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20 mars 2022 7 20 /03 /mars /2022 14:53

==> En faisant connaître des réalités qui dérangent.

C'est ce qu'avait assez vite compris Sigmund Freud, après qu'il a montré, dans un livre publié en 1895 sous le titre "Études sur l'hystérie", que la survenue des troubles psychiatriques dits "hystériques", était attribuable à des attentats sexuels subis bien plus tôt dans l'enfance ou l'adolescence. 

A un confrère berlinois, le docteur Wilhelm Fliess qui lui servait de confident, il avait dans une lettre datée février 1897 confié qu'il en avait lui-même été victime de la part de son père, avant de s'aviser, dans une lettre qu'il lui a adressé six mois plus tard, qu'il était préférable de taire de telles réalités, faisant semblant de s'être trompé.

Son revirement est très bien relaté par la psychanalyste Marie Balmary dans un livre, "L'homme aux statues", paru en 1979 chez Grasset, qui est la publication de son dérangeant Mémoire de psychanalyse, rejetée par son directeur de Thèse (le Dr. Jean Laplanche, au prétexte ouvertement controuvé qu'il s'agissait d'un Mémoire de sociologie qui n'avait rien à voir avec la psychanalyse.    

Sa savante publication qui fit qu'elle fut mise à l'index par les professionnels bien-pensants : Elisabeth Roudinesco, dans son "Dictionnaire de psychanalyse", l'accusa d'avoir chercher à "christianiser Freud". Une accusation qui n'est d'ailleurs pas irréaliste puisque Freud a pris sur lui les fautes (les fellations) que Jakob Freud avait imposé à ses frères et sœurs et sur lui-même dans leur enfance,  et par  le psychanalyste Jeffrey-Moussaieff Masson, dans "Assault on truth", publié en 1984, un best-seller aux États-Unis traduit la même année en France sous le titre "Le réel escamoté", publié aux éditions Aubier-Montaigne. Ce livre y fut très peu diffusé, mais abondamment décrié par les professionnels de la Cause. Et pour cause. Les réalités dérangeantes font peur aux complexés du freudisme.  

Si la planche fut dans l'immédiatement "savonneuse", elle fut après sa publication chez Grasset salvatrice pour de nombreux patients rendus plus malades qu'ils n'étaient par les psychanalystes en orthodoxie devenus formatés / formatants.    

De même elles sont effrayantes pour les complexés de l'éthique médicale quand ils font semblant de confondre la maladie d'Alzheimer avec la maladie de Biermer.

La maladie de Biermer est une affection qui se manifeste cliniquement à partir du moment l'organisme est en manque de vitamine B12. Comme l'infarctus, elle  fait partie des "urgences médicales", parce que tout retard à son traitement expose les malades à mourir ou à ne pas pouvoir récupérer les atteintes du système nerveux que cette affection occasionne, cependant qu'elle  est extrêmement fréquente chez les personnes qui ont passé la soixantaine.

Une forme clinique trois à quatre plus fréquente que les formes habituelles, qui est restée méconnue jusque dans "le milieu des  années 1990" (selon l'expression des Drs. E. Andrès & al), est depuis 2003 dénommée par ceux-ci en France "syndrome NDB12PP" (de Non Dissociation de la vitamine B 12 de ses Protéines Porteuses) après qu'ils l'ont appelé "syndrome de carence vitaminique B12 avec test de Schilling normal chez les personnes âgées" (Cf. E. Andrès & al., qui écrivent l'avoir débusquée dans un article paru en 1996 sous ce titre à propos de la recension d'une soixantaine de cas de malades âgés. 

Selon ces auteurs, le syndrome NDB12PP serait trois à quatre fois plus fréquent que la maladie de Biermer. Ils ont en 2011 mis ce fait au compte de la metformine (Glucophage*), le traitement du diabète de type II, qui entrave l'assimilation de la vitamine B12.   

Les graves désordres neurologiques et psychiatriques observés dans ces affections sont dus à une profonde carence de l'organisme en vitamine 12. Cf. C. Durand; S. Mary; P. Brazo; S. Dollfus L' Encéphale, décembre 2003 Vol 29 (6), p. 560 – 565. "Délire Capgras chez une patiente de 64 ans atteinte d'une maladie de Biermer"

.En 2011, E. Andrès & al. ont suggéré que la grande fréquence du syndrome NDB12PP nouvellement observée correspond à l'augmentation actuelle de l'incidence du diabète de type II à cause du traitement par la metformine, qui interfère avec la vitamine B12.

- / -

Démonstration (si c'en et une):

Admis le 2 août 1990 en neurologie à l'hôpital Bicêtre dans le Service du professeur Gérard Saïd, mon père, âgé de 79 ans, avait un peu trop vite été déclaré " être de toute façon voué à une inéluctable plus grande aggravation".

C'était ce que m'avait annoncé le Chef de Clinique, le docteur Pascal Masnou, dix jours après l'admission de mon père dans son Service.

Le Dr. Masnou avait ajouté à ses dires que mon père avait la maladie d'Alzheimer, et que "dans l'état où il se trouvait, il valait  mieux, pour moi comme pour lui, qu'il ne survive pas trop longtemps". 

J'avais protesté qu'il ne pouvait en aucun cas s'agir de cette maladie parce que l'année précédente mon père avait gardé une mémoire d'éléphant, qu'il s'agissait donc bien de la maladie de Biermer, même si les données du test de Schilling et de la vitaminémie B12 étaient normales, qu'il fallait par conséquent continué le traitement de cette maladie, d'autant que j'avais constaté que le test de Schilling avait en lui même apporté une amélioration clinique transitoire dans les jours suivants sa passation, qu'il n'y avait donc aucun inconvénient à en poursuivre le traitement puisque cette amélioration donnait la preuve qu'un gliome n'était pas en cause dans la survenue de ses troubles neurologiques.        

Le docteur Masnou était sûr de lui. Il ne pouvait pas se tromper puisque le traitement de l'affection pour laquelle mon père avait été hospitalisé en neurologie lui avait été secrètement refusé alors même que la maladie de Biermer avait été la raison de son admission en neurologie après qu'elle a tout de suite été diagnostiquée par les Urgentistes qui avaient examiné mon père aux Lits-Portes sur la constatation d'un tableau clinique dit de sclérose combinée -  Or la maladie de Biermer est rapidement et inéluctablement mortelle sans son traitement spécifique. C'est d'ailleurs pourquoi elle fait partie des urgences médicales. 

 Le docteur Masnou bien qu'il fasse partie d'un Service qui se prétendait à la pointe de la recherche en neurologie, a fait comme s'il ignorait en 1990 qu'il était depuis longtemps connu qu'un test de Schilling normal ni même une vitaminémie B12 normale ne suffisaient à l'éliminer le diagnostic de maladie de Biermer.  Cf: 1978 Kolhouse & al, New Engl. J. Med. 299, 15, 787 - 792. "Cobalamin analogues are present in human plasma and can mask cobalamin defiency because current radioisotope dilution assays are not specifique for true cobalamin".

Pourtant le Service du professeur Saïd n'a pas manqué, deux ans plus tard, par de grandes affiches placardées partout dans les couloirs et la Salle d'attente de faire savoir qu'une Unité de Recherche sur l'intérêt thérapeutique des vitamines dans le traitement des maladies neurologiques lui avait attribué par  l'INSERM, sollicitant au passage de la part des familles une participation financière à ses Recherches, alors qu'il avait en 1990 fait comme si l'article de Kolhouse & al publié en 1978 dans le prestigieux New England Journal of Mecicin n'existait pas.

Ces affiches furent dès le lendemain que j'en ai fait la remarque au docteur Masnou partout retirer, si bien que je n'ai pas pu en faire des photographies.

L'explication que me donna le docteur Masnou à ce retrait soudain était que Michel Crépeau, le Maire de la Rochelle, interdisait la mendicité ! 

La sentence du docteur Masnou de l’inéluctable aggravation de l'état du malade a été rapportée mot pour mot en février 1996 par le neurologue François Chedru, commis par madame Bénédicte Scelle, Juge d'instruction au TGI de Créteil, pour l'éclairer sur le bien fondé de la plainte de mon père, plainte portée à juste titre pour "coups et blessures volontaires et non assistance à personne en péril" contre les X médecins responsables de ses lourdes séquelles motrices occasionnées après que l'administration du contenu dudit petit pot lui a "miraculeusement" permis d'échapper à la mort : son contenu alimentaire n'était cependant pas en cause. C'était le fait que madame Pondu, la Surveillante de l'Unité de Soins Normalisés du docteur Jean-Yves Beinis, s'était placé en face du malade quand il a fallu lui en faire ingurgiter le contenu avec une petite cuillère qui a révélé la supercherie criminelle qui était à l'origine 1° de la sentence de mort proférée devant moi par le docteur Masnou et 2° de l'inexorable, et pour moi inexplicable, aggravation de son état : alors que le malade était depuis plusieurs semaines censé recevoir de la vitamine B12 à doses drastiques, ce qui est normalement le traitement de l'anémie de Biermer - la maladie qui avait été diagnostiquée à son admission aux Lits-Portes de l'hôpital Bicêtre et la cause de son admission en neurologie - il n'en avait reçu qu'un faux-semblant: 1/2 mg/semaine au lieu d'1 mg/jour par voie intramusculaire, et cela sur l'ordre expresse des neurologues du Service du professeur Gérard Saïd transmis dans un compte-rendu manuscrit de l'Interne Olivier Ille,au docteur Beinis daté du 22 août 1990, dont une copie m'a finalement été communiquée en décembre 1995 par la direction de l'hôpital Charles-Foix après par une lettre RAR j'ai demandé d'avoir copie du dossier d'hospitalisation de mon père dans le Service du docteur Beinis en 1990. Une lettre à laquelle le docteur François Chedru a en tant qu'expert forcément dû prendre connaissance en janvier 1996 mais dont il s'est gardé de faire état dans son expertise.

Demandez-vous pourquoi ?

Le fait que mon père ait, dans l'après-midi du 5 septembre 1990, dû ouvrir la bouche pour en avaler quelques cuillerées avait montré qu'il souffrait d'une GLOSSITE DE HUNTER (une langue rouge complétement dépapillée), pathognomonique des profondes carences vitaminique B12 provoquées par la maladie de Biermer.

L'Administration de l'AP-HP et la Justice firent à la suite de son inattendu rétablissement tout leur possible pour étouffer la reconnaissance de cette monstrueuse supercherie, pour ne pas dire de cette "astucieuse" manière de faire secrètement disparaître des malades gênants pour l'establishment

Pour des raisons compréhensibles quand on se place du point de vue de l'AP-HP et de la Justice, celles-ci ont fait leur possible pour que l'histoire de la résurrection du malade à partir de l'administration de ce petit pot soit enterrée par un "non-lieu" judiciaire.

Rien d'étonnant donc à ce que Emmanuel Hirsch m'ait en 1997 dit "connaitre par cœur" son histoire bien qu'il ne soit pas médecin, parce que c'est beaucoup grâce à cause de ce qui s'est passé en 1990 que depuis 1995, à la demande expresse du professeur Gérard Saïd, il occupe une Chaire d'enseignement de l'éthique médicale à l'AP-HP.

Cette Chaire a été spécialement créée pour couvrir les égarements de l'AP-HP. Une Chaire d'enseignement hypocritement appelée "Espace Éthique de l'AP-HP", des égarements qui ont été jusqu'à m'accuser, quatorze ans après (en 2004) d'avoir "moi-même sciemment 'fabriqué' la maladie de mon père par antisémitisme" (sic, dixit madame Isabelle Pilot)

Âgé de 79 ans, mon père ne pesait plus que 47 kilos pour 1m76 lorsqu'il a été hospitalisé le 22 août 1990 dans ce qui s'appelle une Unité de Soins Normalisés (sic),  en l'occurrence celle de l'hôpital gériatrique Charles-Foix, tellement "normalisés" qu'on y laissait les pigeons se pavaner dans ses couloirs et se taper furieusement a cloche aux dépens des plateaux repas des malades devenus incapables de les en empêcher. "Ils mettent un peu de vie dans le Service", me fit-on savoir lorsque je m'en suis inquiété.    

Précédemment hospitalisé le 2 août en neurologie pendant trois semaines dans service du professeur Gérard Saïd sur le diagnostic correct de maladie de Biermer, et donc celui d'une profonde avitaminose B12 facile à corriger par une vitaminothéraie B12, il avait été transféré en gériatrie trois semaines plus tard au prétexte que son état s'était aggravé malgré le traitement cependant qu'en réalité il ne l'avait pas reçu. Seul du Prozac* avait été administré bien que l'On (le Chef de Clinique Pascal Masnou) m'ait fait croire que le traitement de cette maladie était administré . 

Resté sans traitement réel, mon père était devenu trop mal en point pour manier la fourchette et pouvoir manger tout seul, mais ce n'est pas dans sa chambre mais dans la chambre voisine que j'avais surpris des pigeons se taper la cloche juchés sur la table de chevet d'une malade impotente.

La personne qui venait apporter les plateaux repas repassait une demi heure plus tard pour les reprendre..

Le malade, devenu squelettique, en était arrivé au point qu'il était en passe de mourir au soir du lundi 11 septembre 1990.

Le Chef du Service, un gériatre répondant au nom de Jean-Yves Beinis, ne s'était pas du tout inquiété de cet état de chose, même après que madame Pondu, la Surveillante, lui a fait part de ce qu'elle-même avait pu observer dans l'après-midi du 5 septembre en essayant de faire manger le malade : il maintint l'ordre qu'il avait lui-même reçu de la part des neurologues du Servie du professeur Gérard Saïd, de ne faire que semblant d'administrer devant moi le traitement de la maladie de Biermer.     .

Il faut le comprendre parce que les neurologues qui lui avaient adressé le malade depuis le CHU de Bicêtre (depuis le Service de neurologie du professeur Gérard Saïd), au vu d'un scanner et d'autres examens para cliniques, avaient astucieusement posé le diagnostic d'une  "ATTEINTE DIFFUSE DU SYSTÈME NERVEUX". Pour que le docteur Jean-Yves Beinis ne soit pas tenté de lui en administrer le traitement, plutôt que de parler d'anémie de Biermer, comme l'avaient fait devant moi les Urgentistes des Lits-Portes de l'hôpital Bicêtre au terme de leur examen neurologique comme au vu de l'hémogramme du malade au soir du mercredi 31 juillet 1990, ils avaient ainsi de façon floue, à la fois ni vraie ni fausse, "étiqueté"  l'affection du malade qu'ils lui adressaient. Ils savaient que le docteur Beinis était peu regardant n'y verrait pas malice. 

