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24 janvier 2022 1 24 /01 /janvier /2022 01:28

Quatorze points pour comprendre un problème médical enfantin rendu inextricable par une erreur en forme d'embrouille complotiste orientée.

1 - La vitamine B12 est au fonctionnement du système nerveux ce que sont les huiles SAE au fonctionnement des moteurs à explosion.

2 - Bien que les automobiles à essence disposent d'un réservoir d'huile qui permet que la lubrification des moteurs se fasse sur de longues distances, il faut de temps en temps faire l'appoint pour que les moteurs ne viennent à casser, et ce d'autant plus souvent que les moteurs ont parcouru de grandes distances. 

3 - Sur une voiture neuve ou récente, un défaut d'étanchéité ou une crevaison du carter d'huile peut aussi mettre les automobiles prématurément hors d'usage.

4 - De même la maladie de Biermer est une affection  qui se manifeste cliniquement à partir du moment où l'organisme des individus est profondément carencé en vitamine B12.

5 - Cette affection fait partie des maladies classées "urgences médicales" parce que tout retard à son traitement spécifique expose les malades à en mourir dans de grandes souffrances ou à ne pas pouvoir récupérer les lourdes atteintes du système nerveux engendrées par cette carence .

6 - Cette maladie débilitante est extrêmement fréquentes chez les personnes qui ont passé la soixantaine. 5 à 7 %  sont concernées. Cf. infra  S. Dollfus  L' Encéphale, décembre 2003.

7 - Les perturbations mentales qu'elle peut engendrer ne peuvent et ne doivent pas être confondues avec ceux de la maladie d'Alzheimer, mais l'une n'excluant pas l'existence de l'autre, et étant donné la grande fréquence de ces deux affections avec l'âge, les cas intriqués sont relativement fréquents. D'autant que ===>

8 - ===> une variante clinique de la maladie de Biermer a été découverte "dans le milieu des années 1990" (sic, Cf. E. Andrès & al., qui ont à ce sujet publié en 1996 un article intitulé  "syndrome de carence vitaminique B12 avec test de Schilling normal chez soixante sujets âgés".

9 - Ces auteurs ont en 2003 dû rebaptiser leur découverte plus explicitement pour l' appeler "syndrome NDB12PP" (de Non Dissociation de la vitamine B 12 de ses Protéines Porteuses) à cause de l'abandon de la commercialisation du test de Schilling.

10 - Le test de Schilling, avant que sa commercialisation ne soit abandonné, se terminait obligatoirement à la fin de sa passation par l'injection d'un milligramme de vitamine B12 pour en saturer l'organisme afin d'éviter la rétention de la vitamine B12 radioactive nécessaire à la réalisation de ce test.

11 - Selon ces auteurs, le syndrome NDB12PP nouvellement découvert serait trois à quatre fois plus fréquent que la maladie de Biermer. Ce qui n'empêche pas celui-ci d'être resté ignoré de la plupart des médecins praticiens, ainsi qu'il est facile de s'en rendre compte quand on les interroge, bien qu'il soit à terme aussi débilitant et mortel !

12 - Les graves désordres neurologiques et psychiatriques observés dans ces affections sont dus à une profonde carence de l'organisme en vitamine 12. Cf. C. Durand; S. Mary; P. Brazo; S. Dollfus  L' Encéphale, décembre 2003 Vol 29 (6), p. 560 – 565. "Délire Capgras chez une patiente de 64 ans atteinte d'une maladie de Biermer".

13 - En 2011, E.Andrès & al. ont suggéré que la grande fréquence du syndrome NDB12PP nouvellement observée correspond à l'augmentation actuelle de l'incidence du diabète de type II. Son traitement par la metformine en serait la cause.

14 - La vitamine B12 est nullement toxique, sauf comme il est connu pour les personnes souffrant de tumeurs neurologiques (gliomes).  Comme il en est pour toutes substances, des réactions allergiques sont possibles 

- / - 

Il paraît a priori impensable que le fait de faire manger un malade à l'aide d'une petite cuillère le contenu d'un petit pot d'aliments pour bébés de six mois puisse avoir été à même de semer la panique au sein de la direction de l'Assistance Publique, de l'Ordre des médecins et de la Justice après que cette action a sauvé la vie d'un malade que ses médecins avaient cru pouvoir (sinon devoir) condamner à mort.

Admis le août 1990 en neurologie à l'hôpital Bicêtre dans le Service du professeur Gérard Saïd, mon père, âgé de 79 ans, avait un peu trop vite été déclaré "être de toute façon voué à une inéluctable plus grande aggravation".

C'était ce que m'avait annoncé le Chef de Clinique, le docteur Pascal Masnou, dix jours après l'admission de mon père dans son Service. Il avait même ajouté à cela qu'il souffrait de la maladie d'Alzheimer, et que "dans l'état où il se trouvait, il valait mieux, pour moi comme pour lui, que cela ne dure pas trop longtemps".. 

J'avais protesté qu'il ne pouvait en aucun cas s'agir de cette maladie parce que l'année précédente il avait gardé une mémoire d'éléphant. Il devait donc bien s'agir de la maladie de Biermer, comme il avait été dit à son admission, même si les données de laboratoire (le test de Schilling et la vitaminémie B12) étaient normales. Je lui avais rappelé l'adage, que "la clinique prime le laboratoire".

Que dirait-on d'un garagiste qui affirmerait qu'un pneu visiblement à plat est correctement gonflé parce que son manomètre indique une pression de 2 kg, sinon que c'est le garagiste lui-même qui est bien gonflé !

J'avais par conséquent demandé que le traitement de la maladie de Biermer soit continué, d'autant que j'avais constaté que lest de Schilling avait en lui même apporté une petite amélioration clinique transitoire dans les jours suivants sa passation (Cf. les préambules n° 10 et 14), qu'il n'y avait donc aucun inconvénient à en poursuivre le traitement, puisque cette amélioration donnait la preuve qu'un gliome n'était pas en cause dans la survenue de ses troubles neurologiques.  

Le docteur Masnou était sûr de son pronostic. Il ne pouvait pas se tromper puisque le traitement de l'affection pour laquelle mon père avait été hospitalisé en neurologie avait été à mon insu délibérément refusé cependant que la maladie de Biermer est rapidement et inéluctablement mortelle sans son traitement spécifique, ce pourquoi elle fait partie des urgences médicales. 

Le docteur Masnou bien qu'il fasse partie d'un Service censé être à la pointe de la recherche en neurologie, fit comme s'il ignorait en 1990 qu'il était depuis longtemps connu qu'un test de Schilling normal ni même une vitaminémie B12 normale ne suffisaient à l'éliminer le diagnostic de maladie de Biermer.   Cf: 1978 Kolhouse & al, New Engl. J. Med. 299, 15, 787 - 792. "Cobalamin analogues are present in human plasma and can mask cobalamin defiency because current radioisotope dilution assays are not specifique for true cobalamin".

Pourtant le Service du professeur Saïd n'a pas manqué, deux ans plus tard, par de grandes affiches placardées partout dans les couloirs et la Salle d'attente de faire savoir qu'une Unité de Recherche sur l'intérêt thérapeutique des vitamines dans le traitement des maladies neurologiques lui avait attribué par  l'INSERM, sollicitant au passage de la part des familles une participation financière à ses Recherches, alors qu'il avait en 1990 fait comme si l'article de Kolhouse & al publié en 1978 dans le prestigieux New England Journal of Mecicin n'existait pas ?

Ces affiches furent dès le lendemain que j'en ai fait la remarque au docteur Masnou partout retirer, si bien que je n'ai pas pu en faire des photographies.

L'explication que me donna le docteur Masnou à ce retrait soudain était que Michel Crépeau, le Maire de la Rochelle, interdisait la mendicité ! 

La sentence du docteur Masnou de l’inéluctable aggravation de l'état du malade a été rapportée mot pour mot en février 1996 par le neurologue François Chedru, commis par madame Bénédicte Scelle, Juge d'instruction au TGI de Créteil, pour l'éclairer sur le bien fondé de la plainte de mon père, plainte portée à juste titre pour "coups et blessures volontaires et non assistance à personne en péril" contre les X médecins responsables de ses lourdes séquelles motrices occasionnées après que l'administration du contenu dudit petit pot lui a "miraculeusement" permis d'échapper à la mort : son contenu alimentaire n'était cependant pas en cause. C'était le fait que madame Pondu, la Surveillante de l'Unité de Soins Normalisés du docteur Jean-Yves Beinis, s'était placé en face du malade quand il a fallu lui en faire ingurgiter le contenu avec une petite cuillère qui a révélé la supercherie criminelle qui était à l'origine 1° de la sentence de mort proférée devant moi par le docteur Masnou et 2° de l'inexorable, et pour moi inexplicable, aggravation de son état : alors que le malade était depuis plusieurs semaines censé recevoir de la vitamine B12 à doses drastiques, ce qui est normalement le traitement de l'anémie de Biermer - la maladie qui avait été diagnostiquée à son admission aux Lits-Portes de l'hôpital Bicêtre et la cause de son admission en neurologie - il n'en avait reçu qu'un faux-semblant: 1/2 mg/semaine au lieu d'1 mg/jour par voie intramusculaire, et cela sur l'ordre expresse des neurologues du Service du professeur Gérard Saïd transmis dans un compte-rendu manuscrit de l'Interne Olivier Ille, au docteur Beinis daté du 22 août 1990, dont une copie m'a finalement été communiquée en décembre 1995 par la direction de l'hôpital Charles-Foix après par une lettre RAR j'ai demandé d'avoir copie du dossier d'hospitalisation de mon père dans le Service du docteur Beinis en 1990. Une lettre à laquelle le docteur François Chedru a en tant qu'expert forcément dû prendre connaissance en janvier 1996 mais dont il s'est gardé de faire état dans son expertise.

Demandez-vous pourquoi ?

Le fait que mon père ait, dans l'après-midi du 5 septembre 1990, dû ouvrir la bouche pour en avaler quelques cuillerées avait montré qu'il souffrait d'une GLOSSITE DE HUNTER (une langue rouge complétement dépapillée), pathognomonique des profondes carences vitaminique B12 provoquées par la maladie de Biermer.

L'Administration de l'AP-HP et la Justice firent à la suite de son inattendu rétablissement tout leur possible pour étouffer la reconnaissance de cette monstrueuse supercherie, pour ne pas dire de cette "astucieuse" manière de faire secrètement disparaître des malades gênants pour l'establishment

Pour des raisons compréhensibles quand on se place du point de vue de l'AP-HP et de la Justice, celles-ci ont fait leur possible pour que l'histoire de la résurrection du malade à partir de l'administration de ce petit pot soit enterrée par un "non-lieu" judiciaire.

Rien d'étonnant donc à ce que Emmanuel Hirsch m'ait en 1997 dit "connaitre par cœur" son histoire bien qu'il ne soit pas médecin, parce que c'est beaucoup grâce à cause de ce qui s'est passé en 1990 que depuis 1995, à la demande expresse du professeur Gérard Saïd, il occupe une Chaire d'enseignement de l'éthique médicale à l'AP-HP.

Cette Chaire a été spécialement créée pour couvrir les égarements de l'AP-HP. Une Chaire d'enseignement hypocritement appelée "Espace Éthique de l'AP-HP", des égarements qui se sont prolongés, jusqu'à m'accuser quatorze ans après (en 2004) d'avoir "moi-même sciemment 'fabriqué' la maladie de mon père par antisémitisme" (sic, dixit madame Isabelle Pilot)

Âgé de 79 ans, mon père ne pesait plus que 47 kilos pour 1m76 lorsqu'il a été hospitalisé le 22 août 1990 dans ce qui s'appelle une Unité de Soins Normalisés (sic), en l'occurrence celle de l'hôpital gériatrique Charles-Foix, tellement "normalisés" qu'on y laissait les pigeons se pavaner dans ses couloirs et se taper furieusement a cloche aux dépens des plateaux repas des malades devenus incapables de les en empêcher. "Ils mettent un peu de vie dans le Service", me fit-on savoir lorsque je m'en suis inquiété.    

Précédemment hospitalisé le 2 août en neurologie pendant trois semaines dans service du professeur Gérard Saïd sur le diagnostic correct de maladie de Biermer, et donc celui d'une profonde avitaminose B12 facile à corriger par une vitaminothéraie B12, il avait été transféré en gériatrie trois semaines plus tard au prétexte que son état s'était aggravé malgré le traitement cependant qu'en réalité il ne l'avait pas reçu. Seul du Prozac* avait été administré bien que l'On (le Chef de Clinique Pascal Masnou) m'ait fait croire que le traitement de cette maladie était administré. 

Resté sans traitement réel, mon père était devenu trop mal en point pour manier la fourchette et pouvoir manger tout seul, mais ce n'est pas dans sa chambre mais dans la chambre voisine que j'avais surpris des pigeons se taper la cloche juchés sur la table de chevet d'une malade impotente.

La personne qui venait apporter les plateaux repas repassait une demi-heure plus tard pour les reprendre.

Le malade, devenu squelettique, en était arrivé au point qu'il était en passe de mourir au soir du lundi 11 septembre 1990.

Le Chef du Service, un gériatre répondant au nom de Jean-Yves Beinis, ne s'était pas du tout inquiété de cet état de chose, même après que madame Pondu, la Surveillante, lui a fait part de ce qu'elle-même avait pu observer dans l'après-midi du 5 septembre en essayant de faire manger le malade : il maintint l'ordre qu'il avait lui-même reçu de la part des neurologues du Servie du professeur Gérard Saïd, de ne faire que semblant d'administrer devant moi le traitement de la maladie de Biermer.     .

