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17 mars 2024 7 17 /03 /mars /2024 23:34

Le sociologue Jean Viard pense que "les médecines douces aident à vivre, c'est du soin au sens large qu'il ne faut pas opposer à la médecine de fond ". C'est ce qu'il a dit le 18 février dernier sur Franceinfo.

Franceinfo
https://www.francetvinfo.fr/replay-radio/question-de-societe/sante...

web18 févr. 2024 · Les Français  se tournent de plus en plus vers les soins dits non conventionnels, les médecines complémentaires alternatives. Une question de société …

 

Benjamin Fontaine l'interroge "/ ... / vous l'avez dit, il faut savoir rester méfiant, parce que certaines personnes peuvent être un peu embrigadées, certaines même meurent parce qu'elles arrêtent leur traitement. C'est pour ça que les députés ont adopté une loi contre les dérives sectaires. Il y a eu un rôle joué aussi par Internet là-dedans ? "

 

Jean Viard : Oui mais, qu'il y ait un risque sectaire, des volontés d'embrigadement, des instrumentalisations, y compris parfois avec des affaires qui touchent à la sexualité (c'est moi qui souligne), oui, bien sûr, et il faut être extrêmement attentif. Mais je crois qu'il faut faire attention, le monde médical se défend un peu parce qu'il a un peu l'impression qu'on lui “mord sa laine”, si je puis dire. / ... /

Mais le sociologue Jean Viard, parle sans avoir expérimenté le prix exorbitant que les médecines dites “douces” peuvent, en fin de compte, coûter à ceux qui en usent, même quand c'est à bon escient : en témoigne le cas que je rapporte ici, et dont je puis parler savamment pour en avoir directement fait l'expérience, et non seulement sur le plan financier, mais aussi moralement.

J'ai récemment informé la chaîne parlementaire LCP qu'en septembre 1990 je m'étais permis de penser (en tant que médecin je pouvais légitimement me le permettre), qu'il serait probablement plus approprié non pas de remplacer, mais de compléter le traitement antidépresseur par du Prozac* qu'à l'hôpital Bicêtre les neurologues du Service du Pr. Gérard Saïd faisaient administrer à mon père depuis six semaines par une médecine douc et bio après que le Dr. Jean-Yves Beinis a continué tel quel le Prozac* après le transfert de mon père à l'hôpital Charles-Foix, (aussi un établissement de l'AP-HP) dans l'USN (Unité de Soins Normalisés) que dirigeait ce gériatre, car il était vite apparu que ce traitement naturel et bio avait été beaucoup plus efficace que le Prozac*, au point de ramener mon père à la vie en quelques jours et de lui faire récupérer à 30/30 au MMSE ses capacités cérébrales alors qu'elles avaient semblé aux neurologues de Bicêtre définitivement compromises après qu'ils ont porté le diagnostic de "DTA" (démence de type Alzheimer) sur la constatation qu'il présentait une « ATTEINTE DIFFUSE DU SYSTÈME NERVEUX », leur traitement pharmacologique s'étant montré totalement dépourvu d'efficacité, au contraire de la supplémentation vitaminique drastique que j'y avais ajouté alors que celui des neurologues avait conduit leur malade à sombrer dans un coma carus prémortel.

ci-après la conclusion extravagante du compt-rendu d'hospitalisation en en respectant l'orthographie majuscule.
CONCLUSION
TROUBLES DE LA MARCHE EN RAPPORT AVEC UNE ATTEINTE DIFFUSE DU SYSTÈME NERVEUX
UN TRAITEMENT ANTI-SPASTIQUE POURRAIT ÊTRE BÉNÉFIQUE
PAS D’INDICATION OPÉRATOIRE
SYNDROME DÉPRESSIF TRAITE PAR PROZAC UN COMPRIME PAR JOUR
RÉÉVALUATION DES FONCTIONS SUPÉRIEURES APRÈS TRAITEMENT
PATIENT TRANSFÉRÉ DANS LE SERVICE DE MÉDECINE DU Dr. BEINIS Hôpital CHARLES-FOIX

Sollicité en 2004 pour que soit récupéré le dossier soi-disant perdu du malade, dans le cadre d'une prétendue médiation, le Professeur Gilbert Tchernia, hématologue, a quatorze ans plus tard, à défaut d'avoir pu mettre la main dessus a quand même pu retrouver les données du test de Schilling.

