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13 janvier 2015 2 13 /01 /janvier /2015 16:46

J'ai pas marché dimanche. J'ai déjà raté ma vie sur ordre du CNOTPDGC  ( Conseil National de l'Ordre des Toubibs-Pédo-Géronto-Clastes).  

A cause de cette institution,  qui se charhe de protèger les violeurs et les pédoclastes, j'en ai à pris pour 25 ans d’em...dements.

Condamné à l'indignité ordino-nationaliste après que je me suis trouvé dans la très périlleuse obligation (bien qu'alors facultative) d'intervenir afin de sortir papa Pierre-André (ne le premier mai 1911) du coma après qu'une infirmière de l'AP – HP m'a prévenu, en septembre 1990, après six semaines d'hospitalisation, de ce que les gérontoclastes de son Service obéissaient à la consigne de ne faire que semblant de lui administrer le seul traitement qui était susceptible de le sortir vivant de sa très douleureuse et effroyable  maladie,  et du coma mortel où, à cause de ce simulacre, il avait fini par sombrer !

En prime , j'ai été accusé par l'hôpital Bicêtre, c'est-à-dire par les gérontoclastes, d'avoir "fabriqué" la maladie de mon père par "antisémitisme" (sic) . Cf.cultatifs ls derniers articles du site-Web  NDB12PP et/ou du site 73331815 html. 

Je migre en conséquence sur Siné Menstruel. 

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11 janvier 2015 7 11 /01 /janvier /2015 23:28

En mars 2001 à Paris  seulement un millier de marcheurs ont défilé à la "marche blanche" pour protester contre les exactions des pédocriminels.

Est-ce que cela ne reflèterait pas ce qu'il en est en France du statut des enfants servant de "sex-toys" aux pédophiles, ?  

Il est vrai qu'avec l'invention des fantasmes oedipiens inconscients Herr professor  Sigmund Freud a doté les pédocriminels de quoi anéantir la parole des enfants victimes de ces amateurs de chaires tendres. 

Dans son livre "Outreau la vérité abusée" (éditions Hugo & Cie 2009)  Marie-Christine Gryson-Dejehansart  fait état du commentaire négationniste du psychiatre-psychanalyste freudien orthodoxe c'est-à-dire négationniste Samuel Lepastier  à propos des enfants d'Outreau. Son infâme commentaire est aussi paru dans Le Monde daté du 8 février 2006. Le livre de Marie-CHristine Gryson-Dejehansart  a été occulté par la pédophilocratie, une censure qui en France est  maladie endémique (c'est ainsi que c'est The Guardian, et non Le Monde qui révélara le 30 avril prochain les transgressions commises par les soldats de l'armée française en Centrafrique).

L'alibi que  Freud a offert aux pédo-criminels fait toujours recette  dans les prétoires alors que depuis trente cinq ans Jeffrey Moussaïeff Masson et Marie Balmary, indépendamment l'un de l'autre, ont magistralement démontré que ses savantes mystifications servaient avant tout et servent encore à museler les enfants victimes d'attentas sexuels (Cf. L'enfance muselée  du Dr. Catherine Bonnet, édition Molls, Toulouse 2007, livre préfacé par le Pr. Hayez, 

et aussi depuis  2012 le film du Dr. Michel Meignant, sobrement intitulé "L' affaire Freud".

Sa sortie a été ocultée. Demandez-vous  pourquoi ?

Le film reste visible sur  DVD. On peut le commander en s'adressant au Dr. Meignant; 

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9 janvier 2015 5 09 /01 /janvier /2015 02:27

Peu nOmbreux sont les psykas réellement cOnscients de leur équatiOn persO.

Pas un sur cent ou mille à être nés en r²de -1, des conditions pourtant  pas exceptionnelles, que Sigismund Freud aurait dû savOir avant de n'Être, puisqu'elles l'auraient  conduit à ne pas s'égarer. Les psykas l'Ont pour la plupart suivi dans son errance, jusqu'à croire à l'universalité de sa pulsiOn cOmplexante, dite Oedipienne, devenue théOrisante. Son in-existence ne dévoile pas le sens des rêves les plus abscOns de ses curistes cependant  que sOn Créateur n'avait pas lui-même su décrypter son propre cauchemar - père-sifflait Maître JacquOt. Pierre philosOphale, ledit cOmplexe r²-1 freudiene et affolant. Les nOn-dupes errent, sauf les kelkezins et kelkezunes qui sont unis vers celles qui pourraient  les cOnduire à la racine du malÊtre dans une si vile action.

Depuis que les avOrtements sont plus nOmbreux, mOins nOmbreux sont ceux qui savent. L'avait cOmpris trOp et imprudemment dit Gabrielle Rubin. Malaise s'en suivit. Aussi tenta-t-elle d'avOrter le pOissOn dans les O baptismâles. Elle  fit pénitence auprès du Dr. Alzheimer, ne se souvenant soudain plus qu'"Anna O" avait surtout été une jOlie poupée pour papa JOsef, et nOn pas une patiente de papa Freud, une parente de sOn épOuse.  A fOrce de ramOnage de cheminée, cette parente présumée jOlie  (si elle ne lui avait pas parue jOlie, JOsef  lui aurait-il  cOnsacré tant de temps, jusqu'à en rendre sOn épOuse jalOusement malade.Dans son asexualité (?),la pOupee mOrphiniquée contracta  grOssesse nerveuse, que JOsef fit sOigner en Suisse. Grâce à l'inventivité de papa Freud, ses O devinrent sources de cOnséquents revenus.

PropOsons à ceux qui en sOnt devenus paranOs une lucracure analytique.


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25 janvier 2014 6 25 /01 /janvier /2014 16:47

A l'heure où à propos du Dr. Caroline Eliacheff  il est question de manquements au "devoir de confraternité", il ne serait pas inintéressant de comprendre comment et pourquoi et la découverte fortuite du syndrome de  a été occultée en 1990.    

   

RESUME: Le syndrome de  carence vitaminique B12 avec test de Schilling normal  a été redécouvert fortuitement en France en 1990 par un psychiatre. 

 

Avant sa découverte, et certainement encore longtemps après, ce syndrome a été responsable d’un nombre incalculable mais considérable de faux diagnostics de maladies d’Alzheimer. Sa découverte devrait permettre de faire disparaître cette très préjudiciable et ancienne confusion cependant que faute d'avoir été aussi  médiatisée que la découverte des effets délétères de certaines  spécialités comme p. ex.  l' Isoméride*, le Médiator* ou le Vioxx*,

 

Le de  carence vitaminique B12 avec test de Schilling normal  reste mal connue en France, y compris des généralistes et des spécialistes de l'ancienne génération.

 

Sa découverte  a valu à son auteur  persécutions du Conseil l'Ordre des médecins via ses "hauts Conseillers ordinaux les Drs. Jean Pouillard et Patrice Bodenan, avec en prime les railleries de la justice et des neurologues qui l'avaient manquée, et la trahison apeurée de ses conseillers juridiques du fait de leur présumée "très grande influence au Palais" (sic, cf. article n° 73331815 html)   

 

PREAMBULE AUX CIRCONSTANCES DE DECOUVERTE: Les circonstances de cette découverte furent accidentelles, conséquences de "malfaçons" médico-chirurgicales et médico-judiciaires, ce qui veut dire que ses circonstances furent inavouables.  Ellesfaisaient suite à des "malfaçons" chirurgicales. L’Ordre des médecins les avait avalisées en vertu de ses affinités avec leurs auteurs, de même les médecins chargés de l’expertise. Par Devoir de Confraternité ils ont déclarées vénielles les fautes aussi grossières que criminelles qui avaient été commises.  

 

Les "malfaçons"  chirurgicales à visée lucratives sont en fait légions dans le domaine de la médecine, notamment en France, favorisées qu’elles sont par le corporatisme qui y règne (bien trop prégnant en France, selon Bruno Lemaire. Cf. Hervé Hamon "Nos médecins",  Le Seuil 1994, livre primé par le Medec, et le Pr. Didier Sicard,   "L‘alibi éthique" , Plon2 006, Gérard Davet, Fabrice Lhomme "French connexion" Stock 2013 . Les "malfaçons"  consistent p. ex. à opérer des cancers inexistants, comme p.ex. à Toulouse en 1988 à la Clinique Saint-Jean de Languedoc chez les patients du Dr. Georges Rossignol, par ailleurs excellent chirurgien,  mais elles passent la plupart du temps inaperçues du fait que l'État a eu la mauvaise idée de confier à une institution des plus corporatistes qui soient "mission de Service public", en l'occurrence à l' Ordre des médecins. Cette t'erreur de distribution des rôles permet à cette institution de terroriser les médecins qui lui déplaisent et d''entraver la justice quand et comme bon lui semble. Rares sont en effet les médecins qui, dans leurs expertises médico-judiciaires, osent se soustraire à ses constantes menaces de sanctions et représailles corporatistes, l’Ordre allant jusqu’à violer les principes de la déontologie médicale qu’il a érigé au profit d’intérêts catégoriels, comme il l’a prouvé avec susdite affaire, qu’il connaissait.  L'Ordre avait attendu de ne pouvoir faire autrement pour condamner ces opérations criminelles, alors qu'il laissait et faisait persécuter le médecin qui a découvert le syndrome carence vitaminique B12 avec test de Schilling normal, comme ci-après rapporté (syndrome depuis 2003 rebaptisé syndrome NDB12PP).  

