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12 juin 2015 5 12 /06 /juin /2015 21:48

Je sais ni pourquoi ni comment le présent article, premièrement publié le 12 juin 2015, se retrouve actuellement sur mon blog placé en tête, même lorsque j'en publie de nouveaux ?

Mystère.

C'est aujourd'hui le 8 avril 2024 toujours le cas depuis plusieurs mois, mais le matin 21 janvier 2024, ça ne l'était pas, et j'avais attribué la chose au fait que j'avais entretemps publié sur ce blog  "Une histoire insolite et périlleuse à raconter",  qui fait état de ce qu'un mandarin de l'AP-HP, le Pr. GérardSaïd, pour ne pas le nommer, Chef du Service de neurologie de l'hôpital Bicêtre, avait dû la trouver insolente à son égard.

Le 24 septembre 2004, lors d'une pseudo "Commission de conciliation hospitalière" qui s'était tenue en présence du Pr. Patrick Hardy, psychiatre Chef de Service à l'hôpital Bicêtre et de Mme Isabelle Pilot "chargée des relations de l'hôpital avec la clientèle" (sic), alors que je venais de faire remarquer que l'infirmière Christine Malèvre s'était vue l'année précédente condamnée à 12 ans d'une peine de  prison pour l'assassinat de six malades dans le Service de pneumoneurologie (sic) sans que son patron, le Dr. Olivier Ille ne s'en soit ému pour ne pas s'en être rendu compte alors qu'en août 1990 Interne dans le Service du Pr. Saïd il s'était chargé de faire jouer au Dr. Jean-Yves Beinis (sans y parvenir "par ma faute") le rôle qu'avait joué Christine Malèvre au CHU de Mantes la Jolie, ledit Professeur Saïd m'avait fait accusé via Isabelle Pilot, c'est-à-dire en fait par lui et la direction de son hôpital, "d'avoir moi-même 'fabriqué' la maladie de mon père ... par  antisémitisme ! "  m'avait en réponse à cette remarque menacé des tribunaux en pensant qu'il allait ainsi me faire peur et abandonner la partie.  

Or ni lui ni l'hôpital Bicêtre n'ont donné suite à cette "menace", qui se voulait terrifiante, cependant que dès lors que cette accusation avait été proférée l'article 40 du CP les y obligeait.

Ce n'est sans doute une IA qui va pourvoir l'élucider ce mystère, parce qu'elles sont C. comme la lune, d'après ce que j'ai pu constater il y a quelques jours quand l'une d'elle, celle de Bing, n'a pas su faire le rapprochement entre "le syndrome de carence vitaminique B12 avec test de Schilling normal" et "le syndrome NDB12PP" 

Mais voilà qu'elle sait très bien le faire le lendemain, et de manière très concise, claire et instructive pour les neurologues du mandarin qui n'avait pas su (ou voulu) le faire quand ils ont traité mon père par du Prozac* au lieu de le traiter conformément au diagnostic de maladie de Biermer qu'avaient porté les Urgentistes des Lits-Portes de l'hôpital (dont Antoine Moulonguet, alias Antoine Sénanque) et conformément à ce que je leur avais dit de faire avec raison, c'est-à-dire par l'administration intensive de vitamine B12, la maladie de Biermer étant inéluctablement mortelle et douloureuse sans son traitement spécifique, qui est en outre aussi efficace que peu coûteux et sans danger !

Comme quoi les IA sont capables d'apprentissage avec le temps, en fonction des questions qui lui ont été posées ? 

De là à ce qu'elles finissent par développer une conscience d'exister, c'est une autre histoire.

Mystérieux aussi le fait qu'un des articles les moins visités - celui sur la Pierce Arrow de Nikola Tesla propulsée par un moteur électrique alimenté par l'énergie du vide - se soit soudainement retrouvé en tête de ceux qui le sont le plus souvent.

Aussi l'ai-je déplacé pour essayer de le placer devant celui-ci, qui semble n'avoir eu que très peu de visiteurs, contrairement ce qu'il en est actuellement, sans doute moins parce qu'il est spécialement recherché que parce qu'il apparaît plus souvent en première page des moteurs de recherche quand on a l'heur de tomber sur un des articles du blog de leon, ce qui m'oblige à le remanier et à le compléter pour donner une meilleure compréhension aux problèmes rapportés, à moi-même comme à mes lecteurs.

Or l'article "Psychanalyse de l'antisémitisme"  reste malgré ça en tête de liste !?  