Il faut le comprendre parce que les neurologues qui lui avaient adressé le malade depuis le CHU de Bicêtre (depuis le Service de neurologie du professeur Gérard Saïd), au vu d'un scanner et d'autres examens para cliniques, avaient astucieusement posé le diagnostic d'une  "ATTEINTE DIFFUSE DU SYSTÈME NERVEUX". Pour que le docteur Jean-Yves Beinis ne soit pas tenté de lui en administrer le traitement, plutôt que de parler d'anémie de Biermer, comme l'avaient fait devant moi les Urgentistes des Lits-Portes de l'hôpital Bicêtre au terme de leur examen neurologique comme au vu de l'hémogramme du malade au soir du mercredi 31 juillet 1990, ils avaient ainsi de façon floue, à la fois ni vraie ni fausse, "étiqueté" l'affection du malade qu'ils lui adressaient. Ils savaient que le docteur Beinis était peu regardant n'y verrait pas malice. 

Cette atteinte, ils la disaient être consécutive à une encéphalopathie vasculaire compliquant une probable maladie d'Alzheimer, et sans doute aussi une tumeur du tronc cérébral, qu'ils avaient baptisée "hydrome sous-tentoriel" .

Les neurologues de Bicêtre avaient en conséquence prévenu le docteur Beinis, comme ils m'avaient aussi prévenu, que le malade était "de toute façon voué à une inéluctable plus grande aggravation" (sic)

Cet "étiquetage" et le pronostic qui allait avec ont été reporté à l'identique dans une expertise judiciaire rédigée en février 1996 par le docteur François Chedru, neurologue Chef de Service au CHU de Meaux (voir à "omerta médicale et non-lieu abusif" sur le "blog de leon") 

Le professeur René-Claude Touzard avait été pressenti par madame Bénédicte Scelle, Juge d'Instruction au TGI de Créteil, pour instruire le procès que ledit malade avait intenté contre X après qu'il a pu récupérer ses esprits et une dizaine de kilos grâce à l'action conjuguée.

1° - d'un petit d'aliments pot pour bébés 

2° - de la cyanocobalamine à dose drastique.

Bibliographie

1- 1978 Kolhouse & al, New Engl. J. Med. 299, 15, 787 – 792. “Cobalamin analogues are present in human plasma and can mask cobalamin deficiency because current radioisotope dilution assays are not specifique for true cobalamin”.

2 – 1987 Berger JR & al. Ann Intern Med. 107 : 78 “Progressive multifocal leukoencephalopathy associated with human immunodefiency virus infection”

.3 – 1987 Ogier H. & al. éd. Masson "La cobalamine (vitamine B12), APECTS METABOLIQUES, GENETIQUES, NUTRITUIONNELS ET THERAPEUTIQUES"; 254-281.

4 – 1988 J. Lindebaum & al. N. Engl. J. of Med. “Neuropsychiatric disorders caused by cobalamin deficiency in the absence of anemia or macrocytosis”

5 – Arch Neurol 1991;48(3):312-314. "Abnormal vitamin B12 metabolism in human immunodeficiency virus infection : association with neurological dysfunction" (Accepted for publication September 5, 1990).

6 – Arch Neurol 1992;49:501-506. “Plasma Vitamin B12 Level as a Potential Cofactor in Studies of Human Immunodeficiency Virus Type 1- Related Cognitive Changes”.

7 – Arch Neurol 1993;50:807-811. Robertson et al. “Vitamin B12 Deficiency and Nervous System Disease in HIV Infection”

8 – JAMA 1993;269:1144-1153. “Preventive Health Care for Adults With HIV Infection”

9 – Arch Fam Med 1994;3:988-1002. "Human Immunodeficiency. Physician Guidelines, Advisory Group on HIV Second Edition"

10 – J. Nutr. 1997;127:345-351. "Low Serum Vitamin B-12 Concentrations Are Associated With Faster Human Immunodeficiency Virus Type 1 (HIV-1) Disease Progression".

11 – AIDS Clin Care 1998;1-1 “Peripheral Neuropathy in HIV Disease”.

12 – Neurology 1999;53:592-592. “Prevalence of peripheral neuropathy in injection drug users”

13 – Arch Neurol 1999;56:84-89. "Peripheral Nerve Function in HIV Infection: Clinical, Electrophysiologic, and Laboratory Findings"

14 – Pediatrics 2000;106:35e-35. “Distal Sensory Polyneuropathy in a Cohort of HIV-Infected Children Over Five Years of Age”

15 – Neurology 2002;58:730-735. “Abnormal cobalamin-dependent transmethylation in AIDS-associated myelopathy”

16 – Revue de Médecine Interne 2003;24 (4): 218-223. "Carence en vitamine B12 avec test de Schilling normal ou syndrome de non dissociation de la vitamine B12 de ses protéines porteuses chez le sujet âgé. Etude de 60 patients".

17* - Arch Neurol. 2003;60(10):1457-62.) “Neuropsychiatric disturbances in presumed late-onset cobalamin C disease”. (E. Roze, D. Gervais, S.Demeret, H. Ogier de Baulny, J. Zittoun, J.-F. Benoist, G. Saïd, C. Pierrot-Deseilligny, F. Bolgert)

18 – L' Encéphale, décembre 2003 Vol 29 (6), p. 560 – 565. "Délire Capgras chez une patiente de 64 ans atteinte d'une maladie de Biermer". ( C. Durand; S. Mary; P. Brazo; S. Dollfus).

19 – Revue Neurologique 2006;162 (1):22-42. Atteintes du système nerveux central et infections par le virus VIH -1 (Antoine Moulignier, Service de Neurologie, Fondation Adolphe Rotschild, 75019, Paris)

20  - Anne-Marie Casteret "L'affaire du sang" La découverte 1992

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1 décembre 2021 3 01 /12 /décembre /2021 18:45

Selon l'aphorisme de Ludwig Wittgenstein, aussi célèbre qu'énigmatique lancé en 1919, "ce dont on ne peut parler, il faut le taire"

C'est pourquoi, pour faire la lumière sur les "hœrreurs" médicales dont on ne peut parler, qui avaient été délibérément commises dans certains hôpitaux de l'AP -HP  en 1990 au profit du CNTS et des principaux actionnaires de l’innommable Clinique Léon Elmelik à l'Haÿ-l'Eros, il est nécessaire faire passer les écritures qui suivent en cliquant sur la souris.

Selon le magazine Tribune Juive https://www.tribunejuive.info › 2021/11/28 › raphael-nisand : << Hanouccah c’est donc bien une histoire d’ombre et de lumière, la lumière finissant toujours par triompher de l’ombre. / ... / Hanouccah nous enseigne donc bien que l’esprit de résistance est indispensable pour vivre libre, même si la liberté doit toujours être durement conquise >>.

Cette résistance victorieuse organisée autour de Judas MACCABEE fut suivie du miracle que l'on fête à Hanoucca.

Selon Wikipedia :  << Hanoucca marque une importante victoire militaire des Maccabées et symbolise la résistance spirituelle du judaïsme à l'assimilation hellénistique. Selon la tradition rabbinique, au cours de cette consécration, se produisit le miracle de la fiole d'huile, permettant aux prêtres du Temple de faire brûler pendant huit jours une quantité d'huile à peine suffisante pour une journée. C'est pourquoi Hanoucca est aussi appelée la « Fête des Lumières ». >>

Hantouccah, c'est qu'en dépit des mesures prises par les neurologues du Service du professeur Gérard Saïd par lesquelles ils se sont six semaines durant payé ma tête, le "miracle de la fiole cobalaminée" se soit produit en septembre 1990.

Madame Pondu, à l'hôpital Charles-Foix la Surveillante de l'Unité de Soins Normalisés du docteur Jean-Yves Beinis, s'était rendu compte que l'ordre qui lui avait été donné, de ne faire administrer qu'une fois par semaine à son malade des fioles ne contenant qu'un demi milligramme de cobalamine, conduisait celui-ci à  devenir rapidement un  macchabée, ainsi que l'attendaient les neurologues de l'hôpital Bicêtre  - qui lui avaient vivement recommandé de procéder ainsi devant le fils du malade qu'ils lui avaient adressé le 22 août  -  alors que lui administrer normalement le traitement de la maladie de Biermer, comme l'avait demandé son fils, pouvait faire de lui un homme kisleve et récupère en novembre à 30/30 au MMSE ses facultés.     

Cf. à ce sujet le “blog de leon”  (CI-APRES EN SES DERNIERSARTICLES )

- Voyage au cœur d'hœrreurs médicales

- L'abolition de la peine de mort remplacée par une solution bête comme chou

Que la lumière soit : l'Incroyable origine d'un coma carus et celle du miracle, prétendu "antisémite" qui en fit sortir !

- Le hic antisémite de la Justice française est à expliquer au Garde des Sceaux

- La Clinique des pieds nickelés protégée en haut-s lieu-x ...

 

(Pour suivre lire après les encarts publicitaires)

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28 octobre 2021 4 28 /10 /octobre /2021 23:37

Le HuffPost invite ses lecteurs à raconter leur histoire:

<< Vous avez envie de raconter votre histoire ? Un événement de votre vie vous a fait voir les choses différemment ? Vous voulez briser un tabou? Vous pouvez envoyer votre témoignage à temoignage@huffpost.fr et consulter tous les témoignages que nous avons publiés. Pour savoir comment proposer votre témoignage, suivez le guide ! >>

All right, en route pour un voyage au cœur d'hœrreurs médicalisées, mais accrochez vos ceintures, parce que ça balance très fort au sommet des hautes montagnes embrumées par la façon dont des médecins bien en Cour s'y prennent pour faire passer leurs hœrreurs entre les mailles de la Justice, en même temps qu'ils se font adouber par INSERM afin de s'en prévaloir pour réclamer une participation financière aux familles des malades qu'ils ont dézingués !

 

8 AVC sur 10 pourraient être évités : les gestes à connaître
Marie Privé - vendredi

Car c'est aussi découvrir que les journaux et magazines, qui se disent indépendants des pouvoirs politiques et administratifs, ont fait et continuent de faire comme si les informations circonstanciées et facilement vérifiables que je leur avais balancé à partir des monstrueuses exactions qui avaient été perpétrées sur la personne de mon père en tant que victime type, en prémisses de celles qui ont été dans les années suivantes perpétrées au CHU de Mantes la Jolie sous l'égide des mêmes bien en Cour, n'étaient pas dignes de foi. 

Vulnérabilisé par une profonde et mystérieuse "atteinte diffuse du système nerveux" alors qu'il était âgé de 79 ans et qu'il avait deux mois auparavant subi, dans l'état où déjà il se trouvait, des actes chirurgicaux aussi illicites qu'inappropriés dans la Clinique de sa Commune (l'Haÿ-les-Roses), en proie à un accès de peur panique au soir du 31 juillet 1990, ses voisins de pallier avaient fait appel à Police secours, qui avait fait appel au SAMU 94, qui le transportèrent aux Lits-Portes du CHU de Bicêtre

Le malade fut le surlendemain 2 août au matin hospitalisé en neurologie dans ce même hôpital dans le Service du professeur Gérard Saïd, avant d'être transféré trois semaines plus tard à l'hôpital Charles-Foix dans une Unité gériatrique de Soins dits "Normalisés", où il s'en était fallu de peu que le Chef de cette USN, le docteur Jean-Yves Beinis, réussisse à l'en faire sortir les pieds devants: le docteur Beinis et son Assistante Mlle Sitruc n'avaient pas osé déroger aux consignes qui leur avaient été données. Malgré mes remarques et celles de la Surveillante (madame Pondu), au sujet des signes cliniques alarmants qui signaient la nature de la maladie, la constatation d'une glossite de Hunter, pathognomonique des profondes carences vitaminiques B12, qui sont rapidement mortelles en l'absence de leur traitement correcteur spécifique, ils avaient continué à appliquer aveuglément la conduite "thérapeutique" qui leur avait été dictée par les neurologues de l'hôpital Bicêtre, qui était de ne faire que semblant d'administrer ledit traitement correcteur.

Auraient ainsi disparu avec lui les nombreuses raisons que mon père avait de vouloir porter plainte contre les médecins de l'ex Clinique obstétricale Léon Elmelik pour les abominables et incroyables exactions qu'en cachette ils lui avaient fait subir.

Ils les avaient méthodiquement préparées afin de pouvoir les commettre subrepticement, malgré mon interdiction, le vendredi 25 mai 1990, durant le long WE de l'Ascension, alors qu'ils me savaient très loin, à 500 kms de Paris !

J'avais, en tant que médecin, été les prévenir dans le mois précédent de ne surtout pas toucher à mon père, parce qu'il présentait un état de santé récemment devenu extrêmement préoccupant: une HTA très sévère, souvent à 24/14 malgré le traitement hypotenseur (du Lopril *) que lui prescrivait son cardiologue, le docteur Joseph Heller, une toux tendant à devenir subintrante, (et  à mon avis peut-être un peu trop vite attribuée seulement au Lopril*),  des épistaxis à répétitions dans les semaines précédentes, qu'il avait fallu mécher pour en venir à bout, un amaigrissement impressionnant, des troubles neurologiques de type parkinsonien avec marche hésitante à petits pas, en passant par un état d'affaiblissement de son sens critique qui lui faisait penser que je n'étais pas réellement son fils.

Mon père s'était ainsi mis à se méfier de moi, au point de croire que j'en voulais à sa vie parce que je voulais l'empêcher de savoir qu'il soufrait d'un cancer des os , une croyance que les médecins de la "fine équipe" * de la Clinique Léon Elmelik avaient pris soin de cultiver pour placer une opération plus lucrative que celle pour laquelle ils avaient astucieusement réussi à le faire venir en lui offrant des consultations gratuites (ce que j'ai ignoré jusqu'à ce que je prenne connaissance de la très longue contre-expertise du docteur Yves Dano)

J'ai aussi des raisons de penser que mon père s'était forgé ce genre d'idée - que je voulais le faire mourir - à partir de textes inspiration psychanalytiques. mais passons, il faudrait y consacrer trop de temps !

