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1 juin 2016 3 01 /06 /juin /2016 01:34

L'AP - HP avait dans les années 1990 calculé qu'il était préférable de laisser mourir les patients contaminés par le VIH lors d'une transfusion sanguine quand ils étaient réhospitalisés à l'occasion d'une grave maladie interccurente (cancer ou tout autre état de snté engageant le pronostic vital)

Il ne fallait pas attendre  qu'ils puissent développer un SIDA maladie.

Mais après qu'une expérience a raté (Cf. site n° 34640255 html) qui menaçait d'être révélée  et de tourner au vinaigre, décision fut prise de les pousser autant que possible secrètement vers l'exitus.

Autant que possiblec'est-à-dire si et quand la situation s'y prêtait (malades âgés, déments ou affaiblis, contexte familial favorable etc ... )

Sur ces contaminations cf. Anne-Marie Casteret "L'affaire du sang", La Découverte 1992,

L'article n° 34640255 html a été mis en ligne en juillet 2009, à propos d'un cas princeps raté.  Il relate la prétendue erreur de diagnostic  qui avait été commise à l'encontre du cas raté, qui avait fait l'objet  d'une transfusion de sang dans en avril  1984 et 1985 et qui avait été vulnérabilisé par une maladie intercurrente.

Illustration du cas raté

Le Pr. Bernard Glorion fit le 11 octobre 1997 devant 280 représentants de l'Ordre une "déclaration de repentance".


Bernard Glorion présidait depuis 4 ans le Conseil National de l'Ordre des Médecins.


Il était parfaitement au courant de ce qui se passait depuis des lustres à la Clinique Léon Elmelik ainsi que ce qui s'était passé à l'été de 1990 à l'hôpital Bicêtre dans le Service du Professeur Gérard Saïd puisque je l'en avais informé, et qu'il m'avait répondu dans une lettre ... qui bottait en touche.


En revanche le docteur Bruno Halioua ignorait probablement que dix jours plus tôt (le 31 septmbre 97) je m'étais directement rendu aux laboratoires des explorations para-cliniques réalisés à l'hôpital Bicêtre,

J'avais ainsi pu me faire remettre la copie des résultats d'examens neurologiques qui prétendument n'avaient jamais été faits, soi-disant "parce qu'ils ne servent à rien" (dixit le professeur Gérad Saïd lorsque je me suis adressé à lui pour m'en étonner, cependant qu'il m'avait aussi affirmé ce jour-là que la Revue de référence qu'est "Archives of Neurology" était une "très mauvause Revue" (sic),
Le professeur Saïd fera d'ailleurs, en novembre 1997, définitivement cesser l'abonnement de la bibliothèque universitaire du CHU de Bicêtre à cette prestigieuse Revue en même temps qu'il fera retirer de parution les précédents numéros des rayonnages de cette bibliothèque, aisni que d'autres ouvrages relatifs à la maladie dont mon père avait failli mourir du fait du faux traitement, mortel, qui lui avait été sciemment administré dans son Service. Ce qui ne l'empêchera de faire par la suite des pieds et des mains pour voir son nom accolé à celui du docteure Jacqueline Zittoun comme à celui du docteure Hèlène Ogier de Baulny dans cette même "très mauvaise Revue". (Arch Neurol. 2003;60(10):1457-62.) "Neuropsychiatric disturbances in presumed late-onset cobalamin C disease". E. Roze, D. Gervais, S.Demeret, H. Ogier de Baulny, J. Zittoun, J.-F. Benoist, G. Saïd, C. Pierrot-Deseilligny, F. Bolgert)


Puis de me faire accuser par la direction de l'hôpital Bicêtre d'avoir moi-mêm fabrqué la maladie de mon père "par antisémitisme" (sic) Service du Pr. Gérard Saïd m'avaient en 1990 menti sur toute la ligne sur les résultats des explorations que soi-disant ils n'avaient pas eu l'idée de faire lors de son hospitalisation, de même qu'ils avaient caché que le test de Sclilling était à 5%, donc positif, et non prétendument normal à 35 % pour justifier leur faux traitement.
Contrairement à ce qu'ils m'avaient raconté, ces examens avaient bel et bien été faits.