Le Pr. Gérard Saïd m'a expliqué le mardi 2 juin1992 à sa consultation du mardi 2 juin1992 que les neurologues de son Service n'avaient fait que se tromper (sic) en août 1990 en attribuant à la maladie d'Alzheimer "l'atteinte diffuse du système nerveux" qu'ils avaient observé chez mon père au lieu de l'attribuer à un profond déficit en vitamine B12, c'est-à-dire à la maladie de Biermer alors qu'il s'était arrangé avec la direction de son hôpital pour me rendre inaccessible le dossier de l'hospitalisation du malade dans son service avant de s'entendre avec l'Ordre des médecins pour contrecarrer la plainte contre X (pour non assistance volontaire à personne en danger de mort) que mon père avait À JUSTE TITRE été en mesure d'adresser au procureur du TGI de Créteil après que je l'ai sorti du coma carus pré-mortel où l'avait fait sombrer la prétendue "petite erreur d'appréciation" (sic, dixit le Médecin Conseiller-3points du CDOM du Val-de-Marne Patrice Bodenan) avant qu'il se permette de me faire accuser d'avoir "moi-même sciemment fabriqué la maladie de mon père par antisémitisme" (sic, par la direction de l'hôpital Bicêtre) lorsque je me suis adressé à la CADA en juillet 2004 pour accéder audit dossier, ainsi resté inaccessible pour moi inaccessible alors qu'il avait été communiqué aux médecins de la Clinique Léon Elmelik, contre lesquels la plainte de mon père avait été initialement et expressément portée le 17 décembre 1990 alors qu'il ignorait que les neurologues du Service du Pr. Gérard Saïd en avaient par la suite été les complices quand ils ont fait semblant de se tromper de diagnostic de façon à ce qu'il soi dans l'incapacité de porter plainte à leur encontre, connivences et services rendus obligent.

Je reste ainsi privé de deux découvertes importantes, dont l'une est d'ordre médicale : celle d'un syndrome jusqu'alors resté méconnu (tout au moins en France) et de son traitement, qui ne passe par un antidépresseur, mais "à la surprise générale" par une médecine naturelle et bio.

Celle-ci avait en septembre 1990 permis à mon père de se rétablir rapidement alors que j'ignorais que ce qui présidait au traitement de ce syndrome avait déjà, en octobre 1978, fait l'objet d'une publication dans le New England Journal of Medicin :

The New England Journal of Medicine
https://www.nejm.org/doi/full/10.1056/NEJM197810122991501

webCobalamin Analogues Are Present in Human Plasma and Can Mask Cobalamink Deficiency because Current Radioisotope Dilution Assays Are Not Specific for True Cobalamin  …

  • Auteur : Kolhouse Jf, Kondo H, Allen Nc, Podell E, Allen Rh
  • Publish Year 1978

 

Cela dit, la médecine naturelle et bio que j'ai administrée à mon père en 1990 et poursuivi les années suivantes ne m'a en elle même presque rien coûtée, mais elle a fait que mon père fut, après avoir récupéré ses facultés cérébrales, en mesure de porter plainte non pas contre les neurologues de l'hôpital Bicêtre, car il était persuadé que c'était à eux qu'il devait de s'être rétabli (il ne voulait pas croire et ne pouvait penser que c'était à moi qu'il devait d'être resté en vie et d'avoir pu récupérer ses facultés cérébrales), mais contre les médecins de la Clinique Léon Elmelik qui lui avaient aussi illicitement que dangereusement infligé sous anesthésie générale et par surprise et donc sans son consentement, une opération orthopédique bilatérale pour corriger des difficultés locomotrices qui étaient en réalité sans aucun rapport avec une "mauvaise morphostatique" des pieds mais étaient d'origine neurologiques et à rapporter à un profond déficit en vitamine B12, ce dont il aurait fallu faire le diagnostic pour le compenser et venir à bout de ses troubles neurologiques et psychiatriques (Cf. bibliographie n° 18 en annexe).