Le prétexte de l'opération que les médecins de la "fine équipe" * lui avait subrepticement infligé était la correction de la "mauvaise morphostatique" de ses avant-pieds (sic, dixit le Dr. Antoine Denis, un rhumatologue de 68 ans, qui se prenait pour un chirurgien orthopédiste et se faisait passer pour "professeur"), alors que c'était dans un but essentiellement commercial et financièr: la Clinique Elmelik était alors à vendre,  et il importait de booster son cash-flow, d'autant qu'elle était difficile à vendre au prix demandé du fait que sa mauvaise réputation n'était plus à faire. 

* La fine équipe,  dite des pieds nickelés,  était constituée des quatre principaux actionnaires de la Clinique Léon Elmelik , dont le professeur Jean Debeyre, féru de chaussures nickelées, son poulain le Dr. Antoine Denis, et de Jean-Claude et Edith Elmelik, enfants du docteur Léon Elmelik.  

Cf. au sujet du docteur Léon Elmelik l'article du blog de leon sur le mystérieux incendie qui a spontanément ravagé la mairie de l'Haÿ-les-Roses dans la nuit du 30 juin au 1 juillet 2002 tellement les archives y étaient brûlantes. 

Fac-similé de la plaque qui a remplacé l'ancienne dans le Parc de la Mairie , qui déjà prêtait à confusion, plaque aujourd'hui disparue de son support. 

SQUARE DU DOCTEUR
Léon ELMELIK

(1897 - 1959)
Fondateur de la clinique de l'Haÿ
Résistant, arrêté par la Gestapo
Torturé, interné, condamné à mort. Déporté à Buchenwald
Maire-adjoint, commandeur de la légion d'honneur

 

Mon père y a pour des raisons crapuleuses subi des exactions auxquelles les neurologues du Service de neurologie de l'hôpital Bicêtre avaient prêté leur concours: ils se sont comportés comme s'ils avaient voulu protéger cette scabreuse Clinique et ses richissimes médecins actionnaires: ils ont commis des erreurs normalement impossibles à faire, qui faillirent réussir à emporter le malade: tout s'est passé comme s'ils avaient cherché à dissimuler les très grossières fautes des médecins de la Clinique  Léon Elmelik en en commettant eux-mêmes de bien plus graves, qui bien failli réussir à faire disparaître la preuve des fautes commises par les médecins de la Clinique Léon Elmelik avec la disparition de leur ex patient.

Réussir sa disparition sans faire de vagues était cependant assez problématique dans la mesure où ils me savaient médecin, et me sachant médecin, il leur avait fallu me mystifier. Mais mon statut de médecin psychiatre était une chance: depuis Freud et à cause de lui, les psychiatres ont chez les neurologues non seulement la réputation (souvent méritée) d'être incompétents sur le plan médical, mais aussi et surtout d'être "complétement siphonnés", celle-ci elle aussi encore plus souvent méritée: cf. sur ce blog l'explication "psychanalytique" (lacanienne) qu'avait donné le docteur Bernard This, psychiatre et psychanalyste lacanien, à l'affreux cancer de la bouche (en réalité un cancer de la mâchoire) qu'avait enduré le "bon" docteur Sigmund Freud durant les quinze dernières années de sa vie.

Aussi falsifièrent-ils les données cliniques et les données de laboratoire de façon à me faire avaler que mon père était atteint non pas de la maladie de Biermer, comme je le leur avais dit, mais d'une "DTA" (une Démence de Type Alzheimer, dans le jargon médical de cette époque), une  compliquée d'une "encéphalopathie vasculaire", pour faire bon poids, le tout officiellement étiqueté en lettres majuscules dans les conclusions du compte-rendu d'hospitalisation qui m'a été remis à la place de son dossier, au prétexte que celui-ci était introuvable, "ATTEINTE DIFFUSE DU SYSTEME NERVEUX" (sic, CRH rédigé par l’Interne Olivier Ille, qui deviendra Chef de Service au CHU de Mantes la Jolie dans les années suivantes, où un grand nombre de malades âgés furent assassinés); que mon père était par conséquent "de toute façon rapidement voué à une inéluctable plus grande aggravation, qu'il était donc pour moi comme pour mon père préférable que l'état où il se trouvait ne se prolonge pas trop longtemps" (sic, dixit le Chef de Clinique Pascal Masnou après qu’il m’a fait savoir (croire) que le test de Schilling était à 35% et donc normal (alors qu’il était à 5 % et donc franchement en faveur du diagnostic de maladie de Biermer), et aussi la cobalaminémie !

Savoir pourquoi les neurologues de l'hôpital Bicêtre s'étaient comportés de la sorte faisait problème ?

Comment avaient-ils pu me tenir des propos aussi aberrants alors que je suis médecin et que c'était contraire à toute logique comme à ce que j'avais entendu dire par les Urgentistes aux Lits-Portes de l'hôpital Bicêtre dans la soirée du 31 juillet 1990 lors de l'admission de mon père, et contraire au diagnostic de présomption des Urgentistes comme à mon propre diagnostic, d'autant qu'en 1990 un Service qui prétendait être à la pointe de la Recherche en neurologie, et spécialement sur l'importance des vitamines du groupe B dans la prévention et le traitement des neuropathies périphériques ? 

D'autant que ce Service n'avait pas manqué de faire savoir en 1992, et et peut-être même avant 1992 par de grandes affiches placardées partout dans les couloirs et la Salle d'attente que  l'INSERM lui avait attribué une Unité de Recherche pour solliciter de la part des familles une participation financière aux Recherches, alors que ses neurologues avaient en 1990 fait comme s'ils ignoraient l'article de Kolhouse & al publié en 1978 dans le prestigieux New England Journal of Mecicin ?

Cf: 1978 Kolhouse & al, New Engl. J. Med. 299, 15, 787 - 792. "Cobalamin analogues are present in human plasma and can mask cobalamin defiency because current radioisotope dilution assays are not specifique for true cobalamin".

Ces affiches furent dès le lendemain que je j'en ai fait la remarque au docteur Masnou partout retirer, si bien que je n'ai pas pu en faire des photographies.

L'explication qui me fut donnée à ce retrait était que Michel Crépeau, le Maire de la Rochelle, avait interdit la mendicité ! 

Les Urgentistes, dont Antoine Moulonguet, qui deviendra des années plus tard Chef d'un Service de neurologie à La-Pitié-Salpétrière, avaient très logiquement porté le diagnostic de maladie de Biermer au vu de l'hémogramme et au terme de l'examen neurologique qu'ils venaient de faire, devant moi, un examen qui mettait en évidence ce qui s'appelle syndrome cordonal postérieur c'est-à-dire un tableau dit de "sclérose combinée", qui la plupart du temps signe le diagnostic de maladie de Biermer, et non pas celui de maladie d'Alzheimer.

Et même si l'une n'exclut pas l'existence de l'autre, des médecins expérimentés ne peuvent confondre ces deux entités, sauf à le faire exprès !

Qui plus est le diagnostic de probabilité de maladie de Biermer porté par les Urgentistes n’est pas mentionné dans le compte-rendu d'hospitalisation qui m'a été remis au lieu du dossier, que j’avais demandé à consulter.

Alors pourquoi les neurologues du Service du Pr. Gérard Saïd avaient-ils fait exprès de se tromper et essayé de me tromper ?

"Tout simplement" parce que la Clinique de l'Haÿ-les-Roses leur était d'une grande utilité, ainsi qu'à l'ensemble des hôpitaux de l'AP – HP, qui s’étaient fait un devoir de donner des directives allant dans le sens des besoins du pouvoir politique.

Ils savaient évidemment que cette Clinique était à cause de cela « protégée en haut lieu » (ou « en hauts-lieux » ?) comme me l’avait dit le 21 janvier 1991, après m'avoir demandé de ne pas le répéter, le Commandant Christian Raeckelboom, le Principal du Commissariat de l'Haÿ-les-Roses, avant d'ajouter qu'il ignorait la raison de ces protections.

J'ai pu savoir et en avoir eu les preuves quelques années plus tard, en complétant mes sources d’informations et aussi fortuitement lors de rencontres inattendues, et lorsque je suis retourné à l’hôpital Bicêtre à l'été 2004 en montrant que la CADA m’avait donné raison et demandait au Service du professeur Gérard Saïd de me permettre d’accéder au dossier d’hospitalisation de mon père, j’ai été accusé par la direction de l’hôpital Bicêtre, c’est-à-dire en fait par le professeur Saïd, d’avoir "moi-même sciemment 'fabriqué' la maladie de mon père par 'antisémitisme' " (sic, dixit madame Isabelle Pilot) !

C'est aussi qu'en 2004 le procès de Christine Malèvre avait eu lieu, qui permettait de comprendre ce qui s'était passé à l'hôpital Bicêtre en 1990 avec mon père.  

L'esprit qui à cette époque régnait sur la France n'était-il pas celui de la triche ?

N'a-t-il pas été rappelé au début de ce mois lors de l'hommage qui lui était rendu que Bernard Tapie, qui avait été nommé Ministre de la Ville par François Mitterrand, avait dit : "Sans la triche on arrive à rien".

La triche n'est-il pas un sport dans lequel la France est réputée exceller (notamment en Suède, le pays de mon enfance buissonnière)
J'ai longuement rendu compte de ces faits sur Internet depuis août 2009, après que j'ai appris les tenants et aboutissants de l'effrayante tentative de mise à mort de mon père, et les petits arrangement entre amis  (au Conseil de l'Ordre) qui avaient suivi pour invalider mon témoignage vis à vis de la Justice.

 Une Justice qui de toute façon participait elle-même à cette mystification : lire sur ce blog l'article htpps.genocides.over-blog.com  Une affaire à ne surtout pas ébruiter 

Le faux-semblant de traitement qui faillit être fatale à mon père a été qualifiée petite erreur d'appréciation par le docteur trois points Patrice Bodenan, lui aussi par erreur nommé Rapporteur de cette tentative d'assassinat, mais tentative ratée par "ma faute", prétendra par la suite la direction de l'hôpital Bicêtre, puisque selon celle-ci, j'avais "moi-même sciemment fabriqué la maladie de mon père par antisémitisme".

C'était le docteur Jean Pouillard, le président du Conseil de l'Ordre Départemental du Val-de-Marne, qui s'était chargé de le nommer "par erreur" Rapporteur de cette affaire.

Les lettres à ce sujet (celle dactylographiée que le docteur Pouillard m'avait en juin 1992 adressé pour tenter de se disculper, et celle manuscrite du docteur Bodenan°°° au président du Conseil disciplinaire de l'Ordre le docteur °°° Jean Penneau datée du 10 janvier 1994 lui demandant que l'article L 460 du CSP me soit appliqué sont en ligne sur le "blog de leon".

Ce qui était arrivé à mon père en 1990 était la lointaine conséquence de ce qu'il avait été "enfant Chœur", et de ce qu'il lui avait alors fallu endurer, qui lui avait tourné la tête et fait de lui un petit don Juan parce cherchait à se prouver à lui-même qu'il était bien un mâle et non pas une femme, à preuves  ses conquêtes féminines, mais aussi dans un autre domaine le paradigme de ce qui arrivé à bien d'autres malades, notamment au CHU de Mantes-la Jolie dans le Service de neurologie du docteur Olivier Ille.

Celui-ci n'avait pas eu de mal à faire jouer à Christine Malèvre le rôle qu'il avait réussi à faire jouer en 1990 au docteur Jean-Yves Beinis, ce qu'Eric Favereau à "Libé' n'a apparemment pas compris ou pas voulu savoir, qui n'en a soufflé mot.

On dira que ces choses n'ont rien à voir entre elles, qu'on ne voit pas le rapport (sexuel) alors qu'il y en a plus d'un.

Il y plusieurs explications à cela, qui ne s'excluent pas les unes les autres, mais  comme on n'a toujours pas voulu savoir que Herr Professor  Sigmund Freud est grandement responsable de l'occultation de ces dérives sexuelles (pour Freud tout a une signification sexuellle, même un escalier) avec la méga tricherie qu'est l'invention des fantasmes œdipiens, et par conséquent de les avoir grandement favorisées, alors que c'est assez facile d'en comprendre les raisons.

Outre la plus évidente, l'appât du gain, il y en avait d'autres, liées à des antécédents parentaux peu avouables, bien que sexuels !

Si peu avouables que Sigmund Freud préférait se les cacher à lui-même. 

Ne pas avoir à les reconnaître, pour que ses zélotes et ses lecteurs ne les sachent alors qu’ils sont à l’origine de ses concepts théoriques fallacieux : autrement dit, avec son concept de fantasmes œdipiens inconscients, Freud a « inconsciemment » cherché à ce que tout-un-chacun chausse des lunettes faites pour masquer une réalité à lui-même trop dérangeante, et ce faisant refiler aux autres sa patate chaude: lire à ce sujet outre ses lettres à Wilhelm Fliess, qu’il avait en vain cherché à faire disparaître après que son admiratrice la princesse Marie Bonaparte a pu par miracle les récupérer, Marie Balmary, L’homme aux statues, J.M. Masson, Le réel escamoté, Marianne Krüll, Freud fils de Jacob, et Mikkel Borsch Jacobsen, Destins, en passant par Jacques Bénesteau, Peter Swales, Frank Sulloway, Alain Sokal et Jean Bricmont, entre autres démystificateurs.

A toute fin utile j'adresse ces quelques mots aux journaux et magazines que j'ai déjà tenu informés, (Cf  sur ce blog  l' article « Que la lumière soit  n°1 et n°2 »).