 

C’est le fils du malade, médecin psychiatre, qui, après qu’il a fait cette découverte, m’a conté les "ennuis" qu'elle lui ont valu. Il s’était adressé à moi et m’a demandé de les publier, nonobstant le risque de représailles ordinales auxquelles je m'expose. 

 

-/-

 

Circonstances de découverte:  lors d'un long week, le 25 mai 1990, le père de mon interlocuteur a été l'objet de "malfaçons" chirurgicales.

 

Un  chirurgien de banlieue lui avait subrepticement infligé une opération orthopédique bilatérale pour le moins incongrue.  (l'expression "médecin de banlieue" est du Pr. André Lienhart, qui avec le Pr. René-Claude Touzart et le Dr. François Chedru, avait été chargé d'expertiser cette affaire en janvier 1996. Cf. infra).

 

Une attaque panique s'en était suivie deux mois plus tard, laquelle causa son admission aux Urgences de Bicêtre dans la soirée du mercredi 31 juillet en1990. Le malade avait 79 ans. Son fils revenait de Bretagne. Apprenant la nouvelle à son arrivée, il s'était aussitôt rendu aux Urgences de ce CHU. A la suite de ces malfaçons, son fils lui avait vivement conseillé de porter plainte, mais son épouse, et aussi sa sœur, s’y étaient vivement opposées. Elles avaient intériorisé  la "toute puissance" des médecins et les insuffisances de la justice en France. 

 

Aux Urgences de Bicêtre, le fils  assista à l’examen neurologique de son père pratiqué par les urgentistes. Ceux-ci notèrent une incoordination motrice, une hypermétrie, des troubles de l’équilibre, une spasticité générale, un syndrome tétra-pyramidal, c’est-à-dire un ensemble de troubles neurologiques correspondant à ce qui s’appelle un tableau de sclérose combinée. Lisant l’hémogramme, ils évoquèrent aussitôt un syndrome neuro-anémique, c’est-à-dire en fait une probable anémie pernicieuse, aussi appelée maladie de Biermer. Ils demandèrent en conséquence son transfert en neurologie. Le fils était rassuré. Il ne s’agissait pas, comme il avait pu un instant le redouter, d’un accident vasculaire, mais d’une maladie certes mortelle, mais accessible à un traitement bien codifié, aussi simple qu’efficace, en l’occurrence un traitement vitaminique B12 intensif, pourvu qu'il soit administré sans tarder. Il pensait que son père était enfin entre bonnes mains, ce qui jusqu'alors n'avait pas toujours été le cas (Cf. supra).

 

La suite fut beaucoup moins heureuse que ce à quoi il s’attendait. L'affaire  ne tarda pas à devenir de plus en plus kafkaïenne. Ce qu’elle est encore aujourd'hui *.

 

Avec la mesure de la cobalaminémie, le test de Schilling servait à l'époque - depuis 2003 il est abandonné - à confirmer le diagnostic de maladie de Biermer et à distinguer cette maladie, mortelle quand elle est laissée sans traitement, des autres syndromes neuro-psychiatriques débilitants mais incurables.

 

La maladie de Biermer était à l'époque considérée comme pourvoyeuse de la majorité des cas, à 80 %, de déficit en vitaminique B12. Les 20 % restant étaient attribuables à d’autres causes de carences cobalaminiques : gastrectomies, résections intestinales, parasitose intestinale (bothriocéphalose), infections intestinales, interférences médicamenteuses, régimes végétaliens non supplémentés en vitamine B12, etc. ... mais ignoraient l’existence d'une cause bien plus fréquente que la maladie de Biermer mais pareillement responsable de syndromes neuro-psychiatriques et potentiellement mortelle, confondue qu'elle était avec d'autres causes de démences, notamment avec les "démences de type Alzheimer", catégorie fourre-tout dans laquelle son père avait été étiqueté sitôt après que les données chiffrées du test de Schilling et de la cobalaminémie ont été déclarées normales, invalidant par-là un peu trop vite le diagnostic de syndrome neuro-anémique qui avait motivé son admission en neurologie.

 

Le test de Schilling avait été déclaré "normal" cependant son fils trouvait qu'il ne l'était pas parce qu'il avait observé qu'il avait eu un net effet thérapeutique. C'était donc sur cet effet qu'il fallait baser le traitement de son père, disait-il, et non sur celui d'une "encéphalopathie vasculaire" (sic) ou d'une "DTA", qui excluaient le diagnostic de carence vitaminque B12 comme celui de maladie de Biermer.

 

"La clinique prime le laboratoire" était un principe qu'il avait appris du Pr. Henri Péguignot dès sa première année de médecine. C'était le moment de l'appliquer au cas de son père, disait-il, et il avait beaucoup insisté sur ce point, demandant que le traitement vitaminique B12 normalement dévolu à la maladie de Biermer soit appliqué.Dans les Revues savantes, la valeur de la cobalaminémie était depuis longtemps déjà sérieusement mise en question (Cf. entre autres Kolhouse et al. New Engl. J.Med. 299, 15, 787 - 792. "Cobalamin analogues are present in human plasma and can mask cobalamin defiency because current radioisotope dilution assays are not specifique for true cobalamin").

 

Ses remarques furent très mal reçues. Elles furent vécues comme une offense faite à la compétence et une contestation de l'autorité des neurologues. Il s'était en effet permis de faire remarquer que le test de Schilling ne pouvait en aucun cas être considéré comme normal dès lors qu'il avait montré un effet thérapeutique nettement évident sur deux ou trois jours, et que cette efficacité ne pouvait qu'être dû au fait que ce test nécessite pour sa passation l'administration d'une dose importante, donc thérapeutique, de vitamine B12. Il est d'ailleurs bien connue que la dose administrée lors de ce test suffit à corriger l'anémie, mais qu'elle est tout à fait insuffisante pour venir à bout des désordres neurologiques. Pour un traitement intense et prolongé sont alors nécessaires.

 

Mais si brève qu'elle ait été, cette amélioration réfutait l'argument avancé qu'un gliome n'était pas à exclure, puisqu'en pareil cas les troubles du patient auraient été majorés par la passation de ce test.

 

Peine perdue. Les neurologues y répondirent par un déni en forme d'embrouille. Ce déni portait à la fois sur la nature de la maladie qui affectait son père et sur le fait que son fils n'était pas neurologue, mais un vulgaire psychiatre et un  "psychanalyste", donc a priori "déjanté". Ce psychiatre avait en outre eu l'outrecuidance de demander que l'on profite de ce que le Service psychiatrique du Pr. Féline jouxtait le Service de neurologie pour que son père y fasse l'objet d'un examen psychiatrique attentif à son délire. Son père s'était en effet mis à penser qu'il n'était pas véritablement le père de son fils psychiatre, qu'il vivait comme un imposteur qui en voulait à sa vie, alors que son "vrai fils" (sic) était stomatologue et professeur *. Son délire extravagant fut qualifié d' absurde dans le compte-rendu d'hospitalisation du malade (Cf. celui-ci site-web 69970222 html au chapitre "Examen cardiovasculaire" : << ...le reste de l'examen clinique est sans particularité en dehors une tendance dépressive de l'humeur, une critique insuffisante des histoires absurdes chez cet ancien opticien et des capacités d'abstraction qui semblent altérées. Le mini mental est évalué à 25/30>> soulignement mien).

 

Il n'était donc pas "absurde" de la part du fils du malade de demander que son père soit examiné en psychiatrie. Cf. à ce sujet L' Encéphale, décembre 2003 : "Délire de Capgraschez une patiente de 64 ans atteinte d'une maladie de Biermer" C. Durand; S. Mary; P. Brazo; S. Dollfus.

 

NDRL : Sur les traces son fils, le père avait lu Freud, et c’est au titre de ce qu’il le vivait dans son délire maladif comme un dangereux "psychanalyste" qu’il devait de redouter que son fils psychiatre ne veuille attenter à ses jours, probablement en liaison avec l’histoire de Laïos. Il devait ainsi souffrir d’un "complexe de Laïos" ? C’est en effet un "complexe" à mon avis trop a trop peu souvent été exploré par les psychanalystes alors qu‘il est sans doute au moins aussi agissant que le complexe d‘Œdipe, qui ne serait que son pendant ou son reflet freudien, le père de Freud l’ayant sans doute éprouvé par rapport à son fils, qui, selon une très fine analyse de la psychanalyste Gabrielle Ruben, dans  "Le roman familial de Freud"  (2002) faite à partir d’un travail de Marie Balmary - "L’homme aux statues" (1997) et de Marianne Krüll - ''Freud, fils de Jacob" (1984) ne serait pas son père biologique, mais son père adoptif, suggérant que Sigmund Freud pourrait être en réalité le fils de son grand-père maternel Jacob Nathansohn, en fonction de quoi s’expliquerait sa "découverte", ou plutôt son invention, très spécifique, du complexe d’Œdipe, et sa prétendue universalité, dénoncée par Claude Lévy-Strauss.

