Overblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
23 février 2023 4 23 /02 /février /2023 18:24

La maladie de Biermer fait partie des urgences médicales parce qu'elle est inéluctablement et inopinément mortelle quand et si elle ne reçoit pas son traitement spécifique: la vitamine B12 à fortes doses dans l'immédiat et ad vitam à dose d'entretien.

Cette maladie est due à une malabsorption intestinale de la vitamine B12 liée à un défaut stomacal, probablement d'origine immunitaire, de sécrétion d'une substance protéique, appelé "facteur intrinsèque", qui permet à l'iléon terminal d'absorber cette vitamine, qui est aussi indispensable à l'intégrité et donc au fonctionnement du système nerveux que l'est l'huile moteur au fonctionnement des moteurs thermiques : continuer de rouler alors que le carter d'huile n'est plus au niveau conduit le moteur à dysfonctionner puis à rendre l'âme si on continue de rouler sans faire l'appoint.

Mais du fait que l'atteinte diffuse du système nerveux provoquée par le déficit en vitamine B12 déterminé par cette malabsorption est à terme inéluctablement mortelle lorsqu'elle n'est pas corrigée par son traitement spécifique, cette maladie n'est heureusement pas méconnue des praticiens, malheureusement à la différence du syndrome NDB12PP, qui n'en est pourtant qu'une forme clinique trois fois plus fréquente !

Les grands responsables de cette non reconnaissance en est un test para-clinique, le test de Schilling et son succédané le Dicopac*, mais pas seulement ces tests de laboratoires: l'oubli d'un principe médical fondamental, qui stipule que "la clinique prime le laboratoire" : si les pneus de votre automobile sont visiblement très dégonflés voire complétement à plat mais que le garagiste à qui vous en avez confié l'entretien soutient qu'ils sont correctement gonflés parce que le manomètre dont il se sert indique que leur pression est normale, allez-vous accepter son explication,  reprendre comme ça la route avec votre voiture sans en regonfler vous-mêmes les pneus ? 

- 1978 Kolhouse & al, New Engl. J. Med. 299, 15, 787 – 792. “Cobalamin analogues are present in human plasma and can mask cobalamin deficiency because current radioisotope dilution assays are not specifique for true cobalamin”.

-  2012 N Engl J Med; July 26, 367:385-386 Ralph Carmel, M.D. Yash Pal Agrawal, M.B., B.S., Ph.D.
"Failures of Cobalamin Assays in Pernicious Anemia The authors show that commercial tests for cobalamin levels provide false normal values in 22 to 35% of cases of pernicious anemia, the main disease they were designed to detect".

Or c'est à un problème tout à fait analogue à celui-ci auquel j'ai été confronté en 1990 avec les médecins qui s'étaient occuper de soigner mon père en neurologie à l'hôpital Bicêtre ! 

En 2023 il y a d’autant moins de raisons de méconnaître le syndrome NDB12PP que sa prévalence tend à augmenter parallèlement à celle du diabète de type II, c’est-à-dire avec le traitement le plus commun de celui-ci, la métformine, qui est depuis longtemps connue pour entraver l’absorption et donc l’action préventive de la vitamine B 12 sur l’éclosion de la maladie de Biermer, et donc aussi sur l'apparition du syndrome NDB12PP (de Non Dissociation de la vitamine B12 de ses Protéines Porteuses)

A cause de cette incompréhensible (et inadmissible) méconnaissance, très rares sont les médecins qui adjoignent systématiquement un traitement cobalaminique à la prescription de metformine.

Le syndrome NDB12PP a pourtant fait l’objet de très nombreuses publications depuis qu’il a été découvert.

C’est en 2003 que les Internistes des hôpitaux de Strasbourg, les Drs. E. Andrès & al. lui ont donné ce nom en remplacement de celui de « syndrome de carence vitaminique B12 avec test de Schilling normal » dans un article paru en 1996 dans la revue La Presse Médicale (aux éditions Masson), article depuis maintes fois répétés avec plus de précisions dans d’autres revues médicales à comité de lecture.

Ce qui est arrivé à mon père après qu'il a commis l'imprudence de mettre les pieds dans la Clinique de la Commune où il habitait, à l'Haÿ-les-Roses, la Clinique Léon Elmelik, pour une simple arthroplastie interphalangienne du quatrième orteil du pied gauche pour le redresser et supprimer ainsi ce qui était la cause d'un cor douloureux avait, en 1990, plus d'une fois lui coûter la vie, et pour plusieurs raisons, qui se sont inexorablement engendrées les unes les autres de façon réellement infernales.

