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27 décembre 2014 6 27 /12 /décembre /2014 00:05

Il y a lieu de penser que Freud et Hitler se sont connus, ne serait-ce que parce que l'un et l'autre ont soigneusement évité de se critiquer ou de faire référence l'un à l'autre..

Hitler fit cependant allusion à Freud, sans le nommer, dans son discours de Linz,  au lendemain de l'annexion de l'Autriche au Troisième  Reich, le 13 mars 1938.

Au sujet du livre que Timothy W. Ryback a consacré aux lectures d’Hitler (« Dans la bibliothèque privée d’Hitler » Hitler's Private Library ), à en juger par les 247 réactions de ses lecteurs, presque toutes hostiles, Pierre Assouline n'a vraiment  pas, ou très peu, été compris de ses lecteurs. 

Ils ne font guère que de se projeter, qui pensent devoir écrire qu’Hitler avaient été un « semi clochard », un « sans dent» pourrait-on dire, un lecteur de brochures antisémites.

C’est aujourd'hui évidemment psychologiquement (moralement) plus confortable. La plupart n’avait probablement pas lu Timothy Ryback, préférant répéter ce qu’en avaient dit Louis Pauwels et Jacques Bergier dans « e Pierre Assouline  », qui faisaient d’Hitler quasiment un imbécile prêt à gober à n’importe quelle ânerie, par exemple croire que la terre était creuse à cause d'une incompatibilité (?) avec la théorie de relativité d’Einstein, « science juive »

Hitler cultivait certes quelques croyances,mais pas toutes forcément délirantes ou infondées, notamment celle de pouvoir être rattacher à une très illustre et très fortunée Maison viennoise par son grand-père paternel. Ce qu’il aurait confié à Sigmund Freud en 1908, et souhaité pouvoir se faire reconnaître, du moins  jusqu’en 1919, avant que ladite Maison n'ait cherché à le dissuader de cette prétention, le remettant à sa place de manant pour ne pas qu'il vienne la souiller de son impure origine. Sans aucun égard pour ses états de service pendant la guerre. Il s’était pourtant engagé dans la guerre au péril de sa vie croyant mériter cette reconnaissance, Freud lui aurait fait valoir que pour être admis dans une si illustre famille, il fallait pouvoir se prévaloir d'oeuvres ou d'exploits exceptionnels.

Il avait échoué en tant qu'artiste, mais avait espéré pouvoir faire valoir sa valeur en s'engageant dans l'armée dès l'entrée en guerre de Allemagne .

De fait, il s'était engagé dans l'armée et avait preuve d'un courage qui lui valu trois médailles militaires, dont une de première classe. Il avait montré ses états de service à la famille dont ses parents lui avaient dit qu'il descendait, cela n'avait pas suffit. Il arriva alors ce qui devait arriver. Pour montrer le tort qu’elle lui faisait de ne pas l’estimer à sa juste valeur alors qu’il avait cent fois affronté la mort, son admiration se changea en son contraire. Sa haine devint d’autant plus dévastatrice qu’il savait comment s’y prendre pour la faire partager par le plus grand nombre – c’est pas le "psychanalyste" Daniel Sibony qui me démentira au sujet des haines des bâtards. Si Shakespeare a été l'auteur de prédilection d' Hitler, ce n’était certes pas sans quelques raisons

Les lecteurs  commentent sans avoir eux-mêmes pris la peine de lire le travail de Timothy Ryback. Il aurait fallu que les lecteurs de Pierre Assouline sachent lire comme Jacques Lacan disait de faire, entre les lignes ... (voir un peu comment à "Hitler paradigme d'Hamlet")

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31 août 2013 6 31 /08 /août /2013 14:15

Le magazine MARIANNE de cette semaine laisse à penser  que nous vivons des temps similaires à ceux qui prévalaient en Europe il y a 100 ans, à la différence près de l'arme atomique la rend bien plus dangereuse. 

 

L'ayant lu, je ne vois pas en quoi la situation est simililaire.

 

Guy Konopnicki, sous le titre "Comment on déclenche une boucherie universelle", rend compte d'un  livre de Christopher Clark, publié chez Flammarion   ("Les somnabules"),  un poustoufflant  récit  de la marche à la guerre (celle de de 14 - 18) . 

 

En 1903, la conjuration de 28 officiers Serbes assassinant Alexandre 1er de Serbie et la reine Draga aurait allumé la mèche qui aurait entraîné aurait 11 ans plus tard conduit à celui de l'Archiduc François-Ferdinand et de son épouse.

 

Je n'ai toujours pas compris que ces assassinats ait pu déclenché la guerre de 14 -18.

 

Les Français auraient plus ou moins voulue y trouver l'occasion de récupérer l'Alsace et la Lorraine ... et l'industrie allemande y trouver  un débouché ? 

 

Les belligérants étant tous convaincus de leur supériorité militaire et de leur bon droit (Got mit uns),  la guerre ne pouvait qu'éclater, assassinat ou pas : elle avait déjà failli éclater en 1911 à propos du Maroc (voir sur le web l'article de Jean-Yves Le Naour "Joseph Caillaux aurait-il pu empêcher la guere de 1914 ?" . .  

 

Au sortir de la guerre de 39 -40, quand je suis arrivé en Suède (en 1946), des enfants de mon âge me demandaient pourquoi l'Allenagne et la France s'étaient fait la guerre. A 7 ans j'étais bien en peine de donner une explication alors qu'il y avait beaucoup à dire sur les vrais ressorts de cette guerre.

 

Comme ils réclamaient une explication, je leur en avais trouvé une.

 

Une dispute entre AIK (Katrineholms fotbol klubb)   et l'autre Club de la ville. Je ne me rappelle plus  le nom de l'autre club, à l'époque il me semble que la ville en possédait  y  deux) me l'avais suggérée. Les supporteurs de chaque équipe avaient l'habitude de se défier lors des rencontres. "On" pouvait à chaque fois craindre qu'elles ne dégénèrent en bagarres.

 

J'avais ainsi assimilé le déclenchement de la guerre à un match de foot qui aurait mal tourné entre une équipe de France et une équipe d'Allemagne dans une zone frontière. Je ne me rappelle plus si j'avais réussi à les convaincre ou si j'étais moi-même convaincu par lmes explications. Ttoujours est-il qu'ils cessèrent de me questionner à ce sujet.  

    

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23 mai 2013 4 23 /05 /mai /2013 16:41

A en croire  la préface que l'historien médiatique Alexandre Adler à consacré au livre de Patricia Darré,  "Les lumières de l'invisble", paru dernièrement chez Michel Lafon,  les phénomènes médiumniques (auxquels je crois se rattachent les rêves), ont un rapport avec les phénomènes quantiques.  

Le jeudi 23 mai 2013, 17 h 10.

Le journal de France-Bleu pays d'Auvergne du mercredi 22 mai 2013  a livré  à 12h10 l'information suivante :

<<  Alors que les recherches pour retrouver la petite fille de 5 ans piétinent à Clermont-Ferrand, les enquêteurs auraient des doutes sur le seul témoin dont ils disposent dans l'affaire. Ce dernier, qui affirmait avoir aperçu Fiona dans le parc le jour de sa disparition, aurait nuancé ses propos durant une nouvelle audition  /.../
 
Pour autant, les enquêteurs continuent de travailler sur cette version des faits, malgré la remise en cause du témoignage évoqué plus haut. "Les témoignages ne sont jamais d'une fiabilité absolue", a expliqué l'un d'eux, d'autant plus lorsqu'ils sont réentendus.

Les recherches effectuées dans le parc n'ont quant à elles rien donné et ont été abandonnées ce mardi. Seul élément d'information : une piste marquée par les chiens et qui avaient menés les enquêteurs à l'une des sorties du parc. Il semble donc que Fiona ait bel et bien été dans le parc. Reste à déterminer quand. / ... / Un Numéro Vert national (0800 958 081) a été ouvert jeudi dernier pour recueillir un maximum de témoignages. Plus de 200 personnes l'ont déjà composé.  >>

Je - l'auteur du "blog de leon" - ne crois pas trop à la voyance.

Je devrais pourtant y croire puisqu'il m'est arrivé, à la fin du mois d'octobre 1981, de faire un long rêve qui s'est réalisé (matérialisé) à l'identique trois jours plus tard. Voir sur ce blog à l'explication de l'impression de "déjà vu " ou de "déjà-vécu", où je relate une telle très longue expérience.

Les impressions de déjà-vu sont généralement fugaces et laissent une impression étrange. La plupart des personnes l'ont éprouvé. D'après une psychanalyste, à qui j'en ai parlé, Freud en aurait donné l'explication en disant qu'ils correspondaient à des rêves ou fragments de rêves oubliés. Une opinion qui est aussi la mienne. Habitué à me remémorer mes rêves, j'en ai eu plusieurs fois la preuve quasi expérimentale. 

D'après cette expérience un peu troublante, les impressions de déjà vu ou de déjà vécu ne relèvent pas d'un dysfonctionnement neurologique organique, mais de rêves ou de fragments de rêves qui n'ont pas été ou ont été mal été mémorisés, cependant que l'on est en train de vivre une réalité  qui  leur ressemble et donc les réactive,. Ce ne sot donc pas des phénomènes de type épileptique, comme le prétendent certains neurologues ou neuro-physiologistes.

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Jeudi 23 mai 2013, 17 h 10.

Une amie à qui j'avais fait part du dernier livre de Patricia Darré (elle n'avait jamais entendu parler de celle-ci avant que je ne lui en parle), vient me confier que dans la nuit du 22 au 23 mai, c'est-à-dire avant d'apprendre au matin la nouvelle par France-Info que la petite Fiona avait disparue, elle avait fait le rêve qu'une tombe avait été creusée pour ensevelir une gamine blonde âgée de 5 ans avant d'être recouverte de pierres blanches. Cette tombe se trouvait sous l'arche d'un petit pont enjambant un ruisseau, un pont ancien d'un blanc grisâtre.

Je suis revenu vers elle et lui ai demandé à 19 h 10 des précisions au sujet de ce rêve ... Il s'agissait dans son rêve un petit pont à une seule arche enjambant un ruisseau. Un homme rencontré à proximité lui expliqua que c'était la tombe d'une petite fille de cinq ans. La tombe était ouverte mais elle ne vit pas l'enfant cependant que l'homme lui dit que la fillette était blonde aux yeux bleus ... Elle me dit que l'homme était de type méditerranéen âgé d'une trentaine d'années. Il s'éloignait en regardant derrière et tout autour de lui.

Il a poursuivi son chemin  ans un paysage très vert. Une rangée de cyprès bordait un petit cimetière musulman. 

Vendredi 24, 17 h 15 : Mon ami m'a réaffirmé qu'elle avait fait ce rêve dans la nuit qui a précédée l'information diffusée sur France-Info. Elle se dIt sûre et certaine qu'elle avait fait ce rêve avant de recueillir les informations de France-Info.  Elle venait de  traverser un très grand parc très vert avant d'arriver à un petit pont enjambant un ruisseau. C'est en voyant quelque chose d'intrigant en contrebas qu'elle est allée  voir ce qu'elle avait entre-aperçu en le franchissant qu'elle vit la tombe. Un homme jeune se trouvait là, d'une trentaine d'années, qui lui expliqua que c'était la tombe d'une fillete de 5 ans, blonde au yeux bleus. Il lui avait dit que "la fillette ne risquait rien puisqu'elle avait le corps tourné vers La Mecque .... "

Comme cette personne écoute France-Info presque en permanence quand elle ne regarde pas la télévision, il se peut qu'elle ait fait ce rêve lorsque la radio était allumée alors qu'elle dormait ?

