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27 avril 2023 4 27 /04 /avril /2023 20:01

A cette époque, dans les années de l'après guerre, la maison où, à l'âge de 7 ans, j'avais été accueilli un jour de grande fête dans la soirée de je ne saurais dire quel jour se trouvait à Katrineholm.

En y repensant, je me demande aujourd'hui si la fête célébrée n'était pas mon arrivée 

J'y étais arrivé après avoir passé deux ou trois semaines de mise en quarantaine à souffrir de vaccinations, de tests médicaux et de mesures diverses voir si j'étais finalement admissible à l'accueil dans une famille suédoise (c'était après avoir passé une dizaine de jours en France à Vitry sur Seine dans des bâtiments de briques rouges qui maintenant je crois sont un Lycée ? puis quelques jours (une une semaine ?)  dans le sud de la Suède, à Karskrona) se trouvait à Katrineholm, à cent-trente kilomètres à l'ouest de Stockholm,  située au n° 30 de la rue des Cultivateurs, une voie non goudronnée bordée de belle maisons et qui menait deux cents mètres plus loin à l'est sur un terrain de foot avant de devenir, via un crochet gauche suivi d'un crochet droit pour contourner le terrain de foot et la maison de retraite située derrière,  une route départementale à l'époque non goudronnée, qu'on appelait "Valla Vägen" donc pleine de cannelures transversales d'une largeur d'environ 25 centimètres rappelant l'aspect de la tôle ondulée. Elle menait ensuite sur Stockholm, situé cent trente kilomètres plus à l'ouest.

"tôle ondulée"  des routes non goudronnées - Science et vie

On entrait dans la maison en bois peinte en blanc après avoir ouvert le battant gauche d'un portail de bois peint en blanc.

 Le portail donnait sur un jardin clôturé d'une petite palissade en bois également peinte en blanc donnant sur Sandgatan, une petite rue non goudronnée menant à Storgatan, grande rue goudronnée sur laquelle les taxis déboulaient pour rejoindre la gare ferroviaire.

Après avoir ouvert le portail il fallait contourner la maison pour trouver  les quatre marches d'un petit escalier en bois qui menait à la petite véranda qui faisait office de sas avant le hall d'entré.

En face du séjour un grand jardin arborait légèrement à droite un grand pommier de pommes galas, une tonnelle munie d'une table  ronde en bois peinte en blanc et de  plus loin derrières vers le petit cabinet de campagne en bois attenant à une grande remise deux gigantesques poiriers jumeaux aux  bergamotes presque inaccessibles tellement elles étaient haut-perchées, et plus à gauche où il n'avait pas d'arbres de très nombreux framboisiers, des groseilliers et des cassissiers ... 

En 1969, dans les jours qui ont suivi la première fois que des hommes

Geo.fr https://www.geo.fr/histoire/apollo-11-et-les-premiers …

ont marché sur la lune, je suis retourné en Suède.

Ça faisait un peu plus de deux ans que l'usine marémotrice de la Rance avait commencé à fonctionné

 

 

... Je tombe de sommeil et vais aller me coucher

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24 avril 2023 1 24 /04 /avril /2023 14:06

Preuve en est que la personne qui a fait des expériences paranormales  est malgré ça resté un matérialiste invétéré, pour ne pas la dire matérialiste compulsive (invertébrée, aurait dit Coluche), ce sont les livres qu'elle lit et collectionne sans s'en débarrasser  les empilant dans ses armoires et les étagères de ses bibliothèques, qui n'en peuvent plus.

Feedback från paranormala erfarenheter hos en inveterat materialist
La place Victor-et-Hélène-Basch, anciennement mais encore parfois dénommée par l'usage « place d’Alésia » est une place du 14e arrondissement de Paris.
https://www.musee-orsay.fr/fr/oeuvres/dispensaire-furtado-heine-facade-principale-entree

"Les encombrent", ne cesse de lui répéter une amie à chaque fois qu'elle vient lui rendre visite. Elle ne manque pas alors de lui proposer de les trier pour savoir lesquels il vaudrait mieux qu'elle se débarrasse, puisqu'elle les a déjà lu, et d'aller avec lui les porter à la déchetterie !

Parce que cette personne est en réalité un homme, bien que quand elle avait 9 ans et qu'elle ne savait plus parler français la psychiatresse du Dispensaire pour enfants Furtado-Heine, situé rue Furtado-Heine,  dans le 14 e arrondissement de Paris (entre l'hôpital Broussais et l'église de la place d'Alésia, qui a changé de nom et s'appelle maintenant place Victor-et-Hélène-Basch.  Dispensaire Furtado-Heine. Façade principale, entrée - Paul Blondel | Musée d'Orsay (musee-orsay.fr)

La place Victor-et-Hélène-Basch, anciennement mais parfois dénommée par l'usage « place d’Alésia » est une place du 14e arrondissement de Paris.
https://www.musee-orsay.fr/fr/oeuvres/dispensaire-furtado-heine-facade-principale-entree

C'qui prouve  qu'il est très rapidement possible, même à un âge fusillé canonique avancé de para-normalement changer de genre. 

Et en plus de ses achats compulsifs de livres qu'ellil n'aura même pas  le temps de lire, ses achats non moins compulsifs des Cahiers de l'Afis qu'ellil s'empresse d'acheter dès leur parution, et d'autres Revues matérialistes comme Sciences et Avenir, Cerveau & psycho, sont non moins compulsifs.

Presque jamais (sauf une fois il y a quatre ans) "Inexploré", qu'elle s'est procuré, alors qu'il déteste les curetons, un magazine édité par l'INRESS, l'Institut de Recherche sur les Expériences Extraordinaires créé par l'ex  journaliste  matérialiste Stéphane Alix, qui a changé son fusil d'épaule pour avoir fait l'expérience d'une psychothérapies para-ordinaires à travers l'ingestion de champignons hallucinogènes, ainsi qu'il l'a  raconté dans un livre publié chez Albin Michel et paru plus récemment en Livre de poche sous le numéro 36660, un chiffre presque diabolique !

Lorsqu'ellil était ado, alors qu'ilell avait quatorze ans et qu'il était en classe de quatrième au Lycée Montaigne, j'avais malheureusement perdu la possibilité de retourner tous les étés en Suède à Katrineholm, dans l'agréable maison des Andersson durant les vacances scolaires.

Leur maison était une jolie maison située à l'orée de la ville, au bord de rue des Cultivateurs  (Bondegatan), une voie non goudronnée quasiment dénuée de magasins, à part la petite épicerie des sœurs Ekbom situé immédiatement à droite de l'entrée sur le même trottoir, et de l'autre côté sur le trottoir d'en face à une centaine de mètre plus à l'est une autre épicerie à l'enseigne de "Konsum".

 

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22 avril 2023 6 22 /04 /avril /2023 19:35

Mon père semblait, le soir du 10 septembre 1990 à 19h10, à l'âge de 79 ans, être arrivé au terme de son existence.

Il était alors hospitalisé à Ivry-sur-Seine dans une chambre de l'Unité de Soins Normalisés  gériatriques du Dr. Jean-Yves Beins à l'hôpital Charles-Foix

Depuis depuis une dizaine de jours il ne touchait plus aux plateaux-repas de l'hôpital, c'est pourquoi dans l'après-midi du mercredi 5 septembre, après être parti pour lui rendre visite, passant par le Kremlin-Bicêtre devant le magasin Leclerc et trouvant tout près une place de parking libre, j'en profite pour m'y arrêter avec l'idée de voir si dans ledit magasin je pourrais trouver quelque chose de facile à manger pour mon père. 

Quinze et dix-huit ans plus tôt, habitant à Villejuif, je m'y étais assez souvent arrêté pour acheter des petits pots d'aliments pour bébés pour mes filles, alors en bas-âge. Comme elles les avalaient alors sans faire la grimace, l'idée m'était naturellement venue de voir s'il n'allait pas en être de même avec mon père, qui, d'après les neurologues de l'hôpital Bicêtre, était retombé en enfance, puisqu'ils avaient porté les diagnostic de démence sénile au lieu de celui de maladie de Biermer, qu'à la suite des Urgentistes de l'hôpital Bicêtre que je leur avais pourtant dit qu'il fallait porter. 

Pour fêter les 26 ans de la découverte de leur effets extraordinaires, j'avais déjà rapporté le 9 septembre 2016 sur ce blog dans un article que j'avais trop agressivement titré "des petits pots pour bébés pour sauver la vie des vieux" alors que j'aurais sans doute mieux fait de l'intituler de façon plus civilisée "des petits pots d'aliments pour bébés ont des effets rajeunissants chez les personnes âgées".

Au lieu de le corriger je préfère l'exposer de façon moins traumatisante pour les médecins qui, en 1990 et les années suivantes, jusqu'en 2004, la dernière fois que j'ai eu affaire à eux, ont refusé d'admettre la réalité !   

Je regrette cependant, mais c'est parce que je n'attendais pas que manger le contenu de petits pots pour bébés puisse avoir cet effet puisque c'était seulement pour que mon père puisse reprendre des forces que je lui avais apporté ces petits pots tellement il était amaigri, de n'avoir pas pris la précaution de noter la marque du petit pot qui avait eu un tel effet. Blédina ou Gerber ? Depuis plus d'une semaine mon père ne touchait plus aux plateaux-repas de l'hôpital Charles-Foix. Il semblait à l'âge de 79 ans être arrivé au terme de son existence. 

