Les maladies coûtent cher au pays. Comment y remédier ?
Paradoxalement, en rendant beaucoup plus chers le prix des médicaments.
DÉMONSTRATION
L'AP - HP et ses actuels hauts représentants que sont le philosophe Emmanuel Hirsch et le neurobiologiste Martin Hirsch connaissent le cas d'un malade qui, à cause du très faible coût d'un médicament, en l'occurrence la cobalamine, à coûté très cher à l'Assurance Maladie et à la Sécurité Sociale.
Lors d'un Colloque sur les maltraitances infligées aux personnes âgées et aux personnes vulnérables qui s'était tenu au Palais de Justice de Paris, le procureur général Yves Bot m'expliqua pourquoi et par qui les avocats qui défendaient les victimes de bavures médicales.étaient menacés.
Non pas, comme je le croyais, par de hauts représentants des autorités ordinales et judiciaires, mais par les compagnies d'assurances !
Bénéficiant de ses relations avec le professeur Gérard Saïd au sein de l'IFREM, qu'il présidait, Emmanuel Hirsch est depuis 1995 titulaire d'une Chaire d'enseignement de l'éthique médicale.
Ladite Chaire avait été installée à l'hôpital Bicêtre en 1995, où elle a gardé une antenne, pour être par la suite déplacée à l'hôpital Saint-Louis.
En dépit du fait qu'Emmanuel Hirsch enseigne la nécessité d'attacher la plus grande importance au respect du du Secret Médical dans les affaires de maltraitances médicales, lorsque je l'ai rencontré à l'occasion de ce Colloque pour lui parler de ce malade, il m'avait tout de suite coupé la parole en me disant qu'il conaissait déjà par coeur l'histoire de son cas !
Son frère, Martin Hirsch,qui a été placé à la tête de l'AP - HP en novembre 2013, doit aussi la connaître "par coeur".ce qui rend sans doute compte de certains propos entendus à l'hôpital Saint-Louis après que le docteure Laurence Kouyoumdjian a eu la mauvaise idée de mettre un frein aux assassinats de malades que commettait allègrement en 1997 l'infirmière C.Malèvre au CHU de Mantes la Jolie alors qu'elle travaillait sous l'égide du docteur Olivier Ille.
Celui-ci, quand il n"était qu'Interne dans le Service du professeur Saïd en août 1990 à Bicêtre avait déjà dicté au gériatre Jean-Yves Beinis la marche à suivre concernant ledit malade, c'est-à-dire de ne lui faire administrerpar les infirmières de son Unité de Soins Normalisé, qu'un simulacre du traitement de la maladie de Biermer en ma présence, un traitement qui normalement nécessite des doses drastiques de cobalamine.
En attestent les directives qui lui avait donné dans une lettre manuscrite datée du 22 août 1990,lettre par la suite jointe à la plainte dudit malade au procureur Michel Barrau, au TGI de Créteil, après qu'elle m'a enfin été remise, avec beaucoup réticence, en décembre 1995, par le docteur Jean-Yves Beinis, et après que le malade s'est remis du coma consécutif à ses mortelles directives.
Et elles furent très près de réussir l'être.
Le docteur Beinis, Chef du Service où Olivier Ille et son Service le firent transférer le 22 août 1990, au prétexte que son état ne s'améliorait pas malgré le (pseudo) traitement de ce syndrome cobalamino-carentiel (Olivier Ille et le Chef de Clinique Pascal Masnou ne lui avait en réalité fait administrer que du Prozac*, "son" malade ne devantsurtout pas finir ses jours dans un Service de pointe tel que celui du professeur Gérard Saïd (à plus de deux milles euros la journée d'hospitalisation)
Du Prozac* pour venir à bout d'un syndrome neuro-anémique carabiné, authentifié par un tableau clinique de "sclérose combinée", c'est prosa-hic !?
La sclérose combinée est un tableau clinique que doit évidemment très bien connaître Martin Hirsch,puisqu'il est depuis 1988 titulaire d'un DEA de neurobiologie.
(pour plus de précisions sur cette édifiante affaire et ses suites, cf. sur le Web les sites n°34640522 html, 108281777 et l'article intitulé "Une nuit vitaminée",sur http:/génocides.over-blog.com)
L'Assistance Publique - Hôpitaux de Paris gèrant dans la Région parisienne 39 établissements hospitaliers, Martin Hirsch, en tant qu'ancien directeur de la Pharmacie Centrale des Hôpitaux de Paris comprendra combien il est urgent d'augmenter drastiquement le prix des médicaments pour faire des économies. .
