Quatorze points pour comprendre un problème médical enfantin rendu inextricable par une erreur en forme d'embrouille complotiste orientée.
1 - La vitamine B12 est au fonctionnement du système nerveux ce que sont les huiles SAE au fonctionnement des moteurs à explosion.
2 - Bien que les automobiles à essence disposent d'un réservoir d'huile qui permet que la lubrification des moteurs se fasse sur de longues distances, il faut de temps en temps faire l'appoint pour que les moteurs ne viennent à casser, et ce d'autant plus souvent que les moteurs ont parcouru de grandes distances.
3 - Sur une voiture neuve ou récente, un défaut d'étanchéité ou une crevaison du carter d'huile peut aussi mettre les automobiles prématurément hors d'usage.
4 - De même la maladie de Biermer est une affection qui se manifeste cliniquement à partir du moment où l'organisme des individus est profondément carencé en vitamine B12.
5 - Cette affection fait partie des maladies classées "urgences médicales" parce que tout retard à son traitement spécifique expose les malades à en mourir dans de grandes souffrances ou à ne pas pouvoir récupérer les lourdes atteintes du système nerveux engendrées par cette carence .
6 - Cette maladie débilitante est extrêmement fréquentes chez les personnes qui ont passé la soixantaine. 5 à 7 % sont concernées. Cf. infra S. Dollfus L' Encéphale, décembre 2003.
7 - Les perturbations mentales qu'elle peut engendrer ne peuvent et ne doivent pas être confondues avec ceux de la maladie d'Alzheimer, mais l'une n'excluant pas l'existence de l'autre, et étant donné la grande fréquence de ces deux affections avec l'âge, les cas intriqués sont relativement fréquents. D'autant que ===>
8 - ===> une variante clinique de la maladie de Biermer a été découverte "dans le milieu des années 1990" (sic, Cf. E. Andrès & al., qui ont à ce sujet publié en 1996 un article intitulé "syndrome de carence vitaminique B12 avec test de Schilling normal chez soixante sujets âgés".
9 - Ces auteurs ont en 2003 dû rebaptiser leur découverte plus explicitement pour l' appeler "syndrome NDB12PP" (de Non Dissociation de la vitamine B 12 de ses Protéines Porteuses) à cause de l'abandon de la commercialisation du test de Schilling.
10 - Le test de Schilling, avant que sa commercialisation ne soit abandonné, se terminait obligatoirement à la fin de sa passation par l'injection d'un milligramme de vitamine B12 pour en saturer l'organisme afin d'éviter la rétention de la vitamine B12 radioactive nécessaire à la réalisation de ce test.
11 - Selon ces auteurs, le syndrome NDB12PP nouvellement découvert serait trois à quatre fois plus fréquent que la maladie de Biermer. Ce qui n'empêche pas celui-ci d'être resté ignoré de la plupart des médecins praticiens, ainsi qu'il est facile de s'en rendre compte quand on les interroge, bien qu'il soit à terme aussi débilitant et mortel !
12 - Les graves désordres neurologiques et psychiatriques observés dans ces affections sont dus à une profonde carence de l'organisme en vitamine 12. Cf. C. Durand; S. Mary; P. Brazo; S. Dollfus L' Encéphale, décembre 2003 Vol 29 (6), p. 560 – 565. "Délire Capgras chez une patiente de 64 ans atteinte d'une maladie de Biermer".
13 - En 2011, E.Andrès & al. ont suggéré que la grande fréquence du syndrome NDB12PP nouvellement observée correspond à l'augmentation actuelle de l'incidence du diabète de type II. Son traitement par la metformine en serait la cause.
