Overblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
3 février 2024 6 03 /02 /février /2024 16:45

Invité le 1er février 2024 au "Magazine de la santé", sur Fr 5 à parler de "L'estime de soi" (l'EDS) et donc de son livre paru aux éditions  Odile Jacob le 4 septembre 2008    ===>

Quatrième de couverture. "Lorsqu’on ne s’estime pas, on est rarement heureux. On doute de soi, on ne fait pas toujours les bons choix, on se sent vulnérable dans l’adversité. Pour autant, rien n’est irrémédiable. Ce livre vous permet d’établir votre bilan personnel".

"Jusqu’à la parution récente de L’estime de soi, s’aimer pour mieux vivre avec les autres de Christophe André et François Lelord, deux psychiatres habitués à s’adresser aux non-initiés. Leur idée clé : haute ou basse, l’estime de soi influence toute notre vie".

===>>  le psychiatre Christophe André, s'est fait célèbre sur le plan médiatique et doit c être "bien dans sa peau' pour en avoir eu son EDS  magnifié.

Christophe André et François Lelord  ont-ils lu Françoise Dolto, qui a expliqué pourquoi et comment une adolescente anglaise dépressive et dont on peut supposer qu'elle n'avait pas une bonne estime d'elle-même (c'est le cas des  victimes d'abus sexuels obligées de les taire pour ne pas être traitées par les psys freudiens d'être des hystériques qui confondent leur fantasmes œdipiens "présents chez tout être humains" (sic, dixit Roger Perron page 801 du tome 1 à l'entrée "inceste" du Dictionnaire international de psychanalyse  paru en 2002 chez Calman-Lévy, qui écrit "Il ne faut évidemment pas confondre les fantasmes incestueux, présents chez tout être humain, et les comportements réels, de type incestueux, infiniment plus rares"; et d'ajouter "il reste que leur abord psychanalytique a permis d’en comprendre beaucoup mieux la genèse et la signification” alors que les comportements réels de type incestueux ne sont pas du tout rares, puisqu'une personne sur dix a eu à  subir ces comportements !  L'abord "psychanalytique n'a donc pas du tout permis d'en comprendre la genèse e la signification !)

 Dans "L'évangile au risque de la psychanalyse" Françoise Dolto relatee l'histoire d'une adolescente angaise dépressive et mal dans sa peau et qui souffre par conséquent d'une piètre estime de soi. Son estime de soi améliorée et sa dépression s'est envolée après qu'elle a reçu des félicitations officielles pour avoir, à ses risques et périls, aidé des jeunes enfants à sortir d'un bus de ramassage scolaire en flamme à la suite d'une sorte de route. Et Dolto d'expliquer que c'est parce qu'elle avait pu exprimer ses pulsions agresives refoulées en portant secours à des enfants en danger de mort que son malêtre s'était dissipé, alors que c'est évidemment d'avoir été reconnue héroïque et félicitée qui en est la cause, car si elle en avait été blâmée elle n'aurait certainement pas eu son estime de soi même magnifiée. CQFD

A cette question l'IA de Bing répond : Dans cette histoire, l’adolescente a pu canaliser ses pulsions agressives refoulées de manière positive en sauvant des enfants d’un bus en flammes. Dolto suggère que c’est cette action qui a permis à l’adolescente de surmonter sa dépression. Cependant, comme vous l’avez souligné, le fait qu’elle ait reçu des félicitations pour son acte héroïque a également joué un rôle crucial dans l’amélioration de son estime de soi. Si elle avait été blâmée pour son action, il est probable que l’effet sur son estime de soi aurait été négatif. Cela souligne l’importance de la reconnaissance et de la validation dans le processus de guérison et de développement de l’estime de soi. C’est un point de vue intéressant et une interprétation valable de l’histoire. Merci de l’avoir partagé. CQFD (ce qu’il fallait démontrer) en effet !