La promesse de se limiter une simple sous anesthésie locale était en fait un véritable guet-apens.

Il s'en est sorti vivant, mais de façon quasi miraculeuse grâce à la présence d'esprit de la Surveillante de l'USN (Unité de Soins dits "Normalisés")  de l'hôpital Charles-Foix où il avait été indument conduit à être hospitalisé parce que les neurologues du CHU de Bicêtre avaient non seulement refusé de lui administrer le traitement de la maladie qui avait motivé son admission dans leur Service à Bicêtre mais aussi parce qu'ils avaient fait semblant de le lui administrer ... pour des raisons certes sur le moment incompréhensiblers et tout à fait illégitimes mais qu'avant de les comprendre rétrospectivement sept ans plus tard preuves à l'appui il faut provisoirement dire "spécifiques".     

Une arthroplastie interphalangienne est une intervention à faire sous garrot d'orteil. Elle ne nécessite qu'une anesthésie locale, à l'instar d'une la cure d'une carie dentaire.

Cette arthroplastie devait être réalisée au cours du long WE de Pentecôte cu 25 mai 1990 n'a pas été réalisée, mais elle a été remplacée de façon impromptue par une tout autre intervention chirurgicale alors que le Dr. Antoine Denis me savait à 500 kms, celle-là réalisée sous anesthésie générale après que mon père âgé de 79 ans, qui à l'époque était devenu de façon évidente perturbé sur le plan psychologique (et psychiatrique) par une maladie débilitante mais qui n'avait rien à voir avec la maladie d'Alzheimer, est tombé dans le guet-apens qui lui avait été tendu. 

De Dr. Antoine Denis avait de son propre aveux profité de mon absence pour réaliser l'opération qu'il voulait placer puisque devant le Conseil de l'Ordre des médecins il a concédé que je l'avais averti de se limiter à une arthroplastie interphalangienne, mais que si j'étais venu accompagner mon père le matin du 25 mai et avais réitérer mes mises en garde il se serait abstenu de faire ce qu'il a fait et que j'étais donc responsable de cette opération.

Des arguties qui furent en juin 1994 avalisées par le Conseil disciplinaire du CROM de l'Île-de-France, confirmation de ce que m'avait confié le Principal  du Commissariat de l'Haÿ-les-Roses en janvier 1991, que les médecins de la Clinique Léon Elmelik pouvaient tout se permettre parce qu'ils se savaient  "protégés en haut.s-lieu.x"

Le Dr. Antoine Denis était en fait un rhumatologue de 68 ans qui se prenait et se faisait passer pour un chirurgien orthopédiste hors pair et professeur (aux dires du Dr. Nathalie Ghidalia, une phlébologue qui exerçait dans la même Clinique que lui à l'haÿ) avait depuis plus d'un an eu l'idée de placer chez la phlébologie chez mon père une intervention plus rémunératrice qu'une simple IPP (Antoine Denis faisait partie de la  "fine équipe des pieds nickelés", conduite par le Pr. Jean Debeyre, actionnaire de la Clinique et porteur de chaussures à ferrures)

En tant que médecin ayant exercé pendant près de deux ans dans un Service de chirurgie orthopédique j'étais et m'étais opposé à un acte plus conséquent que la réalisation d'une IPP sur un orteil  non seulement parce que je savais que faire plus était au mieux inutile mais parce l'état physiologique de mon père ne permettait pas une intervention plus conséquente qu'une IPP.

L'opération que Dr. Antoine Denis s'était entêté à réaliser malgré mes avertissements a été faite malgré les mises en garde lui avaient aussi été signifiées dans une lettre du cardiologue Joseph Heller datant de d'avril 1989 pour toutes ces raisons alors que l'état de mon père n'était pas aussi dégradé que douze mois plus tard, avec l'installation de troubles psychiatriques et de l'équilibre dus une sclérose combinée de la moelle en rapport avec un déficit vitaminique B12 non encore identifié.

Le Dr. Antoine Denis n'avait pas voulu tenir compte de ces mises en gardes de façon à pouvoir placer une opération plus rentable que la simple IPP prévue et stipulée sur le Bon d'hospitalisation remis au patient parce qu'il savait qu'il pouvait tout se permettre, la Clinique Léon Elmelik étant "protégée en hauts lieux", selon ce que m'en a dit le Commandant Christian Raeckelboom, le Principal du Commissariat de l'Haÿ-les-Roses, qui le déplorait mais en ignorait la raison.