 

Le vrai fils, c’est-à-dire le psychiatre "psychanalyste" remarque au passage que non seulement le rédacteur du CR d’hospitalisation se garde d’évoquer l’hypothèse d’une maladie de Biermer, mais aussi le diagnostic de sclérose combinée formulé aux urgences, qui pourtant étaient les vrais motifs de son admission en neurologie, deux omissions très significatives d’une occultation délibérée, d'autant que contre toute attente, « à la surprise générale », écrira le Michel Serdaru, le malade s'est rétabli intellectuellement, récupérant 30/30 au "mini mental" après que son fils, en désespoir de cause, a dû le 12 septembre 1990 se résoudre à administrer lui-même le traitement de la maladie de Biermer et que ce CR a été rédigé le 30 septembre 1990 (Cf. site-web "Une nuit vitaminée" n° 69972425 html).

 

Le "mini mental", c.-à-d. le MMSE, ou test de Folstein, sert indépendamment de leur niveau culturel à évaluer les capacités mentales des sujets. Selon le Pr. François Piette, l’ancien directeur du CEGAP à l'hôpital Charles-Foix, le seuil à partir duquel on peut parler de démence Alzheimer se situe à 22/30. Or le 22 août 1990, à son arrivée dans le Service de gériatrie du Dr. Beinis , du fait qu’à l’hôpital Bicêtre il ne lui avait été administré qu’un simulacre de traitement vitaminique B12, le MMSE du malade était effectivement passé de 25 début août à 22/30 trois semaines plus tard.

 

A partir du moment où le traitement de la maladie de Biermer a été appliqué à son père par le fils du malade en dépit l'opposition opiniâtre des neurologues de Bicêtre, non seulement le malade a récupéré 30/30 au MMSE, mais l'entité clinique qu’a révélé ce traitement a fini par ne plus pouvoir niée et occultée. Elle dut être reconnue et faire l'objet d'investigation, mais éthique oblige, de façon discrète par rapport au psychiatre qui l'avait déterrée, donc de façon détournée (voir article web « Conflit d‘intérêt et NDB12PP »).

 

Récupérant ses facultés intellectuelles à 30/30 six mois plus tard, le patient s'était trouvé en mesure de porter plainte contre X. Sa plainte était dirigée non pas contre les neurologues de Bicêtre, mais à l'encontre des médecins de la Clinique Elmelik, qui l’ avaient lourdement abusé et escroqué précédemment à son hospitalisation à Bicêtre. L'Ordre des médecins s’était interposé, via les Conseillers ordinaux Jean PouillardetPatrice Bodenan, pour le faire croire au Pr. Gérard Saïd et au Dr. Beinisque la plainte était à leur encontre. L'Ordre des médecins avait par là cherché et bien sûr réussi à semer panique. Le Pr. Saïd fit alors cause commune avec les médecins de la Clinique Elmelik. Il leur permit d’accéder au dossier du patient, d'autant qu'un même intérêt l’y poussait : à tout prix empêcher que la justice mette son nez dans les "malfaçons" de la Clinique ElmeliK.

 

Le rétablissement de leur patient n’a pas du tout été acceptée. Les neurologues persistèrent dans le déni de réalité en stipulant contre l’évidence dans leur CR d’hospitalisation de février 1991 un diagnostic d’encéphalopathie vasculaire, parce que le rétablissement du MMSE à 30/30 plaçait les neurologues du Service duPr. Gérard Saïd dans la nécessité de revoir sérieusement, mais discrètement, le problème du diagnostic et du traitement des démences NDB12PP. Il leur avait échappé. Le Pr. Saïd le récupéra en se faisant attribuer le label INSERM pour ses recherches sur le traitement vitaminiques des maladies neurologiques tout en s’autorisant à faire désabonner la bibliothèque de son CHU de le Revue « Archives of Neurology » en novembre 1997 sous prétexte que c’était « une très mauvaise Revue » (sic). Ce qui ne l’empêchera pas d’ y signer six ans plus tard un article sur les carences vitaminiques B12 au côté des Drs. Jacqueline Zittoun et Hélène Ogier de Baulny. (Arch Neurol. 2003;60(10):1457-62.)"Neuropsychiatric disturbances in presumed late-onset cobalamin C disease". E. Roze, D. Gervais, S.Demeret, H. Ogier de Baulny,J. Zittoun, J.-F. Benoist, G. Saïd,C. Pierrot-Deseilligny, F. Bolgert)

 

En 1995, à cause de la mauvaise image et du préjudice financier que cela aurait représenté pour son l'hôpital et son Service de neurologie, il fallait à tout prix éviter de reconnaître les faits, notamment que c'était à la suite de l'observation d'un vulgaire psychiatre, et non à d'éminents internistes, qu’il fallait revoir le bien fondé de conceptions jusqu'alors admises mais erronées concernant le diagnostic et le traitement des "démences de type Alzheimer" chez les personnes âgées (les anciennes "DTA")

 

L’entité nosologique pourvoyeuse de carence vitaminique B12 prépondérante a dû être définie comme l’avait présumé et proclamé le psychiatre qui l’avait déterré "syndrome de carences vitaminique B12 avec test de Schilling normal''. Cette ‘’entité‘’ représente maintenant 60% des cas de carence B12. Autrement dit, un très grand nombre de malades qui auraient pu bénéficier d'un traitement salvateur avant sa mise en évidence sont morts dans des conditions épouvantables semblables à celles qui ont été celles de ce malade alors qu'ils auraient pu bénéficier d'un traitement salvateur aussi simple qu'efficace (Cf. site n° 69972425 html).

 

Alléguant en 1990 la normalité de la cobalaminémie et du test de Schilling, les neurologues de l’hôpital Bicêtre avaient rejeté le diagnostic de maladie de Biermer formulé aux Urgencesmalgré l’évidence clinique qu’il s’agissait sinon spécifiquement de cette maladie mais bien d'un syndrome neuro-anémique, c‘est-à-dire d‘un syndrome neurologique en premier lieu attribuable à une carence vitaminique B12. Donc même si ce syndrome pouvait ne pas être dû à la maladie Biermer parce que celle-ci se définissait par rapport à son statut vis-à-vis du test de Schilling, ce syndrome pouvait se définir comme un syndrome de carence vitaminique B12 avec test de Schilling normal,un déterminisme carentiel qui est désormais redéfini NDB12PP du fait qu’il n’est plus possible de faire référence au test de Schilling. Il pourrait se définir comme une entité remédiable par le traitement vitaminique B12 dévolu à la maladie de Biermer, mais depuis la disparition de ce test, comment définir la maladie de Biermer elle-même ?

 

CONCLUSION: Depuis que la commercialisation du test de Schilling a été arrêtée en 2003, cette entité nosologique a dû être rebaptisée syndrome DNB12PP(Cf. Revue de Médecine Interne2003; p. 218-223. "Carence en vitamine B12 avec test de Schilling normal ou syndrome de non dissociation de la vitamine B12 de ses protéines porteuses chez le sujet âgé. Étude de 60 patients")...................

N.B. : D'après le fils du rescapé, plusieurs hypothèses peuvent être formulées à propos du refus obstiné d'appliquer le traitement au malade et au sujet du non-lieu hai=utilement abusif relatif à sa plainte, pourtant très étayée sur des preuves factuelles des falsifications opérées par l’Ordre des médecins et des violations du secret médical celles des 14 articles des « droits des patients » partout affichés dans les hôpitaux, alors que sa plainte contre l'escroquerie chirurgicale dont il avait été l'objet à la Clinique Elmelk en tant que personne vulnérable, des hypothèses qui ne sont pas exclusives les unes des autres.

 

Le Professeur Gérard Saïd avait lui-même reconnu qu’il y avait eu erreur de diagnostic en juin 1992 lorsqu’il a rencontré le fils du malade, mais ce fut pour immédiatement s’en auto-excuser agressivement en disant que des « erreurs », il en faisait tout les jours ! Mais en fait d’erreur de diagnostic il s’était agi d'une reconnaissance non assumée du diagnostic de maladie de Biermer. Les résultats du test de Schilling refait en février 1991 et retrouvé 14 ans plus tard par le Pr. Gilbert Tchernia le montre anormal, à 5% (contre une normalité prétendu mener à 35% en août 1990, soit un écart de 1 à 7 !). Le test de Schilling à 5% confirmerait qu'il s'était agi de cette maladie. Une hypothèse que tend à confirmer et la soi-disant perte du dossier du malade remplacé par un compte-rendu d'hospitalisation succinct dans lequel nulle part n'est mentionné le vrai motif de son hospitalisation en neurologie, à savoir le diagnostic de maladie de Biermer tel qu'il fut formulé le 31 juillet au soir aux Urgence de l'hôpital Bicêtre.