Le titre "Psychanalyse de l'antisémitisme" est celui qui avait été  l'intitulé du thème d'un Colloque de l'AIU (l'Alliance Israélite Universelle) qui avait eu lieu en novembre 2002, auquel je m'étais rendu non pas parce que je suis juif - bien que ma famille maternelle soit juive de A à Z - mais parce que je venais de lire "Mensonges freudiens", du psychologue toulousain Jacques Bénesteau. Son livre venait de paraître en Belgique chez Mardaga parce que les vingt-six éditeurs français auxquels il avait adressé son manuscrit l'avaient refusé (c'est ce qu'il m'avait-il fait savoir en réponse à la lettre de félicitation que je lui avais immédiatement adressée après l'avoir lu, heureux qu'il était d'apprendre par cette lettre - ou par moi ensuite au téléphone - que son livre figurait en bonne place en face de la Sorbonne sur l'étal de la librairie du PUF Boulevard Saint-Michel. Son livre étant une violente charge contre Freud et les "psys" freudiens, la très freudienne Elisabeth Roudinesco taxa immédiatement son auteur d'antisémitisme, comme elle le fera aussi huit ans plus tard de Michel Onftay quand il a fait paraître "Le crépuscule d'une idole", tant il est inconvenant voire "interdit" en France de médire du parrain du complexe d’œdipe (mieux dit le complexe des dupes)  

Je m'étais demandé si au Colloque de l'AIU il allait être question de ce livre, qui passait Freud au vitriol, au point que Bénesteau lui faisait dire ce que l'inventeur de ce complexe professait en privé, à savoir qu'avec les malades mentaux il fallait faire ce qu'avaient fait les nazis: les supprimer ! Non pas tout à fait à leurs manières, mais en les noyant dans des cargaisons (de mémoire ils sont en exergue à l'entrée du chapitre X, XI ou XII, où d'un autre au milieu de ce très savant bouquin - il a été élu "Livre du mois" en décembre 2002 par le magazine scientifique "La Recherche".  Un bouquin que je tenais à portée de main mais aujourd'hui samedi 30 décembre 2023 je n'arrive à le retrouver. Depuis l'arrivée de Thérèse ce n'est pas moi qui l'ai rangé, mais cette amie venue chez loi "faire du rangement", et ni elle ni moi savons où elle a bien pu le mettre derrière les piles de livres qui sont entassés dans mes placards. Elle dit de mes livres qu'ils "encombrent inutilement mon appart au point qu'une vache n'y retrouverait pas son veau". D'après "SAVOUR-EUreusement" citant l'entrée "Vache" du Grand dictionnaire universel du 19ème siècle Larousse 1876  Volume 15 page 715 cette expression est aussi employée pour qualifier une affaire embrouillée et complexe, autrement dit une affaire "Vachement compliquée", ce qu'est effectivement l'affaire qui est à l'origine de la plupart des articles publiés sur le "blog de leon", aux ramifications tellement nombreuses qu'il faut plus d'un article pour les exposer, les expliquer et les comprendre alors qu'au départ elle résulterait d'une "simple erreur d'appréciation" * . C'est ce que serait le secret remplacement du traitement de la maladie de Biermer par du Prozac* alors que ce remplacement était et se voulait mortel sans avoir pu l'être du fait que j'avais été en mesure de le contrecarrer en rétablissant à temps le vrai traitement de cette maladie après que cette supercherie mortifère m'a été révélée à temps par les infirmières qui avaient été chargées de l'appliquer !

* "Une simple erreur d'appréciation", dixit à moi le 27 avril 1992 Frère°°° le Dr. Patrice Bodenan, un faux Conseiller-Rapporteur du Conseil Départemental de l'Ordre des Médecins du Val-de-Marne, dépêché son président pour tâcher de l'étouffer en me menaçant de représailles ordinales (voir sa lettre au Dr. Jean Penneau publiée sur le Web dans le présent blog)

Mais pour en revenir à nos moutons, ledit Colloque était présidé par le pédo-psychiatre et psychanalyste Georges Gachnochi, qui le premier prit la parole pour fustiger les journalistes juifs du journal "Le Monde" qui se permettaient de critiquer la politique d’Israël, attribuant la critique qu'ils faisaient du gouvernement israélien à "la haine de soi d'être juif" (sic).

Le psychanalyste Daniel Sibony faisait partie du bureau, avec Charles Melman, Janine Chassguet Smirgel et Emeric Deutsch.

L'historien Alexandre Adler aurait dû faire partie du bureau  mais on a été prévenu en cours de séance qu'il n'avait pu revenir à temps d'un séjour en Chine communiste.