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21 octobre 2021 4 21 /10 /octobre /2021 16:26

De Sarah Cattan dans "Tribune Juive":

https://www.tribunejuive.info/2021/10/20/sarah-cattan-la-newsletter-numero-1000-de-tribune-juive/

" à TJ nous avons dénoncé les Juifs de Cour, cette autoproclamée “caste”, ces gens qui, n’ayant pas supporté qu’on critiquât et jugeât le traitement ignoble réservé par les dirigeants du Mémorial à Georges Bensoussan, n’eurent de cesse de nous traiter d’islamophobes, fascistes, demain antisémites ?

Nous avons résisté pour pouvoir fièrement affirmer que nous avons gardé notre âme.TJ continue !

Grâce à la cinquantaine d’auteurs qui aujourd’hui y écrivent.

Grâce à un lectorat exigeant. En France. En Europe. Aux USA. En Israël. Et encore bien ailleurs…

Grâce à ce quelque chose qui chez nous n’existe pas: la censure. Et à ce titre, il convient de louer le courage de tous"

Sarah Cattan

 

Ceci rappelé, les Juifs de Cour ne risquent pas d'avoir froid aux yeux.

Non pas à cause du réchauffement climatique, mais parce qu'ils ne les ont pas bien en face des trous.

 A Ivry-sur-Seine, avenue de la Républiquequand on passe devant l'hôpital Charles-Foix, on peut lire, bien en vue inscrit en grand caractères sur la façade du bâtiment qui y fait front, qu'il avait été un hospice recueillant des malades réputé-e-s incurables.
Si on cherche à en savoir plus, on apprend que cet hospice était l'œuvre de Théodore Labrouste (1799-1885), "le premier architecte en chef des hôpitaux de Paris", qu'il avait été construit entre 1864 et 1869 sur le site d’un ancien château grâce à un don que le cardinal de la Rochefoucault avait fait aux administrateurs de l'Hôtel-Dieu et "de ce que M. François Joulet, prestre, sieur de Châtillonavoit laissé par son testament pour le secours des pauvres"...  

Le titre de l'article précédent mis en ligne sur le blog de leon "Robert Badinter, la peine de mort et une solution bête comme chou" donne à penser que la solution "bête comme chou" serait une alternative à la peine de mort d'un individu particulier, alors que ladite solution intéresse – ou devrait intéresser – l'ensemble de la population, menacée qu'elle serait (qu'elle est) de succomber à plus ou moins brève échéance aux conséquences du réchauffement climatique engendré par la pollution atmosphérique, donc à des pluies diluviennes et des inondations catastrophiques si (puisque) les conditions qui lui sont actuellement faites paraissent inarrêtables tout en semblant vouloir s'aggraver.

L'aggravation des conditions climatiques est-elle vraiment inéluctable, comme il avait été dit de l'état de mon père en août 1990, quand, en staff, il avait été décidé qu'il était "de toute façon inéluctablement voué à une rapide plus grande aggravationpar les savants neurologues qui l'avaient admis dans leur Service au début du mois, ce que le Chef de Clinique Pascal Masnou s'était empressé de me faire savoir. 

Le neurologue François Chedru a rapporté ses dires dans les conclusions de son expertise, rédigée en février 1996, soit dix-huit mois après le décès d'un malade qui avait été promis à une mort rapide cinq ans et demi plus tôt) ? !

En août 1990, une dizaine de jours après son admission dans leur Service, les neurologues avaient été jusqu'à me faire savoir par le docteur Masnou "qu'il était préférable pour mon père comme pour moi que l'état où il se trouvait ne dure pas trop longtemps", et sur ce, ils le firent transférer le 22 août à l'hôpital Charles-Charles dans un Service de gériatrie patronné par le docteur Jean-Yves Beinis, parce qu'il occupait à Bicêtre, m'avait-il été dit, inutilement  un coûteux lit de spécialité, puisqu'au lieu de se rétablir son état avait continué de se détériorer malgré le traitement de la maladie de Biermer; traitement qui - m'avait-on assuré avant son transfert - serait malgré tout continué bien qu'il soit affecté de la maladie d'Alzheimer, maladie réputée incurable.

Il ne m'avait cependant pas été dit qu'entretemps non seulement ordre avait été donné de ne pas administrer réellement le traitement de cette maladie, mais que la consigne avait été donné au docteur Beinis de ne faire que semblant devant moi de le lui administrer.

Or l'anémie de Biermer, aussi connue sous le nom d'anémie pernicieuse, est un syndrome neuro-anémique très fréquent chez les personnes âgées.

L'anémie de Biermer fait partie des urgences médicales parce qu'elle est rapidement et inexorablement mortelle si elle ne reçoit pas son traitement spécifique, qui est extrêmement simple, sans danger et très peu coûteux, puisqu'il s'agit de la vitamine B12 à administrer à doses drastiques.

Le diagnostic de syndrome neuro-anémque avait été correctement posé et énoncé devant moi aux Lits-Portes de l'hôpital Bicêtre par les Urgentistes dans la soirée du 31 juillet vers 21 h 45 au retour de l'examen de sang. C'était pourquoi le malade avait été admis en neurologie le 2 août au matin dans le Service de neurologie de cet hôpital, un Service patronné par le professeur Gérard Saïd. Il était assisté de madame le docteure Martine Dési (par ailleurs traductrice d'un livre critique d'un auteur américain sur les concepts du docteur Freud, mais dont l'auteur et le titre à présent m'échappent)

Le Chef de Clinique, Pascal Masnou avait voulu me faire admettre (avaler) que mon père souffrait en réalité d'une DTA (Démence de Type Alzheimer) alors que j'avais plaidé que cela ne pouvait pas être le cas parce que l'année précédente, lors d'un voyage en Espagne mon père avait fait preuve d'une mémoire d'éléphant (l'Espagne, le pays de ses origines supposées, parce qu'il était franc-comtois, avait la peau mate et bronzait très vite, devenant en quelques jours un "zoreille" semblable à un Antillais, et de celles supposées d'un "vrai fils" présumé de même origine, contrairement à moi, qui a les yeux bleus et une peau blanche manifestement réfractaire aux effets colorants du soleil. A cette époque et à ses dires je n'étais plus depuis quelques mois "son vrai fils", mais un imposteur qui se faisait passer pour son fils, qui s'entendait avec le professeur Jacques Witvoët pour l'empêcher de soigner le cancer des os qui s'était greffé sur la prothèse de hanche que ce chirurgien lui avait posé en avril 1984 à l'hôpital Saint-Louis, à la demande de ce faux rejeton, intéressé à le voir mourir de son cancer pour hériter - fin de l'apparente thèse du père en ces mois-là) 

Le Chef de Clinique n'ajouta cependant pas à ses dires mortifères qu'il paraîtra plus naturel que mon père meurt d'une maladie liée à l'âge dans un Service de gériatrie consacré aux incurables que dans un Service de neurologie à la pointe de la Recherche sur l'intérêt des vitamines dans le traitement des complications neurologiques du diabète sucré, réputation et classement des hôpitaux obligent !

Comme je suis un paranoïaque déjanté– c'est du moins la réputation qui m'a été faite après-coup, après que j'ai fait mentir lesdits neurologues - j'avais su lire cette excellente précaution dans la tête du docteur Masnou ! 

C'est pour avoir appliqué une idée  "bête comme chou", que j'avais mis en route, trois semaines après que mon père a été transféré à l'hôpital Charles-Foix, aux "Glycines", dans l'Unité de Soins Normalisés du docteur Jean-Yves Beinis,  que j'avais fait mentir les prévisions des neurologues : mon père avait pu se rétablir en quelques semaines et récupérer à 30/30 au MMSE ses facultés cérébrales alors qu'elles étaient passées de 25/30 à 22/30 en l'espace de trois semaines pour sombrer à 0/30 encore trois semaines plus tard, puisqu'il avait alors sombré dans un coma carus (diagnostic posé après que j'ai constaté une mydriase totale et une non réactivité pas moins totale de mon père aux stimulations).

Le docteur Beinis avait-il lui aussi plongé dans le coma ? Non pas dans un coma carus, comme mon père, mais un coma hypnotique, dans la mesure où il n'avait rien voulu entendre de ce que lui avait dit madame Pondu, la Surveillante de son Service, le 6 janvier au matin, que son malade souffrait bel et bien de la maladie de Biermer, ainsi qu'elle avait pu s'en rendre compte en essayant la veille dans l'après-midi de le faire manger en constant la présence dans sa bouche d'une glossite de Hunter, caractéristique d'une profonde avitaminose B12, avitaminose dont la cause est le plus souvent la maladie de Biermer, la maladie que les Urgentistes des lits-Portes  de l'hôpital Bicêtre avaient diagnostiqué devant moi cinq semaines plus tôt, sans que jamais ce diagnostic n'apparaisse dans le compte-rendu d'hospitalisation et la lettre de transmission destinées au docteur Beinis !          

Aux “Glycines”, les pigeons étaient non seulement tolérés, mais très bien considérés. Ne sont-ils pas les symboles de la Paix et de la foi en l'avenir ?

Aussi, de grandes volières y abritaient de jolies tourterelles blanches, qui attiraient les pigeons des alentours.  Ils leur faisaient non seulement une cour effrénée, mais pouvaient se pavaner dans les allées, et même dans les chambres des malades sans en être chassés.

Je m'étais permis d'en faire la remarque critique après que j'ai vu une dizaine de ces joyeux volatiles entrés par la fenêtre se taper furieusement la cloche aux dépens plateau repas du soir de la malade de la chambre qui jouxtait celle de mon père.

A quoi l'infirmière à qui j'en avais fait la remarque, me répondit "que les pigeons mettaient un peu de vie dans le Service".

Je regrette de n'avoir pas eu l'idée bête comme chou d'en faire des photos ou un film.  

D'où mon idée bête comme chou  d'en faire ici même le récit sur le "blog de leon

Bête comme chou avait été au XIII e siècle l'idée de Leonardo Fibonacci d'utiliser le zéro positionnel pour faciliter les calculs alors que ce système de numérotation était connu depuis des millénaires. Si le génial Archimède avait eu l'idée de s'en servir, les découvertes de Képler, Galilée, Newton et Lavoisier auraient sans doute pu être faites plus tôt ?

 Bête comme chou aussi l'idée de Jenner de prendre au sérieux la remarque d'une fermière, que le cow-pox protégeait plus sûrement et plus efficacement de la variole que la technique de la variolisation et d'en faire un vaccin. Cf. Professeur Patrick Berche dans son livre "Gloires et impostures de la médecine" Perrin 2011;

 Bête comme chou celle du père d'un enfant qui s'était noyé de pratiquer le bouche à bouche pour tenter de le réanimer plutôt que d'utiliser la méthode mécanique qui prévalait alors, qui était exposée dans les stations du métro parisien jusqu'à la fin des années 1950;

Bête comme chou la découverte du docteur Ignace Semmelweiss qui avait remarqué et tenté de faire appliquer la règle qu'il fallait se laver soigneusement les mains avant d'entreprendre un accouchement pour faire chuter drastiquement la mortalité des accouchées et des nourrissons; 

Bête comme chou celle du docteur Pierre Cretien, qui, contrairement aux neurologues qui s'occupaient de son père, avait remarqué qu'il ne fallait pas faire aveuglément confiance au test de Schilling pas plus qu'à la cobalaminémie pour éliminer le diagnostic de maladie de Biermer dans la survenue récente d'une "atteinte diffuse du système nerveux" associée à la survenue d'un déficit intellectuel et d'un délire paranoïde quand lesdits neurologues ont choisi d'attribuer ses troubles à une "encéphalopathie vasculaire" compliquant une "DTA" (Démence de type Alzheimer);

Bête comme chou l'invention du gouvernail, qui permit à Christophe Colomb de découvrir l'Amérique;

 Bête comme chou celle d'utiliser l'énergie cinétique de la lune pour produire de l'hydrogène verte à petit prix par un système transférentiel.

Bête comme chou l'idée de mettre des petites roues sous les valises.

Bête comme chou l'idée de la direction de l'hôpital Bicêtre d'accuser le Dr. Cretien d'avoir "lui-même sciemment fabriqué la maladie de son père par antisémitisme" quand il s'est adressé à la CADA pour que le dossier d'hospitalisation de son père lui soit communiqué alors qu'il lui avait été dit qu'il avait été perdu   

... 

Cela dit, je n'ai pas vu le film au titre mystérieux "Rien sur Robert", réalisé en 1999  par Pascal Bonitzer, avec Fabrice Luchini dans le rôle principal, mais à en lire le résumé, le film n'a rien à voir avec Robert Badinter et l'abolition la peine de mort.

Or Hamida Djandoubi, réputé avoir été "le dernier condamné à mort pour assassinat après tortures et barbarie, viol et violences avec préméditation" est loin d'avoir été la dernière personne à être condamnée à mort et avoir été exécuté au nom de la République.

A ce sujet, comme j'avais essayé de le faire savoir à Me Badinter dans une lettre que je lui avais adressé dans les années 1990 lorsqu'il était Sénateur, la peine de mort a encore été appliquée en France après 1977 pour des raisons inavouables dans certaines Cliniques et certains hôpitaux, et qui plus est en la faisant inutilement précéder de grandes souffrances physiques et psychologiques aux condamnés, du moins à celui dont il était question dans ma lettre (à savoir mon père.) 

Il avait réussi de justesse à en réchapper en 1990 grâce à la présence d'esprit de la Surveillante d'un Service de gériatrie, qui avait fait savoir au fils du condamné quel était l'astucieux moyen mis en œuvre pour que la mort du condamné puisse être mise au compte de la vieillesse et de la maladie d'Alzheimer, affection imparable. 

