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29 mars 2023 3 29 /03 /mars /2023 14:57

NB : ajouté le 25 avril 2023.

Il n'est plus possible de continuer la lecture d'un article de ce blog en passant à l'article précédemment publié après l'encart publicitaire qui généralement le termine alors que ça l'était auparavant, et comme  ce que j'ai à faire savoir et à dénoncer met en cause des personnes de l'establisment statutairement censées être irréprochables puisqu'elles sont assermentées, il me faut de l'espace pour le faire de façon détaillée pour que ce que je dénonce puisse faire l'objet de vérifications par un  enquêteur soucieux de vérifier l'exactitude de faits et des événements allégués, qui sont tellement sidérants qu'ils sont a priori impossibles à croire.  C'est pourquoi  je suis obligé de renvoyer aux autres articles précédemment publiés sur ce blog;  

En 2006 le professeur Didier Sicard, en tant que président du CCNE (Comité Consultatif  National d’Éthique, auquel j'avais écrit) est l'auteur de "L'alibi éthique" (publié chez Plon, un livre qu'il aurait été plus réaliste d'intituler "L'imposture éthique") était forcément au courant de ce qui s'était passé d'inimaginable en 1990 à l'hôpital Bicêtre, où le 2 août mon père avait été admis en neurologie dans le Service du professeur Gérard Saïd après que, dans la soirée du 31 juillet, les urgentistes des Lits-Portes de cet hôpital ont diagnostiqué chez lui, au retour de l'hémogramme et en vertu de ce qu'ils avaient, en ma présence, constaté l'existence d'un tableau clinique de sclérose combinée de la moelle (épinière), un syndrome neuro-anémique en rapport avec la maladie de Biermer, et donc en rapport avec un profond déficit en vitamine B12.  Ce qui fut pour moi très rassurant puisque c'était très facile à traiter efficacement en recourant à l'administration de la vitamine B12 à fortes doses. Sauf que ...

... le Pr. Gérard Saïd était membre de l'IFREM  (Institut de Formation et de Recherche en Éthique Médicale juive).

L'IFREM, sous la direction du philosophe Emmanuel Hirsch, s'affichait sur le Web avec le nom de ses 150 et quelques membres. L'Institut éditait la revue Médica-Judaïca (מדיקה-יודאיקה) depuis les années 1980 ans et jusque vers les années 2010, avec évidemment Emmanuel Hirsch pour Rédacteur en Chef. 

A succédé à cette vertueuse publication La Revue Française d’Éthique Appliquée, dirigée par Paul-Loup Weil Dubuc,  docteur en philosophie politique, tant il est vrai que la démarche éthique est beaucoup plus en rapport avec l'économie politique du moment qu'avec la morale immanente ou transcendantale: ainsi sous le régime de Vichy l'éthique politique consistait-elle à collaborer avec l'Allemagne nazie et à faire la chasse aux Juifs, et sous la direction du Pr. Gérard Saïd à l'hôpital Bicêtre à ne faire que semblant d'administrer aux malades susceptibles de faire de l'ombre au CNTS comme aux médecins actionnaires de la Clinique Léon Elmelik le traitement de la maladie de Biermer, qui est une maladie mortelle sans son traitement spécifique, au prétexte mensonger qu'ils sont des déments Alzheimer "de toute façon voués à une inéluctable plus grande aggravation", et à accuser les médecins qui ont démontré la fausseté de ces assertions en faisant rater cette mise à mort en remplaçant le traitement de cette maladie par du Prozac* par le véritable traitement de la maladie de Biermer quand ils pu savoir par des indiscrétions contra éthiques que celui-ci n'avait pas été réellement administré.

Médica Judaïca était une Revue d’Éthique médicale qui déplorait en mars 1991 que les effets potentiellement létaux de l'abus de confiance, selon les principes de la "Gneva Daath", soient si peu pris en considération en France par les médecins. Cf. l'article du Pr Charles Msika, chirurgien orthopédiste, dans le n° 21 de Médica Judaïca paru en mars 1991. Cet article reprenait en fait les propos d'un article du JAMA  sur  le concept de Gneva Daath. Il m'avait évidemment interpelé après ce qu'au sujet de mon père j'avais vécu avec des médecins de  la Clinique Léon Elmelik, et peu après en conséquence avec les neurologues de l'hôpital Bicêtre et les gériatres de l'USN de l'hôpital Charles -Foix venus, contre toute attente de ma part, voler à leur secours en ne faisant que semblant de lui administrer son traitement salvateur. 

A partir de 2014 (à moins que ce soit bien avant) il n'a plus été possible de retrouver sur le Web l'organigramme de l'IFREM, disparu du paysage sans que l'on puisse savoir si c'est parce que l'institution a été dissoute.

L'article m'avait interpelé parce qu'il reprenait les propos d'un article du  JAMA sur le concept de Gneva Daath.

Toujours est-il qu'il n'y a aujourd'hui plus de trace de cette Revue sur le Web alors qu'il était encore possible l'an dernier d'en commander certains numéros via Rakuten 

Sous l'impulsion du professeur Gérard Saïd, médecin Chef du Service de neurologie de l'hôpital Bicêtre et membre éminent de l'institution, Emmanuel Hirsch a été en 1995 - allez savoir si c'était opportun- installé par la direction de l'hôpital Bicêtre à la tête de l'Espace Éthique de l'AP-HP, une Chaire d'enseignement de l'éthique médicale.

