Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
16 novembre 2016 3 16 /11 /novembre /2016 17:21

A l'instar de François Hollande détesté depuis quelques jours par la magistrature, c'est-à-dire depuis qu'il a, en tant que premier magistrat de France, parlé d'elle en Vérité, je  suis moi, depuis bien plus longtemps, depuis 1990, médecin le plus détesté et du CNOM (du Conseil National de l'Ordre des Médecins) et de l'AP - HP, en passant par le professeur Gérard Saïd, l'ex Chef du Service de neurologie du CHU de Bicêtre, par qui tout n'a pas commencé, puisqu'il faut remonter aux médecins propriétaires de l'ex Clinique Léon Elmelik, que le professeur Gérard Saïd avait voulu préserver parce que ceux-ci lui étaient précieux, qui acceptaient de se charger des malades dont son Service, mais pas seulement son Service, préférait être débarrassés avant qu'ils ne viennent à décéder.

Détesté non pas du monde entier, mais du petit monde des vertueux médecins magouilleurs.  

Le professeur Gérard Saïd était à l'époque membre de l' IFREMj, l’Institut de Recherche en Ethique Médicale juive, émanation de la Revue Médica Judaïca, une Revue dirigée par son ami le philosophe Emmanuel Hirsch, et par conséquent aussi membre de l'AMJF (l’Association des Médecins Israélites de France).

Comment en suis-je arrivé a être l'objet de tant de haines, alors qu’à l’école primaire, - j’étais en CM1, l’élève de madame Plantier - l’institutrice avait invité les élèves de ma classe à prendre exemple sur ma bonne éducation, et alors que ma mère soucieuse de mon avenir (une mère juive) m’avait toujours recommandé de toujours faire bien attention à ne pas me faire « mal voir » ?

Pour la parfaire - non pas mon éducation, mais la haine que m'avait attiré ma bonne éducation suédoise, , la courageuse docteure Laurence Kouyoumdjian, par son signalement avait en 1997 fait mettre fin aux nombreux assassinats de malades que perpétrait au CHU de Mantes la Jolie l'infirmière Christine Malèvre sous l'égide de son collègue le docteur Olivier Ille. 

Un signalement qui fut non pas salué et récompensé, ce qu'il été normal qu'il le soit, mais d'autant plus mal vécu par l'AP - HP qu'il risquait d'attirer l'attention des médias sur le rôle qu'avait joué Olivier Ille, l'ex Interne du Service du professeur Gérard Saïd, dans l'interdiction faite le août 1990 au docteur Jean-Yves Beinis d'administrer au malade qu'il venait de lui adresser le traitement qui pouvait l'empêcher de mourir.

Le professeur Gérard Saïd, de peur que ce soit découvert, trouva qu'il était urgent et subtile, de s'allier avec l'ennemi héréditaire de l’AMIF, à savoir le CNOM, en mettant le docteur Bruno Halioua à contribution, en tant qu'il était comme lui membre de l’AMJF (je ne pense pas que le docteur ait fait partie de l'IFREMj, il faudrait peut-être le lui demander ?)

Le docteur Olivier Ille n'est certes lui pas membre de l'IFREMj, mais de la non moins vertueuse  Communauté de l'Emmanuel. Sous son égide mon père avait failli perdre la vie à la suite des traitements non seulement erronés qu'il avait dicté au docteur Beinis, mais délibérément mortellement erronés ! 

Pour sceller cette nouvelle alliance, le professeur Saïd avait fait intervenir le bon mais trop naïf docteur Bruno Halioua (lire la page 12 de "Blouses blanches, étoiles jaunes" ainsi que la préface et la postface de ce livre paru en décembre 1999 chez Liana Lévy, à une époque où il importait à l'AP- -HP de se rassurer au sujet du procès pénal qui se profilait suite au "fâcheux" (parce qu'intempestif du point de vue de l'AP - HP) signalement du docteure Laurence Kouyoumdjian.    

C’est qu'il m'avait, en septembre 1990, fallu sortir mon père d’un coma, qui avait bien failli être terminal, si les infirmières du Service du docteur Jean-Yves Beinis, Chef de l'Unité dite de Soins Normalisés de l'hôpital Charles-Foix, où le docteur Olivier Ille l’avait fait transférer avant de mourir, ne m’avaient pas prévenu à temps qu’un faux traitement de sa maladie avait été ordonné par leur Chef de Service, qui lui-même ne faisait qu’obéir aux ordres du docteur Olivier Ille, qui lui même ne faisait qu’obéir aux ordres de sa hiérarchie .  La fusée était à plusieurs étages qui devait, ni vu ni connu, aboutir à lancer mon père au ciel y trouver Le Père et Ternel, un lancement qui avait failli réussir mais qui avait, di fait de mon intervention, foiré. L’AP – HP.

L’AP - HP dut après cet échec réviser sa stratégie en opérant à partir d’une fusée à deux étages pilotée  par Olivier Ille et Christine Malèvre et avoir pris soin de sécuriser le pas de tir en mettant sur pied , sur les conseils du professeur Saïd et d’Antoine Cordier  en 1995 au CHU de Bicêtre puis à l’hôpital Saint-Louis un « Espace  Ethique de l’AP – HP » dont la Chaire a été, comme il fallait s'y attendre, confiée au philosophe Emmanuel Hirsch. A propos d’Emmanuel, Olivier Ille a depuis trouvé le moyen de se couvrir de probité en devenant un membre actif  de la Commaunauté de l’Emmanuel, au sein de laquelle il peut faire des conférences à  « Amour & Vérité » et  parler du  « Prends  soins de lui ». En 2004 le professeur Saïd m'a fait accuser par la direction de l'hôpital Bicêtred d'avoir moi-même "fabriqué" (sic) la maladie de mon père par antisémitisme (sic) après que l'Ordre a voulu me faire appliquer, via la demande des docteurs Jean Pouillard et Patrice Bodenan (Bod°°° pour les intimes) l'article L 460 du CSP !

En octobre 1997, grâce au courageux signalement du docteure Laurence Kouyoumdjian,  es assassinats de malades perpétrés  par Christine Malèvre sous l'égide de son collègue le docteur Olivier Ille, ont été découverts, trouvé le moyen, via le docteur Bruno Halioua, en tant que membre de l’AMJF  de s'allier avec l'ennemi héréditaire de l’AMIF , à savoir le CNOM .

C’est bien parce que que le docteur Olivier Ille était l’ex Interne du Service du professeur Saïd, le Service où sous son égide mon père avait failli perdre la vie à la suite de traitements mortellement erronés, mais délibérément erronés ! que pour opérer cette nouvelle alliance, le professeur Saïd avait fait intervenir le serviable mais très naïf docteur Bruno Halioua.

(pour plus de détails voir article n° 108281777 html, rédigé et adressé le 18 juillet à l’intention du Président François Hollande et du Comité National d’Ethique et autres articles plus récents du site http://génocides.over-blog.com. relatifs à l'impardonnable mise en évidence, que j'avais faite, en 1990, de l'existence d'un syndrome démentiel réversible sous thérapie B1, un syndrome en France depuis 2003 appelé syndrome NDB12PP, et food vitamin B12 malabsorption dans les pays anglo-saxons.)  

Partager cet article
Repost0
16 novembre 2016 3 16 /11 /novembre /2016 14:35

Donald Trump says that France is on the decline.

It must be true, because in 1986, regarding its natural resources, Danemark espected France to be at 2000  the first economic power in Europe, but the danish  conjecture did not take into account that France is much more than Denmark a corrupted country, ranks thirty-seventh among European countries, while Denmark Ranks first, and that corruption has a very high cost.

So it is not so amaising that when François Hollande says that french magistrates are cowards and corrupted, a lot of politian are protesting against him when he tell the truth.

At the same time, France has solutions, but France is unable to sell them. 
Partager cet article
Repost0
10 novembre 2016 4 10 /11 /novembre /2016 17:15

But wrong too ! What is to be demonstrated ! 