La Surveillante avait permis à l'auteur de ces lignes, qui est médecin, d'intervenir alors qu'il était presque plus temps, pour empêcher la condamnation de se réaliser, pareil à un cow-boy surgissant au dernier moment pour empêcher la pendaison d'un des siens en faisant mouche sur la corde du supplicié.

Je n'ai pas fait un double de la lettre que j'avais adressé à Me Badinter.

(adressée au Sénat).

Je n'ai pas eu de réponse. Lui avait-elle été transmise ? L'avait-il lue ?

L'affaire que je lui avais soumis a été improprement appelée "l'affaire Christine Malèvre", mais elle aurait aussi bien fait, et même mieux fait de s'appeler  "l'affaire Gérard Saïd" ou "l'affaire Olivier Ille" ou "l'affaire Jean-Yves Beinis".

Je ne saurais dire si je lui avais écris avant ou après que cette affaire a éclatée ? 

Sans Laurence Kouyoumdjian, l'affaire Malèvre n'aurait sans doute pas éclatée, et les assassinats de malades devenus embarrassants auraient pu se poursuivre encore assez longtemps.

Voir pourquoi sur ce blog j'ai écrit les précédents articles "Que la lumière soit" !  

Il est apparemment possible d'accéder directement à "Que la lumière soit n° 2" en poursuivant la lecture de celui-ci après l'encart publicitaire, de même pour accéder à "Que la lumière soit n°1"sous titré "DEMANDEZ-VOUS POURQUOI ?", qui permet d'accéder de la même façon à l'article précédent intitulé "Des solution opérantes bêtes comme chou" qui a trait à un moyen inédit et plus performant que les barrages pour extraire  l'énorme et quasi inépuisable gisement d'énergie que présente la lune dans sa course autour de la terre, et ainsi de suite jusqu'à l'article consacré à Freud et à "l'effet yau de poêle en psychanalyse"  

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18 octobre 2021 1 18 /10 /octobre /2021 16:56

Le titre de cet article donne à penser que la solution "bête comme chou" serait une alternative à la peine de mort d'un individu particulier, alors que ladite solution intéresse – ou devrait intéresser – l'ensemble de la population, menacée qu'elle serait (qu'elle est) de succomber à plus ou moins brève échéance aux conséquences du réchauffement climatique engendré par la pollution atmosphérique, donc à des pluies diluviennes et des inondations catastrophiques si (puisque) les conditions qui lui sont actuellement faites paraissent inarrêtables tout en semblant vouloir s'aggraver.

L'aggravation des conditions climatiques est-elle vraiment inéluctable, comme il avait été dit de l'état de mon père en août 1990, quand, en staff, il avait été décidé qu'il était "de toute façon inéluctablement voué à une rapide plus grande aggravationpar les savants neurologues qui l'avaient admis dans leur Service au début du mois, ce que le Chef de Clinique Pascal Masnou s'était empressé de me faire savoir. 

Le neurologue François Chedru a rapporté ses dires dans les conclusions de son expertise, rédigée en février 1996, soit dix-huit mois après le décès d'un malade qui avait été promis à une mort rapide cinq ans et demi plus tôt) ? !

En août 1990, une dizaine de jours après son admission dans leur Service, les neurologues avaient été jusqu'à me faire savoir par le docteur Masnou "qu'il était préférable pour mon père comme pour moi que l'état où il se trouvait ne dure pas trop longtemps", et sur ce, ils le firent transférer le 22 août à l'hôpital Charles-Charles dans un Service de gériatrie patronné par le docteur Jean-Yves Beinis, parce qu'il occupait à Bicêtre, m'avait-il été dit, inutilement  un coûteux lit de spécialité, puisqu'au lieu de se rétablir son état avait continué de se détériorer malgré le traitement de la maladie de Biermer; traitement qui - m'avait-on assuré avant son transfert - serait malgré tout continué bien qu'il soit affecté de la maladie d'Alzheimer, maladie réputée incurable.

Il ne m'avait cependant pas été dit qu'entretemps non seulement ordre avait été donné de ne pas administrer réellement le traitement de cette maladie, mais que la consigne avait été donné au docteur Beinis de ne faire que semblant devant moi de le lui administrer.

Or l'anémie  de Biermer, aussi connue sous le nom d'anémie pernicieuse, est un syndrome neuro-anémique très fréquent chez les personnes âgées.

L'anémie de Biermer fait partie des urgences médicales parce qu'elle est rapidement et inexorablement mortelle si elle ne reçoit pas son traitement spécifique, qui est extrêmement simple, sans danger et très peu coûteux, puisqu'il s'agit de la vitamine B12 à administrer à doses drastiques.

Le diagnostic de syndrome neuro-anémque avait été correctement posé et énoncé devant moi aux Lits-Portes de l'hôpital Bicêtre par les Urgentistes dans la soirée du 31 juillet vers 21 h 45 au retour de l'examen de sang. C'était pourquoi le malade avait été admis en neurologie le 2 août au matin dans le Service de neurologie de cet hôpital, un Service patronné par le professeur Gérard Saïd. Il était assisté de madame le docteure Martine Dési (par ailleurs traductrice d'un livre critique d'un auteur américain sur les concepts du docteur Freud, mais dont l'auteur et le titre à présent m'échappent)

Le Chef de Clinique, Pascal Masnou avait voulu me faire admettre (avaler) que mon père souffrait en réalité d'une DTA (Démence de Type Alzheimer) alors que j'avais plaidé que cela ne pouvait pas être le cas parce que l'année précédente, lors d'un voyage en Espagne mon père avait fait preuve d'une mémoire d'éléphant (l'Espagne, le pays de ses origines supposées, parce qu'il était franc-comtois, avait la peau mate et bronzait très vite, devenant en quelques jours un "zoreille" semblable à un Antillais, et de celles supposées d'un "vrai fils" présumé de même origine, contrairement à moi, qui a les yeux bleus et une peau blanche manifestement réfractaire aux effets colorants du soleil. A cette époque et à ses dires je n'étais plus depuis quelques mois "son vrai fils", mais un imposteur qui se faisait passer pour son fils, qui s'entendait avec le professeur Jacques Witvoët pour l'empêcher de soigner le cancer des os qui s'était greffé sur la prothèse de hanche que ce chirurgien lui avait posé en avril 1984 à l'hôpital Saint-Louis,  à la demande de ce faux rejeton, intéressé à le voir mourir de son cancer pour hériter - fin de l'apparente thèse du père en ces mois là) 

Le Chef de Clinique n'ajouta cependant pas à ses dires mortifères qu'il paraîtra plus naturel que mon père meurt d'une maladie liée à l'âge dans un Service de gériatrie consacré aux incurables que dans un Service de neurologie à la pointe de la Recherche sur l'intérêt des vitamines dans le traitement des complications neurologiques du diabète sucré, réputation et classement des hôpitaux obligent !

Comme je suis un paranoïaque déjanté– c'est du moins la réputation qui m'a été faite après-coup, après que j'ai fait mentir lesdits  neurologues - j'avais su lire cette excellente précaution dans la tête du docteur Masnou ! 

C'est pour avoir appliqué une idée  "bête comme chou", que j'avais mis en route trois semaines après que mon père a été transféré à l'hôpital Charles-Foix, aux "Glycines", dans l'Unité de Soins Normalisés du docteur Jean-Yves Beinis,  que j'avais fait mentir les prévisions des neurologues : mon père avait pu se rétablir en quelques semaines et récupérer à 30/30 au MMSE ses facultés cérébrales alors qu'elles étaient passées de 25/30 à 22/30 en l'espace de trois semaines pour sombrer à 0/30 encore trois semaines plus tard, puisqu'il avait alors sombré dans un coma carus (diagnostic posé après que j'ai constaté une mydriase totale et l'aréactivité non moins totale de mon père aux stimulations).

Le docteur Beinis avait-il lui aussi plongé dans le coma ? Non pas dans un coma carus, comme mon père, mais un coma hypnotique  dans la mesure où il n'avait rien voulu entendre de ce que lui avait dit madame Pondu, la Surveillante de son Service, le 6 janvier au matin, que son malade souffrait bel et bien de la maladie de Biermer, ainsi qu'elle avait pu s'en rendre compte en essayant la veille dans l'après-midi de le faire manger en constant la présence dans sa bouche d'une glossite de Hunter, caractéristique d'une profonde avitaminose B12, avitaminose dont la cause est le plus souvent la maladie de Biermer, la maladie que les Urgentistes des lits-Portes  de l'hôpital Bicêtre avaient diagnostiqué devant moi cinq semaines plus tôt, sans que jamais ce diagnostic n'apparaisse dans le compte-rendu d'hospitalisation et la lettre de transmission destinées au docteur Beinis !          

Aux “Glycines”, les pigeons étaient non seulement tolérés, mais très bien considérés. Ne sont-ils pas les symboles de la Paix et de la foi en l'avenir ?

Aussi, de grandes volières y abritaient de jolies tourterelles blanches, qui attiraient les pigeons des alentours.  Ils leur faisaient non seulement une cour effrénée, mais pouvaient se pavaner dans les allées, et même dans les chambres des malades sans en être chassés.

Je m'étais permis d'en faire la remarque critique après que j'ai vu une dizaine de ces joyeux volatiles entrés par la fenêtre se taper furieusement la cloche aux dépens plateau repas du soir de la malade de la chambre qui jouxtait celle de mon père.

A quoi l'infirmière à qui j'en avais fait la remarque, me répondit "que les pigeons mettaient un peu de vie dans le Service".

Je regrette de n'avoir pas eu l'idée bête comme chou d'en faire des photos ou un film.  

 

D'où mon idée bête comme chou  d'en faire ici même le récit sur le "blog de leon

 

Bête comme chou avait été au XIII e siècle l'idée de Leonardo Fibonacci d'utiliser le zéro positionnel pour faciliter les calculs alors que ce système de numérotation était connu depuis des millénaires. Si le génial Archimède avait eu l'idée de s'en servir, les découvertes de Képler, Galilée, Newton et Lavoisier auraient sans doute pu être faites plus tôt ?

 Bête comme chou aussi l'idée de Jenner de prendre au sérieux la remarque d'une fermière, que le cow-pox protégeait plus sûrement et plus efficacement de la variole que la technique de la variolisation et d'en faire un vaccin. Cf. Professeur Patrick Berche dans son livre "Gloires et impostures de la médecine" Perrin 2011;

 Bête comme chou celle du père d'un enfant qui s'était noyé de pratiquer le bouche à bouche pour tenter de le réanimer plutôt que d'utiliser la méthode mécanique qui prévalait alors, qui était exposée dans les stations du métro parisien jusqu'à la fin des années 1950;

Bête comme chou la découverte du docteur Ignace Semmelweiss qui avait remarqué et tenté de faire appliquer la règle qu'il fallait se laver soigneusement les mains avant d'entreprendre un accouchement pour faire chuter drastiquement la mortalité des accouchées et des nourrissons; 

Bête comme chou celle du docteur Pierre Cretien, qui, contrairement aux neurologues qui s'occupaient de son père, avait remarqué qu'il ne fallait pas faire aveuglément confiance au test de Schilling pas plus qu'à la cobalaminémie pour éliminer le diagnostic de maladie de Biermer dans la survenue récente d'une "atteinte diffuse du système nerveux" associée à la survenue d'un déficit intellectuel et d'un délire paranoïde quand lesdits neurologues ont choisi d'attribuer ses troubles à une "encéphalopathie vasculaire" compliquant une "DTA" (Démence de type Alzheimer);

Bête comme chou l'invention du gouvernail, qui permit à Christophe Colomb de découvrir l'Amérique;

 Bête comme chou celle d'utiliser l'énergie cinétique de la lune pour produire de l'hydrogène verte à petit prix par un système transférentiel.

Bête comme chou l'idée de mettre des petites roues sous les valises.

Bête comme chou l'idée de la direction de l'hôpital Bicêtre d'accuser le Dr. Cretien d'avoir "lui-même sciemment fabriqué la maladie de son père par antisémitisme" quand il s'est adressé à la CADA pour que le dossier d'hospitalisation de son père lui soit communiqué alors qu'il lui avait été dit qu'il était introuvable, qu'il avait été perdu   

... 

Ceci dit, je n'ai pas vu le film au titre mystérieux "Rien sur Robert", réalisé en 1999  par Pascal Bonitzer, avec Fabrice Luchini dans le rôle principal, mais à en lire le résumé, le film n'a rien à voir avec Robert Badinter et l'abolition la peine de mort.

Or Hamida Djandoubi, réputé avoir été "le dernier condamné à mort pour assassinat après tortures et barbarie, viol et violences avec préméditation" est loin d'avoir été la dernière personne à être condamnée à mort et avoir été exécuté au nom de la République.

A ce sujet, comme j'avais essayé de le faire savoir à Me Badinter dans une lettre que je lui avais adressé dans les années 1990 lorsqu'il était Sénateur, la peine de mort a encore été appliquée en France après 1977 pour des raisons inavouables dans certaines Cliniques et certains hôpitaux, et qui plus est en la faisant inutilement précéder de grandes souffrances physiques et psychologiques aux condamnés, du moins à celui dont il était question dans ma lettre (à savoir mon père.) 

Il avait réussi de justesse à en réchapper en 1990 grâce à la présence d'esprit de la Surveillante d'un Service de gériatrie, qui avait fait savoir au fils du condamné quel était l'astucieux moyen mis en œuvre pour que la mort du condamné puisse être mise au compte de la vieillesse et de la maladie d'Alzheimer, affection imparable. 

La Surveillante avait permis à l'auteur de ces lignes, qui est médecin, d'intervenir alors qu'il était presque plus temps, pour empêcher la condamnation de se réaliser, pareil à un cow-boy surgissant au dernier moment pour empêcher la pendaison d'un des siens en faisant mouche sur la corde du supplicié.

