L'affaire de "La grande alliance" ci-après exposée a trait aux tenants et aux aboutissants d'un fonctionnement complotiste qui, en cours de route, a foiré et a de ce fait failli rater son but : l'élimination d'un malade devenu à plus d'un titre encombrant
1° pour l'AP-HP (il avait été transfusé à l'hôpital Saint-Louis en avril 1984 à l'époque où quasiment toutes les transfusions étaient empoisonnées par le VIH et avaient contaminé 35.000 patients) et
2° pour la direction de la Clinique Léon Elmelik et ses protecteurs parce que depuis la fin des années 1980 celle-ci s'était spécialisée dans "les soins de suite" et était de ce fait très utile aux hôpitaux de l'AP -HP en les débarrassant des malades devenus pour ces raisons embarrassants. Un rôle qui sera après son changement de propriétaires dévolu au CHU de Mantes la Jolie, où Christine Malèvre tiendra le rôle que son Chef de Service le Dr. Olivier Ille avait fait tenir à l'hôpital Charles-Foix au Dr. Jean-Yves Beinis en lui passant la consigne de ses patrons de ne surtout pas administrer au malade qui lui était adressé le traitement de la maladie pour laquelle il avait été hospitalisé (alors que et parce que) celle-ci est inéluctablement mortelle sans son traitement spécifique.
9 juin 2021 En termes médicaux, la sidération est l'anéantissement soudain des fonctions vitales sous l'effet d'un choc émotionnel intense. Lors d'une agression, notamment d'ordre sexuel, des mécanismes psychologiques et neurobiologiques se mettent en place chez la victime ...
Ce ratage a tout de même fini par porter ses fruits en réunissant des organismes qui au départ étaient, pour des raisons historiques datant de l'occupation allemande, très peu portés à faire cause commune, s'agissant du CNOM, le Conseil National de l'Ordre des Médecins, instauré sous le régime de Vichy le 7 octobre 1940 sous le nom de Conseil Supérieur de la Médecine avant de s'appeler le Conseil National de l'Ordre des Médecins en Juillet 1943, et de l'AMIF, l'Association des Médecins Israélites de France, créée en 1948 pour combattre l'antisémitisme dans le milieu médical, deux organismes antagonistes qui ont en ces circonstances particulières trouvé opportun de faire cause commune.
En témoigne la préface du professeur Bernard Glorion, le président du CNOM, au livre de l'actuel vice-président de la Licra, le docteur Bruno Halioua, qui jusqu'alors ne s'était pas permis de publier l'histoire du comportement de l'Ordre des Médecins sous l'occupation, comme il l'écrit lui-même, à cause de l'omerta médicale.
"Blouses blanches, étoites jaunes" a ainsi pu paraître en décembre 1999 chez Liana Lévy après autorisation sur l'incitation expresse de certains de ses pairs, apparemment sans qu'il sache exactement que c'était en échange de singuliers services.
Avait-il seulement cherché à savoir lesquels ?
Non seulement il avait été autorisé à publier son livre, mais il y avait été poussé, ainsi qu'il l'avoue lui-même en postface pour se justifier, voir pour se faire pardonner son allégeance au CNOM : "Sans Bernard Weber, je n'aurais jamais osé porter mon manuscrit chez un éditeur" (cité de mémoire en attendant que retrouve son livre)
Les déterminants sont nombreux mais ce qui l'a conduit à devenir sidérante peut être résumé en quelques lignes.
Conduit dans la soirée du 31 juillet 1990 aux Urgences de l'hôpital Bicêtre par le SAMU 94 parce que ses voisins avaient fait appel à Police secours mon père a le surlendemain été admis dans le Service de neurologie du Pr. Gérard Saïd sur le diagnostic de maladie de Biermer clairement porté par les Urgentistes des Lits-Portes devant un tableau clinique de SCM.
Mais contre toute attente, mon père n'en a pas reçu le traitement. Jusqu'au 10 septembre seulement un simulacre lui avait été administré par les neurologues de ce Service pour me faire croire, à moi qui suis médecin, qu'il le recevait vraiment alors que la maladie de Biermer est à court terme inéluctablement mortelle sans son traitement spécifique. C'est d'ailleurs pourquoi la maladie de Biermet fait partie des urgences médicales.