Donald Trump says that France is on the decline, but what the next US President says is not, at the same time, quite perfectly correct : France has solutions, but France is unable to sell them.  

By example France is not able to export the powerfull "french gendarmerie system to get money", called and described last month in this blog under the title «  Restricted  Zones à ZZ000ZO system ». 

Donald Trump is, as a well educated politician must also be, a true liar, but not when he says that the US elections are falsificated, because they are, since he will be president with less voices than Hilary C.

By the way, Donald Trump makes of Marine Le Pen also a liar, because she says that Donald Trump succeded to get the people’s voices despite he got 250.000 voices less than Hilary Clinton. 

What was to be demonstrated.   

Partager cet article
Repost0
8 novembre 2016 2 08 /11 /novembre /2016 15:05

Le 31 octobre 2016 France Inter  a consacré à l'hypertension artérielle l'émission animée par Ali Reheihi.

"Grand bien vous fasse

J'ai en l'écoutant signalé à l'intention des deux médecins invités, la professeure Claire Mounier Véhier et le docteur Nicolas Postel-Vinay, le cas étonnant de la résolution rapide d'une HTA extrêmement sévère au moyen d'un antidélirant, en l'occurrence l’halopéridol (Haldol*) 

J'étais parvenu contre toute attente à la régulariser très simplement, du jour au lendemain, une hypertension qu'un mois d'hospitalisation dans un CHU de l'AP -HP n'avait pu résoudre qu'insuffisamment, n'ayant pu la ramener qu'à  à 21/12 sous méthyldopa (Aldomet *)

J'avais en août 1981 été appelé en urgence chez un malade d'une cinquantaine d'années qui éprouvait des difficultés respiratoires.

Je l'avais i examiné et avais diagnostiqué un sub-œdème pulmonaire.

Sa TA était à 28/17 !

Je n'en croyais pas mon manomètre. Je l'avais rapidement soulagé de son œdème pulmonaire en lui administrant une ampoule de furosémide (Lasilix *).

Le patient, un ouvrier manutentionnaire, n'était pas professionnellement exposé à développer une hypertension artérielle, tel un cas précédent, qui démolissait au chalumeau une vieille citerne peinte au minium : celui-là je l'avais tout de suite adressé en ambulance à l'hôpital Fernand Widal.

Le patient au sub-œdème pulmonaire s'était beaucoup opposé à l'arrêt de travail que je lui avais proposé.

J'avais finalement  réussis à le convaincre qu'une hospitalisation était indispensable en lui disant que ne ne voulais pas prendre la responsabilité de ne pas le faire hospitaliser, ou de me signer un refus d'hospitalisation.

C'est ainsi qu'il  fut admis dans un CHU de la banlieue parisienne.

Il y resta hospitalisé tout un mois.

Son épouse me rappela à sa sortie. L'hypertension était loin de s'être normalisée. Sa tension restait élevée, de l'ordre de 21/12 malgré la prescription hospitalière d'Aldomet*.

Son épouse demanda à me parler en particulier.

Elle me conta l'histoire qui tourmentait son mari : ils avaient un fils et celui-ci était décédé dans les années précédentes à l'âge de 14 ans au collège. Leur fils y avait dans une rixe reçu un coup de couteau mortel. Le patient était depuis quelques mois persuadé qu'il était à cause de cela surveillé par la police. Il notait tous les numéros minéralogiques des voitures qui étaient garées en bas de son appartement. J'en ai discuté avec le malade. Ce que l'épouse venait de me confier correspondait à ce que lui-même me raconta .

J'ajoutai de l'Haldol* (halopéridol) et un correcteur de ses effets extrapyramidaux à son traitement.

Les jours suivants, je fus stupéfait de constater que l'hypertension avait totalement disparue, de même que son délire. Il était détendu, et sa tension s'était elle aussi normalisée à 12/7 ! 

J'ai supprimé l'Aldomet* (un alpha bloquant) 

Sa TA s'est maintenu normalisée les semaines qui suivirent. 

Je n'ai plus jamais entendu parler de ce malade.

Était-ce l'effet pharmacodynamique de l'halopéridol qui avait ramené la tension à la normale, où était-ce la réduction de son délire ?

A mon avis surtout à la réduction du délire par l'action anti-délirante de l'halopéridol, bien que les neuroleptiques aient aussi un effet hypotenseur. 

Partager cet article
Repost0
3 novembre 2016 4 03 /11 /novembre /2016 16:02

Une psychanalyste sur le chemin de le guérison

Ci-après les avancées (les confessions) de Mady Jeannet-Hasler, docteur en psychologie, psychanalyste psychothérapeute, résumées par elle-même. 

<< Les patients qui nous consultent alors même que nous avions terminé avec eux un traitement qui nous avait paru avoir atteint ses objectifs nous mettent à l’épreuve, tant en ce qui concerne notre façon de pratiquer, que nos convictions théoriques. Deux exemples appartenant à l’histoire de la psychanalyse mettent en évidence les pièges qui nous guettent, nous incitant à une réflexion sur les objectifs que nous pouvons faire nôtres, et les moyens de les atteindre>> " (La théorie et la pratique à l’épreuve des patients qui nous consultent après la fin de leur psychanalyse. Les enseignements de l’histoire  www. publications-de-Jeannet-Hasler-Mady)

Appréciations personnelles sur les avancées de Mady Jeannet-Hasler :

Après celles, très pénétrantes, de Marie Balmary (L'homme aux statues”, Grasset 1979 et 1997), de Marianne Krüll “Freud fils de Jacob” (1984, Gallimard, bibiliothèque de l'inconscient) et de Gabrielle Rubin “Le roman  familal de Freud” (Payot 2002), pour ne pas parler de celles “hors concours”, parce qu'elles restent interdites de réédition, tout au moins en France, de “Le réel escamoté” (1984 Aubier-Montaigne) du psychanalyste américain Jeffrey Moussaïeff Masson, avancées que Mady Jeannet-Hasler semble vouloir ignorer  puisqu'elle ne les cite pas en bibliographie (cf. infra), Jeannet-Hasler tente, à ses risques et périls, de sortir du sentier battu que Freud a balisé pour  ceux qui se sont laissés aveugler par  son délire projectifs, Freud était lui-même un aveuglé/aveuglant, aurait dit Jacques Lacan, qui l'avait “percé à jour” mais s'était gardé d'éclairer ses propres zélotes, ou plutôt il les avait éclairé d'une façon si trans-parente qu'ils en étaient aveuglés, hormis quelques exceptions (quelque 1/100 d'entre eux, se plaisait-il à dire) 

La conférence que Freud  fit  devant un parterre de psychiatre en avril 1896 lui avait fait comprendre qu'il fallait changer son fusil d'épaule, que la réalité n'était surtout pas bonne à dire s'il voulait faire fortune. Ce dont on ne peur parler, il faut le taire, avait d'ailleurs commenté Wittgenstein en 1919,  non pas au sujet de Sigismund Freud, mais de sa copie latente,  Adolfus Hitler. Et pour cause, puisque A.H. a été en tant que patient bien plus que SP (Sergueï  Pankejeff) l'objet de ses théorisations, voire,  si je ne m'abuse, du concours que Freud a proposé  en 1902 à ses affidés, et auquel aucun n'a osé répondre, par peur de mettre un pied dans le plat (le gauche, évidemment).