Quelques semaines après avoir écouté le discours de tous les autres membres du bureau, j'ai rencontré l'un d'eux, à savoir le psychanalyste Daniel Sibony, au Centre communautaire du 119, rue la Fayette, et lui fait quelques objections au sujet des effets de l'infidélité conjugale, dont il s'était ingénié à minimiser les conséquences.

Parce que ma mère en avait souffert, ma sœur et moi par ricochet durant toute notre vie, et finalement aussi mon père lui-même de façon inattendue à la fin de la sienne (Cf l'article < Des pratiques aussi bizarres qu'effrayantes de l'APHP > )

Il m'avait fallu "entrer en analyse" en 1973 pour tenter de comprendre, mais ce sont des confessions de mes parents? de mes grands-parents peu avant leur mort qui ont été les plus éclairantes, avec celles d'autres membres de la famille après leur mort !

Pour Michel OnfreyDaniel Sibony se prend  pour un Sage détenteur de l'ultime vérité, comme avant lui Sigmund Freud,

Avec lui on ne saurait donc pas discuter  à "Ce soir ou jamais", une émission de Fr. 3  animée par Frédéric Taddeï, qui l'avait invité.

J'ai conclu de ces ultimes confessions parentales et grand-parentales que  le donjuanisme est moins l'effet de la testostérone que de la nécessité chez les hommes qui ont dans leur enfance été sexuellement abusé de se prouver (et de prouver) qu'ils ne sont pas des femmes après qu'ils ont été pris pour telle dans leur enfance par un prêtre, un médecin où un père pédophile, ce qui arrive bien plus souvent qu'on oserait le penser, protégés que ceux-ci  se savent par la hiérarchie institutionnelle.

La première leçon qu'il m'a été donné de recevoir à ce sujet lors de mes études pour l'obtention d'un certificat de psychiatrie fut en 1973 celle du Dr.  Bernard Defer, chef d'un Service de psychiatrie à l'hôpital Paul Guiraud, qui nous fit part de l'expertise qu'il avait eu a mener au sujet d'un individu de 35 ans qui, se réclamant de la psychanalyse, sodomisait son fils de quatre ans afin le détourner de l'homosexualité !

Nous étions 7 ou 8 avoir pu bénéficier de cette leçon, et j'avais été le seul mâle à en avoir bénéficiée, alors que les autres étaient des étudiantes.

Dans les discussions qui s'en sont suivies entre nous au sortir de cette présentation de cas, elles en avaient conclu que dans cette présentation de cas le pervers était le Dr. Defer !   

La deuxième leçon significative sur le sujet m'a été donnée deux ans plus tard dans ce même hôpital lors du staff des mardis, auquel assistait habituellement, à titre bénévole, le psychanalyste François Roustang alors que personnellement j'y occupais un poste d'Interne dans le Service  "freudien" (dit institutionnel) de madame le Dr. Janine Piret-Pilachon.

Lorsque j'y ai présenté le cas d'un nouvel entrant de 73 ans en principe hospitalisé pour "dépression" j'y avais exposé que d'après l'entretien que j'avais eu avec lui il m'était paru beaucoup moins déprimé qu'inquiet au sujet de sa petite fille, une adolescente qui venait d'être hospitalisée à Sainte-Anne sur le diagnostic de suspicion de schizophrénie cependant qu'au cours d'une promenade dominicale il avait eu avec elle une aventure sexuelle avec celle-ci lors d'une halte au pied d'un arbre. Il avait éjaculé, mais sans qu'il ait eu pénétration, m'avait-il dit, et il craignait que sa petite fille vienne à en parler aux psychiatres de l'hôpital Saint-Anne. J'avais proposé que l'on en prévienne les psychiatres du Service où elle venait d'être hospitalisée à Sainte-Anne, mais s'était sans compter de ce qu'allait provoquer ma proposition dans l'assemblée : madame Piret s'est levée, visiblement angoissée, pour dire que l'entrant n'avait fait que rêver ce qu'il m'avait raconté, et lorsque j'ai soutenu qu'il n'avait certainement pas rêvé et me suis tourné vers François Roustang pour avoir son avis et vers l'ensemble des participants au staff, madame Piret a fait mine de me mettre sa main devant ma bouche, et tout le monde est resté coi, y compris François Roustang, qui s'est sur l'instant contenté de regarder fixement le bout de ses belles chaussures bien cirées, mais stupéfait de constater l'esprit de soumission des psychiatres freudiens à la doxa écrira l'année suivante "Un destin si funeste", qui situe les suiveurs de la doxa freudienne aux confins de la psychose. Il abandonnera la psychanalyse, qui stipule que les allégations d'incestes sont rarement véritables mais relèvent de fantasmes œdipiens "présents chez tout être humain" (dixit Roger Perron  page 801 du tome 1 du "Dictionnaire international de psychanalyse" paru en 2002 chez Calmann-Lévy pour se former à l'hypnose thérapeutique. 