Il nous faudra attendre 1997 pour savoir pourquoi. 

Mon père avait failli en perdre la vie, mais ce n'était évidemment pas intentionnel de la part des médecins auxquels il s'était à tort confié (voir l'article "sidération et désintégration")  mais à cause des hémorragies cataclysmiques impossibles à juguler dont ceux-ci s'étaient rendu responsables en lui infligeant sans crier gare (par surprise) une lourde intervention orthopédique que j'avais pourtant pris la précaution d'aller leur interdire parce que de telles complications étaient non seulement à craindre mais à prévoir comme étant inéluctables compte tenu de la fragilité cardiovasculaire de mon père et des hémorragies nasales survenues spontanément dans les semaines précédentes, qui avaient par deux fois nécessité l'intervention d'un ORL, en l'occurrence celui de la Clinique Léon Elmelik, le Dr. Semette alors même que mon père n'était pas sous anticoagulants. Celles survenues au décours de cette opération s'étaient produites sous traitement post-opératoire héparinique. Elles avaient par conséquent nécessité d'en bloquer les effets par des anti hépariniques, au risque de provoquer des embolies post-opératoires mortelles.

Le risque était d'autant plus grand que l'opération de remplacement était une intervention orthopédique bilatérale qui avait nécessité d'être faite sous deux garrots d'Esmach sur un sujet réputé athéromateux et souffrant d'une HTA très sévère à 24/13 , et qui plus est souffrait déjà de troubles neurologiques et psychiatriques présents mais non encore identifiés quoique déjà en rapport avec une anémie pernicieuse méconnue et en cours d'aggravation faute d'en recevoir le traitement spécifique, c'est-à-dire en rapport avec une profonde carence vitaminique B12 qui immanquablement a été aggravée par ces hémorragies.

L'opération du Dr. Antoine Denis avait été réalisée malgré les mises en garde et les interdictions qui lui avaient été de plusieurs côtés signifiées pour toutes ces raisons. Le Dr. Antoine Denis n'avait pas voulu en tenir compte de façon à pouvoir placer une opération plus rentable que la simple IPP prévue et stipulée sur le Bon d'hospitalisation remis au patient.

C'est ainsi qu'à l'hôpital Bicêtre les neurologues du Service du Pr. Gérard Saïd ont solidairement avec leurs confrères de la Clinique Léon Elmelik voulu mettre ce qu'ils ont étiqueté une  "ATTEINTE DIFFUSE DU SYSTEME NERVEUX" (sic, cf. infra) survenue à la fin de mois de juillet sur le compte de complications vasculaires de l'hypertension et la maladie d'Alzheimer au lieu de l'attribuer comme ils auraient dû à la maladie de Biermer à la seule fin d'en innocenter les médecins de la Clinique Léon Elmelik aux yeux de la Justice, cette Clinique rendant à cette époque, lorsqu'aucun traitement n'existait pour prévenir l'apparition d'un SIDA post-transfusionnel, de singuliers services aux hôpitaux de l'AP-HP de la région en tant que solution finale pour les malades devenus embarrassants pour les ministres "responsables mais non coupables" des 35.000 contaminations par le HIV pour avoir sciemment tardé à faire adopter la méthode du chauffage pour en neutraliser ledit virus des flacons de sang que le CNTS avait livré aux hôpitaux de l'AP-HP, sachant que mon père avait été transfusé en avril 1984, ainsi qu'il est signalé d'entrée dans le compte-rendu d'hospitalisation destiné au Dr. Jean-Yves Beinis pour qu'il respecte la consigne a priori aberrante de ne faire que semblant d'administrer au malade qui lui était adressé le traitement de la maladie de Biermer.

Et c'est ce qu'il a accepté de faire, alors même que le diagnostic de profond déficit en vitamine B12 et donc de cette maladie était devenu si évident par un de ses symptômes pathognomonique qu'il lui avait été signalé par la Surveillante de son Service, madame Pondu, qui m'avait fait savoir qu'il n'avait rien voulu changer au simulacre de traitement qu'il avait ordonné d'administrer alors même que l'état de son malade devenait de plus en plus critique. 