 

On n’aurait en fait eu intérêt à occulter le vrai diagnostic afin de ne pas à avoir à administrer la solution thérapeutique adéquat à ce malade pour plusieurs « raison » : un conflit d'intérêt potentiel majeur existait entre l’AP - HP et ce malade, ainsi qu’entre les malades qui avaient été comme lui transfusés dans la première moitié des années 1980. Ces conflits potentiels faisaient qu’il n’était pas dans l’intérêt de l’AP - HP que les malades faisant partie de cette catégorie soient en mesure de porter plainte contre elle après qu’ils ont été réhospitalisés. Le malade en faisait partie. Il avait été transfusé à l'hôpital Saint-Louis en avril 1984 lors de la mise en place d'une prothèse de hanche. Cette hypothèse renvoie à la troisième hypothèse, c'est-à-dire au désir de préserver le fonctionnement de la Clinique Elmelik, celle-ci étant très utile à l'AP - HP, ainsi que le suggère ce qui avait été dit de celle-ci en janvier 1991 par l'inspecteur principal du Commissariat de l'Haÿ-les-Roses le Commandant Christian Raeckelboom. Il avait signalé au fils que cette Clinique étaitscandaleuse mais"protégée en hauts lieux ", c‘est-à-dire par le parquet. Les dires du Pr. Pierre Huguenard et ceux du Dr Jules Fineltain au sujet des médecins-propriétaires de cette Clinique pour le moins «spéciale» allaient dans le même sens, ainsi que ce qui s’est par la suite passé en 1996-97 au CHU deMantes la Jolie, sous l'égide du signataire de ce compte-rendu savamment bidonné. C’était lui qui s’était chargé d’ordonné au Dr. Beinis de n'administrer qu'un simulacre de traitement vitaminique B12 à mon père. La Clinique Elmelik servait à l’époque de ce à quoi servira son propre Service au CHU de Mantes la Jolie. Un grand nombre de malades - une trentaine selon les premiers aveux de l’exécutante - y ont subi une pseudo "euthanasie", en fait des assassinats. Le Dr. Laurence Kouyoumdjiany avait mis fin en les dénonçant, sans pour autant en être félicitée. Elle fut bien au contraire invitée à s'en aller, comme si on lui reprochait d’y avoir mis fin cependant que son Chef de Service, qui s'était tu, a conservé son poste.(voir Internet article n° 108281777 html et 34640255 html).

 

Il est beaucoup moins probable est l'hypothèse d'une LEMP à cause de son extrême rareté et des guérisons encore plus rares qui s'y produisent (Leuco-encéphalopathie multifocale progressive). La LEMP est une entité nosologique de pronostic effroyable. Or depuis que le malade s'est très rapidement sorti du coma quand le traitement de la maladie de Biermer a été mis en route, la LEMP a acquis la réputation de répondre au traitement vitaminique B12. Les cas sont toutefois si rares que cette question est sujette à caution, niée dans l‘article de la Revue Neurologique 2006 : Atteintes du système nerveux central et infections par le virus VIH -1 (Antoine Moulignier, Service de Neurologie, Fondation Adolphe Rothschild, 75019, Paris)

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2 juillet 2013 2 02 /07 /juillet /2013 17:06

Il suffit de se reporter au dictionaire de psychanalyse d'Alain de Mijolla à la rubrique consacrée à l'inceste et signé de Roger Perron (Calmann Lévy éditeur, 2002) ainsi qu'à un texte  de Freud  datant  de 1919 pour découvrir que ce scandale a été activement nié par la théorie analytique. Le texte de Freud est intitulé  "Ein kind wird geslagen" (Un enfant est battu).

 

Le psychanalyste Paul-Laurent Assoun continue cette semaine de répercuter  la théorie réactionnaire de Freud sur les ondes de France-Culture dans l'émission "Les nouveaux chemins de la connaissance" . 

 

Tout ce passe comme si le livre, aussi savant qu'essentiel,  du psychanalyste américain  Jeffrey Moussaïeff  MASSON  (paru en traduction française chez Aubier-Montaigne en 1984 sous le titre "Le réel escamoté")  n'avait jamais existé. De même en ce qui concerne sur le même sujet mais abordé sous un éclairage strictement psychanalytique

le livre de Marie Balmary  intitulé "L'homme aux statues", un livre non moins éclairant sur les dessous idéologiques négationnistes de la théorie freudienne du Complexe d'Oedipe, une théorie renversante qui fait des victimes des coupables.

Chez Aubier Montaigne a aussi été publié en 1986 "Le viol du Silence", d' Eva Thomas, fondatrice de  SOS inceste. Son témoignage est incontournable.


Un excellent confrère, le docteur Gérard LOPEZ, psychiatre, a dernièrement consacré à ces violences un livre  très savant, sauf qu'il commet l'erreur, je le lui ai signalée, de répéter que le complexe d'Oedipe, qui n'est qu'une fiction projective, inexistente dans la réalité sauf pour son inventeur, est, comme l'a démontré Claude Lévy Strauss,  PAS DU TOUT UNIVERSELLE.

 

Alors que deux enfants sont tués tous les jours sous les coups qui leur sont donnés, ainsi que le rappelle aussi Marie Thérèse Hermange,  et que deux millions de personnes ont en France été victimes d'inceste, Roger Perron a osé écrire  que les incestes vrais sont exceptionnels et qu'il s'agit de fantasmes. Une aubaine pour les adeptes de cette monstruosité. 

 

Le Dr. Lopez aurait pu et dû signaler le fait dans son livre à l'appui de ses vigoureuses remarques.

 

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4 juin 2013 2 04 /06 /juin /2013 10:30

Everyone is aware that it is not, as it was until now, possible to work nuclear power and/or fossil energies without tremendous consequences and worth domages.


Last year, about the 6 th of  june 2012 - today is the 4 th of  june - after 40 years gnawing reflexions about  tidal power heavy station, built at La Richardais in the Armor coast department between Saint-Malo and Dinard, an alternative solution to  tidal range power recovery  occurs me as I was no more thinking about it. It was very likely as when a slipped name cames to the mind when unexpected.

 

After a while   I called the system the  "S.T.S.M.C." technology.  That means "Systeme Transfert Sequentiel à Mémoire de Charges. 

  

Suppose the STSMC works as  expected as well, if not better, at a big skale than at a small !  It will be regarded as a revolution, if not as miraculous against the global warning of the planet * ?


As I am not in France a civil ingeneer stemmed from l' Ecole des Mines, ld Ecole Polytechnique or Les Ponts et chaussées, but now an old and poor as Job medical doctor, a very like don Quichotte, one says I am  not the one to makes such a discovery : << If  such a single solution is possible, since a long time it will be founded ! >>  Sure, but an accurate reply is :    "Why did the idea of   flying wind powered engines   yet occured, not since a hundred years  ago ? ".

 

No man is perfect. I should have found it 1967 !    

   

I know that Alstom has with Rolls-Royce licence to work ORCA and BELUGA turbines at the "raz Blanchard" (or raz Blanchart ? ) to catch heavy tidal streams. But those are not a very long term solution. May be an impediment ?

.
...............................................................................................................................................................................................

 

* As the unexpected rebearth of my father september 1990 was not truly a miracle, but the effect of a true B 12 vitaminic traitment to Biermer's disease !

 

I gave 1990  the Vitamin B12 solution to avoid my father be dead of a so spuriously called progressive multifocal encephalopathy (a PME in english, a LEMP in french). A very last but logic and succesfully solution which makes me be judged as a treatcher by my peers : my father was in fact suffering a true neuro-anemia, to me hidden as a pretext not to give him the true treatment to Biermer's disease !

 

That's the way things are in France ! See among others  n° 116509514 html  "Errare humanum decinit piscem"

 

--------- >>  with a bibliography ending the medical story reported 73331815 html

 


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2 juin 2013 7 02 /06 /juin /2013 12:10

Ce matin 2 juin 2013 au Grand Orient de France (sur France -Culture) il a été avec Florence (ou Laurence) Lefèvre question de l'enseignement de la morale, avec cette précision que la morale est indissociable de l'action. Or l'action morale est en France contrecarrée par des instances pseudo éthiques, pour ne pas les dire contre-éthiques telles que l'Ordre des médecins, dont le P.S. avait promis la dissolution dans son programme commun de gouvernement de 1981, et, depuis 1995  l’Espace (alibi) Ethique de l’AP. –H.P. (Assistance Publique - Hôpitaux de Paris), l'Institut de Recherche en Ethique Médicale (IFREM) semblant avoir été  phagocytée par  l'Espace Ethique de l'A.P. - H.P.  (mêmes acteurs).

 Qu'est-ce qui avait empêché le P.S. de dissoudre l’Ordre des médecins en 1981 ?

 

Qu'en est-il de la solidarité de l'Ordre avec les médecins X philes ?

Le Dr. Patrice Bodenan °°°, qui s’était mêlé d’entraver la justice au profit d’une Clinique qui travaillait en accointance avec le maire de la Commune, une Clinique obstétricale  dans laquelle les femmes en couches se faisaient violer à tire-larigot par son médecin propriétaire-directeur (Cf . site n° 108281777 html) a été promu par l’Ordredes médecins président du Conseil disciplinaire de l’Ordre en Île-de-France, et son complice le Dr. Jean Pouillard,  promu rédacteur en Chef du Bulletin de l’Ordre des médecins en 2005. 

Comme a pu le dire Marine Le Pen présidente du FN : << Merci Nafissato Diallo de nous avoir épargné un président de la République violeur en série >> . Encore que s'il avait été élu, il aurait été des plus représentatifs de ce qu'est devenue la République : comme le sont  certaines colos, un bordel fait pour les plus grands plaisirs de certains hauts représentants de sa classe dirigeante. On avait déjà échappé à J.L. qui n'a pas osé aller jusqu'au bout de ses ambitions à cause des casseroles qu'il traînait, qui risquaient de remonter à la surface.   

