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13 avril 2016 3 13 /04 /avril /2016 22:01

et de leurs séquelles invalidantes passe par une nécessaire augmentation drastique du prix des médicaments, pour le bien et même pour la survie de certains malades !

En effet, un coût élevé permet aux internistes de hôpitaux, quand ils sont tributaires des Laboratoires pharmaceutiques, ce qui est assez souvent le cas, de ne pas en interdire l'administration à des malades qui en ont absolument besoin pour se rétablir, et par conséquent d'en augmenter l’efficacité thérapeutique, et donc de réduire d'autant ce que coûtent à l'Assurance Maladie et donc à la Sécurité Sociale les complications des maladies mal soignées.

Il est un cas bien connu de l'AP - HP et de ses actuelles figures de proue que sont le philosophe Emmanuel Hirsch et l'énarque et biologiste Martin Hirsch.

Alors que le malade avait été admis en neurologie sur le diagnostic d'une avitaminose B12 relative à la maladie de Biermer, au lieu que le traitement très peu coûteux de cette maladie lui soit réellement administré, qui est évidemment la vitamine B12, c'est seulement le Prozac* qui lui fut administré.

J'ai eu l'occasion de me rendre compte à un Colloque sur les maltraitances dont sont trop souvent victimes les personnes vulnérabilisées par l'âge et les maladies invalidantes, pourquoi et comment celles-ci n'étaient pas réprimées.

Le Colloque s'était tenu au Palais de Justice de Paris, en présence du procureur général Yves Bot, qui m'expliqua par qui les avocats étaient menacés dans les affaires de bavures médicales, à savoir non pas par de hauts responsables de la santé et de l'autorité judiciaire, mais par les compagnies d'assurances !

Comment le savait-il ?

Il n'a pas mis en question de l'Ordre des médecins alors que nous savons, pour en avoir eut les preuves écrites, transmises aux autorités judiciaires sans que  lesdites autorités n'en tiennent n'en compte, qu'au moins l'Ordre des médecins, via les docteurs Jean Pouillard et son acolyte Patrice Bodenan, "responsable du Bureau de Presse de l'Ordre-du-Val-de-Marne"

Cf. la Carte de visite que le docteur Bodenan, en nous cachant qu'il était une relation du docteure Edith Elmelik, nous a personnellement remis d'un air menaçant le 27 avril 1992 en nous promettant que l'Ordre nous ferait "payer" le fait de n'avoir pas empêché le malade en question de mettre les pieds à la Clinique Léon, et ensuite de porter plainte. Le docteur Bodenan était en effet parfaitement au courant de ce qu'était la Clinique Léon Elmelik. Une Clinique où les médecins pouvaient tout se permettre. Le frère d'Edith Elmelik, le docteur Jean-Claude Elmelik, sans avoir à se soucier des conséquences, y violait les parturientes.   

Docteur Patrice Bodenan

Anesthésiste Réanimateur

Chef de service adjoint à l'Hôpital Saint-Camille

Pneumologue attaché à l'Hôtel Dieu de Paris

Expert près des Cours d'Appel de Paris

Membre du Conseil de l'Ordre des Médecins du Val de Marne

Responsable du bureau de Presse

Administrateur du Syndicat des Médecins du Val de Marne

Expert près des Cours d'Appel de Paris

Hôpital  Saint-Camille   Tel : 49.83.10.10. (Bip 34)

Hôtel  Dieu de Paris  Tel : 42.34.82.34 (poste 2506)

19, route des Gardes -92 190 Meudon  Tel  46.26.02.73

 

Le titre de réanimateur était usurpé, selon ce que m'en a dit le Professeur Pierre Huguenard, qui l'avait formé. Il le lui avait refusé, mais il est possible qu'il l'ait plus tard obtenu du professeur Christian Hervé, qui lui a en 1999 accordé un DEA d'éthique médicale, au sujet des "Problèmes éthiques posés par les Commissions de conciliation médicales", un Mémoire dont il était si fier qu'il l'avait mis en ligne sur le Web. Il y était stipulé qu'il est du devoir d'un Chef d'établissement hospitalier de minimiser le coût des procédures. Son mémoire n'est malheureusement plus en ligne depuis 5 ou 6 ans, mais le Professeur Hervé Christian devrait pouvoir le mettre à disposition à qui lui en fait la demande.                                                                                                                

J'avais ainsi dû mettre moi-même en route le traitement de la maladie de Biermer après que les infirmières, qui ne voulaient pas être associées à des ordres criminels, m'ont discrètement fait savoir ce qui leur avait été ordonné de faire (elles m'ont demandé de venir vérifier sur le cahier des prescriptions médicamenteuses si le traitement ordonné était correct).

Le malade s'était in extremis "à la surprise générale" (moi y compris) remis du coma carus (en l'occurrence pré-mortel) où avait fini par le faire sombrer les ordres que Olivier Ille, un Interne du Service de neurologie de l'hôpital Bicêtre, s'était chargé de transmettre au docteur Beinis,  de ne surtout pas administrer au malade qui lui adressait le traitement de la maladie de Biermer, ce que n'aillait pas manquer de demander le fils du malade, certes médecin, mais médecin psychiatre "déjanté", mais de ne faire que semblant de le lui administrer (parce qu'il ne faut surtout pas pas contrarier les fous.)