Cette  atteinte, ils la disaient être consécutive à une encéphalopathie vasculaire compliquant une probable maladie d'Alzheimer, et sans doute aussi une tumeur du tronc cérébral, qu'ils avaient baptisée "hydrome sous-tentoriel" .

Les neurologues de Bicêtre avaient en conséquence  prévenu le docteur Beinis, comme ils m'avaient aussi prévenu, que le malade était "de toute façon voué à une inéluctable plus grande aggravation" (sic)

Cet "étiquetage" et le pronostic qui allait avec ont  été reporté à l'identique dans une expertise judiciaire rédigée en février 1996 par le docteur François Chedru, neurologue Chef de Service au CHU de Meaux (voir à "omerta médicale et non-lieu abusif" sur le "blog de leon") 

Le professeur René-Claude Touzard avait été pressenti par madame Bénédicte Scelle, Juge d'Instruction au TGI de Créteil, pour instruire le procès que ledit malade avait intenté contre X après qu'il a pu récupérer ses esprits et une dizaine de kilos grâce à l'action conjuguée.

1° - d'un petit d'aliments pot pour bébés 

2° - de la cyanocobalamine à dose drastique.

 

La cyanocobalamine est la vitamine B12, une vitamine

indispensable au bon fonctionnement du système nerveux

 des malades lorsque ceux-ci sont atteints de la très

fréquente maladie de Biermer, une maladie qui touche

environ 5% des personnes âgées. De 3 à 7 % selon les

auteurs ayant publié sur le sujet. La  revue l'Encéphale a 

fait état de 7 % en 2003 dans un article consacré au délire

de Capgras)

Ou du syndrome NDB12PP, une affection apparentée à la

maladie de Biermer touchant deux fois plus de malades que

la maladie de Biermer, un syndrome qui serait sans doute

resté encore plus longtemps méconnu si l'administration d'un

petit pot pour bébés ne l'avait pas fait découvrir en 1990.

Son existence a été reconnue après que la plainte du malade

a semé la panique au sein de l'AP - HP, au point qu'il avait

fallu prendre en considération les dires du rédacteur du

présent article.

Il avait postulé son existence lorsqu'il avait signalé aux neurologues

de l'hôpital Bicêtre qu'il devait exister des formes de maladies de

Biermer avec test de Schilling normal et vitaminémie B12 normal.

Ceux-ci l'avaient très mal pris et avaient conseillé au docteur

Cretien, psychiatre, d'aller se faire soigner en psychiatrie  pour

avoir osé proférer pareilles inepties devant de si savants

neurologues.   

Pour plus de précisions sur ce cas on est prié de se reporter au site 108281777 html sur le blog de leon, article daté du 18 juillet 2012 (une lettre postée depuis la poste de l'Haÿ-les-Roses, une lettre à laquelle les destinataires n'ont jamais daigné répondre bien que pour certains d'entre eux soient en charge de l'éthique médicale et d'autres de la destinée économique du pays), et, sur le même site, à l'article "A ne pas ébruiter ", daté du 18 mars 2016 (et/ou à celui plus ancien traitant sur ce blog du "droit des patients hospitalisés", une lettre destinée à la direction de l'AP - HP datant du 27 juillet 2009), en attendant la suite.

Lire après l'encart publicitaire   "L'art de bidonner les expertises médicales" 

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18 mars 2022 5 18 /03 /mars /2022 22:50

Il est impossible à des neurologues expérimentés, sauf à le faire exprès, de confondre la maladie de Biermer, dans laquelle un profond déficit en vitamine B12 est en cause, avec la maladie d'Alzheimer.

 La maladie de Biermer fait de ce fait partie des urgences médicales, puisqu'elle est rapidement mortelle quand ce déficit n'est pas comblé.

C'est pourtant une telle confusion que les neurologues du Service du professeur Gérard Saïd avaient faite.

Or c'était sur le diagnostic de maladie de Biermer, fondé sur la lecture de l'hémogramme et la constatation, faite devant moi, d'un tableau neurologique de sclérose combinée de la moelle, que mon père avait été dirigé sur le Service du Pr. Saïd après son passage aux Lits-Portes de l'hôpital Bicêtre.

Non seulement les neurologues avaient fait semblant de confondre des entités qui se ressemblent comme un Camembert ressemble à un Carré des Vosges, mais au terme de trois semaines d'hospitalisation ils avaient fait transporter mon père à Charles-Foix en gériatrie dans l'Unité de Soins Normalisés du docteur Jean-Yves Beinis au prétexte que malgré le traitement de la maladie de Biermer son état s'était dégradé au au lieu de s'améliorer et il occupait par conséquent inutilement à Bicêtre un coûteux lit de spécialité cependant qu'ils m'avaient caché qu'il n'avaient fait que semblant de le lui administrer et l'avaient  remplacé par du Prozac*.

Qui plus est, dans la lettre de transmission adressée au docteur Beinis, rédigée par l'Interne Olivier Ille, était passé de consigne de ne surtout pas tenir compte de ce que je pourrais lui dire au prétexte que j'étais un psychiatre déjanté *, et de continuer à ne faire que semblant devant moi d'administrer le traitement de la maladie de Biermer par ce qu'il ne faut pas contrarier les fous. Cf. en conclusion du CR d'hospitalisation signé de l'Interne Olivier Ille où pour tout traitement seuls sont préconisés la rééducation et du Prozac* !
Mon père a finalement dû sa survie et son rapide rétablissement intellectuel à madame Pondu, la Surveillante de l’Unité de Soins Normalisés du Dr. Beinis (dans la lettre du 8/3/93 de l'Assistante du Pr. Saïd  Martine Dési au psychiatre Dominique Roubineau il a été évalué en février 1991 dans le Service du Pr. Gérard Saïd à 30/30 au MMSE) : dans l’après-midi du 5 septembre 1990, essayant de lui faire avaler avec une petite cuillère un petit d’aliments pour bébés que j’avais apporté, madame Pondu vit qu’il présentait une langue complètement rouge et dépapillée. C'est une glossite appelée glossite de Hunter. Elle est douloureuse et apparaît lorsque l’organisme présente d’un profond déficit vitaminique B12 ou B 9. Elle explique en partie le fait qu'il laissait depuis plusieurs jours repartir son plateau repas sans y avaoir touché et un amaigrissement devenu aussi impressionnant qu'inquiétant
La présence de cette glossite fit comprendre à la Surveillante que, contrairement à ce qui lui avait été raconté à l’admission de mon père dans son Service, le fils du malade n’était pas fou, que la consigne qui avait été donnée de ne faire que semblant d’administrer au malade le traitement de la maladie de Biermer était une grave erreur. Mais après qu’elle lui a signalé la présence de cette glossite,  le Dr. Beinis n’a rien voulut changer au traitement. Ne voulant être associée à des consignes mortifères, elle envoya une de ses élèves m'inviter à venir rifier sur le cahier des prescriptions médicamenteuses si le traitement administré à mon père était bien celui qu’il fallait.
La présence de cette glossite, dite de Hunter, du nom du Dr. William Hunter, avait convaincu madame Pondu que l’état de mon père relevait bel et bien, comme je l’avais prétendu devant le Dr. Beinis dans l'après-midi du 22 aout, de l’anémie de BiermerLe docteur Beinis n'avait pas supporté que je lui dise mon avis et m'avait donné le sien en échange: les neurologues de Bicêtre l'avaient prévenu contre moi.
Ayant compris que je n’étais pas aussi insensé que ce qui lui avait été dit, elle envoya le surlendemain une de ses élèves me prévenir que le docteur Beinis n'avait rien voulu changer à ses consignes malgré l'apparition de cette glossite. C’était comme s’il en avait ignoré la signification.
C'est dans ces circonstances que dans la soirée du 11 septembre 1990 j'ai in extremis mis mettre en route le traitement de la maladie de Biermer alors que mon père était dans un état effrayant et avait fini par sombrer dans un coma carus, ainsi que je l’ai décrit dans « Maltraitances aux personnes âgées », un des premiers articles de mon blog, référencé 34640255 html (sur le blog de leon)

Si la direction de l'hôpital Charles-Foix a fini par donner l'ordre au docteur Beinis de me permettre d'accéder au dossier d'hospitalisation de mon père dans son Service, quand je me suis adressé à la CADA pour que me soit communiqué le dossier d'hospitalisation de mon père en neurologie, la direction de l'hôpital Bicêtre  a continué de prétendre, comme elle l'avait toujours fait, que le dossier avait été perdu, alors que je savais pertinemment, par le docteur François Chedru, qu'il ne l'avait jamais été.

La Direction ajouta à son éhonté mensonge que j'avais moi-même "sciemment 'fabriqué'(sic) la maladie de mon père par antisémitisme".

Une telle accusation faisait à la direction de cet hôpital comme au Pr Saïd obligation d'en faire le signalement aux autorités judiciaires, en vertu de l'article 40 du CPP.  Ce dont le Pr. Saïd ne se fit pas faute de me menacer (devant témoins.

 Mais il s'est empressé d'oublier de mettre ses menaces à exécution.

Cf. entre autres articles du BLOG DE LEON  "Une affaire à ne surtout pas ébruiter" et "des petits pots pour bébés pour sauver la vie des vieux"

L'AP-HP, quand les Services qu'elle chapeaute commettent des actes aussi répréhensibles que ceux qui ont été commis en 1997 au CHU de Mantes la Jolie par Christine Malèvre sous l'égide du docteur Olivier Ille (rappelons qu'Olivier Ille a déclaré à la Justice n'avoir rien remarqué alors que Christine Malèvre s'était dans un premier temps vantée d'avoir fait trépasser une trentaine de malades quand elle pensait que c'était ce qu'il fallait faire avant,  de se rétracter quand elle s'est aperçue qu'il ne fallait pas le crier sur le toits) adopte un procédé accusatoire superposable à celui à celui dont Vladimir Poutine s'est servi pour frapper l'Ukraine.

Le milieu médical est "un panier de crabes" où l'information et la désinformation circulent vite (Cf. Hervé Hamon dans les premières pages de son livre "Nos médecins", paru en 1994 aux éditions du Seuil), et ce n'est certainement pas par hasard si le professeur Olivier Lyon-Caen a choisi le Dr. Chedru pour venir parler des expertises médicales à l'émission de France-Culture  "Avec ou sans rendez- vous" le 13 septembre 2011, lesquelles sont par essence partiales. 

Pour présenter et justifier la raison de l'émission la Rédaction de  France-Culture écrit :

<< Avec ou sans rendez-vous est consacré aujourd’hui à l’expertise médicale.Le monde de l’expertise est à la fois méconnu et inquiétant. Méconnu car on ne sait pas qui est expert et comment on le devient. Inquiétant car toute évaluation est soumise à une appréciation par essence partiale puisqu’elle est le reflet de l’analyse d’un homme. Il était temps donc d’essayer de mieux connaître l’expert et l’expertise et pour traiter de ce sujet notre invité est le Docteur François Chedru. Ancien médecin des hôpitaux, François Chedru est expert près la cour d’appel de Paris et la cour administrative d’appel de Paris, agréé par la cour de cassation. >>

Le Professeur Lyon-Caen, neurologue de la FFN (à l'instar du CNTS, qui est devenu l’Établissement Français du Sang, la Fédération Française de Neurologie s'était mise à changer d'appellation dans les années 1990) ne pouvait ignorer à quoi son invité s'était livré en rédigeant une expertise savamment bidonnées pour le compte, conjugué, des Professeurs Gérard Saïd, André Lienhart, René-Claude Touzard, de la direction de l'hôpital Bicêtre et partant de celle de  l'AP - HP,  du ministre de la Santé, de celui de la Recherche, du ministre de la Justice et du Conseil de l'Ordre des médecins, qui tous avaient besoin d'être disculpés en même temps que de voir les médecins de la Clinique Léon Elmelik être disculpés après que mon père a "par ma faute" pu porter plainte contre X en sortant vivant, "à la surprise générale" (selon l'expression du docteur Michel Serdaru), de l'astucieuse tentative d'assassinat dont il avait secrètement fait l'objet de la part des neurologues du Service du Pr. Gérard Saïd en 1990.

D'autant que mon père n'était certainement pas le seul, pas plus que le premier ni le dernier malade à avoir fait l'objet de mesures semblables, ainsi qu'en témoigne ce qui s'est passé en 1997 dans le Service du docteur Olivier Ille, au CHU de Mantes la Jolie, où Christine Malèvre, qui pensait avoir agi comme il fallait, s'était dans un premier temps fait gloire d'avoir réussi à faire passer de vie à trépas une trentaine de malades, avant de se rétracter, quand elle a été dénoncée par le docteur Laurence Kouyoudjian et qu'elle s'est aperçue que ce n'était surtout pas à crier sur les toits.

Toute proportion gardée, bien, que cela ait aussi fait des milliers de victimes, mais tout à fait à la façon dont l'AP-HP a, dans les années 1990, recouru à la falsification éhontée des données, au mensonge, à des alliances contre nature (avec le Conseil de l'Ordre des médecins), à des menaces et à des experts issus de ses rangs pour couvrir des bavures et des "malfaçons" délibérément criminelles que certains Chefs de Services avaient accepté de commettre au bénéfice d'intérêts privés et institutionnels, dont les siens, pour avoir accepté de se servir de lots sanguins non chauffés du CNTS, des lots que l'AP-HP savaient contaminés par le VIH, le président Poutine recourt au contrôle de l'information, au terrorisme et à la manipulation de l'opinion publique pour justifier et couvrir les exactions criminelles de son armée en Ukraine. 

Il est en effet impossible de confondre, à moins d'être tout à fait incompétents ou de le faire exprès, la maladie d'Alzheimer avec la maladie de Biermer, comme l'avaient fait en 1990 les neurologues du Service du Pr. Gérard Saïd à l'hôpital Bicêtre au sujet de mon père.

Afin de pouvoir asseoir leurs dires mensongers sur des données prétendument "objectives", lesdits neurologues avaient sciemment falsifié les données du laboratoire, notamment les données du test de Schilling, à faux déclaré être à 35% et donc normal, cependant qu'il était en réalité à 5%, donc franchement en faveur du diagnostic de maladie de Biermer, le diagnostic qui était la raison même de son hospitalisation en neurologie. 

Ce bon diagnostic avait été porté en ma présence lors de son passage aux Lits-Portes de l'hôpital Bicêtre, au terme de l'examen clinique et à la lecture de l’hémogramme réalisé en urgence.

Le bon diagnostic avait ainsi tout de suite été formulé par les Urgentistes - dont Antoine Moulonguet - devant un tableau clinique de "sclérose combinée de la moelle", un tableau qui signe la plupart du temps une forme évoluée de cette affection, une maladie qui, comme l'infarctus du myocarde, fait partie des urgences médicales ....

