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15 janvier 2017 7 15 /01 /janvier /2017 23:58

Anna O, alias la petite Bertha, à force  ramonages de cheminée et de morphinications - les thérapies que lui administrait le bon docteur Josef B. -  a fini par se retrouver en Sainte, couac tout en restant vierge.

Elle donna ainsi mais malgré elle naissance à une nouvelle née ère, et  fit germer, en ce monde peuplés de mecs errants, l'espérance de septante bonnes à faire.

D'où sont sortis les concepts made in Freudland.

Ils font, au mieux - tout comme ceux des lacaniens compris de travers - s'aggraver les troubles des névrosés, y compris ceux de ses adeptes, quand ils ne les créés pas, qui en sont, à l'instar de leur maître, malades mentaux devenus eux-mêmes paranos.

J'ai décrit le cas de Bernard This, psychiatre et "psychanalyste lacanien", dans l'explication kabbaliste qu'il donné sur ce qui a causé chez Freud un cancer de la bouche, à savoir le fait qu'il avait germanisé son prénom,  en l'amputant de deux lettres, un I et un S.,  Sigismund devenant  Sigmund.

Sur le même mode de raisonnement parano j'ai "montré" pourquoi la guerre qu'avait voulu et a mené Adolf Hitler était inéluctablement vouée à l'échec. Il avait lui aussi cherché à germaniser son prénom en l'amputant de son U et de son S terminal, Adolfus ==> Adolf (Joachim Fest, "Hitler", Gallimard, 1973)

Jacques Lacan, faut le lire à l'endroit, ce qui n'est pas facile si on n'a pas la clé, et lire ce qu'il disait avant qu'il ne se soit pris les pieds dans ses rébus; sinon, on risque d'en mourir ou d'en rester idiot, comme ceux qui enfilaient le casque de la machine à booster l'intellect dans "La planète interdite", film culte des années 50.

Freud n'avait pas été sans remarquer le fait, jusqu'à y trouver un certain "plus-de-jouir quand Viktor Tausk mit étrangement et tragiquement fin à ses jours en 1919. A la même époque Freud allongeait très vicieusement incestueusement sa propre fille sur le divan, qui n'en perdit pas la vie, mais en resta idiote ... à la place du fils de Tausk.

(Cf. Simone Korff-Sausse, "L'appareil à influencer", 2010. ).

La France est restée demeurée un des rares pays, avec l'Argentine, à en faire ses choux gras accepter les concepts inventés par Freud et Jones, les a intégrés comme des concepts psychiatriques valides.

Or contrairement à ce prétendent les freudiens et les promoteurs des concepts que Freud a réussi à mettre en circulation, la "psychanalyse" n'a strictement aucune valeur scientifique pour ce qui est de comprendre et traiter les psychonévroses, alors que Tausk ...

L'erreur est humaine, mais haïssable, a dit dans un de ses poèmes un académicien médiatique (Jean d'Ormesson). Même un psychiatre critique de Freud, tel le docteur Pierre Sabourin les a fesse fait sien, mais aussi Gérard Lopez,dans un livre pourtant excellent ( "Enfants violés, enfants violentés, le scandale oublié " Dunod, janvier 2015, page 58) est tombé dans le panneau. Revenu de son erreur, insérera une correction dans la prochaine édition de l'ouvrage.

A propos de bourrages de crânes la dissémination de concepts erronés a très récemment fait écrire à un jeune psychiatre, David Gourion, un livre illustré par MUZO qu'il a intitulé << Cinquante puissantes raisons de ne pas aller chez le psy >>. (chez Jean-Claude Lattès, l'excellent éditeur du livre << Hitler, l'origine du mal >> exécré et interdit par Claude Lanzman, qui ne veut surtout pas que la métamorphose du sympathique philosémite Hitler en un monstrueux persécuteur des juifs puisse recevoir l'explication que lui avait donnée Jean-Paul Sartre (Hitler fut philosémite des années 1907 à 1919 et antisémite de 1919 à 1945, conduite métamorphose induite par Freud, qui avait bien mal calculé les con-séquences de ses conseils)