    
Mady Jeannet-Hasler écrit :<< Récemment, plusieurs personnes ont repris contact avec moi ; elles avaient bénéficié d’une analyse ou d’une psychothérapie dont le terme avait été fixé d’un commun accord, et je ne les avais pas revues depuis des années. Que viennent-elles chercher ? Pour elles, et pour moi, constat de réussite ou d’échec ? Allons-nous reprendre un travail ? Si oui, comment allons-nous définir le cadre ? Allons-nous pouvoir repérer nos points aveugles, exploiter le travail fait antérieurement au travers de nos souvenirs, éventuellement des notes prises ? Elles espèrent trouver d’emblée chez moi – sinon elles iraient voir ailleurs – un contenant sûr et connu à leurs préoccupations, leurs questionnements. Elles nous donnent ainsi une occasion de mesurer le chemin parcouru, par elles, par moi ; chemin de vie, mais aussi pour moi cheminement théorique ; opportunité d’explorer et de comprendre mieux la relation entre théorie et pratique, en me confrontant à l’effet du temps et sur l’une, et sur l’autre...   Cette réflexion, je la mènerai en posant deux jalons historiques : les demandes de reprise d’analyse de Sergueï Pankejeff à Freud, et de M. Z* à Kohut, qui me seront comme des phares signalant les écueils....Tant il est vrai que, sur le divan de mon premier analyste déjà, puis dans mon fauteuil, enfin autour de la table de nos séminaires cliniques, je me suis toujours demandé si nos théories nous mettent des œillères, ne nous permettant de repérer que ce que nous nous attendons à voir, ou si au contraire elles nous signalent ce que sans elles nous ne verrions pas. Théorie, “utile serviteur, mais mauvais maître”, comme le résume Guntrip.>>....

Bibliographie proposée par Mady Jeannet-Hasler

ANDREAS-SALOMÉ, L. 1958. Correspondance avec Sigmund Freud, Paris, Gallimard, 1985.

CALVINO, I. 1983. Palomar, Paris, Le Seuil, 2004.

FERENCZI, S. ; RANK, O. 1924. Entwicklungsziele der Psychoanalyse. Zur Wechselbeziehung zwischen Theorie und Praxis, Leipzig, Wien, Zürich, Internationaler Psychoanalytischer Verlag.

FERENCZI, S. ; RANK O. 1924. Perspectives de la psychanalyse. De l’indépendance de la théorie et de la pratique psychanalytiques, Paris, Payot, 1995.

FERENCZI, S. 1927. Critique de la technique psychanalytique de Rank, OC P III, Paris, Payot, 1982.

FERENCZI, S. ; GRODDECK, G. 1982. Correspondance, Paris, Payot.

FREUD, S. 1918. À partir de l’histoire d’une névrose infantile, OCF. P XIII, Paris, PUF, 1994.

FREUD, S. 1922. Mise au concours d’un prix, OCF.O XVI, Paris, PUF, 1991.

FREUD, S. 1926a. La question de l’analyse profane, OCF. P XVIII, Paris, PUF, 1994.

FREUD, S. 1926b. Le Dr Reik et la question du charlatanisme dans la cure, OCF. P XVIII, Paris, PUF, 1994.

FREUD, S. ; JUNG, C.G. 1975. Correspondance, 1906-1914, Paris, Gallimard, 1992.

Partager cet article
Repost0
28 octobre 2016 5 28 /10 /octobre /2016 17:02

Par la faute des infirmières d'un Service de gériatrie de l'AP -HP  les neurologues du grand Service de neurologie du professeur Gérard Saïd ratèrent l'issue fatale qu'ils avaient en août 1990 très savamment réservé à leur malade.

Un malade qui avait, comme 25.000 autres,  eu le tort de bénéficier d'une transfusion de sang dans la première moitié des années 1980, c'est-à-dire à l'époque où la quasi totalité des transfusions véhiculaient le VIH (Cf. Anne-MarieCasteret "L'affaire du sang" éditions "La découverte" 1992)

Les dits neurologues l'avaient en 1990 logiquement condamné à une mort rapide pour avoir eu le tort d'avoir subi en avril 1984 une opération nécessitant l'administration d'une transfusion sanguine, c'est-à-dire à une époque où quasiment toutes les transfusions transmettaient le VIH.

Il était donc à l'époque préférable, du point de vue économique, de pouvoir attribuer son décès au mal qui avait motivé son hospitalisation, officiellement baptisé "atteinte diffuse du système nerveux" (sic) et l'attribué à une "encéphalopathie vasculaire" sur fond de maladie d'Alzheimer alors qu'ils savaient pertinemment qu'il s'agissait plus banalement d'un état de profonde carence vitaminique B12 telle qu'en réalise la maladie de Biermer, donc d'une "atteinte"  parfaitement curable et réversible par le traitement de cette maladie, c'est-à-dire par une vitaminothérapie B12 drastique.

Il leur avait suffi de falsifier les données du laboratoire et de ne pas lui administrer réellement ce traitement voulu tout en faisant semblant de l'administrer pour pouvoir faire croire à son fils, médecin (c'est-à-dire à moi) que son père ne souffrait aucunement de la maladie de Biermer ni d'une carence vitaminique B12, et le tour était joué : le malade allait pouvoir mourir comme prévu aussi rapidement que naturellement de son  "'ATTEINTE DIFFUSE DU SYSTEME NERVEUX" (mais autant que possible ailleurs que dans leur Service hautement spécialisé, c'est-à-dire à l'hôpital Charles-Foix dans le Service gériatrique du docteur Jean-Yves Beinis, une "USN",  les neurologues de Bicêtre sachant pertinemment que ce dernier ne serait pas très regardant par rapport aux directives qui lui seraient données, le sachant surtout intéressé par les qualités esthétiques de ses collaboratrices.

Ils lui avaient instamment recommandé de les imiter, c'est-à-dire de ne faire que semblant d'administrer à son malade le traitement voulu, et la docteur Beinis s'était astreint à suivre ces directives.

Ils n'avaient pas été prévu que mes infirmières de son Unité de Soins Normalisés se rendraient compte de ce que leur Chef de Service leur demandait de faire était criminel et ce qu'elles m'en préviendraient !

Pour remédier aux complications judiciaires de cet imprévu l'Assistance Publique a en 1995 mis en place "l'Espace Ethique de l'AP - HP" (sic) pour couvrir d'un rideau de fumées les assassinats de malades, passés (dont celui, raté, de mon père) et à venir (dont tous ceux,  réussis, par Christine Malèvre, sous l'égide du même Olivier Ille, l'ex conseiller spécial du docteur Beinis)

A la tête de cet "espace" : Emmanuel Hirsch, une personnalité non médicale, mais relation dévouée du très soumis  professeur Gérard Saïd.

Sans être médecin, Emmanuel Hirsch connaissait comme par hasard et en dépit du secret professionnel auquel le professeur Gérard Saïd était en principe astreint tout de l'histoire clinique d'un plaignant rescapé d'une "euthanasie" !

Preuve en est aussi que Christine Malèvre ait été la seule à écoper d'une condamnation pénale alors qu’elle avait œuvré  sous les ordres de son bel Olivier Ille, celui-ci ne faisant que répondre, comme précédemment lorsqu'il était Interne dans le Service du professeur Saïd, aux directives secrètes de l’AP – HP sinon plus directement  des ministères « responsables mais non coupables » (sic, dixit la "Justice") 

Dans la plainte contre X intentée par un rescapé de la Clinique Léon Elmelik et des neurologues de Bicêtre (via leur Interne Olivier Ille, cf. les articles 34640255, 699701777  et 108281777 html du site http://genocides.over-blog.com)

Michel Barrau, l’ancien procureur de Créteil, avait, à l’instar de Philippe Courroye dans l’affaire Bettencour, manœuvré pour que cette affaire ne puisse venir à l’audience (non-lieu du 3 juin 1998 requis par Michel Barrau)

L'affaire et son non-lieu inique a en 1999 "inspiré" (via Christian Hervé°°°) au faux réanimateur Patrice Bodenan°°° un Mémoire de DEA d'éthique médicale intitulé "Problèmes éthiques posés par les  commissions de conciliation hospitalière" (sic), un Mémoire  qu'il s'est empressé de mettre en ligne avant de l"en retirer tout dernièrement quand il s'est aperçu que le vent pourrait tourner. On peut toutefois le consulter en s'adressant à son mentor  professeur Christian Hervé°°°.

Les confidences de François Hollande faites à Fabrice Lhomme et Gérard Davet sur les « dysfonctionnements » (encore un euphémisme) de la Justice française ne relèveraient pas du suicide politique s’il avait le courage de les réaffirmer et de les condamner haut et fort publiquement en tant qu’il est le premier magistrat de France.