Il m'était arrivé, lorsque j'avais 16 ans et que je campais, de rêver que je me promenais dans le camping du Dramont (situé entre Saint-Raphaël et Cannes) et qu'un campeur écoutait dans sa toile de tente une chanson d'Edith Piaf. Lorsque je me suis réveillé, un campeur avait effectivement sa radio qui la beuglait. J'ai dès lors compris que le temps du rêve était le temps de la réalité et non une fraction de seconde, comme le prétendait Freud (d'après ce qu'il avait déduit d'un rêve rapporté par Alfred Maury, qui avait soi-disant rêvé toute la révolution française pour finir guillotiné le temps qu'un tableau mal accroché à la tête du lit lui tombe sur la figure !

https://medecine.savoir.fr/alfred-maury-et-le-reves-de-la-guillotine/

Ni Maury ni Freud étaient véritablement des esprits suffisamment critiques

Il est donc possible que le rêve de cette amie ait été comme le mien cité ci-dessus induit par l'écoute de la radio alors qu'elle était dans son sommeil. 

L'écoute de France-info aurait induit le rêve de l' enfant aux yeux bleus  ? 

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22 janvier 2013 2 22 /01 /janvier /2013 17:34

Pour les psychanalystes, les fécès, l'argent et l'or (money) seraient pour l'inconscient (freudien)  des équivalents symboliques : rêver d'argent ou rêver matière fécales, c'est du pareil au même. 

 

Est-ce pourquoi les psychanalystes freudiens préfèrent, voire exigent, d'être payés en espèces et non pas par chèque ? 

 

OLD NEWS ABOUT PSYCHO- ANALYSYS

 

La psychanalyse mène à "La méditation de l'étreinte", qui serait  une variante du "chimney sweeping" du bon Dr. Joseph Breuer :

 

Curieusement, dans un essai intitulé "De la haine et du pardon", paru chez Payot en 2007, la psychanalyste Gabrielle Rubin attribue l'invention de la méthode cathartique à Sigmund Freud alors que, d'après Elisabeth Roudinesco, tout étudiant en première année de psychanalyse sait qu'elle revient au Dr. Joseph Breuer, ou pourquoi pas plutôt à à Alfred Binet, qui fit la "psycho-analyse" du grand et du petit fétichime (lire  

Le Fétichisme dans l'amour (1887), Payot, coll. « Petite Bibliothèque Payot », un texte que Freud a ou aurait traduit en allenand. Freud s'en est tellement inspiré dans ses développements que l'on doit se demander si Alfred Binet n'a pas en fait été le véritable initiateur de Freud).  

 

Le Guide Rosenwald (l'annuaire des médecinsfrançais) nous apprend que le psychiatre Charles Caille est aussi psychanalyste, et titulaire d'une licence en psychologie.

 

Selon le dictionnaire de psychanalyse du Dr. B. Vandermersch et du psychanalyste R. Chemama (Larousse 2000), est cathartique « toute méthode thérapeutique qui vise à obtenir une situation de crise émotionnelle telle que cette manifestation critique provoque une solution du problème que la crise met en scène » .

 

"Anna O" s'était remise de son traitement et était devenu Assitante Sociale, mais elle ne voulut plus jamais entendre parler du Dr. Joseph Breuer ( selon Franck Sulloway, "Freud, biologiste de l'esprit publié chez Fayard).

 

La méthode cathartique du Dr. Caille se voula-elle plus radicale que celle du Dr. Beuer ? Sa méthode consistait non pas à laisser parler les patientes, mais à se présenter devant elles "nu comme un ver", à s'y coller et à leur demander de lui faire des fellations (cependant qu'il récitait des chapelets). Il appela cette variante de la méthode "la méditation de l'étreinte".

 

Dans l'esprit de son promoteur, la méditation de l'étreinte était au traitement de l'anorexie mentale ce que le "ramonage de cheminée" du Dr. Joseph Breuer était au traitement de la toux hystérique de "Anna O" (alias Bertha Pappenheim, paraît-il une amie de Martha Freud).

La variante technique du Dr. Caille est moins connue que la méthode du Dr. Breuer. Elle n'a été révélée par la presse qu'en avril 2011. Sans doute son efficacité n'était pas plus grande;. DSK ne pourrait-il pas revendiquer de n'avoir fait que l'expérimenter ? La question a-t-elle seulement été soulevée à propos ce qui s'est passé au Sofitel de New-York entre DSK et Nafissato Diallo ?

De "Quand les psychanalyste passent à l'acte(Louise de Urtubay, publié en 2007 aux P.U.F.) on en a pas beaucoup entendu parler de la psychanalyste "

 

Le viol, l'inceste et infection HIV sujets tabous ou secrets d'Etat ?

 

A peine Fadela Amara avait-elle été nommée à la tête de l' IGAS que des voix ont émis des objections à sa nomination du côté d’Act-Up, qui invoque l’existence d’un conflit d’intérêt.

En tant que médecin, j’avais en 1990 été confronté à une difficulté majeure, liée à un « conflit d’intérêt ». Il est superposable à celui qu’à vécu et vit encore Sihem Souid, sauf qu’il concerne l’omerta propre au milieu médical, l’Ordre des médecins imposant le silence sur les viols commis par des médecins à l’encontre des parturientes, notamment sur celles en situation d’IVG.

J’avais été averti de l’existence de ces viols lorsque j’avais accompagné mon père au Commissariat de l’Haÿ-les-Roses: mon père avait été victime d’une incroyable agression de la part des médecins de la Clinique de l’Haÿ-les-Roses. Il avait vraiment failli y « laissez sa peau ». Il n’entrait pas dans l’intention des médecins de cette Clinique de le tuer: ils avaient seulement voulu profiter de sa vulnérabilité psychologique pour l’escroquer, mais il fut peu après victime d’une véritable tentative d’assassinat à l’hôpital Bicêtre. On prétexta à faux une erreur de diagnostic, alors que l’erreur était aussi impossible que frauduleuse, commise soit dans l’intention de protéger la Clinique Elmelik, soit dans l'intention de protéger l’Assistance Publique elle-même contre la possibilité de sa mise en cause dans les contaminations par le VIH lors de transfusions antérieures faites en son sein, soit pour ces deux raisons, la Clinique Elmelik étant de celles qui servaient à l’élimination des malades contaminés par le VIH et dont les services hospitaliers souhaitaient être débarrassés.

D’où probablement le fait que cette Clinique ait été protégée en hauts lieux, c’est à dire pour sauvegarder les intérêts du C.N.T.S., responsable de nombreuses contaminations hospitalières lors de transfusions faites dans la première moitié des années 1980, mon père entrant dans cette catégorie pour avoir été transfusé en avril 1984 à l’hôpital Saint-Louis.

Quoi qu’il en soit, il avait porté l’affaire devant le procureur de la République à Créteil ( à l’époque Michel Barrau, grand serviteur de l‘État, et par conséquent protecteur de la Clinique Elmelik),

 

Lorsqu’il déposa devant l’Inspecteur Christian Raeckelboom au Commissariat de l’Haÿ-les-Roses, celui-ci nous confia que contre ladite Clinique, aucune plainte ne pouvait aboutir, toutes étant systématiquement « bloquées au parquet ». S’adressant à moi, il dit : « J’ai là sur mes étagères cent cinquante plaintes pour viols. Aucune n’a pu aboutir. Les actionnaires de la Clinique sont milliardaires. Ils font ce qu’ils veulent. Il sont protégés en hauts lieux ». Ce qui faisait que les parturientes pouvaient s'y faire violer en toute impunité .... (voir article Tala om det - blog de Leon)

En vous remerciant de votre attention, je vous prie d’agréer, Madame l’Inspectrice Générale, l’expression de ma très grande Considération

Pierre Cretien, M.D.

Avant-propos du Rapport de Marie-Louise FORT, Députée-Maire de Sens.

<< Maire de Sens, j’ai été confrontée à la situation particulièrement douloureuse et émouvante de victimes d’inceste luttant pour « recouvrer la vie » . Les accompagner a été pour moi l’occasion de mesurer le poids du tabou qui les écrase en même temps que leurs proches.

Surtout, cette expérience m’a permis d’observer le fossé qui peut exister entre d’une part les volontés individuelles et associatives de s’investir pour lever la chape du silence et lutter contre l’inceste , cpontre ses conséquences, et d’autre part les lacunes et les inerties institutionnelles et politiques en la la matière. Certes, nombre des témoignages recueillis au cours de la mission ont souligné les considérables progrès réalisés depuis vingt ans. Mais force est de constater l’incroyable retard de la France sur la plupart des pays développés.

Aussi, dois-je remercier Monsieur le Député Jean-François Copé /…./ de m’avoir confié une mission sur « la lutte contre l’inceste ».

Cette mission s’est organisée en trois phases.

1° La première a été dédiée à l’identification des professionnels, chercheurs et institutions acteurs du dossier ainsi qu’à la compliation et la synthèse de leurs productions.

Cette recherche a été l’occasion d’une observation surprenante. La question de l’inceste a fait l’objet de nombreuses recherches scientifiques; elle a été portée par des associations de victimes importantes par le nombre de leurs adhérents; elle a été le sujet de propositions de lois et de parlementaires dont le très essentiel « Faut-il ériger l’inceste en infraction spécifique ? » de Christian ESTROSI. Pourtant le tabou demeure et l’accompagnement des victimes aurant que celui des auteurs est toujours déficient.

2° Les auditions ont constitué le second temps de la mission ……..De l’ensemble émerge de façon prépondérante l’attente d’une inscripition de l’inceste dans le code pénal.

J’ai en outre pris connaissance d’une somme impressionnante de témoignages qui m’ont été adressés spontanément par les victimes elles-mêmes. Ces lettres singulières par leur discrétion et leur humilité n’en étaient pas moins émouvantes tant on devine derrière chaque mot l’horreur vécue. Ces écrits forcent notre respect car on sait le courage qu’il a fallu à leurs auteurs pour témoigner.

3° nfin, la dernière phase de la mission a été un temps de réflexion et de synthèse. Car travailler à lutter contre l’inceste est humainement ébranlant parce que relatif au négationnisme plus ou moins complice, plus ou moins auto-protecteur, des psychiatres et des psychanalystes restés freudiens (.Cf. aussi les commentaires freudiens sur les enfants d'Outreau des Drs Samuel Lepastier et Paul Bensoussan ) et philosophiquement questionnant * . Techniquement, c’est aussi à une somme de questions pour le moins complexes * qu’il a fallu répondre …Cf. pour plus de précisions Louisa de Urtubay « Quand les psys passent à l’acte », aux PUF, 2007.………...>

« Cette difficulté tient à la très grande transversalité du sujet touchant à la fois aux domaines judiciaire, social, médical et éducatif /……./ L‘ ambition n‘a jamais été de faire table rase de l‘existant ».

Marie-Louise Fort

Il faut croire que l'occultation de ces réalités, qui se font au détriment des malades et des finances de la Sécurité sociale, relève de la raison d'état; donc aussi croire que le viol de centaines de femmes au cours et au décours d'actes gynécologiques relève aussi du secret d' Etat.

