Overblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
12 février 2023 7 12 /02 /février /2023 01:09
Un des plus grands des "foutages de gueules'' que j'ai eu à essuyer avait été concocté par les neurologues du Service du très éthique  Pr. Gérard Saïd au CHU Bicêtre  lorsqu'ils ont fait transférer mon père, âgé de 79 ans, à l'hôpital Charles-Foix dans le Service gériatrique du docteur Jean-Yves Beinis le 22 août 1990 (au vertueux prétexte qu'il ne guérissait pas tout en occupant le coûteux lit d'un Service spécialisé.)

Ils avaient fait accompagner son transfert d'une lettre manuscrite de l'Interne Olivier Ille demandant qu'il ne lui soit administré qu'un faux-semblant de traitement de la maladie de Biermer.

C'était pourtant sur le diagnostic clinique de cette maladie, ou plus exactement sur le diagnostic de SCM (de Sclérose Combinée de la Moelle), qui est le plus souvent en rapport avec cette maladie, c'est-à-dire avec un profond déficit en vitamine B12, que mon père avait été admis en neurologie à Bicêtre le 2 août à la demande des Urgentistes qui en avaient parfaitement fait devant moi cliniquement le diagnostic (ce qu'il ne m'avait guère été possible de faire parce que mon père ne voulait pas se prêter à un tel examen de ma part, ce qui assez compréhensible, surtout que sa maladie s'accompagnait d'un délire d'illusion, dans lequel il me percevait plus hostile et comme n'étant pas son véritable fils (Cf. C. Durand; S. Mary; P. Brazo; S. Dollfu  L' Encéphale, décembre 2003 Vol 29 (6), p. 560 - 565. "Délire Capgras chez une patiente de 64 ans atteinte d'une maladie de Biermer".). le délire d'illusion des sosies décrit en 1923 par le Dr. Capgras, un type de délire catégorisé "chronique" alors qu'il ne l'est pas toujours quand il relève de causes métaboliques comme dans la maladie de Biermer qui a fait treize ans plus tard l'objet d'une observation clinique retentissante sur le plan international ;publiée dans la Revue "L'encéphale" (Cf. C. Durand; S. Mary; P. Brazo; S. Dollfus L' encéphale, décembre 2003 Vol 29 (6), p. 560 - 565. "Délire Capgras chez une patiente de 64 ans atteinte d'une maladie de Biermer". ( ).( d'une et qui est par le   

Pour s'assurer que le docteur Jean-Yves Beinis suive sans faillir ni défaillir des consignes aussi aberrantes que celles-là, ils lui avaient caché que c'était sur le diagnostic de cette maladie que mon père avait été admis en neurologie.

Pour qu'il ne soit pas tenté de déroger à ces consignes aberrantes et scélérates parce qu'à l'évidence sciemment mortifères - ils l'avaient choisi parce qu'ils le savaient aussi peu curieux que peu enclin à contester des consignes professorales - ils lui avaient expliqué qu'il devait ne tenir aucun compte de ce que le fils du malade pourrait lui dire, celui-ci en tant que fils et psychiatre déboussolé refusant de tenir compte de ce que son père souffrait "en réalité" d'une "ATTEINTE DIFFUSE DU SYSTÈME NERVEUX" (sic) en rapport avec une DTA (démence de type Alzheimer), qui le vouait "de toute façon à une inéluctable plus grande aggravation" (sic, dixit à moi le Chef de clinique  Pascal Masnou, qui avait ajouté ces propos "qu'il valait mieux pour moi comme pour mon père que son état de s'éternise pas trop" (seule la première partie de ces propos a été reproduite telle quelle dans l'expertise judiciaire que le neurologue François Chedru a adressé en février 1996 à la Juge (Mme Bénédicte Scelle) tout en omettant de signaler les conséquences affolantes des fautes sidérantes qui avaient été commises tant par le Dr. Antoine Denis, rhumatologue de la Clinique Léon Elmelik et relayées par les neurologues du Service du Pr. Gérard Saïd puis par le Gériatre Jean-Yves Beinis à l'USN de l'hôpital Charles-Foix. 