Comme l'affaire met en cause de gros poissons, nombreux sont ceux qui sont intervenu pour bloquer le cours de la plainte qui s'en est suivie en noyant les sous-produits de magouilles brûlantes, telles les archives de la mairie de La Haÿ-les-Roses, qui malgré les contre-feux ont spontanément pris feu dans la nuit du 30 juin au 1er juillet 2002 tellement elles étaient restées brûlantes ! Cf. le blog de leon - le mystérieux incendie qui a ravagé les archives de la mairie …
https://www.leparisien.fr/paris-75/violent-incendie-a-la-mairie-de-l'haÿ-les-roses
C'est qu'à La Haÿ-les-Roses, sous-préfecture du Val-de-Marne, des exactions médicales à haut potentiel mortifère, mais qui ne s'étaient pas, par miracle*, soldées par la mort de mon père alors qu'il était âgé de 79 ans et déjà très affaibli par une maladie qui était en train de le miner physiquement et mentalement sans qu'elle ait encore été identifiée, ont été perpétrées en 1990 à l'ex Clinique Léon Elmelik par ses médecins actionnaires, bien connus du SAMU 94 pour être des Pieds Nickelés, sans qu'ils aient chercher à déterminer la cause de son affaiblissement.
En chercher la cause était le cadet de leurs soucis, puisqu'ils avaient intérêt non seulement à ce que son état mental reste ce qu'il était, mais qu'il survive en vue d'autres prédations à réaliser en liaison avec Marc Méchain, le maire "socialiste" de cette sous-préfecture.
Ces prédateurs avaient profiter de ce qu'il avait perdu une grande partie de son sens critique, une perte qui était en rapport avec une maladie pernicieuse en train de le miner depuis quelques mois mais dont le diagnostic n'avait pas encore été fait. Une perte qui était cependant bien trop rapidement survenue pour être attribuable à la maladie d'Alzheimer, ce que se sont portant empressés de faire les neurologues de l'hôpital Bicêtre quand le Chef de Clinique Pascal Masnou m'a déclaré que dans l'état où se trouvait mon père il valait mieux, pour lui comme pour moi (sic), qu'il ne s'y éternise pas trop longtemps, alors que son Service avait fait qu'il fallait pour que son état soit "de toute façon voué à une inéluctable et rapide plus grande aggravation" (sic, pour employer l'expression du VCef de Clinique, rapportée telle quelle dans l'expertise que le neurologue François Chedru a rédigé pour satisfaire cesros poissons) et le faisant administrer du Prozac* à la place du traitement de la maladie de Biermer, pour laquelle les Urgentistes des Lits-Portes de l'hôpital avaient demandé son admission en neurologie dix jours plus tôt.
Lui refaire les pieds et qu'il en sorte les pieds devant n'était surtout pas le but de la double opération orthopédique que les pieds nickelés lui avaient subrepticement infligé sans prévenir après lui avoir fait subir sans plus le prévenir une anesthésie générale.
Leur intention n'était pas de l'envoyer ad patres, puisqu'au contraire il fallait qu'il survive et soit satisfait de la réfection de ses pieds, une opération présentée après coup par les pieds nickelés comme avoir été une opération esthétique, m'a rapporté Me Catherine Scotto-Derouet (pour justifier un après-coût majoré de 75% ?), ce qui, selon celle-ci, renvoyait la responsabilité des actes à l'opéré, alors que mon père avait mis les pieds dans cette Clinique pour qu'on le débarrasse d'un cor douloureux qui s'était développé sur le sommet d'un orteil en marteau, une IPP curieusement cotée K 20 sur le "bon d'hospitalisation" que le rhumatologue Antoine Denis avait demandé à mon père de me présenter pour que j'autorise cette petite intervention parce que j'avais été le prévenir de ne rien faire de ce qui lui avait précédemment proposé en lui en détaillant les nombreuses raisons. L'idée aurait alors dû m'éffleurer que c'était un piège. Je me rappelle d'aulleurs qu'elle m'avait éffleuré et que je l'avais refoulée, pour ne pas paraître à mes propres yeux trop paranoïaque. Mais j'ignorais alors, je ne l'ai appris qu'en novembre 1997 à la lecture de la contre expertise très accablante pour l'opérateur, le Dr. Yves Dano y rapportant qu'Antoine Denis avait donné ce Bon bidon lors d'une consultation faite à titre gratuit le 30 mars 1990n c'est-à-dire peu APRES que je suis allé le trouver pour lui dire de s'abstenir de tout acte majeur, un Bon jamais retrouvé après l'opération, au cours de laquelle le K 20 s'est commué en un : K60 + 60/2 + 50 + 75 %. + K20 + des ingrédients relatifs aux inévitables complications de cette acte aussi insensé que sidérant !