14 - La vitamine B12 est nullement toxique, sauf comme il est connu pour les personnes souffrant de tumeurs neurologiques (gliomes). Comme il en est pour toutes substances, des réactions allergiques sont possibles
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Il paraît a priori impensable que le fait de faire manger un malade à l'aide d'une petite cuillère le contenu d'un petit pot d'aliments pour bébés de six mois puisse avoir été à même de semer la panique au sein de la direction de l'Assistance Publique, de l'Ordre des médecins et de la Justice après que cette action a sauvé la vie d'un malade que ses médecins avaient cru pouvoir (sinon devoir) condamner à mort.
Admis le août 1990 en neurologie à l'hôpital Bicêtre dans le Service du professeur Gérard Saïd, mon père, âgé de 79 ans, avait un peu trop vite été déclaré "être de toute façon voué à une inéluctable plus grande aggravation".
C'était ce que m'avait annoncé le Chef de Clinique, le docteur Pascal Masnou, dix jours après l'admission de mon père dans son Service. Il avait même ajouté à cela qu'il souffrait de la maladie d'Alzheimer, et que "dans l'état où il se trouvait, il valait mieux, pour moi comme pour lui, que cela ne dure pas trop longtemps"..
J'avais protesté qu'il ne pouvait en aucun cas s'agir de cette maladie parce que l'année précédente il avait gardé une mémoire d'éléphant. Il devait donc bien s'agir de la maladie de Biermer, comme il avait été dit à son admission, même si les données de laboratoire (le test de Schilling et la vitaminémie B12) étaient normales. Je lui avais rappelé l'adage, que "la clinique prime le laboratoire".
Que dirait-on d'un garagiste qui affirmerait qu'un pneu visiblement à plat est correctement gonflé parce que son manomètre indique une pression de 2 kg, sinon que c'est le garagiste lui-même qui est bien gonflé !
J'avais par conséquent demandé que le traitement de la maladie de Biermer soit continué, d'autant que j'avais constaté que lest de Schilling avait en lui même apporté une petite amélioration clinique transitoire dans les jours suivants sa passation (Cf. les préambules n° 10 et 14), qu'il n'y avait donc aucun inconvénient à en poursuivre le traitement, puisque cette amélioration donnait la preuve qu'un gliome n'était pas en cause dans la survenue de ses troubles neurologiques.
Le docteur Masnou était sûr de son pronostic. Il ne pouvait pas se tromper puisque le traitement de l'affection pour laquelle mon père avait été hospitalisé en neurologie avait été à mon insu délibérément refusé cependant que la maladie de Biermer est rapidement et inéluctablement mortelle sans son traitement spécifique, ce pourquoi elle fait partie des urgences médicales.
Le docteur Masnou bien qu'il fasse partie d'un Service censé être à la pointe de la recherche en neurologie, fit comme s'il ignorait en 1990 qu'il était depuis longtemps connu qu'un test de Schilling normal ni même une vitaminémie B12 normale ne suffisaient à l'éliminer le diagnostic de maladie de Biermer. Cf: 1978 Kolhouse & al, New Engl. J. Med. 299, 15, 787 - 792. "Cobalamin analogues are present in human plasma and can mask cobalamin defiency because current radioisotope dilution assays are not specifique for true cobalamin".
Pourtant le Service du professeur Saïd n'a pas manqué, deux ans plus tard, par de grandes affiches placardées partout dans les couloirs et la Salle d'attente de faire savoir qu'une Unité de Recherche sur l'intérêt thérapeutique des vitamines dans le traitement des maladies neurologiques lui avait attribué par l'INSERM, sollicitant au passage de la part des familles une participation financière à ses Recherches, alors qu'il avait en 1990 fait comme si l'article de Kolhouse & al publié en 1978 dans le prestigieux New England Journal of Mecicin n'existait pas ?
Ces affiches furent dès le lendemain que j'en ai fait la remarque au docteur Masnou partout retirer, si bien que je n'ai pas pu en faire des photographies.
L'explication que me donna le docteur Masnou à ce retrait soudain était que Michel Crépeau, le Maire de la Rochelle, interdisait la mendicité !