Un diagnostic qu'a su faire Mme Pondu, la Surveillante du Service du Dr. Beini au début du mois de septembre 1990 en constatant chez mon père l'existence d'une glossite de Hunter, pathognomonique de cette carence vitaminique. Une constatation qui n'avait pourtant pas fait changer d'avis le Dr. Beinis, qui commanda de continuer sans rien y changer le traitement antidépresseur par du Prozac* puisqu'il lui avait été dit de le poursuivre sans rien y changer. C'est son refus de tenir ce cette constatation qui avait conduit Mme Pondu à me le faire savoir, à moi qu'elle savait être médecin. J'avais ainsi été conduit à mettre en route le traitement naturel et bio de l'anémie de Biermer. Or ce traitement se trouve être aussi celui du syndrome NDB12PP.

Augurait mal de la suite des événements ce que m'avait dit, affolé, en raccrochant précipitamment le téléphone le Dr. André Souche à la CPAM du Val-de-Marne  à la fin du mois septembre 1990 : "Si c'est la Clinique de l'Haÿ-les-Roses, c'est inutile, laissez tomber. Gloup".

Cette information avec celle que nous a donné quatre mois plus tard au Commissariat de l'Haÿ-les-Roses le Commandant Christian Raekelboom, le Principal du Commissariat de l'Haÿ-les-Roses, que la Clinique Léon Elmelik était "protégée en haut.s lieu.x" a fait que ma sœur, qui pourtant m'avait pressé d'essayer de faire quelque chose pour papa lorsqu'il était à l'article de la mort, s'est vivement opposée à ce qu'il donne suite à la plainte qu'il avait été en mesure d'adresser au procureur du TGI de Créteil contre les médecins qui lui avaient infligé une opération indésirable à la Clinique de l'Hay-les-Roses parce qu'elle les disait trop puissants, que le procès allait se retourner contre lui que ça allait lui "coûter son héritage" (sic), et à partir de là elle fit son possible pour empêcher sa plaine d'aboutir alors qu'elle m'avait précédemment expressément demandé (dans la soirée du lundi 10 septembre 1990) de faire en tant que médecin “quelque chose” pour sortir mon père de l'état épouvantable où il se trouvait (il gisait squelettique et presque nu sur son lit, était couvert de bleus des pieds à la tête et avait sombré dans un coma carus)

Après cela ma soeur s'est vivement opposé à ce que son père porte plainte et donc à moi qui lui en donnais les moyens, ce qui a fait que la part d'héritage qui aurait dû me revenir est à allé à ma sœur puis à mes enfants consécutivement aux persécutions "sociétales" que m'a valu le sauvetage interdit de mon père avec la première découverte, depuis 2003 renommée syndrome NDB12PP après avoir été appelée en 1996, ainsi que je l'avais moi-même à peu de chose près appelée en 1990 en en formulant l'hypothèse, qui fut alors tenue pour complétement insensée par mes contradicteurs, l'index vrillé sur la tempe, "syndrome de carence vitaminique B12 avec test de Schilling normal ET vitaminémie B12 normale" alors que n'était pas encore paru aux éditions Flammarion Médecine- Sciences un précis de neurologie intitulé "La maladie d'Alzheimer et autres démences" dans lequel le neurologue Michel Serdaru attirait l'attention des médecins français sur le fait que ni un test de Schilling normal ni même une vitaminémie B12 normale suffisaient à exclure le diagnostic de maladie de Biermer, c'est-à-dire exactement ce que j'avais conjecturé en août 1990 au sujet de mon père. Une conjecture qui m'avait valu l'index droit vrillé sur la tempe droite du Pr. Gérard Saïd alors même qu'elle s'était montrée pertinente lorsque je lui ai demandé quelques explications au sujet des manquements de son Service à l'encontre de mon père, et valu encore plus tard de la part d'un haut Conseiller du CDOM du Val-de-Marne une demande d'application à mon encontre de l'article L 460 du CSP (Cf. sur le Web via Edge "blog de leon – lettre de Patrice Bodenan au Dr. Jean Penneau“ et ”lettre d'Antoine Denis au Dr. Pierre Brassart". Tout ça parce que pour mon père, hospitalisé en urgence à 79 ans dans un grand CHU de l'AP-HP (l'hôpital Bicêtre) j'avais non pas remplacé, mais complémenté par un traitement biologique de médecine douce le traitement qu'avaient institué les neurologues de cet hôpital. Je l'avais pensé être beaucoup plus approprié que le Prozac* au traitement des graves désordres neuropsychiatriques que mon père avait depuis plusieurs mois peu à peu sournoisement développés (en fait depuis le début de l'année, sans que les nombreux médecins qu'il avait consulté depuis ne les ai rapporté à leur véritable cause: l'anémie pernicieuse de Biermer, c'est-à-dire à une profonde carence vitaminique B12).