Les « euthanasies » (paradigme d’assassinats) de malades hospitalisés anciennement contaminés par le HIV dans les hôpitaux lors de transfusions ont ainsi pu être couverts et neutralisés par l’institution judiciaire elle-même parce qu’elles mettaient en cause la responsabilité de l’Etat alors que la Justice n’est pas du tout en France indépendante des pouvoirs étatiques et de la haute administration, dont celle de l’AP – HP.

 

 

Partager cet article
Repost0
28 octobre 2016 5 28 /10 /octobre /2016 14:33

Les confidences de François Hollande faites à Fabrice Lhomme et Gérard Davet sur les dysfonctionnements de la Justice française ne relèveraient pas du suicide politique s’il avait le courage de les réaffirmer publiquement.

Les assassinats de malades hospitalisés contaminés par le HIV dans les hôpitaux lors de transfusions ont été couverts et neutralisés par l’institution judiciaire elle-même parce qu’ils mettaient en cause la responsabilité de l’Etat cependant que la Justice n’est pas indépendante des pouvoirs de l’Etat et de la haute administration, dont celle de l’AP – HP.

Preuve en est l’affaire Christine Malèvre, la seule à avoir été condamnée alors qu’elle agissait sous les ordres d’Olivier Ille, et celui-ci aux directives de l’AP – HP

Cf. sites n° 69970222 et 108281777 html (http://genocides.over-blog.com)

 

 

Partager cet article
Repost0
28 octobre 2016 5 28 /10 /octobre /2016 01:10

La France n'est-elle pas empêchée d'être la première puissance économique en Europe ?

Dans un pays de basse intensité démocratique les charlatans et les escrocs vivent au crochet de la société et sapent ses immenses ressources.

Aussi les confidences de François Hollande faites à Fabrice Lhomme et Gérard Davet sur les dysfonctionnements de la Justice française ne relèveraient pas du suicide politique s'il avait le courage de les soutenir publiquement,

Les Islandais en avaient tiré la leçon, qui ont réussi à rétablir la prospérité du pays en barrant judiciairement et judicieusement la route à la corruption (lire "Le  Monde diplomatique" de ce mois). Les français feraient bien de les imiter au lieu de mettre en selle des corrompus plus ou moins passibles de condamnations judiciaires.  

François Hollande ne saurait-il pas pertinemment ce qu'il fait quand il dit vrai sur ce qu'est en France l'Institution judiciaire plus que défaillante afin de pouvoir retourner la situation à son avantage le moment venu ?

On peut en douter, mais saura-t-il exploiter cette opportunité?

En 2012 Nicolas Sakorsy était sûr qu'il allait réduire son adversaire en miette alors que c'est François Hollande qui, contre toute attente, a "écrabouillé" Sarkozy avec son Moi président.   

François Hollande sait évidemment  que la Commission Européenne pour l'Efficacité de la Justice (CEPEJ) avait dans son rapport comparatif des systèmes judiciaires européens révélé en octobre 2010 que la France se classait au 37 e rang sur 43 pays européens.

Et cette situation se serait aggravé depuis, selon Richard Armennante, un ingénieur IBM, dans un blog récent publié par Médiapart.

Après avoir exposé et détaillé ses démêlés avec la justice il écrit << La France est un pays mafieux et corrompu , son administration fonctionne comme la Mafia , la France est un pandémonium et je suis très bien placé pour l'affirmer,la réalité et la vérité sont sans pitié,  car Mon histoire est un exemple de corruption et de violation des lois et des droits de l'Homme en France! >>  www.http://injustice.blog.free.fr

Richard Armenante fait savoir qu'il a mis François Hollande et toute l'Assemblée Nationale au courant de ce dont les magistrats en France sont capables et a, comme moi-même à propos de l'affaire relative aux malades victimes des exécutions de malades déguisés par des médecins l'AP - HP en "euthanasies", ce dont mon père avait failli périr si des infirmières ne m'avaient pas prévenu à temps de la supercherie, demandé qu'une Commission d'enquête soit faite.

Sans les "dysfonctionnements" de sa justice la France, compte tenu de ses atouts, serait probablement depuis longtemps la première puissance économique en Europe, Les Danois avaient dans leur analyse prédit en 1986 que la France allait être la première puissance économique en Europe en l'an 2000 ! 

C'était une conjecture fondée sur un paramètrage erroné : la France n'est pas comme le Danemark un pays classé par le CEPEJ  au premier rang mais au trente-septième concernant le fonctionnement de son système judiciaire.

Autrement dit l'estimation que fait Richard Armenante sur ce que fait perdre à la France la corruption de son système judiciaire est très fortement sous estimée !

Pour avoir dit la réalité à deux journalistes, voilà qu' au lieu de saluer la bocca della verita. toute la classe politique et médiatique trouvent que c'est un suicidé politique ! 

Des avocats pénalistes - trois sur les sur cinq que j'avais consultés, dont deux femmes - m'avaient immédiatement informé en acceptant de plaider notre cause lorsque je m'étais  adressé à eux dans les années 1990 pour une affaire dite "sensible" que  << en France, il n'y a pas de justice >>elle mettait en cause ce que l'on appelle généralement de très riches "notables" pervers bien servis   par des médecins parjures et une justice dévoyée, cependant qu'une autre s'est retirée après qu'elle a su que la plainte concernait des médecins de la Clinique de l'Haÿ-les-Roses du temps qu'elle était la propriété des docteurs Elmelik,

Le Principal du Commissariat nous l'avait dit : les médecins y font ce qu'ils veulent, ils sont protégés en hauts-lieux, toutes les plaintes contre eux sont systématiquement bloquées au parquet.  

François Hollande  est nécessairement un des Français les mieux informés sur le fonctionnement des Institutions en général, et sur le fonctionnement de l'Institution Judiciaire en particulier.

Sans être juristes de formation, les anciens Ministres issus de l'énarchie peuvent d'ailleurs s'inscrire au Barreau et devenir avocats : tel par exemple l'ancien Ministre de l'Intérieur Pierre Joxe.
En connaissance de cause, Joxe s'est courageusement fait le défenseur des enfants victimes d'exploitations sexuelles.

Courageusement, parce que s'élever et lutter contre cette exploitation n'est pas un créneau très porteur. 

Sigmund Freud s'en était assez vite rendu compte  qui,  contrairement à ce qu'il avait tout d'abord pensé, avait naïvement cru que dénoncer la découverte qu'il avait faite que  les pères incestueux avaient quelque chose à voir avec l' hystérie de leur progéniture lui apporterait gloire et fortune.

Le très mauvais accueil fait à son livre intitulé "Etude sur l'hystérie", cosigné en 1995 de Josef Breuer malgré la réticence de celui-ci - et pour cause (cf. www.blog-de-leon- origine-sulfureuse-de-la-mystique-freudienne) et les conférences qu'il fit, dans lesquelles il défendait cette thèse, le fit changer d'idées : il changea son fusil d'épaule et retourna sa veste en inversant le propos : ce n'était pas les pères où la parentèle qui étaient en cause dans la survenue de l'hystérie de leurs filles, mais la résurgence fantasmatique de désir incestueux mal liquidés.
Ses  conceptions pseudo scientifiques clouaient ces enfants au pilori, au grand soulagement de la pédophilocratie, qui s'empressa de lui emboîter le pas, tel par exemple le docteur Ernest Jones, qui, poursuivi pour détournement de mineur-e-s avait dû fuir la Justice anglaise et s'était réfugié au Canada avant de  rejoindre Freud à Vienne et lui suggérer l'invention d'un complexe œdipien pour parfaire son renversant concept de désirs œdipiens  "découvert" chez lui-même dans une soi-disant  "auto-analyse" en octobre 1997. En réalité à partir l'incestualité de sa mère lors d'un voyage en chemin de fer, un voyage qu'il fit avec elle lorsqu'il n'était qu'un jeune enfant (de 2 ans et demi d'après lui-même et de 4 ans d'après les recherches des historiographes.