Mais mais mon père avait aussi et surtout été remettre les pieds dans cette Clinique de Pieds Nickelés parce que, devenu cérébraement "marteau" autant que son orteil, il voulait que la vérité lui soit dite au sujet de douleurs réelles éprouvées dans la hanche, des douleurs que de façon délirante il interprétait comme dues à un cancer des os développé à partir de la prothèse de hanche qui lui avait été placée en avril 1984 dans le Service de chirurgie orthopédique du Pr. Jacques Witvoët à l'hôpital Saint-Louis.
Mon pére s'était mis à imaginer que moi et le chirurgien qui avait placé la prothèse nous cherchions à lui cacher qu'il avait développé un "cancer" à partir de sa prothèse, moi parce c'était moi qui l'avait adressé au Pr. Witvoët et le Pr. Wiitvoët parce que c'était lui qui l'avait opéré.
Marc Méchain était de longue date un grand ami des propriétaires de la Clinique de Pieds Nickelés
Marc Méchain, nouvellement devenu le maire de l'Haÿ-les-Roses après le soudain décès de Pierre Tabanou en juin 1989 ne pouvait pas ne pas s'être rendu compte lorsque mon père est venu le trouver pour lui demander le service que Pierre Dauptain, notaire à Cachan (94230), lui avait à juste titre refusé pour des raisons évidentes en raison de son illégalité et dont je déplore qu'il n'ait pas cherché à faire en sorte que j'en sois averti alors que j'étais concerné. Mon père en avait informé ma sœur mais celle-ci s'était stupidement gardée de m'en faire part, du moins avant le drame qui allait s'en suivre était au m'en avoir soufflé mot. dont mon père m'a tenu informé que bien après qu'il a recouvré sa lucidité l'année suivante, sous l'effet du traitement de la maladie qui la lui avait ôtée. Un traitement qu'il m'avait fallu lui administrer moi-même après qu'il lui avait été refusé par les neurologues de l'hôpital Bicêtre et le docteur Jean-Yves Beinis à l'hôpital Charles-Foix (Cf. infra et les autres articles de ce blog commencé en août 2009)
* C'était le premier "miracle" et le moins extraordinaire de ceux qui allaient suivre et se produire en séries plus ou moins indépendantes les unes des autres, en conséquences de ce premier "miracle".
Ceux-là ont été encore plus stupéfiants, mais n'ont pas réussi éclipser totalement le premier malgré la débauche de moyens inventés et mis en œuvre pour y parvenir, qui ont demandé l'alliance, ou plus exactement la collaboration de l'AMIF (l'Association des Médecins Israélites de France, toujours présidée par le docteur Bruno Halioua, dermatologue et historien de la médecine) avec le CNOM (le Conseil National de l'Ordre des Médecins, à l'époque présidé par le professeur Bernard Glorion, pédo-chirurgien).
Collaboration est un terme qui convient mieux parce que ces deux organismes communautaristes ne pouvaient faire cause commune que mues par des nécessités impérieuses après que, contre toute attente, Christine Malèvre s'est glorifiée de pouvoir livrer à la connaissance de tous la trentaine d'euthanasies dites compassionnelles qu'elle avait réussi à prodiguer aux malades du Service de neuropneumologie de son bel Olivier Ille au CHU de Mantes la Jolie, sans que celui-ci ait daigné s'en apercevoir. Il avait fallu ce ce soit sa collègue pneumologue qui le fasse à sa place, ce qui lui vaudra de perdre la sienne alors qu'Olivier Ille a ainsi pu sauvegarder la sienne.
Ses euthanasies avaient qui fait suite à celle que les neurologues du Service du professeur Gérard Saïd, lors membre éminent de l'IFREM (l'Institut de Formtion et de Recherche en Éthique Médicale) et par conséquent de l'AMIF, avaient chargé le très catholique Olivier Ille de faire faire au gériatre Jean Yves Beinis, médecin Chef de l'Unité de Soins Normalisés de l'hôpital Charles-Foix, où l'on avait pensé qu'il aurait été plus naturel et donc banal de mourir plutôt que dans le leur, en neurologie, à l'hôpital Bicêtre.