Elisabeth Lévy

, dans une émission de France Culture intitulée "le premier pouvoir" consacré au journalisme, dit 1° qu'elle comprend que la raison d'Etat puisse parfois primer sur le droit à l'information et 2° que la moindre des choses pour un journaliste est de recouper les informations qui lui sont communiquées.

Sans être moi-même journaliste, c'est la règle que je m'étais imposée, tant les déclarations de l'Inspecteur Christian Rakelboom me paraissaient incroyables à l'époque des faits relatés ci-dessus

Or j'ai non seulement eu confirmation auprès de certains Confrères des dires de l'Inspecteur C.Raeckelboom , dont le Dr. Claude Poulain (actuellement à la retrait du côté de Nantes), mais je suis en mesure de prouver par "A plus B" qu' erreur de diagnostic il n'y avait nullement eu en ce qui concerne mon père. Il s'était donc bien agi d'un refus d'assistance à personne en péril de mort, ce que les médecins experts désignés cinq ans après les faits ne pouvaient en aucun cas ignorer.

Il faut croire que l'occultation de ces réalités, qui se font au détriment des malades et des finances de la Sécurité sociale, relève de la raison d'état; donc ausi croire que le viol de centaines de femmes au cours et au décours d'actes gynécologiques relève aussi du secret d' Etat.

LUTTE CONTRE L'INCESTE

Vendredi 6 mai 2011

La bêtise péché mortel

Le Dr. Irène Frachon, s'exprimait ce lundi matin 2 mai 2011 sur France Inter dans une émission intitulée "Service public", animée par Isabelle Giordano. Elle dit avoir été favorablement impressionnée par Xavier BERTRAND, que sous sa direction l'attitude des pouvoirs publics, celui de l'Afssaps notamment, semblait vouloir évoluer dans le bon sens. Je leur adresse cette lettre parce qu’il faut que les français sachent de quoi sont capables les hauts Conseillers de l’Ordre des médecins, les médecins de l’Assistance publique et les pouvoirs publics, le tout sous couvert de l' « éthique », dans ce que l’on croît être une démocratie.

Les embrouilles sont lourdes à porter. Les Conseillers Pouillard et Bodenan n'ont pas hésité à me faire passer pour ce que je ne suis pas auprès du Dr. Catherine Bonnet, via Maître Régine de la Morinerie, qui a en toute connaissance de cause marché dans leur combine, au mieux pour échapper au sort que son Ordre avait réservé à ses prédécesseurs, au pire parce qu'elle est une intruse. Catherine Bonnet, en tant qu'elle était sa collaboratrice à Enfance Majuscule (Fondation Danan), me l’avait recommandée en tant qu'elle la croyait et la disait " de qualité " (sic).

Instruit par l'expérience et par ce que m'en avaient dit les secrétaires de l'Ordre (Cf. le blog de léon), j'avais en octobre 1996 pensé utile de lui dire qu’il ne fallait surtout pas suivre les conseils que le Pr. Breton avait donné aux membres du bureau du Collectif Féministe Contre le viol lors d'un Colloque en 1995. Il leur avait recommandé de d’abord prévenir l’Ordre des médecins dans les signalements de viols (son intervention est rapportée dans les Actes 1995 de ce Colloque, Actes disponibles au CFCV, 9 Villa D’Este, 75013 Paris). Manipulée par de la Morinerie, Catherine Bonnet s’était laissé convaincre que j'aurais voulu la détourner de suivre les recommandations du Pr. Breton. Elle y crut d'autant plus facilement que j'avais devant elle eu la bêtise de critiquer certains critères diagnostics de maltraitances formulés dans le livre de son Confrère et ami le Dr. Pierre Sabourin ("La violence impensable", Nathan, mars 1991). Non seulement elle passa outre mes conseils, et comme moi, le paya très cher, mais elle propagea l'idée que j'étais de l'autre bord. Ce qui expliquerait aussi l'attitude du Dr. Sabourin quand je l'ai revu à l'AFPE alors qu’il m’avait jusqu’ alors renseigné sur qui était qui en la matière (cf. maltraitances.over-blog.com / B § 1). D’avoir fait elle-même l’expérience de ce qu’était véritablement l'Ordre des médecins, elle m'a par la suite demandé pardon de ne m’avoir pas cru et de s'être laissée manipuler par de la Morinerie. Le Collectif Féministe Contre le Viol, présidé par le Dr. Emmanuelle Piet, après son expérience et celle qui fut la mienne apprit à se méfier de ses forfaitures.

Les témoignages de victimes montrent qu'en France l'esprit des médecins est resté très freudien, c'est à dire très réactionnaire par rapport aux fautes (y compris les viols) ou aux erreurs qu'ils peuvent commettre : pour ce qu’il en est de Freud et des psychanalystes, cf. Jeffrey M. Masson "Le réel escamoté " (chez Aubier, 1984), et Louisa de Urtubay "Quand les psys passent à l'acte", (aux P.U.F., 2007).

A l’instar du Canada Dry * qui ressemble à de l'alcool mais n'en est pas, les C-R d’hospitalisations de Bicêtre et l'expertise du Dr Chedru peuvent paraître scientifiques objectifs et impartiaux alors qu'ils sont savamment bidonnés. Il faut non seulement être médecin, mais du sérail pour les décrypter. Le Dr. Chedru a produit un rapport mensonger : il me l’a cyniquement avoué un certain 4 juillet 1996, en ajoutant l'air goguenard que je ferais mieux d’abandonner la partie parce que j'allais m’y épuiser pour rien. Lui savait ce que "ATTEINTE DIFFUSE DU SYSTEME NERVEUX" voulait dire, qui écrivit en conclusion de son expertise, conformément à ce que le parquet et l’Ordre des médecins voulaient l’entendre dire, qu’aucune faute majeure n'avait pas été commise à l’encontre du plaignant .... dans la mesure où il était de toute façon voué à une inéluctable dégradation.

Plus astucieux que lui, le Dr. Yves Dano rédigea une très longue expertise : 44 grandes pages d’une dactylographie serrée, à même, pour un lecteur pressé, d’en dissuader la lecture complète. Il y décrit, noyé dans un flot de redites aussi fastidieuses qu’inutiles, ce qui s’était effectivement passé, qui était par certains côtés que j'ignorais, des plus accablants pour les opérateurs, plus que ce que j’avais par moi-même pu savoir. Mais il conclut (astucieusement ? ! ) en dernière page que le plaignant avait été consentant pour tout ce qu’il lui était arrivé … ce qui était tout à l’inverse et de la réalité et de ce qu’ il venait de démontrer dans la masse de son rapport. Une astuce qui lui permettait de se mettre autant à l'abri de sa conscience qu’abri d'un blâme ordinal.

Ces expertises manifestement bidonnées servirent de prétexte au parquet pour requérir un non-lieu, un non lieu où j’étais, moi, fustigé et accusé d’avoir poussé mon père à porter plainte alors qu’aucune faute n’aurait, d'après les experts, été commise par quiconque (sic) alors que les expertises, en tant qu'elles étaient de complaisance et manifestement bidonnées, auraient ipso facto dû faire inculper les experts pour expertise mensongère ou faux en expertise (tout au moins pour ce qui est des premiers, à savoir les Drs M. Chedru, A. Lienhart et R.-C. Touzard ; le Dr. Dano ayant, mis à part ses conclusions, quand même rapporté ce qui s’était effectivement passé. Et les accusés pour coups et blessures volontaires, mise en danger de la vie, non assistance à personne en danger de mort et escroquerie en bande organisée pour ce qui est des médecins de la Clinique Elmelik et le Maire Marc Méchain ; de Tromperies et tentative d’assassinat avec commencement d’exécution pour ce qui est des neurologues de Bicêtre.

Le Docteur Dano était inattaquable, puisqu’il avait révélé la forfaiture. Personne ne pouvait lui reprocher quoi que ce soit, hormis ses conclusions et le fait qu’il avait obligé ma sœur à venir témoigner en la menaçant de la faire venir encadrée par des gendarmes (selon les dires de ma sœur). Il savait qu’elle avait refusé d’être entendue par les premiers nommés (comment pouvait-il le savoir, sinon de s'être informé auprès d'eux, qui l'avaient informé qu'elle était hostile à tout procès parce qu'elle tenait à préserver ce qu’elle appelait « son héritage », tout procès, civil ou pénal, contre des gens réputés si « puissants » risquant de le lui coûter ce qu'elle appelait "son héritage". Dano était censé ne pas avoir connaissance de l’expertise précédente alors qu’il s’en réclame ouvertement dans la sienne. Il cite et se réclame du rapport du ‘’Professeur . Chedru’’ François Chedru n’était pas encore professeur. Sans doute l’est-il devenu depuis en récompense de ses « loyaux services », alors que son excellent Confère Michel Serdaru n’y eut pas droit; Allez savoir pourquoi

Selon de la Morinerie, qui trouva-là un alibi susceptible de masquer sa forfaiture, ce seraient les déclarations de ma sœur qui auraient été déterminantes dans le prononcé du non lieu.

Il est vrai que ma sœur m’avait promis, en Juin 1992, de me « faire mordre la poussière » (sic) pour avoir mis « son héritage » en danger en n’empêchant pas « papa » de porter plainte après ce qu‘avait dit des médecins de la Clinique Elmelik l‘.Inspecteur Christian Raeckelboom. Selon de la Morinerie, ce sont les déclarations de ma sœur qui firent que je fus accusé d’avoir fait toute une histoire de ce qui n’était que vétilles * . (Cf. les attendus du non-lieu).

CONCLUSION

La bêtise est un péché mortel parce qu’elle conduit au crime, le crime conduisant au mensonge, et le mensonge à faire de vétilles tout une histoire..

En vous priant d’excuser mes dérangeantes considérations, je vous remercie de les avoir lues et, j’espère, comprises.

Pierre Cretien, M.D.

BIBLIOGRAPHIE sur les troubles accessibles au traitement cobalaminique chez les patients infectés par le VIH. (Vitamin B12 deficiency may be a frequent and treatable cause of neurological dysfunction in patients with HIV infection)

1 - Abnormal vitamin B12 metabolism in human immunodeficiency virus infection : association with neurological dysfunction

Karl D. Kieburtz, MD; Daniel W. Giang, MD; Randolph B. Schiffer, MD; Nimish Vakil, MD

Arch Neurol. 1991;48(3):312-314. Accepté pour publication en septembre 1990

2 - Plasma Vitamin B12 Level as a Potential Cofactor in Studies of Human Immunodeficiency Virus Type 1--Related Cognitive Changes

Beach et al. Arch Neurol 1992;49:501-506.

3 - Vitamin B12 Deficiency and Nervous System Disease in HIV Infection

-------------------------------------------------------------------------

* N.B. 1 :Le parquet ne poussa pas le machiavélisme jusqu’à me mettre à l’amende pour plainte abusive.

N. B. 2 : ‘’A. H.’’ (Adolf Hitler) pour patient à l’Hôpital de Pasewalk ’’fine équipe des pieds nickelésen novembre 1918. (Cf. Ernst Weiss, « Le témoin oculaire » , aux éditions Arléa 1963, préface de Jean-Michel Palmier) , à la différence près que le parti nazi serait ici les partisans de la

Dans cette effrayante affaire, je suis un peu dans la situation du Docteur Edmund Forster, un psychiatre allemand qui avait eu ’’. Je suis aussi un peu dans la situation du Dr. Ignacio Semmelweis, qui avait, avant l’ère pasteurienne, fait preuve d’intuitions réalistes en prônant la désinfection pour chasser des maternités ce que l’on appelait alors les « miasmes », et aussi, dans la mesure où mon expérience hospitalière en psychiatrie m‘avait conduit à faire la même analyse que Jeffrey M. Masson au sujet de la doctrine freudienne, un peu dans celle du Dr. Sandor Ferenczi, qui avait en septembre 1932 fini par oser dénoncer ladite doctrine.