Je n'ai pas fait un double de la lettre que j'avais adressé à Me Badinter.

(adressée au Sénat).

Je n'ai pas eu de réponse. Lui avait-elle été transmise ? L'avait-il lue ?

L'affaire que je lui avais soumis a été improprement appelée "l'affaire Christine Malèvre", mais elle aurait aussi bien fait, et même mieux fait de s'appeler  "l'affaire Gérard Saïd" ou "l'affaire Olivier Ille" ou "l'affaire Jean-Yves Beinis".

Je ne saurais dire si je lui avais écris avant ou après que cette affaire a éclatée ? 

Sans Laurence Kouyoumdjian, l'affaire Malèvre n'aurait sans doute pas éclatée, et les assassinats de malades devenus embarrassants auraient pu se poursuivre encore assez longtemps.

Voir pourquoi sur ce blog j'ai écrit les précédents articles "Que la lumière soit" !  

Il est apparemment possible d'accéder directement à "Que la lumière soit n° 2" en poursuivant la lecture de celui-ci après l'encart publicitaire, de même pour accéder à "Que la lumière soit n°1"sous titré "DEMANDEZ-VOUS POURQUOI ?", qui permet d'accéder de la même façon à l'article précédent intitulé "Des solution opérantes bêtes comme chou" qui a trait à un moyen inédit et plus performant que les barrages pour extraire  l'énorme et quasi inépuisable gisement d'énergie que présente la lune dans sa course autour de la terre, et ainsi de suite jusqu'à l'article consacré à Freud et à "l'effet yau de poêle en psychanalyse"  

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7 octobre 2021 4 07 /10 /octobre /2021 00:54

Dans la soirée du lundi 11 septembre 1990 (non pas du 12 septembre, comme signalé dans mes articles précédents)  je me suis trouvé, en présence de ma sœur (de deux ans mon aînée), dans la nécessité de porter secours à mon père, hospitalisé depuis trois semaines en gériatrie dans une "USN" gériatrique (l'Unité de Soins Normalisés du CHU Charles-Foix) pour mettre en route, de toute urgence, le traitement de la maladie de Biermer, parce qu'il venait de sombrer dans un coma carus (je suis médecin).

Mon père avait été admis en neurologie six semaines plus tôt, dans la matinée du vendredi 2 août 1990, à hôpital Bicêtre, dans le Service du professeur Gérard Saïd, sur le diagnostic de présomption de cette maladie, posé devant moi dans la soirée du 31 juillet par les Urgentistes des Lits-Portes de cet hôpital.

Son état fut rapporté par les neurologues de manière imprécise à une "ATTEINTE DIFFUSE DU SYSTEME NERVEUX" (sic), c'est-à-dire à une atteinte qui correspond plus à un diagnostic crypté et confidentiel des rarissimes et effrayantes LEMP (les Leuco-Encéphalopathies-Multifocales-Progressives) qu'à celui attaché à la très fréquente maladie de Biermer, et à l'encore plus fréquent syndrome NDB12PP (de Non Dissociation de la Vitamine B12 de ses Protéines Porteuses), en 1990 une entité clinique restée jusqu'alors méconnue, mais reconnue dans les années suivantes, "vers le milieu des années 1990" (sic, selon les Drs.E .Andrès & al., Internistes des hôpitaux de Strasbourg.

Quoique très rares et alors au dessus de tout recours thérapeutique, et de ce fait effrayantes, les LEMP étaient à l'époque du SIDA devenues d'actualité parce qu'en augmentation à cause de celui-ci.

Elles étaient alors considérées dessus de tout recours thérapeutique, hormis par un traitement vitaminique B12, selon plusieurs articles de la prestigieuse Revue américaine "Archives of Neurologie", mais publiés dans les années qui suivirent (en 1991, 1992 et 1993, voir infra en bibliographie), c'est-à-dire en fait par le traitement de la maladie de Biermer, qui consiste à administrer drastiquement cette vitamine.

Toujours est-il que cette méconnaissance a conduit les neurologues du Service du professeur Saïd à délibérément ignorer le diagnostic posé par les Urgentistes des Lits-Portes (parmi lesquels Antoine Moulonguet, qui est actuellement Chef d'un Service  de neurologie au CHU La Pitié-Salpétrière).

Le neurologues firent comme si mon père était atteint de cette dernière entité clinique pourtant rarissime, posant officiellement dans leur Compte-Rendu d'hospitalisation le pseudo diagnostic d'une "atteinte diffuse du système nerveux". 

A moi, le Chef de Clinique, le Dr. Pascal Masnou, le seul médecin avec qui j'avais pu discuter du cas de mon père, déclara une dizaine de jours après son admission en neurologie, qu'il ne souffrait malheureusement pas de la maladie de Biermer, mais d'une "DTA" (Démence de Type Alzheimer) compliquant  une "encéphalopathie vasculaire" (sic). que mon père était "de toute façon voué à une inéluctable plus grande aggravation" (sic), et qu'il était par conséquent "pour lui comme pour moi, préférable que sa maladie ne dure pas trop longtemps", cependant que je soutenais le contraire, que mon père ne pouvait pas souffrir d'une démence de type Alzheimer parce qu'il avait encore il y a quelques mois une mémoire d'éléphant, et qu'il souffrait maintenant à l'évidence de la maladie de Biermer,  puisque même si les résultats chiffrés  du test de Schilling étaient revenus normaux du laboratoire, sa passation, qui nécessite l'administration d'une dose déjà thérapeutique pour ladite maladie, avait dans les jours qui avaient suivi la passation du test, été suivie d'un léger mieux sur le plan neurologique.

J'avais ainsi donné mon avis au Dr. Masnou, en appelant à l'adage qui énonce que "la clinique prime le laboratoire", qu'il fallait donc poursuivre le traitement de la maladie de Biermer, d'autant que du fait que la constatation que j'avais fait d'une petite amélioration dans les deux ou trois jours après le passage du test, il était certain qu'un gliome cérébro-spinal n'était pas en cause, qu'il n'y avait par conséquent aucun inconvénient à ce que le traitement de la maladie de Biermer soit poursuivi, même si le test de Schilling, à 35 %, paraît normal, et aussi la vitaminémie B12, à 225  ng/L, elle aussi dans les limites (quoique basses) de la normalité, d'autant que la vitamine B12 est totalement atoxique en dehors de de présence d'un gliome.

Le Chef de Clinique fit mine de souscrire à mon raisonnement, mais n'en tînt en réalité aucun compte. Bien au contraire, après que mon père a été transféré à l'hôpital Charles-Foix le 22 août dans l'USN gériatrique du docteur Jean-Yves Beinis, au prétexte que le son état ne s'était pas amélioré malgré le traitement et qu'il occupait inutilement un coûteux lit de spécialité - alors qu'il ne recevait pas réellement le traitement demandé et ne l'avait jamais reçu, remplacé par du Prozac* - la consigne fut transmise au gériatre de me tenir autant que possible éloigné pendant au moins une quinzaine de jours parce que "j'interférais" (sic) avec les traitements, de ne faire administrer qu'un faux-semblant de traitement de la maladie de Biermer, parce qu'il ne faut surtout pas contrarier les fous (je suis en effet psychiatre, et par conséquent zinzin et incompétent sur le plan médical). 

Je sais tout cela parce que le Dr. Beinis me l'a lui-même répété, et d'autre part parce qu'en décembre 1995 la direction de l'hôpital Charles-Foix lui a donné l'ordre de me laisser faire copies du dossier d'hospitalisation de mon père dans son Service. J'y ai trouvé, avec d'autres documents significatifs, une lettre manuscrite datée du 22 août de la main d'Olivier Ille, qui était en août 1990 un des Internes du Service de neurologie du professeur Gérard Saïd.

On trouvera la suite et des données complémentaires sur cette incroyable méga entourloupe médicale dans les articles précédents du "blog de leon", dont le dernier a pour titre "Que la lumière soit", sous-titré "Demandez-vous pourquoi ?" auquel il est souvent possible d'accéder directement en poursuivant la lecture de celui-ci après l'encart publicitaire.

Cela semble dépendre du moteur de recherche utiliser, ou de je ne sais quoi ? 


Bibliographie  (les articles de la Revue "Archives of Neurology" relatifs au traitement vitaminique B12 des complications neurologiques dues au VIH ont été mis en exergue orange)

1- 1978 Kolhouse & al, New Engl. J. Med. 299, 15, 787 – 792. “Cobalamin analogues are present in human plasma and can mask cobalamin deficiency because current radioisotope dilution assays are not specifique for true cobalamin”.
2 – 1987 Berger JR & al. Ann Intern Med. 107 : 78 “Progressive multifocal leukoencephalopathy associated with human immunodefiency virus infection”
3 – 1987 Ogier H. & al. éd. Masson "La cobalamine (vitamine B12), APECTS METABOLIQUES, GENETIQUES, NUTRITUIONNELS ET THERAPEUTIQUES"; 254-281.
4 – 1988 J. Lindebaum & al. N. Engl. J. of Med. “Neuropsychiatric disorders caused by cobalamin deficiency in the absence of anemia or macrocytosis”

5 – Arch Neurol 1991;48(3):312-314. "Abnormal vitamin B12 metabolism in human immunodeficiency virus infection : association with neurological dysfunction" (Accepted for publication September 5, 1990).
6 – Arch Neurol 1992;49:501-506. “Plasma Vitamin B12 Level as a Potential Cofactor in Studies of Human Immunodeficiency Virus Type 1- Related Cognitive Changes”.
7 – Arch Neurol 1993;50:807-811. Robertson et al. “Vitamin B12 Deficiency and Nervous System Disease in HIV Infection”
8 – JAMA 1993;269:1144-1153. “Preventive Health Care for Adults With HIV Infection”

9 – Arch Fam Med 1994;3:988-1002. "Human Immunodeficiency. Physician Guidelines, Advisory Group on HIV Second Edition"
10 – J. Nutr. 1997;127:345-351. "Low Serum Vitamin B-12 Concentrations Are Associated With Faster Human Immunodeficiency Virus Type 1 (HIV-1) Disease Progression".
11 – AIDS Clin Care 1998;1-1 “Peripheral Neuropathy in HIV Disease”.
12 – Neurology 1999;53:592-592. “Prevalence of peripheral neuropathy in injection drug users”
13 – Arch Neurol 1999;56:84-89. "Peripheral Nerve Function in HIV Infection: Clinical, Electrophysiologic, and Laboratory Findings"
14 – Pediatrics 2000;106:35e-35. “Distal Sensory Polyneuropathy in a Cohort of HIV-Infected Children Over Five Years of Age”
15 – Neurology 2002;58:730-735. “Abnormal cobalamin-dependent transmethylation in AIDS-associated myelopathy
16 – Revue de Médecine Interne 2003;24 (4): 218-223. "Carence en vitamine B12 avec test de Schilling normal ou syndrome de non dissociation de la vitamine B12 de ses protéines porteuses chez le sujet âgé. Etude de 60 patients".
17* - Arch Neurol. 2003;60(10):1457-62.) “Neuropsychiatric disturbances in presumed late-onset cobalamin C disease”. (E. Roze, D. Gervais, S.Demeret, H. Ogier de Baulny, J. Zittoun, J.-F. Benoist, G. Saïd, C. Pierrot-Deseilligny, F. Bolgert)
18 – L' Encéphale, décembre 2003 Vol 29 (6), p. 560 – 565. "Délire Capgras chez une patiente de 64 ans atteinte d'une maladie de Biermer". ( C. Durand; S. Mary; P. Brazo; S. Dollfus).
19 – Revue Neurologique 2006;162 (1):22-42. Atteintes du système nerveux central et infections par le virus VIH -1 (Antoine Moulignier, Service de Neurologie, Fondation Adolphe Rotschild, 75019, Paris)
20  - Anne-Marie Casteret "L'affaire du sang" La découverte 1992

Le professeur Gérard Saïd, qui a en novembre 1997  fait supprimer l'abonnement de la bibliothèque du CHU de Bicêtre à la Revue Archives of Neurology et fait retirer tous les numéros existants de ses rayonnages au prétexte que c'était "une très mauvaise Revue" (sic) n'e a pas moins continuer à y faire inscrire son nom dans ses publications, comme par exemple au n°17 de la présente bibliographie, au côté des docteures Jacqueline Zittoun et Hélène Ogier de Baulny.  

 

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28 septembre 2021 2 28 /09 /septembre /2021 02:27

Demandez-vous pourquoi 

en 2004 l'hôpital Bicêtre et le Professeur Saïd m'ont accusé d'avoir moi-même sciemment "fabriqué" la maladie de mon père par "antisémitisme" (sic), et menacé de porter l'affaire devant les tribunaux en vertu de l'article 40 du CPP
- cette menace ne fut pas mise à exécution
- le Professeur Saïd n'a pas porté plainte pour diffamation après il m'en a menacé parce que je m'étonnais de ce que le dossier du malade a tout de suite été déclaré perdu quand j'ai demandé à le consulter

- Emmanuel Hirsch, qui n'est pas médecin, m'a tout de suite coupé la parole en me disant qu'il "connaissait son histoire par cœur” quand j'ai cherché à lui parler de ce qui était arrivé à mon père dans le Service du professeur Gérard Saïd.