Six semaines après le début de son hospitalisation, à partir du moment où j'ai mis réellement en route le traitement de la maladie de Biermer au lieu du faux-semblant qui lui avait jusqu'alors été administré, mon père sortit  du coma carus où il avait fini par sombrer  ...

Il regagna en quelques semaines 30/30 au test de  Folstein (contre précédemment 22/30)

Son rétablissement sema la panique au plus haut niveau de l’administration de l'AP - HP, du fait qu'il était dès lors en mesure de porter plainte. 

Les neurologues de l'hôpital Bicêtre ignoraient cependant que leur ex malade croyait que c'était à eux qu'il devait la vie, au point qu'il voulait leur faire une donation, comme le réclamaient de grandes affiches placardées dans les couloirs et la salle d'attente du Service de neurologie, que les familles des malades participent par des dons aux Recherches du Service sur la thérapie des maladies neurodégénératives.

Mais contre les médecins de la Clinique Léon Elmelik, ladite Clinique leur étant très utile. Cf. infra à ce à quoi a servi en 1997 le Service de neurologie du docteur Olivier Ille au CHU de Mantes la Jolie, c'est-à-dire après que la Clinique Léon Elmelik a changé de propriétaires en 1995. 

L'hôpital Bicêtre et le Pr Gérard Saïd décrétèrent, lorsque je me suis adressé à la CADA pour avoir enfin accès au dossier soi-disant perdu (je savais par le docteur François Chedru qu'il ne l'était pas), que j'avais moi-même "sciemment fabriqué" (sic) la maladie de mon père "par antisémitisme" (dixit Mme Isabelle Pilot, "chargée des relations de l'hôpital Bicêtre avec la clientèle".

Les Drs. Bodenan et Pouillard avaient aussi chercher à intimider nos avocates.

Sans être médecin, mais bénéficiant de ses relations avec le professeur Gérard Saïd au sein de l'IFREM, qu'il présidait, Emmanuel Hirsch est depuis 1995 titulaire d'une Chaire d'enseignement de l'éthique médicale.

Ladite Chaire fut premièrement installée à l'hôpital Bicêtre en 1995, où elle a gardé une antenne, avant d'être transférée à l'hôpital Saint-Louis.

En dépit du fait qu'Emmanuel Hirsch enseigne la nécessité d'attacher la plus grande importance au respect du SM (du Secret Médical, non pas du sado-masochisme) dans les affaires de maltraitances médicales, lorsque je l'ai rencontré à l'occasion de ce Colloque pour lui parler de ce cas, il m'avait tout de suite coupé la parole en me disant qu'il conaissait déjà par coeur l'histoire de ce malade (sic) !

Son frère, Martin Hirsch, qui n'a été placé à la tête de l'AP - HP qu'en novembre 2013, doit certainement aussi connaître son histoire "par coeur".

(Martin et Emmanuel Hirsch seraient frères, d'après Wikipédia), ce qui rend peut-être compte de certains propos entendus à l'hôpital Saint-Louis après que le docteure Laurence Kouyoumdjian* a eu l'idée saugrenue de vouloir de mettre un frein à la série d'assassinats de malades perpétrés en 1997 au CHU de Mantes la Jolie par l'infirmière Christine Malèvre, comme par hasard sous l'égide du médecin - Olivier Ille - qui avait depuis le Service du professeur Saïd en août 1990déjà dicté depuis l'hôpital Bicêtre au gériatre Jean-Yves Beinis la marche à suivre concernant ledit malade, c'est-à-dire de ne lui faire administrer, en ma présence, par les infirmières de son Unité de Soins Normalisés, qu'un simulacre du traitement de la maladie de Biermer, un traitement qui normalement nécessite des doses drastiques de cobalamine.

En attestent les directives qui lui furent faites dans une lettre manuscrite datée du 22 août 1990 (lettre par la suite jointe à la plainte dudit malade au procureur Michel Barrau, au TGI de Créteil, après qu'elle m'a été remise, en décembre 1995, par le docteur Jean-Yves Beinis, et après que le malade s'est remis du coma consécutif à ces (et ses) directives mortelles.

Elles furent bien près de réussir l'être.

Le docteur Beinis, Chef du Service où il le fit transférer le 22 août 1990 au prétexte que son état ne s'améliorait pas malgré le (pseudo) traitement de ce syndrome cobalamino-carentiel (il ne lui avait fait administrer que du Prozac * afin que "son" malade ne finisse pas ses jours dans le Service de pointe que prétendait être celui du professeur Gérard Saïd

Pour venir à bout d'un syndrome neuro-anémique caractérisé par un tableau clinique de "sclérose combinée" !?!?

Il s'agit d'un tableau clinique que doit bien connaître Martin Hirsch, puisqu'il est depuis 1988 titulaire d'un  DEA de neurobiologie,  

(pour plus de précisions sur cette affaire et ses suites cf. sur le Web les sites n°34640522 html, 108281777 )

 

CONCLUSION ET RESUME 

L'Assistance Publique - Hôpitaux de Paris gérant dans la Région parisienne 39 établissements hospitaliers, Martin Hirsch, en tant qu'ex directeur de la Pharmacie Centrale des Hôpitaux de Paris comprendra, mieux que quiconque, combien il est urgent de faire des économies en augmentant drastiquement le prix des médicaments trop bon marché.

CQFD  

NB  le présent article a été reproduit le 26 mars 2020 sous le titre à peu près identique de  "Comment réduire le coût des maladies et de leurs séquelles invalidantes"

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