Je ne sais si ça peut interpeler Yohan Demeure, un géographe du Web-magazine "sciencepost", un magazine qui se dit très  attaché à l'expertise des sciences, des découvertes et des innovations, afin de démêler le vrai du faux, puisque Yohan Demeure s'est intéressé à l'invention des petits pots d'aliments pour bébés, qu'il dit avoir été faite en 1928 aux États-Unis d'Amérique dans l'Etat du Michigan par Dorothée Gerber, l'épouse de Dan Gerber, un agriculteur qui, dans sa conserverie, a eu l'idée d'industrialiser l'invention domestique de son épouse, avec le succès que l'on sait. Depuis près d'un siècle il ne s'est pas démenti.    

Le plus étonnant dans notre propre découverte, mais c'est aussi le plus économique, c'est qu'il avait non pas fallu longuement essayer de nourrir l'individu cobaye avec plein de petits pots, mais qu'un seul petit pot avait produit ce miracle de le rajeunir de quatre ans en seulement quelques semaines. Un vrai coup de pot, car le cobaye était passé d'un stade très avancé de la maladie d'Alzheimer (tellement avancé que son MMSE n'était plus qu'à 0/30 du fait que le cobaye avait fini par sombrer dans un coma carus terminal).

Or on le sait maintenant, depuis que le Pr. Olivier Saint-Jean, gériatre à l'hôpital européen Georges Pompidou, ce que l'on appelle encore abusivement la maladie Alzheimer n'est pas vraiment une maladie, mais le processus normal et naturel du vieillissement des individus. 

La preuve ?

==>> Le cobaye était mon père, alors âgé de 79 ans. Les médecins qui l'avaient recueilli en neurologie à l'hôpital Bicêtre m'avaient dit de lui en août 1990, une dizaine de jours avant de le faire transférer en gériatrie ç l'hôpital Charles -Foix pour qu'il y termine ses jours (je les cite mot pour mot) qu'il était "de toute façon voué à une inéluctable plus grande aggravation" (dixit le neurologue Pascal Masnou, dont les paroles ont été répétées six ans plus tard mot pour mot par un autre médecin en conclusion de son expertise, le docteur François Chedru, lui aussi alors neurologue à l'AP-HP, mais sans y ajouter, comme l'avait fait le Dr. Pascal Masnou, "qu'il était par conséquent préférable, pour lui comme pour  moi,  qu'il ne survive pas très longtemps à cette aggravation".

Comme j'ai déjà raconté ce qui s'était passé après (comme avant) que mon père ait accepté d'ingurgiter le contenu du petit pot pour bébés présenté avec une petite cuillère je renvoie à cet article.

On accède facilement à ceux qui le complètent utilement en poursuivant la lecture de celui-ci après l'encart publicitaire (sur l'éthique de la médecine à l'AP-HP) et ainsi de suite. 

 

   

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15 avril 2023 6 15 /04 /avril /2023 00:32

Depuis plus d'une semaine mon père ne touchait plus aux plateaux-repas de l'hôpital Charles-Foix. Il semblait, en septembre 1990, à l'âge de 79 ans, être arrivé au terme de son existence.

Ce que je communique aujourd'hui a déjà été rapporté le 9 septembre 2016 sur ce blog dans un article que j'avais titré de façon trop abrupte "des petits pots pour bébés pour sauver la vie des vieux" alors que j'aurais sans doute mieux fait de l'intituler de façon plus civilisée "des petits pots d'aliments pour bébés ont des vertus rajeunissantes chez les personnes âgées";

Au lieu de le corriger j'expose de façon moins traumatique pour les médecins qui, en 1990, avaient refuser d'admettre la réalité !   

Je regrette cependant, mais c'est parce que je n'attendais pas qu'en manger puisse avoir cet effet puisque c'était seulement pour que mon père puisse reprendre des forces que je lui avais apporté ces petits pots tellement il était amaigri, de n'avoir pas pris la précaution de noter la marque du petit pot qui avait eu un tel effet. Blédina ou Gerber ? Depuis plus d'une semaine mon père ne touchait plus aux plateaux-repas de l'hôpital Charles-Foix. Il semblait à l'âge de 79 ans être arrivé au terme de son existence. 

Je ne sais si ça peut interpeler Yohan Demeure, un géographe du Web-magazine "sciencepost", un magazine qui se dit très  attaché à l'expertise des sciences, des découvertes et des innovations, afin de démêler le vrai du faux, puisque Yohan Demeure s'est intéressé à l'invention des petits pots d'aliments pour bébés, qu'il dit avoir été faite en 1928 aux États-Unis d'Amérique dans l'Etat du Michigan par Dorothée Gerber, l'épouse de Dan Gerber, un agriculteur qui, dans sa conserverie, a eu l'idée d'industrialiser l'invention domestique de son épouse, avec le succès que l'on sait. Depuis près d'un siècle il ne s'est pas démenti.    

Le plus étonnant dans notre propre découverte, mais c'est aussi le plus économique, c'est qu'il avait non pas fallu longuement essayer de nourrir l'individu cobaye avec plein de petits pots, mais qu'un seul petit pot avait produit ce miracle de le rajeunir de quatre ans en seulement quelques semaines. Un vrai coup de pot, car le cobaye était passé d'un stade très avancé de la maladie d'Alzheimer (tellement avancé que son MMSE n'était plus qu'à 0/30 du fait que le cobaye avait fini par sombrer dans un coma carus terminal).

Or on le sait maintenant, depuis que le Pr. Olivier Saint-Jean, gériatre à l'hôpital européen Georges Pompidou, ce que l'on appelle encore abusivement la maladie Alzheimer n'est pas vraiment une maladie, mais le processus normal et naturel du vieillissement des individus. 

La preuve ?

==>> Le cobaye était mon père, alors âgé de 79 ans. Les médecins qui l'avaient recueilli en neurologie à l'hôpital Bicêtre m'avaient dit de lui en août 1990, une dizaine de jours avant de le faire transférer en gériatrie ç l'hôpital Charles -Foix pour qu'il y termine ses jours (je les cite mot pour mot) qu'il était "de toute façon voué à une inéluctable plus grande aggravation" (dixit le neurologue Pascal Masnou, dont les paroles ont été répétées six ans plus tard mot pour mot par un autre médecin en conclusion de son expertise, le docteur François Chedru, lui aussi alors neurologue à l'AP-HP, mais sans y ajouter, comme l'avait fait le Dr. Pascal Masnou, "qu'il était par conséquent préférable, pour lui comme pour  moi,  qu'il ne survive pas très longtemps à cette aggravation".

Comme j'ai déjà raconté ce qui s'était passé après (comme avant) que mon père ait accepté d'ingurgiter le contenu du petit pot pour bébés présenté avec une petite cuillère je renvoie à cet article.

On accède facilement à ceux qui le complètent utilement en poursuivant la lecture de celui-ci après l'encart publicitaire (sur l'éthique de la médecine à l'AP-HP) et ainsi de suite. 

 

   

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29 mars 2023 3 29 /03 /mars /2023 14:57

NB : ajouté le 25 avril 2023.

Il n'est plus possible de continuer la lecture d'un article de ce blog en passant à l'article précédemment publié après l'encart publicitaire qui généralement le termine alors que ça l'était auparavant, et comme  ce que j'ai à faire savoir et à dénoncer met en cause des personnes de l'establisment statutairement censées être irréprochables puisqu'elles sont assermentées, il me faut de l'espace pour le faire de façon détaillée pour que ce que je dénonce puisse faire l'objet de vérifications par un  enquêteur soucieux de vérifier l'exactitude de faits et des événements allégués, qui sont tellement sidérants qu'ils sont a priori impossibles à croire.  C'est pourquoi  je suis obligé de renvoyer aux autres articles précédemment publiés sur ce blog;  

En 2006 le professeur Didier Sicard, en tant que président du CCNE (Comité Consultatif  National d’Éthique, auquel j'avais écrit) est l'auteur de "L'alibi éthique" (publié chez Plon, un livre qu'il aurait été plus réaliste d'intituler "L'imposture éthique") était forcément au courant de ce qui s'était passé d'inimaginable en 1990 à l'hôpital Bicêtre, où le 2 août mon père avait été admis en neurologie dans le Service du professeur Gérard Saïd après que, dans la soirée du 31 juillet, les urgentistes des Lits-Portes de cet hôpital ont diagnostiqué chez lui, au retour de l'hémogramme et en vertu de ce qu'ils avaient, en ma présence, constaté l'existence d'un tableau clinique de sclérose combinée de la moelle (épinière), un syndrome neuro-anémique en rapport avec la maladie de Biermer, et donc en rapport avec un profond déficit en vitamine B12.  Ce qui fut pour moi très rassurant puisque c'était très facile à traiter efficacement en recourant à l'administration de la vitamine B12 à fortes doses. Sauf que ...