Ma troisième leçon à ce sujet a été la courte réflexion que m'a fait en avril 1993 une des secrétaires du CROM de l'Île-de-France quand elle m'a remis le dossier relatif à la plainte de mon père contre les médecins de la Clinique Léon Elmelik  : << Mon pauvre monsieur, pourquoi voulez-vous que que l'Ordre poursuive les violeurs et les pédophiles, il sont au Conseil de l'Ordre >>  alors que sa plaine n'avait pas trait à de telles exactions.      

Daniel Sibony, qui ne l'a apparemment toujours pas compris ou voulu le comprendre, y avait  fait l'apologie des petites entorses à la fidélité conjugale.


Gachnochi  avait en tant que président du bureau  prit le premier la parole

Gachnochi fustigea les journalistes juifs du journal "Le Monde".  
Il les accusait d'être affectés de "la haine de soi d'être juif", vieux concept emprunté Théodore Lessing, qui en aurait souffert jusqu'à s'en suicider.

Et après Georges Gachnochi ce  fut au tour de  feu la psychanalyste Janine Chasseguet Smirgel de prendre la parole, pour fustiger les Finlandais qui avaient  refusé de livrer des masques à gaz à Israël en 1990 (durant la guerre d'Irak) au prétexte qu'il s'agissait de matériels de guerre. 

Dans psychanalyse, il y a anal, et comme d'après Jacques Lacan l'inconscient  est structuré comme un langage, il n'y a rien d'étonnant à ce qu'elle se soit permis de faire du dramaturge et écrivain suédois Auguste Strindberg un malade resté fixé au stade sadique-anal.(bof)

Voltaire devait l'être aussi, qui avait, vers l'âge de 10 ans, peut-être comme Strindberg par ses grands-parents adoptifs,  été sodomisé par les Jésuites  (Cf. la Revue littéraire "Lire" de mai 2015, numéro consacré à Voltaire).

Après JCS
ce fut au tour du psychiatre-psychanalyste lacanien (un brin terroriste)  Charles Melman de s'exprimer (je ne saurais me rappeler ce qu'il a dit: Puis de feu le sociologue-psychanalyste franco-israélien Emeric Deutsch, qui raconta qu'il avait reçu dans son cabinet une demande d'analyse venant d'un ex nazi, qui à cause de son nom l'aurait pris pour un Allemand en affinité avec le nazisme !

Une occasion pour lui de faire in vivo  la "psychanalyse de l'antisémitisme".  

Preuve aussi que les nazis n'étaient pas du tout hostiles à la psychanalyse, "science juive" puisqu'un parent d'Hermann  Göring, aussi apparenté à Hitler, avait  été placé à la tête du Göring Institut, sans doute parce qu'Hitler et Göring y voyaient la possibilité de s'introduire dans l'intimité des familles, et donc un moyen de les contrôler pour mieux les assujettir à leur religion, vue comme rivale de la freudienne.  

Le suggère d'ailleurs  la lecture de Château en forêt  (de Norman Mailer).  

Freud et Hitler avaient effectivement bien des points communs, outre leur villégiature à Berchstesgaden,  leur . l'aversion envers les malades mentaux. 

"Die Patienten sind ein Gesindel" professait Freud,  qui confiait en privé  qu'ils étaient de "la racaille", qu'ils l'insupportaient, qu'ils ne servaient qu'à ses recherches et à le faire vivre, qu'il vaudrait mieux en faire des cargaisons pour les couler.

Ce qui conformément à la thèse René Girard faisaient de Freud et Hitler des "rivaux mimétiques", et à celle de Thomas Man, des jumeaux  en miroir, donc inversés et  antithétiques. Norman Mailer  voyait dans sa naissance incestueuse l'origine de la monstruosité d'Hitler  (pour le psychanalyste Pierre Lassus comme pour moi c'est là dessus que porte le message biblique,  bien que pour moi je le vois dans l'interdiction de consommer l'amour sur l'Arbre généalogique, ce qui en ferait l'arbre de mort et de complications à n'en plus finir, donc de la précipitation en enfer) 


Or Freud pourrait bien avoir été  le "fruit" d'un inceste père-fille. Jacob Nathansohn serait alors son père génétique, et Jakob Freud son père légal et adoptif, comme le suggère l'analyse de la psychanalyste Gabrielle Rubin dans  "Le roman familial de Freud"  (éd. Payot, 2002) .