La psychanalyse est originairement une entreprise commerciale exécrable fondée sur un système politique réactionnaire, celui-ci visant à rendre service à ce que j'appelle la "pédophilocratie", très active dans les milieux religieux et médicaux, en particulier chez les médecins, les psychiatres, les "psychanalystes", et "intelligentsia" (écrivains - y compris des prix Nobel, avocats, juristes, politiciens etc .. un prix que Freud avait revendiqué mais que lui avait refusé le président du Comité Nobel, Per Hallstöm, cf. Les temps modernes,Revue fondée par Jean-Paul Sartre)

C'est si vrai que lorsque je me suis rendu au Conseil disciplinaire de l'Ordre des médecins en 1992 pour faire part des exactions qui se commettaient dans la Clinique Léon Elmelik à l'Haÿ-les-Roses dans le Val-de-Marne, les secrétaires de ce Conseil m'ont fait savoir que j'étais bien naïf de penser que l'Ordre des médecins allait y mettre fin.

L'une d'entre elles me dit, en me tendant le dossier relatif à la plainte concernant les exactions des médecins de cette Clinique : << Mon pauvre monsieur (sic), ce n'est l'Ordre des médecins qui va poursuivre les violeurs et les pédophiles, ils sont au Conseil de l'Ordre >> alors même que la plainte en question n'avait pas trait à des exactions de cette nature, mais à une intervention orthopédique aussi illicite que dangereuse, réalisée subrepticement sur une personne extrêmement vulnérable par un rhumatologue qui se prenait et se faisait passer avec l'aval de l'Ordre pour un chirurgien orthopédiste.

Ce que m'avait dit cette secrétaire corroborait ce que j'avais déjà appris le 23 janvier 1991 du Principal du Commissariat de l'Haÿ-les-Roses, le Commandant Christian Raeckelboom, lorsqu'il me reçut avec ledit malade, "miraculeusement" sorti vivant de ses mésaventures contractées quand et après qu'il a eu la malencontreuse idée d'y mettre les pieds.

S'adressant à moi il m'avait confié : << J'aimerais bien que cette affaire aboutisse, parce que j'en ai par dessus la tête d'avoir à enregistrer pour rien des plaintes contre cette Clinique. J'ai là sur mes étagères 150 plaintes pour viols. Toutes sont bloquées au parquet. >>

Comme je m'étonnais qu'il m'ait parlé de viols, je lui avais fait répété ce qu'il venait de me dire en jouant sur la confusion possible entre "vols" et "viols". << Je dis bien des viols. Cette Clinique est "protégée en hauts lieux". Ses médecins sont milliardaires. Ils peuvent y faire et y font ce qu'ils veulent >>

(voir site-Web n° 108281777 html la lettre que j'avais adressé à ce sujet au président de la République le 18 juillet 2012, à laquelle il n'avait pas daigné donner réponse)

Dix ans plus tard, à la suite de la "Marche Blanche" de mars 2001 j'ai appris lors d'une réunion à l'Association Française pour la Protection de l'Enfance * la part d'une femme déjà âgée qui n'a pas voulu me révéler son nom - parce qu'il était "trop connu"- me laissant seulement entendre qu'elle était apparentée à la famille des propriétaires de cette Clinique qu'il n'y avait pas que les femmes en couches qui y (?) étaient violés, mais aussi les enfants !

* l'AFPE a depuis changé de dénomination pour UFSE - Union Française pour le Sauvetage de l'Enfance, et la femme qui ne voulait pas me dire qui elle était était probablement l'épouse, elle-même médecin, du docteur Jean-Claude Elmelik.

Que la pédophilocratie soit protégée, c'est ce que le docteur Ernest Jones avait très bien compris. Il avait en 1908 quitté le Canada où il s'était réfugié pour échapper à la justice de son pays, accusé qu'il y était de "détournement de mineur-es".

Jonnes s'était de lui-même institué "psychanalyste", enseignait et pratiquait la "psychanalyse", et eut l'idée de "perfectionner" la sécurité judiciaire qu'elle assurait à la pédophilocratie.