... le Pr. Gérard Saïd était membre de l'IFREM  (Institut de Formation et de Recherche en Éthique Médicale juive).

L'IFREM, sous la direction du philosophe Emmanuel Hirsch, s'affichait sur le Web avec le nom de ses 150 et quelques membres. L'Institut éditait la revue Médica-Judaïca (מדיקה-יודאיקה) depuis les années 1980 ans et jusque vers les années 2010, avec évidemment Emmanuel Hirsch pour Rédacteur en Chef. 

A succédé à cette vertueuse publication La Revue Française d’Éthique Appliquée, dirigée par Paul-Loup Weil Dubuc,  docteur en philosophie politique, tant il est vrai que la démarche éthique est beaucoup plus en rapport avec l'économie politique du moment qu'avec la morale immanente ou transcendantale: ainsi sous le régime de Vichy l'éthique politique consistait-elle à collaborer avec l'Allemagne nazie et à faire la chasse aux Juifs, et sous la direction du Pr. Gérard Saïd à l'hôpital Bicêtre à ne faire que semblant d'administrer aux malades susceptibles de faire de l'ombre au CNTS comme aux médecins actionnaires de la Clinique Léon Elmelik le traitement de la maladie de Biermer, qui est une maladie mortelle sans son traitement spécifique, au prétexte mensonger qu'ils sont des déments Alzheimer "de toute façon voués à une inéluctable plus grande aggravation", et à accuser les médecins qui ont démontré la fausseté de ces assertions en faisant rater cette mise à mort en remplaçant le traitement de cette maladie par du Prozac* par le véritable traitement de la maladie de Biermer quand ils pu savoir par des indiscrétions contra éthiques que celui-ci n'avait pas été réellement administré.

Médica Judaïca était une Revue d’Éthique médicale qui déplorait en mars 1991 que les effets potentiellement létaux de l'abus de confiance, selon les principes de la "Gneva Daath", soient si peu pris en considération en France par les médecins. Cf. l'article du Pr Charles Msika, chirurgien orthopédiste, dans le n° 21 de Médica Judaïca paru en mars 1991. Cet article reprenait en fait les propos d'un article du JAMA  sur  le concept de Gneva Daath. Il m'avait évidemment interpelé après ce qu'au sujet de mon père j'avais vécu avec des médecins de  la Clinique Léon Elmelik, et peu après en conséquence avec les neurologues de l'hôpital Bicêtre et les gériatres de l'USN de l'hôpital Charles -Foix venus, contre toute attente de ma part, voler à leur secours en ne faisant que semblant de lui administrer son traitement salvateur. 

A partir de 2014 (à moins que ce soit bien avant) il n'a plus été possible de retrouver sur le Web l'organigramme de l'IFREM, disparu du paysage sans que l'on puisse savoir si c'est parce que l'institution a été dissoute.

L'article m'avait interpelé parce qu'il reprenait les propos d'un article du  JAMA sur le concept de Gneva Daath.

Toujours est-il qu'il n'y a aujourd'hui plus de trace de cette Revue sur le Web alors qu'il était encore possible l'an dernier d'en commander certains numéros via Rakuten 

Sous l'impulsion du professeur Gérard Saïd, médecin Chef du Service de neurologie de l'hôpital Bicêtre et membre éminent de l'institution, Emmanuel Hirsch a été en 1995 - allez savoir si c'était opportun- installé par la direction de l'hôpital Bicêtre à la tête de l'Espace Éthique de l'AP-HP, une Chaire d'enseignement de l'éthique médicale.

Le Pr. Gérard Saïd s'était entendu avec la direction du CHU de Bicêtre  et sans doute aussi avec celle de l'AP -HP pour installer Emmanuel Hirsch à la tête de l'Espace Ethique de l'AP-HP, en principe pour enseigner l'éthique médicale, en réalité pour noyer par un flot de propos vertueux une bavure criminelle qui avait été secrètement fomentée en août 1990 par les neurologues de son Service pour des raisons non immédiatement compréhensibles, si ce n'est parce que conformes à l'éthique des intérêts économiques de l'AP-HP et de la Clinique Léon Elmelik.

Preuve en est ce qui s'est passé d’effarant à l'hôpital Bicêtre dans le Service  du Pr. Gérard Saïd au sujet de mon père, qui, hospitalisé en neurologie sur le diagnostic pertinent de SCM (Sclérose Combinée de la Moelle, au vu de l'hémogramme attribuable à un syndrome neuroanémique relevant de la maladie de Biermer, et par conséquent d'un profond déficit en vitamine B12), n'en a pas véritablement reçu le traitement (remplacé par du Prozac*). 

Devant moi, qui suis médecin et qui avais assisté à l'examen neurologique fait aux Lites-Portes par les Urgentistes de cet hôpital (dont le futur Chef de Service Antoine Moulonguet) jusqu'à la formulation du diagnostic de maladie de Biermer,  un simulacre de traitement fut administré au malade, afin me faire croire qu'il le recevait vraiment ... jusqu'à ce que les infirmières du Service gériatrique du Dr. Jean-Yves Beinis, où mon père avait été déplacé à l'hôpital Charles-Foix pour que son décès, prévu pour suivre rapidement son transfert, se passe ailleurs que dans le Service ifremique du Pr. Gérard Saïd et paraisse avoir été inéluctable, dû à la nature même de son affection, savamment étiquetée  ATTEINTE DIFFUSE DU SYSTÈME NERVEUX (sic). Cette qualification floue, cryptée à l'attention des "sachants", désignait à l'époque, antérieure aux trithérapies (1990), les effroyables LEMP  (leuco-encéphalopathies multifocales progressives) consécutives aux contaminations transfusionnelles par le VIH.

A cette époque, les transfusions étaient toutes contaminées. Elles avaient été responsables de la contamination de 25.000 personnes (35.000 selon des informations plus récentes) !

Mon père avait été transfusé en avril 1984 lors de la mise en place d'une prothèse de hanche à l'hôpital Saint-Louis, prothèse posée sous rachi- anesthésie parce qu'il refusait les anesthésies générales.

La Clinique Leon Elmelik servait à ce à quoi servira après son changement de propriétaire en 1995 le Service de neurologie du CHU de Mantes la Jolie; La relève s'est faite sous l'égide du Dr. Olivier Ille, c'est-à-dire sous celui qui avait en 1990 été, dans le Service du Pr. Gérard Saïd, formé l’École des hypocrisies religieuses. Il avait réussi à faire passer au Dr Jean-Yves Beinis la consigne de ne faire que semblant devant moi d'administrer à mon père le traitement de la maladie de Biermer, maladie mortelle sans son traitement spécifique.

Franc-maçon, le Dr. Bodenan y a participé en me menaçant tout d'abord en avril 1992 de représailles ordinales puis en tentant de les faire appliquer en janvier 1994. Il se faisant alors passer pour "médecin réanimateur" sur sa carte de visite alors que ce titre lui avait été refusé par le Professeur Pierre Huguenard, qui l'avait formé.

L'Ordre des médecins récompensera ses exactions en faveur de celles commises par les médecins de la Clinique Léon Elmelik et des neurologues du Service du Pr. Saïd en le plaçant au début des années 2000 à la tête du CROM de l'Île-de-France, lui faisant ainsi présider la Chambre du Conseil disciplinaire régional.

  Ci-après le fac-similé de la carte de visite que Bodevant me tendit le 27 avril 1992 en proférant ses menaces de représailles

                                                                 Docteur Patrice BODENAN
                                                                    Anesthésiste Réanimateur
                                                   Chef de service adjoint à l'Hôpital Saint-Camille
                                                      Pneumologue attaché à l'Hôtel Dieu de Paris
                                                         Expert près des Cours d'Appel de Paris
                                        Membre du Conseil de l'Ordre des Médecins du Val de Marne
                                                                 Responsable du bureau de Presse
                                        Administrateur du Syndicat des Médecins du Val de Marne
                                              Hôtel Dieu de Paris Tel : 42.34.82.34 (poste 2506)
                                                 Hôpital Saint-Camille Tel : 49.83.10.10. (Bip 34)
                                          19, route des Gardes – Meudon 92 190 Tel : 46.26.02.73

Quant au Dr. Antoine Denis, par qui tout était arrivé, il avait réussi à se faire passer pour "chirurgien“ et pour ”professeur" : le Dr. Nathalie Ghidalia, phlébologue de la Clinique Léon Elmelik,  m'avait dit lorsque je l'ai rencontrée qu'il était professeur et chirurgien à l'hôpital Leopold Bellan !

Notes: ne manquant pas d'aire, Olivier Ille a en tant que membre de la "Communauté de l'Emmanuel" à la mi-mars 2013 discouru sur le thème “Prends soin de lui” à Paray-le-Monial au sein du mouvement "Amour & Vérité", tant il est vrai que l'hygiène des faux qualifiés consiste à prôner le contraire de ce qu'ils font. 

Pour en savoir plus sur les dessous indicibles de cette affaire,  cf. "Sidération et désintégration" sur le blog de leon, et "Une affaire à ne pas ébruiter" en passant par " ", et pour rester dans l'actualité lire après l'encart publicitaire  "Fins de vies programmées à l'insu du plein gré des malades dans certains CHU de l'AP-HP;

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22 mars 2023 3 22 /03 /mars /2023 19:50

Commandé par les Nations unies, le dernier classement du World Happiness Report a été récemment publié : il détermine le niveau de bonheur des populations dans le monde. 