Après que de madame Pondu m'a fait prévenir que le Dr. Beinis n'avait rien voulu changer au pseudo traitement qu'il avait ordonné pour respecter les consignes des neurologues de Bicêtre j'ai été en mesure d'administrer moi-même le traitement de la maladie de Biermer façon effective alors que l'état de mon père était devenu si désastreux qu'il était à craindre qu'il soit devenu irréversible sur le plan cérébrale.

Mais contre toute attente, y compris la mienne, mon père a pu récupérer 20/30 au MMSE en seulement quelques semaines (contre précédemment 12/30 le 22 août 1990, mais ce qui sema la panique au sein de l'AP-HP, c'est que leur malade était ainsi devenu en mesure de porter ce qui lui était arrivé à la Clinique Léon Elmelik devant la justice alors que les neurologues du Service du Pr. Gérard Saïd pensaient avoir fait ce qu'il fallait pour qu'il ne le soit pas. 

De là la nécessité de se protéger eux-mêmes ! 

Voir à l'article précédent à quoi correspond le plus souvent le tableau clinique de Sclérose Combinée de la Moelle.

__________________________________________________________________________________________________

CR d'hospitalisation sciemment fallacieux daté du 20/09/1990

(officiellement établi par Olivier Ille)
page 2 page 2

page 1MOTIF DE L’HOSPITALISATION        
       Troubles de la marche


ANTÉCÉDENTS
       HTA essentielle, ancienneté inconnue.
       Intervention orthopédique pour orteils en marteau en Avril-Mai 90
       Prothèse totale de hanche gauche opérée en 84 pour coxarthrose


HISTOIRE DE LA  MALADIE
      Se plaint de difficultés à la marche d’installation rapidement progressive au décors de l’intervention orthopédique,
      Stable depuis deux mois, la marche est hésitante, la montée des escaliers n’est plus possible, tendance à la rétropulsion et à la chute, le patient étant obligé de
      se déplacer avec un déambulateur;


EXAMEN CLINIQUE
        État général conservé. Apyrexie. Tension fluctuante à l’entrée entre 18/12 et 20/12
        La station debout et la marche sont très difficiles petits pas.
        Membres inférieurs en hyper-extension. Polygone de sustentation légèrement élargi. Tendance au piétinement et à la rétropulsion.
        L’occlusion aggrave l’équilibre  (sic)

       Au plan neurologique on objective un déficit moteur discret prédominant sur les raccourcisseurs  aux membres inférieurs et coté à 4 +.

       Aux membres supérieurs les  petits muscles des mains interosseux et lombricaux sont  discrètement déficitaires à 4. Le tonus est spastique. Les réflexes pyramidaux aux quatre membres, jusqu’en C 4 : Babinski bilatéral.

      Au plan de la sensibilité, pas d'astéréognosie. Les troubles prédominent aux membres inférieurs sur la sensibilité proprioceptive. La sensibilité extéroceptive semble  normale, bien que fluctuante d'un examen à l'autre et avec une hypoesthésie au chaud et au froid et à la douleur en chaussette. Il existe une discrète incoordination motrice bien nette aux membres supérieurs avec hypermétrie. L'examen des paires crâniennes est normal en dehors des réflexes du voile abolis. Enfin, il existe depuis deux à trois mois une incontinence sphinctérienne avec mictions impérieuses.


EXAMEN CARDIO-VASCULAIRE: Pouls régulier, pas de souffle cardio-vasculaire. Le reste de l'examen clinique est sans particularité en dehors une tendance dépressive de l'humeur, une critique insuffisante des histoires absurdes chez cet ancien opticien et des capacités d'abstraction qui semblent altérées.Le mini mental est évalué à 25/30.


                                                                            ...  / ...
page 2 DISCUSSION 
 Myélopathie cervicale, affection dégénérative, encéphalopathie vasculaire.

EXAMENS  COMPLÉMENTAIRES                                                                                                                                   
     Biologie usuelle normale. Hémogramme,   hémostase, vitesse de sédimentation, ionogramme, glycémie,  fonctions hépatorénales, fonctions phosphocalciques, électrophorèse des protéines sériques, vitamine B12, folates sériques, test de SCHI
LLING normaux.(sic) Sérologie syphilitique  négative. 