 

Voir aussi ce qui s’est passé à Outreau, ou des Xphiles avérés ont été indemnisés par la justice (se reporter à ce qu’en dit Jacques Thomet, l’ancien directeur de l’A.F.P..  (Agence France-Presse).

 

Jacques Thomet a écrit un livre au sujet d'Outreau, mais ce livre fait l'objet d'une introuvabilité à la FNAC (on m'y a répondu qu'il n'avait pas encore été imprimé alors que des Confrères l'ont lu ! )


Celui de Marie-Christine Gryson-Dejenhansart "Outreau, la vérité abusée" (publié en octobre 2009 chez Hugo & Cie) a fait l'objet d'un silence assourdissant lorsqu'il est paru.  
 
Le Dr. Catherine Bonnet avait été persécutée par l'Ordre pour avoir fait son devoir en faisant des signalements / Cf. "L'enfance muselée" Ed. Molls Toulouse"  et  du Dr. Gérard Lopez "Enfants violés, enfants violentés, le scandale ignoré"   Dunod éditeur janvier 2013.

 

.................................................

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30 mars 2013 6 30 /03 /mars /2013 11:16

Objet :  Développement des ressources énergétiques non polluantes et relance économique.

Madame la Ministre, ....   Recourir à la fission nucléaire et aux gaz de schistes pour subvenir à production énergétique est à la fois polluant et dangereux, alors que, sans aucunement défigurer les plages et l'horizon des mers, il serait possible d'exploiter l'immense réserve d'énergie que représente l'énergie des marnages de façon plus économique qu'il n'a été fait dans les années 1960 avec construction de l'usine marémotrice de la Rance.

La France deviendrait ainsi indépendante et exportatrice sur le plan énergétique.

 

A cause de ses nombreux inconvénients (coût de la construction et de l'entretien, bouleversement du système écologique) l'exploitation de cette ressource par la construction de barrages sur le modèle de celui construit entre Dinard et Saint-Malo n'a pas été reconduite. En réfléchissant au problème de la sous-exploitation de cette énorme réservoir d'énergie /.../ une méthodologie inédite, écologique et rationnelle pour l'extraction de cette énergie a finira par  s'imposer. La récupération de l'énergie marémotrice est en effet possible selon une méthodologie moins coûteuse et d'un meilleur rendement énergétique que la contruction de barrages. Qui plus est elle serait sans aucune gène pour la navigation et sans défigurer l'horizon comme le font les éoliennes off shore. Son seul effet négatif, fonction de son efficacité, sera de contribuer imperceptiblement au ralentissement de la rotation de la Terre.

La méthode s'appuie sur des technologies éprouvées. Les matériaux modernes et son principe lui conféreront un fonctionnement autonome durant des décennies. Elle a en outre l'avantage de ne pas nécessiter d'estuaires, donc de pouvoir être implantée tout le long des côtes donnant sur l'Atlantique, donc aussi le long des côtes belges, hollandaises, anglaises, ibériques … en fait toutes les côtes où le marnage est important. Autre avantage: il ne sera pas besoin de passer par le stade de la construction d'une station expérimentale pour sa mise au point parce qu'elle peut être, pour un coût modique, testée en laboratoire sur des prototypes. Sa modélisation permettra de tester les paramètres lui conférant les meilleurs rendements /.../ La construction de ses structures et leur mise en service relanceraient de toute façon l'économie en Europe. Toutes les industries, en particulier l'industrie sidérurgique, seraient solicitées.

On m'objectera que si une telle méthodologie était efficace, il y a longtemps qu'elle aurait été mise en service, que ma formation n'étant pas précisément celle d'un ingénieur, mais d’un médecin, on est en droit de douter de sa faisabilité / ............................................................................................................/ Monsieur Arnaud Montebourg, en tant qu'il est Ministre du Redressement productif, a été averti de cette possibilité, comme vous-même présentement en tant que Ministre en charge de l'Énergie et de l'écologie.

En vous remerciant d'avoir prêté quelques minutes de votre attention à une procédure susceptible de subvenir à l'indépendance énergétique de la France, veuillez agréer, Madame la Ministre, l'expression de ma très grande considération.

 

N.B. A l'époque où cette lettre a été écrite, la technique d'exploitation n'avait pas encore été appelée STSMC.

 

L'idée de cette façon de récupérer l'énergie des marnages m'est tardivement venue à l'esprit cependant que j'avais depuis quarante ans l'intuition qu'une meilleure solution

que la contruction d'un barrage était possible. L'idée n'a pas jailli au cours d'un rêve, mais en pleine journée, alors que je me promenais dans la baie de la Fresnaye un jour de grande marée, dans la première semaine du mois de juin.  

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27 mars 2013 3 27 /03 /mars /2013 11:45

L'énergie des marnages est comme chacun le sait quasiment inépuisable à l'échelle humaine mais grandement sous-exploitée parce que son exploitation semble conditionnée par la contruction de barrages. Leurs constructions nécessitent des espaces qui s'y prêtent. Ceux-ci sont en fait très peu nombreux, et le retour sur investissement nécessite une vingtaine d'années. Les dits barrages perturbent en outre le milieu écologique.

 

L'usine marémotrice de la Rance, qui est d'une longueur de 390 mêtres, fournit 240 MW, soit à peu près le quart de la puissance d'un réacteur nucléaire de l'ancienne génération.

 

Autrement dit, si on pouvait récupérer l'énergie des marnages avec le même rendement sans discontinuer sur des centaines de kilomètres de côtes, il serait possible de se dispenser et de l'énergie nucléaire et de l'importation d'énergies fossiles. Or la France dispose sur sa façade atlantique de côtes présentant de très fortes marées.

Ecoutant ce matin Nicolas Hulot et Cynthia Fleury au micro de France-Culture discourir de la transition énergétique, j'ai à regreter qu'il n'ait pas été question de recourir à l'exploitation de ce gisement d'énergie à partir de projets novateurs, tel le STSMC, qui est fondé sur un principe relativement simple à comprendre.

 

Le  Système Transfert Séquentiel à Mémoire de Charge (STSMC) consiste à récupérer l'énergie potentielle des marées au moyen de capteurs cellulaires à mémoire de forme immergés à des profondeurs pouvant aller jusqu'à 100 mètres, voire plus, aux pieds des côtes, des structures cavitaires - imaginez des sortes d'énormes soufflets de forge lourdement lestés - qui répercuteraient à marées basses l'énergie des gaz emmagasinée sous pression à marée haute à des groupes électrogènes construits "off shore". Une fois la force de travail des gaz sous pression qu'elles contiennaient a été transformée en énergie électrique, un système interne fortement "résilient" leur permet de reprendre leur forme et de se remplir à nouveau de l'air atmosphérique de façon à pouvoir recommencer un cycle d'exploitation à la marée haute suivante, et ainsi de suite. L'efficience d'un tel système est mathématiquement démontrable tandis qu'une modélisation en démontrerait la pertinence pour un coût minime, voire dérisoire par rapport d'autres projets.  

 

C'est pour aider à la promotion d'un tel système que l'idée m'est venue hier de faire appel à vous en tant que scientifique d'excellente renommée, d'une part parce que mon intervention pour sauver la vie de mon père alors qu'il était hospitalisé, victime en 1990 de prescriptions thérapeutiques mortelles, a été mal vécue . Elle a fait de moi un "paria" qui ne respecte pas la tradition omertiste du milieu médical. Le Conseil de l'Ordre avait en effet promis de me faire payé cher non pas évidemment d'avoir réussi à ressuscité mon père,  mais de ne l'avoir pas par la suite empêché de porter plainte après qu'il est sorti du coma,  a récupéré ses facultés intellectuelles (revenues à 30/30 au MMSE contre 22/30 trois semaines avant qu'il ne plonge dans le coma à la suite du traitement motifère que lui faisait administrer son prescripteur). Le prescripteur n'était encore qu'Interne dans le Service de neurologie de Bicêtre. Il avait à l'époque joué par rapport à l'équipe des neurologues le rôle que joua Christine Malèvre par rapport à lui quand il est à son tour devenu chef de Service au CHU de Mantes la Jolie.

 

Au sujet de la technique STSMC, primitivement appelée VMC, voir 112063864 et 112141132 html.

 

J'ai  fait part à un certain nombre de politiques de ce projet, dont Jean-François Copé, qui semble vouloir me faire confiance cependant  que madame Delphine Batho, qui a la responsabilité du ministère de l'énergie, du développement durable et de l'écologie et certains députés d'EELV  n'ont pas même daigné donné réponse à un projet qui entre tous est de leur ressort.

 

  Conclusion : Le STSMC est inéluctablement  appelé à se développer parce  il est une  des meilleures solution à la crise de l'énergie.

 

 

..................................Dr. Pierre Cretien    Tel 06 78 58 96 21

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13 mars 2013 3 13 /03 /mars /2013 15:59

Au sujet Léonid Kameneff et de son "bateau éducatif" l'article d' Ondine Millot dans "Libération du 9 mars" est source d'interrogations.

Comment se fait-il que les plaintes du genre  de celles qui avaient été portées contre Leonid Kaneneff aient systématiquement fait l'objet de multiples non-lieux alors qu'elles ont été nombreuses, et portées dès 1971.