Ces documents, qui ont été communiqués au parquet de Créteil, montraient que lesdits neurologues savaient pertinemment que mon père souffrait alors d'un syndrome neuro-anémique, qu'ils avaient cherché à le dissimuler alors que les désordres neurologiques que cause ce syndrome sont non seulement inéluctablement mortels lorsqu'ils sont livrés à eux-mêmes, mais très douloureux et atrocement angoissants, quoiqu' éminemments curables et réversibles avec un traitement spécifique, très simple et sans danger aucun.
Contrairement à ce qu'ils avaient fallacieusement écrit lorsqu'ils firent transférer leur malade dans le Service de gériatrie du docteur Jean-Yves Beinis (l'Unité de Soins Normalisés de l'hôpital Charles-Foix) ils ne pouvaient ignorer qu'il ne s'était pas agi d'une vague "ATTEINTE DIFFUSE DU SYSTEME NERVEUX" (sic) consécutive à une « encéphalopathie vasculaire» hors de portée thérapeutique.


Autrement dit, à partir du moment où les neurologues du Service du Pr. Saïd surent que j'avais en main les preuves qu'ils avaient sciemment menti et attenté à la vie de leur malade, ils jugèrent opportun, pour les raisons stratégiques, de se réconcilier avec l'Ordre des médecins.
Ils n'ignoraient pas que celui-ci avait été, à la demande de notre défense, dument averti de ce qui s'était passé à la Clinique des Elmelik.
Le président Bernard Glorion était lui-même tout à fait au courant de ce dont il s'agissait, qui aurait en vertu de l'article 40 du CPP ipso facto dû conduire l'Ordre à porter l'affaire, en se constituant Partie Civile, devant la justice contre les agissements des médecins de la Clinique Elmelik et ceux du Service de neurologie d' l'hôpital Bicêtre.


Au lieu de quoi l'Ordre s'en est montré complice, cherchant au moyens de pressions et de menaces à entraver les multiples plaintes pour viols qui avaient été portées à l'encontre du médecins-proriétaires de la dite Clinique et à faire alliance avec le professeur Gérard Saïd, autrefois adversaire de l'Ordre en tant que membre de l'AMIF.


Est-ce pour avoir voulu porter plainte contre les médecins de cette Clinique que mon père avait été laissé sans véritable traitement ?


Ne faire que semblant d'administrer le traitement adéquat n'était-il pas une façon subtile de le faire mourir discrètement.

A sa mort programmée il avait fallu trouver un point de chute autre que Bicêtre. La Clinique Elmelik n'étant plus possible, les neurologues chargèrent leur Interne Olivier Ille de faire transférer leur malade à l'hôpital Charles-Foix dans l'USN du Dr. Jean-Yves Beinis. C'était aussi une façon de faire partager à ce médecin connu pour être aussi peu regardant qu'il était obéissant la responsabilité de leur entreprise criminelle, et de n'être pas rétrogradé au classement que les hebdomadaires de forte audience comme Le Point faisaient annuellement paraître sur les Services hospitaliers. Le Service de gériatrie comme celui du Dr. Jean-Yves Beinis était l'autre solution, moyennant préparation : accompagné d'un vrai-faux diagnostic d'ATTEINTE DIFFUSE DU SYSTEME NERVEUX soi-disant consécutive à une encéphalopathie vasculaire (sic) et d'une prescription thérapeutique volontairement inefficace signée de leur Interne O. Ille, en tant qu'homme de paille. Le malade y finirait ses jours sans que cela paraisse avoir été calculé et provoqué.

C'était un exercice a priori sans risque pour un Service qui se disait rattaché à l'Inserm et spécialisé dans la recherche, le diagnostic et le traitement des affections neurologiques vitamino-dépendantes. Ce que sont les syndromes neuro-anémiques.
Reste à savoir si mon père n'avait pas bénéficié du traitement nécessaire à son rétablissement parce qu'il avait fait savoir aux neurologues son intention de porter plainte contre les médecins de la Clinique Elmelik alors qu'elle leur était si utile, où parce qu'il faisait partie de la série des malades qui avaient été contaminés par des lots de sangs VIH + en 1984 lors d'une opération faite à Saint-Louis, ou pour ces deux raisons conjointes.