- l'AP – HP  s'est dépêché de créer en 1995 un espace dit "éthique" de l'AP – HP pour le confier à Emmanuel Hirsch, qui n'est pas médecin mais une relation du professeur Saïd

- le Pr. Saïd s'est vu ou s'est fait attribuer le titre de chercheur à l'INSERM pour ses travaux sur l'intérêt de la B vitaminothérapie des affections neurologiq

- le Professeur Gérard Saïd a fait disparaître en novembre 1997, avec l'aval de la direction de l'hôpital Bicêtre, la Revue de référence qu'est Archives of Neurology de la bibliothèque de son CHU – au prétexte que c'était une "très mauvaise Revue" (sic) cependant qu'après il a fait des pieds et des mains pour y faire paraître son nom au côté des prestigieuses signatures des docteures Jacqueline Zittoun et Hélène Ogier de Baulny dans un article traitant des affections liées aux troubles métaboliques de la vitamine B12 ?

- le Dr. Laurence Kouyoumdjian ne fut nullement félicitée d'avoir fait cesser les assassinats en série commis par Christine Malèvre sous l'égide du Dr. Olivier Ille mais invitée à aller exercer ses talents ailleurs cependant qu'Olivier Ille a gardé son poste.

Christine Malèvre, qui avait tout d'abord fièrement revendiqué trente “euthanasies” n'a été condamnée que pour six et à purger 12 ans de prison (et été  libérée 4 ans après) alors qu'elle avait été jugée immature, qu'elle relevait par conséquent de l'internement psychiatrique et non de la prison ?

l'Ordre des médecins à travers Patrice Bodenan°°° a réclamé contre moi l'application de l'article L 460 du CSP et pourquoi pas contre les Drs Olivier Ille, Gérard Saïd et Jean-Yves Beinis

DEMANDEZ-VOUS ENFIN POURQUOI

- un collectif de médecins s'est réuni à l'hôpital Saint-Louis après que le Dr. Laurence Kouyoumdjian a dénoncé les assassinats de malades réalisés au CHU de Mantes la Jolie par Christine Malèvre sous l'égide du Dr. Olivier Ille, c'est-à-dire sous celle du neurologue qui avait depuis Bicêtre enjoint au D. Jean-Yves Beinis de ne faire que semblant d'administrer à mon père le traitement de la maladie de Biermer, le traitement qui lui sauva la vie après que j'ai été en mesure de le lui administrer;  Ce collectif se rassurait en se répétant que "dans cette affaire", il n'y avait rien à craindre "puisque nous contrôlons la médecine, la presse et la justice".

- Martin Hirsch, qui a été fait directeur de l'AP – HP, ne répond pas à ces questions ?

- C'est Michel Barrau, le procureur qui protégeait les façons étranges qu'avait le médecin-propriétaire de la Clinique Léon Elmelik de satisfaire ses pulsions sexuelles, que le ministre de la justice Dominique Perben a choisi pour aller à Toulouse étouffer les mystérieux suicides des prostituées qui réussissaient à se suicider en se plantant des couteux dans le dos, en se noyant dans une casserole ou en s'étouffant avec un couche-culotte enfoncée dans la bouche ?

- au colloque qui s'est tenu en décembre 2004 à la mairie du XVI e arrondissement de Paris à l'initiative du CRIF une femme a posé une question à laquelle Roger Cukierman, pas plus que Sami Gozlan où les personnes présentes dans l'assemblée n'ont voulu répondre, une question qui était dans le même sens que celle posée trois ans plus tôt à l'AFPE au sujet de la marche blanche du 3 mars 2001 (Cf. l'article sur les maltraitances  mis en ligne sur mon blog en août 2009).

Surtout ne répondez pas à ces questions, parce que ce n'est le rôle des journalistes de chercher à répondre à des questions trop sombres.

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20 septembre 2021 1 20 /09 /septembre /2021 22:16

"un enfant meurt de faim toutes les 30 secondes dans le monde", écrit Jean-François Riffaud, le Directeur général d' Action contre la Faim, dans une longue lettre "personnalisée", avec photo, cartes postales et compte-goutte (!) à l'appui, déposée par DESTINEO le 1.10. 20, adressée à madame G., citant The Lancet 2013, United Nations Office for the Humaniterian Affairs (OCHA 2018-19) et l'Organisation Mondiale de la Santé 1919.

C'est une des nombreuses lettres d'appel au don que reçoit madame G. (une des sœurs de ma mère), qui aura 100 ans en octobre prochain, alors qu'elle a à peine les moyens de payer la maison de retraite qui l'a accueilli l'an dernier à la suite d'un petit AVC (dont elle s'est depuis heureusement assez, et même très bien remise !)

Mais ne serais-je pas tenté de faire comme ces milliardaires au cas où la solution que je préconise dans ce blog pour que les voitures électriques soient écologiques au lieu d'être encore plus catastrophiques que les voitures à moteur thermique serait adoptée, puisque c'est une solution qui pourrait (qui devrait) faire de moi un milliardaire ?

On m'objectera 1° qu'à l'âge que j'ai je ne le supporterais probablement pas physiquement, et 2° qu'avant de faire quelques tours plus ou moins paraboliques dans l'espace lesdits milliardaires ont sans doute déjà fait preuve de générosité en octroyant une obole pas que symbolique à l'Action contre la Faim.

Dans cette affaire, il importe de prendre en considération la solution écologique que je propose pour que je sois en mesure de m'envoyer en l'Air et d'Agir contre la Faim.

A l'heure de la primaire des écologistes, avis à madame Delphine Batho, que j'engage à faire preuve de bon sens, p. ex. en en faisant connaître une information mise en ligne sur "blog de leon", qui pour les automobilistes risque de ne pas être aussi stupide  qu'en avait l'air celle que j'avais proposée en 1990, qui avait fait mentir les savants neurologues du Service de neurologie du professeur Gérard Saïd à l'hôpital Bicêtre: Ils  avaient commis l'erreur ("vénielle") de déclarer que leur malade était "de toute façon voué à une inéluctable plus grande aggravation", (sic, dixit à la mi-août 1990 le Chef de Clinique Pascal Masnou) et moi la faute, à leurs yeux "impardonnable" parce que "antisémite" (sic, dixit en 2004 madame Isabelle Pilot, porte-parole de la direction de l'hôpital Bicêtre après que je me suis adressé à la CADA pour pour pouvoir enfin accéder au dossier d'hospitalisation de mon père, dossier que l'hôpital Bicêtre prétendait avoir égaré alors que je savais de bonne source - par le docteur François Chedru en 1996 - qu'il ne l'avait jamais été) de leur avoir proposé une solution "bête comme chou", une solution tellement simple qu'ils n' avaient pas voulu l'appliquer cependant qu' enla circonstance c'était celle qu'il fallait !

L'énergie préconisée pour faire fonctionner les véhicules électriques (trains, avions, voitures et trottinettes) est celle de la lune !

Cette solution, elle aussi "bête comme chou", a fleuri dans ma tête en juin 2012, après quarante-cinq ans de vaines cogitations, depuis que l'usine marémotrice construite dans les années 1960 entre Dinard et Saint-Malo , dans la Baie de la Rance, sur la Commune de à La Richardais, a été mise en Service, qui exploite cette énergie de façon irrationnelle.

A la différence de celle que je propose, la solution alors adoptée par les instances gouvernementales y est ni très performante,  ni très écologique, et pas du tout économique.

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Dans la première semaine de septembre 1990, après avoir appris que j'étais médecin, les infirmières qui s'occupaient de mon père dans le Service de gériatrie du docteur Jean-Yves Beinis  (CHU Charles-Foix, à Ivry/seine), parce que leur malade allait de plus en plus mal et parce qu'elles avaient d'elles-mêmes su faire le diagnostic de sa maladie, m'ont fait savoir qu'elles avaient reçu l'ordre de ne faire que semblant de lui administrer le traitement de la maladie de Biermer, alors que c'est une maladie bien connue pour être inéluctablement débilitante et mortelle à court terme si elle ne reçoit pas au plus tôt son traitement spécifique, à savoir la vitamine B12 à doses drastiques (la maladie de Biermer fait partie des urgences médicales).

Mais le docteur Beinis n'avait rien voulu changer aux ordres qu'il avait précédemment donné parce qu'ils provenaient de l'hôpital Bicêtre, plus précisément du Service de neurologie du très éthique professeur Gérard Saïd, où mon père avait été hospitalisé le 2 août avant d'être transféré le 22 août à Charles-Foix au prétexte qu'il était, malgré le traitement de cette maladie (traitement qu'en fait il ne recevait déjà pas réellement bien que ce soit sur le diagnostic de celle-ci qu'il avait été hospitalisé à Bicêtre) "de toute façon voué à une inéluctable plus grande aggravation" (sic, dixit le Chef de Clinique Pascal Masnou). Qu'il y occupait par conséquent inutilement un coûteux lit de spécialité.

J'ai ainsi été en mesure de mettre moi-même en route ledit traitement alors que mon père était tout près de mourir (il avait sombré dans un coma carus).

Contre toute attente ("à la surprise générale") mon père se rétablit en quelques jours: il regagna 30/30 au MMSE alors qu'il avait été "étiqueté" maladie d'Alzheimer.

Il fut ainsi en mesure de porter l'affaire devant le procureur du TGI de Créteil (alors sous la coupe de Michel Barrau), qui le 3 juin 1998 requit un non-lieu au prétexte qu'il n'y avait eu "faute de quiconque" malgré les données accablantes de l'expertise du docteur Yves Dano, et bien qu'en 1997 au CHU de Mantes la Jolie, l'infirmière Christine Malèvre ait procédé à l'assassinat d'une trentaine de malade alors qu'elle était sous les ordres du même donneur d'ordres que celui qui avait passé au docteur Beinis la consigne de ne faire que semblant devant moi d'administrer à mon père le traitement de la maladie de Biermer.

Lire sur le blog de leon les articles consacrés au pourquoi et au comment de cette incroyable affaire de Pieds Nickelés, une affaire que le parquet de Créteil avait accepter d'instruire à condition qu'elle ne soit pas ébruitée.

https://genocides.over-blog.com/2016/09/petits-pots-pour-bebes-pour-sauver-la-vie-des-vieux.html

Rien d'étonnant, c'était comme ça que fonctionnait l'Injustice sous François Mitterrand.

 

 

 

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19 septembre 2021 7 19 /09 /septembre /2021 01:38

... on les fait fonctionner à partir d'une pile à combustible utilisant de l'hydrogène fabriqué à partir de l'énergie cinétique de la lune, c'est-à-dire en pratique de l'énergie des marées, une énergie non polluante et presque gratuite, à condition que celle-ci soit récupérée à partir d'un système de transfert séquentiel à mémoire, un système indirect expérimenté et mis au point dans le années 2010, contrairement à l'énergie électrique qui est fabriquée à des prix exorbitants au moyen de lourds barrages, tel que celui de l'usine marémotrice construite dans les années 1960 à La Richardais dans la baie de la Rance, une usine qui a ensuite servi de modèle à travers le monde à d'autres installations de ce type.  

Dans la première semaine de juin 2012, après 45 ans de vaines recherches, une solution technique infiniment plus performante, tant sur le plan du rendement que sur le plan économique et écologique que celle qui est actuellement utilisée pour exploiter la colossale et quasi inépuisable énergie cinétique de la lune dans sa course autour de la terre m'est venue à l'esprit.

Cette solution présente l'avantage de ne pas empiéter sur l'espace maritime, donc de ne pas gêner la navigation ou la pêche côtière, d'être modulable en petites ou grosses unités selon les besoins, locaux ou généraux, d'être complétement prévisible et non pas aléatoire comme le sont les éoliennes, d'être à l'abri des tempêtes et de la corrosion marine, d'être facile à construire et donc à tester en vraie grandeur.

On objectera sans doute que c'est trop beau pour être vrai, parce que si c'était possible, il y a longtemps que les ingénieurs qui ont conçu l'usine marémotrice de la Rance, qui sont beaucoup plus qualifiés que moi en la matière, y auraient pensé (voir en note *).

Il est effectivement étonnant que les ingénieurs, qui trouvent souvent des solutions techniques très ingénieuses à des problèmes a priori impossibles, comme p. ex. la construction de très grands ponts en zone sismique (tel celui qui relie le Péloponnèse à la Grèce continentale, le pont Rion-Antirion) n'aient pas pensé à une solution qui non seulement relève d'un principe de physique bien connu, mais aussi du simple bon sens, cependant que le bon sens serait, selon René Descartes, la chose du monde la mieux partagée (une idée que je ne suis loin de partager avec Descartes, d'autant qu'en maints domaines, le bon sens faisait à lui-même défaut, qui pensait les animaux comme des machines dénuées d'émotion et de sensibilité)

C'est à une simple astuce, à savoir l'utilisation du zéro de positionnement, que l'on doit la formidable accélération du développement technique et scientifique,  à partir du moment où elle a été importée en Europe.

Cette invention nous est aujourd'hui familière et nous paraît naturelle, mais elle a dû passer par Mésopotamie, l'Inde et l'Egypte avant d'être introduite en Europe pour y être adoptée, notamment grâce à Leonardo Fibonacci, une introduction qui à ses débuts rencontra encore durant deux siècles de grandes résistances.

"L’idée géniale n’est pas tant le 0 en tant que nombre, mais le 0 en tant que chiffre positionnel"

http://www.maths-rometus.org/mathematiques/maths-et-nombres/histoire-de-la-numeration.asp

Si le génial Archimède avait eu l'idée de Fibonacci, il aurait certainement pu faire bien d'autres découvertes et impulser un plus grand développement à la compréhension scientifique des phénomènes observés.

Je suis médecin et j'ai quatre-vingt deux ans, autant dire que j'ai aujourd’hui encore plus du mal à me faire entendre par des énarques gouvernementaux que ce qu'il en était 2012 quand je les ai averti du fait.

Delphine Batho, candidate écologiste à la présidence de la République n'avait pas trouvé utile de mettre cette solution écologiste à l'épreuve lorsqu'elle elle était ministre en charge de l'énergie, de l'écologie et du développement durable, malgré la demande du premier ministre Jean-Marc Ayrault, qui m'avait fait savoir qu'il lui avait par deux fois demandé de s'en préoccuper.        