Pierre Joxe a présidé au côté de la psychologue-clinicienne Marie-Christine Gryson Dejehansart, d'autres cliniciens et d'autres avocats, le bureau du colloque qui s'est tenu le 14 février 2011 à l'Université Panthéon Sorbonne au Colloque organisé par le psychiatre Gérard Lopez sur la parole de l'enfant après la mystification d'Outreau.

J'ai exposé dans mes derniers articles sur quoi le Président de la République pourrait avoir fondé ses déclarations, sachant qu'il sait à quoi s'en tenir sur ce qui a fait que François Mitterrand n'a pas voulu (ou pu) tenir sa promesse, qui voulait  que le Conseil de l'Ordre des médecins soit supprimé à cause de son grand pouvoir de nuisance sur la Santé publique.

C'est un manquement qui ne peut manquer d'avoir à voir avec ce qui a fait que le docteure Laurence Kouyoumdjian n'a pas été citée comme elle aurait dû l'être à la Légion d'Honneur mais a au contraire été virée comme une malpropre du poste qu'elle occupait au côté du docteur Olivier Ille alors que c'était grâce à elle, et non pas grâce au docteur Olivier Ille, comme on peut le lire ici et là sur la Toile, que la série des assassinats perpétrés par Christine Malèvre a été stoppée. La France fonctionnement bien souvent à l'envers, quand elle ne marche pas carrément sur la tête, a conservé le sien.

Mon expérience de ce qui s’est passé en 1990 et les années suivantes, qui avait à plusieurs reprises failli conduire mon père à la tombe avant de le laisser gravement invalide, et la manière très tortueuses dont Justice, l'AP - HP  et le Conseil de l'Ordre des Médecins se sont entendus pour faire passer sa plainte à la trappe dans un insoutenable et très méprisant non-lieu en dit long sur ce qu'il est du fonctionnement de la Justice en France dans les affaires dites "sensibles", comme dans les plus petites d'ailleurs, sous prétexte de manque d'effectifs et de surcharge de travail.

Les déclarations de François Hollande aux deux journalistes du "Monde" sont en réalité  pertinentes par rapport aux susdites réalités en même temps qu’elles sont évidemment impertinentes par rapport à la Magistrature, puisque c’est en toute connaissance de cause que François Hollande les a faites.
Le non-lieu requis par le Parquet de Créteil n’avait en effet aucune raison d’être, hormis le fait que la tentative de meurtre qui avait échouée malgré la "subtilité", c'est-à-dire l'ingéniosité de son montage pour pouvoir la faire passer pour la conséquence d'une "encéphalopathie vasculaire" (sic) sur fond de maladie d'Alzheimer conduisant immanquablement  ("inéluctablement", pour reprendre les termes utilisés par les neurologues qui l'avaient en charge) à une mortelle "ATTEINTE DIFFUSE DU SYSTÈME NERVEUX" (sic),  immanquablement mortelle à brève échéance avec le traitement proposé (du Prozac*, cf. sites n° 69970222 et 69972429 html) alors qu'il ne s'agissait à l'évidence  - même pour un médecin "lambda" comme moi - d'un état vitamino-carentiel, et plus précisément vitamine B12 carentiel, ainsi que l'avaient très bien diagnostiqué et exprimé devant moi les médecins au terme de leur examen clinique. Ils avaient examiné le malade aux Urgences de Bicêtre le 31 juillet au soir. Le diagnostic avaient été formulé au retour et à la lecture  de l'hémogramme du malade, l'hémogramme des malades atteints de carences vitaminique B12 profondes est en effet caractéristique, et le diagnostic qu'il avaient posé me soulageait beaucoup dans la mesure où on avait pu craindre d'un AVC alors que la carence vitaminique B12 est  accessible à un traitement extrêmement  simple et économique, en l'occurrence celui de la maladie de Biermer, pourvu qu'il soit administré sans tardé, avant que les paralysies que cette carence est en mesure d'engendrer ne deviennent irréversibles. C'est en outre un traitement qui ne connaît aucune contre-indication, hormis les tumeurs gliomateuses, ce dont à l'évidence le malade ne souffrait pas, puisque le test de Schilling qui fut pratiqué pour asseoir le diagnostic des urgentistes avait apporté une sensible amélioration clinique durant un ou deux jours alors que s'il s'était agi de troubles consécutifs à un gliome le test aurait amené une aggravation de la symptomatologie, ainsi que je l'avais fait remarquer au docteur Pascal Masnou, Chef de Clinique dans le Service de neurologie du professeur Gérard Saïd.

Le docteur Masnou soutenait cependant mordicus et contre toute logique dans les discussions que j'avais avec lui que mon père était en réalité affecté d'une démence de type Alzheimer vasculaire (une DTA);  qu'il ne pouvait s'agir d'une  maladie de Biermer parce que le test de Schilling était normal ainsi que la vitaminémie B12.

Devant son obstination à nier la réalité clinique, je lui ai fait remarquer qu'il fallait se rendre à l'évidence  qu'il devait exister des formes de la maladie de Biermer compatibles avec un test de Schilling normal et une vitaminémie elle aussi normale, et pour faire bon poids je lui ai rappelé l'adage qui dit qu'en médecine "la clinique prime le laboratoire" et qu'il ne fallait donc pas rejeter le diagnostic de maladie de Biermer, quitte à parler d'un para Biermer, et qu'il fallait donc poursuivre normalement le traitement de cette maladie.

Ce qu'il promit de faire, mais ne fit que semblant de faire !

Depuis l'existence de ces "para Biermer" a été confirmée, qui sont deux fois plus fréquents que la maladie de Biermer et ont reçu le nom de Syndrome NDB12PP ! (voir articles précédents et à "syndrome de carence vitaminique B12 avec test de Schilling normal

Non seulement les neurologues du Service du professeur Gérard Saïd n'administrèrent pas le traitement de la maladie de Biermer à leur malade, mais ils me firent croire qu'ils le lui faisaient administrer. Prévoyant ainsi son décès proche, ils se débarrassèrent de lui en l'adressant dans un Service de Gériatrie au prétexte que le malade ne s'améliorait pas et qu'il occupait aussi coûteusement qu'inutilement le lit d'un Service spécialisé. En réalité ils l'envoyaient mourir ailleurs que dans leur propre Service.

Mais les infirmières du Service de gériatrie avaient une bonne connaissance de la maladie de Biermer, car c'est une maladie très fréquente chez les personnes de plus de 60 ans.
C'est ainsi qu'elles m'ont prévenu du simulacre et que j'ai  pu intervenir à temps pour ressusciter le malade (www. 69970222 html).
Programmée, son élimination s’inscrivait dans la série des éliminations de malades HIV + qui avaient cours en 1990.

Elles ont eu cours encore longtemps après, sous un même prétexte d’euthanasies compassionnelles et sur les ordres du même médecin avec des malades éliminés pour les mêmes raisons que celles qui avaient prévalues contre mon père, en l'occurrence pour chercher à faire à bon compte des économies au dépens de ces  patients, c’est-à-dire pour des raisons aussi inavouables qu’intolérables.

Ces agissements nécessitaient des complicités judiciaires afin qu’elles ne soient pas révélées.

Mais ces occultations furent quelque peu bousculées et contrariées par les  "malencontreux" signalements du docteure Laurence Kouyoumdjian.  

N'est-il pas paradoxal que le Président de la République soit plus vilipendé pour avoir eu le courage de mettre les pieds dans le plat que pour avoir eu la faiblesse de les en avoir retirés ?

Bibliographie très sommaire :

1 - Anne-Marie Casteret "L'affaire du sang", La découverte, 1992, toujours disponible chez votre libraire.