J'ai bien dit de la pédophilocratie. Ce qu'avaient démontré le psychanalyste "renégat" Jeffrey-Moussaïeff Masson en 1984 après avoir donné un premier aperçu dans le New-York Times en septembre-octobre 1981 de ce qu'il avait trouvé aux "Archives Freud", qu'il avait été exceptionnellement autorisé à consulter en vertu de sa qualité de psychanalyste "bon teint".

Les Français, y compris les psychiatres, n'ont guère lu son rapport, ainsi qu'en témoigne en 2010 le psychiatre-psychanalyste Michel Meignant, effaré de ce qu'il avait si tardivement découvert en le lisant, qui pourtant était évident à Marie Balmary depuis longtemps, et ce qu'elle avait fait connaître dès 1979 en publiant un Mémoire, c'est-à-dire sa thèse psychanalytique, sans qu'elle ait eu besoin de recourir aux dites "Archives Freud", même si sa thèse contient quelques "inévitables" concessions aux incongruités du freudisme ambiant (j'en parlerai plus tard à propos d'Eliette Abecassis, qui en a fait ses choux gras en 2014 dans son U-roman "Un secret de Freud").

Sa thèse fut évidemment refusée par son directeur de thèse le professeur psychanalyste le docteur Jean Laplancehe - une planche que l'on peut dire avoir été pour elle "savonneuse", quoiqu'elle ait beaucoup intéressé Jacques Lacan, curieux d'en savoir un peu plus, inquiet qu'il était d'avoir été dépassé par cette jeune analyste.

Que Freud ait fait bénéficier la pédophilocratie de ses théorisations fourvoyantes est évident.

C'est ce qu'avait parfaitement compris Ernest Jones, et c'est bien pourquoi il avait rejoint Freud pour l'aider à améliorer son système d'emprise sur les victimes d'exactions pédophilocratiques par des concepts "clés" aptent à contenir et contrôler les victimes par la sur culpabilisation. C'est lui qui lui suggéra de se servir du concept de "complexe d'Œdipe" et de l'appliquer, pour le populariser, au "cas" d'Hamlet, alors que William Shakespeare l'avait imaginé dans une perspective bien différente. L'opération promotionnelle a comme on sait hélas parfaitement fonctionnée. Le psychiatre "psychanalyste" Samuel Lepastier s'en est servi pour "expliquer" au Monde (je veux dire au Journal Le Monde du 8 février 2006) qu'à Outreau les enfants avaient été avant tout victimes de fantasmes oedipiens inconscient.

Même des psychiatres qui se prétendent contestataires de Freud, tel que le docteur Pierre Sabourin, sont tombé dans le panneau, alors même qu'il a pourtant lu les découvertes de Jeffrey Moussaïeff Masson. Le docteur Michel Meignant ne l'a découvert qu'en 2010 Cf. L'affaire Freud (on peut s'adresser à lui pour acquérir un DVD au sujet de cette "ténébreuse affaire", ainsi qu'à "Regard conscient", qui en fait avec le psychologue Vincent Caux un excellent résumé

Psychologue au sens populaire du terme Jones s'en était allé à Vienne rencontrer Sigmund Freud du temps où celui-ci avait pris le jeune Adolfus Hitler en cure psychanalytique, à la demande du bon docteur Eduard Bloch, le médecin de la famille Hitler. Il était le cousin de Franz Kafka, l'auteur de "La métamorphose", publiée en 1912. Adolfus ne s'est métamorphosé en un Adolf Hitler antisémite extrêmement dangereux qu'en 1919.

Le docteur Bloch connaissait son histoire à travers celle de ses parents. Il avait pris le jeune homme en affection, qui venait de perdre sa mère. il l'avait longuement soigné d'un cancer du sein et était décédée à la fin du mois de décembre 1907. La mort de sa mère avait laissé le jeune Hitler dans un état de profonde détresse

Impossible que Freud se soit chargé de prendre le jeune homme en cure, rétorquera-t-on. Non seulement il était sans le sou, et l'analyse coûte cher, surtout avec Freud, qui ne s'intéressait qu'aux personnes extrêmement fortunées (Cf. aux éditions Sciences Humaines, "FREUD et la psychanalyse", décembre 2015) mais Hitler était un antisémite virulent. D'autre part jamais Freud n'a fait état de ce que Hitler a été un de ses patients, et jamais Hitler n'a fait allusion à Freud autrement qu'en faisant brûler ses livres.