Après avoir falsifié les données para-cliniques, les neurologues du Service du Pr. Saïd avaient

décrété que mon père souffrait, en plus de la maladie d'Alzheimer, d'une "encéphalopathie vasculaire" et que son état était en conséquence : "de toute façon voué à une inéluctable plus grande aggravation". 

Le Chef de Clinique Pascal Masnou avait ajouté à ses dires qu'il "valait mieux pour moi comme pour mon père qu'il ne survive pas trop longtemps à sa maladie", en la circonstance étiquetée "ATTEINTE DIFFUSE DU SYSTEME NERVEUX" (sic), un "étiquetage" qui à l'époque servait à signaler discrètement à qui est du sérail les effroyables LEMP (Leuco Encéphalopathies Multifocales Progressives) consécutives aux contaminations transfusionnelles par le VIH.

-- / -- 

CR d'hospitalisation sciemment fallacieux daté du 30 septembre 1990
(officiellement établi par Olivier Ille)

MOTIF DE L’HOSPITALISATION        

Troubles de la marche

ANTECEDENTS

HTA essentielle, ancienneté inconnue.
Intervention orthopédique pour orteils en marteau en Avril-Mai 90
Prothèse totale de hanche gauche opérée en 84 pour coxarthrose

HISTOIRE DE LA  MALADIE

Se plaint de difficultés à la marche d’installation rapidement progressive au décors de l’intervention orthopédique,
Stable depuis deux mois, la marche est hésitante, la montée des escaliers n’est plus possible, tendance à la rétropulsion et à la chute, le patient étant obligé de se déplacer avec un déambulateur;

EXAMEN CLINIQUE

Etat général conservé. Apyrexie. Tension fluctuante à l’entrée entre 18/12 et 20/12
La station debout et la marche sont très difficiles petits pas.
Membres inférieurs en hyper-extension. Polygone de sustentation légèrement élargi. Tendance au piétinement et à la rétropulsion.
L’occlusion aggrave l’équilibre  (sic)
Au plan neurologique on objective un déficit moteur discret prédominant sur les raccourcisseurs  aux membres inférieurs et coté à 4 +.
Aux membres supérieurs les  petits muscles des mains interosseux et lombricaux sont  discrètement déficitaires à 4. Le tonus est spastique. Les réflexes pyramidaux aux quatre membres, jusqu’en C 4 : Babinski bilatéral.

Au plan de la sensibilité, pas d'astéréognosie. Les troubles prédominent aux membres inférieurs sur la sensibilité proprioceptive. La sensibilité extéroceptive semble  normale, bien que fluctuante d'un examen à l'autre et avec une hypo-esthésie au chaud et au froid et à la douleur en chaussette. Il existe une discrète incoordination motrice bien nette aux membres supérieurs avec hypermétrie. L'examen des paires crâniennes est normal en dehors des réflexes du voile abolis. Enfin, il existe depuis deux à trois mois une incontinence sphinctérienne avec mictions impérieuses.

EXAMEN CARDIO-VASCULAIRE 

Pouls régulier, pas de souffle cardio-vasculaire. Le reste de l'examen clinique est sans particularité en dehors une tendance dépressive de l'humeur, une critique insuffisante des histoires absurdes chez cet ancien opticien et des capacités d'abstraction qui semblent altérées.Le mini mental est évalué à 25/30.
                                                                                                                             .
 DISCUSSION 

 Myélopathie cervicale, affection dégénérative, encéphalopathie vasculaire.

EXAMENS  COMPLEMENTAIRES                                                                                                                               
Biologie usuelle normale. Hémogramme,   hémostase, vitesse de sédimentation, ionogramme, glycémie,  fonctions hépatorénales, fonctions phosphocalciques, électrophorèse des protéines sériques, vitamine B12, pholates sériques, test de SCHILING normaux.(sic) Sérologie syphilitique  négative. 

Infection  urinaire à acinectobacter traitée et stérilisée par NOROXINE     
Radiographie rachis cervical et charnière cervico-occipitale : impression basilaire, arthrose cervicale modérée. Scanner cérébral : atrophie cortico-sous-corticale. Aspect de leuco-araïose mais le scanner est de mauvaise qualité, l’analyse de la substance blanche est difficile.                                                                                                                          Une  IRM du rachis cervical avait été proposée pour étayer le diagnostic d'une myélopathie cervicale mais non réalisée devant une peur panique du patient deux jours avant l'examen
 
CONCLUSION

TROUBLES DE LA MARCHE  EN RAPPORT AVEC UNE ATTEINTE DIFFUSE DU SYSTEME NERVEUX
UNTRAITEMENT ANTI-SPASTIQUE POURRAIT  ETRE BENEFIQUE
PAS D’INDICATION OPERATOIRE
SYNDROME DEPRESSIF TRAITE PAR PROZAC UN COMPRIME PAR JOUR
REVALUATION DES FONCTIONS SUPERIEURES APRES TRAITEMENT
PATIENT TRANSFERE DANS LE SERVICE DE MEDECINE DU Dr. BEINIS Hôpital CHARLES-FOIX

Commentaires. 

C'était le 31 juillet 1990. Je venais de passer trois jours en Ille-et-Viline à La Bénatais, chez la sœur de ma mère et j'avais dit que je passerai par l'Haÿ-les-Roses vers18 h voir mes parents avant de regagner mon domicile à Villejuif, mais c'était sans compter qu'il allait y avoir de si longs bouchons. A peine garé devant le numéro 7 de l'Avenue du Parc il était  20 h 45 que ses voisins pallier m'ont fait savoir qu'ils avaient fait appel à Police secours qui avait appelé le SAMU 94, qui avait conduit mon père aux Lits-Portes de l'hôpital Bicêtre. Ce qui est pas rapporté dans ce CR.

La cause réelle de son hospitalisation n'est pas plus mentionnée : le malade avait été admis en neurologie sur le diagnostic de syndrome neuro-anémique porté aux urgences de l'hôpital et aucune prescription de vitamine B12 ne figure en conclusion de ce CR.

-- / --

et 2° ordonné de ne faire que semblant d'administrer à mon père le traitement de la maladie de Biermer alors que la maladie de Biermer fait partie des urgences médicales parce qu'elle est immanquablement et inopinément mortelle à brève échéance sans son traitement spécifique, la vitamine B12 à très forte dose, surtout dans l'état où en était arrivé mon père, qui de fait présentait alors une "atteinte diffuse du système nerveux", et à qui seulement du Prozac * était administré cependant que ses médecins avaient falsifié les données du laboratoire afin de me faire avaler que mon père ne souffrait pas de la maladie d Biermer tout en me faisant croire qu'il recevait malgré tout le traitement de la maladie de Biemer, et pour finir, me faire accuser par la direction de leur hôpital "d'avoir moi-même sciemment 'fabriqué' la maladie de mon père par antisémitisme" quand je me suis adressé à la CADA pour que le dossier d'hospitalisation de mon père me soit enfin communiqué, ce qu'il ne sera jamais, au prétexte, tout aussi mensonger, qu'il avait été perdu. 

Aux dires du professeur Gérard Saïd (consulté le 3 mars 1992) les neurologues de son Service s'étaient tout simplement trompés, et mon père avait en 1990 non seulement souffert de carence vitaminique B12, mais de carences multi-vitaminiques, ce qui est contradictoire avec les accusations qu'il a fait dire douze ans plus tard à la direction de l'hôpital Bicêtre, que j'aurais "moi-même sciemment fabriqué la maladie e mon père par antisémitisme" (sic).

En 1996, le Pr. André Lienhart était médecin anesthésiste à la Maternité du CHU Saint-Antoine (j'y suis né du temps où elle était dirigée par le docteur Lévy-Solal sur la recommandation d'un ami du directeur de cet hôpital) et le Dr. François Chedru était neurologue Chef de Service au CHU de Meaux.

Les médecins et la médecine française sont les meilleurs !

Pierre Cretien

PS au SMS adressé ce jour au Magazine de la Santé (au 41555) et à qui de droit : le Pr. André Lienhart et le Dr. François Chedru, ont, en 1996, dans leur commune expertise, avalisé cette “savante” façon de faire de leurs Confrères, qui avaient ainsi voulu empêcher leur malade de porter plainte contre des confrères d'une Clinique obstétricale qui se livraient à des pratiques spécieuses autant que spéciales.

Voir lesquelles dans les articles mis en ligne sur le blog de leon. Notamment un de ceux qui sont actuellement les plus consultés, intitulé  "Des petits pots pour bébés pour sauver la vie des vieux". 

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5 mars 2022 6 05 /03 /mars /2022 20:03

Le "fruit interdit" serait celui qui en France est le plus consommé.

Selon Jamy les Français en consommeraient 20 kg/an/personne.

Il est bien connu que les français prennent rarement la peine de traverser dans les clous, mais y aurait-il un rapport, sexuel évidemment, entre le fait de ne pas aimer traverser dans les clous et celui d'aimer manger du "fruit interdit" ?

Il est, depuis Sigmund Frœud, de notoriété publique que le complexe des dupes (parce que c'est est un) , qui est éminemment sexuel, mène le monde à sa perte: selon feu le génial psychiatre-psychanalyste Roger Zagdoun, Adolf Hitler en était affecté, et c'est ce qui l'avait conduit à déclencher une guerre suicidaire.

Dans le tome I de sa biographie d'Adolf Hitler, publiée en France chez Gallimard en 1973, le journaliste et historien allemand Joachim Fest fait état de ce que Hitler se prénommait Adolfus, ce dont, à ma connaissance, les autres historiographies du dictateur, de façon étonnante, n'ont pas relevé, ni répété, ni fait état.

D'autre part une fiche des Renseignements Généraux, largement diffusée après que le magazine Sciences & Avenir de mars 2009 l'a publiée, indique qu'Hitler il se prénommait Jacob.

https://www.nouvelobs.com/rue89/rue89-nos-vies-connectees/20090425.

https://www.conspiracywatch.info/la-decouverte-d-une-fiche-de-police...

https://www.conspiracywatch.info/la-decouverte-d-une-fiche-de-police-de-1924-reactive-le-mythe ...

Pourquoi les parents d'Hitler auraient-ils donné un tel prénom à leur fils, si ce n'est pour en appeler à des origines grand-parentales juives valorisées, puisque Aloïs Hitler, Schiklegrüber, serait en réalité un fils ancillaire d'un haut personnage à la DSK, dont Maria Schicklegrûber aurait été l'employée (Ron Rosenbaum, "Hitler - l'origine du mal" Ed. Jean-Claude Lattès, 1998, cependant que cet auteur écarte a priori la possibilité de cette ascendance. Pour quelle raison, sinon parce qu'elle est bien trop dérangeante ?)     

"Jamy l'épicurieux" dit qu'il aimerait voyager avec un âne.

Je suis à même de lui en procurer un facilement, puisque mon père disait de moi que j'en étais un.

Il suffira à Jamy de monter sur mon dos pour voir les deux grandes découvertes interdites que j'ai pu faire, pour ne pas parler de la dernière, la troisième, psychanalytique, qui explique  le comment du pourquoi Vladimir Poutine a été immanquablement conduit à déclarer une guerre d'annexion vis à vis de l'Ukraine : c'est parce que l'inconscient de Poutine comme celui de tout le monde est structuré comme un langage.

L'éminent psychanalyste Bernard This a démontré qu'en vertu de ce principe, énoncé par Jacques Lacan,  Sigmund Freud, que ses parents avaient prénommé Sigismunds'était immanquablement déclenché le cancer de la mâchoire qui devait l'emporter plus tard parce que dans sa jeunesse il avait fait injure à son prénom en en enlevant les deux lettres qui séparent Sig de Mund cependant qu'il tenait sa célébrité, c'est-à-dire sa victoire (Sieg) sur l’anonymat de sa bouche (Mund). 

Vladimir Poutine aurait dû prendre conscience de ce qu'en anglais to put in signifie mettre dedans pour pas se sentir inconsciemment et irrésistiblement obligé d'annexer l'Ukraine à la Russie (to put Ukraine in Russia).  

Mais passons à des découvertes moins faciles à comprendre que celles-là.

- 1° celle du STSMi, qui est une technique qui devrait faire baisser drastiquement le prix de l'électricité.

- 2° celle du syndrome NDB12PP,  qui permet de ne pas étiqueter "démence Alzheimer" ce qui relève en réalité d'une profonde carence vitaminique B12.

D'être traité comme un âne m'a en effet amené à faire ces deux difficiles découvertes.

- 1° La découverte du STSMi a été faite dans la première semaine de juin 2012, après près d'un demi siècle recherches restées jusqu'alors infructueuses. Elles avaient commencé dès la mise service de l'usine marémotrice de la Rance sur l'intuition qu'une solution plus économique et rationnelle devait exister qui puisse extraire la quasi inépuisable énergie cinétique de la lune mille fois plus efficacement, économiquement et écologiquement que ne le font les usines marémotrices actuellement en service, qui toutes fonctionnent sur le modèle primitif de l'usine marémotrice de la Rance.

Sa mise en service avait été initiée l'intuition que j'avais eu en 1967, alors que je passais mes vacances à Dinard,  qu'une solution plus économique et rationnelle devait exister que celle qui nécessite la construction d'un lourd et très coûteux barrage.

Sa découverte devrait faire baisser le prix de l'énergie électrique de façon substantielle.

Bien des solutions ont été proposées, mais celles-ci reposent sur le principe des flotteurs, ce qui fait qu'elles ne résistent pas longtemps aux tempêtes, contrairement au STSMi, qui n'y est pas directement soumis.

- 2° en 1990 celle d'un syndrome neurologique débilitant jusqu'alors resté inconnu cependant qu'il importe de savoir le reconnaître puisque sa reconnaissance permet aux très nombreux malades qui en sont affectés de ne plus être considérés comme des personnes atteintes de la maladie d'Alzheimer et de terminer ainsi leur vie dans un état épouvantable, ce qui avait alors failli arrivé à mon père dans le Service de neurologie de l'hôpital Bicêtre, où il avait été à faux diagnostiqué ('étiqueté' officiellement) dément Alzheimer par  "ATTEINTE DIFFUSE DU SYSTÈME NERVEUX" (sic le C-R d'hospitalisation destiné au gériatre Jean-Yves Beinis, auquel il avait été recommandé de ne surtout pas suivre l'avis médical du fils du malade mais de faire semblant parce qu'il ne faut surtout pas contrarier les fous) 

Le Chef de clinique Pascal Masnou m'avait dit au sujet de mon père, qu'il me disait être atteint d'une démence de type Alzheimer "qu'il était de toute façon voué à une inéluctable plus grande aggravation et qu'il vaudrait mieux pour lui comme pour moi qu'il ne survive pas trop longtemps".