2 - Sophie Coignard, "Omerta française", 1999, réédité en Livre de Poche (Collection Pocket)

4 - Jacques Bénesteau "Mensonges freudiens" Mardaga 2003

5 - Freud et la psychanalyse : Editions  Sciences Humaines,  novembre 2015 , un livre qui escamote le rapport publié en 1084 par Jeffrey Moussaieff Masson sur Freud, un rapport circonstancié  fondé sur l'exégèse des Archives Freud, qui montre que Freud s'était laissé corrompre au profit de ... la pédophilocratie !

Ce rapport a été rendu inaccessible en France, on se reportera au site publié par le docteur Michel Meignant intitulé "L'affaire Freud".

6 - http://genocides.over-blog.com/ article 34640255.html

7 - http://genocides.over-blog.com/

     article 34292619 html  

   

Partager cet article
Repost0
24 octobre 2016 1 24 /10 /octobre /2016 02:56

Les récentes déclarations de François Hollande sur la magistrature sont-elles vraiment impertinentes?

François Hollande sait pertinemment que la Justice française est dans les trente-sixième dessous et que dans un pays de basse intensité démocratique les charlatans et les escrocs prospèrent aux dépens de leurs victimes.

La CEPEJ (Commission Européenne pour l'Efficacité de la Justice) a le 25 octobre 2010 dans son rapport comparatif des systèmes judiciaires européens dévoilé que la France est classée au 37 e rang sur 43 pays européens, et ça se serait depuis aggravé ! 

Pour avoir dit la réalité voilà que toute la classe politique et médiatique lui tombent sur le paletot. Au lieu de saluer la bocca della verita, à part quelques exceptions, les voilà qui trouvent que c'est un suicidé politique.

De fait, comme à son habitude, quand il fait un pas en avant, il le fait suivre de deux en arrière. Le tcha-tcha-tcha des thons.  

Des avocats pénalistes - trois sur les sur cinq que j'avais consultés, dont deux femmes - m'avaient immédiatement informé en acceptant de plaider notre cause lorsque je m'étais  adressé à eux dans les années 1990 pour une affaire dite "sensible" que  << en France, il n'y a pas de justice >> (l'affaire en question mettait en cause ce que l'on appelle généralement de très riches "notables" pervers bien servis par des médecins experts parjures et une par justice dévoyée comme en Chine au service d'un Etat pseudo démocratique et non pas au service de la vérité et des citoyens lambdas), cependant qu'une autre s'est retirée après qu'elle a su que la plainte concernait des médecins de la Clinique de l'Haÿ-les-Roses du temps qu'elle était la propriété des docteurs Elmelik,

Le Principal du Commissariat nous avait prévenu : les médecins y font ce qu'ils veulent, y compris violer les patientes (du moins l'un d'entre eux, le docteur Jean-Claude Elmelik). Ils sont protégés en hauts-lieux, toutes les plaintes contre eux sont systématiquement bloquées au parquet.  

Le Président de la République est de par ses fonctions nécessairement un des Français les mieux informés sur le fonctionnement des Institutions en général, et sur le fonctionnement de l'Institution Judiciaire en particulier.

Sans être juristes de formation, les anciens Ministres issus de l'énarchie peuvent d'ailleurs s'inscrire au Barreau et devenir avocats : tel par exemple l'ancien Ministre de l'Intérieur Pierre Joxe.
En connaissance de cause, Pierre Joxe s'est courageusement fait le défenseur des enfants maltraités victimes d'exploitations sexuelles.

Courageusement, parce que s'élever et lutter contre cette exploitation n'est pas un créneau très porteur. 

Sigmund Freud s'en était assez vite rendu compte  qui,  contrairement à ce qu'il avait tout d'abord pensé, avait naïvement cru que dénoncer la découverte qu'il avait faite que  les pères incestueux avaient quelque chose à voir avec l' hystérie de leur progéniture lui apporterait gloire et fortune.

Le très mauvais accueil fait à son livre intitulé "Etude sur l'hystérie", cosigné en 1995 de Josef Breuer malgré la réticence de celui-ci - et pour cause (cf. www.blog-de-leon- origine-sulfureuse-de-la-mystique-freudienne) et les conférences qu'il fit, dans lesquelles il défendait cette thèse, le fit changer d'idées : il changea son fusil d'épaule et retourna sa veste en inversant le propos : ce n'était pas les pères où la parentèle qui étaient en cause dans la survenue de l'hystérie de leurs filles, mais la résurgence fantasmatique de désir incestueux mal liquidés.
Ses  conceptions pseudo scientifiques clouaient ces enfants au pilori, au grand soulagement de la pédophilocratie, qui s'empressa de lui emboîter le pas, tel par exemple le docteur Ernest Jones, qui, poursuivi pour détournement de mineur-e-s avait dû fuir la Justice anglaise et s'était réfugié au Canada avant de  rejoindre Freud à Vienne et lui suggérer l'invention d'un complexe œdipien pour parfaire son renversant concept de désirs œdipiens  "découvert" chez lui-même dans une soi-disant  "auto-analyse" en octobre 1997. En réalité à partir l'incestualité de sa mère lors d'un voyage en chemin de fer, un voyage qu'il fit avec elle lorsqu'il n'était qu'un jeune enfant (de 2 ans et demi d'après lui-même et de 4 ans d'après les recherches des historiographes.

Pierre Joxe a présidé au côté de la psychologue-clinicienne Marie-Christine Gryson Dejehansart, d'autres cliniciens et d'autres avocats, le bureau du colloque qui s'est tenu le 14 février 2011 à l'Université Panthéon Sorbonne au Colloque organisé par le psychiatre Gérard Lopez sur la parole de l'enfant après la mystification d'Outreau.

J'ai exposé dans mes derniers articles sur quoi le Président de la République pourrait avoir fondé ses déclarations, sachant qu'il sait à quoi s'en tenir sur ce qui a fait que François Mitterrand n'a pas voulu (ou pu) tenir sa promesse, qui voulait  que le Conseil de l'Ordre des médecins soit supprimé à cause de son grand pouvoir de nuisance sur la Santé publique.

C'est un manquement qui ne peut manquer d'avoir à voir avec ce qui a fait que le docteure Laurence Kouyoumdjian n'a pas été citée comme elle aurait dû l'être à la Légion d'Honneur mais a au contraire été virée comme une malpropre du poste qu'elle occupait au côté du docteur Olivier Ille alors que c'était grâce à elle, et non pas grâce au docteur Olivier Ille, comme on peut le lire ici et là sur la Toile, que la série des assassinats perpétrés par Christine Malèvre a été stoppée. La France fonctionnement bien souvent à l'envers, quand elle ne marche pas carrément sur la tête, a conservé le sien.

Mon expérience de ce qui s’est passé en 1990 et les années suivantes, qui avait à plusieurs reprises failli conduire mon père à la tombe avant de le laisser gravement invalide, et la manière très tortueuses dont Justice, l'AP - HP  et le Conseil de l'Ordre des Médecins se sont entendus pour faire passer sa plainte à la trappe dans un insoutenable et très méprisant non-lieu en dit long sur ce qu'il est du fonctionnement de la Justice en France dans les affaires dites "sensibles", comme dans les plus petites d'ailleurs, sous prétexte de manque d'effectifs et de surcharge de travail.