Mais il s'est trouvé que par malchance par ma faute et celle des infirmières de l'Unité de Soins Normalisés, mon père avait, par miracle, échappé au tragique destin qui lui avait si savamment été tricoté par les neurologues du Service du Pr. Gérard Saïd à l'hôpital Bicêtre.
C'est que mon père avait eu la très mauvaise idée d'y remettre les pieds en 1990 malgré mes insistantes recommandations à ne surtout pas y retourner.
Mon père était bien mon père et je n'en ai jamais douté malgré la légende freudienne qui l'on s'invente des parents plus prestigieux que ceux que l'on a et malgré ce qu'avait pu m'en dire un Confrère psychanalyste bien au fait de ce que cache les violences parentales. J'avais été le voir après avoir lu "La violence impensable", parue en que mon père s'est sorti vivant du guet-apens qui lui avait été tendu - pour ne pas dire qu'il s'y était fourré puisque je l'avais averti ne surtout y aller. J'avais été, pour les lui éviter (les exactions, pas les miracles !) jusqu'à prendre la précaution d'aller prévenir le Dr. Antoine Denis,le-podologue-rhumatologue-non-véritablement-chirurgien-orthopédique-mais-qui-se-prenait-et-avait-réussi-à-se-faire-passer-pour-tel-et-pour-professeur-au-moins-auprès-de-sa-consoeur-Nathalie-Ghidalia-à-la-Clinique-Léon-Elmelik-qui-l'avait-cru-alors-qu'il-tirait-parti-de-ce-que-le-sucesseur-du-professeur-Jean-Arnous-proctologue-renommé-de-l'hôpital-Leopold-Bellan-où-j'ai-pratiqué-l'orthopédie-et-rencontré-ma-future-épouse-en-1968-était-un-homonyme-peut-être-son-frère-ou-un-cousin-jalousé, qui lui avait proposé, en avril 1989, une dangereuse opération orthopédique, de ne surtout pas toucher à mon père, premièrement parce que je savais mon père bien trop malade sur le plan cardio-vasculaire et neurologique pour faire les frais de l'opération envisagée et deuxièmement parce que je savais de bonne source - par le directeur du SAMU 94 le Pr. Pierre Huguenard, que je connaissais depuis 1970 - que les Elmelik et leur Clinique étaient très peu recommandables, pour ne pas dire infréquentables. Que leur Clinique était la Clinique des pieds nickelés"
Voir l'article précédent et celui mis en ligne le 12 août 2021 - le blog de leon "Les pieds nickelés protégés en haut.x lieu.x"
Peu après qu'elles ont été commises j'ai appris d'une autre source digne de foi - par le Principal du Commissariat de l'Haÿ-les-Roses le Commandant Christian Raeckelboom - qui allait dans le même sens, qui m'avait averti de ce que ses médecins pouvaient y faire ce qu'ils voulaient, y compris violer les parturientes - c'était là la spécialité du docteur Jean-Claude Elmelik - parce qu'ils se savaient "protégés en haut.s lieu.x", ce qui faisait que toutes les plaintes à leur encontre étaient "bloquées au parquet".
C'est sans doute pourquoi leurs exactions ont été relayées à l'hôpital Bicêtre dans le Service de neurologie du professeur Gérard Saïd puis à l'hôpital Charles-Foix dans le Service gériatrique du docteur Jean-Yves Beinis par des exactions médicales non moins mortifères, mais celles-ci manifestement tricotées pour camoufler les premières par la disparition apparemment inévitable du malade du fait d'avoir décrété que sa maladie relevait d'une DTA (démence de type Alzheimer) "de toute façon vouée à une inéluctable plus grande aggravation", dixit le Chef de Clinique Pascal Masnou après seulement une dizaine de jours d'une hospitalisation au cours de laquelle un faux-semblant de traitement de la maladie de Biermer, pour laquelle pourtant l'admission de mon père en neurologie avait été pertinemment demandée par les Urgentistes à son passage aux Lits-Portes de l'hôpital Bicêtre.