Plus généralement comment se fait-il que les "pédo" dits "philes" et les violeurs en général aient si longtemps pu se tirer facilement d'affaire devant la justice, et ce encore actuellement malgré la multiplicités des plaintes ? 

Poser la question c'est presque  y répondre : en grande partie grâce à l'invention diabolique d'une théorie mise en circulation au début du siècle dernier par Sigmund Freud   une invention mythologique  connue sous le nom de  "complexe d'Oedipe". 

Cette invention  permet aux psychiatres et psychologues-experts, et par là aux "pédophiles" et aux violeurs de retourner l'accusation contre leurs victimes .

Un  certain DSK ne s'en était pas privé, qui a implicitement  fait appel à la notion de fantasme en déclarant publiquement que Tristane Banon n'avait que fait état d'une agression "imaginaire".  

De même le psychiatre "psychanalyste" Samuel Lepastier, a déclaré  que les enfants  d'Outreau"  avaient  essentiellement été victimes de leur complexe (oedipien)  inconscient. Cf.  son commentaire paru dans le journal "Le Monde" du 7 février 2006, un article  que madame Gryson Dejehansart a reproduit dans son livre sur cette affaire 

Les adultes qui s'adonnent à la pédoclastie (improprement dénommée "pédophilie") sont ainsi, grâce à Freud, plus souvent que l'on oserait le croire des médecins, des psychothérapeutes,  des psychiatres, et des psychanalystes.

La psychanalyste Louise de Urtubay, qui assimilait non sans raison Freud au diable,  a très  tardivement osé le dire dans un livre paru aux P.U.F. en 2007 (Quand les psys passent à l'acte).

Le petit fils de Sigmund Freud, Clément Freud, et Freud lui-même ...  

Freud a été et est resté en France l'allié providentiel des pédoclastes.

C'est bien  pourquoi la psychiatrie française a si facilement adopté ses théorisation et si violemment rejeté ceux qui osaient en contester le bien fondé.

Les méfaits et les dégâts collatéraux du freudisme s'est étalé  sur des générations, causant des millions de suicides à travers le monde. 

Il se pourrait d'ailleurs qu'un certain Adolfus Hitler .....

 

 

 

 

Le Huffington Post du 11 novembre dernier a abordé le problème des stagiaires, les victimes les plus fragiles face au « harcèlement sexuel au travail". Cela fait des lustres que j'ai à maintes reprises alerté de façon documentée les médias, c'est-à-dire les principaux journaux (hormis il me semble, du moins jusqu'à maintenant, le Huffington Post), les chaînes de télévision et les principales stations de radiodiffusion de l'hexagone sur le fait que, lorsque je me suis rendu au Conseil Régional d'Île de France de l'Ordre des médecins, en avril 1993, pour voir où en était la plainte que mon père avait adressé à l'Ordre en mars de l'année précédente à l'encontre des médecins de la Clinique Léon Elmelik (une Clinique obstréricale  sise à l'Haÿ-les-Roses, 94240, reconvertie en 1995 avec son changement de propriétaires en un établissement se consacrant aux "soins de suite". Cf. dans mon blog ses anciennes caractéristiques, nouvellement mises en exergue en 2004 sur une plaque commémorative érigée dans le square éponyme après que la mairie de l’Hay a été recontruite suite à un incendie survenu dans la nuit du 30 juin au 1 juillet 1999. Ses archives s’y étaient spontanément enflammées tellement elles étaient brûlantes). La secrétaire qui me remit le dossier relatif à cette Clinique me dit, alors même que la plainte de mon père ne portait pas sur une affaire de viol mais sur d'autres exactions, tout aussi ahurissantes : "Mon pauvre monsieur (sic) comment voulez-vous que les médecins de l'Ordre poursuivent des violeurs et des pédophiles, ils sont au Conseil de l'Ordre". Ses dires corroboraient au sujet de cette Clinique ce que m'avait confié trois ans plus tôt, le mardi 23 janvier 1991, le Commandant Christian Raeckelboom, alors le Principal du Commissariat de l'Haÿ-les-Roses : "Je n'ai en principe pas à vous le dire, gardez ça pour vous, mais j'ai là sur mes étagères 150 plaintes pour viols. Aucune n'a pu aboutir, toutes sont systématiquement bloquées au parquet, les actionnaires de cette Clinique sont milliardaires. Sur ce, dans un large geste en direction de la mairie et du TGI de Créteil, il ajouta: « ils sont protégés en hauts lieux, ils peuvent faire et y font ce qu'ils veulent ». Pour être sûr d'avoir bien entendu, je m'étais arrangé pour qu'il lui faire répéter ce qu'il venait de me dire : « Des vols, il y en a dans tous les hôpitaux et toutes les cliniques ». CR : « Non, pas des vols, des viols » Moi : « Mais qui viole qui ? ». CR « Le directeur. Il profite des anesthésies pour violer les femmes venues accoucher »  (c'est-à-dire de femme après le "travail" de l’accouchement). Moi : « Le directeur, le docteur Jean-Claude Elmelik, il est gynécologue. Mais comment les femmes savent-elles qu'elles ont été violées, si elles l'ont été sous anesthésie ? ». CR : « Certaines d'entre elles se sont réveillées alors qu'il était encore en train ... ». (N.B. Ces pratiques sont en réalité relativement fréquentes, mais sur elles règne une omerta extrêmement féroce, le Conseil de l'Ordre y veillant jalousement à sauvegarder l'image de la médecine oblige). Quelques Confrères exerçant à La Haÿ et ailleurs m'ont confirmé les dires du Commandant CR, et une dizaine d'années plus tard, en 2001, après la "marche blanche" qui allait de la Place de la République au Palais de Justice pour dénoncer le laxisme de l'institution judiciaire vis à vis des pédocriminels - cette marche n'avait rassemblé que quelques centaines de personnes - alors que j'assistais à une assemblée de l'AFPE (Association Française pour la Protection de l'Enfance, dirigée par le psychanalyste Pierre Lassus, association devenue l'UFSE dans les années suivantes), une femme déjà âgée qui avait pris place à ma droite derrière moi avait pris la parole pour dénoncer le fait que, lorsque les pédocriminels sont des notables, la Justice traînait les pieds jusqu'à s'arranger pour faire en sorte que ces affaires soeient enterrées. Je m'étais alors tourné vers cette dame pour lui faire savoir que c'était effectivement le cas  avec les médecins à  la Clinique de l'Haÿ-les-Roses. A ma surprise elle me répondit : "Je ne le sais que trop bien, je suis de la famille". Mais lorsque je lui ai demandé son nom, elle me répondit : « Je ne peux pas vous le dire, nous sommes trop connus ». (La Clinique Elmelik était une Clinique obstréricale  sise à l'Haÿ-les-Roses, 94240. Elle a été reconvertie en 1995 avec son changement de propriétaires en un établissement consacré aux "soins de suite". Cf. dans mon blog ses anciennes caractéristiques, curieusment mises en exergue seulement en 2004 sur une plaque commémorative, par certains points fantaisiste, érigée dans le square éponyme après que la mairie de l’Hay a été recontruite suite à un incendie survenu dans la nuit du 30 juin au 1 juillet 1999. Ses archives s’y étaient spontanément enflammées tellement elles étaient brûlantes. Curieusement les numéros de la Revue municipale "L'Haÿ-les-Roses notre Ville" relatifs au mandat de Marc Méchain ne sont pas à la disposition du public à la médiathèque de cette ville, quoique j'ai pu y trouver celui relatif à Laurent Cathala accrochant la Légion d'Honneur à Marc Méchain en 1993). Aujourd’ui, Charly Hebdo peut bien reprocher à Eddwy Plenel d'être aveugle au sujet Tariq Ramadan, mais cet hebdo s’était bien gardé de répercuter mes informations au sujet de Jean-Claude Elmelik et de sa Clinique, tout comme la rédaction de Médiapart. Je l'avais pourtant, comme les autres journaux, averti de façon documentée. J'avais rassemblé pour la Justice les preuves des exactions épouvantables que mon père y avait subies, exactions qui l'avaient laissé gravement handicapé après qu'elles ont failli le tuer : prévenu par les infirmières de l'Unité de Soins Normalisés de l'hôpital Charles-Foix (après les exactions de la Clinique Elmelik, mo.n père avait été transféré dans cette USN par les médecins du Service de Neurologie de Bicêtre pour qu'il y finissent ses jours ailleurs que chez eux).Il m'avait alors fallu intervenir moi-même pour sortir in extremis mon père du coma carus (à brève échéance mortel) où l'avait conduit le simulacre de traitement de la maladie de Biermer institué par les neurologues de Bicêtre ​​​​​​​où l'avait conduit le faux traitement que, par une lettre manuscrite signée de leur Interne Olivier Ille, les neurologues de l'hôpital Bicêtre lui faisaient administrer par le docteur Jean-Yves Beinis,  Médecin-Chef de cette USN.  Au docteur Beinis ils avaient faussement fait savoir dans leur CRH que le malade souffrait non pas d’un syndrome neuro-anémique (c’était pourtant bien sur ce diagnostic que mon père avait été admis en neurologie) mais  d'une ''ATTEINT DIFFUSE DU SYSTEME NERVEUX" (sic), et, verbalement qu'il était « que le malade était de toute façon voué à une inéluctable plus grande aggravation ». Des  propos complaisamment répétés en 1996  par le docteur François Chedru dans son expertise pour satisfaire et le parquet et l’Ordre des médecins, l’expert gardant en mémoire le blâme précédemment infligé au professeur Pierre Huguenard parce qu’il s’était permis d’être un peu moins complaisant dans une de ses expertises. Le docteur Beinis m'avait sans ménagement répercuté, le 22 août 1990 à l'arrivée de mon père dans son USN, les fortes paroles des neurologues de Bicêtre,  y ajoutant même : « on m’a dit que vous interférez avec les traitements. Je ne veux pas vous voir dans le Service avant quinze jours ».  Deux semaines après ses dires les infirmières de son Service me firent savoir que le traitement de la maladie de Biermer, qu'il était censé recevoir, ne lui avait pas vraiment été administré, seulment un faux semblant, sur quoi j'avais été en mesure de sortir mon père in extremis du coma prémortel où ce simulacre l'avait plongé. En 2004 la direction de l'hôpital Bicêtre, sous l'impulsion du Professeur Gérad Saïd, le Chef du Service de neurologie qui avait adressé mon père au docteur Beinis en lui passant la consigne de ne lui administrer qu'un semblant de traitement de la maladie de Biermer, diagnostiquée à son entrée à l'hôpital, c'est-à-dire pour qu'il termine ses jours ailleurs qu'à Bicêtre, m'accusa d'avoir moi-même "fabriqué la maladie de mon père par antisémitisme" (sic, donc l'accusation d'un crime passible d'une condamnation pénale) cependant que le Pr Gérard Saïd me menaçait de porter l'affaire "devant les tribunaux" devant le professeur Patrik Hardy et madame Isabelle Pilot, "chargée des relations de l'hôpital avec la clientèle" (sic) primo  pour diffamation et secondo en vertu de l'article 40 du CPP, qui effectivement leur en faisait effectivement l'obligation. Il n'en fut évidemment rien, malheureusement. Si la rédaction du Huffinton Post se demande pourquoi il n'en fut, elle trouvera la réponse dans les articles que depuis 2009 j'ai épinglé sur le Net  (www. blog de leon - omerta médicale). Comme par hasard Olivier Ille deviendra quelques années plus tard le Chef du Service où Christine Malèvre, au CHU de Mantes la Jolie, exécutait avec zèle ses malades, sans que la Justice ne s'interroge sur lui et  fasse entièrement porter la responsabilité des assassinats de malades sur Christine Malèvre, cependant que sa consoeur Lauence Kouyoumdjian, loin d'avoir été félicitée et décorée pour les avoir fait cesser a été "priée".de déguerpir et que lui a garder son poste à Mantes la Jolie. Or il se trouve que mon père avait subi une transfusion en avril 1984, à une époque où la quasi totalité des transfusions portait le VIH, un virus qui en 1990 était réputé vouer les individus contaminés à inéluctablement développer le SIDA. Pour comble d'hyprocrisie, le professeur Gérard Saïd à fait attribuer a son ami le philosophe Emmanuel Hirsch une Chaire d'enseignement de l'Ethique Médicale à Bicêtre puis à l'hôpital Saint-Louis, et le docteur Olivier Ille tiendra en 2014 à Paray-le-Monial DE BEAUX  aux rencontres d' Amour & Vérité, de beaux discours sur le thème "Prends soins de lui",   

