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23 janvier 2024 2 23 /01 /janvier /2024 17:05

Une mesure simple a arrêté net et fait régresser la maladie d'Alzheimer !

La gériatre américaine Lee A. Lindquist, en accord avec les recommandations de l'OMS et du British Medical Journal conseille d'adopter  3 habitudes pour réduire le risque de démence chez les personnes âgées.

1° Être actif

2° Se lancer des défis

3° Socialiser (il faut toutefois reconnaître que disposer d'un solide réseau social n'est pas suffisant: Cf. Reagan et Thatcher ).

Lee A. Lindquist l'ignore, peut-être parce qu'elle n'est pas française, mais  une quatrième mesure peut en France dans certains cas empêcher radicalement le développement de la démence Alzheimer.

Elle consiste à ne pas toujours croire les médecins quand ils soutiennent qu'un vos proches est atteint de la maladie d'Alzheimer, surtout s'il s'agit de médecins qui se revendiquent de la Recherche médicale sur le traitement vitaminique des maladies neurodégénératives.

Il  importe de ne pas méconnaître cette mesure parce que son traitement arrête net et va jusqu'à faire rapidement régresser le déficit intellectuel causé par la maladie d'Alzheimer et son évolution vers une plus grande atteinte diffuse du système nerveux: la méthode transforme la démence Alzheimer en  "syndrome NDB12PP"  très facile à traiter avec efficacité.

C'est en août 1990 que j'ai fait la découverte de cette quatrième habitude méthodologique, mais manquant d'un solide réseau social, je n'ai jusqu'à maintenant pas réussi, en dépit de mes efforts, à la faire reconnaître pour qu'elle soit d'usage habituel. Il m'était alors apparu qu'il était prudent de l'essayer pour ne pas risquer de faire contracter au malade une DAIP (Démence Alzheimer Iatrogène Précoce)

Cette simple mesure de précaution expose cependant à des complications tardives, non pas les malades, mais qui la préconise et en tire pour ceux-ci substantifique moelle. Des complications qui sont  particulièrement éprouvantes et invalidantes sur le plan socio-professionnel: celle de contracter une "AAA" (Abominable Accusation d'Antisémitisme), celle ci étant très difficile à éradiquer.

Et c'est en 2004 que j'ai découvert le risque de contracter cette complication

J'ai cru pouvoir m'en débarrasser par la méthode psychanalytique, qui consiste à ne rien censurer de ce qui vous passe par la tête, même si ça vous paraît absurde, stupide ou incongru. Ainsi de  <Une vie périlleuse à raconter> <des pratiques aussi bizarres qu'effrayantes à l'AP -HP> <Soins palliatifs au sein d'une Unité de Soins Normalisés de l'AP -HP> mis en ligne sur le Web par leon.

Ces propos sont associés au diagnostic de démence Alzheimer que les neurologues du Service du Pr. Gérard Saïd avaient porté à l'encontre de mon père hospitalisé en neurologie à l'hôpital Bicêtre quand, en août 1990, il lui ont collé le diagnostic de "DTA" (Démence de Type Alzheimer, une terminologie en vogue à l'époque de la maladie de la vache folle) pour rendre compte de ce qu'il souffrait de graves désordres neurologiques et psychiatriques, des désordres qu'ils avaient dans leur CR d'hospitalisation étiquetés "ATTEINTE DIFFUSE DU SYSTÈME NERVEUX" (sic, cf.infra le CR d'hospitalisation).

C'était à cette époque une façon de désigner sans qu'il y paraisse les épouvantables LEMP (Leuco Encéphalopathies Multifocales Progressives) alors en recrudescence parce qu'imputables aux contaminations par le VIH dues aux transfusions de sangs non décontaminés.

Dès avant avant que mon père reçoive ce diagnostic crypté, le Chef de clinique Pascal Masnou m'a expliqué que la place de mon père n'était pas en neurologie mais en gériatrie à l'hôpital Charles-Foix dans le Service du Dr. Jean-Yves Beinis.

Après avoir fait valoir dans l'après-midi du mardi 21 août 1990 qu'il allait pouvoir disposer en gériatrie à l'hôpital Charles-Foix d'une chambre individuelle, plus confortable que la salle à quatre lits qu'il occupait "inutilement " (sic) à Bicêtre, il pourrait à Charles-Foix continuer d'y recevoir le même traitement qu'à Bicêtre.