Les neurologues du Service du Pr. Gérard Saïd avaient ainsi fait semblant de faire administrer au rescapé de la Clinique des pieds nickelés le traitement qu'il fallait lui faire impérativement pour qu'il puisse survivre à sa maladie, en l'occurrence celui de la maladie de Biermer, la maladie qui avait tout de suite été pertinemment portée devant moi dans la soirée du 31 juillet 1990 par Antoine Moulonguet, alors Urgentiste aux Lits-Portes de l'hôpital Bicêtre.
Ces exactions et les embrouilles qui s'en suivirent jusque dans les années 2000 ont tant bien que mal été rapportées depuis août 2009 sur le blog de leon dans de nombreux articles, dont celui-ci. Ils sont à raccorder les uns aux autres.
Bien qu'elles aient été ratées? et ratées "par ma faute", parce qu'elles étaient intentionnellement mortelles et qu'elles eurent lieu en 1990, ces exactions restent d'actualité parce qu'elles illustrent comment l'Ordre des Médecins, l'AP-HP et l’État, de droit à gauche corrompu par une Justice aux ordres, s'y sont pris et entendus pour enrayer les procédures judiciaires engagées à l'encontre de leurs acteurs, "protégés en hauts lieux", selon ce que m'avait confié, au sujet de ceux contre qui mon père avait été en mesure de porter plainte, après qu'il a, contre toute attente, réussi à récupérer ses facultés cérébrale en se sortant miraculeusement vivant de tous les pièges qu'ils lui avaient, comme à moi, été tendus en 1990.
Pour contourner mon opposition à l'intervention chirurgicale qu'ils lui avaient proposé au cours du mois d'avril de l'année précédente (en raison de son inutilité et et de l' état de santé cardio vasculaire) les pieds nickelés lui avaient offert des consultions gratuites dans leur imparable Clinique.
Parce que c'est bien parce que ces Institutions étaient lourdement impliquées dans la survenue de ces exactions, donc parce qu'elles y étaient - et y sont toujours - juges et parties.
Les Institutions responsables se sont ingéniées à les rendre incroyables malgré leur réalité; il s'était en 1997 trouvé qu'un grand nombre avaient été démasquées pour avaoir été dénoncées
Le procédé dont on s'est servi pour les occulter avait fait ses preuves : c'était celui dont s'étaient servi, avec le succès que l'on sait, le professeur Sigmund Freud pour faire passer les exactions sexuelles commises par des adultes sur des enfants pour des réalités imaginaires. C'est ainsi qu'à été inventé la théorie des fantasmes œdipiens,
La mise au point de cette théorie pseudo scientifique avait été faite en 1906 à l'instigation du Dr. Ernest Jones, qui avait dû fuir l'Angleterre à cause de celles qu'il était accusé d'avoir commises dans l'exercice de ses fonctions de psychiatre.
A l'instigation du professeur et Chef de Service Gérard Saïd, l'un des premiers responsables de ces écarts à la déontologie médicale fut en 1995 la création à l' hôpital Bicêtre puis à l'hôpital Saint-Louis d'une Chaire d'enseignement de l'éthique médicale appelée Espace Éthique de l'AP-HP, les écarts éthiques mortifères commis dans certains hôpitaux de l'AP-HP, tels celui d'abord commis l'hôpital Bicêtre Charles-Foix au CHU de Mantes la Jolie ont fini par être ébruités et se sont répandus dans la Presse par la faute d'une pneumologue, le Dre Laurence Kouyoumdjian, qui n'a pas respecté la loi du silence ont à voir "l'affaire du sang contaminé", ont trouvé une bouche émissaire, qui s'est vite auto désignée pour prendre les fautes sur elle
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Cette semaine à France-Culture, c'est-à-dire hier matin à l'heure ou j'écris ces lignes, l'émission "Avec philosophie", animée par la philosophe et politologue journalistique Géraldine Muhlmann, diffusée de 10h à 11h entre les chroniques souvent captivantes de "Le pourquoi du comment", des philosophes Daniel Noiriel et Frédéric Worms, qui sont diffusées habituellement aux heures susdites, portait sur l'IRONIE, qui condense en son nom IRE et HONNIE, comme si la colère devait être honnie quand bien même elle serait légitime !