Les déclarations de François Hollande aux deux journalistes du "Monde" sont en réalité  pertinentes par rapport aux susdites réalités en même temps qu’elles sont évidemment impertinentes par rapport à la Magistrature, puisque c’est en toute connaissance de cause que François Hollande les a faites.
Le non-lieu requis par le Parquet de Créteil (sous la coupe de Michel Barrau) n’avait en effet aucune raison d’être, hormis le fait que la tentative de meurtre qui avait échouée malgré la "subtilité", c'est-à-dire l'ingéniosité de son montage pour pouvoir la faire passer pour la conséquence d'une "encéphalopathie vasculaire" (sic) sur fond de maladie d'Alzheimer conduisant immanquablement  ("inéluctablement", pour reprendre les termes utilisés par les neurologues qui l'avaient en charge) à une mortelle "ATTEINTE DIFFUSE DU SYSTÈME NERVEUX" (sic),  immanquablement mortelle à brève échéance avec le traitement proposé (du Prozac*, cf. sites n° 69970222 et 69972429 html) alors qu'il ne s'agissait à l'évidence  - même pour un médecin "lambda" comme moi - d'un état vitamino-carentiel, et plus précisément vitamine B12 carentiel, ainsi que l'avaient très bien diagnostiqué et exprimé devant moi les médecins au terme de leur examen clinique. Ils avaient examiné le malade aux Urgences de Bicêtre le 31 juillet au soir. Le diagnostic avaient été formulé au retour et à la lecture  de l'hémogramme du malade, l'hémogramme des malades atteints de carences vitaminique B12 profondes est en effet caractéristique, et le diagnostic qu'il avaient posé me soulageait beaucoup dans la mesure où on avait pu craindre d'un AVC alors que la carence vitaminique B12 est  accessible à un traitement extrêmement  simple et économique, en l'occurrence celui de la maladie de Biermer, pourvu qu'il soit administré sans tardé, avant que les paralysies que cette carence est en mesure d'engendrer ne deviennent irréversibles. C'est en outre un traitement qui ne connaît aucune contre-indication, hormis les tumeurs gliomateuses, ce dont à l'évidence le malade ne souffrait pas, puisque le test de Schilling qui fut pratiqué pour asseoir le diagnostic des urgentistes avait apporté une sensible amélioration clinique durant un ou deux jours alors que s'il s'était agi de troublesn consécutifs à un gliome le test aurait amené une aggravation de la symptomatologie, ainsi que je l'avais fait remarquer au docteur Pascal Masnou, Chef de Clinique dans le Service de neurologie du professeur Gérard Saïd.

Le docteur Masnou soutenait cependant mordicus et contre toute logique dans les discussions que j'avais avec lui que mon père était en réalité affecté d'une démence de type Alzheimer vasculaire (une DTA);  qu'il ne pouvait s'agir d'une  maladie de Biermer parce que le test de Schilling était normal ainsi que la vitaminémie B12.

Devant son obstination à nier la réalité clinique, je lui ai fait remarquer qu'il fallait se rendre à l'évidence  qu'il devait exister des formes de la maladie de Biermer compatibles avec un test de Schilling normal et une vitaminémie elle aussi normale, et pour faire bon poids je lui ai rappelé l'adage qui dit qu'en médecine "la clinique prime le laboratoire" et qu'il ne fallait donc pas rejeter le diagnostic de maladie de Biermer, quitte à parler d'un para Biermer, et qu'il fallait donc poursuivre normalement le traitement de cette maladie.

Ce qu'il promit de faire, mais ne fit que semblant de faire !

Non seulement les neurologues du Service du professeur Gérard Saïd n'administrèrent pas le traitement de la maladie de Biermer à leur malade, mais ils me firent croire qu'ils le lui faisaient administrer. Prévoyant ainsi son décès proche, ils se débarrassèrent de lui en l'adressant dans un Service de Gériatrie au prétexte que le malade ne s'améliorait pas et qu'il occupait aussi coûteusement qu'inutilement le lit d'un Service spécialisé. En réalité ils l'envoyaient mourir ailleurs que dans leur propre Service.

Mais les infirmières du Service de gériatrie avaient une bonne connaissance de la maladie de Biermer, car c'est une maladie très fréquente chez les personnes de plus de 60 ans.
C'est ainsi qu'elles m'ont prévenu du simulacre et que j'ai  pu intervenir à temps pour ressusciter le malade (www. 69970222 html).
Programmée, son élimination s’inscrivait dans la série des éliminations de malades HIV + qui avaient cours en 1990.

Elles ont eu cours encore longtemps après, sous un même prétexte d’euthanasies compassionnelles et sur les ordres du même médecin avec des malades éliminés pour les mêmes raisons que celles qui avaient prévalues contre mon père, en l'occurrence pour chercher à faire à bon compte des économies au dépens de ces  patients, c’est-à-dire pour des raisons aussi inavouables qu’intolérables.

Ces agissements nécessitaient des complicités judiciaires afin qu’elles ne soient pas révélées.

Mais ces occultations furent quelque peu bousculées et contrariées par les  "malencontreux" signalements du docteure Laurence Kouyoumdjian.  

N'est-il pas paradoxal que le Président de la République soit plus vilipendé pour avoir eu le courage de mettre les pieds dans le plat que pour avoir eu la faiblesse de les en avoir retirés ?

Bibliographie très sommaire :

1 - Anne-Marie Casteret "L'affaire du sang", La découverte, 1992, toujours disponible chez votre libraire.

2 - Sophie Coignard, "Omerta française", 1999, réédité en Livre de Poche (Collection Pocket)

4 - Jacques Bénesteau "Mensonges freudiens" Mardaga 2003

5 - Freud et la psychanalyse : Editions  Sciences Humaines,  novembre 2015 un livre  qui "oubli" comme par hasard de livrer à ses lecteurs le travail que  Jeffrey Moussaïeff Masson a fait à partir des "Archives Freud"  publié en 1984 et depuis inaccessible au commun des Français, sauf à lire l'édition non expurgée de la correspondance Freud-Fliess et à consulter le site mis en ligne par notre Confrère Michel Meignant sur "L'affaire Freud". A défaut on se reportera sur celui moins documenté de Marie Balmary intitulé "L'homme aux statues" heureusement réédité en 1997 (chez Grasset), même si Balmary a succombé ici et là au délire lacanien de l'Ics "structuré comme un langage"  

6 - http://genocides.over-blog.com/ article 34640255.html

7 - http://genocides.over-blog.com/

     article 34292619 html      

Partager cet article
Repost0
22 octobre 2016 6 22 /10 /octobre /2016 16:49

Les récentes déclarations de François Hollande sur la Magistrature sont-elles vraiment impertinentes ?

Le Président de la République est de par ses fonctions nécessairement un des Français les mieux informés sur le fonctionnement des Institutions en général, et sur le fonctionnement de l'Institution Judiciaire en particulier.
Sans être juristes de formation, les anciens Ministres issus de l'énarchie peuvent d'ailleurs s'inscrire au Barreau et devenir avocats : tel par exemple l'ancien Ministre de l'Intérieur Pierre Joxe.
En connaissance de cause, Pierre Joxe s'est courageusement fait le défenseur des enfants maltraités victimes d'exploitations sexuelles.

Courageusement, parce que s'élever et lutter contre cette exploitation n'est pas un créneau très porteur. 

Sigmund Freud s'en était assez vite rendu compte qui,  contrairement à ce qu'il avait tout d'abord pensé, avait naïvement cru que faire état de la découverte qu'il avait faite que  les pères incestueux avaient quelque chose à voir avec l' hystérie de leur progéniture lui apporterait gloire et fortune.

Le très mauvais accueil fait à son livre intitulé "Etude sur l'hystérie", cosigné en 1995 de Josef Breuer malgré la réticence de celui-ci - et pour cause (cf. www.blog-de-leon- origine-sulfureuse-de-la-mystique-freudienne) et les conférences qu'il fit dans lesquelles il défendait cette thèse  le fit changer d'idées : il changea son fusil d'épaule et retourna sa veste en inversant le propos : ce n'était pas les pères où la parentèle qui étaient en cause dans la survenue de l'hystérie de leurs filles, mais la résurgence fantasmatique de désir incestueux mal liquidés.
Ses  conceptions pseudo scientifiques clouaient ces enfants au pilori, au grand soulagement de la pédophilocratie, qui s'empressa de lui emboîter le pas, tel par exemple le docteur Ernest Jones, qui, poursuivi pour détournement de mineur-e-s avait dû fuir la Justice anglaise et s'était réfugié au Canada avant de  rejoindre Freud à Vienne et lui suggérer l'invention d'un complexe œdipien pour parfaire son renversant concept de désirs œdipiens  "découvert" chez lui-même dans une soi-disant  "auto-analyse" en octobre 1997. En réalité à partir l'incestualité de sa mère lors d'un voyage en chemin de fer, un voyage qu'il fit avec elle lorsqu'il n'était qu'un jeune enfant (de 2 ans et demi d'après lui-même et de 4 ans d'après les recherches des historiographes.

