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9 décembre 2016 5 09 /12 /décembre /2016 16:50

Avertissements et introduction : L'article suivant n'a apparemment rien à voir avec les Mandrinades, fête populaire qui tous les 5 ans célèbre à Saint-Etienne-de-Saint-Geoirs la naissance, en 1725, du contrebandier Louis Mandrin, si ce n'est qu'il pose la question de savoir comment et pourquoi un syndrome neurologique aussi fréquent qu'est le syndrome NDB12PP a pu franchir la frontière des connaissances sans être détecté par les cliniciens avant "le milieu des années 1990" alors qu'il est deux fois plus fréquent que la maladie de Biermer, maladie elle-même fréquente, et mortelle sans son traitement spécifique, qui consiste tout bonnement à administrer aux malades de la vitamine B12 à doses drastiques.

S'il est abandonné à lui-même, c'est-à-dire s'il ne reçoit pas ce traitement, le malade devient de plus en plus profondément affecté sur le plan neurologique par la carence en vitaminique B12. Ce syndrome  peut aller jusqu'à lui faire prendre l'aspect d'un malade atteint de la maladie d'Alzheimer.

Est-ce parce qu'il peut prendre cet aspect clinique que ce syndrome est passé si longtemps inaperçu ?
C'est difficile à croire, mais c'est bien ce que l'on a essayé de me faire croire en 1990 à propos d'un cas, qui, pourtant, ne pouvait prêter à telle confusion.

Selon E. Andrès & al. dans un article publié en 2008 dans La Presse Médicale,  ce  syndrome n'a été individualisé qu'au "milieu des années 1990" alors que la maladie de Biermer affecte  3 à 7 % des personnes de plus de soixante ans (7% d'après un article retentissant des neurologues du Service du professeur Sonia Dollfus, CHU de Caen, un article publié par L'Encéphale en décembre 2003.

Je n'ai découvert cet article qu'en  2013 (Cf. cet article en bibliographie, n° 8) après en avoir par hasard pu en  lire le résumé sur Internet, dans un article mis en ligne aux Etats-Unis.

A la bibliothèque du CHU de Bicêtre, les numéros de l'Encéphale antérieurs à 2004 ont été retirés des rayonnages, à l'instar de tous les numéros de la Revue américaine de référence qu'est  Archives of Neurology.
Demandez-vous pourquoi ?
N.B. Le délire de Capgras peut se rencontrer dans la maladie de Biermer et le syndrome NDB12PP, c'est-à-dire dans les états des profondes carences vitaminiques B12,  et donner alors le change avec  une démence de type Alzheimer alors qu'il disparaît sous l'effet du traitement de ces affections, c'est-à-dire avec un traitement vitaminique B12 drastique. Voir à syndrome NDB12PP le cas d'un malade hospitalisé en urgence au CHU de Bicêtre en 1990, qui s'en est sorti grâce à ce traitement.

Quoi qu'il en soit, j'avais en août 1990 commis la faute impardonnable d'avoir poussé l'outrecuidance jusqu'à émettre l'hypothèse, devant les savants neurologues de l'hôpital Bicêtre, et cela bien avant les Internistes des hôpitaux de Strasbourg ci-dessus cités, sinon avant le docteur Michel Serdaru, neurologue émérite de la Fédération Française de Neurologie, indépendamment de lui ** mais en même temps que lui, qu'il devait exister un syndrome de carence vitaminique B12 compatible avec un test de Schilling normal ET avec une vitaminémie B12 elle aussi normale *.