Ma mère, née le 22 septembre 1914, est décédée non pas en 1988, mais six ans plus tard, à l'âge de 80 ans, le 1er septembre 1994, à l'hôpital Charles-Foix, dans le Service du Pr. Bouchon, après qu'elle a volontairement refusé de s’alimenter: un malade l'avait agressée, et c’était une agression à caractère sexuel qui avait eu lieu à l’HP Paul Guiraud.

Plus que la fracture du col du fémur, l’agression avait manifestement occasionné ou ravivé chez ma mère un profond choc psychologique, et à moi-même, d’autant qu'après son opération et son transfert à l’hôpital Charles-Foix, autrefois appelé «  Hôpital des incurables  », le Service où l'agression s'était produite s'est employé à taire ce qui s’était réellement passé, conformément au silence que les milieux institutionnels font généralement peser sur les violences commises en leur sein.

1988 est en fait l’année où le docteur Henri Ximenès, le médecin traitant de ma mère, me signala qu'il ne voulait plus s'en charger, arguant que son état nécessitait en fait une prise en charge psychiatrique, cf. infra.

Mon père est inopinément décédé dans le même Service de l’hôpital Charles-Foix un mois après ma mère, dans l'après-midi du dimanche 2 octobre 1994, à l’âge de 83 ans et demi, alors que sa sortie était prévue pour le lendemain. Il y avait été hospitalisé en urgence une douzaine de jours pour un encombrement bronchique. Il en avait été guéri. Aucune recherche sur les causes de sa mort soudaine ne fut effectuée malgré ma demande, ce malgré l'intérêt que présentait son cas. Celui-ci avait en janvier 1992 beaucoup intéressé le professeur François Piette. Il venait de prendre la direction du CEGAP, dont il était le promoteur. A la Fédération Française de Neurologie il avait davantage encore retenu l'attention du docteur Michel Serdaru. La résurrection de mon père en septembre 1990 tenait en effet presque du miracle. ‘‘A la surprise générale’’ mon père avait pu récupérer en quelques semaines des capacités mentales de bon niveau alors même qu’un diagnostic de démence de type Alzheimer avait été porté à son encontre sur la foi d'un test de Folstein à 22/30 en août 1990, une évaluation revenue à 30/30 en février 1991 après qu'un traitement approprié à son état a été par moi-même mis en route, en catastrophe et en désespoir de cause, le 12 septembre 1990, alors que transféré, à l'hôpital Charles-Foix, il venait de sombré dans un coma carus. J'avais tout bonnement mis en route le traitement de la maladie de Biermer après que les infirmières du Service où mon père avait été transféré m'ont fait savoir, devant l'état de mon père devenu de plus en plus catastrophique, que seulement un simulacre du traitement de la maladie de Biermer avait été ordonné par leur Chef de Service. Or sans avoir déjà pu connaître ce cas, le docteur Michel Serdaru, dans un traité collectif paru chez Flammarion Médecine-sciences paru en 1991 ("La maladie d'Alzheimer et autres démences"), a expressément signalé que ni un test de Schilling normal ni même une vitaminémie B12 normale ne suffisaient à éliminer formellement le diagnostic de syndrome neuro-anémique, de même que j'en avais moi-même exprimé l'opinion en août 1990 devant les neurologues de Bicêtre, lorsque mon père a été hospitalisé dans leur Service.

Mon père avait été admis aux Urgences de Bicêtre dans la soirée du 31 juillet à la suite d’un état d'agitation et de peur panique qui avait alerté ses voisins de palier. Ils avaient fait appel à Police Secours, qui fit appel au SAMU 94…

Les neurologues de Bicêtre n’avaient alors pas voulu tenir compte de mes dires, non plus que de ces circonstances insolites. De son état de panique, ils ne firent curieusement aucunement mention dans le CR d’hospitalisation qu’ils adressèrent ensuite au gériatre Jean-Yves Beinis, dans le Service duquel ils le firent transférer, se bornant d’y rapporter qu'un "trouble de la marche" lié à une "atteinte diffuse du système nerveux" (sic) avait été le motif de son admission en neurologie. Ils lui recommandèrent verbalement, mais aussi dans une lettre manuscrite (retrouvée 5 ans plus tard) de ne surtout pas suivre mon avis, qui était pourtant aussi celui des Urgentistes de l'hôpital … mais de ne faire que semblant de le suivre  ! Pourquoi  ? Etait-ce parce qu’ils auraient pris comme une injure le fait que je me sois permis de leur rappeler le dicton  qu’en médecine ''la clinique prime le laboratoire'' et donc d'administrer le traitement de la maladie de Biermer malgré un  Schilling (soi-disant) à 35 % et une vitaminémie B12 "normale" à 225 pmol/ml ? Cf. infra.

En ce qui me concerne, vous-vous êtes inquiété de mon état de maigreur, de ce que je puisse avoir perdu 7 kg ces dernières années. J'ai toujours été maigre, mais l'âge et le régime que je me suis imposé depuis mai 2015 – découverte d'une HbA1C à 11,5 oblige – n'ont rien arrangé.

D’autre part, je ne suis pas enfant unique. J'ai une sœur de deux ans mon année. Elle est née en mai 1937 au terme du huitième mois de grossesse, moi à terme, à 3,3 kg pour 0,57 m.

Je me suis marié en1969 avec une étudiante en médecine avant qu'elle ne devienne psychiatre. Son mémoire de psychiatrie allait porter sur l'intérêt du lithium dans le traitement états maniaco-dépressifs  : le lithium n'avait jamais cessé d'être prescrit dans le Service où elle était Interne.