Les pays nordiques comme la Finlande, le Danemark, l’Islande, la Suède et la Norvège sont considérés comme des pays où il fait bon vivre.

Ces régions ont toutes obtenu d’excellents résultats sur les critères utilisés par le rapport pour mesurer le bien-être des populations.

Ces pays, caractérisés par une faible niveau de corruption génèrent une grande longévité en bonne santé.

En France, ce sont les combines "éthiques" d'une AP-HP  et d'un CNOM ifremisés * jusqu'à la moelle qui font loi.

* - l'IFREM s'affichait jusqu'en 2014 sur le Web comme étant un Institut de Formation et de Recherche en Éthique Médicale juive.

L'Institut éditait depuis les années 1980 ans et jusque vers les années 2010 la Revue Médica-Judaïca (מדיקה-יודאיקה) avec Emmanuel Hirsch pour Rédacteur en Chef, un grand ami du Pr. Gérard Saïd. Celui-ci s'était entendu avec la direction du CHU de Bicêtre en 1995 pour le propulser à la tête de l'Espace Ethique de l'AP-HP,  en principe pour enseigner l'éthique médicale, en réalité pour noyer par un flot de propos vertueux une bavure criminelle  secrètement fomentée en août 1990 par les neurologues du Service du Pr. Saïd pour des raisons conformes aux intérêts économiques de l'AP-HP et de la Clinique Léon Elmelik.

Preuve en est ce qui s'est passé d’effarant à l'hôpital Bicêtre dans le Service ifremisé - c'est-à-dire conforme à l'éthique médicale du Pr. Gérard Saïd - au sujet d'un malade, en l'occurrence mon père, qui, hospitalisé en neurologie sur le diagnostic pertinent de SCM (Sclérose Combinée de la Moelle) au vu de l'hémogramme attribuable à un syndrome neuroanémique relevant de la maladie de Biermer, et par conséquent d'un profond déficit en vitamine B12, n'en a pas véritablement reçu le traitement (remplacé par du Prozac *), mais devant moi, qui suis, un faux-semblant, afin me faire croire qu'il le recevait, à moi qui suis médecin et qui avais assisté à l'examen neurologique fait aux Lites-Portes par les Urgentistes de cet hôpital (dont le futur Chef de Service Antoine Moulonguet) jusqu'à la formulation du diagnostic

Jusqu'à ce que les infirmières du Service gériatrique du Dr. Jean-Yves Beinis, où mon père avait été déplacé à l'hôpital Charles-Foix  pour que son décès, prévu pour suivre rapidement son transfert, se passe ailleurs que dans le Service ifremique du Pr. Gérard Saïd et paraisse avoir été inéluctable, dû à la nature même de son affection, savamment étiquetée  ATTEINTE DIFFUSE DU SYSTÈME NERVEUX (sic). Cette qualification floue, cryptée à l'attention des "sachants", désignait à l'époque, antérieure aux trithérapies (1990), les effroyables LEMP  (leuco-encéphalopathies multifocales progressives) consécutives aux contaminations transfusionnelles par le VIH.

A cette époque, les transfusions étaient toutes contaminées. Elles avaient été responsables de la contamination de 25.000 personnes (35.000 selon des informations plus récentes) !
Mon père avait été transfusé en avril 1984 lors de la mise en place d'une prothèse de hanche à l'hôpital Saint-Louis, prothèse posée sous rachi- anesthésie parce qu'il refusait les anesthésies générales.

La Clinique Leon Elmelik servait à ce à quoi servira après son changement de propriétaire en 1995 le Service de neurologie du CHU de Mantes la Jolie, relève réalisée sous l'égide du Dr. Olivier Ille, c'est-à-dire sous celui qui avait en 1990 été, dans le Service du Pr. Gérard Saïd, formé l’École des hypocrisies religieuses réussi à faire passer au Dr Jean-Yves Beinis la consigne de ne faire que semblant devant moi d'administrer à mon père le traitement de la maladie de Biermer, maladie mortelle sans son traitement spécifique.
Franc-maçon, le Dr. Bodenan se faisait non seulement passer pour "médecin réanimateur" sur sa carte de visite alors que ce titre lui avait été refusé par le Professeur Pierre Huguenard, qui l'avait formé.
Ci-après le fac-similé de la carte de visite que Bodevant me tendit le 27 avril 1992 en proférant ses menaces de représailles

                    Docteur Patrice BODENAN
                    Anesthésiste Réanimateur
           Chef de service adjoint à l'Hôpital Saint-Camille
              Pneumologue attaché à l'Hôtel Dieu de Paris
                    Expert près des Cours d'Appel de Paris
      Membre du Conseil de l'Ordre des Médecins du Val de Marne
                      Responsable du bureau de Presse
        Administrateur du Syndicat des Médecins du Val de Marne
           Hôtel Dieu de Paris Tel : 42.34.82.34 (poste 2506)
              Hôpital Saint-Camille Tel : 49.83.10.10. (Bip 34)
          19, route des Gardes – Meudon 92 190 Tel : 46.26.02.73

Quant au Dr. Antoine Denis, par qui tout était arrivé, il avait réussi à se faire passer pour "chirurgien“ et pour ”professeur" : le Dr. Nathalie Ghidalia m'avait dit lorsque je l'ai rencontrée qu'il était professeur et chirurgien à l'hôpital Leopold Bellan !

Notes: - ne manquant pas d'aire, Olivier Ille a en tant que membre de la "Comununauté de l'Emmanuel" en mars 2013 fait un speach intitulé “Prends soin de lui” à Paray-le-Monial au sein du mouvement "Amour & Vérité"

- l'IFREM, l'Institut de Formation et de Recherche en Éthique Médicale juive, éditait dans les années 1990 et au début des années 2000 Médica-Judaïca, sous la direction d'Emmanuel Hirsch, un grand ami du Pr. Gérard Saïd, qui l'a fait placer à la tête de l'Espace Ethique de l'AP-HP.

Pour en savoir plus sur les dessous, cf. "Sidération et désintégration" sur le blog de leon, et "Une affaire à ne pas ébruiter" en passant par " Des petits pots d'aliments pour bébés pour sauver la vie des vieux"
et l'article suivant (après l'encart publicitaire)  "Fins de vies programmées à l'insu du plein gré des malades dans certains CHU de l'AP-HP"

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23 février 2023 4 23 /02 /février /2023 18:24

La maladie de Biermer fait partie des urgences médicales parce qu'elle est inéluctablement et inopinément mortelle quand et si elle ne reçoit pas son traitement spécifique: la vitamine B12 à fortes doses dans l'immédiat et ad vitam à dose d'entretien.

Cette maladie est due à une malabsorption intestinale de la vitamine B12 liée à un défaut stomacal, probablement d'origine immunitaire, de sécrétion d'une substance protéique, appelé "facteur intrinsèque", qui permet à l'iléon terminal d'absorber cette vitamine, qui est aussi indispensable à l'intégrité et donc au fonctionnement du système nerveux que l'est l'huile moteur au fonctionnement des moteurs thermiques : continuer de rouler alors que le carter d'huile n'est plus au niveau conduit le moteur à dysfonctionner puis à rendre l'âme si on continue de rouler sans faire l'appoint.

Mais du fait que l'atteinte diffuse du système nerveux provoquée par le déficit en vitamine B12 déterminé par cette malabsorption est à terme inéluctablement mortelle lorsqu'elle n'est pas corrigée par son traitement spécifique, cette maladie n'est heureusement pas méconnue des praticiens, malheureusement à la différence du syndrome NDB12PP, qui n'en est pourtant qu'une forme clinique trois fois plus fréquente !

Les grands responsables de cette non reconnaissance en est un test para-clinique, le test de Schilling et son succédané le Dicopac*, mais pas seulement ces tests de laboratoires: l'oubli d'un principe médical fondamental, qui stipule que "la clinique prime le laboratoire" : si les pneus de votre automobile sont visiblement très dégonflés voire complétement à plat mais que le garagiste à qui vous en avez confié l'entretien soutient qu'ils sont correctement gonflés parce que le manomètre dont il se sert indique que leur pression est normale, allez-vous accepter son explication,  reprendre comme ça la route avec votre voiture sans en regonfler vous-mêmes les pneus ? 

- 1978 Kolhouse & al, New Engl. J. Med. 299, 15, 787 – 792. “Cobalamin analogues are present in human plasma and can mask cobalamin deficiency because current radioisotope dilution assays are not specifique for true cobalamin”.

-  2012 N Engl J Med; July 26, 367:385-386 Ralph Carmel, M.D. Yash Pal Agrawal, M.B., B.S., Ph.D.
"Failures of Cobalamin Assays in Pernicious Anemia The authors show that commercial tests for cobalamin levels provide false normal values in 22 to 35% of cases of pernicious anemia, the main disease they were designed to detect".

Or c'est à un problème tout à fait analogue à celui-ci auquel j'ai été confronté en 1990 avec les médecins qui s'étaient occuper de soigner mon père en neurologie à l'hôpital Bicêtre ! 