Mon hypothèse s'est,  hélas pour moi, vérifiée sur le terrain, c'est-à-rire sur malade que les neurologues du CHU de Bicêtre avaient tour à tour cherché à étiqueter "maladie d'Alzheimer", "encéphalopathie vasculaire", démence sénile", avant de l' étiqueter  "ATTEINTE DIFFUSE DU SYSTEME NERVEUX" (sic) quand, après six semaines d'une vaine hospitalisation il m' a fallu lui administrer par moi-même le traitement de la maladie de Biermer, puisque les neurologues de Bicêtre le lui avaient refusé ... tout en ayant fait semblant de le lui avoir administré ! (sic, cf. les sites-Web n° 34640255, 69970222 et 69972429 html)

Le malade avait ainsi pu, hélas pour moi, récupérer ses esprits, mais la conséquence, hélas pour moi, fut la persécution du Conseil de l'Ordre des Médecins et desdits neurologues, qui s'entendirent, hélas pour moi - cf. la lettre par laquelle le Conseiller, Patrice Bodenan, Frère°°°, demande au président du Conseil disciplinaire de l'Ordre le docteur Jean Penneau, lui aussi Frère°°°, de me faire interdire par application de l'article L 460 du Code de la Santé Public - pour me ruiner, au prétexte, avalisé, hélas pour moi,  par le parquet de Créteil, alors sous la coupe de Michel Barrau, que j'aurais dû empêcher celui que j'avais ressuscité en appliquant mon hypothèse, c'est-à-dire en lui administrant de moi-même  le traitement de la Maladie de Biermer (la maladie de Biermer est  angoissante et douloureusement mortelle sans son traitement spécifique, extrêmement coûteux puisqu'il coûte le prix de deux paquets de cigarettes), de porter plainte contre X, c'est-à-dire contre ceux qui avaient failli le tuer et l' avaient beaucoup fait inutilement souffrir avec un traitement complètement inapproprié (une intervention orthopédique bilatérale pour "mauvaise morphostatique des pieds" complétée par la prescription de  Prozac* après son admission en neurologie à l'hôpital Bicêtre), et qui l'avaient de ce fait laissé gravement invalide sur le plan moteur.

C'est ainsi qu'ils ont juré de me faire payer très cher mon outrecuidance. 

En faisant en 1991 labelliser INSERM leur Service, les neurologues du CHU de Bicêtre ont tout au moins démontré leur grand savoir-faire dans l'art du camouflage et l'art de tirer profit de leurs insuffisances, à moins que ce n'ait été que pour se mettre à couvert que le professeur Gérard Saïd, le Chef de ce Service,  - ou l'hôpital Bicêtre ? ou l'AP - HP ? - aient fait couvrir les murs de son Service  de grandes affiches sollicitant la participation financière des familles pour leurs Recherches sur les traitements des maladies neurologiques. Ces affiches ont très curieusement été immédiatement retirées l'année suivante, sitôt - le lendemain même - après que je me suis ouvertement étonné de leur présence. 

Les neurologues de ce Service avaient délibérément fait semblant d'administrer à mon père, hospitalisé dans leur Service sur le diagnostic de syndrome neuro-anémique le traitement de la maladie de Biermer, maladie alors considérée être à 80% la première cause de ce syndrome. Cette maladie évoluant souvent vers un délire paranoïde avant d'évoluer vers un déficit intellectuel confinant à la  démence, ils avaient en par ce procédé essayé de me faire croire et par la suite de faire croire aux autorités judiciaires que leur malade avait souffert d'une Démence de Type Alzheimer  qui avait évoluée vers  une  "ATTEINTE DIFFUSE DU SYSTEME NERVEUX. Preuve était qu'ils avaient ainsi non seulement failli, mais délibérément cherché à faire passer ni vu ni connu mon père de vie à trépas.

Ils m'ont ruiné, au point que je me suis retrouvé longtemps SDF après qu'il m'a fallu vendre mon appartement, que je me retrouve aujourd'hui obligé de vivre bien au dessous du seuil de pauvreté alors que mon hypothèse, formulée en 1990, a abouti à la mise en évidence du syndrome NDB12PP, un syndrome en réalité deux fois plus fréquent que la déjà très fréquente maladie de Biermer, qui ne serait en fait qu'une forme clinique.de ce syndrome. Cf. www.syndrome-NDB12PP (pierre cretien - blog de leon)

Je ne suis donc pas plus en mesure de financer la Recherche Médicale, que l'Œuvre Falret, que La Fondation de France ou le Téléthon.