Le Pr. Gérard Saïd s'était entendu avec la direction du CHU de Bicêtre  et sans doute aussi avec celle de l'AP -HP pour installer Emmanuel Hirsch à la tête de l'Espace Ethique de l'AP-HP, en principe pour enseigner l'éthique médicale, en réalité pour noyer par un flot de propos vertueux une bavure criminelle qui avait été secrètement fomentée en août 1990 par les neurologues de son Service pour des raisons non immédiatement compréhensibles, si ce n'est parce que conformes à l'éthique des intérêts économiques de l'AP-HP et de la Clinique Léon Elmelik.

Preuve en est ce qui s'est passé d’effarant à l'hôpital Bicêtre dans le Service  du Pr. Gérard Saïd au sujet de mon père, qui, hospitalisé en neurologie sur le diagnostic pertinent de SCM (Sclérose Combinée de la Moelle, au vu de l'hémogramme attribuable à un syndrome neuroanémique relevant de la maladie de Biermer, et par conséquent d'un profond déficit en vitamine B12), n'en a pas véritablement reçu le traitement (remplacé par du Prozac*). 

Devant moi, qui suis médecin et qui avais assisté à l'examen neurologique fait aux Lites-Portes par les Urgentistes de cet hôpital (dont le futur Chef de Service Antoine Moulonguet) jusqu'à la formulation du diagnostic de maladie de Biermer,  un simulacre de traitement fut administré au malade, afin me faire croire qu'il le recevait vraiment ... jusqu'à ce que les infirmières du Service gériatrique du Dr. Jean-Yves Beinis, où mon père avait été déplacé à l'hôpital Charles-Foix pour que son décès, prévu pour suivre rapidement son transfert, se passe ailleurs que dans le Service ifremique du Pr. Gérard Saïd et paraisse avoir été inéluctable, dû à la nature même de son affection, savamment étiquetée  ATTEINTE DIFFUSE DU SYSTÈME NERVEUX (sic). Cette qualification floue, cryptée à l'attention des "sachants", désignait à l'époque, antérieure aux trithérapies (1990), les effroyables LEMP  (leuco-encéphalopathies multifocales progressives) consécutives aux contaminations transfusionnelles par le VIH.

A cette époque, les transfusions étaient toutes contaminées. Elles avaient été responsables de la contamination de 25.000 personnes (35.000 selon des informations plus récentes) !

Mon père avait été transfusé en avril 1984 lors de la mise en place d'une prothèse de hanche à l'hôpital Saint-Louis, prothèse posée sous rachi- anesthésie parce qu'il refusait les anesthésies générales.

La Clinique Leon Elmelik servait à ce à quoi servira après son changement de propriétaire en 1995 le Service de neurologie du CHU de Mantes la Jolie; La relève s'est faite sous l'égide du Dr. Olivier Ille, c'est-à-dire sous celui qui avait en 1990 été, dans le Service du Pr. Gérard Saïd, formé l’École des hypocrisies religieuses. Il avait réussi à faire passer au Dr Jean-Yves Beinis la consigne de ne faire que semblant devant moi d'administrer à mon père le traitement de la maladie de Biermer, maladie mortelle sans son traitement spécifique.

Franc-maçon, le Dr. Bodenan y a participé en me menaçant tout d'abord en avril 1992 de représailles ordinales puis en tentant de les faire appliquer en janvier 1994. Il se faisant alors passer pour "médecin réanimateur" sur sa carte de visite alors que ce titre lui avait été refusé par le Professeur Pierre Huguenard, qui l'avait formé.

L'Ordre des médecins récompensera ses exactions en faveur de celles commises par les médecins de la Clinique Léon Elmelik et des neurologues du Service du Pr. Saïd en le plaçant au début des années 2000 à la tête du CROM de l'Île-de-France, lui faisant ainsi présider la Chambre du Conseil disciplinaire régional.

  Ci-après le fac-similé de la carte de visite que Bodevant me tendit le 27 avril 1992 en proférant ses menaces de représailles

                                                                 Docteur Patrice BODENAN
                                                                    Anesthésiste Réanimateur
                                                   Chef de service adjoint à l'Hôpital Saint-Camille
                                                      Pneumologue attaché à l'Hôtel Dieu de Paris
                                                         Expert près des Cours d'Appel de Paris
                                        Membre du Conseil de l'Ordre des Médecins du Val de Marne
                                                                 Responsable du bureau de Presse
                                        Administrateur du Syndicat des Médecins du Val de Marne
                                              Hôtel Dieu de Paris Tel : 42.34.82.34 (poste 2506)
                                                 Hôpital Saint-Camille Tel : 49.83.10.10. (Bip 34)
                                          19, route des Gardes – Meudon 92 190 Tel : 46.26.02.73

Quant au Dr. Antoine Denis, par qui tout était arrivé, il avait réussi à se faire passer pour "chirurgien“ et pour ”professeur" : le Dr. Nathalie Ghidalia, phlébologue de la Clinique Léon Elmelik,  m'avait dit lorsque je l'ai rencontrée qu'il était professeur et chirurgien à l'hôpital Leopold Bellan !

Notes: ne manquant pas d'aire, Olivier Ille a en tant que membre de la "Communauté de l'Emmanuel" à la mi-mars 2013 discouru sur le thème “Prends soin de lui” à Paray-le-Monial au sein du mouvement "Amour & Vérité", tant il est vrai que l'hygiène des faux qualifiés consiste à prôner le contraire de ce qu'ils font. 

Pour en savoir plus sur les dessous indicibles de cette affaire,  cf. "Sidération et désintégration" sur le blog de leon, et "Une affaire à ne pas ébruiter" en passant par " ", et pour rester dans l'actualité lire après l'encart publicitaire  "Fins de vies programmées à l'insu du plein gré des malades dans certains CHU de l'AP-HP;

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