Semmelweis et Ferenczi

payèrent cher leur rapport au réel, surtout l’audace d‘avoir voulu en tirer les conséquences. Ferenczi mourut en 1933 d'une anémie de Biermer parce que l'on ne pouvait alors pas les traiter par la B 12 aussi efficacement que de nos jours. Il mourut au grand soulagement de Freud, parce qu' avant de mourir il avait entrepris de parler de ce qu'il savait d'expérience (pour ce qui est de Ferenczi consulter Jeffrey M. Masson, op. cit. chap IV et V et notes pp 244 - 245,

En ce qui concerne l'histoire du Dr. Semmelweis, Cf. la thèse du Dr. Louis-Ferdinand Destouches, alias Céline, et, curieusement, celle d' Elisabeth Roudinesco.

- A qui est supposé connaître un peu la psychanalyse et son corpus disciplino-doctrinaire

De ce l'on appelle la "psychanalyse", je ne suis pas l'ennemi inconditionnel, bien qu'elle soit, dans son orthodoxie, devenue la providence des pédoclastes en leur offrant l'alibi des fantasmes oedipiens dont les victimes seraient restées prisonnières

Cette doctrine (le concept de complexes et de fantasmes oedipiens postulés comme des faits établis, indéniables et obligatoires) convenait à Freud, puisqu'il l'avait inventée pour des besoins égocentriques, comme l'a très bien compris Michel Onfrey. Etait-ce parce qu'il avait fini par s'apercevoir qu'elles lui était applicables qu'il avait repoussé ses premières intuitions sur l'inceste hystéro-traumatogène pour lui substituer la théorie du fantasme traumatogène ? N'était-ce pas parce qu'il avait découvert, après la mort de son père, qu'il pourrait lui même être né d'un inceste - ce qui était pour le coup inavouable - qu'il avait (été "obligé" de) renié(r) ses premières intuitions ? Mais dans ce cas, comment l'aurait-il su ? Qui lui aurait révélé une telle réalité, puisqu'elle était inavouable ? C'est oublier que les réalités inavouables ne le sont plus à l'approche de la mort, et que son père (ou sa mère, ou ses demi-frères) l'en aurait plus ou moins directement informé, où ses propres déductions (il disait de lui-même qu'il était comme ses soeurs, "hystérique", confondant ses conséquences directes - sur les victimes - avec les conséquences générationnelles - sur les descendants d'incestes)

Si Freud est véritablement né de son grand-père maternel, c'est d'un inceste de type 1 qu'il s'agit (consanguin), ce qui "colle" avec l'analyse de ses cauchemars d'enfant .... comme avec son nouveau corpus théorique, ses précédentes affirmations de la réalité existentielle des incestes comme source de complications hystériques s'étant comme par enchantement transformées en réalités fantasmatiques, c'est à dire négationnistes par rapport aux précédentes, d'abord timidement, puis de plus en plus furieusement au fur à mesure qu'il vieillissait. Or son nouveau corps doctrinaire stipulait que les dénis trop appuyés et les inversions équivalaient à des aveux inconscients. Ce qui n'est certes pas preuve indéniable pour les non freudiens, mais indéniable pour qui se veut freudien et cohérent par rapport à sa seconde doctrine.

Quoi qu'il en soit, l'éventualité qu'il soit né d'un inceste est selon mon expérience clinique compatible avec un égo propre à l' inceste de type 1. Il en est ainsi sur terre de bons nombres de personnages, dont de mes ex patients-es, qui étaient doté-e-s, comme Freud, d'un Ego paranoïaque (personnalités mégalo-maniaques), mais c'est loin d'être vrai dans tous les cas (heureusement).

Dans "Châteaux en forêt", Norman Mailer fait d' A.H. (Adolf Hitler) le fruit s d'une relation incestueuse consanguine, alors que la sœur d'Hitler était apparemment saine d'esprit.

Et si Freud est né de l'un de ses demi-frères, comme beaucoup l'ont suspecté, il est né d'un inceste non consanguin (selon la classification de Françoise Héritier), ce qui "colle" un peu moins bien les précédentes présuppositions.

Selon Élisabeth Roudinesco, Jaques Lacan, à l'Ego hystéro-paranoïd (personnalité frontale calembourophile ) aurait été élevé dans une famille nucléaire incestueuse non consanguine, son grand-père paternel étant l'amant de sa mère (Cf. E. Roudinesco "Généalogies", Fayard, 1994; François George, "L'effet yau de poêle de Lacan et des lacaniens", 1979, éditions Hachette; le dictionnaire de psychanalyse (lacanoïd) de Roland Chemama et Bernard Vandermersch, Larousse 1998; et sur le web " Freud et le freudisme, deux lectures de Gabrielle Rubin" (26/02/2011)

La "clé de voûte" de l'édifice freudien n'est pas universellle, mais s'applique à son propre cas et à quelques autres, qui plus sont nombreux qu'on le croît à lui être superposables (en France, on évalue à deux millions les victimes d'incestes). Mais le principe interrogateur de la méthode reste valable ... quoique très dangereux quand on s'adresse à des psychanalystes verrouillés de l'intérieur par leur équation personnelle (voir ce qu'en dit excellemment Murielle Salmona sur le Web) : mon analyste en second (Marie Albertini), une psychiatresse freudo-lacanienne, m'interdit de pousser la porte qu'elle avait verrouillée. Il ne m'avait pas été possible de parler de ce qui me posait problème : il fallait que je me limite à ce qu'elle pouvait entendre : "Ce n'est pas à vous d'imposer vos conceptions ", avait-elle martelé cependant que pour répondre à une question intelligente qu'elle tout haut s'était posé au récit de mon histoire, je lui avait répété la fausse explication que mes parents m'avaient donné pour me détourner d'une réalité qu'il ne comprenaient pas ou ne pouvait comprendre, j'en avais posé une autre, qui n'était pas sans rapport, et que je n'ose plus poser, de peur de déclencher la même réaction. Car après que je l'a lui ai posée, elle s'était mise à en trembler comme une feuille, à fuir mon regard comme s'il brûlait le sien. A sa question, j'aurais sans doute dû réfléchir davantage, au lieu de lui retourner illico une question qui allait tellement l'embarrasser. Sa question avait ressuscité une question que depuis longtemps j'aurais dû reposer à mes parents, qui n'y avaient pas réellement répondu en me répétant leur fausse explication.

La question que Marie Albertini s'était posée tout haut au récit de ma vie était aussi simple que naturelle : pourquoi mes parents m'avaient-ils si précipitamment fait partir en Suède en 1946 alors que la guerre était finie, que personne ne risquait rien des Allemands : ma mère bretonne était à demi juive, ce qu'elle ne m'avait jamais dit, si bien que je me demande si elle-même le savait ou s'en était seulement souciée durant la guerre.

L'histoire s'est donc répétée, encore plus dangereusement que quand j'ai posé la question à Marie Albertini, quand j'ai touché à d'autres mythes: aux mythes d'un Antoine Denis, d'un Gérard Saïd, d'une Assistance Publique, d'un Conseil de l'Ordre, d'un François Chedru, d'une de la Morinerie et tutti quanti irréprochablement "éthiques", .... et last bur not least, d'une Marie Albertini et d'une épouse qui l'étaient aussi forcément, puisque psys lacano-idolâtreuses.

N.B. 3 : Etait-ce dans une semblable intention, me faire passer pour complètement déjanté - mêmes situations mêmes effets - que le Professeur Gilbert Tchernia ( l’hématologue-médiateur de Bicêtre qui avait été dénicher que le test de Schilling avait bien été à 5%, donc que le malade était vraiment affecté d‘une carence cobalaminique) avait été remplacé au dernier moment par un psychiatre proche du Pr Saïd pour conduire un simulacre de « Commission de conciliation » organisé par l’ hôpital Bicêtre et fixé pour 24 septembre 2004. Le Pr. Tchernia fut comme par hasard déclaré indisponible.

Le but de ce simulacre n’était évidemment pas rendre compte de ce qui avait motivé les neurologues du Service Saïd à ne faire que semblant d’administrer à leur malade le traitement qui lui fallait, mais de relayer le Dr. Bodenan avec lequel le Service s’était déjà entendu en 1992 pour « établir » que le malade n’avait fait que développer des complications neurologiques d’ origine vasculaire.

Autrement dit, dans cette affaire, les coupables de fautes mortelles cherchaient à me neutraliser pour échapper à leurs responsabilités Tout un « brain trust » s’était mobilisé pour me faire supporter la responsabilité de leurs « erreurs», des erreurs qui avaient été délibérément commises pour faire disparaître aussi secrètement que possible un malade susceptible, au cas où un traitement bien conduit aurait été fait, de s’en prendre au CNTS et à l’A.P. parce qu’il était susceptible de développer un sida post-transfusionnel. Ce qu’il avait peut-être bien commencé à faire. La maladie de Biermer et les déficits cobalaminiques sont en effet une expression relativement fréquente de l’infection à VIH. Ils sont alors accessibles au traitement cobalaminique (Cf. la Revue Archives of Neurology, qui a consacré un grand nombre d’articles à ce sujet. Le Pr. Saïd a fait disparaître cette Revue des rayonnages de la Bibliothèque du CHU Bicêtre. Allez savoir pourquoi ?.

En France, la politique de l ’Ordre est de tenir les médecins et les avocats en respect par la terreur … Cette attitude est à mon avis en rapport avec une mentalité héritée de son origine vichyssoise, calquée sur le droit des seigneurs, qui avaient droit de cuissage (Cf. « Quand l ’Ordre règne », chez Mango document, avril 2001). C’est pourquoi j’avais demandé à madame Bachelot-Narquin qu’une Commission d’Enquête parlementaire soit constituée pour statuer sur ces graves dysfonctionnements des Services médico-judiciaires..

Ordre dans cette affaire, la mise en examen du Dr. Patrice Bodenan me paraissant à tout le moins nécessaire pour juger de sa capacité à former des experts judiciaires indépendants .

Samedi 12 mars 2011

La psychanalyse, les pseudo-sciences et la zététique.

Dans le numéro hors série de Science et pseudo-sciences consacré aux "dessous du divan" (n° 293, décembre 2010), le zététo-mathématicien Jean-Louis Racca écrit (page 113):

<< Un psychanalyste ne sera pas présenté comme tel lorsqu'il n'est pas à son avantage. Il en fut ainsi lors du premier "procès d'Outreau". On a en général retenu la mise en cause du juge. Mais qui se souvient du rôle de certains experts dans ce qui reste souvent qualifié de " fiascojudiciaire" ?.

Ce n'est pas en lisant l'article du Monde rendant compte de l'audience au cours de laquelle << la présidente de la cour, (..) et l'avocat général (...), ont même éclaré de rire à la lecture de certaines (expertsies) >>que le lecteur pourra savoir que les deux experts défaillants (soulignement mien), sont psychanalystes, ce qui serait purement factuel : l'auteur les qualifie de ''psychologues'' >> ...

Or les experts étaient bien psychologues, et non pas "psychanalystes".