CQD que François Hollande, qui est bien au courant de cette histoire, ne dit pas n'importe quoi quand il dénonce la lâcheté de la magistrature. 

----------------------------------------------------------------------

* Emmanuel Andrès & al.  Revue de Médecine Interne 2003;24 (4): 218-223.  "Carence en vitaminique B12 avec test de Schilling normal ou syndrome de non dissociation de la vitamine B12 de ses protéines porteuses chez le sujet âgé. Etude de 60 patients. Etude sur 60 patients"

** La maladie d'Alzheimer et autres démences  - Flammarion Médecine-Sciences, sous la direction des professeurs Jean-Jacques Hauw et Jean-Louis Signoret  (livre mystérieusement disparu de la bibliothèque CHU de Bicêtre, tout comme en novembre 1997 l'abonnement à la Revue Archives of Neurology, déclarée très mauvaise par  le professeur Gérard Saïd.

Bibliographie relative à la découverte du NDB12PP (montre la mauvaise foi des neurologues dans leur refus d'hypothèse dûment formulée et argumentée devant le docteur Masnou en août 1990)

1 - 1978 Kolhouse & al, New Engl. J. Med. 299, 15, 787 - 792. "Cobalamin analogues are present in human plasma and can mask cobalamin defiency because current radioisotope dilution assays are not specifique for true cobalamin".

2 - 1987 Berger JR & al. Ann Intern Med. 107 : 78 "Progressive multifocal leukoencephalopathy associated with human immunodefiency virus infection".

3 - 1987 Ogier H. & al. éd. Masson "La cobalamine (vitamine B12), APECTS METABOLIQUES, GENETIQUES, NUTRITUIONNELS ET THERAPEUTIQUES"; 254-281.

4 - 1988 J. Lindebaum & al. N. Engl. J. of Med. "Neuropsychiatric disorders caused by cobalamin deficiency in the absence of anemia or macrocytosis"

5 - Arch Neurol 1991;48(3):312-314. "Abnormal vitamin B12 metabolism in human immunodeficiency virus infection : association with neurological dysfunction" (Accepted for publication September 5,1990).

6 - E. Andrès & al. Revue de Médecine Interne 2003;24 (4): 218-223. "Carence en vitamine B12 avec test de Schilling normal ou syndrome de non dissociation de la vitamine B12 de ses protéines porteuses chez le sujet âgé. Etude de 60 patients".

7* - Archives of Neurolology. 2003;60(10):1457-62.) "Neuropsychiatric disturbances in presumed late-onset cobalamin C disease". (E. Roze, D. Gervais, S.Demeret, H. Ogier de Baulny, J. Zittoun, J.-F. Benoist, G. Saïd, C. Pierrot-Deseilligny, F. Bolgert)

8 - L' Encéphale, décembre 2003 Vol 29 (6), p. 560 - 565. "Délire Capgras chez une patiente de 64 ans atteinte d'une maladie de Biermer". ( C. Durand; S. Mary; P. Brazo; S. Dollfus).

9 - Sophie Coignard,  "L'omerta française" - Albin Michel  

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Note à Benêt : En novembre 1997 le Professeur Saïd fit intelligemment disparaître tous le numéros de la Revue Archives of Neurology des rayons de la Bibliothèque universitaire du CHU Bicêtre en même temps qu'il cesser l'abonnement de l'hôpital à ladite Revue, au prétexte que c'était une "très mauvaise Revue" (sic). Il a néanmoins 6 ans plus tard fait des pieds et des mains pour pouvoir y faire figurer son nom au côté de celui des docteures  Hélène Ogier de Baulny et Jacqueline Zittoun (Cf. supra n°7, de même d'autres ouvrages traitant de la question ont mystérieusement disparu des rayons de cette bibliothèque)   

 

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6 décembre 2016 2 06 /12 /décembre /2016 12:21