Le Prozac* avait été institué par les neurologues du Service du Pr. Gérard Saïd à l'exclusion formelle de tout autre traitement après que (et parce que, autre conjecture plus tard vérifiée pertinente) mon père était passé par les mains d'un médicastre de la Clinique Léon Elmelik, où, pour contrer l'interdit que je lui avais dûment signifié le rhumatologue Antoine Denis, qui se prenait pour un chirurgien orthopédiste hors pair, lui avait subrepticement infligé sans crier gare une opération orthopédique bilatérale prétendant pouvoir avec celle-ci corriger les troubles de l'équilibre d'origine manifestement neurologique (extrapyramidaux et cérébelleux) qu'il présentait, qui le faisaient souvent tomber et souffrir de sa hanche gauche, laquelle avait en 1984 bénéficié de la mise en place d'une prothèse totale.

J'avais pensé faire faire des économies à l'Assurance Maladie et par conséquent à la Sécurité Sociale, par cette supplémentation mais celle-ci, bien qu'elle se soit montrée efficace au point d'être salvatrice n'avait pas du tout plu auxdits neurologues, pas plus qu'à la CPAM du Val-de-Marne, qui a par la suite interdit de donner toute information sur cette affaire (que j'ai rapporté depuis août 2009 sur le Web dans un article référencé n° 34640255 html et intitulé "Maltraitances aux personnes âgées"

J'y ai rapporté aussi fidèlement que possible ce qu'il m'en avait coûté d'avoir usé de ce traitement supplémentaire, pourtant “naturel et bio”.


=> Les informations que j'ai communique à LCP ont aussi été adressées à la Presse dite “mainstream” (Le Monde, La Croix, L'Obs, Tribune Juive, Le Quotidien du Médecin, Santé Magazine, Le Parisien ... ) et je les ai mises en ligne sur le Web le 30 juin 2023 sur “le blog de leon” sous le titre "Des pratiques aussi bizarres qu'effrayantes à l'AP-HP".

J'espère que cette courte introduction retiendra suffisamment l'attention de Jean Viard et des parlementaires pour aller plus loin dans la compréhension de ce qui a poussé le Pr. Gérard Saïd comme la direction de l'hôpital Bicêtre à m'accuser "d'avoir moi-même sciemment fabriqué la maladie de mon père par antisémitisme" quatorze ans après ce qui s'est passé en 1990 à l'hôpital Bicêtre puis à l'hôpital Charles-Foix après ce qui s'était passé à la Clinique Léon Elmelik lors du long WE de le Pentecôte cette année-là.

En définitive, il s'avère qu'en 1990 les neurologues du Service du Pr. Gérard Saïd au CHU de Bicêtre, bien qu'ils aient fait tout ce qu'il fallait pour arriver à leur fin, n'avaient pas réussi pas à faire mourir le malade qu'ils avaient mis entre les mains inexpertes du Dr. Jean-Yves Beinis pour que celui-ci ne se rende pas bien compte de ce qu'il était en train de faire en suivant le traitement qu'ils lui avaient commandé de suivre sans y changer quoique ce soit malgré la totale (et évidente) inadéquation de celui-ci !

Dr. Pierre Cretien Tel 07 86 92 02 05 à la disposition ce “Cca” (parce que c'est le moment de parler de MetooGarçon)