Dans cette affaire d'abus, ce ne sont pas les psychologues qui se sont fourvoyés, mais un ''inénarrable'' psychanalyste (et psychiatre)?

Cf. Marie-Christine Gryson-Dejehansart dans son rapport sur cette affaire, rapport paru chez Hugo & Cie en octobre 1009 sous le titre "OUTREAU - La vérité abusé" un rapport bien tort boycotté par les médias.

Mardi 8 mars 2011

Les secrets de famille et la connaissance interdite.

Je renvoie pour l'heure à l'article déjà publié sur "Freud et le Freudisme, deux lectures de Gabrielle Rubin" et aux pertinentes réflexions du Professeur Jean-Yves Hayez au sujet des conséquences possibles des secrets de famille, ainsi qu' à l'oeuvre de Marie Balmary dans "L'homme aux statues" et aux recherhes de Marianne Krüll.

Quel est l'enjeu des secrets de famille (et au delà des secrets restreints à la famille, des secrets politiques ou institutionnels) : quasiment toujours "l'image" d'une personne, d'une institution ou d'une corporation, voire d'une communauté.

Marie Balmary

comme le Professeur Henri Baruk m'avaient, indépendemment l'un de l'autre, invité à voir dans la Bible un livre d'enseignement plutôt qu'un livre religieux.

Le Professeur René-Claude Touzart à propos d'une de ses expertises, m'avait exposé qu'il ne pouvait faire état de la réalité dans la mesure où cela mettrait à mal "l'image des médecins; que la médecine n'avait vraiment pas besoin de cela ", une des raisons pour laquelle il avait chargé un de ses confrères le Dr. François Chedru (que le Pr. Olivier Lyon-Caen invitera sur France Culture à parler d'expertises dans une émission intitulée "Avec ou sans rendez-vous") de rédiger une expertise escamotant sciemment une réalité indicible.

Prise dans un "conflit de loyauté ", Christine Malèvre ne pouvait parler de ce qui l'avait poussé à aller trop loin dans sa complaisance, abusivement transformer par déplacement paradigmatique, en "compassion" envers ses malades. (voir blog de leon 73331815)

Jeffrey Moussaïeff Masson

, quand il fut en tant que psychanalyste expérimenté, pressenti pour prendre la direction des Archives Freud, s'était aperçu que les lettres que Freud avait adressé à son ami Wilhem Fliess étaient systématiquement caviardées, et que le caviardage avait un sens: escamoter une réalité choquante, à savoir la fréquence avec laquelle les malades, et particulièrement les femmes dites "hystériques", avaient dans leur enfance effectivement été victimes d'attentats à la pudeur". Il révela sa découverte dans le New York Times en août 1990, et les publia trois ans plus tard dans un livre, sous le titre "Assault on truth", livre qui eut un grand retentissement aux Etats-Unis, mais pas en France, malgré sa parution un an plus tard sous le titre de "Le réel escamoté", titre que je trouve excellent, même s'il est un peu en deça du titre original, qui aurait dû être "Le viol de la vérité" ou "Le viol du réel " .

Le Dr. Pierre Sabourin a critiqué ce titre dans son propre rapport sur la question, qu'il a intitulé "La violence impensable", paru chez Nathan en 1991.

Peut-être est-ce la raison pour laquelle Eva Thomas a choisi d'intituler sa propre expérience sur la question "Le viol du silence", paru en 1986 chez Aubier l'éditeur français de "Assault on truth".

Ce livre est tellement percutant (ou "père-cutant", pour l'inscrire dans le disqu'our courant lacanoïd) que le psychanalyste Samuel Lepastier, lorsque qu'il l'a cité dans son commentaire, sur l'inconscient des enfants d'Outreau (Cf. "La vérité abusée" de Marie-Christine Gryson-Dejehansart), s'est bien gardé de signaler qu'il en existait une traduction française , Le Monde du 8 février 2006) paru chez Aubier sitôt après sa parution aux Etats-Unis. (Cf. Le procès d'Outreau et la psychanalyse, par Samuel Lepastier

La prochaine fois, il faudra que je parle de la question des 11 dimensions de l'inconscient chez Jacques Lacan et de la réponse que François Balmès a donné lors de la présentation de son livre "Ce que dit Lacan de l'être 1959 - 1960 ".

François Balmès

avait tenté d'apporter une réponse à la question d'un auditeur lors une Table Ronde organisée par Collège de Philosophie le 24 mai 2003.

Celle-ci était "Comment Jacques Lacan concevrait-il l'Inconscient maintenant que l'on sait que l'espace n'a pas quatre, mais onze dimensions " ?

A ma stupéfaction François Balmès a répondu à cette question ...... jusqu'à ce qu'il s'aperçoive, au bout d'une dizaine de minutes, qu'il ne se rappelait plus quelle était la question qui lui avait été posée ... Or de nombreux auditeurs étaient là qui ont enregistré la séance. S'il en est qui ont conservé la conférence, il serait de la plus haute importance de publier cette réponse, avec la permission du Conférencier, cela va sans dire.

Dans sa réponse, je n'ai pas le souvenir que François Balmès ait tenu compte de ce qu'il existerait dans l'Inconscient freudien des variables cachées. Il devrait lire Roudinesco ou Jacques Bénesteau. Les deux sont instructifs, ainsi que Jean-Yves Hayez et Serge Tisseron.

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25 avril 2012 3 25 /04 /avril /2012 12:22

 

 Bien qu'aucune expérience, faite dans des conditions rigoureuses, n'ait  pu mettre la réalité du phénomène évidence, Sigmund Freud et Jacques Derrida, croyaient, sans trop oser l'avouer ouvertement, à la transmission de pensées.

 

Cité  Bertrand Méheust, Jacques Derrida estimait que la transmission de pensée était nécessairement inhérente à la psychanalyse  (Cf. , "Le dégoût et l'effroi " , in La guerre des psys, page 143, chapitre sur la nécessité d’une nouvelle alliance, Ed. Le seuil - Les empêcheurs de penser en rond, 2006, Collection dirigée par Philippe Pignare ).

 

 

On objectera avec raison que Freud était plus un esprit mystique qu'un esprit scientifique,  et que la "psychanalyse" est à la Science ce que le Ginger Ale est à l' alcool.  Mais si le Ginger Ale ne contient en principe pas d'alcool, les boisons alcoolisées ne sont jamais de l'alcool pur.



Je veux dire par là que la majorité des mortels, y compris un grand nombre de rationalistes, y croit plus ou moins secrètement.

 

J'ai moi-même rapporté dans ce blog le mois dernier "l'expérience" fortuite, faite il y a quelques années, au mois d'avril, dans un châlet de montagne (à Vallorcine, en Haute Savoie, pour être précis) alors qu'un gamin de 14 mois était devant moi en train de manipuler le tube de crème  solaire qu'il venait de trouver.

 

Rappelons les faits : le gamin, qui commençait à savoir marcher vaillamment et sans aide, s'était placé devant moi. Il venait de s'emparer du tube de crème posé près de la fenêtre du salon. Alors qu'il examinait le tube sur toutes ses coutures, j'avais pensé : « il ne manquerait plus qu'il aille dans la cuisine, ouvre la porte du four  de la cuisinère qui s'y trouve et qu'il y place le tube pour donner raison aux interprétations que Françoise Dolto ferait probablement d'un tel comportement ». (le lecteur est supposé connaître l'interprétation pschanalytique qu'elle en aurait probablement donné).  .

 

A peine avais-je pensé cela que le gamin se dirigea d'un pas mécanique vers la cuisine, ouvrit la porte du four qui s'y trouvait, plaça le tube à l'intérieur du four, en referma la porte, revint dans le salon,  l’air satisfait,  et passa à d'autres occupations.

 

On m'objectera  certainement  que le comportement du gamin prouve moins l'existence de la transmission pensée que la pertinence de la  théorie freudienne.

 

Je pourrais tout aussi bien objecter à cette objection que la théorie freudienne résulte elle-même de la suggession hypnotique.

 

D'autres "expériences involontaires", que chacun aura pu faire, semblent attester la transmission de « pensées » : quand, p.ex. au cours d'une discussion, le nom d'une personne, aussi connue de l'interlocuteur que de nous-même, échappe, ce nom échappe aussi à celle ou celui à qui on s’adresse, et ce bien que l'interlocuteur voit très bien de qui on voulait parler.

 

Mais dans ces cas, ce qui se transmet serait plus la transmission d’un blocage dans que la transmission d’une pensée.

 

Comment expliquer ces blocages ?

 

Ils pourraient  eux aussi être relatifs à l’état hypnotique dans lequel se trouve peu ou prou automatiquement plongé l’interlocuteur auquel on s'adresse: mais si l’hypnose reste un phénomène objectivable, il reste en fait inexplicqué, selon Léon Chertok lui-même, sauf à faire appel à la transmission de pensées .... ! 

 

Bertrand Méheust écrit  "Devant les implications de ces phénomènes, Freud a reculé: il a moins cherché à les étudier pour eux-mêmes qu'à sauver sa théorie; comme un prestidigitateur, il a entretenu ses disciples et ses lecteurs dans l'indécision sur ses pensées secrètes ......." ;

 

Mais les pensées secrètes de Freud, qui pouvait les connaître? 

 

Peut-être ne les connaissait-il pas lui-même ? 

 

Car il y a statistiquement une chance sur six qu'il n'ait pas été véritablement le fils de Jakob Freud, si on veut bien suivre le raisonnement de Gabrielle Rubin !   

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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9 février 2012 4 09 /02 /février /2012 16:32

L'expérience de Standley Milgram  sur la soumission à l'autorité est mieux connue en France depuis que la télévison française en a reproduit les modalités. 

 

La notion (ou concept) de "consentement meurtier" développé par Marc Crépon n'en est qu'un aspect dérivé, et peut-être aussi la notion de la "banalité du mal" décrite par Hannah Arendt.

 

Le Dr. Jean-Yves Beinis s'était sans remords ni honte  senti autorisé à ne pas administrer à son malade le traitement qui lui était absolument nécessaire cependant que celui-ci souffrait d'un syndrome neuro-anémique cliniquement évident, c'est-à-dire d'une affection à la fois très douloureuse, très angoissante et inéluctablement mortelle. Pourquoi ? Parce qu'il lui avait été recommandé par les neurologues de l'hôpital Bicêtre, qu'il considérait comme des supérieurs hiérarchiques, d'agir ainsi. Il n'avait pas même eu l'idée de chercher à comprendre ce que cachait leurs très curieuses recommandations !  

 

On pourrait en dire autant de la soumission des psychiatres à l'autorité de Freud,  Cette soumission  a beaucoup à voir avec "la banalité" et peut-être aussi "l'origine  du mal". C'est un problème sur lequel il faudrait que je m'explique plus clairement.

 

Comme le craignait Freud, << "ça"  finira par se savoir >>

 

Mais revenons  à ce  cas  de soumision à l'autorité appliqué à la maltraitance hospitalière: il s'agit de :  

 

-  l'affaire du sang contaminé  (subséquentes aux relations "incestueuses" que  l'A.P. entretenait avec le C.N.T.S. ?)

  

2° -   des euthanasies prétendument compassionnelles auCHU de Mantes-la-Jolie.

( assassinats "thérapeutiques" ciblant des malades transfusés )

 

3° - des viols de parturientes  commis par le médecin propriétaire de la Clinique Elmelik (sise à l'Hay-les-Roses).  