J'avais évidemment accepté qu'il soit transféré à Charles-Foix puisqu'il m'avait été dit et juré que le traitement de la maladie de Biermer, bien qu'il se soit jusqu'alors montré d'une surprenante inefficacité, une inefficacité avancée pour justifier le transfert du malade en gériatrie et qui semblait confirmer le diagnostic de démence Alzheimer que le Dr. Pascal Masnou avait devant moi soutenu être la cause de l'aggravation de son état malgré le traitement de la maladie de Biermer (cependant qu'il me cachait qu'il avait été secrètement remplacé par du Prozac* !)

Le lendemain 22 août après trois semaines passées à Bicêtre, les neurologues de Bicêttre firent donc transférer mon père à l'hôpital gériatrique Charles-Foix, en donnant au Dr. Jean-Yves Beinis, jeune Chef d'une "Unité de Soins Normalisés" la consigne de ne surtout pas tenir compte de l'avis que pourrait lui donner son fils, c'est-à-dire moi, qui, bien que médecin psychiatre, ne voulait pas admettre que son père puisse être atteint de la maladie d'Alzheimer, puisque je soutenais qu'il souffrait de la maladie de Biermer, et de ne faire que semblant d'administrer à son père le traitement de cette maladie (parce qu'il ne faut pas contrarier les fou ?.)

Or c'était bien le traitement de la maladie de Biermer qu'il fallait à mon père, comme l'a démontré le fait qu'après avoir été averti par les infirmières de l'USN du Dr. Beinis que mon père ne recevait pas réellement le traitement de cette maladie je l'ai mis moi même en route alors que la situation était devenue désespérée. Mon père, dans un état effrayant, avait fini par sombrer dans coma carus qui faillit être terminal.

Contre toute attente, à la grande satisfaction des infirmières du Service du Dr. Beinis, mais visiblement pas à celle de leur patron, mon père put et remettre debout en quelques jours et récupérer en quelques semaines à 30/30 au MMSE ses fonctions cérébrales.

Prévenu, le Service du Pr. Gérard Saïd et la direction de l'hôpital Bicêtre déclarèrent "très éthiquement" (selon ce que le Dr Patrice Bodenan conçoit l'éthique médicale) que le dossier de l'hospitalisation du malade avait été perdu lorsque j'ai réclamé à le consulter alors qu'il n'en était rien, et lorsque je me suis adressé à la CADA pour qu'il me soit transmis, ils m'accusèrent d'avoir "moi-même sciemment fabriqué la maladie de mon père par antisémitisme" (sic), et me menacèrent des tribunaux, l'article 40 du CPP les y obligeant, mais sans rien en faire, demandez-vous pourquoi ?

Ci-après les conclusions du CR d'hospitalisation signé de l'Interne Olivier Ille. Il m'a été remis alors que je réclamais à voir le dossier de son hospitalisation, que l'hôpital prétendait être introuvable.

DISCUSSION

Myélopathie cervicale, affection dégénérative, encéphalopathie vasculaire

(nldr : le syndrome neuro-anémique n'est pas même évoqué !)

CONCLUSION

TROUBLES DE LA MARCHE EN RAPPORT AVEC UNE ATTEINTE DIFFUSE DU SYSTEME NERVEUX

UN TRAITEMENT ANTI-SPASTIQUE POURRAIT ETRE BENEFIQUE

PAS D’INDICATION OPERATOIRE

SYNDROME DEPRESSIF TRAITE PAR PROZAC UN COMPRIME PAR JOUR

REVALUATION DES FONCTIONS SUPERIEURES APRES TRAITEMENT

PATIENT TRANSFERE DANS LE SERVICE DE MEDECINE DU Dr. BEINIS Hôpital CHARLES-FOIX

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Plus d'informations sur le blog de leon, article < Une affaire à ne pas ébruiter > < Des Pratiques effrayantes à AP-HP > < Si c'est la Clinique de l'Haÿ-les-Roses, c'est inutile, laissez tomber. Gloup ! > < Ordre a été donné de ne donner aucune information sur cette affaire > <Maltraitances aux personnes âgées> < Une histoire insolite et périlleuse à raconter > <Non, Jacques Attali ne promeut pas l'euthanasie des plus de 65 ans> et < Psychanalyse de l'antisémitisme > (entre autres)

envoyé : 21 janvier 2024 à Femme Actuelle <aujourdhui@ml.actu-femmes.fr>

objet : Démence : 3 habitudes à adopter au quotidien pour réduire les risques, selon une gériatre

Addenda :

En septembre 1990 Je ne savais pas encore que les neurologues de Bicêtre avaient falsifié les données du test de Schilling, déclaré être à 35 %, donc tout à fait normales, alors qu'elles étaient en réalité à 5%, donc franchement anormales et en faveur de la maladie suspectée cliniquement par les Urgentistes aux Lits-Portes de l'hôpital Bicêtre.