C'est que l'ironie est pour moi une question qui me titille depuis que le docteur Michel Serdaru, neurologue émérite de la FFN (de ce qui s'appelait en 1992 la Fédération Française de Neurologie avant ses curieux changements de dénominations à partir du milieu des années 1990) a lu, en 1992, le stupéfiant compte-rendu de l'hospitalisation de mon père en neurologie dans le Service du Pr. Gérard Saïd au cour de laquelle il n'avait sciemment pas été tenu compte de mes observations cliniques tout en ayant fait semblant d'en avoir tenu compte, et cela alors que je suis médecin, pas plus que de mon avis sur ce qu'il y avait à faire pour que mon père se rétablisse rapidement en récupérant ses facultés cérébrales et son autonomie, malgré les données apparemment compromettantes du test de Schilling et de la vitaminémie B12.
C'est ainsi que privé d'un traitement adéquat mon père avait finit par sombrer dans un coma carus qui faillit être terminal dans le Service du Dr. Jean-Yves Beinis.
Le Dr. Beinis fut visiblement contrarié du rapide rétablissement de son malade après que je me suis permis de mettre moi-même vraiment en route le traitement que j'avais depuis le début préconisé et que l'on avait, à l'hôpital Bicêtre comme à l'hôpital Charles-Foix durant plus cinq semaines fait que semblant d'appliquer.
Le CR de l'hospitalisation de mon père à Bicêtre m'avait été remis sans aucune réticence parce que tout en paraissant être un rapport objectif des réalités cliniques il avait été rédigé dans l'après coup de façon à occulter sans qu'il y paraisse, pour qui n'est pas du sérail, la tentative savamment ourdie, mais qui avait miraculeusement échouée pour que mon père s'en sorte "naturellement" les pieds devant dans le Service gériatrique du docteur Jean-Yves Beinis, où il est banal de terminer ses jours.
Elle avait ratée "par ma faute", et l'Ordre des médecins me l'a, avec Patrice Bodenan°°° fait payé, qui a réclamé contre moi l'application de l'article L 260 du CSP (Cf. sur le Net sa lettre manuscrite datée du 10 janvier 1994 de demande au le Dr. Jean Penneau °°° le président du Conseil disciplinaire de l'Ordre des Médecins de l'Île-de-France )
Il aurait fallu que les neurologues de Bicêtre aient un intérêt à la disparition de mon père, objectera-t-on ! Or il y en avait un, et même plus d'un, ainsi que l'on en aura la démonstration sept ans plus tard quand d'autres malades seront expédiés ad patres sous l'égide du même Olivier Ille.
Le CR est signé de l'Interne Olivier Ille, mais est-ce bien lui qui l'a si subtilement malignement rédigé ?
Je ne me souviens plus si c'était tout en le lisant ou après qu'il l'a lu que le docteur Serdaru a levé les yeux vers moi pour me demander, avec un petit sourire, "êtes-vous bien sûr que votre père a eu affaire à de vrais médecins" ?
J'ai emprunté l'expression "le milieu des années 1990" aux Prs. Emmanuel Andrès & al., Internistes des hôpitaux de Strasbourg.
Géraldine Muhlmann, même si elle n'en sait rien, a par sa mère, médecin anesthésiste et ex directrice du SAMU 67 dans les années 1990, à voir avec les problèmes qui nous occupaient et nous occuperont toujours depuis que les hôpitaux de l'AP-HP ont fait semblant de ne pas savoir ce que les Drs. E. Andrès & al., avaient découvert dans ce qu'ils disent être "le milieu des années 1990".
Ils avaient alors publié au sujet des troubles neurologiques provoqués les "carences vitaminiques B12 avec test de Schilling normal chez 60 personnes âgées" dans La "Presse médicale" (aux Masson) avant d'appeler en 2003 les troubles liés à ces carences "syndromes NDB12PP" à cause de l'arrêt de la commercialisation du test de Schilling.
Dans le Service du Pr. Gérard Saïd, le test de Schilling a été remplacer en 1991 par le test Dicopac* pour gagner 12 ou 24 heures sur le traitement à appliquer à la maladie de Biermer, qui au même titre que les AVC fait partie des urgences médicales.
Pourtant son Service de neurologie s'était en 1990 délibérément permis de perdre plusieurs semaines au sujet du traitement de la maladie de mon père, qui avait été correctement devant moi diagnostiquée maladie de Biermer par les Urgentistes aux Lits-Portes de l'hôpital Bicêtre ...
... mais je tombe de sommeil et terminerai plus tard ce que j'ai à d'IRE ...