 

des menaces que l'Ordre des médecins a fait peser sur une des victimes du même praticien et son conseil, qui visaient à l'empêcher de se porter partie civile

 

de l''occultation des preuves , des mystifications de l'Assistance publique et des entraves faites à la manifestation de la vérité, relayées par les manoeuvres dilatoires de l'autorité judiciaire, faits qui reflètent une justice au service du pouvoir politique : la plainte fut classée non-lieu de façon méprisante et quasi injurieuse malgré l'accumulation de preuves présentées, aussi accablantes qu'irréfutables.

 

6° - de la falsification d'un test diagnostic (le test de Schilling) pour dérouter le diagnostic, et empêcher la cobalamino-thérapie d'être mise en oeuvre   

 

7° - de la mise en place au CHU de Bicêtre de "l'Espace Ethique de l'Assistance Publique" confiée au  Chef du Service où ladite falsification a été faite 

 

8° - de l'occultation subséquente de la Revue dec référence "Archives of Neurology" à la bibliothèque du CHU Bicêtre

 

9° - du maintien en service de la Clinique de l'Haÿ-les-Roses et les "hautes protections" administratives et judiciaires dont elles jouissait  malgré (ou à cause de ?) ce qui s'y passait.

 

10° - De la nomination du Dr. Patrice Bodenan  au poste de président du Conseil disciplinaire de l'Ordre des médecins en Ïle-de-France et son Memoire de médecine légale en 1999 sur les "Problèmes éthiques posés par les Commissions de Conciliation hospitalières", Mémoire patroné par le non moins éthique Pr. Christian Hervé

    

et 11° - à la même époque de l'incendie des archives et la réfection totale de  Mairie de l'Haÿ-les-Roses, une réfection luxieuse qui a grevé et continue de le grever lourdement  le budget de la Municipalité de l''Haÿ-les-Roses 

 

- Comme l'avait signalé le Dr.Claude Poulain,  l'ex Secrétaire général du Conseil de l'Ordre des médecins du Val-de-Marne à propos du Dr. Bodenan et de son président Jean Pouillard,  qui savait les turpitudes et les protections dont jouissaient les médecins Clinique de l'Haÿ-les-Roses,  "le ver est dans le fruit".  

  

                                                                                       - / -

 

 

Exemple de soumission à un "ordre" de maltraitance mortelle : le décès de mon père est survenu inopinément dans l'après-midi du 2 octobre 1994, la veille de sa sortie de l'hôpital Charles-Foix, un hôpital de l'Assistance Publique situé à Ivry-sur-Seine.

 

 

Aucune recherche sur la cause de sa mort n'a été entreprise malgré (ou plutôt à cause de ) son importance médico-légale.

 

Plus curieusement encore, mon père avait 4 ans plus tôt pu échapper de justesse à la mort alors qu'il était hospitalisé dans un autre Service du même hôpital : voyant qu'il allait de plus en plus mal, une infirmière m'avait demander de vérifier le traitement administré. De fait, celui-ci ne correspondait pas à celui qu'il aurait impérativement fallu faire, ce qui m'avait obligé d'intervenir : mon père souffrait alors d'un syndrome neuro-anémique manifeste, un syndrome neurologique douloureux très angoissant et inéluctablement mortel s'il n'est pas traité comme il convient, c'est-à-dire par une vitaminothérapie B12 intensive, urgente et prolongée. La maladie de Biermer - aussi appelée "anémie pernicieuse" - est de loin la principale cause de ce syndrome. C'est une affection fréquente, au traitement codifié, tout le contraire d'une maladie orpheline.

 

- / - 

 

Mon père avait  pu être sauvé vraiment in extremis : bien que le retard apporté au vrai traitement ait indubitablement été cause de séquelles motrices sévèrement invalidantes, les médecins experts, par solidarité corporatistes avec les responsables ( par "consentement meurtrier", conformément aux desiderata manifestes du parquet, minimisèrent à l'extrême dans leurs conclusions les énormes fautes qui avaient été commises et leurs terribles conséquences. Le rescapé avait, à juste titre, pu porter plainte pour coups et blessures volontaires, mise en danger de la vie et non assistance à personne en péril, malgré les réticences du procureur et les menaces de l'Ordre des médecins - à son et à mon encontre ( et à l'encontre de ses avocats, qui furent terrorisé-e-s par le Dr. Patrice Bodenan °°°, déclaré "très influent au Palais" ).

 

S'agissant d'une affaire criminelle aussi sensible que l'affaire Boulin, j'ai l'ai portée sur Internet (réf. Google n° 73331815 html (en remplacement du n° 34640354 devenu illisible et inaccessible), 93849354 html et 97307227 html (entre autres) afin que le Pr. Gérard Saïd en tant qu'il a couvert les agissements de ses subordonnés et à caché le dossier du malade daigne donner suite aux menaces de plainte qu'il avait proférées contre moi.

Il les avait proférées le 24 septembre 2004 devant le Pr. Patrick Hardy, lors d'une soi-disant Commission de Conciliation (tout à fait bidon) organisée par Madame Isabelle Pilot,"chargée des relations de l'hôpital avec la Clientèle" après que la CADA a fait suite à ma demande que le dossier du malade me soit enfin communiqué ( il l'avait, avec l'aval du Conseil de l'Ordre - via le Dr. Patrice Bodenan - communiqué aux médecins de la Clinique Elmelik ! contre qui mon père avait porté plainte.

 

Du fait que la tentative d'assassinat perpétrée en 1990 avait ratée, que la soi-disant "erreur" de traitement qui avait été commise pouvait être comprise pour ce qu'elle était, c'est-à-dire intentionnelle, la tentative avait rapidement fait l'objet d'un maquillage et de dissimulations de preuves afin de tuer dans l'œuf l'éventualité d'une plainte du rescapé ou de sa famille.

J'avais en 1990 pu contrer cet assassina sans savoir que c'en était un grâce au signalement des infirmières de l'Unité de Soins Normalisés (sic) de l'hôpital Charles-Foix. Elles avaient trouvé bizarre, et s'en étaient inquiétées , qu'il leur soit demandé par leur Chef de Service de faire semblant d'administrer un traitement qu'elles savaient le seul à pouvoir sauver la vie du patient.

 

Malgré l'opposition farouche de ma sœur, qui pourtant avait été témoin de ce qui était arrivé, mon père porta plainte pour coups et blessures, mise en danger de la vie et non assistance à personne en péril devant le procureur dans une courte lettre datée du 17 décembre 1990 (adressée au TGI de Créteil).

 

Mon père lui ayant répété les dires de la Police de l'Haÿ-les-Roses au sujet de l'activité des médecins de la Clinique Elmelik, ma soeur, craignait les conséquences financières d'un procès contre des gens présumés "intouchables" (selon les dires du Commandant Christian Raeckelboom, le 23 janvier 1991 lors lors de l'audition, ils étaient protégés en hauts lieux. Il n'arrivait pas à se l'expliquer, l'attribuant à la grande fortune des Elmelik, héritiers par leur mère d'une famille de banquiers).

 

Lorsqu'il porta plainte, mon père croyait qu'il devait la vie aux neurologues du Service du Pr. Gérard Saïd, qui l'avaient pris en charge.

ll avait une première fois failli mourir d'hémorragies cataclysmiques dans la Clinique Elmelik, sise à l'Haÿ-les-Roses, la Commune où il habitait. Il y avait consulté un rhumatologue, qui, au lieu de lui prescrire des semelles orthopédiques, ce pourquoi il était allé le voir, lui proposa la cure d'un cor (un acte anodin coté K20 à faire sous garrot d'orteil et anesthésie locale, un acte qui ne nécessite pas la mise sous anticoagulants).

 

Sans prévenir, il lui imposa, après l'avoir fait endormir une double opération orthopédique, faite précipitamment (à la sauvette) dans des conditions rocambolesques. Les suites furent désastreuses, poune pas dire épouvantables. Les actes non seulement étaient absurdes et interdits, mais néfastes (sauf pour le cash flow de la Clinique). Ils n'ont fait que précipiter et aggraver l'anémie pernicieuse. .

L'erreur de mon père dans la formulation de sa plainte fut de l'avoir pincipalement axée contre le pseudo chirurugien et l'anesthésiste de cette Clinique. Au lieu de se limiter à l'acte très limité qu'il lui avait proposé (la cure d'un cor au pied, un acte en K 20, un acte qui se fair sous anesthésie locale et qui ne nécessite pas de traitement anticoagulant en post-opératoire).

 

Son erreur pouvait se comprendre. Il était dans le coma quand il reçut lr traitement qui le tira d'affaire. Il croyait que c'était aux médecins de l'Assistance publique qu'il devait la vie alors que c'était aux infirmières de l' USN du Dr. Beinis qu'il la devait. Elles avaient su faire le bon diagnostic : à des signes caractéristiques lors d'une tentative pour l'alimenter, la Surveillante (Mme Pondu) avait compris de quoi il s'agissait, c'est-à-dire que le traitement administré non seulement était erroné, mais qu'il allait bientôt être fatal ai malade (en l'alimentant, la Surveillante avait remarqué au'il présentait ce que l'o, appelle une glossite de HUNTER, qui est une des caractéristiques de la maladie de Biermer et des syndromes neuro-anémiques.

 

Bien qu'elle ait signalé le fait au Chef de Service, elle n'avait pas réussi à faire changer le traitement. Elle avait alors délégué une de ses infirmières pour me le faire comprendre. J'avais ainsi pu (et dû) prendre moi-mêrme la responsabilité de rectifier le traitement et de sauver la vie de mon père au dernier moment, alors qu'il était en train de mourir.

 

Si dans cette sinistre aventure mon père avait perdu la vie, il aurait fallu porter plainte pour homicide volontaire prémédité et escroquerie en bande organisée, et non, comme il l'avait fait, contre les médecins de la Clinique Elmelik, dans l'ignorance qu'il était de ce qui s'était réellement tramé à son encontre, qui impliquait autant les médecins de la Clinique Elmelik que les neurologues chez qui il avait ensuite atterri.

 

J'étais moi aussi à ce moment-là loin de savoir que ce qui s'y était passé pouvait avoir quelques rapports avec les transfusions de sang dont mon père avait "bénéficié" en avril 1984 à l'hôpital Saint-Antoine. A cette époque, en 1990, j'étais "le nez dans le guidon". Les informations complémentaires sont venues après enquête. J'étais alors loin de savoir que la Clinique Elmelik était avec l'hôpital Bicêtre impliquée dans une communauté d'intérêts. Je n'ai trouvé cette information que fortuitement le 15 avril 2010 (cf. infra).

 

La nécessité de sauvegarder l'existence de cette Clinique était bien plus prosaïque que ce que je pouvais croire d'après ce que l'Inspecteur Christian Raeckelboom m'avait révélé au Commissariat de l'Hay-les-Roses le 23 janvier 1991: la Clinique Elmelik était comme il me l'avait annoncé, "protégée en hauts lieux" , mais les protections dont elle bénéficiait résultaient moins de ce que le Dr. Jean-Claude Elmelik s'y livrait à des viols sur les parturientes que de ce qu'elle servait de solution finale aux Services qui avaient à se débarrasser des malades dont les hôpitaux avaient à se débarrasser, qui avaient fait l'objet de contaminations "nosocomiales" aux VIH. C'était parce que les propriétaires avaient accepter de remplir cette fonction que leur Clinique était "protégée en hauts lieux''. C'est ce qui permettait au Dr. Jean-Claude Emelik et à ses médecins de s'y livrer à toutes sortes d'extravagances.