Infection  urinaire à acinéctobacter traitée et stérilisée par NOROXINE     
Radiographie rachis cervical et charnière cervico-occipitale : impression basilaire, arthrose cervicale modérée. Scanner cérébral : atrophie cortico-sous-corticale. Aspect de leucoaraïose mais le scanner est de mauvaise qualité, l’analyse de la substance blanche est difficile.                                                                                                                                             Une  IRM du rachis cervical avait été proposée pour étayer le diagnostic d'une myélopathie cervicale mais non réalisée devant une peur panique du patient deux jours avant l'examen
 

CONCLUSION
TROUBLES DE LA MARCHE  EN RAPPORT AVEC UNE ATTEINTE DIFFUSE DU SYSTEME NERVEUX
UN TRAITEMENT ANTI-SPASTIQUE POURRAIT  ÊTRE B
ÉNÉFIQUE
PAS D’INDICATION OP
ÉRATOIRE
SYNDROME D
ÉPRESSIF TRAITÉ PAR PROZAC UN COMPRIMÉ PAR JOUR
R
ÉÉVALUATION DES FONCTIONS SUPÉRIEURES APRES TRAITEMENT
PATIENT TRANSF
ÉRÉ DANS LE SERVICE DE MÉDECINE DU Dr. BEINIS Hôpital CHARLES-FOIX

-----------------------------------------------

Commentaire. 

Il est non seulement très étonnant mais tout à fait “anormal” qu'à aucun moment les diagnostics de maladie de Biermer, de syndrome neuro-anémique et de carence vitaminique B12 ne soient mentionnés dans ce CRH. Pas même à titre de diagnostic de présomption ou à d'hypothèse alors que c'est à la lecture se l'hémogramme et sur la constatation d'un tableau clinique de Sclérose Combinée de la Moelle que le diagnostic d'anémie de Biermer, a été énoncé à haute voix devant moi par l'un des deux Urgentistes qui avaient en ma présence, procédé à l'examen neurologique de mon père dans la soirée du 31Juillet 1990 vers 21 h 30 aux Lits-Portes de l'hôpital Bicêtre.
L'un d'eux était Antoine Moulonguet, qui est par la suite et jusqu'à nos jours devenu le patron d'un Service de neurologie à La Pitie-Salpétrière.
Le patient avait été hospitalisé parce qu'il  avait été pris d'une telle panique que ses voisins avaient  dû faire appel à Police Secours, ce qui est nullement  rapporté dans ce CR.
La cause réelle  de son hospitalisation n'est pas mentionnée : le malade avait été admis en neurologie sur le diagnostic de syndrome neuro-anémique porté aux urgences de l'hôpital,
et ce diagnostic n’est même pas mentionné et discuté dans le chapitre DISCUSSION , et aucune prescription de vitamine B12 ne figure en conclusion de ce CR;

Ce CR d'hospitalisation a donc été "bidonné" de façon à ce que le diagnostic de maladie de Biermer ou de syndrome neuroanémique par carence vitaminique B12 profonde n'apparaisse pas alors qu'une dizaine de jours avant le transfert de mon père à l'hôpital Charles-Foix dans le Service gériatrique du Dr. Jean-Yves Beinis, dans mes discussions avec leChef de Cinique Pascal Masnou, sans même savoir ce que Kolhouse & al. avaient publié en 1978 sur ce sujet, j'avais réfuté le diagnostic de DTA (démence de type Alzheimer) que Pascal Masnou cherchait à me faire avaler en me disant que mon père était "de toute façon voué à une inéluctable plus grande aggravation“ et ”qu'il était donc préférable, pour lui comme pour moi, qu'il ne s'éternise pas trop  dans cet état".

Autrement dit ce CR relève d'une mystification destinée à couvrir en les médecins qui avaient accepté de couvrir des erreurs gouvernementales. Ils avaient ainsi droits à de hautes protections étatiques pour les services qu'ils rendaient au CNTS qui avait fourni à l'AP-HP du sang contaminé par le VIH, nouvellement responsable de l'augmentation de la prévalence des “ATTEINTES DIFFUSES DU SYSTEME NERVEUX”, l'autre nom donné aux effroyables LEMP (Leuco-Encéphalites Multifocales Progressives), auxquelles, avant l'ère des trithérapies, aucun traitement ne pouvaient être opposé, si ce n'est une vitaminothérapie B12 intensive, c'est-à-dire le traitement de la maladie de Biermer, ainsi que le signalera la Revue de référennce qu'est Achirves of Neurology au début des années 1990, une Revue que le Pr. Gérard Saïd s'est empressé de faire diparaître et interdire la parution à la bibliothèque universitaire du CHU de Bicêtre en novembre 1997 lorsque je lui en ai parlé, au prétexte, m'a-t-il dit, que c'était "une très mauvaise Revue" (sic) cependant qu'il y co-signera six années plus tard un article.