En attendant la suite, on peut prendre connaissance de ces problèmes après les encarts publicitaires à "Peut-on être complotiste sans le savoir", puis en les poursuivant jusqu'à "P'IRE qu'à Orpéa ", et pire encore, jusqu'à "Maltraitances aux personnes âgées", publié en août 2009, pour faire suite à la déclaration du président Nicolas Sarkozy, qui avait dit que enterrement des affaires dites "sensibles" n'était plus possible depuis l'avènement d'Internet ...
Ah !
En psychiatrie, ce qui s'appelle la psychopathie, n'est plus à considérer comme une maladie mentale, puisque c'est un "mécanisme de survie" dans monde où il faut se battre pour survivre.
C'est ainsi que tricher, mentir, voler et tuer, du moment où l'on sait avoir les moyens de dissimuler les faits, sont devenus des conduites saines, et celui qui cherche à révéler les faits un empêcheur de faire librement des couacs, et donc un malade mental.
Ainsi se justifie l'accusation portée contre moi en juillet 2004 par la direction de l'hôpital Bicêtre et le professeur Gérard Saïd via madame Isabelle Pilot leur porte-parole, d'avoir "moi-même en 1990 sciemment 'fabriqué' la maladie de mon père par antisémitisme" puisque j'avais demandé à la CADA d'intervenir pour que me soit communiqué le dossier de l'hospitalisation de mon père dans le Service du professeur Gérard Saïd en 1990, dossier déclaré perdu par ladite direction depuis le premier jour.
Il m'avait été promis le 24 septembre de cette année-là par le Pr. Gérard Saïd, devant le psychiatre Patrick Hardy et madame Pilot venus à son secours que cette affaire "allait finir devant les tribunaux".
ça ne serait pas du luxe, puisqu'en vertu de l'article 40 de CP, c'est une obligation pour un médecin du Service publique de signaler les crimes dont il a pris connaissance dans l'exercice de ses fonctions, mais j'attends toujours !
Mais alors se demandera-t-on, pourquoi Christine Malèvre, qui, sous l'égide de son Olivier Ille adoré, qui par le passé fut celui qui avait le 22 août 1990 passé par écrit la consigne au Dr. Jean-Yves Beinis, de ne faire que semblant d'administrer à mon père le traitement de la maladie de Biermer, a-t-elle été condamnée à 12 ans d'emprisonnement ?
Mais parce qu'elle n'avait pas su faire en sorte que cela ne soit pas révéler. C'est la révélation de faits destinés à jeter aux oubliettes qui est fautive.
C'est aussi pourquoi le Dre. Laurence Kouyoumdjian, qui avait au CHU de Mantes la Jolie dénoncé les assassinats de malades perpétrés par Christine Malèvre dans le Service de pneumo-neurologie du Dr. Olivier Ille, n'a pas été félicité de les avoir fait cesser en les dénonçant, mais priée d'aller exercer ses talents de dénonciatrice ailleurs (dans un Ephad de l'Orne) alors qu'Olivier Ille est toujours en place., lui qui n'avait rien voulu voir et qui milite au très catholique mouvement "Amour & Vérité", à l'imitation du Pr. Gérard Saïd, militant de l'ex IFREM (Institut de Formation et de Recherche en Ethique Médicale juive), qui éditeur de la Revue Médica Judaïca.
Un Institut qui a trouvé opportun de cesser de paraître en 2014, avec la liste de sa centaine d'adhérents, en même temps que disparaissait la publication sur Internet du Mémoire de DEA d'éthique médicale du Dr. °°° Patrice Bodenan soutenu en 1999.
Ledit Mémoire traitait des "Problèmes éthiques posés par les Commissions de de Conciliation hospitaliaires".
Il y est stipulé que le devoir des Directeurs d'Etablissements hospitaliers est de veiller à l'équilibre financier de leur établissement, quand bien même ce ne serait pas dans l'intérêt des malades hospitalisés.
Son Mémoire pour l'obtention d'un DEA d'éthique médicale était parrainé et a apparemment été adoubé par le professeur Christian Hervé °°° et le CNOM puisqu'il n'a pas empêché mais permis au Frère °°° Patrice Bodenan d'obtenir de l'Ordre des médecins la présidence du Conseil Disciplinaire de l'Ordre Régional des Médecins de l'Île-de-France au début des années 2000.