Et de fait, faute, d'avoir réellement reçu le traitement de la maladie de Biermer alors que l'on m'avait depuis le début de son hospitalisation fait croire qu'il le recevait, mon père avait fini par sombrer dans un coma carus (prémortel), duquel j'avais pu "à la surprise générale" le sortir, (dixit le docteur Michel Serdaru, qui s'était demandé en lisant les comptes-rendus d'hospitalisation si mon père avait eu affaire à de véritables médecins) pour lui faire, contre toute attente (y compris la mienne) rapidement regagner 30/30 au MMSE (contre précédemment 22/30, 22/30 marquant effectivement l'entrée dans la maladie d'Alzheimer, selon le professeur François Piette !).

Mon père était en effet affecté d'un syndrome qui est en France depuis 2003 dénommé syndrome NDB12PP, alors que c'est en fait, comme la maladie de Biermer, une forme clinique de malabsorption de la vitamine B12, ce que j'avais en vain soutenu en 1990 devant les savants neurologues du CHU de Bicêtre en parlant alors de "para Biermer", donc d'une affection éminemment curable pourvu qu'elle reçoive son traitement spécifique, à savoir celui de la maladie de Biermer, pourvu que celui-ci soit administré sans tarder, avant que les paralysies et les détériorations cérébrales que peut causer la profonde carence en vitamine B12 lorsqu'elle n'est pas compensée ne deviennent irréversibles, ou que la mort ne vienne cueillir les malades : la maladie de Biermer fait à juste titre partie des urgences médicales, et par conséquent aussi le syndrome NDB12PP, qui relève de la même causse profonde, et qui, si je n'étais pas intervenu pour administrer moi-même le traitement de la maladie de Biermer à mon père,  l'aurait emporter en septembre 1990.

Mais mon intervention a été considérée comme un crime de lèse mandarinat par les neurologues du Service du très éthique professeur Gérard Saïd, et j'ai dû en faire lourdement les frais : lorsque quatorze ans après la résurrection de mon père je me suis adressé à la CADA pour pouvoir enfin accéder au dossier d'hospitalisation de mon père j'ai été accusé par la direction de l'hôpital Bicêtre "d'avoir moi-moi-même sciemment ' fabriqué ' la maladie de mon père par antisémitisme" (sic).

Le syndrome NDB12PP, qui est une forme clinique de malabsorption de vitamine B12 serait quatre fois plus fréquente que la maladie de Biermer, d'après les Internistes des hôpitaux de Strasbourg E. Andrès & al., qui écrivent dans leur publications l'avoir redécouvert "dans le milieu des années 1990".

Cf. sur le blog de leon l' article "des petits pots pour bébé pour sauver la vie des vieux"

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1 mars 2022 2 01 /03 /mars /2022 16:23

Je suis dans l'après-midi du 9 décembre 2021 tombé par hasard sur une émission sur les pommes animée par "Jamy" (Jamy gourmand), diffusé sur Fr 5 .

Le "fruit défendu" serait celui qui en France est le plus consommé.

Selon Jamy les Français en consommeraient 20 kg/an/personne.

"Jamy l'épicurieux" dit qu'il aimerait voyager avec un âne.

Je suis à même de lui en procurer un facilement, puisque mon père disait de moi que j'en étais un.

Il suffira à Jamy de monter sur mon dos pour voir les découvertes que j'ai pu faire : 1° celle du syndrome NDB12PP, qui permet de ne pas 'étiqueter'  "démence Alzheimer" ce qui relève de la maladie de Biermer, et 2° celle du STSMi, qui devrait faire baisser le prix de l'électricité de façon substantielle parce qu'elle permet de capter la quasi inépuisable énergie cinétique de la lune mille fois plus efficacement, économiquement et écologiquement que ne le font le usines marémotrices actuellement en service.

D'être traité comme un âne m'a en effet amené à faire deux découvertes dignes d'être prises en considération.

- 1° en 1990 celle d'un syndrome neurologique débilitant jusqu'alors resté inconnu cependant qu'il importe de savoir le reconnaître puisque sa reconnaissance permet aux très nombreux malades qui en sont affectés de ne plus être considérés comme des personnes atteintes de la maladie d'Alzheimer et de terminer ainsi leur vie dans un état épouvantable, ce qui avait alors failli arrivé à mon père dans le Service de neurologie de l'hôpital Bicêtre, où il avait été à faux diagnostiqué ('étiqueté' officiellement) dément Alzheimer par  "ATTEINTE DIFFUSE DU SYSTÈME NERVEUX" (sic le C-R d'hospitalisation destiné au gériatre Jean-Yves Beinis, auquel il avait été recommandé de ne surtout pas suivre l'avis médical du fils du malade mais de faire semblant parce qu'il ne faut surtout pas contrarier les fous) 

Le Chef de clinique Pascal Masnou m'avait dit au sujet de mon père, qu'il me disait être atteint d'une démence de type Alzheimer "qu'il était de toute façon voué à une inéluctable plus grande aggravation et qu'il vaudrait mieux pour lui comme pour moi qu'il ne survive pas trop longtemps".

Et de fait, faute, d'avoir réellement reçu le traitement de la maladie de Biermer alors que l'on m'avait depuis le début de son hospitalisation fait croire qu'il le recevait, mon père avait fini par sombrer dans un coma carus (prémortel), duquel j'avais pu "à la surprise générale" le sortir, (dixit le docteur Michel Serdaru, qui s'était demandé en lisant les comptes-rendus d'hospitalisation si mon père avait eu affaire à de véritables médecins) pour lui faire, contre toute attente (y compris la mienne) rapidement regagner 30/30 au MMSE (contre précédemment 22/30, 22/30 marquant effectivement l'entrée dans la maladie d'Alzheimer, selon le professeur François Piette !).

Mon père était en effet affecté d'un syndrome qui est en France depuis 2003 dénommé syndrome NDB12PP, alors que c'est en fait, comme la maladie de Biermer, une forme clinique de malabsorption de la vitamine B12, ce que j'avais en vain soutenu en 1990 devant les savants neurologues du CHU de Bicêtre en parlant alors de "para Biermer", donc d'une affection éminemment curable pourvu qu'elle reçoive son traitement spécifique, à savoir celui de la maladie de Biermer, pourvu que celui-ci soit administré sans tarder, avant que les paralysies et les détériorations cérébrales que peut causer la profonde carence en vitamine B12 lorsqu'elle n'est pas compensée ne deviennent irréversibles, ou que la mort ne vienne cueillir les malades : la maladie de Biermer fait à juste titre partie des urgences médicales, et par conséquent aussi le syndrome NDB12PP, qui relève de la même causse profonde, et qui, si je n'étais pas intervenu pour administrer moi-même le traitement de la maladie de Biermer à mon père,  l'aurait emporter en septembre 1990.

Mais mon intervention a été considérée comme un crime de lèse mandarinat par les neurologues du Service du très éthique professeur Gérard Saïd, et j'ai dû en faire lourdement les frais : lorsque quatorze ans après la résurrection de mon père je me suis adressé à la CADA pour pouvoir enfin accéder au dossier d'hospitalisation de mon père j'ai été accusé par la direction de l'hôpital Bicêtre "d'avoir moi-moi-même sciemment ' fabriqué ' la maladie de mon père par antisémitisme" (sic).

Le syndrome NDB12PP, qui est une forme clinique de malabsorption de vitamine B12 serait quatre fois plus fréquente que la maladie de Biermer, d'après les Internistes des hôpitaux de Strasbourg E. Andrès & al., qui écrivent dans leur publications l'avoir redécouvert "dans le milieu des années 1990".

Cf. sur le blog de leon l' article "des petits pots pour bébé pour sauver la vie des vieux"

2° celle du STSMi, qui devrait faire baisser le prix de l'électricité de façon substantielle parce qu'elle permet de capter la quasi inépuisable énergie cinétique de la lune mille fois plus efficacement, économiquement et écologiquement que ne le font le usines marémotrices actuellement en service.

Cf. sur ce même blog les articles qui traitent des circonstances de sa découverte, qui à part celui qui l'a faite, n'ont aucun rapport avec celle de la découverte du syndrome NDB12PP.

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28 février 2022 1 28 /02 /février /2022 14:46

Le livre de Victor Castenet sur les aspects inavouables d'Orpéa secoue le monde politique et médiatique.

En France la maltraitance des personnes âgées vulnérables dans certains Ehpads et certains Services gériatriques de l'AP-HP est tellement courante qu'elle a longtemps été banalisée, quasiment été considérée comme chose normale, et ceux qui s'en plaignent et la dénoncent comme des empêcheurs de dormir en paix, des "grincheux" qui feraient mieux de continuer de garder ça pour eux, voire pour des délirants antisémites.

Je renvoie à ce que j'ai écrit le 9 septembre 2016 sur ce blog sous le titre "des petits pots pour sauver le vie des vieux".

C'est pourquoi j'ai dans l'après-midi du 8 février 2022, communiqué par SMS, l'information que << Certains Services de l' AP-HP sont pires que l'Ehpad Orpéa quand on y ordonne de ne faire que semblant de traiter un évident Biermer au prétexte, manifestement erroné, qu'il s'agit d'un Alzheimer. Cf. où sur le blog de leon. >> au "Magazine de la Santé" via son numéro d'appel à témoins, le 41555 par un bref texto qui renvoyait à l'article "Pire qu'à Orpéa", mis en ligne la semaine dernière, mais pour X raisons (ou des raisons X), l'affaire ne semble pas pouvoir être publiée par ledit magazine, qui n'a même pas cherché à me contacter, conformément à ce que m'avait annoncé le docteur André Souche, de la Direction des Relations avec les Professions de Santé (DRPS de la CPAM du Val-de-Marne),  avant de raccroché précipitamment son combiné : "Si c'est la Clinique de l'Haÿ-les-Roses, c'est inutile, laissez tomber Cf.  blog de leon - "MALTRAITANCES AUX PERSONNES ÂGÉES"  chapitre I  A § 1 Mes sources directes d'informations 

Me Sarah Feldmann, qui défend les familles de victimes, avait été invitée à l'émission médicale diffusée par Fr. 5, qui est depuis des années longtemps  animée par le docteure Marina Carrère d'Encausse. 

J'avais maintes fois prévenu l'émission en laissant un message sur son répondeur sur ce qui était arrivé d'inimaginable à mon père en 1990, puisque ses médecins avaient passé la consigne de ne faire que semblant devant moi, son fils, de lui administrer le traitement de la neuro-anémie de Biermer alors que cette maladie avait été la cause, reconnue lors de son passage aux Urgences de l'hôpital Bicêtre, de son admission en neurologie.

Mais apparemment insupportable à savoir pour Marina et par conséquent inaudible. Personne n'a cherché à me contacter pour en savoir plus.

Marina Carrère d'Encausse élude le problème que pose cette tentative d'assassinat astucieusement déguisée, après qu'elle a ratée (par ma faute puisque j'avais pu la contrecarrer) en petite erreur d'appréciation sans grandes conséquences  (selon l'expertise bidonnée rédigée par le docteur François Chedru mais signée des docteurs André Lienhart, René-Claude Touzard et François Chedru) alors que cette "petite erreur" s'est soldée par un coma carus, des paralysies très handicapantes et une perte définitive d'autonomie.

Tenue informée par une lettre RAR de 12 pages alors qu'elle était ministre de la Santé, madame Agnès Buzyn, comme précédemment en 2004 le professeur Gilbert Tchernia, a préféré faire l'autruche. Elle n'a pas jugée nécessaire de me rencontrer.

L'accusé réception du Magazine de la Santé est évidemment automatique, mais on verra si Marina et ses invités ne chercheront pas à en savoir un peu plus plus en lisant les articles que j'ai depuis 2009 mis en ligne à ce sujet.

A commencer par le suivant:  Les pratiques, secrètement meurtrières, commises à l'encontre d'une certaine catégorie de malades âgés au sein de l'AP-HP, n'ont été révélées qu'en 1997 par le docteure Laurence Kouyoumdjian.

Elles étaient tellement atterrantes que l'on avait préféré les faire passer pour des euthanasies compassionnelles réalisées isolément par une infirmière immature, alors qu'elles étaient en réalité systémiques et programmées en “hauts lieux”, selon l'expression du Commandant Christian Raeckelboom, le Principal du Commissariat de l'Haÿ-les-Roses, quand il m'a parlé des inexplicables protections dont les médecins de la Clinique Léon Elmelik bénéficiaient. Il m'avait demandé de ne pas répéter ses dires, mais ses confidences recoupaient ce qu'en m'avait dit l'année précédente, en septembre 1990, le docteur André Souche.

A l'époque André Souche occupait le poste de sous-directeur à la D.R.P.S. de la C.P.A.M. du Val-de-Marne. Il avait été le premier à nous avertir de ce que la Clinique de l'Haÿ-les-Roses était intouchable, prenant juste temps de nous dire "si c'est la Clinique de l'Haÿ-les-Roses, c'est inutile, laissez tomber" sans prendre le temps d'en dire plus.  La C.P.A.M. du Val-de-Marne interdisait toute information à son sujet. Le docteur Souche s'était montré tellement effrayé que l'on puisse aborder le problème posé par cette Clinique qu'il avait coupé cours à toute question en raccrochant précipitamment son combiné.

Il devait que trop bien le connaître, à en juger par l'affolement qui s'est par la suite aussi emparé de Maîtres Cathérine Scotto-Derouet et Annick Dorsner-Dolivet après elles-ont été consulter ce qu'il en était des antécédents de ladite Clinique au bureau d'Ordre pénal du TGI de Créteil.

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25 février 2022 5 25 /02 /février /2022 16:02

Stéphane Zweig a observé qu'avec les hitlériens le nationalisme est une effroyable défaite de l'esprit qui a empoisonné la culture.

Le professeur Henri Baruk en tant que médecin psychiatre et auteur d'un volumineux traité de psychiatrie 2*, a rendu compte d'observations qui lui ont valu d'être considéré comme paranoïaque, à savoir qu’en plus de la sottise, de l'égotisme, du sectarisme et de la cupidité, le psychanalysme freudien a envahi le champ psychiatrique français dans la seconde moitié du 20 e siècle, ce qui a fait d'un grand nombre de psychiatres des décérébrés et conduit un plus grand nombre encore de patients à se suicider 11*, sans se rendre compte que Freud s'était ainsi comporté conformément à un processus parasitaire en rapport avec la sélection naturelle 3*, ce dont Freud 17*, imbu de lui-même,tirait grande fierté.

La sélection naturelle est en effet un processus que Freud, grand admirateur de Charles Darwin, avait si bien compris et assimilé qu'il se l'était appropriée pour se reproduire et prospérer.

Le professeur Henri Baruk, déiste comme son ami le zoologiste et biologiste Pierre-Paul Grassé 1* contestait la réalité dudit processus.