J'avais, en 1990, commis la faute impardonnable de pousser l'outrecuidance jusqu'à aventurer l'hypothèse -  devant les savants neurologues de l'hôpital Bicêtre, qui me prirent pour un fou, ou pour un idiot (au choix) - bien avant les Internistes des hôpitaux de Strasbourg, sinon avant le docteur Michel Serdaru **, neurologue émérite de la Fédération Française de Neurologie, indépendamment de lui mais en même temps que lui, qu'il devait exister un syndrome de carence vitaminique B12 compatible avec un test de Schilling normal ET avec une vitaminémie B12 elle aussi normale *.

Mon hypothèse s'est,  hélas pour moi, vérifiée sur le malade que les neurologues du CHU de Bicêtre avaient tour à tour étiqueté " "maladie d'Alzheimer", "encéphalopathie vasculaire", démence sénile", avant de l' étiqueter  "ATTEINTE DIFFUSE DU SYSTEME NERVEUX" (sic) quand, après six semaines d'une vaine hospitalisation il m' a fallu lui administrer par moi-même le traitement de la maladie de Biermer, puisque les neurologues de Bicêtre le lui avaient refusé tout en ayant fait semblant de le lui avoir administré (sic, cf. les sites-Web n° 34640255, 69970222 et 69972429 html)

Le malade avait ainsi pu, hélas pour moi, récupérer ses esprits, mais la conséquence, hélas pour moi, fut la persécution du Conseil de l'Ordre des Médecins et desdits neurologues, qui s'entendirent, hélas pour moi - cf. la lettre par laquelle le Conseiller, Patrice Bodenan, Frère°°°, demande au président du Conseil disciplinaire de l'Ordre le docteur Jean Penneau, lui aussi Frère°°°, de me faire interdire par application de l'article L 460 du Code de la Santé Public - pour me ruiner, au prétexte, avalisé, hélas pour moi,  par le parquet de Créteil, alors sous la coupe de Michel Barrau, que j'aurais dû empêcher celui que j'avais ressuscité en appliquant mon hypothèse, c'est-à-dire en lui administrant de moi-même  le traitement de la Maladie de Biermer (la maladie de Biermer est  angoissante et douloureusement mortelle sans son traitement spécifique, extrêmement coûteux puisqu'il coûte le prix de deux paquets de cigarettes), de porter plainte contre X, c'est-à-dire contre ceux qui avaient failli le tuer et l' avaient beaucoup fait inutilement souffrir avec un traitement complètement inapproprié (une intervention orthopédique bilatérale pour "mauvaise morphostatique des pieds" complétée par la prescription de  Prozac* après son admission en neurologie à l'hôpital Bicêtre), et qui l'avaient de ce fait laissé gravement invalide sur le plan moteur.

C'est ainsi qu'ils ont juré de me faire payer très cher mon outrecuidance. 

En faisant en 1991 labelliser INSERM leur Service, les neurologues du CHU de Bicêtre ont tout au moins démontré leur grand savoir-faire dans l'art du camouflage et l'art de tirer profit de leurs insuffisances, à moins que ce n'ait été que pour se mettre à couvert que le professeur Gérard Saïd, le Chef de ce Service,  - ou l'hôpital Bicêtre ? ou l'AP - HP ? - aient fait couvrir les murs de son Service  de grandes affiches sollicitant la participation financière des familles pour leurs Recherches sur les traitements des maladies neurologiques. Ces affiches ont très curieusement été immédiatement retirées l'année suivante, sitôt - le lendemain même - après que je me suis ouvertement étonné de leur présence. 