Un physicien comprendra en deux minutes la validité de la solution proposée.

En Allemagne, l’ingénierie est une profession plus valorisée qu'en France. J’espère que mes petits enfants, qui ont allemands, deviendront ingénieurs, mais l'Allemagne est  beaucoup moins que la France dotée de la possibilité d'exploiter sur ses côtes les avantages qu'offre la technique proposée.

J'ai dans l'après guerre été élevé et formé en Suède. J'avais alors une dizaine d'années et j'étais très intrigué par le curieux phénomène de la gravitation, et l'utilisation que l'on pouvait en faire.  

NB *  à l'instar de ce qu'avait été dans le domaine médical la découverte du syndrome NDB12PP, dont j'avais dû faire avant l'heure, c'est-à-dire en août 1990, avant même que sa réalité soit reconnue, vainement postulé l'existence,  devant les neurologues du CHU de Bicêtre, restés réticents, au point de la considérée comme "folle".

J'avais de ce fait été place dans la nécessité de contrecarrer leur décision de ne pas l'appliquer pour tirer mon père d'un coma carus où avait fini par le plonger la non connaissance de ce syndrome méconnu. Un coma qui avait failli être terminal.

Avec un traitement plus approprié que celui que lui administraient lesdits neurologues, j'avais contre toute attente et à la surprise générale, réussi à faire en quelques semaines récupérer à on père ses facultés intellectuelles, à 30/30 au MMSE, au lieu qu'il évolue comme l'avaient annoncé lesdits neurologues. Ils m'avaient péremptoirement déclaré le mois précédemment qu'il était "de toute façon rapidement voué à une plus grande aggravation" - sic, dixit le docteur Pascal Masnou,  t même le docteur François Chedru qui répéta six ans plus tard ce pronostic erroné dans son expertise malgré l'évidence du contraire de façon à minimiser les conséquences des "erreurs" de ses Confrères.

Les médecins du Service de neurologie de l'hôpital Bicêtre m'avaient taxé de dérangement mental lorsque j'en avais proposé l'hypothèse.

Par la suite, en 2004, la direction de l'hôpital Bicêtre m'accusa d'avoir "moi-même sciemment 'fabriqué' la maladie de mon père par antisémitisme" (sic, dixit madame Isabelle Pilot) quand je me suis adressé à la CADA pour avoir communication  du dossier. A cette date,  ledit syndrome a effectivement été reconnu comme étant une forme clinique de la maladie de Biermer, une forme clinique qui reçut en 2003 le nom de syndrome NDB12PP, conformément à ce que j'avais annoncé.

Or loin de me valoir des félicitations, cette découverte, parce qu'elle fut faite au nez et la barde des neurologues de l'hôpital alors qu'ils étaient mieux placés que moi pour la faire, m'a coûté extrêmement cher, tant sur le plan moral que financier.

Mais on est en France, et j'aurais dû m'y attendre.

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12 septembre 2021 7 12 /09 /septembre /2021 15:50

Freud avait lu Schopenhauer, selon qui les concepts et les théories philosophiques ont plus à voir avec les expériences passées inconsciemment vécues par leurs promoteurs qu'avec la réalité objective.

Freud en a-t-il seulement tenu compte lorsqu'il a élaboré l'idée qu'il se faisait de la psychologie des enfants ? (pardon, "père-l'abhorré", selon la terminologie des lacaniens dans leur "retour à Freud", puisque selon Freud et l'expérience qu'il avait de son propre vécu, depuis leur enfance les fils haïssent sans vouloir se l'avouer leur père, c'est-à-dire "inconsciemment" ("à leur insu de leur plein gré" ! ), et symétriquement les filles leur mère.

Inlassablement, malgré l'évidence du contraire, les psychanalystes ont soutenu que les incestes vrais sont exceptionnels, qu'il s'agit de "fantasmes œdipiens" alors que les enfants nés d'un inceste ne sont pas rares et les enfants réellement incestes se comptent par millions rien qu'en France !

Pour preuve, citons l'un d'entre eux, très représentatif de la corporation psychanalytique : “Il ne faut évidemment pas confondre les fantasmes incestueux, présents en tout être humain, et les comportements réels de type incestueux, infiniment plus rares” (page 801 du "Dictionnaire international de psychanalyse", Calmann-Lévy, 2002, une œuvre collective rassemblant plusieurs centaines de psychanalystes, qui ne veulent surtout pas savoir que la France compte 4 millions des victimes d'incestes, selon les estimations du CNRS datant de mai 2017, estimations réactualisées et passées à 6 millions,  à l'occasion de la publication de "Familia grande" au début de cette année.)  

Y aurait-il un rapport entre l'inventions mythologique du complexe d'Œdipe, que Freud prétendait avoir “normalement” éprouvé (normalement, c'est-à-dire comme tout être normalement constitué), et l'occultation du nom de son véritable papa, c'est-à-dire les mensonges de son entourage relatifs à l'origine véritable de sa naissance ?

Autrement dit la naissance de Sigmund Freud ne correspondrait-elle pas à la mise en acte de désirs œdipiens dans es antécédents ?

Est-il vraiment "interdit" de se poser la question depuis que l'on a pu mettre e évidence que ses parents et ses 1/2 frères lui avaient caché que Jakob Freud, officiellement, en principe le père biologique de Sigmund Freud, avait eu deux épouses avant de se marier à une troisième, de 20 ans plus jeune que lui, pour donner naissance audit Sigmund Freud ?

Elle mérite pourtant de l'être, car si Freud a vraiment vécu toute son enfance et jusqu'à un âge avancé sans le savoir, il n'est pas si étonnant qu'il ait lui même persévéré inconsciemment dans l'erreur (sinon consciemment dans le mensonge), ce qui a fait que ses théorisations en procéderaient, et ce pourquoi elles ont été dévastatrices pour les victimes d'incestes ou d'attentats sexuels, qui ont été du fait de l'invention du concept de fantasmes œdipiens accusées de les avoir fantasmés et non de les avoir réellement subis.

Les psychiatres qui s'y sont laissé prendre se sentent depuis quelques années obligés de dire que la théorie œdipienne a été mal comprise, que la formulation du complexe d’œdipe a prêté à confusion. Ainsi du Dr. Alain Braconnier parle-t-il de “malentendu” dans son livre "Mère et fils" (Odile Jacob, janvier 2005).

Pourtant, la définition qu'en donne lui-même Freud à la fin de sa vie dans son "abrégé de psychanalyseest sans ambigüité. Il y stipule clairement que l'enfant "d'âge œdipien" (sic, c'est-à-dire de trois ou quatre ans, une manière astucieuse  pour faire passer la notion qu'un âge œdipien est bien établi sur le plan universel) voudrait copuler avec ses parents, mais qu'il y renonce par crainte des sentiments jalousies que cela pourrait engendrer chez l'autre partenaire (dans la configuration de la famille traditionnelle occidentale).

Le problème, c'est que ce "complexe" lui était propre, il n'a rien d'universel. La raison pour laquelle il l'a formulé ne serait pas celle qu'il avance. Elle serrait plutôt l'expression d'une réalité de lui méconnue, vaguement semblable à l'histoire d'Œdipe, ce qui avait fait que cette légende avait particulièrement retenu son attention.

Or l'histoire d'Œdipe est celle d'un fils dont les parents avaient voulu se débarrasser pour éviter une prédiction funeste.

Cette histoire se lit autrement que ce qu'y avait lu Freud. Ce n'est pas l'histoire d'un fils qui tue son père intentionnellement et par jalousie, mais par les hasards d'une rencontre alors qu'il ne savait pas que c'était son père. C'est aussi celle d'un père pervers qui a voulu tué son fils et qui est prêt à recommencer.

Freud pensait avoir découvert, plus ou moins intuitivement et sans doute de façon projective, ou d'après des expériences personnelles, que les psycho -névroses dites hystériques ou obsessionnelles, à l'instar des névroses succédant aux accidents des chemins de fer, étaient d'origine traumatique, et non pas constitutionnelles. La différence consistant en ce que le traumatisme causal de ces névroses restait méconnu parce que refoulé (le refoulement étant conçu comme un oubli actif, volontaire ou semi volontaire, c'est-à-dire plus ou moins conscient pour employer la terminologie psychanalytique).

En interprétant à sa façon (à l'envers) la légende d'Œdipe, il posa que le refoulement était en rapport avec la culpabilité liée à la transgression d'un interdit, donc passible d'un châtiment.

Mais l'hystérie masque la culpabilité.

Freud avait primitivement posé l'hystérie comme un phénomène sociologique, et non pas biologique et héréditaire, inscrit dans le “sang” ,alors qu'à l'époque de Freud le code génétique n'avait pas  été découvert. Le “sang” en tenait lieu, en guise de métaphore.

L'époque était celle de Cesare Lombroso. On mesurait le crânes pour essayer de caractériser les différents types de personnalités. Dire de l'hystérie qu'elle résultait d'un traumatisme psychologique lié à un abus ou à un attentat sexuel était aller à l'encontre de préjugés présumés “scientifiques ” de Lombroso (des préjugés qui ont longtemps perdurés ! Mon père m'apprenait la personnalité des individus d'après la forme de leur crane ).

En rapportant ses propres souffrances à un conflit intra-psychique remontant à son enfance comme à l'enfance de l'humanité (cf. Totem et Tabou), son conflit a été été appelé "complexe d’œdipe", abusivement, par rapprochement avec le sort réservé à Œdipe, selon Sophocle, dans la tragédie des Labdacides, après qu'il en a déformé le propos, jusqu'à l'inverser. De ce fait, sa compréhension d'histoire d’œdipe est non seulement “perverse”, mais a été sources de perversions.

Elle a fourni aux pervers pédophiles et aux parents incestueux un alibi commode pour se défendre en accusant les enfants de mentir.

Freud aurait-il analysé plus littéralement, c'est-à-dire sans en inverser le sens de l'histoire d’œdipe , qu'il aurait été renvoyé à ses premiers aperçus.

Depuis que les psychiatres ont intégré ses théorisations comme une réalité factuelle, elles ont fait d'énormes ravages chez les enfants victimes d'agressions ou de séductions sexuelles. Et aussi chez adultes victimes de viols, accusés de les avoir imaginées, provoquées ou imaginées, c'est-à-dire "fantasmées" à cause d'un prétendu complexe d'Œdipe "mal liquidé"

Sur un autre plan, qui s'y rattache peut-être, tout à la fin de la grande guerre, en novembre 1918, Adolf Hitler a été hospitalisé à l'hôpital de Pasewalk après avoir eu les yeux brûlés par des gaz de combat. Il avait été confié aux soins du Dr. Edmund Forster. Ce psychiatre avait diagnostiqué chez son patient une cécité hystérique. Il publia le cas.

Le Dr. Forster aurait ensuite été éliminé dès l'arrivée d'Hitler au pouvoir. Le Dr. Ernst Weiss aurait récupéré l'observation du Dr. Forster et réussi à sauvegardé copie de son dossier, déposé dans un coffre en Suisse, mais celui-ci, qui s'était réfugié en France pour fuir la barbarie nazie, s'est suicidé en 1940 lors de l'invasion allemande, sans indiquer où l'on pourrait les retrouver (Cf. Ernst Weiss, "Le témoin oculaire", Aubier, 1963).

La reconnaissance de l'existence de l'hystérie chez les hommes était une entité psychopathologique dont Sigmund Freud se prétendait, le premier découvreur. Il revendiquait la paternité du concept et la disputait avec véhémence, pour ne pas dire de façon haineuse, au Dr. Albert Moll.

Faire d'un patient qui s'était porté volontaire et avait passé quatre ans au front en tant qu'estafette, un poste particulièrement exposé aux tirs de l'ennemi "un hystérique" était faire de lui une “femmelette”.

La paranoïa procèderait, selon Lacan – et cela se vérifie par lui – même, de la "forclusion du Nom du père" (sa théorie est, comme celle de Freud, projective, c'est-à-dire faite à partir de l'expérience de lui-même) .

Au fondement de la doctrine freudienne il y aurait la "forclusion du nom du père" (entendez du nom du père de Freud ) - de la part de sa mère - Œdipe féminin oblige ... , et de façon plus poreuse de la part de son père. Ce qui avait fait de Sigmund Freud un névrosé génial partiellement psychotique. Dans ses lettres à Fliess, il se disait lui-même "hystérique", mais l'hystérie est si proche de la psychose que l'on peut parler de "psychose hystérique" (une notion développée par le psychiatre Sven Follin,  applicable au cas d'Auguste Strindberg).

Le nom de Jakob Freud serait ainsi venu forclore le nom de son père biologique, qui pourrait bien avoir été Jakob Nathansohn, d'où une interprétation de l'histoire d'Œdipe, qui serait une manière "délirante" (masquée et plus ou moins consciente) de formuler une réalité forclose (forclose parce qu'indicible, et indicible parce qu'elle témoigne de la transgression d'un interdit très souvent transgressé, celui de l'inceste). L'interprétation de Freud ne serait donc pas tout à fait délirante, un délire par rapport à sa généalogie, mais une manière de projection, qui la rendrait à lui-même et aux yeux du monde tolérable. Il s'agirait donc d'une sorte d'alibi plus ou moins consciemment assumé.

Il prétend l'avoir découvert en retrouvant des souvenirs d'enfance, en voyant sa mère "nudam" lors d'un voyage en chemin de fer. Il se souvient qu'il avait alors éprouver le besoin de la posséder sexuellement (cf. la description qu'il en donne 80 ans plus tard dans son "Abrégé de psychanalyse", écrit en 1938 et publié en Angleterre en 1940

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