Henri Baruk abhorrait Freud mais encore plus Jacques Lacan. Il n'avait pas compris que Jacques Lacan avait su éviter d'être phagocyté par le virulent athéisme qu'affichait ouvertement papa Freud, tout en se réclamant de Lui à la lettre.

Le Diplostomum spathaceum est une espèce de douve qui parasite les poissons en se logeant dans leurs yeux, ce qui modifie leur comportement par une diminution de leur vison, et donc augmente le risque que les poissons parasités se fassent manger par les autres, ce qui maximise les chances de la douve de se reproduire 8*, 9*10*.

Freud  a de façon similaire cherché à éblouir la raison de ses hôtes-cibles avec l'invention de l'inconscient, l'affaiblissant jusqu'à la rendre insensée, la colonisant en les incitant à abandonner tout sens critique.

Le grand Stefan Zweig s'y était laissé prendre, qui avait été jusqu'à prononcer l'éloge funèbre du prédateur qui l'avait aveuglé et gobé tout cru. Mais il n'était pas psychiatre, tandis que Jacques Lacan, lui, ne s'était pas laissé abuser, et pour cause.

Tout en 'perlaborant' (l'ire en père l'abhorrant son père spirituel) le concept de 'forclusion-du-nom-du-père' (du père du père de la psychanalyse Jacob Nathansohn s'entend 14*, 15*) Lacan sécrétait un anti-corps neutralisant au corpus doctrinaire invasif du système phagocytaire du “bon” 12* Pr. Freud 13*,18* tout en s'en réclamant pour en déjouer les défenses.

Roger Zagdoun 4*, Jean-François Rabain 5*, Samuel Lepastier 6* sont quelques exemples de psychiatres emblématiques de l'efficacité de ce système parasitaire, Jean-François Rabain soutenant avec le plus grand sérieux que les hésitations d'Hamlet à agir (sa procrastination) relevaient du complexe d’œdipe, cependant que feu Roger Zagdoun soutenait sans rire que la précipitation dont Adolf Hitler a fait preuve pour déclencher la guerre (sa précrastination) relevait du même complexe invalidant.


Bibliographie

 

1* - 1935 Pierre-Paul Grassé Parasites et parasitisme, Armand Colin (Paris)

- 1935 Pierre-Paul Grassé (en collaboration avec le professeur Max Aron, médecin et biologiste) , Précis de biologie animale, Masson, Paris (1939, IIe édition 1947 IIIe édition, 1948 IV e édition, 1957 V e édition, 1962 VII e édition - 1966 VIII e édition, 1016 p

2* - 1950  Henri Baruk  Précis de psychiatrie : clinique, psychopathologie, thérapeutique,  Masson 1950

3* - 1859 (Novembre) Charles Darwin "On the Origin of Species by Means of Natural Selection, or the Preservation of Favoured Races in the Struggle for Life", Londres, John Murray

4* -2002 (Janvier) Roger Zagdoun "Hitler et Freud, un transfert paranoïaque _ La Genèse incestueuse d'un génocide".

Psychanalyse et civilisation L'Harmattan

5* -2021 Février Jean-Françoss Rabain : theatredublog.unblog.fr/2021/02/01/lexplosion-de-la-haine-sur-les-reseaux-sociaux << Inutile de polémiquer sur l’Oedipe. / ... / Freud comprit que la légende grecque était reprise dans Hamlet. Shakespeare décrit, lui, un Hamlet paralysé et inhibé, ne pouvant agir, figure paradigmatique de la névrose et de l’homme aujourd’hui. >>

6* - 2006 (07 février) Samuel Lepastier : "Le Monde" : << Depuis vingt-cinq ans, la lutte contre la pédophilie nie l'apport de Freud. C'est pourquoi les experts ont confondu fantasmes sexuels et réalités . >>

7* - 1966 Jacques Lacan, "La lettre volée", Ecrits, Paris, Seuil,

8* - 1969 Ashton, N., Brown, N., and Easty, "Trematode cataract in fresh water fish". .
9* -1992. Hoglund, J., and Thulin, J. "Identification of Diplostomum spathaceum in the retina of perch Perca fluvialis and the lens of roach Rutilus rutilus from the Baltic Sea. An experimental study"
10° 1994. A. W. Pike and J. W. Lewis "Diplostomiasis: the disease and host parasite interactions." Parasitic Diseases of Fish. Samara Publishing.

11* - 2012 Mikkel Borch Jacobsen "Destins" éd.Sciences humaine

12* - 2014 Eliette Abécassis "Un secret du docteur Freud" Flammarion 

13*  - 2017 "Freud un incompétent de première classe" https://www.lecho.be Gwen Declerck - Culture Littérature, à propos de l'imposant livre de Frederic Crews "Freud: The making of an illusion"

14* - Marie Balmary "L'homme aux statues - la faute cachée du père"

15* - 1984  Marianne Krüll  "Freud,fils de Jacob", Gallimard

16* - 2021 Gabrielle Rubin "Le roman familial de Freud" Payot 2001

17*  Freud, œuvres complètes, classés chronologiquement d'après leur date de rédaction,  OCF.P - P.U.F.

18* - 1984  Jeffrey Moussaïef Masson "Le réel escamoté" Aubier Montaigne  (épuisé)

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24 février 2022 4 24 /02 /février /2022 19:52

Stefan Zweig a observé qu'avec les hitlériens le nationalisme est une effroyable défaite de l'esprit qui a empoisonné la culture.

Le professeur Henri Baruk en tant que médecin psychiatre et auteur d'un volumineux traité de psychiatrie a rendu compte d'observations qui lui ont valu d'être considéré comme paranoïaque, à savoir qu’en plus de la sottise, de l'égotisme, du sectarisme et de la cupidité, le psychanalysme freudien a envahi le champ psychiatrique français dans la seconde moitié du 20 e siècle, ce qui a fait d'un grand nombre de psychiatres des décérébrés et conduit un plus grand nombre encore de patients à se suicider, sans se rendre compte que Freud s'était ainsi comporté conformément à un processus parasitaire en rapport la sélection naturelle, ce dont il tirait grande fierté.

La sélection naturelle est en effet un processus que Freud, grand admirateur de Charles Darwin, avait si bien compris et assimilé qu'il se l'était appropriée pour se reproduire et prospérer.

Le professeur Henri Baruk, déiste comme son ami le zoologiste et biologiste Pierre-Paul Grassé, contestait la réalité dudit processus.

Henri Baruk détestait encore plus Jacques Lacan. Il n'avait pas compris que Jacques Lacan avait su éviter d'être phagocyté par le virulent athéisme qu'affichait ouvertement papa Freud, tout en se réclamant de Lui à la lettre.

Le Diplostomum spathaceum est une espèce de douve qui parasite les poissons en se logeant dans leurs yeux, ce qui modifie leur comportement par une diminution de leur vison, et donc augmente le risque que les poissons parasités se fassent manger par les autres, ce qui maximise les chances de la douve de se reproduire. 

Freud a de façon similaire cherché à éblouir la raison de ses hôtes-cibles avec l'invention de l'inconscient, l'affaiblissant jusqu'à la rendre mal-voyante, l'absorber et la coloniser en les incitant à abandonner leur sens critique.

Le grand Stefan Zweig s'y était laissé prendre, qui avait été jusqu'à prononcer l'éloge funèbre du prédateur qui l'avait aveuglé et gobé tout cru. Mais il n'était pas psychiatre, tandis que Jacques Lacan, lui, ne s'était pas laissé abuser, et pour cause.

Tout en père l'abhorrant le concept de forclusion-du-nom-du-père (du père du père de la psychanalyse Jacob Nathansohn) Lacan sécrétait un anti-corps neutralisant au corpus doctrinaire invasif du système phagocytaire du docteur Freud, tout en s'en réclamant pour en déjouer les défenses.

Roger Zagdoun, Jean-François Rabain, Samuel Lepastier sont quelques exemples de psychiatres emblématiques de l'efficacité de ce système parasitaire;  Jean-François Rabain soutenant avec un grand sérieux que les hésitations d'Hamlet à agir (sa procrastination) relèvait du complexe d’œdipe, cependant que Roger Zagdoun soutient sans rire que la précipitation dont Adolf Hitler a fait preuve pour déclencher la guerre (sa précrastination) relevait du même complexe invalidant.


Bibliographie

1935 Pierre-Paul Grassé  Parasites et parasitismeArmand Colin (Paris)

1935 Pierre-Paul Grassé (en collaboration avec le professeur Max Aron, médecin et biologiste) ,  Précis de biologie animale, Masson, Paris  (1939, IIe édition  1947 IIIe édition, 1948 IV e édition, 1957 V e édition, 1962 VII e  édition

1966 Précis de biologie animaleMasson  VIII e édition,  1016 p

2002 (Janvier)  Roger Zagdoun    "Hitler et Freud, un transfert paranoïaque _ La Genèse incestueuse d'un génocide".

Psychanalyse et civilisation   L'Harmattan

2021 Février  Jean-François Rabain : theatredublog.unblog.fr/2021/02/01/lexplosion-de-la-haine-sur-les-reseaux-sociaux   << Inutile de polémiquer sur l’Oedipe. / ... / Freud comprit que la légende grecque était reprise dans Hamlet. Shakespeare décrit, lui, un Hamlet paralysé et inhibé, ne pouvant agir, figure paradigmatique de la névrose et de l’homme aujourd’hui. >> 

6° 2006  07 février  Samuel Lepastier : Le Monde : << Depuis vingt-cinq ans, la lutte contre la pédophilie nie l'apport de Freud. C'est pourquoi les experts ont confondu fantasmes sexuels et réalités . >>  

1966  Jacques Lacan, Ecrits, Paris, Seuil,


8° 1969  Ashton, N., Brown, N., and Easty,  "Trematode cataract in fresh water fish". .
 

1992. Hoglund, J., and Thulin, J. "Identification of Diplostomum spathaceum in the retina of perch Perca fluvialis and the lens of roach Rutilus rutilus from the Baltic Sea. An experimental study"


10° 1994. A. W. Pike and J. W. Lewis "Diplostomiasis: the disease and host parasite interactions." Parasitic Diseases of Fish. Samara Publishing.

11° 2017 05 novembre  https://www.lecho.be  Gwen Declerck -    Culture › Littérature Freud un incompétent de première classe.

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11 février 2022 5 11 /02 /février /2022 17:18

Le livre de Victor Castenet sur les aspects inavouables d'Orpéa secoue le monde politique et médiatique.

En France la maltraitance des personnes âgées vulnérables dans certains Ehpads et certains Services gériatriques de l'AP-HP est tellement courante qu'elle a longtemps été banalisée, quasiment été considérée comme chose normale, et ceux qui s'en plaignent et la dénoncent comme des empêcheurs de dormir en paix, des "grincheux" qui feraient mieux de continuer de garder ça pour eux.

C'est pourquoi j'ai dans l'après-midi du 8 février 2022, communiqué par SMS, l'information que << Certains Services de l' AP-HP sont pires que l'Ehpad Orpéa quand on y ordonne de ne faire que semblant de traiter un évident Biermer au prétexte, manifestement erroné, qu'il s'agit d'un Alzheimer. Cf. où sur le blog de leon. >> au "Magazine de la Santé" via son numéro d'appel à témoins, le 41555 par un bref texto qui renvoyait à "Pire qu'à Orpéa", mis en ligne la semaine dernière.

Me Sarah Feldmann, qui défend les familles de victimes, avait été invitée à l'émission.

Cette émission médicale diffusée par Fr. 5 depuis des années dans l'après-midi longtemps été animée conjointement par les docteurs Michel Cymès et Marina Carrère d'Encausse. 

J'avais maintes fois prévenu l'émission en laissant un message sur son répondeur de ce qui était arrivé de pire à mon père en 1990, puisque ses médecins avaient passé la consigne de ne faire que semblant devant son fils de lui administrer le traitement de la neuro-anémie de Biermer alors que cette maladie avait été la cause, reconnue lors de son passage aux Urgences de l'hôpital Bicêtre, de son admission en neurologie. Mais c'était insupportable à savoir et par conséquent inaudible. Personne n'a cherché à me contacter pour en savoir plus.

Espérons que Marina Carrère d'Encausse n'osera plus éluder le problème que pose une tentative d'assassinat astucieusement déguisée, après qu'elle a ratée (par ma"faute") en petite erreur d'appréciation sans grandes conséquences  (selon l'expertise bidonnée rédigée par le docteur François Chedru mais conjointement signée des docteurs André Lienhart, René-Claude Touzard et François Chedru) alors qu'elle s'est soldée par un coma carus, des paralysies très handicapantes et une perte d'autonomie.

Tenue informée par une lettre RAR de 12 pages alors qu'elle était ministre de la Santé, madame Agnès Buzyn, comme précédemment en 2004 le professeur Gilbert Tchernia, a préféré faire l'autruche. Elle n'a pas jugée nécessaire de me rencontrer.

L'accusé réception du Magazine de la Santé est évidemment automatique, mais on verra si Marina et ses invités ne chercheront pas à en savoir un peu plus plus en lisant les articles que j'ai depuis 2009 mis en ligne à ce sujet.

A commencer par le suivant:  Les pratiques, secrètement meurtrières, commises à l'encontre d'une certaine catégorie de malades âgés au sein de l'AP-HP, n'ont été révélées qu'en 1997 par le docteure Laurence Kouyoumdjian.

Elles étaient tellement atterrantes que l'on avait préféré les faire passer pour des euthanasies compassionnelles réalisées isolément par une infirmière immature, alors qu'elles étaient en réalité systémiques et programmées en “hauts lieux”, selon l'expression du Commandant Christian Raeckelboom, le Principal du Commissariat de l'Haÿ-les-Roses, quand il m'a parlé des inexplicables protections dont les médecins de la Clinique Léon Elmelik bénéficiaient. Il m'avait demandé de ne pas répéter ses dires, mais ses confidences recoupaient ce qu'en m'avait dit l'année précédente, en septembre 1990, le docteur André Souche.

A l'époque André Souche occupait le poste de sous-directeur à la D.R.P.S. de la C.P.A.M. du Val-de-Marne. Il avait été le premier à nous avertir de ce que la Clinique de l'Haÿ-les-Roses était intouchable, prenant juste temps de nous dire "si c'est la Clinique de l'Haÿ-les-Roses, c'est inutile, laissez tomber" sans prendre le temps d'en dire plus.  La C.P.A.M. du Val-de-Marne interdisait toute information à son sujet. Le docteur Souche s'était montré tellement effrayé que l'on puisse aborder le problème posé par cette Clinique qu'il avait coupé cours à toute question en raccrochant précipitamment son combiné.