En 2023 il y a d’autant moins de raisons de méconnaître le syndrome NDB12PP que sa prévalence tend à augmenter parallèlement à celle du diabète de type II, c’est-à-dire avec le traitement le plus commun de celui-ci, la métformine, qui est depuis longtemps connue pour entraver l’absorption et donc l’action préventive de la vitamine B 12 sur l’éclosion de la maladie de Biermer, et donc aussi sur l'apparition du syndrome NDB12PP (de Non Dissociation de la vitamine B12 de ses Protéines Porteuses)

A cause de cette incompréhensible (et inadmissible) méconnaissance, très rares sont les médecins qui adjoignent systématiquement un traitement cobalaminique à la prescription de metformine.

Le syndrome NDB12PP a pourtant fait l’objet de très nombreuses publications depuis qu’il a été découvert.

C’est en 2003 que les Internistes des hôpitaux de Strasbourg, les Drs. E. Andrès & al. lui ont donné ce nom en remplacement de celui de « syndrome de carence vitaminique B12 avec test de Schilling normal » dans un article paru en 1996 dans la revue La Presse Médicale (aux éditions Masson), article depuis maintes fois répétés avec plus de précisions dans d’autres revues médicales à comité de lecture.

Ce qui est arrivé à mon père après qu'il a commis l'imprudence de mettre les pieds dans la Clinique de la Commune où il habitait, à l'Haÿ-les-Roses, la Clinique Léon Elmelik, pour une simple arthroplastie interphalangienne du quatrième orteil du pied gauche pour le redresser et supprimer ainsi ce qui était la cause d'un cor douloureux avait, en 1990, plus d'une fois lui coûter la vie, et pour plusieurs raisons, qui se sont inexorablement engendrées les unes les autres de façon réellement infernales.

La promesse de se limiter une simple sous anesthésie locale était en fait un véritable guet-apens.

Il s'en est sorti vivant, mais de façon quasi miraculeuse grâce à la présence d'esprit de la Surveillante de l'USN (Unité de Soins dits "Normalisés")  de l'hôpital Charles-Foix où il avait été indument conduit à être hospitalisé parce que les neurologues du CHU de Bicêtre avaient non seulement refusé de lui administrer le traitement de la maladie qui avait motivé son admission dans leur Service à Bicêtre mais aussi parce qu'ils avaient fait semblant de le lui administrer ... pour des raisons certes sur le moment incompréhensiblers et tout à fait illégitimes mais qu'avant de les comprendre rétrospectivement sept ans plus tard preuves à l'appui il faut provisoirement dire "spécifiques".     

Une arthroplastie interphalangienne est une intervention à faire sous garrot d'orteil. Elle ne nécessite qu'une anesthésie locale, à l'instar d'une la cure d'une carie dentaire.

Cette arthroplastie devait être réalisée au cours du long WE de Pentecôte cu 25 mai 1990 n'a pas été réalisée, mais elle a été remplacée de façon impromptue par une tout autre intervention chirurgicale alors que le Dr. Antoine Denis me savait à 500 kms, celle-là réalisée sous anesthésie générale après que mon père âgé de 79 ans, qui à l'époque était devenu de façon évidente perturbé sur le plan psychologique (et psychiatrique) par une maladie débilitante mais qui n'avait rien à voir avec la maladie d'Alzheimer, est tombé dans le guet-apens qui lui avait été tendu. 

De Dr. Antoine Denis avait de son propre aveux profité de mon absence pour réaliser l'opération qu'il voulait placer puisque devant le Conseil de l'Ordre des médecins il a concédé que je l'avais averti de se limiter à une arthroplastie interphalangienne, mais que si j'étais venu accompagner mon père le matin du 25 mai et avais réitérer mes mises en garde il se serait abstenu de faire ce qu'il a fait et que j'étais donc responsable de cette opération.

Des arguties qui furent en juin 1994 avalisées par le Conseil disciplinaire du CROM de l'Île-de-France, confirmation de ce que m'avait confié le Principal  du Commissariat de l'Haÿ-les-Roses en janvier 1991, que les médecins de la Clinique Léon Elmelik pouvaient tout se permettre parce qu'ils se savaient  "protégés en haut.s-lieu.x"

Le Dr. Antoine Denis était en fait un rhumatologue de 68 ans qui se prenait et se faisait passer pour un chirurgien orthopédiste hors pair et professeur (aux dires du Dr. Nathalie Ghidalia, une phlébologue qui exerçait dans la même Clinique que lui à l'haÿ) avait depuis plus d'un an eu l'idée de placer chez la phlébologie chez mon père une intervention plus rémunératrice qu'une simple IPP (Antoine Denis faisait partie de la  "fine équipe des pieds nickelés", conduite par le Pr. Jean Debeyre, actionnaire de la Clinique et porteur de chaussures à ferrures)

En tant que médecin ayant exercé pendant près de deux ans dans un Service de chirurgie orthopédique j'étais et m'étais opposé à un acte plus conséquent que la réalisation d'une IPP sur un orteil  non seulement parce que je savais que faire plus était au mieux inutile mais parce l'état physiologique de mon père ne permettait pas une intervention plus conséquente qu'une IPP.

L'opération que Dr. Antoine Denis s'était entêté à réaliser malgré mes avertissements a été faite malgré les mises en garde lui avaient aussi été signifiées dans une lettre du cardiologue Joseph Heller datant de d'avril 1989 pour toutes ces raisons alors que l'état de mon père n'était pas aussi dégradé que douze mois plus tard, avec l'installation de troubles psychiatriques et de l'équilibre dus une sclérose combinée de la moelle en rapport avec un déficit vitaminique B12 non encore identifié.

Le Dr. Antoine Denis n'avait pas voulu tenir compte de ces mises en gardes de façon à pouvoir placer une opération plus rentable que la simple IPP prévue et stipulée sur le Bon d'hospitalisation remis au patient parce qu'il savait qu'il pouvait tout se permettre, la Clinique Léon Elmelik étant "protégée en hauts lieux", selon ce que m'en a dit le Commandant Christian Raeckelboom, le Principal du Commissariat de l'Haÿ-les-Roses, qui le déplorait mais en ignorait la raison.

Il nous faudra attendre 1997 pour savoir pourquoi. 

Mon père avait failli en perdre la vie, mais ce n'était évidemment pas intentionnel de la part des médecins auxquels il s'était à tort confié (voir l'article "sidération et désintégration")  mais à cause des hémorragies cataclysmiques impossibles à juguler dont ceux-ci s'étaient rendu responsables en lui infligeant sans crier gare (par surprise) une lourde intervention orthopédique que j'avais pourtant pris la précaution d'aller leur interdire parce que de telles complications étaient non seulement à craindre mais à prévoir comme étant inéluctables compte tenu de la fragilité cardiovasculaire de mon père et des hémorragies nasales survenues spontanément dans les semaines précédentes, qui avaient par deux fois nécessité l'intervention d'un ORL, en l'occurrence celui de la Clinique Léon Elmelik, le Dr. Semette alors même que mon père n'était pas sous anticoagulants. Celles survenues au décours de cette opération s'étaient produites sous traitement post-opératoire héparinique. Elles avaient par conséquent nécessité d'en bloquer les effets par des anti hépariniques, au risque de provoquer des embolies post-opératoires mortelles.

Le risque était d'autant plus grand que l'opération de remplacement était une intervention orthopédique bilatérale qui avait nécessité d'être faite sous deux garrots d'Esmach sur un sujet réputé athéromateux et souffrant d'une HTA très sévère à 24/13 , et qui plus est souffrait déjà de troubles neurologiques et psychiatriques présents mais non encore identifiés quoique déjà en rapport avec une anémie pernicieuse méconnue et en cours d'aggravation faute d'en recevoir le traitement spécifique, c'est-à-dire en rapport avec une profonde carence vitaminique B12 qui immanquablement a été aggravée par ces hémorragies.

L'opération du Dr. Antoine Denis avait été réalisée malgré les mises en garde et les interdictions qui lui avaient été de plusieurs côtés signifiées pour toutes ces raisons. Le Dr. Antoine Denis n'avait pas voulu en tenir compte de façon à pouvoir placer une opération plus rentable que la simple IPP prévue et stipulée sur le Bon d'hospitalisation remis au patient.

C'est ainsi qu'à l'hôpital Bicêtre les neurologues du Service du Pr. Gérard Saïd ont solidairement avec leurs confrères de la Clinique Léon Elmelik voulu mettre ce qu'ils ont étiqueté une  "ATTEINTE DIFFUSE DU SYSTEME NERVEUX" (sic, cf. infra) survenue à la fin de mois de juillet sur le compte de complications vasculaires de l'hypertension et la maladie d'Alzheimer au lieu de l'attribuer comme ils auraient dû à la maladie de Biermer à la seule fin d'en innocenter les médecins de la Clinique Léon Elmelik aux yeux de la Justice, cette Clinique rendant à cette époque, lorsqu'aucun traitement n'existait pour prévenir l'apparition d'un SIDA post-transfusionnel, de singuliers services aux hôpitaux de l'AP-HP de la région en tant que solution finale pour les malades devenus embarrassants pour les ministres "responsables mais non coupables" des 35.000 contaminations par le HIV pour avoir sciemment tardé à faire adopter la méthode du chauffage pour en neutraliser ledit virus des flacons de sang que le CNTS avait livré aux hôpitaux de l'AP-HP, sachant que mon père avait été transfusé en avril 1984, ainsi qu'il est signalé d'entrée dans le compte-rendu d'hospitalisation destiné au Dr. Jean-Yves Beinis pour qu'il respecte la consigne a priori aberrante de ne faire que semblant d'administrer au malade qui lui était adressé le traitement de la maladie de Biermer.