Elles avaient conduit mon père à sombrer dans un coma carus, qui comme il avait été attendu - et manifestement recherché - faillit de peu être terminal, mais qui ne le fut pas parce que Mme Pondu, la Surveillante du Service du Dr. Beinis, qui avait reconnu la nature manifestement B12 carentielle de la maladie de mon père à un de ses symptômes spécifiques (la glossite de Hunter), s'était rendu compte que je n'étais pas aussi dérangé que ce qui lui avait été raconté le Dr. Beinis pour qu'elle se prête à une telle simulation.

Bien qu'elle lui ait fait part de son observation, le Dr. Beinis n'avait rien voulu changer aux consignes que lui avaient fait passer les neurologues du Service du Pr. Gérard Saïd via leur très catholique Interne Olivier Ille avant qu'il devienne lui-même Chef d'un Service de pneumo-neurologie au CHU de Mantes la Jolie, dans lequel l'infirmière Christine Malèvre s'est glorifiée en 1997, en croyant répondre à ce qui était attendu d'elle, d'avoir fait passer une trentaine de malades de vie à trépas pour des raisons soi-disant compassionnelles, ainsi que s'en était aperçu et l'avait signalé la collègue du Dr. Olivier Ille la pneumologue Laurence Kouyoumdjian  cependant qu'Olivier Ille ne s'était aperçu de rien.

Le signalement du Dr. Laurence Kouyoumdjian fit cesser ces assassinats de malades mais celle-ci n'en fut nullement félicitée. Elle fut mais au contraire priée d'aller exercer ses talents ailleurs cependant le Dr. Olivier Ille a pu resté en place jusqu'à maintenant, la Justice s'étant gardé de beaucoup l'interrogé à propos des ces assassinats comme au sujet de ce qui s'était précédemment passé au sujet de mon père lorsqu'il avait transmis au Dr. Beinis la consigne mortifère de ne faire que semblant d'administrer à mon père le traitement de la maladie de Biermer, malgré mon signalement. 

Mme Pondu m'avait fait savoir le surlendemain du mercredi 5 septembre 1990 que le Dr. Beinis m'avait rien voulu changer aux consignes qui lui avaient transmises Olivier Ille

Le Dr. Beinis avait recommandé au Dr. Beinis que le traitement de la maladie de Biermer ne soit pas vraiment administré au malade que lui avaient adressé les neurologes de Bicêtre en août 1990;.

Cf. la lettre d'Olivier Ille au Dr. Beinis et son compte-rendu d'hospitalisation par lequel il omet soigneusement de parler du diagnostic de SCM qui avait motivé l'admission de mon père en neurologie et où, à la place du traitement de la maladie de Biermer, il est seulement prescrit d'administrer du Prozac*;

Mais du fait que j'ai fini par mettre moi-même en route le traitement de la maladie de Biermer le soir du lundi 10 septembre avant qu'il soit trop tard, dans les mois qui suivirent le rétablissement de mon père, l'hôpital Charles-Foix lui adressa une facture très salée, en ne tenant aucun compte de ce qu'il avait pourtant automatiquement droit à l'ALD;

Or bien que mon père ait contre toute attente miraculeusement réussi à récupérer 30/30 au MMSE, ce  trop tardif le traitement n'avait pas pu empêcher l'installation de séquelles motrices invalidantes et par conséquent la perte de son autonomie.

Et des années plus tard, en 2004, quand je me suis adressé à la CADA pour pouvoir accéder au dossier de l'hospitalisation de mon père, la direction de l'hôpital Bicêtre, c'est-à-dire en fait la direction de l'AP-HP et le Pr. Gérard Saïd, m'ont accusé d'avoir "moi-même 'sciemment fabriqué' la maladie de mon père par antisémitisme" (sic !).
Et le procureur de Créteil Michel Barrau de requérir un "non-lieu", déclarant qu'il n'y avait eu "faute de quiconque" dans cette affaire.
 https://www.le blog de leon - ordonnance de non-lieu

Je remercie  Le Journal des Femmes de bien vouloir transmettre ces informations à Julien Cohen.

Dr. Pierre Cretien

Partager cet article
Repost0

commentaires