Il devait que trop bien le connaître, à en juger par l'affolement qui s'est par la suite aussi emparé de Maîtres Cathérine Scotto-Derouet et Annick Dorsner-Dolivet après elles-ont été consulter ce qu'il en était des antécédents de ladite Clinique au bureau d'Ordre pénal du TGI de Créteil.

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31 janvier 2022 1 31 /01 /janvier /2022 02:18

Le livre de Victor Castenet sur les aspects inavouables d'Orpéa secoue le monde politique et médiatique.  

En France la maltraitance des personnes âgées vulnérables dans certains Ehpads et certains Services gériatriques est tellement courante qu'elle a trop longtemps été banalisée, quasiment été considérée comme chose normale, et ceux qui s'en plaignent et la dénonce comme des empêcheurs de dormir en paix, des  "grincheux" qui feraient bien de continuer de garder ça pour eux.

C'est pourquoi j'ai dans l'après-midi du 8 février 2022, communiqué par SMS, l'information que  << Certains Services de l' AP-HP sont pires que l'Ehpad Orpéa quand on y ordonne de ne faire que semblant de traiter un évident Biermer au prétexte, manifestement erroné, qu'il s'agit d'un Alzheimer. Cf. lesquels sur le blog de leon. >> au "Magazine de la Santé" via son numéro d'appel à témoins, le 41555 par un bref texto renvoyant à "Pire qu'à Orpéa", mis en ligne la semaine dernière.

Me Sarah Feldmann, qui défend les familles de victimes, avait été invitée à l'émission.

Cette émission médicale diffusée par Fr. 5 dans l'après-midi est animée par la doctoresse Marina Carrère d'Encausse.

J'avais maintes fois prévenu l'émission en laissant un message sur son répondeur de ce qui était arrivé de bien pire à mon père en 1990, mais personne n'avait cherché à me contacter pour en savoir plus.

Espérons que Marina Carrère d'Encausse n'osera pas éluder plus longtemps le problème que pose une tentative d'assassinat astucieusement déguisée en "petite erreur d'appréciation sans grandes conséquences"  par  les experts après qu'elle a ratée (par les docteurs François Chedru, André Lienhart et René-Claude Touzard) alors qu'elle s'est soldée par des paralysies très handicapantes et une perte définitive d'autonomie.

Tenue informée par une  lettre RAR de 12 pages d'explications alors qu'elle était ministre de la Santé, madame Agnès Buzyn a préféré faire l'autruche. Elle n'a pas jugée nécessaire de me rencontrer.

L'accusé réception du Magazine de la Santé est évidemment automatique, mais on verra bien si Marina et ses invités ne chercheront pas à en savoir plus en lisant les articles que j'ai depuis 2009 mis en ligne à ce sujet.

A commencer par le suivant: << Les pratiques, secrètement meurtrières, commises à l'encontre d'une certaine catégorie de malades âgés au sein de l'AP-HP, n'ont été révélées qu'en 1997 par le docteure Laurence Kouyoumdjian.

Elles étaient tellement atterrantes que l'on avait préféré les faire passer pour des euthanasies compassionnelles réalisées isolément par une infirmière immature, alors qu'elles étaient en réalité systémiques et programmées en "hauts lieux", selon l'expression du Commandant Christian Raeckelboom, le Principal du Commissariat de l'Haÿ-les-Roses, quand il m'a parlé des inexplicables protections dont les médecins de la Clinique Léon Elmelik bénéficiaient. Il m'avait demandé de ne pas répéter ses dires, mais ses confidences recoupaient ce qu'en m'avait dit l'année précédente, en septembre 1990, le docteur André Souche.

A l'époque André Souche occupait le poste de sous-directeur à la D.R.P.S. de la C.P.A.M. du Val-de-Marne et avait été le premier à nous avertir de ce que la Clinique de La-Haÿ-les-Roses était intouchable, sans toutefois prendre le temps de nous préciser pourquoi elle l'était, ni pourquoi la C.P.A.M. du Val-de-Marne interdisant toute information à son sujet. Il s'était montré tellement effrayé que l'on puisse aborder le problème que GLOUP, il avait précipitamment coupé cours à la conversation en raccrochant son combiné.

Il devait que trop bien le connaître, à en juger par l'affolement qui s'est par la suite aussi emparé de Maîtres Catherine Scotto-Derouet et Annick Dorsner-Dolivet quand elles-ont été consulter ce qu'il en était des antécédents de ladite Clinique au bureau d'Ordre pénal du TGI de Créteil.

Maître Scotto-Derouet avait après qu'elle s'est informée auprès du TGI de Créteil été contactée par le docteur Patrick Bodenan°°°, une relation du docteure Edith Elmelik qui l'avait formée et que le docteur Jean Pouillard, le président de l'Ordre des médecins du Val-de-Marne avait spécialement dépêché auprès de Me Scotto-Derouet pour la menacer de sanctions ordinales pour elle-même si elle ne parvenait pas à faire en sorte que la plainte au pénal que mon père porté à encontre du docteur Antoine Denis soit remplacée par une plainte au civil.

De son côté Me Dorsner-Dolivet, après qu'elle a pris la suite de Me Scotto-Derouet en novembre 1992, me fera savoir qu'il fallait tenir compte de ce que le docteur Patrick Bodenan était "très influent" au Palais, avant d'introduire Maître François Leleu pour qu'il la relaye dans cette affaire, au prétexte que la voie de femmes n'était pas entendue dans les prétoires, qu'il fallait celle d'un homme.  Je ne sais pas où Me Dorner-Dolivet avait été chercher Me Leleu. Toujours est-il qu'il fera rapidement preuve de double jeu en me racontant toutes sortes salades. Entre autres qu'il avait défendu des pédophiles, et que ceux-ci aimaient vraiment les enfants et qu'une femme très fortunée lui avait confié la gestion de sa fortune !

Il me fixera plusieurs rendez-vous où il ne se rendra pas, ou en y amenant un jeune garçon d'une douzaine d'années un samedi après-midi (était-ce son fils  , et à celui de mon audition avec la juge d'instruction madame Bénédicte Scelle le 15 avril 1996 avec trois quart d'heure de retard !

Autrement dit, il avait tout fait comme s'il avait cherché à me déstabiliser après m'Avoir affirmé qu'il était à 100% mon partisan dans cette affaire.    

- / -

Vulnérabilisé par une profonde et mystérieuse "atteinte diffuse du système nerveux" alors qu'il était âgé de 79 ans et qu'il avait deux mois auparavant subi, dans l'état de santé inquiétant où déjà il se trouvait, mon père avait été subrepticement soumis à des actes chirurgicaux aberrants dans la Clinique de sa Commune (l'Haÿ-les-Roses)

Ayant après ça perdu son autonomie, dans les suites opératoires, parce qu'il était en proie à un accès panique, au soir du 31 juillet 1990, ses voisins de pallier firent appel à Police secours, qui fit appel au SAMU 94, qui le transportèrent aux Lits-Portes du CHU de Bicêtre

Le malade fut le surlendemain 2 août au matin hospitalisé en neurologie dans ce même hôpital dans le Service du professeur Gérard Saïd, avant d'être transféré trois semaines plus tard à l'hôpital Charles-Foix dans une Unité gériatrique de Soins dits "Normalisés", où il s'en était fallu de peu que le Chef de cette USN, le docteur Jean-Yves Beinis, réussisse à l'en faire sortir les pieds devants: le docteur Beinis et son Assistante Mlle Sitruc n'avaient pas osé déroger aux consignes qui leur avaient été données. Malgré mes remarques et celles de la Surveillante (madame Pondu), au sujet des signes cliniques alarmants qui signaient la nature de la maladie, la constatation d'une glossite de Hunter, pathognomonique des profondes carences vitaminiques B12, qui sont rapidement mortelles en l'absence de leur traitement correcteur spécifique, ils avaient continué à appliquer aveuglément la conduite "thérapeutique" qui leur avait été dictée par les neurologues de l'hôpital Bicêtre, qui était de ne faire que semblant d'administrer ledit traitement correcteur.

Auraient ainsi disparu avec lui les nombreuses raisons que mon père avait de vouloir porter plainte contre les médecins de l'ex Clinique obstétricale Léon Elmelik pour les abominables et incroyables exactions qu'en cachette ils lui avaient fait subir.

Ils les avaient méthodiquement préparées afin de pouvoir les commettre subrepticement, malgré mon interdiction, le vendredi 25 mai 1990, durant le long WE de l'Ascension, alors qu'ils me savaient très loin, à 500 kms de Paris !

J'avais, en tant que médecin, été les prévenir dans le mois précédent de ne surtout pas toucher à mon père, parce qu'il présentait un état de santé récemment devenu extrêmement préoccupant: une HTA très sévère, souvent à 24/14 malgré le traitement hypotenseur (du Lopril *) que lui prescrivait son cardiologue, le docteur Joseph Heller, une toux tendant à devenir subintrante, (et  à mon avis peut-être un peu trop vite attribuée seulement au Lopril*),  des épistaxis à répétitions dans les semaines précédentes, qu'il avait fallu mécher pour en venir à bout, un amaigrissement impressionnant, des troubles neurologiques de type parkinsonien avec marche hésitante à petits pas, en passant par un état d'affaiblissement de son sens critique qui lui faisait penser que je n'étais pas réellement son fils.

Mon père s'était ainsi mis à se méfier de moi, au point de croire que j'en voulais à sa vie parce que je voulais l'empêcher de savoir qu'il soufrait d'un cancer des os , une croyance que les médecins de la "fine équipe" * de la Clinique Léon Elmelik avaient pris soin de cultiver pour placer une opération plus lucrative que celle pour laquelle ils avaient astucieusement réussi à le faire venir en lui offrant des consultations gratuites (ce que j'ai ignoré jusqu'à ce que je prenne connaissance de la très longue contre-expertise du docteur Yves Dano)

J'ai aussi des raisons de penser que mon père s'était forgé ce genre d'idée - que je voulais le faire mourir - à partir de textes inspiration psychanalytiques. mais passons, il faudrait y consacrer trop de temps !

Le prétexte de l'opération que les médecins de la "fine équipe" * lui avait subrepticement infligé était la correction de la "mauvaise morphostatique" de ses avant-pieds (sic, dixit le Dr. Antoine Denis, un rhumatologue de 68 ans, qui se prenait pour un chirurgien orthopédiste et se faisait passer pour "professeur"), alors que c'était dans un but essentiellement commercial et financièr: la Clinique Elmelik était alors à vendre,  et il importait de booster son cash-flow, d'autant qu'elle était difficile à vendre au prix demandé du fait que sa mauvaise réputation n'était plus à faire. 

* La fine équipe,  dite des pieds nickelés,  était constituée des quatre principaux actionnaires de la Clinique Léon Elmelik , dont le professeur Jean Debeyre, féru de chaussures nickelées, son poulain le Dr. Antoine Denis, et de Jean-Claude et Edith Elmelik, enfants du docteur Léon Elmelik.  

Cf. au sujet du docteur Léon Elmelik l'article du blog de leon sur le mystérieux incendie qui a spontanément ravagé la mairie de l'Haÿ-les-Roses dans la nuit du 30 juin au 1 juillet 2002 tellement les archives y étaient brûlantes. 

Fac-similé de la plaque qui a remplacé l'ancienne dans le Parc de la Mairie , qui déjà prêtait à confusion, plaque aujourd'hui disparue de son support. 

 

SQUARE DU DOCTEUR
Léon ELMELIK

(1897 - 1959)
Fondateur de la clinique de l'Haÿ
Résistant, arrêté par la Gestapo
Torturé, interné, condamné à mort. Déporté à Buchenwald
Maire-adjoint, commandeur de la légion d'honneur

 

Mon père avait subrepticement subi dans cette Clinique "protégée en hauts lieux" où il avait commis l'imprudence de mettre les pied, des exactions chirurgicales auxquelles les neurologues du Service de neurologie de l'hôpital Bicêtre avaient prêté leur concours: ils se sont comportés comme s'ils avaient voulu protéger cette scabreuse Clinique et ses richissimes médecins actionnaires.  Ils ont à leur tour commis des erreurs normalement impossibles à faire, sauf à le faire exprès, qui faillirent emporter leur malade. 

Tout s'est alors passé comme s'ils avaient cherché à dissimuler les très grossières fautes des médecins de la Clinique  Léon Elmelik en en commettant eux-mêmes de bien plus graves, qui bien failli réussir à faire disparaître la preuve des fautes commises par les médecins de la Clinique Léon Elmelik avec la disparition de leur ex patient.

Réussir sa disparition sans faire de vagues était cependant assez problématique dans la mesure où ils me savaient médecin, et me sachant médecin, il leur avait fallu me mystifier. Mais mon statut de médecin psychiatre était une chance: depuis Freud et à cause de lui, les psychiatres ont chez les neurologues non seulement la réputation (souvent méritée) d'être incompétents sur le plan médical, mais aussi et surtout d'être "complétement siphonnés", celle-ci elle aussi encore plus souvent méritée: cf. sur ce blog l'explication "psychanalytique" qu'avait donné le docteur Bernard This, psychiatre et psychanalyste lacanien, à l'affreux cancer de la bouche (en réalité un cancer de la mâchoire) qu'avait enduré le "bon" docteur Sigmund Freud durant les quinze dernières années de sa vie.

Aussi falsifièrent-ils les données cliniques et les données de laboratoire de façon à me faire avaler que mon père était atteint non pas de la maladie de Biermer, comme je le leur avais dit, mais d'une "DTA" (une Démence de Type Alzheimer, dans le jargon médical de cette époque), une  compliquée d'une "encéphalopathie vasculaire", pour faire bon poids, le tout officiellement étiqueté en lettres majuscules dans les conclusions du compte-rendu d'hospitalisation qui m'a été remis à la place de son dossier, au prétexte que celui-ci était introuvable, "ATTEINTE DIFFUSE DU SYSTEME NERVEUX" (sic, CRH rédigé par l’Interne Olivier Ille, qui deviendra Chef de Service au CHU de Mantes la Jolie dans les années suivantes, où un grand nombre de malades âgés furent assassinés); que mon père était par conséquent "de toute façon rapidement voué à une inéluctable plus grande aggravation, qu'il était donc pour moi comme pour mon père préférable que l'état où il se trouvait ne se prolonge pas trop longtemps" (sic, dixit le Chef de Clinique Pascal Masnou après qu’il m’a fait savoir (croire) que le test de Schilling était à 35% et donc normal (alors qu’il était à 5 % et donc franchement en faveur du diagnostic de maladie de Biermer), et aussi la cobalaminémie !

Savoir pourquoi les neurologues de l'hôpital Bicêtre s'étaient comportés de la sorte faisait problème ?