Et c'est ce qu'il a accepté de faire, alors même que le diagnostic de profond déficit en vitamine B12 et donc de cette maladie était devenu si évident par un de ses symptômes pathognomonique qu'il lui avait été signalé par la Surveillante de son Service, madame Pondu, qui m'avait fait savoir qu'il n'avait rien voulu changer au simulacre de traitement qu'il avait ordonné d'administrer alors même que l'état de son malade devenait de plus en plus critique. 

Après que de madame Pondu m'a fait prévenir que le Dr. Beinis n'avait rien voulu changer au pseudo traitement qu'il avait ordonné pour respecter les consignes des neurologues de Bicêtre j'ai été en mesure d'administrer moi-même le traitement de la maladie de Biermer façon effective alors que l'état de mon père était devenu si désastreux qu'il était à craindre qu'il soit devenu irréversible sur le plan cérébrale.

Mais contre toute attente, y compris la mienne, mon père a pu récupérer 20/30 au MMSE en seulement quelques semaines (contre précédemment 12/30 le 22 août 1990, mais ce qui sema la panique au sein de l'AP-HP, c'est que leur malade était ainsi devenu en mesure de porter ce qui lui était arrivé à la Clinique Léon Elmelik devant la justice alors que les neurologues du Service du Pr. Gérard Saïd pensaient avoir fait ce qu'il fallait pour qu'il ne le soit pas. 

De là la nécessité de se protéger eux-mêmes ! 

Voir à l'article précédent à quoi correspond le plus souvent le tableau clinique de Sclérose Combinée de la Moelle.

__________________________________________________________________________________________________

CR d'hospitalisation sciemment fallacieux daté du 20/09/1990

(officiellement établi par Olivier Ille)
page 2 page 2

page 1MOTIF DE L’HOSPITALISATION        
       Troubles de la marche


ANTÉCÉDENTS
       HTA essentielle, ancienneté inconnue.
       Intervention orthopédique pour orteils en marteau en Avril-Mai 90
       Prothèse totale de hanche gauche opérée en 84 pour coxarthrose


HISTOIRE DE LA  MALADIE
      Se plaint de difficultés à la marche d’installation rapidement progressive au décors de l’intervention orthopédique,
      Stable depuis deux mois, la marche est hésitante, la montée des escaliers n’est plus possible, tendance à la rétropulsion et à la chute, le patient étant obligé de
      se déplacer avec un déambulateur;


EXAMEN CLINIQUE
        État général conservé. Apyrexie. Tension fluctuante à l’entrée entre 18/12 et 20/12
        La station debout et la marche sont très difficiles petits pas.
        Membres inférieurs en hyper-extension. Polygone de sustentation légèrement élargi. Tendance au piétinement et à la rétropulsion.
        L’occlusion aggrave l’équilibre  (sic)

       Au plan neurologique on objective un déficit moteur discret prédominant sur les raccourcisseurs  aux membres inférieurs et coté à 4 +.

       Aux membres supérieurs les  petits muscles des mains interosseux et lombricaux sont  discrètement déficitaires à 4. Le tonus est spastique. Les réflexes pyramidaux aux quatre membres, jusqu’en C 4 : Babinski bilatéral.

      Au plan de la sensibilité, pas d'astéréognosie. Les troubles prédominent aux membres inférieurs sur la sensibilité proprioceptive. La sensibilité extéroceptive semble  normale, bien que fluctuante d'un examen à l'autre et avec une hypoesthésie au chaud et au froid et à la douleur en chaussette. Il existe une discrète incoordination motrice bien nette aux membres supérieurs avec hypermétrie. L'examen des paires crâniennes est normal en dehors des réflexes du voile abolis. Enfin, il existe depuis deux à trois mois une incontinence sphinctérienne avec mictions impérieuses.


EXAMEN CARDIO-VASCULAIRE: Pouls régulier, pas de souffle cardio-vasculaire. Le reste de l'examen clinique est sans particularité en dehors une tendance dépressive de l'humeur, une critique insuffisante des histoires absurdes chez cet ancien opticien et des capacités d'abstraction qui semblent altérées.Le mini mental est évalué à 25/30.


                                                                            ...  / ...
page 2 DISCUSSION 
 Myélopathie cervicale, affection dégénérative, encéphalopathie vasculaire.

EXAMENS  COMPLÉMENTAIRES                                                                                                                                   
     Biologie usuelle normale. Hémogramme,   hémostase, vitesse de sédimentation, ionogramme, glycémie,  fonctions hépatorénales, fonctions phosphocalciques, électrophorèse des protéines sériques, vitamine B12, folates sériques, test de SCHI
LLING normaux.(sic) Sérologie syphilitique  négative. 

Infection  urinaire à acinéctobacter traitée et stérilisée par NOROXINE     
Radiographie rachis cervical et charnière cervico-occipitale : impression basilaire, arthrose cervicale modérée. Scanner cérébral : atrophie cortico-sous-corticale. Aspect de leucoaraïose mais le scanner est de mauvaise qualité, l’analyse de la substance blanche est difficile.                                                                                                                                             Une  IRM du rachis cervical avait été proposée pour étayer le diagnostic d'une myélopathie cervicale mais non réalisée devant une peur panique du patient deux jours avant l'examen
 

CONCLUSION
TROUBLES DE LA MARCHE  EN RAPPORT AVEC UNE ATTEINTE DIFFUSE DU SYSTEME NERVEUX
UN TRAITEMENT ANTI-SPASTIQUE POURRAIT  ÊTRE B
ÉNÉFIQUE
PAS D’INDICATION OP
ÉRATOIRE
SYNDROME D
ÉPRESSIF TRAITÉ PAR PROZAC UN COMPRIMÉ PAR JOUR
R
ÉÉVALUATION DES FONCTIONS SUPÉRIEURES APRES TRAITEMENT
PATIENT TRANSF
ÉRÉ DANS LE SERVICE DE MÉDECINE DU Dr. BEINIS Hôpital CHARLES-FOIX

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Commentaire. 

Il est non seulement très étonnant mais tout à fait “anormal” qu'à aucun moment les diagnostics de maladie de Biermer, de syndrome neuro-anémique et de carence vitaminique B12 ne soient mentionnés dans ce CRH. Pas même à titre de diagnostic de présomption ou à d'hypothèse alors que c'est à la lecture se l'hémogramme et sur la constatation d'un tableau clinique de Sclérose Combinée de la Moelle que le diagnostic d'anémie de Biermer, a été énoncé à haute voix devant moi par l'un des deux Urgentistes qui avaient en ma présence, procédé à l'examen neurologique de mon père dans la soirée du 31Juillet 1990 vers 21 h 30 aux Lits-Portes de l'hôpital Bicêtre.
L'un d'eux était Antoine Moulonguet, qui est par la suite et jusqu'à nos jours devenu le patron d'un Service de neurologie à La Pitie-Salpétrière.
Le patient avait été hospitalisé parce qu'il  avait été pris d'une telle panique que ses voisins avaient  dû faire appel à Police Secours, ce qui est nullement  rapporté dans ce CR.
La cause réelle  de son hospitalisation n'est pas mentionnée : le malade avait été admis en neurologie sur le diagnostic de syndrome neuro-anémique porté aux urgences de l'hôpital,
et ce diagnostic n’est même pas mentionné et discuté dans le chapitre DISCUSSION , et aucune prescription de vitamine B12 ne figure en conclusion de ce CR;

Ce CR d'hospitalisation a donc été "bidonné" de façon à ce que le diagnostic de maladie de Biermer ou de syndrome neuroanémique par carence vitaminique B12 profonde n'apparaisse pas alors qu'une dizaine de jours avant le transfert de mon père à l'hôpital Charles-Foix dans le Service gériatrique du Dr. Jean-Yves Beinis, dans mes discussions avec leChef de Cinique Pascal Masnou, sans même savoir ce que Kolhouse & al. avaient publié en 1978 sur ce sujet, j'avais réfuté le diagnostic de DTA (démence de type Alzheimer) que Pascal Masnou cherchait à me faire avaler en me disant que mon père était "de toute façon voué à une inéluctable plus grande aggravation“ et ”qu'il était donc préférable, pour lui comme pour moi, qu'il ne s'éternise pas trop  dans cet état".