Christophe André n'a probablement pas (il faudrait que je lui pose la question) été sauvagement attaqué sexuellement dans le Cabinet d'un médicastre de quartier lorsqu'il avait 6 ans 1/2. Un attentat dont il aurait alors forcément gardé un souvenir épouvantable ===>

"un souvenir cuisant" avait dit Voltaire en parlant de ce dont il avait été lui-même victime à l'âge de 11 ans de la part des Jésuites

- Cf. le n° 435 du magazine "Lire" consacré à Voltaire en mai 2015 Lire Magazine Littéraire n°435 – Faut-il brûler Voltaire https://www.lire.fr/products/lire-n-435-faut-il-bruler-voltaire-mai 2015 et/ou Olivier Guichard, Voltaire et les Jésuites Web23 mars 2023 · Issue d’une thèse en littérature soutenue à l’Université de Genève, cette étude restitue pour la première fois les détails de l’éducation reçue par Voltaire chez les jésuites …

https://www.fabula.org/.../olivier-guichard-voltaire-et-les-jesuites.htm

===> bien qu'inconscient de sa causalité, qui vient le visiter la nuit dans son sommeil, au point de l'empêcher de dormir pour ne pas avoir à les revivre dans ses cauchemars ou dans la réalité, des fois que le Dr. Beaussalot (son pseudo plus approprié que le vrai) soit réellement caché derrière la porte, comme dans ses cauchemars, des cauchemars dont il n'aurait pu savoir à quoi ils correspondaient que 66 ans plus tard, quand sa sœur aînée le lui aurait enfin expliqué (ce qui a eu pour effet de les supprimer) alors qu'elle avait jusque-là gardé pour elle ce qu'elle savait à ce sujet, de façon à pouvoir garder par rapport à son cadet un sentiment de supériorité en le prenant, comme son père, pour un pauvre imbécile (POVE Q) parce qu'il se prétend psychiatre alors qu'il "ne sait même pas ce qu'il en est de lui-même" (sic, dixit mon père en 1983 à mon retour de vacances estivales passées en Suède avec mon épouse et mes les deux filles / La deuxième enseigne dans un Lycée de la proche banlieue parisienne, un établissement qui en 1946 m'avait hébergé quelques jours avec d'autres enfants en partance pour la Suède. Une partance à l'instigation de ma mère. J'en faisais partie pour échapper à la violence de mon père, qui ne supportait pas mon changement de caractère provoqué par les séances d'UV thérapie rue Bezout dans le Cabinet du Dr. Beaussalot).

Mais pour moi contrairement à Freud l'EDS consiste à ne pas garder pour soi ce que l'on sait d'expérience, qui contredit des vérités mensongères, que Freud avait pour son EDS personnelle trouvé bonnes, trompé qu'il avait accepté d'être par ce que lui avait fait avaler le "bon" Dr. Breuer au sujet d'Anna O, parce qu'il craignait qu'elle aille raconter à Martha Bernays, et Martha à Freud, qu'il en avait fait sa maîtresse, racontant à Freud qu'elle était une hystérique qui prenait ses désirs pour la réalité alors que la réalité avait été les désirs de Breuer, qui avait voulu faire de sa jeune patiente sa maîtresse bien qu'elle soit "totalement dépourvue de sexualité" (dixit Breuer), et morphiniquée pour être maintenue sous son emprise.

Après que son épouse l'a obligé à s'en séparer par une tentative de suicide. il avait confié à Freud qu'il aurait préféré qu'elle soit morte, comme le savent mais ne le disent pas les psychanalystes.

Au sujet d' Anna O lire Mikkel Borsh Jacobsen et Frank Sulloway etc ..

En réalité Bertha Pappenheim avait souffert de troubles neurologiques transitoires relevant d'une SLA (selon des neurologues et moi-même).

Pas étonnant qu'elle se soit par la suite "opposé avec véhémence à toute suggestion de traitement psychanalytique pour les personnes dont elle avait la charge, à la grande surprise des gens qui travaillaient avec elle".

Pierre Cretien, MD 

Partager cet article
Repost0

commentaires