Quoi qu'il en soit, ce qui s'était passé par la suite au CHU de Mantes-la-Jolie où opérait Christine Ma lèvre (en femme de paille) sous la supervision du Dr. Olivier Ille rendait urgent l'entente du Pr. Gérard Saïd et celle de l'AMIF avec le Conseil de l'Ordre pour éteindre le scandale qui menaçait de le mettre en cause. Le Pr. Saïd était parfaitement au courant de ce que le Dr. Bodenan était en 1992 illégitimement intervenu pour empêcher que la plainte de mon père contre les médecins de la Clinique Elmelik aille en justice. Bodenan s'était alors présenté comme commandité par l'Ordre alors qu'il intervenait en tant qu'ami personnel d'Edith Elmelik.

Bodenan était le responsable du bureau de Presse du Conseil de l'Ordre du Val-de-Marne. Il avait été très illégalement choisi en fonction de ces critères par le Président du Conseil de l'Ordre du Val-de-Marne le Dr. Jean Pouillard pour faire en sorte que la plainte de mon père ne puisse pas aboutir. Pour cette initiative, le Dr. Pouillard sera plus tard récompensé, bombardé Rédacteur en Chef du Bulletin de l'Ordre et vice-président du Conseil National de l'Ordre, et le Dr. Bodenan hissé au rang de président du Conseil Disciplinaire du Conseil de l'Ordre d' Île de France.

Quand, en 1997, pour en revenir à cette époque, il paraissait qu'il n'allait plus être possible de cacher que les exécutions de malades opérées par Christine Malèvre s'étaient faites sous la la houlette du médecin qui avait par ses prescriptions déjà attenté à la vie de mon père en 1990, il devint de l'intérêt du Pr. Saïd et de son équipe (Mme le Dr. Martine Desi, le Dr. Pascal Masnou et leur ex Interne Olivier Ille), de celle du Dr. Beinis (et de son Assistante Mlle le Dr. Sitruk et de Madame Weil, l’Assistante sociale défectueuse), et l'équipe du Pr. Bouchon (comprenant le Dr. Olivier Saint-Jean, Mme le Dr. Verny) se rapprocher de l'Ordre des médecins, et réciproquement, pour l'Ordre de coopérer activement avec l'AMIF, c'est à dire avec le Pr. G. Saïd, son éminent représentant à Bicêtre. C'est aussi comme par hasard en novembre 1997 que ce Chef de Service et la direction de l'hôpital Bicêtre s'entendirent pour mettre éthiquement fin à l'abonnement de la bibliothèque du CHU à la Revue Archives of Neurology et au retrait des numéros présents sur les rayonnages, et procéder au retrait non moins éthique des livres ayant trait au diagnostic des syndromes neuro-anémiques.


A-t-il vraiment cru que cette déclaration de repentance était sans contrepartie ? On peut se poser la question, parce qu'il rapporte trop naïvement les propos accusateurs trop opportunément parus dans le Quotidien du médecin du 10 octobre de la même année : << L'Ordre, pouvoir administratif glacial et sans visage, relayait sans état d'âme les idées et les mesures de Vichy. Courroie de transmission du régime, il a répercuté le statut des Juifs du 3 octobre 1940, respectant dans l'esprit et la lettre son décret d'application du 11 août 1041 relatif à la profession médicale. Cinquante sept ans après, l'institution ordinale a besoin d'être en paix. Elle sait qu'elle a failli à l'esprit de confraternité et d'entraide qui l'anime (sic), même si dans l'ombre quelques confrères, dignes de ce nom, se sont battus personnellement contre les lois antijuives.>>, des propos qui, rapporté la veille, montrent que la séance du 11 octobre n'était en rien l'expression d'une soudaine et spontanée prise de conscience, mais qu'elle avait été préalablement négociée et dernièrement préparée dans l'urgence.

 

Emmanuel Hirsch fut tout heureux de trouver à la tête de l'Espace Ethique de l'AP - HP un job plus lucratif et valorisant que celui de rédacteur à Médica-judaïca, si ce n'est celui d'enseignant à l'Éducation nationale.

Ainsi propulsé, il est maintenant l'interlocuteur du Figaro pour commenter la journée Alzheimer. Pensant peut-être à lui-même, il y explique la nécessité morale d'une meilleure prise en compte de cette maladie d'avenir.


Pour le reste, je renvoie à ce que j'ai précédemment rapporté sur Internet sur mon blog au sujet des maltraitances hospitalières commises à l'encontre les malades victimes d'infections nosocomiales, notamment ceux qui, comme mon père ont été transfusés dans les années 1984 et 1985 et sont vulnérabilisés par une maladie intercurrente.

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