Comment avaient-ils pu me tenir des propos aussi aberrants alors que je suis médecin et que c'était contraire à toute logique comme à ce que j'avais entendu dire par les Urgentistes aux Lits-Portes de l'hôpital Bicêtre dans la soirée du 31 juillet 1990 lors de l'admission de mon père, et contraire au diagnostic de présomption des Urgentistes comme à mon propre diagnostic, d'autant qu'en 1990 un Service qui prétendait être à la pointe de la Recherche en neurologie, et spécialement sur l'importance des vitamines du groupe B dans la prévention et le traitement des neuropathies périphériques ? 

D'autant que ce Service n'avait pas manqué de faire savoir en 1992, et et peut-être même avant 1992 par de grandes affiches placardées partout dans les couloirs et la Salle d'attente que  l'INSERM lui avait attribué une Unité de Recherche pour solliciter de la part des familles une participation financière aux Recherches, alors que ses neurologues avaient en 1990 fait comme s'ils ignoraient l'article de Kolhouse & al publié en 1978 dans le prestigieux New England Journal of Mecicin ?

Cf: 1978 Kolhouse & al, New Engl. J. Med. 299, 15, 787 - 792. "Cobalamin analogues are present in human plasma and can mask cobalamin defiency because current radioisotope dilution assays are not specifique for true cobalamin".

Ces affiches furent dès le lendemain que je j'en ai fait la remarque au docteur Masnou partout retirer, si bien que je n'ai pas pu en faire des photographies.

L'explication qui me fut donnée à ce retrait était que Michel Crépeau, le Maire de la Rochelle, avait interdit la mendicité ! 

Les Urgentistes, dont Antoine Moulonguet, qui deviendra des années plus tard Chef d'un Service de neurologie à La-Pitié-Salpétrière, avaient très logiquement porté le diagnostic de maladie de Biermer au vu de l'hémogramme et au terme de l'examen neurologique qu'ils venaient de faire, devant moi, un examen qui mettait en évidence ce qui s'appelle syndrome cordonal postérieur c'est-à-dire un tableau dit de "sclérose combinée", qui la plupart du temps signe le diagnostic de maladie de Biermer, et non pas celui de maladie d'Alzheimer.

Et même si l'une n'exclut pas l'existence de l'autre, des médecins expérimentés ne peuvent confondre ces deux entités, sauf à le faire exprès !

Qui plus est le diagnostic de probabilité de maladie de Biermer porté par les Urgentistes n’est pas mentionné dans le compte-rendu d'hospitalisation qui m'a été remis au lieu du dossier, que j’avais demandé à consulter.

Alors pourquoi les neurologues du Service du Pr. Gérard Saïd avaient-ils fait exprès de se tromper et essayé de me tromper ?

"Tout simplement" parce que la Clinique de l'Haÿ-les-Roses leur était d'une grande utilité, ainsi qu'à l'ensemble des hôpitaux de l'AP – HP, qui s’étaient fait un devoir de donner des directives allant dans le sens des besoins du pouvoir politique.

Ils savaient évidemment que cette Clinique était à cause de cela « protégée en haut lieu » (ou « en hauts-lieux » ?) comme me l’avait dit le 21 janvier 1991, après m'avoir demandé de ne pas le répéter, le Commandant Christian Raeckelboom, le Principal du Commissariat de l'Haÿ-les-Roses, avant d'ajouter qu'il ignorait la raison de ces protections.

J'ai pu savoir et en avoir eu les preuves quelques années plus tard, en complétant mes sources d’informations et aussi fortuitement lors de rencontres inattendues, et lorsque je suis retourné à l’hôpital Bicêtre à l'été 2004 en montrant que la CADA m’avait donné raison et demandait au Service du professeur Gérard Saïd de me permettre d’accéder au dossier d’hospitalisation de mon père, j’ai été accusé par la direction de l’hôpital Bicêtre, c’est-à-dire en fait par le professeur Saïd, d’avoir "moi-même sciemment 'fabriqué' la maladie de mon père par 'antisémitisme' " (sic, dixit madame Isabelle Pilot) !

C'est aussi qu'en 2004 le procès de Christine Malèvre avait eu lieu, qui permettait de comprendre ce qui s'était passé à l'hôpital Bicêtre en 1990 avec mon père.  

L'esprit qui à cette époque régnait sur la France n'était-il pas celui de la triche ?

N'a-t-il pas été rappelé au début de ce mois lors de l'hommage qui lui était rendu que Bernard Tapie, qui avait été nommé Ministre de la Ville par François Mitterrand, avait dit : "Sans la triche on arrive à rien".

La triche n'est-il pas un sport dans lequel la France est réputée exceller (notamment en Suède, le pays de mon enfance buissonnière)
J'ai longuement rendu compte de ces faits sur Internet depuis août 2009, après que j'ai appris les tenants et aboutissants de l'effrayante tentative de mise à mort de mon père, et les petits arrangement entre amis  (au Conseil de l'Ordre) qui avaient suivi pour invalider mon témoignage vis à vis de la Justice.

 Une Justice qui de toute façon participait elle-même à cette mystification : lire sur ce blog l'article htpps.genocides.over-blog.com  Une affaire à ne surtout pas ébruiter 

Le faux-semblant de traitement qui faillit être fatale à mon père a été qualifiée petite erreur d'appréciation par le docteur trois points Patrice Bodenan, lui aussi par erreur nommé Rapporteur de cette tentative d'assassinat, mais tentative ratée par "ma faute", prétendra par la suite la direction de l'hôpital Bicêtre, puisque selon celle-ci, j'avais "moi-même sciemment fabriqué la maladie de mon père par antisémitisme".

C'était le docteur Jean Pouillard, le président du Conseil de l'Ordre Départemental du Val-de-Marne, qui s'était chargé de le nommer "par erreur" Rapporteur de cette affaire.

Les lettres à ce sujet (celle dactylographiée que le docteur Pouillard m'avait en juin 1992 adressé pour tenter de se disculper, et celle manuscrite du docteur Bodenan°°° au président du Conseil disciplinaire de l'Ordre le docteur °°° Jean Penneau datée du 10 janvier 1994 lui demandant que l'article L 460 du CSP me soit appliqué sont en ligne sur le "blog de leon".

Ce qui était arrivé à mon père en 1990 était la lointaine conséquence de ce qu'il avait été "enfant Chœur", et de ce qu'il lui avait alors fallu endurer, qui lui avait tourné la tête et fait de lui un petit don Juan parce cherchait à se prouver à lui-même qu'il était bien un mâle et non pas une femme, à preuves  ses conquêtes féminines, mais aussi dans un autre domaine le paradigme de ce qui arrivé à bien d'autres malades, notamment au CHU de Mantes-la Jolie dans le Service de neurologie du docteur Olivier Ille.

Celui-ci n'avait pas eu de mal à faire jouer à Christine Malèvre le rôle qu'il avait réussi à faire jouer en 1990 au docteur Jean-Yves Beinis, ce qu'Eric Favereau à "Libé' n'a apparemment pas compris ou pas voulu savoir, qui n'en a soufflé mot.

On dira que ces choses n'ont rien à voir entre elles, qu'on ne voit pas le rapport (sexuel) alors qu'il y en a plus d'un.

Il y plusieurs explications à cela, qui ne s'excluent pas les unes les autres, mais  comme on n'a toujours pas voulu savoir que Herr Professor  Sigmund Freud est grandement responsable de l'occultation de ces dérives sexuelles (pour Freud tout a une signification sexuelle, même un escalier) avec la méga tricherie qu'est l'invention des fantasmes œdipiens, et par conséquent de les avoir grandement favorisées, alors que c'est assez facile d'en comprendre les raisons.

Outre la plus évidente, l'appât du gain, il y en avait d'autres, liées à des antécédents parentaux peu avouables !

Si peu avouables que Sigmund Freud préférait se les cacher à lui-même. 

Ne pas avoir à les reconnaître, pour que ses zélotes et ses lecteurs ne les sachent alors qu’ils sont à l’origine de ses concepts théoriques fallacieux : autrement dit, avec son concept de fantasmes œdipiens inconscients, Freud a « inconsciemment » cherché à ce que tout-un-chacun chausse des lunettes faites pour masquer une réalité à lui-même trop dérangeante, et ce faisant refiler aux autres sa patate chaude: lire à ce sujet outre ses lettres à Wilhelm Fliess, qu’il avait en vain cherché à faire disparaître après que son admiratrice la princesse Marie Bonaparte a pu par miracle les récupérer, Marie Balmary, L’homme aux statues, J.M. Masson, Le réel escamoté, Marianne Krüll, Freud fils de Jacob, et Mikkel Borsch Jacobsen, Destins, en passant par Jacques Bénesteau, Peter Swales, Frank Sulloway, Alain Sokal et Jean Bricmont, entre autres démystificateurs. >>

Cf  sur ce blog l' article « Que la lumière soit  n°1 et n°2 ».

 

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30 janvier 2022 7 30 /01 /janvier /2022 20:39

Les pratiques, secrètement meurtrières, commises à l'encontre d'une certaine catégorie de malades âgés au sein de l'AP-HP, n'ont été révélées qu'en 1997 par le docteure Laurence Kouyoumdjian.

Elles étaient tellement atterrantes que l'on avait préféré les faire passer pour des euthanasies compassionnelles réalisées isolément par une infirmière immature, alors qu'elles étaient en réalité systémiques et programmées en "hauts lieux", selon l'expression du Commandant Christian Raeckelboom, le Principal du Commissariat de l'Haÿ-les-Roses, quand il m'a parlé des inexplicables protections dont les médecins de la Clinique Léon Elmelik bénéficiaient, qu'il m'avait demandé de ne pas répéter, des confidences qui recoupaient ce qu'en m'avait dit l'année précédente, en septembre 1990, le docteur André Souche, à l'époque sous-directeur à la D.R.P.S. de la C.P.A.M. du Val-de-Marne, qui avait été le premier à nous avertir de ce que la Clinique de La-Haÿ-les-Roses était intouchable, sans toutefois prendre le temps de nous préciser pourquoi la C.P.A.M. du Val-de-Marne interdisant toute information à son sujet, tellement il s'était montré effrayé pour l'on puisse aborder un problème qu'il devait pourtant que trop bien connaître, à en juger par l'affolement qui s'est par la suite emparé de Maîtres Catherine Scotto-Derouet et Annick Dorsner-Dolivet quand elles-ont été consulter ce qu'il en était des antécédents de ladite Clinique au bureau d'Ordre pénal du TGI de Créteil.

Maître Scotto-Derouet avait après qu'elle s'est informée auprès du TGI de Créteil été contactée par le docteur Patrick Bodenan°°°, une relation du docteure Edith Elmelik qui l'avait formée et que le docteur Jean Pouillard, le président de l'Ordre des médecins du Val-de-Marne avait spécialement dépêché auprès de Me Scotto-Derouet pour la menacer de sanctions ordinales pour elle-même si elle ne parvenait pas à faire en sorte que la plainte au pénal que mon père porté à encontre du docteur Antoine Denis soit remplacée par une plainte au civil.

De son côté Me Dorsner-Dolivet, après qu'elle a pris la suite de Me Scotto-Derouet en novembre 1992, me fera savoir qu'il fallait tenir compte de ce que le docteur Patrick Bodenan était "très influent" au Palais, avant d'introduire Maître François Leleu pour qu'il la relaye dans cette affaire, au prétexte que la voie de femmes n'était pas entendue dans les prétoires, qu'il fallait celle d'un hommeJe ne sais pas où Me Dorner-Dolivet avait été chercher Me Leleu. Toujours est-il qu'il fera rapidement preuve de double jeu en me racontant toutes sortes salades. Entre autres qu'il avait défendu des pédophiles, et que ceux-ci aimaient vraiment les enfants !

- / -

Sur  BFM TV du mercredi 26 janvier dernier, le journaliste Victor Castanet a dit qu'après d'être vu proposé quinze millions d'euros pour qu'il arrête son enquête puis avoir reçu des menaces durant sa enquête sur les Ehpad du groupe Orpéa.

Découvrir ces réalités seulement maintenant démontre que les journaux, qui se disent indépendants des pouvoirs politiques et administratifs, ont fait et continuent de faire semblant de les méconnaître, comme si les informations circonstanciées et facilement vérifiables que je leur avais fait connaître au sujet actes aberrants perpétrées sur mon père, en prémisses de celles qui ont été dans les années suivantes perpétrées au CHU de Mantes la Jolie sous l'égide des mêmes médecins bien en Cour, n'étaient que pure invention.

Vulnérabilisé par une profonde et mystérieuse "atteinte diffuse du système nerveux" alors qu'il était âgé de 79 ans et qu'il avait deux mois auparavant subi, dans l'état de santé inquiétant où déjà il se trouvait, mon père avait été subrepticement soumis à des actes chirurgicaux aberrants dans la Clinique de sa Commune (l'Haÿ-les-Roses)

Ayant après ça perdu son autonomie, dans les suites opératoires, parce qu'il était en proie à un accès panique, au soir du 31 juillet 1990, ses voisins de pallier firent appel à Police secours, qui fit appel au SAMU 94, qui le transportèrent aux Lits-Portes du CHU de Bicêtre

Le malade fut le surlendemain 2 août au matin hospitalisé en neurologie dans ce même hôpital dans le Service du professeur Gérard Saïd, avant d'être transféré trois semaines plus tard à l'hôpital Charles-Foix dans une Unité gériatrique de Soins dits "Normalisés", où il s'en était fallu de peu que le Chef de cette USN, le docteur Jean-Yves Beinis, réussisse à l'en faire sortir les pieds devants: le docteur Beinis et son Assistante Mlle Sitruc n'avaient pas osé déroger aux consignes qui leur avaient été données. Malgré mes remarques et celles de la Surveillante (madame Pondu), au sujet des signes cliniques alarmants qui signaient la nature de la maladie, la constatation d'une glossite de Hunter, pathognomonique des profondes carences vitaminiques B12, qui sont rapidement mortelles en l'absence de leur traitement correcteur spécifique, ils avaient continué à appliquer aveuglément la conduite "thérapeutique" qui leur avait été dictée par les neurologues de l'hôpital Bicêtre, qui était de ne faire que semblant d'administrer ledit traitement correcteur.

Auraient ainsi disparu avec lui les nombreuses raisons que mon père avait de vouloir porter plainte contre les médecins de l'ex Clinique obstétricale Léon Elmelik pour les abominables et incroyables exactions qu'en cachette ils lui avaient fait subir.

Ils les avaient méthodiquement préparées afin de pouvoir les commettre subrepticement, malgré mon interdiction, le vendredi 25 mai 1990, durant le long WE de l'Ascension, alors qu'ils me savaient très loin, à 500 kms de Paris !