J'en ai eu deux filles. L'aînée est née en 1972. Elle a fait des études universitaires en Allemagne, et s'y est mariée. Elle y vit, y travaille, et a trois enfants, deux garçons et une fille, tous les trois bien portants. La seconde est née en 1975. Elle est professeur de lettres et vit à Paris. Mon épouse et moi avons divorcé en 1990 à l'instigation d'un psychiatre qui se réclamait de Jacques Lacan. Lacan avait été son "analyste". Bien que psychiatre, il exerçait surtout en tant que psychanalyste. Or mon épouse avait une admiration, à mon avis aveugle pour les psychanalystes lacaniens. L'aveuglement des psychanalystes devant la iatrogénité de leur pratique trouve sa source dans une interprétation  foncièrement erronée parce que projective et "potitique" qu'avait Freud du sens de l’histoire du roi Œdipe telle que l'a rapportée Sophocle, ce qui fait que la doctrine qui est au centre de ses développements théorisque est non seulement fallacieuse, mais extravagante et iatrogène, ainsi que l'ont souligné certains  psychanalystes dissidents ou défroqués tels que Jeffrey Moussaëff Masson aux Etats-Unis (Cf. www. l-affaire-freud.com/ mise en ligne en avril 2011 par le docteur Michel Meignant, psychiatre et psychanalyste, donc bien après que la psychanalyste Marie Balmary a publié "l'Homme aux statues" en 1979, et le "Livre noir de la psychanalyse" paru en 2005.)

Dans ses séminaires Jacques Lacan professait à qui voulait bien l'entendre que Freud n'avait pas eu accès à sa propre "équation personnelle", autrement dit que celle-ci lui était "barrée", que les spéculations théoriques de Freud leur sont relatives, et pour cause : ''l'historienne de la psychanalyse'' Elisabeth Roudinesco a recueilli les confidences de Marc-François Lacan, le frère de Jacques Lacan, Leur mère, comme celle de Freud, était incestueuse, à la différence près que dans le cas de la mère de Freud, celle-ci avait été incestée par son père, ce qui faisait de Freud non pas le fils de son père répendant au nom  Jakob Freud, mais le fils de son grand-père Jacob Nathanson, un bourgeois de Leipzig qui s'était adressé à un petit marchand de laine de Moravie ruiné, âgé d'une quarantaine d'années, pour qu'il veuille accepter de prendre sa fille de 19 ans pour épouse contre un substantiel dédommagemment bien que celle-ci soit enceinte (de son propre père), ce alors que dans le cas de Jacques Lacan, sa mère avait pris pour amant le père de son mari,  avait marié sa fille était de type I, selon. C'est une  information qu' Elisabeth Roudinesco a répercuté dans ''Généalogies'', confessions parues en 1994 chez Fayard. De ce fait Jacques Lacan avait compris pourquoi et comment les spéculations théoriques de Sigmund Freud étaient, consciemment ou non, biaisées. Freud avait lui-même dû envisager cette possibilité - cette a-chose, la Chose petit a en lacanien - en vertu même de ses premières stipulations, mais elle était inavouable.  Il lui avait fallu s’en affranchir  . Ce qui avait fait basculer ses premiers aperçus trop dérangeants de l'autre côté du miroir. Faute de le savoir, donc d'avoir pu en tenir compte, ses inversions dans l'ordre des causalités, et parce qu'elles étaient moins dérangeantes, ont cagné ses adeptes, et finalement de nombreux psychiatres.

Or tout "l'enseignement'' de Jacques Lacan s'attache à pointer cette faille dans l'édifice freudien, une faille qu'il appelle une "substance de trou", qui est non seulement à l'origine des spéculations  délirantes de Freud, mais, par procuration, du délire des psychiatres inféodés au freudisme, qui ont été jusqu'à faire des mères d'enfants autistes les responsables de l'autisme de leur enfant (Cf.   Maud Mannoni    

Comme bien des ''psys'', mon épouse était restée inféodée à ces théories iatrogènes durant et après les années de sa formation. En tant que tels, ils avaient pas su ou pu - ou voulu - tenir compte des dures réalités qu’il m’avait alors fallu affronter: c’était en effet l’époque où il avait fallu que je prenne moi-même en main la santé de mes parents, devenue déplorable du fait des manquements de leurs médecins respectifs, dépassés qu’ils étaient - ou semblaient être - par des complications qu’ils avaient eux-mêmes engendrées : les neurologues de l'hôpital Bicêtre avaient non seulement refusé de suivre non avis au sujet de mon père et du diagnostic de carence vitaminique B12 profonde, arguant que le test de Schilling était à 35% (donc soi-disant * normal), et la vitaminémie B12 à 225 mg/l. Ils avaient ainsi poussé la mystification jusqu'à faire semblant d’appliquer le traitement de la maladie de Biermer, contrairement au diagnostic de probabilité posé à l’admission du malade aux Urgences de l’hôpital Bicêtre ! Soit ils considéraient qu'il ne fallait pas contrarier un fou, puisque je suis psychiatre, soit ce simulacre avait quelques raisons d'être. La mort, en apparence naturelle, de mon père aurait arrangé beaucoup de monde.

J’avais aussi vainement demandé que mon père soit examiné par un psychiatre alors que le Service de neurologie jouxte à Bicëtre celui de psychiatrie. Mon père était en effet depuis quelques mois dans un état quasi paranoïde : il ne me reconnaissait plus comme son véritable fils, ce qui était à mes yeux délirant, et son délire entrait dans le cadre de sa maladie. La maladie de Biermer peut en effet être à l’origine d’un délire d’illusion (ce délire a été décrit en1923 par Sérieux et Capgras, et plus récemment, en 2003, par Sonia Dollfuss & al., dans un long et retentissant article de L’Encéphale. Ce délire est en l’espèce non pas accessible aux neuroleptiques, mais à une cobalaminothérarpie intensive.

Tous ces manquements ont été qualifiés de ‘‘petite erreur d’appréciation’’ par un "haut dignitaire" de l'Ordre des médecins (1*).

 

Ils étaient survenus alors que je j'étais en plein divorce et alors que le médecin "traitant" de ma mère avait deux ans auparavant (en juillet 1988) refusé de continuer de la prendre en charge parce qu'elle avait "soudainement" perdu l'esprit : aux très lourds traitements anxiolytiques qu'il lui prescrivait depuis une trentaine d'années: j'ai alors retrouvé toutes ses ordonnances, pieusement conservées dans un carton à chaussures. Le docteur Ximlenès avait eu la malencontreuse idée d'y ajouter du Laroxyl, une association connue pour être "explosive" (cause de bouffées délirantes). Aussi m’avait-il sans ambages expliqué le 13 juillet de cette année-là que ma mère relevait en fait de l’hôpital psychiatrique. Il m'avait non seulement fallu rectifier les traitements erronés de ce médecin "traitant", mais l’année suivante, en avril 1989, tenter d'empêcher un rhumatologue de 68 ans qui se prenait pour un chirurgien orthopédiste d'opérer mon père de ses douleurs et de ses « troubles de la marche », troubles d'origie neurologiques qu’il attribuait à la « mauvaise morphostatique » de ses pieds. Il avait en mai 1990 outrepassé mon opposition (j'avais été le trouver pour lui dire de s'en abstenir) en profitant de ce qu'il me savait absent pour subrepticement lui infliger, "à la sauvette", sous anesthésie générale, un alignement généralisé des orteils (sans même attendre les résultats d’analyses pré-opératoires, comme la signalé l'expertise). Ce qui était proprement scandaleux. Les neurologues de Bicêtre avaient pris le relais de ces malfaçons en refusant à mon père le traitement de la maladie de Biermer, au prétexte que ses "troubles de la marche" (sic) étaient plutôt en rapport avec une « ATTEINTE DIFFUSE DU SYSTÈME NERVEUX » (sic *), une atteinte soi-disant "inéluctablement vouée à une plus grande aggravation" (selon le rapport d’expertise sciemment mensonger du Dr. François Chedru). Une atteinte que le neurologues prétendaient relever non pas d’un syndrome neuro-anémique, bien que celui-ci ait été cliniquement évident - c’était sur ce diagnostic de présomption qu’il avait été hospitalisé en neurologie à la suite de l’opération catastrophique dudit rhumatologue - mais de la maladie d’Alzheimer compliquée d’une « encéphalopathie vasculaire » (sic), parce que, m’avaient-ils fait croire, le test de Schilling était normal (à 35%) ainsi que la vitaminémie B12 (refait six mois plus tard le Schilling était à 5%, ainsi que me le révéla, en rougissant à l'extrême, madame Jeanine Yvart, Cheffe du Laboratoire de médecine nucléaire). Les neurologues avaient été jusqu’à faire semblant de suivre mon avis. Ils avaient ordonné qu’un faux-semblant du traitement de la maladie de Biermer soit devant moi administré à mon père, bien qu'aux Urgences les médecins aient devant moi posé le diagnostic de sclérose combinée et porté le diagnostic de maladie de Biermer probable au vu de son hémogramme ! Or à l'époque madame Yvart était en conflit avec le professeur Gérard Saïd, qui voulait absolument lui imposer le Dicopac*, qu’il disait plus rapide que le test de Schilling. Madame Yvart s'y était refusée, arguant que le Dicopac était moins sûr que le test classique. Or c'était bien à la lecture de son hémogramme les Urgentistes avaient devant moi parlé d'une probable maladie de Biermer, au soir de l’admission du malade dans leur Service, le mercredi 31 juIllet 1990.

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