 

Il n'y allait donc pas tant de la réputation de cette Clinique. Elle était déjà si décriée (et vantée) que sa réputation n'était plus à faire. Il ne s'agissait pas non plus de la seule réputation du Service de neurologie du Pr. Gérard Saïd, mais au delà de sa réputation, de celle de l'Assistance Publique toute entière, et de la tranquillité des responsables mais non coupables de décisions qui se sont révélées dans l'après-coup désastreuses (meurtrières), et finalement beaucoup plus coûteuses en réparation des préjudices qu'escompté qu'à l'époque où l'on croyait que seulement 5 % des personnes contaminées par des produits sanguins contaminés développeraient un sida maladie. Des produits que les hôpitax de l'A.P. avaient accepté d'écouler.

 

C'est ce qui explique il avait tout de suite eu dissimulation de preuves et mystifications pour nous empêcher de voir que mon père avait été contaminé en avril 1984 parce que la symptomatologie qu’il avait développée correspondait à la symptomatologie neurologique des contaminations VIH . L'incidence de la maladie de Biermer s’était accrue de 20 % depuis l’extension des contaminations VIH, ce qui explique aussi les effets bénéfiques de la vitamine B12, maintes fois signalés dans la littérature médicale concernant les sida d’expression neurologique (Cf. "Archives of Neurology", Revue comme par hasard retirée des rayonnages de la bibliothèque universitaire du C.H.U. Bicêtre, sous prétexte que c'était une "très mauvaise Revue" (dixit le Pr. Gérard Saïd)

 

................................

 

 Pour  complément  se reporter  à 73331815 html

 

 

 

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10 octobre 2011 1 10 /10 /octobre /2011 17:25

Selon Charles Darwin et les darwiniens, l'évolution des espèces tient à ce que la nature préserve de l'extinction  les espèces qui trouvent un moyen de subsister au changement de leur environnement, c'est-à-dire les espèces qui se sont "adaptées". On parle actuellement de "pression sélective"  de l'environnement et/ou davantages adaptatifs, notions que l'on cherche à étendre à tous les domaines, ce qui fait du darwinisme une idéologie, voire une religion. 

Corrolaire de cette définition: si l'environnement vient à changer, les espèces doivent être elles-mêmes en mesure de changer de mode d'existence pour subsister, ce qui pose de gros problèmes à celles qui se sont trop spécialisées pour s'adapter à un milieu particulier, et qui de ce fait sont trop dépendantes de celui-ci, à moins d'être elles-mêmes dotées des moyens de modifier ledit milieu à leur profit.

Ces conceptions expliquent mal la survenue de dons naturels survenus sans l'aide d'une pression sélective, comme le serait par exemple la "bosse des maths", qui existe d'emblée chez l'espèce humaine.   
 
Telle qu'elle  est formulée, la théorie darwinienne est une théorie tautologique, voire une  lapalissade.

A son époque, sa théorie ne suffisait pas  à rendre compte de l'évolution des espèces. On comprend que Darwin  ait alors eu de très nombreux contestataires et adversaires. La théorie  s'est approfondie avec la découverte du code génétique et des mutations, encore que la stabilité de certaines espèces à travers des centaines millions d'années soit en contradiction avec le fait que les mutations soient si fréquentes. Pourquoi en effet certaines espèces comme les scorpions ou les tortues ont-elles si peu changées malgré les changements de l'environnement, changements qui entre-temps ont  soit fait disparaître soit fait évoluer rapidement un si grand nombre d'autres espèces ?  

L'espèce humaine n'est pas une espèce très spécialisée. Elle a jusqu'à un point difficile à évaluer dans toutes ses conséquences, réussi a modifier les conditions de son existence terrestre.  Les changements que notre espèce y opère pourraient cependant un jour se retourner contre elle. Cela a déjà failli se produire, p. ex.  avec la crise des fusées installées à Cuba.
Elle en prend de plus en plus conscience. Est-ce que cela suffira à la sauver ?

Si le darwinisme est une science, il est réfutable, et parce que  réfutable, serait scientifique. Je n'ai en fait rien compris aux critères de Popper. Les dogmes religieux ou psychanalytiques sont au plus haut point contestables, cela ne fait pas pour autant du catholicisme, du judaïsme ou de la psychanalyse des sciences !   

Est-ce pour autant qu'il faille mettre le darwinisme sur le même plan que les croyances religieuses et la psychanalyse ?

On sait la guerre  que les tenants des religions du Livre et de la psychanalyse , qu'ils soient juifs ou chrétiens, font aux concepts darwiniens, vécus comme  concurrents et menaçants par rapport à leurs conceptions  religieuses.
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5 octobre 2011 3 05 /10 /octobre /2011 14:49

Hier soir 04 octobre 2011 une austère psychanalyste répondant au nom de Marie Laure Susini est venue à "Ce soir ou jamais", l'émission de Frédéric Taddéï,  quasiment faire l'éloge de la corruption, fustiger les moralisateurs et les redresseurs de torts, ceux qu'actuellemrnt sont dits être de  "lanceurs d'alertes".

Les victimes du MEDIATOR apprécieront, itou les victimes de Ben Ali.

Le Docteur Irène FRACHON, qui a réussi, grâce au soutien  de la Revue Prescrire, à faire que le Médiator  oit retiré du marché, pourrait  se sentir visée.

Si  cette psychanalyste  n'est pas directement bénéficiaire de Servier, au moins est-elle directement bénéficiaire de l'escroquerie psychanalytique, qui consiste à faire croire aux patients "mal dans leur peau" qu'ils sont les premiers responsables de leur mal-être. Le Dr. Père (psychanalyste) défendait l'idée que les patients étaient guéris par la psychanalyse quand  ils acceptaient l'idée qu'il étaient responsables de leur état, et qu'ils se résignaient.

Un psychanalyste américain avait  intitulé son livre  "Faites vous-mêmes votre propre malheur" (en allant voir un psychanalyste, aurait-il dû ajouter, parce que la psychanalyse a bien trop souvent des effets bien plus délétères, c'est-à-dire  iatrogènes, que le MEDIATOR. Une excellente  journaliste scientifique attachée à la Revue "La Recherche" et répondant  au nom de Marie-Laure THEODULE pourrait certainement lui expliquer pourquoi la France est tellement en retard concernant le traitement de l'autisme infantile.

Pour faire contre-poids à l'invitation de cette psychanalyste, Frédéric Taddéï aurait dû inviter Louisa de Urtubay, qui a osé  parler dans un de ses livres, resté plutôt  confidentiel, des psychanalystes, et non des moins célèbres, ont sur les patient(e)s  "passé  à l'acte"  (façon DSK, en pire).  Le livre est paru en 2007  aux P.U.F., mais on en a pas souvent entendu parler.

A propos de l'affaire DSK,  Françoise Laborde et Denise Bombardier viennent de faire paraître chez Fayard un petit fascicule leur réflexion sur le "mal français". Titre : Ne vous taisez plus. L'incroyable Marie-Laure Susini ne manquera pas de les fustiger, qui fait la morale aux moralisateurs ! L'injonction contradictoire, elle connaît ?
Dommage  que dans cette émission, à laquelle assistait maître Lévy, on n'ait pas  n'osé  s'attaquer à ce qui fait véritablement problème dans notre pays, un problème qui grève lourdement les finances de la Sécurité Sociale  et la Santé  mentale, c'est à dire à la psychanalyse freudienne pure et dure (non pas toute psychanalyse), qu'il vaudrait mieux qualifier de "psychanalyse fraudienne". Michel Onfray a réussi à la dire dans son livre "Crépuscule d'une idole" , peut-être parce qu'il n'avait  pas (encore)  compris que des parents pouvaient , plus souvent que l'on ose le savoir, être maltraitants (moralement et sexuellement) à l'encontre de leur propre progéniture. 

Une autre psychanalyste, morte récemment (Alice Miller), avait bien compris combien la "maltraitance" des enfants pouvait grever l'avenir. Elle avait compris que l'avènement  d'Adolf Hitler  et des nazis au pouvoir pouvait en avoir  été un de ses aspects (voir "Tempête aux archives Freud", aux P.U.F.  et "Pourquoi Hitler", de Ron Rosenbaum, 1998, chez Jean-Claude Lattès, éditeur. 

La corruption et la "triche" médicale ( qu'elle soit sexuelle- pédo-sexuelle ou chirurgicale ( cf. le J.A.M.A. de mai ou de juin 1989 où cet aspect des pratiques est abordé, ou l'article du Pr. Charles Msika, chirurgien orthopédiste, traitant  aussi de ce  problème dans le numéro de mars 1991 de Médica Judaïca - n° 24, peut-être parce qu'il avait été sensibilisé par ce qui  s'était- passé l'année précédente dans le Service de son Confrère président du "Comité Scientifique"  de cette Revue  le Pr. Gérard Saïd - cf. l'affaire rapportée sur Internet et   ci-infra rappelée)?, confortée et encouragée par la terreur que fait régner l'Ordre des médecins sur les praticiens qui osent dénoncer ces pratiques, tout comme la papauté excommuniait quiconque dénonçait les dérives des prêtres. Voir ce qui se passai à la Clinique de l'Haÿ-les-Roses du temps des Elmelik. Le maire Patrick Sève, le parquet de Créteil (et de Paris) , l'Ordre des médecins  et la direction de l'Assistance Publique étaient parfaitement au courant, qui la protégeaient parce qu'elle leur rendait "service"  Sur ces affaires, je suis à votre disposition pour vous apporter  les preuves matérielles de ce que j'avance , preuves que le parquet concerné à délibérément occultées  (cf. 34499148 html). Que média-part ne s'interroge pas davantage sur ces problèmes pour en révéler les dessous me pose problème. Encore hier soir à l'émission "Ce soir ou jamais"n une psychanalyste est venue faire l'éloge de la corruption : et pour cause, la théorie sexuelle du fantasme, développée par Freud, est une escroquerie monumentale  à l'origine de millions de suicides d'adolescents de par le monde,  voire de suicides d'enfants, ou de mères d'enfants autistiques, sur-culpabilisés par la perversité intrinsèque de  ses  théorisations. Ce n'est pas même Boris Cyrulnik qui osera les dire - même s'il les sait - parce que ce serait un suicide professionnel que d'oser le faire. Alors qu'il est en désaccord avec ces théorisation, il fait semblant de les adouber en citant Freud à tout propos.  Les psychanalystes, tout comme les prêtres dans les confessionnaux, peuvent savoir ce qui se passe réellement dans les familles (les abus sexuels y sont extrêmement  fréquents, et certains en profitent pour s'y coller, ce qui explique que des prêtres - et des médecins pédoclastes -  peuvent être  soutenus et défendus par les parents de leurs victimes. Un pédopsychiatre comme le professeur  Marcelli (à Poitiers) pouvait encore en 1994 , dans un traité sur la dépression de l'enfant et de l'adolescent, ne pas toucher un mot de cette problématique. Lors d'un staff - c'était en décembre  1975 ou janvier  1996,  j'avais rapporté le cas un patient qui avait  abusé sexuellement de sa petite fille adolescente, que qui en avait été traumatisée.  La Chef de Service (Madame Piret-Pilachon)  déclara que le patient m'avait fait que rêver (sic). Le psychanalyste François Roustang assistait au Staff. Je me suis tourné vers lui pour avoir son opinion. Il n'osa pas contrarier madame Piret, mais ne voulut plus assister aux staffs de son Service, et l'année suivante se détourna définitivement de la psychanalyse, et écrivit des ouvrages sévères à l'encontre de Freud.