La sentence du docteur Masnou de l’inéluctable aggravation de l'état du malade a été rapportée mot pour mot en février 1996 par le neurologue François Chedru, commis par madame Bénédicte Scelle, Juge d'instruction au TGI de Créteil, pour l'éclairer sur le bien fondé de la plainte de mon père, plainte portée à juste titre pour "coups et blessures volontaires et non assistance à personne en péril" contre les X médecins responsables de ses lourdes séquelles motrices occasionnées après que l'administration du contenu dudit petit pot lui a "miraculeusement" permis d'échapper à la mort : son contenu alimentaire n'était cependant pas en cause. C'était le fait que madame Pondu, la Surveillante de l'Unité de Soins Normalisés du docteur Jean-Yves Beinis, s'était placé en face du malade quand il a fallu lui en faire ingurgiter le contenu avec une petite cuillère qui a révélé la supercherie criminelle qui était à l'origine 1° de la sentence de mort proférée devant moi par le docteur Masnou et 2° de l'inexorable, et pour moi inexplicable, aggravation de son état : alors que le malade était depuis plusieurs semaines censé recevoir de la vitamine B12 à doses drastiques, ce qui est normalement le traitement de l'anémie de Biermer - la maladie qui avait été diagnostiquée à son admission aux Lits-Portes de l'hôpital Bicêtre et la cause de son admission en neurologie - il n'en avait reçu qu'un faux-semblant: 1/2 mg/semaine au lieu d'1 mg/jour par voie intramusculaire, et cela sur l'ordre expresse des neurologues du Service du professeur Gérard Saïd transmis dans un compte-rendu manuscrit de l'Interne Olivier Ille, au docteur Beinis daté du 22 août 1990, dont une copie m'a finalement été communiquée en décembre 1995 par la direction de l'hôpital Charles-Foix après par une lettre RAR j'ai demandé d'avoir copie du dossier d'hospitalisation de mon père dans le Service du docteur Beinis en 1990. Une lettre à laquelle le docteur François Chedru a en tant qu'expert forcément dû prendre connaissance en janvier 1996 mais dont il s'est gardé de faire état dans son expertise.
Demandez-vous pourquoi ?
Le fait que mon père ait, dans l'après-midi du 5 septembre 1990, dû ouvrir la bouche pour en avaler quelques cuillerées avait montré qu'il souffrait d'une GLOSSITE DE HUNTER (une langue rouge complétement dépapillée), pathognomonique des profondes carences vitaminique B12 provoquées par la maladie de Biermer.
L'Administration de l'AP-HP et la Justice firent à la suite de son inattendu rétablissement tout leur possible pour étouffer la reconnaissance de cette monstrueuse supercherie, pour ne pas dire de cette "astucieuse" manière de faire secrètement disparaître des malades gênants pour l'establishment.
Pour des raisons compréhensibles quand on se place du point de vue de l'AP-HP et de la Justice, celles-ci ont fait leur possible pour que l'histoire de la résurrection du malade à partir de l'administration de ce petit pot soit enterrée par un "non-lieu" judiciaire.
Rien d'étonnant donc à ce que Emmanuel Hirsch m'ait en 1997 dit "connaitre par cœur" son histoire bien qu'il ne soit pas médecin, parce que c'est beaucoup grâce à cause de ce qui s'est passé en 1990 que depuis 1995, à la demande expresse du professeur Gérard Saïd, il occupe une Chaire d'enseignement de l'éthique médicale à l'AP-HP.