C'est bien mal connaître la réalité et le dessous des cartes.

Et c'est bien parce que Freud et Hitler ont soigneusement évité de faire très explicitement référence l'un à l'autre alors qu'à partir des années 1920 jusqu'à la déclaration de guerre tous les deux faisaient très souvent la une de la presse.

Mais Freud n'avait certainement pas manqué de parler à Jones de la famille Hitler et de son jeune patient, car c'est à ce moment-là que Jones lui as suggéré de mettre en avant les deux concepts "phares" - mais surtout aveuglants et controuvés - de la psychanalyse, à savoir celui de roman familial du névrosé et celui de complexe d'Oedipe,

Le psychiatre "psychanalyste" Roger Zagdoun est tombé complètement dans le panneau dans un livre paru en 2002 ("Freud et Hitler, un rapport paranoïaque"). Mais au moins le titre de livre son livre est très bien trouvé.

Contrairement à ce que, mal inspiré (inspiré par le malin ?) le romancier-dramaturge Eric-Emmanuel Schmitt a laissé entendre dans ses U-biographies ("Le visiteur" et "La part de l'Autre") Sigmund Freud n'était pas du tout un "être d'amour" mais un être habité par une haine projective. (E-E. Schmitt est apparemment, comme moi-même, qui avait quelques raisons de l'être depuis l'enfance, hanté par l'holocauste par les cruautés extraordinaires (diaboliques) dont les hommes très ordinaires sont capables, dès lors qu'ils croient servir une mission "supérieure" ou "divine".

Freud était à l'évidence paranoïaque (tout comme son alter ego il avait vécu ce que l'on appelle une "expérience primaire" par laquelle il s'était senti métamorphosé (les drougues qu'il prenait y étaient sans doute aussi pour quelque chose).

La haine qu'il éprouvait envers les malades était projective, c'est-à-dire qu'elle provenait de celle qu'il éprouvait "inconsciemment" à l'encontre de lui-même. Et s'il se complaisait à dire de lui-même qu'il était "hystérique", c'était pour mieux se la faire excuser tout en se masquant.

L'hystérie est d'ailleurs bien proche de la paranoïa.

Alors que je venais d'entrer en psychiatrie, je me souviens d'une malade que deux psychiatres chevronnés, le docteur Gashkel et un de ses collègues, dont j'ai oublié le nom, avaient présenté une jeune femme, selon eux un cas typique d'hystérie. Elle avait en effet trouvé le moyen - c'est-à-dire des chirurgiens - pour se faire ouvrir le ventre 67 fois pour des douleurs abdominales d'origine inconnue (un adage proféré par un psychiatre suédois énonce que, quand une malade qui souffre de douleurs abdominales est diagnostiquée hystérique et qu'elle en meurt, c'est qu'elle souffrait en réalité d'une porphyrie)

Non seulement Freud professait que les fous et les malades l'insupportaient, qu'ils ne servaient qu'à ses recherches et à le faire vivre, qu'ils n'étaient que des canailles, mais trouvait que le mieux serait d'en faire des cargaisons pour les couler.

C'est un programme que son double - le Diable ou "la part de l'Autre" - Adolfus devenu Adolf, mettra à exécution.

Reconnaissant ce qu'il doit au docteur Bloch et à Freud Hitler s'arrangera après l'annexion de l'Autriche à l'Allemagne pour leur faire parvenir un sauf conduit, via un certain Anton Sauerwald.

La très naïve Eliette Abécassis, sous l'influence de sa mère, courroucée par la parution d'un livre sur Freud "La liste de Freud", où Freud n'est pas présenté sous un jour très flatteur, lui fera écrire "Un secret de Freud".

Certes Freud avait intérêt à ne pas tout dévoiler, mais le secret qu'elle invente ne tient pas debout.

Le secret à ne pas révéler est-il contenu dans ce qui n'est pas permis de savoir avant 2113. Que Hitler ait été un des patients trop "réussi" de Freud, il paraît à Claude Lanzman préférable de ne pas parler.