Cela va faire plus de 4 mois que Ouest-France a reçu (en main propre?  en son agence  à Lamballe) les preuves matérielles  de ce que j'avance.  Elles n'ont pas été répercutées. Demandez-vous pourquoi.

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23 mars 2011 3 23 /03 /mars /2011 10:45

 

Des choses cachées depuis la Fondation de l'Espace Éthique

de l'A.P. - H.P..

 

°°°

 

 

 

 

a - "Alex Zeimer " (c'est évidemment un pseudonyme) était sorti vivant de l' Hôpital des Incurables.

 

 Des infirmières s'étaient aperçues qu'il ne l'était pas (incurable), qu'il ne souffrait nullement d'une DTA, comme le prétendait leur Chef de Service 1.

  

L'embrouille était machiavélique; cétait miracle qu'il s'en soit sorti vivant. D'autres n'ont pas eu cette "chance", si on peut vraiment parler de chance dans de telles circonstances.

 

 

Comprenant que le déclarer atteient d'une DTA (c'està dire d'une Démernce de type Alzheimer) n'était qu'un prétexte pour le laisser pour compte, les infirmières voulurent contrer l'ordre qui leur avait été donné de secrètement faire semblant d'administrer au malade le traitement qu'il lui fallait.

 

 

Comme il se trouvait que son fils était médecin, l'une d'elles l'avait invité, peu avant que le malade ne plonge dans le coma et qu’il ne décède, tant il était en piteux état, à venir vérifier sur le cahier de prescription ce qui leur avait été demander d'administrer au malade.

 

 

C'est ainsi qu'il lui avait été possible de le mettre lui-même en route en urgence, au risque que le malade conserve un gros handicap intellectuel, le traitement des syndromes neuro-anémiques ne souffrant aucun retard 2 .

 

 

b - L'affaire paraît incroyable si on n'en connaît pas les soubassements 3.

 

 

Monter en secret des embrouilles meurtrières en milieu hospitalier est relativement facile. C'est le type même du meurtre parfait. Il sont généralement indétectables. Lorsqu'elles ratent, les prouver et exposer clairement la complexité des manipulations destinées fourvoyer leur lecture est une autre paire de manches 4 .

 

 

Après qu'elle a raté sont venues les sur-embrouilles hospitalières et ordinales A près qu'elle a ratée sont venues les sur-embrouilles hospitalières visant à enrayer l'enquête d'un parquet de toute façon complice en tant que voiture-balai d'un pouvoir ministériel impliqué dans l'affaire du sang contaminé. Un parquet qui avait demandé à Maître Annick Dorsner-Dolivet que l'affaire « ne soit pas ébruitée », en échange de quoi il allait faire semblant de l'instruire.

 

 

c - De son côté, l'Ordre des médecins avait obtenu de la justice qu'elle persécute le Dr. Daniel Fouchard en contre-feu de ses persécutions à l'encontre du Dr. Catherine Bonnet. Ces persécutions n'ont pas été sans effet sur Maître Régine de la Morinerie puisque celle-ci les a invoquées pour justifier sa trahison. C’était d’ailleurs leur fonction, puisque sitôt l’effet obtenu, le Dr. Bonnet fut réhabilitée par l’Ordre et reçut en dédommagement la Légion d’Honneur.

 

d - L'affaire du sang contaminé a donné lieu à des informations biaisées : après que des sangs provenant d'un grand nombre de donneurs à risque furent mélangés et utilisés, des milliers de flacons contaminés ont infecté autant de receveurs, dont notre malade, soi-disant atteint de DTA, raison pour laquelle il avait été laissé sans vrai traitement.

 

 

Il avait en avril 1984 bénéficié de la mise en place d'une prothèse de hanche à Saint-Louis, c'est à dire à une époque où quantité de malades ont été contaminés par ces flacons. Pour que ces opérés ne risquent pas, en développant un sida-maladie patent, de se retourner contre l'Assistance Publique, contre le C.N.T.S. ou les Ministres chargés de la Recherche, de l’Industrie et de la Santé, des directives avaient circulées qu’ils valait mieux faire en sorte qu'ils ne survivent pas lorsqu'on avait la chance  qu'une maladie mortelle entre-temps s’abattait sur eux. C’était le cas des malades atteints de l’anémie de Biermer, cette maladie étant d'autant plus fréquente que le VIH en favorise l’éclosion

5

.

 

e - Dans cette affaire, trouvant que le centième des fautes qui avaient été commises méritait un procès, un neurologue de la Fédération Française de Neurologie, avait dans son indignation, voulu les dénoncer à la presse, jusqu'à ce qu'il apprenne que le malade était passé par Clinique de l'Haÿ-les-Roses. Quand il l'apprit, cette volonté d'un seul coup s'évanouit.

f - En avril 201, le fils eut fortuitement la confirmation de ce que la Clinique Elmelik servait à débarrasser les Services hospitaliers des malades indésirables quand j'ai rencontré à Rennes un ancien membre de l'équipe du Pr. Pierre Huguenard 6. Sans que je ne lui parle de cette Clinique, il m’avait au cours d’une discussion parlé du rôle qu’elle remplissait.

g - Cet aspect du problème rend compte de la réaction qui fut celle du Pr. Huguenard lorsqu'il lui a parlé de cette affaire à la Société Française de Médecine. Il rend aussi compte de la réaction qui fut celle du Dr. Michel Serdaru comme du fait que le Chef du Service de Christine Malèvre ne fut nullement inquiété par la justice. En effet, lorsqu'il n'était encore qu'Interne, les neurologues du Service du Pr. Saïd l'avaient chargé d'obtenir du Dr. Beinis que son Service joue à son insu le rôle habituellement dévolu à la Clinique Elmelik. S'il avait été inculpé, il aurait été très désagréable pour la Justice comme pour l'Assistance Publique et le C.N.T.S. de l'entendre, dans sa défense, déballer ce qui s'était ourdi à Bicêtre à l'encontre de monsieut Alex Zeimer. Au CHU de Mantes-la-Jolie, Christine Malèvre avait, sans attendre son feu vert, fait des « euthanasies » à tour de bras sans comprendre que seuls étaient à éliminer les malades qui, comme monsieur Zeimer, avaient été transfusés avec des lots contaminés.

 

 

Dr. Zeimersson, M.D., le 21 mars 2011

 

Texte repris d’une réflexion adressée l’an dernier au journal

la Croix

au sujet de l’euthanasie

 

Notes

1 Ce Chef de Service (Unité de Soins Normalisés de l’Hôpital Charles-Foix, ex Hôpital des Incurables) m'a tout dernièrement confié qu'il n'avait fait qu'appliquer les consignes qui lui avaient été dictées par les neurologues du Service de neurologie de l‘Hôpital Bicêtre. Leur Service étant rattaché l'INSERM, il n'avait pas douté de la pertinence de leurs consignes thérapeutiques. Leur autorité avait prévalue par rapport à la mienne. Il ne se sentait par conséquent pas responsable de ce que leur diagnostic et leur consignes thérapeutiques aient été erronés. Quant à l'injonction qu'il m'avait faite le jour où il reçut son paTient de ne pas revenir le voir avant deux semaines, il prétendit qu’il la formulait à toutes les familles chaque fois qu'un nouveau malade lui était adressé, mais qu’il ne m’avait en fait nullement empêché de revenir avant. De fait, il ne m’en avait pas empêché, mais je doute que ce soit sur le ton péremptoire avec lequel il m’avait formulé cette consigne qu‘il s‘adressait à toutes les familles..

2 Après cinq semaines d’une simulation. Cf. à « génocides » ce qui s'est passé autour du 12 septembre 1990.

3 Il est en France très difficile et même impossible pour un médecin de révéler les crimes perpétrés en milieux hospitaliers sans qu'il ne se voit ipso facto menacé de représailles ordinales ou de plaintes pour diffamation, quand ce n'est .pour antisémitisme, comme cela a été le cas dans cette affaire. J'ai été directement menacé de représailles ordinales par le Dr. Bodenan °°° parce que je n’avais pas empêché mon père de porter plainte contre ses agresseurs. De son côté, animée par Michel Barrau, la justice s'est dans le prononcé de son non-lieu sans vergogne moqué de notre sauvetage alors qu'elle avait été informé de ce qui s’était passé par la contre-expertise du Dr. Yves Dano, qui, nonobstant ses conclusions, en a fait état en décrivant plus exactement les événements que ne l'avait fait le Dr. François Chedru avant que le patient ne passe '' à la casserole ‘’(l‘expression est empruntée à Maître Cartherine Scotto-Derouet, qui m‘avait rapporté ce qu‘elle avait appris sur la Clinique Elmelik après qu’elle est allée consulter le bureau d‘ordre pénal). A la lecture des 44 pages du Rapport Dano j'ai en novembre 1997 appris qu’avant de le massacrer, pour l’attirer dans leur guet-apens, les médecins de la Clinique Elmelik lui offraient des consultations gratuites.

4 Comment, pour un médecin, rapporter les assassinats dont certains Services de l'A.P.- H.P. se rendent secrètement coupables  et révéler que les promoteurs de « Espace-Éthique de l’A.P. - H.P. » sont ceux qui sont à l'origine de tels agissements sans risquer de passer pour un traître auprès de ses pairs ? Mis en place par le Pr. Gérard Saïd, cet ‘’Espace’’ est un rideau de fumées. Présidé par Emmanuel Hirst (à quel titre ? Il n'est pas médecin) qui trouve là grâce à son acolyte un fabuleux fromage.

5 Vitamin B 12 Defiency and Nervous Disease in HIV Infection. Archives of Neurology Vol 50 N° 8, août 1993. La parution de cet article était peut-être ce qui avait fait dire au Pr.Saïd que cette Revue était "très mauvaise" (au point où il la fit interdire de parution à la Bibliothèque de son CHU ).

Le Dr. Serdaru avait voulu passer outre l’omertà et dénoncer à la presse ce qui s’était passé avant qu'il comprenne de quoi il retournait en apprenant que des médecins de la Clinique Elmelik étaient en cause.

6 Le Dr. Catherine Bonnet a été cassée au moment même où maître Régine de la Morinerie, avec qui elle travaillait au sein de la fondation Danan, devait faire appel devant la justice du scandaleux non-lieu réclamé par Michel Barrau. Impressionnée par les sanctions ordinales qui s'abattaient à ce moment-là sur le Dr. Bonnet, elle en « oublia » de faire appel de ce non-lieu. Pour comprendre la fonction de ces sanctions ordinales, se reporter sur ce blog à « génocides ».

La Clinique Elmelik a été revendue en 1995. Elle appartient désormais au groupe Clinéa. Elle a été entièrement refaite et est positionnée sur le même créneau.

Ancien médecin-directeur et fondateur du SAMU en Île-de-France, le Pr. Huguenard en savait long sur les Elmelik et leur Clinique. Il avait eu maille à partir avec l'Ordre et l'institution hospitalière. L'Ordre n'avait pas hésité à lui infliger un blâme pour non respect de confraternité dans une de ses expertises. Il avait critiqué la conduite d'une anesthésie au cours de laquelle un adolescent, dans une opération bénigne, était décédé.

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