J'ai dit à ma sœur: << Cette histoire "d'hydrome sous-tentoriel" (sic) pour lequel un rendez-vous d'I.R.M. a été pris pour le 24 septembre ne tient pas debout, et il n'a certainement pas la maladie de la vache folle. Il y a tout simplement qu'il ne reçoit pas le traitement qu'il lui faudrait. Au lieu de lui administrer le traitement de la maladie de Biermer, seulement un faux semblant, afin me faire croire que l'aggravation de son état est bien dû à la maladie d'Alzheimer et à une encéphalopathie vasculaire, voire à une tumeur cérébro-spinale, et c'est pour ça qu' au lieu d'aller mieux, il va de plus en plus mal. Je suis sûr de ce que je dis, j'ai été invité par une infirmière à vérifier sur le cahier de prescription le traitement qu'il reçoit ! On n'a jusqu'ici fait que lui administrer un faux-semblant de traitement de la maladie de Biermer, et on essaie aussi de me faire croire qu'il a une tumeur cérébrale. Il ne souffre pas plus d'une tumeur cérébro-spinale que de la maladie d'Alzheimer ou de Creutzfeld-Jakob ! >>

Je fis un rapide examen neurologique et dis à ma sœur :

<< Il ne voit plus clair. Regarde ses yeux, les pupilles sont complètement dilatées. Elles ne réagissent plus du tout à la lumière quand je les éclaire. Il reste une toute petite chance de le sauver. Si on ne fait rien, là maintenant, tout de suite, demain il sera mort. Il n'est plus temps d'attendre jusqu'au 24 septembre le rendez-vous d 'I.R.M. cérébrale à faire à l'hôpital Broca, ni même quelques heures de plus. Je veux bien faire le nécessaire, mais il ne faudra rien me reprocher si ça ne réussit pas. S'il meurt cette nuit, comme c'est malheureusement à craindre, je n'y serai pour rien. J'ai tout juste le temps de courir à la pharmacie chercher ce qu'il lui faut avant qu'elle ne ferme et le lui administrer.

Je te promets de ne jamais t'accuser de l'avoir tué s'il meurt cette nuit.

- Il faut aussi me promettre de m'aider après, parce que même si j' arrive à redresser la situation, ça va être très dur ! Il faudra après que tu m'aides !

- Je te le promets …. >>

Il était 19 heures 15. Il n'était plus temps de discuter. J'ai dû courir au plus vite à la pharmacie la plus proche, sise place Gabriel Péri à Vitry/Seine. Elle était en train de fermer. Je m'y suis procuré, pour 9 francs et 39 ou 36 centimes, une boite de 6 ampoules de cyanocobalamine Labaz *, et 3 seringues …

Vers 19 h 45 j'ai administré à mon père la moitié du coffret, soit 3 mg de cyanocobalamine, un mg per os glissé entre les lèvres, et 2 mg en intramusculaire.

Epilogue: Craignant le pire, je suis resté une longue partie de la nuit auprès du malade à lui appliquer des compresses de sérum physiologique sur les yeux. Je suis parti dormir un peu et suis repassé le lendemain matin vers six heures.

Mon père était encore en vie. Il y avait même un léger mieux: la mydriase n'était plus aussi totale. Un soupçon d'iris était perceptible à l'orée de la pupille.

Le lendemain soir, j'ai administré les 3 ampoules restantes.

Le surlendemain il était réveillé et se mit à avoir très faim. Un mois plus tard, après avoir reçu en intramusculaire 20 mg de ce traitement étiologique, mon père pouvait se tenir debout sans tomber, et même refaire tout seul son lit, à la satisfaction des infirmières, mais visiblement pas à celle du Chef de Service.

Bien que le malade n'ait pas récupéré le contrôle de ses sphincters – il ne les récupérera, et cela une fois pour toutes, que le 17 octobre 1990 – il fut sans ménagement renvoyé chez lui le 12 octobre, avec une provision de couches mis à ma disposition par les infirmières.

Pour comble, dans les jours qui suivirent, l'hôpital Charles-Foix fit parvenir une note d'hospitalisation salée au domicile de son ex-patient (de son ex “client”, selon la terminologie de l'époque). Il n'avait même pas été tenu compte de la prise en charge à 100 % à laquelle le malade avait automatiquement droit. Il me fallu faire rectifier la facture.

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Published by leon
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