Inféodés à des intérêts étatiques ces neurologues avaient fait en sorte que leur malade ne soit pas en mesure d'en recevoir le traitement. Le démontre la supercherie soigneusement calculée pour que le malade ne puisse se rétablir et être en mesure de porter plainte contre les médecins de la Clinique Léon Elmelik;

Les Urgentistes n'étaient apparemment pas au courant de l'entente qu'avait passé le patron du Service de neurologie de l'hôpital Bicêtre avec les autorités gouvernementales lorsqu'ils ont demandé que le malade soit admis en neurologie dans le Service du Pr. Gérard Saïd.

Le révèle  1° le fait que seulement un faux-semblant de traitement de la maladie de Biermer lui avait été ostensiblement administré devant moi pour me faire croire qu'il le recevait vraiment: ordre avait été donné aux infirmières de l'Unité de Soins Normalisés du Dr. Jean-Yves Beinis, dans lequel le malade avait été transféré pour y finir ses Jours plutôt qu'à l'hôpital Bicêtre, de ne faire que semblant devant moi, qui suis médecin, de l'administrer de façon à ce que je ne puisse prétendre que ce traitement ne lui avait pas été afministré

 2° aussi ce qui s'est passé en 1997 au CHU de Mantes la Jolie où la Justice s'est bien gardée de cuisiner le Dr. Olivier Ille au sujet de son aveuglement devant les très nombreux assassinats de malades que commettait sous on égide et pour ses beaux yeux Christine Malèvre, qui n'avait pas compris que seuls les malades qui avaient été transfusés dans lesd années à risque étaient à éliminer.

Dès lors l'urgente nécessité pour la Direction de l'AP-HP, de l'hôpital Bicêtre et du Pr. Gérard Saïd, membre éminent de l'IFREM et par conséquernt de l'AMIF de faire alliance avec le CNOM, comme le révèlera le Dr. Bruno Halioua (actuellement le vice-président de la LICRA) dans son livre "Blouses blanches, étoiles jaune"', publié en décembre 1999 chez Liana-Lévi sans avoir alors compris le pourquoi du comment l'AMIF en était arrivé à devoir passer par là. Cf la Préface du Pr. Glorion, la page 12 et la postface, où qui sans Bernard Weber, Bruno Halioua n'aurait jamais osé ... 

On remarquera qu'à partir de là le CNOM, fondé en 1940, consent à ne plus fermer la porte de la présidence de l'Ordre à des non-aryens.

Comme quoi le CNOM n'est pas aussi rétrograde que son péché originaire laisse à médire de lui.

Le démontre aussi le Mémoire de DEA du Dr. Patrice Bodenan °°° sur les "Problèmes éthiques posés par par les Commissions de Conciliation Hospitalières".
J'ai en 1990 dû faire face non seulement à la démence Alzheimer de ma mère du fait que son médecin traitant, le Dr. X., s'était mis depuis juillet 1988 à refuser de s'en occuper alors qu'il l'avait depuis plus de trente ans comme fidèle patiente (il lui renouvelait depuis trente-quatre ans ses ordonnances de tranquillisants (Gardénal-Natisédine-Equanil-Librium-Atarax-Valium 5mg x3/j au total 200 grammes de Valium + Lexomil + Xanax etc parfois plusieurs de ces molécules sur la même ordonnance) mais aussi au traitement mortellement erroné d'une fausse maladie d'Alzheimer soi-disant greffée sur une prétendue encéphalopathie vasculaire, le tout ayant  aboutit à un diagnostic d' "ATTEINTE DIFFUSE DU SYSTEME NERVEUX" (sic), diagnostic porté à l'encontre de mon père sur son Contre-Rendu d'hospitalisation un mois après sa sorti alors qu'il était évident qu'il avait souffert d'un syndrome neuro-anémique extrêmement  sévère (un syndrome qui s’appellera quelques années plus tard  "syndrome de carence vitaminique B12 avec test de Schilling normal" (tableau de sclérose combinée + syndrome tétrapyramidal + délire de Capgras, c'est-à-dire de symptômes en réalité tous  révélateurs d'une sévère avitaminose B12 sinon de la maladie de Biermer dans sa forme classique

 

 

Partager cet article
Repost0

commentaires