Pierre Joxe a présidé au côté de la psychologue-clinicienne Marie-Christine Gryson Dejehansart, d'autres cliniciens et d'autres avocats, le bureau du colloque qui s'est tenu le 14 février 2011 à l'Université Panthéon Sorbonne au Colloque organisé par le psychiatre Gérard Lopez sur la parole de l'enfant après la mystification d'Outreau.

J'ai exposé dans mes derniers articles sur quoi le Président de la République pourrait avoir fondé ses déclarations, sachant qu'il sait à quoi s'en tenir sur ce qui a fait que François Mitterrand n'a pas voulu (ou pu) tenir sa promesse, qui voulait  que le Conseil de l'Ordre des médecins soit supprimé à cause de son grand pouvoir de nuisance sur la Santé publique.

C'est un manquement qui ne peut manquer d'avoir à voir avec ce qui a fait que le docteure Laurence Kouyoumdjian n'a pas été citée comme elle aurait dû l'être à la Légion d'Honneur mais a au contraire été virée comme une malpropre du poste qu'elle occupait au côté du docteur Olivier Ille alors que c'était grâce à elle, et non pas grâce au docteur Olivier Ille, comme on peut le lire ici et là sur la Toile, que la série des assassinats perpétrés par Christine Malèvre a été stoppée. La France fonctionnement bien souvent à l'envers, quand elle ne marche pas carrément sur la tête, a conservé le sien.

Mon expérience de ce qui s’est passé en 1990 et les années suivantes, qui avait à plusieurs reprises failli conduire mon père à la tombe avant de le laisser gravement invalide, et la manière très tortueuses dont Justice, l'AP - HP  et le Conseil de l'Ordre des Médecins se sont entendus pour faire passer sa plainte à la trappe dans un insoutenable et très méprisant non-lieu en dit long sur ce qu'il est du fonctionnement de la Justice en France dans les affaires dites "sensibles", comme dans les plus petites d'ailleurs, sous prétexte de manque d'effectifs et de surcharge de travail.

Les déclarations de François Hollande aux deux journalistes du "Monde" sont en réalité  pertinentes par rapport aux susdites réalités en même temps qu’elles sont évidemment impertinentes par rapport à la Magistrature, puisque c’est en toute connaissance de cause que François Hollande les a faites.
Le non-lieu requis par le Parquet de Créteil n’avait en effet aucune raison d’être, hormis le fait que la tentative de meurtre qui avait échouée malgré la "subtilité", c'est-à-dire l'ingéniosité de son montage pour pouvoir la faire passer pour la conséquence d'une "encéphalopathie vasculaire" (sic) sur fond de maladie d'Alzheimer conduisant immanquablement  ("inéluctablement", pour reprendre les termes utilisés par les neurologues qui l'avaient en charge) à une mortelle "ATTEINTE DIFFUSE DU SYSTÈME NERVEUX" (sic),  immanquablement mortelle à brève échéance avec le traitement proposé (du Prozac*, cf. sites n° 69970222 et 69972429 html) alors qu'il ne s'agissait à l'évidence  - même pour un médecin "lambda" comme moi - d'un état vitamino-carentiel, et plus précisément vitamine B12 carentiel, ainsi que l'avaient très bien diagnostiqué et exprimé devant moi les médecins au terme de leur examen clinique. Ils avaient examiné le malade aux Urgences de Bicêtre le 31 juillet au soir. Le diagnostic avaient été formulé au retour et à la lecture  de l'hémogramme du malade, l'hémogramme des malades atteints de carences vitaminique B12 profondes est en effet caractéristique, et le diagnostic qu'il avaient posé me soulageait beaucoup dans la mesure où on avait pu craindre d'un AVC alors que la carence vitaminique B12 est  accessible à un traitement extrêmement  simple et économique, en l'occurrence celui de la maladie de Biermer, pourvu qu'il soit administré sans tardé, avant que les paralysies que cette carence est en mesure d'engendrer ne deviennent irréversibles. C'est en outre un traitement qui ne connaît aucune contre-indication, hormis les tumeurs gliomateuses, ce dont à l'évidence le malade ne souffrait pas, puisque le test de Schilling qui fut pratiqué pour asseoir le diagnostic des urgentistes avait apporté une sensible amélioration clinique durant unou deux jours alors que s'il s'était agi de troublesn consécutifs à un gliome le test aurait amené une aggravation de la symptomatologie, ainsi que je l'avais fait remarquer au docteur Pascal Masnou, Chef de Clinique dans le Service de neurologie du professeur Gérard Saïd.

Le docteur Masnou soutenait cependant mordicus et contre toute logique dans les discussions que j'avais avec lui que mon père était en réalité affecté d'une démence de type Alzheimer vasculaire (une DTA);  qu'il ne pouvait s'agir d'une  maladie de Biermer parce que le test de Schilling était normal ainsi que la vitaminémie B12.

Devant son obstination à nier la réalité clinique, je lui ai fait remarquer qu'il fallait se rendre à l'évidence  qu'il devait exister des formes de la maladie de Biermer compatibles avec un test de Schilling normal et une vitaminémie elle aussi normale, et pour faire bon poids je lui ai rappelé l'adage qui dit qu'en médecine "la clinique prime le laboratoire" et qu'il ne fallait donc pas rejeter le diagnostic de maladie de Biermer, quitte à parler d'un para Biermer, et qu'il fallait donc poursuivre normalement le traitement de cette maladie.

Ce qu'il promit de faire, mais ne fit que semblant de faire !

Non seulement les neurologues du Service du professeur Gérard Saïd n'administrèrent pas le traitement de la maladie de Biermer à leur malade, mais ils me firent croire qu'ils le lui faisaient administrer. Prévoyant ainsi son décès proche, ils se débarrassèrent de lui en l'adressant dans un Service de Gériatrie au prétexte que le malade ne s'améliorait pas et qu'il occupait aussi coûteusement qu'inutilement le lit d'un Service spécialisé. En réalité ils l'envoyaient mourir ailleurs que dans leur propre Service.

Mais les infirmières du Service de gériatrie avaient une bonne connaissance de la maladie de Biermer, car c'est une maladie très fréquente chez les personnes de plus de 60 ans.
C'est ainsi qu'elles m'ont prévenu du simulacre et que j'ai  pu intervenir à temps pour ressusciter le malade (www. 69970222 html).
Programmée, son élimination s’inscrivait dans la série des éliminations de malades HIV + qui avaient cours en 1990.

Elles ont eu cours encore longtemps après, sous un même prétexte d’euthanasies compassionnelles et sur les ordres du même médecin avec des malades éliminés pour les mêmes raisons que celles qui avaient prévalues contre mon père, en l'occurrence pour chercher à faire à bon compte des économies au dépens de ces  patients, c’est-à-dire pour des raisons aussi inavouables qu’intolérables.

Ces agissements nécessitaient des complicités judiciaires afin qu’elles ne soient pas révélées.

Mais ces occultations furent quelque peu bousculées et contrariées par les  "malencontreux" signalements du docteure Laurence Kouyoumdjian.  

N'est-il pas paradoxal que le Président de la République soit plus vilipendé pour avoir eu le courage de mettre les pieds dans le plat que pour avoir eu la faiblesse de les en avoir retirés ?

Bibliographie très sommaire :

1 - Anne-Marie Casteret "L'affaire du sang", La découverte, 1992, toujours disponible chez votre libraire.

2 - Sophie Coignard, "Omerta française", 1999, réédité en Livre de Poche (Collection Pocket)

4 - Jacques Bénesteau "Mensonges freudiens" Mardaga 2003

5 - Freud et la psychanalyse : Editions  Sciences Humaines,  novembre 2015

6 - http://genocides.over-blog.com/ article 34640255.html

7 - http://genocides.over-blog.com/

     article 34292619 html      

Partager cet article
Repost0