J'avais, en tant que médecin, été les prévenir dans le mois précédent de ne surtout pas toucher à mon père, parce qu'il présentait un état de santé récemment devenu extrêmement préoccupant: une HTA très sévère, souvent à 24/14 malgré le traitement hypotenseur (du Lopril *) que lui prescrivait son cardiologue, le docteur Joseph Heller, une toux tendant à devenir subintrante, (et  à mon avis peut-être un peu trop vite attribuée seulement au Lopril*),  des épistaxis à répétitions dans les semaines précédentes, qu'il avait fallu mécher pour en venir à bout, un amaigrissement impressionnant, des troubles neurologiques de type parkinsonien avec marche hésitante à petits pas, en passant par un état d'affaiblissement de son sens critique qui lui faisait penser que je n'étais pas réellement son fils.

Mon père s'était ainsi mis à se méfier de moi, au point de croire que j'en voulais à sa vie parce que je voulais l'empêcher de savoir qu'il soufrait d'un cancer des os , une croyance que les médecins de la "fine équipe" * de la Clinique Léon Elmelik avaient pris soin de cultiver pour placer une opération plus lucrative que celle pour laquelle ils avaient astucieusement réussi à le faire venir en lui offrant des consultations gratuites (ce que j'ai ignoré jusqu'à ce que je prenne connaissance de la très longue contre-expertise du docteur Yves Dano)

J'ai aussi des raisons de penser que mon père s'était forgé ce genre d'idée - que je voulais le faire mourir - à partir de textes inspiration psychanalytiques. mais passons, il faudrait y consacrer trop de temps !

Le prétexte de l'opération que les médecins de la "fine équipe" * lui avait subrepticement infligé était la correction de la "mauvaise morphostatique" de ses avant-pieds (sic, dixit le Dr. Antoine Denis, un rhumatologue de 68 ans, qui se prenait pour un chirurgien orthopédiste et se faisait passer pour "professeur"), alors que c'était dans un but essentiellement commercial et financièr: la Clinique Elmelik était alors à vendre,  et il importait de booster son cash-flow, d'autant qu'elle était difficile à vendre au prix demandé du fait que sa mauvaise réputation n'était plus à faire. 

* La fine équipe,  dite des pieds nickelés,  était constituée des quatre principaux actionnaires de la Clinique Léon Elmelik , dont le professeur Jean Debeyre, féru de chaussures nickelées, son poulain le Dr. Antoine Denis, et de Jean-Claude et Edith Elmelik, enfants du docteur Léon Elmelik.  

Cf. au sujet du docteur Léon Elmelik l'article du blog de leon sur le mystérieux incendie qui a spontanément ravagé la mairie de l'Haÿ-les-Roses dans la nuit du 30 juin au 1 juillet 2002 tellement les archives y étaient brûlantes. 

Fac-similé de la plaque qui a remplacé l'ancienne dans le Parc de la Mairie , qui déjà prêtait à confusion, plaque aujourd'hui disparue de son support. 

SQUARE DU DOCTEUR
Léon ELMELIK

(1897 - 1959)
Fondateur de la clinique de l'Haÿ
Résistant, arrêté par la Gestapo
Torturé, interné, condamné à mort. Déporté à Buchenwald
Maire-adjoint, commandeur de la légion d'honneur

 

Mon père y a pour des raisons crapuleuses subi des exactions auxquelles les neurologues du Service de neurologie de l'hôpital Bicêtre avaient prêté leur concours: ils se sont comportés comme s'ils avaient voulu protéger cette scabreuse Clinique et ses richissimes médecins actionnaires: ils ont commis des erreurs normalement impossibles à faire, qui faillirent réussir à emporter le malade: tout s'est passé comme s'ils avaient cherché à dissimuler les très grossières fautes des médecins de la Clinique  Léon Elmelik en en commettant eux-mêmes de bien plus graves, qui bien failli réussir à faire disparaître la preuve des fautes commises par les médecins de la Clinique Léon Elmelik avec la disparition de leur ex patient.

Réussir sa disparition sans faire de vagues était cependant assez problématique dans la mesure où ils me savaient médecin, et me sachant médecin, il leur avait fallu me mystifier. Mais mon statut de médecin psychiatre était une chance: depuis Freud et à cause de lui, les psychiatres ont chez les neurologues non seulement la réputation (souvent méritée) d'être incompétents sur le plan médical, mais aussi et surtout d'être "complétement siphonnés", celle-ci elle aussi encore plus souvent méritée: cf. sur ce blog l'explication "psychanalytique" qu'avait donné le docteur Bernard This, psychiatre et psychanalyste, à l'affreux cancer de la bouche (en réalité un cancer de la mâchoire) qu'avait enduré le "bon" docteur Sigmund Freud durant les quinze dernières années de sa vie.

Aussi falsifièrent-ils les données cliniques et les données de laboratoire de façon à me faire avaler que mon père était atteint non pas de la maladie de Biermer, comme je le leur avais dit, mais d'une "DTA" (une Démence de Type Alzheimer, dans le jargon médical de cette époque), une  compliquée d'une "encéphalopathie vasculaire", pour faire bon poids, le tout officiellement étiqueté en lettres majuscules dans les conclusions du compte-rendu d'hospitalisation qui m'a été remis à la place de son dossier, au prétexte que celui-ci était introuvable, "ATTEINTE DIFFUSE DU SYSTEME NERVEUX" (sic, CRH rédigé par l’Interne Olivier Ille, qui deviendra Chef de Service au CHU de Mantes la Jolie dans les années suivantes, où un grand nombre de malades âgés furent assassinés); que mon père était par conséquent "de toute façon rapidement voué à une inéluctable plus grande aggravation, qu'il était donc pour moi comme pour mon père préférable que l'état où il se trouvait ne se prolonge pas trop longtemps" (sic, dixit le Chef de Clinique Pascal Masnou après qu’il m’a fait savoir (croire) que le test de Schilling était à 35% et donc normal (alors qu’il était à 5 % et donc franchement en faveur du diagnostic de maladie de Biermer), et aussi la cobalaminémie !

Savoir pourquoi les neurologues de l'hôpital Bicêtre s'étaient comportés de la sorte faisait problème ?

Comment avaient-ils pu me tenir des propos aussi aberrants alors que je suis médecin et que c'était contraire à toute logique comme à ce que j'avais entendu dire par les Urgentistes aux Lits-Portes de l'hôpital Bicêtre dans la soirée du 31 juillet 1990 lors de l'admission de mon père, et contraire au diagnostic de présomption des Urgentistes comme à mon propre diagnostic, d'autant qu'en 1990 un Service qui prétendait être à la pointe de la Recherche en neurologie, et spécialement sur l'importance des vitamines du groupe B dans la prévention et le traitement des neuropathies périphériques ? 

D'autant que ce Service n'avait pas manqué de faire savoir en 1992, et et peut-être même avant 1992 par de grandes affiches placardées partout dans les couloirs et la Salle d'attente que  l'INSERM lui avait attribué une Unité de Recherche pour solliciter de la part des familles une participation financière aux Recherches, alors que ses neurologues avaient en 1990 fait comme s'ils ignoraient l'article de Kolhouse & al publié en 1978 dans le prestigieux New England Journal of Mecicin ?

Cf: 1978 Kolhouse & al, New Engl. J. Med. 299, 15, 787 - 792. "Cobalamin analogues are present in human plasma and can mask cobalamin defiency because current radioisotope dilution assays are not specifique for true cobalamin".

Ces affiches furent dès le lendemain que je j'en ai fait la remarque au docteur Masnou partout retirer, si bien que je n'ai pas pu en faire des photographies.

L'explication qui me fut donnée à ce retrait était que Michel Crépeau, le Maire de la Rochelle, avait interdit la mendicité ! 

Les Urgentistes, dont Antoine Moulonguet, qui deviendra des années plus tard Chef d'un Service de neurologie à La-Pitié-Salpétrière, avaient très logiquement porté le diagnostic de maladie de Biermer au vu de l'hémogramme et au terme de l'examen neurologique qu'ils venaient de faire, devant moi, un examen qui mettait en évidence ce qui s'appelle syndrome cordonal postérieur c'est-à-dire un tableau dit de "sclérose combinée", qui la plupart du temps signe le diagnostic de maladie de Biermer, et non pas celui de maladie d'Alzheimer.

Et même si l'une n'exclut pas l'existence de l'autre, des médecins expérimentés ne peuvent confondre ces deux entités, sauf à le faire exprès !

Qui plus est le diagnostic de probabilité de maladie de Biermer porté par les Urgentistes n’est pas mentionné dans le compte-rendu d'hospitalisation qui m'a été remis au lieu du dossier, que j’avais demandé à consulter.

Alors pourquoi les neurologues du Service du Pr. Gérard Saïd avaient-ils fait exprès de se tromper et essayé de me tromper ?

"Tout simplement" parce que la Clinique de l'Haÿ-les-Roses leur était d'une grande utilité, ainsi qu'à l'ensemble des hôpitaux de l'AP – HP, qui s’étaient fait un devoir de donner des directives allant dans le sens des besoins du pouvoir politique.

Ils savaient évidemment que cette Clinique était à cause de cela « protégée en haut lieu » (ou « en hauts-lieux » ?) comme me l’avait dit le 21 janvier 1991, après m'avoir demandé de ne pas le répéter, le Commandant Christian Raeckelboom, le Principal du Commissariat de l'Haÿ-les-Roses, avant d'ajouter qu'il ignorait la raison de ces protections.

J'ai pu savoir et en avoir eu les preuves quelques années plus tard, en complétant mes sources d’informations et aussi fortuitement lors de rencontres inattendues, et lorsque je suis retourné à l’hôpital Bicêtre à l'été 2004 en montrant que la CADA m’avait donné raison et demandait au Service du professeur Gérard Saïd de me permettre d’accéder au dossier d’hospitalisation de mon père, j’ai été accusé par la direction de l’hôpital Bicêtre, c’est-à-dire en fait par le professeur Saïd, d’avoir "moi-même sciemment 'fabriqué' la maladie de mon père par 'antisémitisme' " (sic, dixit madame Isabelle Pilot) !

C'est aussi qu'en 2004 le procès de Christine Malèvre avait eu lieu, qui permettait de comprendre ce qui s'était passé à l'hôpital Bicêtre en 1990 avec mon père.  

L'esprit qui à cette époque régnait sur la France n'était-il pas celui de la triche ?

N'a-t-il pas été rappelé au début de ce mois lors de l'hommage qui lui était rendu que Bernard Tapie, qui avait été nommé Ministre de la Ville par François Mitterrand, avait dit : "Sans la triche on arrive à rien".

La triche n'est-il pas un sport dans lequel la France est réputée exceller (notamment en Suède, le pays de mon enfance buissonnière)
J'ai longuement rendu compte de ces faits sur Internet depuis août 2009, après que j'ai appris les tenants et aboutissants de l'effrayante tentative de mise à mort de mon père, et les petits arrangement entre amis  (au Conseil de l'Ordre) qui avaient suivi pour invalider mon témoignage vis à vis de la Justice.

 Une Justice qui de toute façon participait elle-même à cette mystification : lire sur ce blog l'article htpps.genocides.over-blog.com  Une affaire à ne surtout pas ébruiter 

Le faux-semblant de traitement qui faillit être fatale à mon père a été qualifiée petite erreur d'appréciation par le docteur trois points Patrice Bodenan, lui aussi par erreur nommé Rapporteur de cette tentative d'assassinat, mais tentative ratée par "ma faute", prétendra par la suite la direction de l'hôpital Bicêtre, puisque selon celle-ci, j'avais "moi-même sciemment fabriqué la maladie de mon père par antisémitisme".

C'était le docteur Jean Pouillard, le président du Conseil de l'Ordre Départemental du Val-de-Marne, qui s'était chargé de le nommer "par erreur" Rapporteur de cette affaire.

Les lettres à ce sujet (celle dactylographiée que le docteur Pouillard m'avait en juin 1992 adressé pour tenter de se disculper, et celle manuscrite du docteur Bodenan°°° au président du Conseil disciplinaire de l'Ordre le docteur °°° Jean Penneau datée du 10 janvier 1994 lui demandant que l'article L 460 du CSP me soit appliqué sont en ligne sur le "blog de leon".

Ce qui était arrivé à mon père en 1990 était la lointaine conséquence de ce qu'il avait été "enfant Chœur", et de ce qu'il lui avait alors fallu endurer, qui lui avait tourné la tête et fait de lui un petit don Juan parce cherchait à se prouver à lui-même qu'il était bien un mâle et non pas une femme, à preuves  ses conquêtes féminines, mais aussi dans un autre domaine le paradigme de ce qui arrivé à bien d'autres malades, notamment au CHU de Mantes-la Jolie dans le Service de neurologie du docteur Olivier Ille.

Celui-ci n'avait pas eu de mal à faire jouer à Christine Malèvre le rôle qu'il avait réussi à faire jouer en 1990 au docteur Jean-Yves Beinis, ce qu'Eric Favereau à "Libé' n'a apparemment pas compris ou pas voulu savoir, qui n'en a soufflé mot.

On dira que ces choses n'ont rien à voir entre elles, qu'on ne voit pas le rapport (sexuel) alors qu'il y en a plus d'un.

Il y plusieurs explications à cela, qui ne s'excluent pas les unes les autres, mais  comme on n'a toujours pas voulu savoir que Herr Professor  Sigmund Freud est grandement responsable de l'occultation de ces dérives sexuelles (pour Freud tout a une signification sexuelle, même un escalier) avec la méga tricherie qu'est l'invention des fantasmes œdipiens, et par conséquent de les avoir grandement favorisées, alors que c'est assez facile d'en comprendre les raisons.

Outre la plus évidente, l'appât du gain, il y en avait d'autres, liées à des antécédents parentaux peu avouables, bien que sexuels !

Si peu avouables que Sigmund Freud préférait se les cacher à lui-même. 

Ne pas avoir à les reconnaître, pour que ses zélotes et ses lecteurs ne les sachent alors qu’ils sont à l’origine de ses concepts théoriques fallacieux : autrement dit, avec son concept de fantasmes œdipiens inconscients, Freud a « inconsciemment » cherché à ce que tout-un-chacun chausse des lunettes faites pour masquer une réalité à lui-même trop dérangeante, et ce faisant refiler aux autres sa patate chaude: lire à ce sujet outre ses lettres à Wilhelm Fliess, qu’il avait en vain cherché à faire disparaître après que son admiratrice la princesse Marie Bonaparte a pu par miracle les récupérer, Marie Balmary, L’homme aux statues, J.M. Masson, Le réel escamoté, Marianne Krüll, Freud fils de Jacob, et Mikkel Borsch Jacobsen, Destins, en passant par Jacques Bénesteau, Peter Swales, Frank Sulloway, Alain Sokal et Jean Bricmont, entre autres démystificateurs.

Cf  sur ce blog l' article « Que la lumière soit  n°1 et n°2 ».

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