Cette Chaire a été spécialement créée pour couvrir les égarements de l'AP-HP. Une Chaire d'enseignement hypocritement appelée "Espace Éthique de l'AP-HP", des égarements qui se sont prolongés, jusqu'à m'accuser quatorze ans après (en 2004) d'avoir "moi-même sciemment 'fabriqué' la maladie de mon père par antisémitisme" (sic, dixit madame Isabelle Pilot)
Âgé de 79 ans, mon père ne pesait plus que 47 kilos pour 1m76 lorsqu'il a été hospitalisé le 22 août 1990 dans ce qui s'appelle une Unité de Soins Normalisés (sic), en l'occurrence celle de l'hôpital gériatrique Charles-Foix, tellement "normalisés" qu'on y laissait les pigeons se pavaner dans ses couloirs et se taper furieusement a cloche aux dépens des plateaux repas des malades devenus incapables de les en empêcher. "Ils mettent un peu de vie dans le Service", me fit-on savoir lorsque je m'en suis inquiété.
Précédemment hospitalisé le 2 août en neurologie pendant trois semaines dans service du professeur Gérard Saïd sur le diagnostic correct de maladie de Biermer, et donc celui d'une profonde avitaminose B12 facile à corriger par une vitaminothéraie B12, il avait été transféré en gériatrie trois semaines plus tard au prétexte que son état s'était aggravé malgré le traitement cependant qu'en réalité il ne l'avait pas reçu. Seul du Prozac* avait été administré bien que l'On (le Chef de Clinique Pascal Masnou) m'ait fait croire que le traitement de cette maladie était administré.
Resté sans traitement réel, mon père était devenu trop mal en point pour manier la fourchette et pouvoir manger tout seul, mais ce n'est pas dans sa chambre mais dans la chambre voisine que j'avais surpris des pigeons se taper la cloche juchés sur la table de chevet d'une malade impotente.
La personne qui venait apporter les plateaux repas repassait une demi-heure plus tard pour les reprendre.
Le malade, devenu squelettique, en était arrivé au point qu'il était en passe de mourir au soir du lundi 11 septembre 1990.
Le Chef du Service, un gériatre répondant au nom de Jean-Yves Beinis, ne s'était pas du tout inquiété de cet état de chose, même après que madame Pondu, la Surveillante, lui a fait part de ce qu'elle-même avait pu observer dans l'après-midi du 5 septembre en essayant de faire manger le malade : il maintint l'ordre qu'il avait lui-même reçu de la part des neurologues du Servie du professeur Gérard Saïd, de ne faire que semblant d'administrer devant moi le traitement de la maladie de Biermer. .
Il faut le comprendre parce que les neurologues qui lui avaient adressé le malade depuis le CHU de Bicêtre (depuis le Service de neurologie du professeur Gérard Saïd), diagnostic d'une Pour que le docteur Jean-Yves Beinis ne soit pas tenté de lui en administrer le traitement, plutôt que de parler d'anémie de Biermer, comme l'avaient fait devant moi les Urgentistes des Lits-Portes de l'hôpital Bicêtre au terme de leur examen neurologique comme au vu de l'hémogramme du malade au soir du mercredi 31 juillet 1990, ils avaient ainsi de façon floue, à la fois ni vraie ni fausse, "étiqueté" l'affection du malade qu'ils lui adressaient. Ils savaient que le docteur Beinis était peu regardant n'y verrait pas malice.
Cette atteinte, ils la disaient être consécutive à une encéphalopathie vasculaire compliquant une probable maladie d'Alzheimer, et sans doute aussi une tumeur du tronc cérébral, qu'ils avaient baptisée "hydrome sous-tentoriel" .
Les neurologues de Bicêtre avaient en conséquence prévenu le docteur Beinis, comme ils m'avaient aussi prévenu, que le malade était "de toute façon voué à une inéluctable plus grande aggravation" (sic)
Cet "étiquetage" et le pronostic qui allait avec ont été reporté à l'identique dans une expertise judiciaire rédigée en février 1996 par le docteur François Chedru, neurologue Chef de Service au CHU de Meaux (voir à "omerta médicale et non-lieu abusif" sur le "blog de leon")
Le professeur René-Claude Touzard avait été pressenti par madame Bénédicte Scelle, Juge d'Instruction au TGI de Créteil, pour instruire le procès que ledit malade avait intenté contre X après qu'il a pu récupérer ses esprits et une dizaine de kilos grâce à l'action conjuguée.