Autrement dit ce CR relève d'une mystification destinée à couvrir en les médecins qui avaient accepté de couvrir des erreurs gouvernementales. Ils avaient ainsi droits à de hautes protections étatiques pour les services qu'ils rendaient au CNTS qui avait fourni à l'AP-HP du sang contaminé par le VIH, nouvellement responsable de l'augmentation de la prévalence des “ATTEINTES DIFFUSES DU SYSTEME NERVEUX”, l'autre nom donné aux effroyables LEMP (Leuco-Encéphalites Multifocales Progressives), auxquelles, avant l'ère des trithérapies, aucun traitement ne pouvaient être opposé, si ce n'est une vitaminothérapie B12 intensive, c'est-à-dire le traitement de la maladie de Biermer, ainsi que le signalera la Revue de référennce qu'est Achirves of Neurology au début des années 1990, une Revue que le Pr. Gérard Saïd s'est empressé de faire diparaître et interdire la parution à la bibliothèque universitaire du CHU de Bicêtre en novembre 1997 lorsque je lui en ai parlé, au prétexte, m'a-t-il dit, que c'était "une très mauvaise Revue" (sic) cependant qu'il y co-signera six années plus tard un article.

Inféodés à des intérêts étatiques ces neurologues avaient fait en sorte que leur malade ne soit pas en mesure d'en recevoir le traitement. Le démontre la supercherie soigneusement calculée pour que le malade ne puisse se rétablir et être en mesure de porter plainte contre les médecins de la Clinique Léon Elmelik;

Les Urgentistes n'étaient apparemment pas au courant de l'entente qu'avait passé le patron du Service de neurologie de l'hôpital Bicêtre avec les autorités gouvernementales lorsqu'ils ont demandé que le malade soit admis en neurologie dans le Service du Pr. Gérard Saïd.

Le révèle  1° le fait que seulement un faux-semblant de traitement de la maladie de Biermer lui avait été ostensiblement administré devant moi pour me faire croire qu'il le recevait vraiment: ordre avait été donné aux infirmières de l'Unité de Soins Normalisés du Dr. Jean-Yves Beinis, dans lequel le malade avait été transféré pour y finir ses Jours plutôt qu'à l'hôpital Bicêtre, de ne faire que semblant devant moi, qui suis médecin, de l'administrer de façon à ce que je ne puisse prétendre que ce traitement ne lui avait pas été afministré

 2° aussi ce qui s'est passé en 1997 au CHU de Mantes la Jolie où la Justice s'est bien gardée de cuisiner le Dr. Olivier Ille au sujet de son aveuglement devant les très nombreux assassinats de malades que commettait sous on égide et pour ses beaux yeux Christine Malèvre, qui n'avait pas compris que seuls les malades qui avaient été transfusés dans lesd années à risque étaient à éliminer.

Dès lors l'urgente nécessité pour la Direction de l'AP-HP, de l'hôpital Bicêtre et du Pr. Gérard Saïd, membre éminent de l'IFREM et par conséquernt de l'AMIF de faire alliance avec le CNOM, comme le révèlera le Dr. Bruno Halioua (actuellement le vice-président de la LICRA) dans son livre "Blouses blanches, étoiles jaune"', publié en décembre 1999 chez Liana-Lévi sans avoir alors compris le pourquoi du comment l'AMIF en était arrivé à devoir passer par là. Cf la Préface du Pr. Glorion, la page 12 et la postface, où qui sans Bernard Weber, Bruno Halioua n'aurait jamais osé ... 

On remarquera qu'à partir de là le CNOM, fondé en 1940, consent à ne plus fermer la porte de la présidence de l'Ordre à des non-aryens.

Comme quoi le CNOM n'est pas aussi rétrograde que son péché originaire laisse à médire de lui.

Le démontre aussi le Mémoire de DEA du Dr. Patrice Bodenan °°° sur les "Problèmes éthiques posés par par les Commissions de Conciliation Hospitalières".
J'ai en 1990 dû faire face non seulement à la démence Alzheimer de ma mère du fait que son médecin traitant, le Dr. X., s'était mis depuis juillet 1988 à refuser de s'en occuper alors qu'il l'avait depuis plus de trente ans comme fidèle patiente (il lui renouvelait depuis trente-quatre ans ses ordonnances de tranquillisants (Gardénal-Natisédine-Equanil-Librium-Atarax-Valium 5mg x3/j au total 200 grammes de Valium + Lexomil + Xanax etc parfois plusieurs de ces molécules sur la même ordonnance) mais aussi au traitement mortellement erroné d'une fausse maladie d'Alzheimer soi-disant greffée sur une prétendue encéphalopathie vasculaire, le tout ayant  aboutit à un diagnostic d' "ATTEINTE DIFFUSE DU SYSTEME NERVEUX" (sic), diagnostic porté à l'encontre de mon père sur son Contre-Rendu d'hospitalisation un mois après sa sorti alors qu'il était évident qu'il avait souffert d'un syndrome neuro-anémique extrêmement  sévère (un syndrome qui s’appellera quelques années plus tard  "syndrome de carence vitaminique B12 avec test de Schilling normal" (tableau de sclérose combinée + syndrome tétrapyramidal + délire de Capgras, c'est-à-dire de symptômes en réalité tous  révélateurs d'une sévère avitaminose B12 sinon de la maladie de Biermer dans sa forme classique

 

 

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12 février 2023 7 12 /02 /février /2023 01:09
Un des plus grands des "foutages de gueules'' que j'ai eu à essuyer avait été concocté par les neurologues du Service du très éthique  Pr. Gérard Saïd au CHU Bicêtre  lorsqu'ils ont fait transférer mon père, âgé de 79 ans, à l'hôpital Charles-Foix dans le Service gériatrique du docteur Jean-Yves Beinis le 22 août 1990 (au vertueux prétexte qu'il ne guérissait pas tout en occupant le coûteux lit d'un Service spécialisé.)

Ils avaient fait accompagner son transfert d'une lettre manuscrite de l'Interne Olivier Ille demandant qu'il ne lui soit administré qu'un faux-semblant de traitement de la maladie de Biermer.

C'était pourtant sur le diagnostic clinique de cette maladie, ou plus exactement sur le diagnostic de SCM (de Sclérose Combinée de la Moelle), qui est le plus souvent en rapport avec cette maladie, c'est-à-dire avec un profond déficit en vitamine B12, que mon père avait été admis en neurologie à Bicêtre le 2 août à la demande des Urgentistes qui en avaient parfaitement fait devant moi cliniquement le diagnostic (ce qu'il ne m'avait guère été possible de faire parce que mon père ne voulait pas se prêter à un tel examen de ma part, ce qui assez compréhensible, surtout que sa maladie s'accompagnait d'un délire d'illusion, dans lequel il me percevait plus hostile et comme n'étant pas son véritable fils (Cf. C. Durand; S. Mary; P. Brazo; S. Dollfu  L' Encéphale, décembre 2003 Vol 29 (6), p. 560 - 565. "Délire Capgras chez une patiente de 64 ans atteinte d'une maladie de Biermer".). le délire d'illusion des sosies décrit en 1923 par le Dr. Capgras, un type de délire catégorisé "chronique" alors qu'il ne l'est pas toujours quand il relève de causes métaboliques comme dans la maladie de Biermer qui a fait treize ans plus tard l'objet d'une observation clinique retentissante sur le plan international ;publiée dans la Revue "L'encéphale" (Cf. C. Durand; S. Mary; P. Brazo; S. Dollfus L' encéphale, décembre 2003 Vol 29 (6), p. 560 - 565. "Délire Capgras chez une patiente de 64 ans atteinte d'une maladie de Biermer". ( ).( d'une et qui est par le   

Pour s'assurer que le docteur Jean-Yves Beinis suive sans faillir ni défaillir des consignes aussi aberrantes que celles-là, ils lui avaient caché que c'était sur le diagnostic de cette maladie que mon père avait été admis en neurologie.

Pour qu'il ne soit pas tenté de déroger à ces consignes aberrantes et scélérates parce qu'à l'évidence sciemment mortifères - ils l'avaient choisi parce qu'ils le savaient aussi peu curieux que peu enclin à contester des consignes professorales - ils lui avaient expliqué qu'il devait ne tenir aucun compte de ce que le fils du malade pourrait lui dire, celui-ci en tant que fils et psychiatre déboussolé refusant de tenir compte de ce que son père souffrait "en réalité" d'une "ATTEINTE DIFFUSE DU SYSTÈME NERVEUX" (sic) en rapport avec une DTA (démence de type Alzheimer), qui le vouait "de toute façon à une inéluctable plus grande aggravation" (sic, dixit à moi le Chef de clinique  Pascal Masnou, qui avait ajouté ces propos "qu'il valait mieux pour moi comme pour mon père que son état de s'éternise pas trop" (seule la première partie de ces propos a été reproduite telle quelle dans l'expertise judiciaire que le neurologue François Chedru a adressé en février 1996 à la Juge (Mme Bénédicte Scelle) tout en omettant de signaler les conséquences affolantes des fautes sidérantes qui avaient été commises tant par le Dr. Antoine Denis, rhumatologue de la Clinique Léon Elmelik et relayées par les neurologues du Service du Pr. Gérard Saïd puis par le Gériatre Jean-Yves Beinis à l'USN de l'hôpital Charles-Foix. 