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Bibliographie
1 – 1978 Kolhouse & al, New Engl. J. Med. 299, 15, 787 – 792. “Cobalamin analogues are present in human plasma and can mask cobalamin defiency because current radioisotope dilution assays are not specifique for true cobalamin”.
2 – 1987 Berger JR & al. Ann Intern Med. 107 : 78 “Progressive multifocal leukoencephalopathy associated with human immunodefiency virus infection”.
3 – 1987 Ogier H. & al. éd. Masson "La cobalamine (vitamine B12), APECTS METABOLIQUES, GENETIQUES, NUTRITUIONNELS ET THERAPEUTIQUES"; 254-281.
4 – 1988 J. Lindebaum & al. N. Engl. J. of Med. “Neuropsychiatric disorders caused by cobalamin deficiency in the absence of anemia or macrocytosis”
5 – Arch Neurol 1991;48(3):312-314. "Abnormal vitamin B12 tabolism in human immunodeficiency virus infection : association with neurological dysfunction" (Accepted for publication September 5,1990).
6 – Arch Neurol 1992;49:501-506. “Plasma Vitamin B12 Level as a Potential Cofactor in Studies of Human Immunodeficiency Virus Type 1- Related Cognitive Changes”.
7 – Arch Neurol 1993;50:807-811. Robertson et al. “Vitamin B12 Deficiency and Nervous System Disease in HIV Infection”
8 – JAMA 1993;269:1144-1153. “Preventive Health Care for Adults With HIV Infection”
9 – Arch Fam Med 1994;3:988-1002. "Human Immunodeficiency. Physician Guidelines, Advisory Group on HIV Second Edition"
10 – J. Nutr. 1997;127:345-351. "Low Serum Vitamin B-12 Concentrations Are Associated With Faster Human Immunodeficiency Virus Type 1 (HIV-1) Disease Progression".
11 – AIDS Clin Care 1998;1-1 “Peripheral Neuropathy in HIV Disease”.
12 – Neurology 1999;53:592-592. “Prevalence of peripheral neuropathy in injection drug users”
13 – Arch Neurol 1999;56:84-89. "Peripheral Nerve Function in HIV Infection: Clinical, Electrophysiologic, and Laboratory Findings"
14 – Pediatrics 2000;106:35e-35. “Distal Sensory Polyneuropathy in a Cohort of HIV-Infected Children Over Five Years of Age”
15 – Neurology 2002;58:730-735. “Abnormal cobalamin-dependent transmethylation in AIDS-associated myelopathy”
16 – Revue de Médecine Interne 2003;24 (4): 218-223. "Carence en vitamine B12 avec test de Schilling normal ou syndrome de non dissociation de la vitamine B12 de ses protéines porteuses chez le sujet âgé. Etude de 60 patients".
17* - Arch Neurol. 2003;60(10):1457-62.) “Neuropsychiatric disturbances in presumed late-onset cobalamin C disease”. (E. Roze, D. Gervais, S.Demeret, H. Ogier de Baulny, J. Zittoun, J.-F. Benoist, G. Saïd, C. Pierrot-Deseilligny, F. Bolgert)
18 – L' Encéphale, décembre 2003 Vol 29 (6), p. 560 – 565. "Délire Capgras chez une patiente de 64 ans atteinte d'une maladie de Biermer". ( C. Durand; S. Mary; P. Brazo; S. Dollfus).
19 – Revue Neurogique 2006;162 (1):22-42. Atteintes du système nerveux central et infections par le virus VIH -1 (Antoine Moulignier, Service de Neurologie, Fondation Adolphe Rotschild, 75019, Paris)

Et 22 ans plus tard, en 2012, ce fut la découverte (et/ou l'invention) d'une astuce technique (testée en bassin, reste à le tester in situ sur une petite unité de production pour démontrer qu'elle est capable de résister aux tempêtes les plus violentes et à la corrosion marine). Elle permet, pour un coût bien moindre que la construction d'un barrage, de récupérer l'énergie marémotrice, qui est quasi inépuisable à l'échelle humaine, et qui plus est l'est de façon ubiquitaire et écologique grâce à cette “astuce technique” (mais comme rien ne se créé et rien ne se perd sur le plan énégétique, son efficacité et sa trop grande diffusion sur le plan planétaire pourraient modifier le sens et la force des grands courants océaniques du fait que l'énergie cinétique substituée au système terre-lune se paiera forcément d'un ralentissement de la rotation de la terre sur elle même, un ralentissement qui, aussi imperceptible soit-il sur le plan humain, ne se sera pas sur pour courants océaniques, et cela dans une mesure que je suis bien incapable de pouvoir calculer.

Il y a une dizaine d'années j'ai failli devenir SDF juste avant l'arrivée de l'hiver à 74 ans ! C'est état m'a été épargné comme celui d'un internement psychiatrique d'office réclamé par le maire d'une petite ville bretonne, (François Fernandez) , que l'avis d'un confrère psychiatre médiatique m'a évité en se portant garant au sujet ma santé mentale.

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