1° - d'un petit d'aliments pot pour bébés
2° - de la cyanocobalamine à dose drastique.
Bibliographie
1- 1978 Kolhouse & al, New Engl. J. Med. 299, 15, 787 – 792. “Cobalamin analogues are present in human plasma and can mask cobalamin deficiency because current radioisotope dilution assays are not specifique for true cobalamin”.
2 – 1987 Berger JR & al. Ann Intern Med. 107 : 78 “Progressive multifocal leukoencephalopathy associated with human immunodefiency virus infection”
.3 – 1987 Ogier H. & al. éd. Masson "La cobalamine (vitamine B12), APECTS METABOLIQUES, GENETIQUES, NUTRITUIONNELS ET THERAPEUTIQUES"; 254-281.
4 – 1988 J. Lindebaum & al. N. Engl. J. of Med. “Neuropsychiatric disorders caused by cobalamin deficiency in the absence of anemia or macrocytosis”
5 – Arch Neurol 1991;48(3):312-314. "Abnormal vitamin B12 metabolism in human immunodeficiency virus infection : association with neurological dysfunction" (Accepted for publication September 5, 1990).
6 – Arch Neurol 1992;49:501-506. “Plasma Vitamin B12 Level as a Potential Cofactor in Studies of Human Immunodeficiency Virus Type 1- Related Cognitive Changes”.
7 – Arch Neurol 1993;50:807-811. Robertson et al. “Vitamin B12 Deficiency and Nervous System Disease in HIV Infection”
8 – JAMA 1993;269:1144-1153. “Preventive Health Care for Adults With HIV Infection”
9 – Arch Fam Med 1994;3:988-1002. "Human Immunodeficiency. Physician Guidelines, Advisory Group on HIV Second Edition"
10 – J. Nutr. 1997;127:345-351. "Low Serum Vitamin B-12 Concentrations Are Associated With Faster Human Immunodeficiency Virus Type 1 (HIV-1) Disease Progression".
11 – AIDS Clin Care 1998;1-1 “Peripheral Neuropathy in HIV Disease”.
12 – Neurology 1999;53:592-592. “Prevalence of peripheral neuropathy in injection drug users”
13 – Arch Neurol 1999;56:84-89. "Peripheral Nerve Function in HIV Infection: Clinical, Electrophysiologic, and Laboratory Findings"
14 – Pediatrics 2000;106:35e-35. “Distal Sensory Polyneuropathy in a Cohort of HIV-Infected Children Over Five Years of Age”
15 – Neurology 2002;58:730-735. “Abnormal cobalamin-dependent transmethylation in AIDS-associated myelopathy”
16 – Revue de Médecine Interne 2003;24 (4): 218-223. "Carence en vitamine B12 avec test de Schilling normal ou syndrome de non dissociation de la vitamine B12 de ses protéines porteuses chez le sujet âgé. Etude de 60 patients".
17* - Arch Neurol. 2003;60(10):1457-62.) “Neuropsychiatric disturbances in presumed late-onset cobalamin C disease”. (E. Roze, D. Gervais, S.Demeret, H. Ogier de Baulny, J. Zittoun, J.-F. Benoist, G. Saïd, C. Pierrot-Deseilligny, F. Bolgert)
18 – L' Encéphale, décembre 2003 Vol 29 (6), p. 560 – 565. "Délire Capgras chez une patiente de 64 ans atteinte d'une maladie de Biermer". ( C. Durand; S. Mary; P. Brazo; S. Dollfus).
19 – Revue Neurologique 2006;162 (1):22-42. Atteintes du système nerveux central et infections par le virus VIH -1 (Antoine Moulignier, Service de Neurologie, Fondation Adolphe Rotschild, 75019, Paris)
20 - Anne-Marie Casteret "L'affaire du sang" La découverte 1992