Elles avaient conduit mon père à sombrer dans un coma carus, qui comme il avait été attendu - et manifestement recherché - faillit de peu être terminal, mais qui ne le fut pas parce que Mme Pondu, la Surveillante du Service du Dr. Beinis, qui avait reconnu la nature manifestement B12 carentielle de la maladie de mon père à un de ses symptômes spécifiques (la glossite de Hunter), s'était rendu compte que je n'étais pas aussi dérangé que ce qui lui avait été raconté le Dr. Beinis pour qu'elle se prête à une telle simulation.

Bien qu'elle lui ait fait part de son observation, le Dr. Beinis n'avait rien voulu changer aux consignes que lui avaient fait passer les neurologues du Service du Pr. Gérard Saïd via leur très catholique Interne Olivier Ille avant qu'il devienne lui-même Chef d'un Service de pneumo-neurologie au CHU de Mantes la Jolie, dans lequel l'infirmière Christine Malèvre s'est glorifiée en 1997, en croyant répondre à ce qui était attendu d'elle, d'avoir fait passer une trentaine de malades de vie à trépas pour des raisons soi-disant compassionnelles, ainsi que s'en était aperçu et l'avait signalé la collègue du Dr. Olivier Ille la pneumologue Laurence Kouyoumdjian  cependant qu'Olivier Ille ne s'était aperçu de rien.

Le signalement du Dr. Laurence Kouyoumdjian fit cesser ces assassinats de malades mais celle-ci n'en fut nullement félicitée. Elle fut mais au contraire priée d'aller exercer ses talents ailleurs cependant le Dr. Olivier Ille a pu resté en place jusqu'à maintenant, la Justice s'étant gardé de beaucoup l'interrogé à propos des ces assassinats comme au sujet de ce qui s'était précédemment passé au sujet de mon père lorsqu'il avait transmis au Dr. Beinis la consigne mortifère de ne faire que semblant d'administrer à mon père le traitement de la maladie de Biermer, malgré mon signalement. 

Mme Pondu m'avait fait savoir le surlendemain du mercredi 5 septembre 1990 que le Dr. Beinis m'avait rien voulu changer aux consignes qui lui avaient transmises Olivier Ille

Le Dr. Beinis avait recommandé au Dr. Beinis que le traitement de la maladie de Biermer ne soit pas vraiment administré au malade que lui avaient adressé les neurologes de Bicêtre en août 1990;.

Cf. la lettre d'Olivier Ille au Dr. Beinis et son compte-rendu d'hospitalisation par lequel il omet soigneusement de parler du diagnostic de SCM qui avait motivé l'admission de mon père en neurologie et où, à la place du traitement de la maladie de Biermer, il est seulement prescrit d'administrer du Prozac*;

Mais du fait que j'ai fini par mettre moi-même en route le traitement de la maladie de Biermer le soir du lundi 10 septembre avant qu'il soit trop tard, dans les mois qui suivirent le rétablissement de mon père, l'hôpital Charles-Foix lui adressa une facture très salée, en ne tenant aucun compte de ce qu'il avait pourtant automatiquement droit à l'ALD;

Or bien que mon père ait contre toute attente miraculeusement réussi à récupérer 30/30 au MMSE, ce  trop tardif le traitement n'avait pas pu empêcher l'installation de séquelles motrices invalidantes et par conséquent la perte de son autonomie.

Et des années plus tard, en 2004, quand je me suis adressé à la CADA pour pouvoir accéder au dossier de l'hospitalisation de mon père, la direction de l'hôpital Bicêtre, c'est-à-dire en fait la direction de l'AP-HP et le Pr. Gérard Saïd, m'ont accusé d'avoir "moi-même 'sciemment fabriqué' la maladie de mon père par antisémitisme" (sic !).
Et le procureur de Créteil Michel Barrau de requérir un "non-lieu", déclarant qu'il n'y avait eu "faute de quiconque" dans cette affaire.
 https://www.le blog de leon - ordonnance de non-lieu

Je remercie  Le Journal des Femmes de bien vouloir transmettre ces informations à Julien Cohen.

Dr. Pierre Cretien

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3 janvier 2023 2 03 /01 /janvier /2023 02:24

L'expression "avoir les ch'tons" (déformée en "avoir les j'tons) ne tire-t-elle pas son origine du procédé qu'utilisaient les Romains durant les Saturnales, qui étaient des fêtes qui allaient des derniers jours du mois de décembre aux premiers jours de janvier pour désigner l'esclave qui allait être "le Roi d'un jour" ?

Au cours de ces journées les Romains désignaient un esclave pour être le « roi d’un jour ».

Les Romains se servaient d’un gâteau pourvu d'une fève pour tirer au sort le Roi d’un jour, le « Saturnalicius princeps », le prince des Saturnales. Celui-ci pouvait, en principe, avant d’être mis à mort, foutre partout le désordre, puisqu'il avait le pouvoir d'exhausser tous ses désirs l'espace d'une journée, y compris de donner des ordres à son maître.

La désignation de ce "Roi" très éphémère était censé pouvoir déjouer les menaces de Saturne, assimilé à une divinité chthonienne, maléfique parce que tellurique et infernale, qui donc leur foutait les ch'tons.

Mais, à mon sens, ceux qui étaient les plus censés à les avoir devaient être les esclaves qui assistaient au tirage au sort pour désigner l'un d'entre eux, puisqu'après avoir été le "Roi d'un jour" , pouvait (ou devait ?)  être mis à mort.

D'où sans doute (ou peut-être ?) l'expression "avoir les ch'tons" trouvée par les poilus des tranchées durant la guerre de 14-18  avant de passer à l'attaque, une expression déformée en "avoir les j'tons"  (jetons) par attraction paronymique, contrairement à ce qui en est dit dans les dictionnaires de l'argot ? Et pendant que j'y suis, d'où vient le mot argot  (quelle est son intime mot-logie ?)

Une expression que grammairien Gaston Esnault * a expliqué de façon moins logique et moins convaincante, en l'attribuant à la petite appréhension des joueurs de casinos misant sur un numéro du tapis vert à la roulette, bien qu'il attribue l'invention de l'expression aux poilus de la guerre de 14-18 !

* Gaston Esnault (1874 -1971) : "Le poilu tel qu’il se parle", Dictionnaire des termes populaires récents et neuf employés aux armées en 1914–1918, étudiés dans leur étymologie, leur développement et leur usage. Paris : Editions Bossard, 1919. 610 p. Réédition : Genève, Slatkine Reprints, 1968.

- Dictionnaire historique des argots français, Paris, Larousse, 1965.

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11 décembre 2022 7 11 /12 /décembre /2022 22:22

Pour lire cet article, frappé d'une impossibilité technique de reproduction au moment où j'ai voulu l'inscrire sur ce blog, voir au-delà de l'encart publicitaire, s'il s'en trouve un, l'article qui traite de la désintégration morale de certains Services de l'AP-HP.

Ces Services paraissent avoir été beaucoup  plus soucieux de servir les intérêts financiers de leur établissement que de la santé de leurs patients, tout au moins de celle des patients qui avaient été victimes de mauvaises décisions gouvernementales sous l'ère du Programme Commun de Gouvernement de François Mitterrand.

Rappelons ici que FM avait mis au programme l'abolition du CNOM

Or il n'en a plus été question après son arrivé au pouvoir.

Demandez-vous donc pourquoi ?

Si vous-vous le demandez, vous trouverez le Pourquoi du Comment dans les articles de ce blog.

Comme l'a écrit en 1999 dans son Mémoire de DEA d'éthique médicale le docteur °°° Patrice Bodenan, Mémoire sur les "Problèmes éthiques posés par les Commissions de Conciliation" un  Mémoire parrainé par le professeur Christian Hervé, lui-même un Frère °°°.

Le Dr. Bodenan signe ses lettres "BOD" surplombant un grand triangle œdipien isocèle à large base (maçonnique), tout au moins celle qu'il avait adressé au président du Conseil disciplinaire de l'Ordre des médecins Jean Penneau pour lui demander l'application de l'article L460 du CSP à mon encontre parce qu'il estimait que j'aurais dû empêcher mon père de porter plainte contre les X médecins qui l'avaient très gravement abusé en 1990 dans leur Clinique à l'Hay-les-Roses, parmi lesquels une de ses amies.

Dans Mémoire Bod°°° stipulait en 1999 qu'avant l'intérêt des malades le principal devoir des directeurs d'hôpitaux était d'assurer l'équilibre financier de leur établissement.

Son Mémoire qui était resté facilement accessible sur le Web jusqu'en 2015. Il y avait fait paraître, tellement il en était fier. Il l'en avait retiré, comme par hasard peu après que je l'ai découvert et en ai pointé l'incongruité. Mais son Mémoire de DEA avait produit son effet, qui l'avait servi pour prendre la suite du Dr. Jean-Penneau et être nommé à la présidence du Conseil disciplinaire de l'Ordre des médecins de l'Île-de-France.

Il est en principe possible d'y accéder parce qu'il doit figurer sur la liste des DEA soutenu par le Laboratoire d'éthique médicale dirigé par le Pr. Christian Hervé à la Faculté Médecine de Paris, mais il n'y figure pas ! 

Pourquoi ? ... mystères et boules de gommes (le titre qui aurait être celui cet article) 

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