je réussirais à sauver la vie de son père, sachant qu'il risquait de garder de très lourdes séquelles de cette longue et mortifère mascarade. Son père une fois sauvé, elle avait à toute force essayé de l'empêcher de porter plainte sous prétexte que cela risquait d'entâmer ce qu'elle appelait "son héritage", et non contente ne pas m'aider, avait fait renvoyer les assistantes gardes-malades que j'avais formées et engagées pour s'occuper de son père resté gravement invalide sur le plan moteur, aussi sous prétexte qu'il fallait les payer et que cela entamait "son héritage".
NON LIEU
Disons n'y avoir lieu à poursuivre quiconque dans cette affaire .
DISONS N'Y AVOIR LIEU A SUIVRE EN L'ETAT.
ORDONNONS LE DEPOT DU DOSSIER AU GREFFE DU TRITUNAL POUR Y ETRE REPRIS EN CAS DE SURVENANCE DE CHARGES NOUVELLES.
Fait à Créteil le 3 juin 1998
Le Juge d'Instruction,
Ce qui est aussi arrivé aux malades de Christine Malèvre et du Dr. Olivier ILLE quand il est devenu Chef de Service au C.H.U. de Mantes-la-Jolie, dument signalé au parquet en février 2003, constituaient des "charges nouvelles" : la preuve qu'il s'était agi d'une tentative d'assassinat, et non d'une "erreur" de diagnostic et de traitement quand mon père a été hospitalisé à la suite des complications dues à son opération, et en 2003, aucune prescription ne pouvait être invoquée, ce qui démontre que le parquet de Créteil était partie prenante dans cette affaire, et explique les entraves qu'il mit en faveur de la "fine équipe" ainsi que nous l'avait d'entrée signalé l'Inspecteur-Commandant Christian Raeckelboom au Commissariat de La Haÿ-les-Roses lors de son audition le 23 janvier 1991.
Pour copie certifiée conforme
Le Greffier.
Suivent les commentaires du parquet (le décès est survenu le 2 octobre, mais passons ...),
son fils Pierre Henri CRETIEN, psychiatre de profession se constituait partie civile aussi bien en son nom personnel qu'en qualité d'héritier de son père.
Ce n'est que grâce à l'insistance de Maître Dorsner - Dolivet que l'instruction a été ouverte, en contrepartie de ce que l'affaire ne soit pas "ébruitée" .
Il est à noter que la fille de Mr CRETIEN père, se s'est pas manifestée dans le même sens
Comment la Juge d'instruction peut-elle écrire cela, alors qu'elle ne l'a pas entendue ? Explication : un des experts médicaux - en l'occurrence le Dr. Yves DANO, avait, par ses Confrères, appris que ma soeur était maladivement peureuse, craignant qu'un procès n'entame "son héritage". N'obtenant pas qu'elle vienne témoigner, il l'avait mencacée, alors qu'il n'en avait aucunement le droit, de la faire témoigner encadrée par des gendarmes, d'après ce qu'elle m'en a dit . Le 22 mai 1997, s'étant préalablement entendu avec les Drs. Touzart, Lienhart et Chedru, ses prédécesseurs, et sans doute aussi avec l'ordre des médecins, qu'il savait compromis dans cette affaire, il essaya de lui faire dire ce qu'il voulait pour me discréditer, entre autre que je prétendais avoir sauver la vie du plaignant avec de la vitamine C ! selon ce que ma soeur m'a rapportée
Le Dr. Chedru m'a cyniquement avoué qu'il avait menti en me conseillant de "laisser tompber cette affaire parce que je m'y épuiserais pour rien"
Ainsi fonctionne l'expertise médicale en France?, et le Dr. Chedru qui sera invité par le Pr. Olivier Lyon-Caen sur les micros de France-Culture pour parler de l'objectivité des expertises médicales (émission "avec ou sans rendez-vous" ) !
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