Il n'est pas indifférent de noter qu'à partir du moment ou se précisait les menaces qu'Adolf Hitler, disciple de Sigmund Freud, faisait courir à la démocratie allenande Freud ait éprouvé le besoin de publier "Malaise dans la culture" (on notera aussi que ce texte avait été publié en France sous le titre "Malaise dans la civilisation" alors qu'y était sinon généralement admis du moins répété à l'envie la thèse "freudienne" que c'était la prohitiion de l'inceste qui avait permis la civilisation. Mal renseigné ou de mauvaise foi les zélotes de Freud ne voulaient pas savoir que l'inceste est omniprésent chez les humains alors que les animaux, comme l'a pointé Konrad Lorenz, l'évitent instinctivement !


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Hitler a par la suite tout fait pour en détruire les traces.

La génétique a depuis pu en apporter la preuve. En mai 2010, le Figaro et d'autres journaux ont fait état d'études génétiques qui le démontrent.

Prétendre que Sigismund Freud avait pris Adolf Hitler en "cure" en 1908, et que cette "cure" a eu les conséquences que l'on sait paraît a priori une incongruité, sinon totalement absurde.

Et pourtant il y a lieu de penser qu'il l'ait fait à la demande du docteur Eduard Bloch, son médecin de famille à la suite du décès de sa mère, survenue en décembre 1907. Le docteur Bloch, qui était aussi le cousin de Franz Kafka avait soigné sa mère, victime d'un cancer du sein, et son décès avait plongé son fils dans une profonde détresse.

En tant que de longue date le médecin de la famille Hitler, le docteur Bloch devait très certainement connaître les secrets antécédents de cette famille,à savoir qu' Anne-Maria Schicklegrüber, la mère d'Aloïs Hitler, travaillait chez le baron de Rotschild quand elle tombée enceinte et renvoyée chez elle à Spital, sa ville natale, moyennant une importante pension provenant d'un certain Frankenheimer et d'un certain Frankenberger, qui n'ont jamais existé, d'après les longues recherches effectuées par Ron Rosenbaum, qui les a relatées en 1996 dans un livre paru en France en 1998, que Claude Lanzman, l'ex secrétaire de Jean-Paul Sartre aurait préféré voué aux oubliettes, on se demande pourquoi, sinon que ledit Baron était doté d'un appétit sexuel insatiable, qui faisait qu'il ne pouvait s'empêcher de le satisfaire à la façon d'un certain DSK.

Le livre de Ron Rosenbaum (paru en traduction française en 1998 chez Jean-Claude Lattès ayant été publié bien avant que n'éclate l'affaire Natissato Diallo, l'auteur n'a évidemment pas pu s'en inspirer, mais il est paru en même temps que paraissait le livre de Brigitte Hamann "La Vienne d'Hitler", dans lequel cette historienne que le jeune homme ne pouvait s'empêcher de faire le coup poing quand il était au lycée à Linz et plus tard alors qu'il logeait dans une pension pour travailleurs pauvres à Vienne contre tout ceux qui tenaient des propos antisémites §

Il est évident qu'il savait ses hautes nobles origines, le jeune Adolfus Hitler.

Aussi n'y a -t-il rien d'étonnant à ce Sigismund Freud ait accepté compte tenu de ses antécédents, rapportés par le docteur Bloch, qui avait le jeune homme en affection, de le prendre en cure, compte tenu aussi que Freud ne s'intéressait guère qu'aux patient-e-s fortuné-e-s ou promis-e-s à une très grande fortune, quitte à arranger les divorces et les remariages pour qu'ils ou elles le deviennent (lire Jacques Bénesteau, "Mensonges freudiens" Mardaga 2002, "Freud et la psychanalyse", Qui étaient les patients de Freud, p. 79 - 86, aux éditions Sciences Humaines" en décembre 2015.

On notera que c'est seulement à partir de 2008, donc après qu'il a pris le jeune Adolfus Hitler en cure que Freud avance le concept de "roman familial du névrosé" par lequel il prétend que les "névrosés" s'inventent de "hautes origines", et que de même il invente celui de Complexe d'Œdipe, sur les conseils et l'influence d'Ernest Jones, qui lui a conseillé de l'appliquer au cas ... d'Hamlet, paradigme d'Adolfus Hitler

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