Gabrielle Rubin m'a dit l'avoir compris en lisant Marie Balmary ("L'homme aux Statues" - sous-titrée "la faute cachée du père", rééditée chez  Grasset en 1997, un livre que le psychanalyste Pierre Lassus trouve génial),.


Pourquoi l'auteure n'a-t-elle pas cité Balmary  à la source de sa thèse ? C'est que Balmary  demeurait en 2002 encore ostracisée par les freudiens. Gabrielle Rubin  s'est donc réclamée des recherches de Marianne Krüll, une sociologue allemande autorisée par la doxa freudienne, donc une source moins inavouable. Son "Freud, fils de Jacob" avait été publiée en traduction française en 1984 chez Gallimard dans la "Bibliothèque de l'inconscient" , collection alors dirigée par J-B. Pontalis  

Gabrielle Rubin a dû après cette thèse encore plus sulfureuse que celle de Balmary se "suicider" en commettant une erreur si grossière que  même "un étudiant en première année de psychanalyse" ne la ferait pas - selon E. Roudinesco ! Elle fit d'Anna O une patiente de Freud.


Gabrielle Rubin a ainsi commis  l'erreur de faire d'Anna O une ex patiente de Freud alors que chacun sait qu'elle était une patiente - mais en fait selon moi de toute évidence la jeune maîtresse - de Josef Breuer, qui avait raconté à  Freu des salades à son sujet parce qu'elle était une amie de la fiancée de Freud et qu'il lui fallait désamorcer ce qu'elle pourrait lui raconter à son sujet. 

Ainsi la psychanalyse est-elle fondée sur les racontars de Josef Breuer au sujet de sa maitresse destinés à invalider ce qu''elle pourrait raconter à son sujet . 

Victime d'une grossesse soi-disant nerveuse (dixit Ernest Jones, qui avait pour lui-même intérêt à avaliser le concept de grossesse "hystérique" en même temps que celui de "complexe d'Oedipe" en raison de son "amour" immodéré de la jeunesse) Breuer avait fait hospitaliser sa maîtresse en Suisse,  à Kreutzlingen, avant de fuir en catastrophe en Italie pour se réconcilier avec son épouse Mathilde, qui avait très mal supporté sa liaison avec "Anna O",  curieux pseudOnyme, du pOint de vue de l'incOnscient "structuré comme un langage".


NB. Jacques Lacan était bien trop savant pour n'avoir pas tout de suite compris le nom du père (le "non dupe erre", l'inconscient étant "structuré comme un langage". La racine du délire psychanalytique viendrait ainsi  de la "forclusion du nom du père" (de Freud).

Lacan en fit une théorie générale sans dire plus clairement d'où il la tirait, sauf à proclamer son "retour à Freud"  et à la situer en racine carrée de moins un.


Freud serait donc le fils de son grand-père maternel, selon Jacques Lacan (dont on sait que sa mère était la maîtresse de son grand-père paternel),


C'est bien pourquoi Jacques Lacan a convoqué  Marie Balmary à venir le voir au 59,  rue de Lille  après qu'elle a osé publier sa thèse en 1979.  Voir ce qu'elle dit de cette convocation dans sa préface à "Le sang des mots", d'Eva Thomas (livre réédité en 2002 chez DDB).
Eva Thomas, qui avait  subi l'inceste paternel à l'âge de 15 ans. Elle avait lu Marie Balmary, Jeffrey-Moussaëff Masson et Marianne Krüll. ses trois lectures lui avait permis de lancer "SOS inceste" et d'écrire  "Le viol du silence", réédité en poche en 2003 après parution en 1986 chez Aubier-Montagne, qui est aussi l'éditeur en 1984 de Jeffrey Moussaïeff Masson" (Le réel escamoté)


A noter que c'est Alfred Binet qui a premièrement inventé la psycho-analyse ( Cf. "Le Petit et le Grand Fétichisme"), dont Freud a emprunté la manière et le style, au point qu'on  croirait que cette étude a été écrite par Freud. Freud,qui l'aurait lu et traduit en allemand, bien que cela ne figure pas dans la recension de ses œuvres). 


A noter aussi que dans le gros "Dictionnaire international de psychanalyse" paru chez Calmann Lévy en 2002 le psychanalyste Roger Perron prétend encore  que les incestes réels sont exceptionnels, que les allégations d'inceste relèvent de fantasmes œdipiens, alors que le Quai de la Rapée professait en 1997 qu'ils concernaient au moins 5 % des femmes. En France 2 millions de femmes l'auraient subi, était-il publié en mai 2010 dans France-Soir et sur Fr. 3 et depuis cette estimation a été multipliée par trois.

 

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