Les neurologues de ce Service avaient délibérément fait semblant d'administrer à mon père, hospitalisé dans leur Service sur le diagnostic de syndrome neuro-anémique le traitement de la maladie de Biermer, maladie alors considérée être à 80% la première cause de ce syndrome. Cette maladie évoluant souvent vers un délire paranoïde avant d'évoluer vers un déficit intellectuel confinant à la  démence, ils avaient en par ce procédé essayé de me faire croire et par la suite de faire croire aux autorités judiciaires que leur malade avait souffert d'une Démence de Type Alzheimer  qui avait évoluée vers  une  "ATTEINTE DIFFUSE DU SYSTEME NERVEUX. Preuve était qu'ils avaient ainsi non seulement failli, mais délibérément cherché à faire passer ni vu ni connu mon père de vie à trépas.

Ils m'ont ruiné, au point que je me suis retrouvé longtemps SDF après qu'il m'a fallu vendre mon appartement, que je me retrouve aujourd'hui obligé de vivre bien au dessous du seuil de pauvreté alors que mon hypothèse, formulée en 1990, a abouti à la mise en évidence du syndrome NDB12PP, un syndrome en réalité deux fois plus fréquent que la déjà très fréquente maladie de Biermer, qui ne serait en fait qu'une forme clinique.de ce syndrome. Cf. www.syndrome-NDB12PP (pierre cretien - blog de leon)

Je ne suis donc pas plus en mesure de financer la Recherche Médicale, que l'Œuvre Falret, que La Fondation de France ou le Téléthon.

CQD que François Hollande, qui est bien au courant de cette histoire, ne dit pas n'importe quoi quand il dénonce la lâcheté de la magistrature. 

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* Emmanuel Andrès & al.  Revue de Médecine Interne 2003;24 (4): 218-223.  "Carence en vitaminique B12 avec test de Schilling normal ou syndrome de non dissociation de la vitamine B12 de ses protéines porteuses chez le sujet âgé. Etude de 60 patients. Etude sur 60 patients"

** La maladie d'Alzheimer et autres démences  - Flammarion Médecine-Sciences, sous la direction des professeurs Jean-Jacques Hauw et Jean-Louis Signoret  (livre mystérieusement disparu de la bibliothèque CHU de Bicêtre, tout comme en novembre 1997 l'abonnement à la Revue Archives of Neurology, déclarée très mauvaise par  le professeur Gérard Saïd.

Bibliographie relative à la découverte du NDB12PP (montre la mauvaise foi des neurologues dans leur refus d'hypothèse dûment formulée et argumentée devant le docteur Masnou en août 1990)

1 - 1978 Kolhouse & al, New Engl. J. Med. 299, 15, 787 - 792. "Cobalamin analogues are present in human plasma and can mask cobalamin defiency because current radioisotope dilution assays are not specifique for true cobalamin".

2 - 1987 Berger JR & al. Ann Intern Med. 107 : 78 "Progressive multifocal leukoencephalopathy associated with human immunodefiency virus infection".

3 - 1987 Ogier H. & al. éd. Masson "La cobalamine (vitamine B12), APECTS METABOLIQUES, GENETIQUES, NUTRITUIONNELS ET THERAPEUTIQUES"; 254-281.

4 - 1988 J. Lindebaum & al. N. Engl. J. of Med. "Neuropsychiatric disorders caused by cobalamin deficiency in the absence of anemia or macrocytosis"

5 - Arch Neurol 1991;48(3):312-314. "Abnormal vitamin B12 metabolism in human immunodeficiency virus infection : association with neurological dysfunction" (Accepted for publication September 5,1990).

6 - Revue de Médecine Interne 2003;24 (4): 218-223. "Carence en vitamine B12 avec test de Schilling normal ou syndrome de non dissociation de la vitamine B12 de ses protéines porteuses chez le sujet âgé. Etude de 60 patients".

7* - Archives of Neurolology. 2003;60(10):1457-62.) "Neuropsychiatric disturbances in presumed late-onset cobalamin C disease". (E. Roze, D. Gervais, S.Demeret, H. Ogier de Baulny, J. Zittoun, J.-F. Benoist, G. Saïd, C. Pierrot-Deseilligny, F. Bolgert)

8 - L' Encéphale, décembre 2003 Vol 29 (6), p. 560 - 565. "Délire Capgras chez une patiente de 64 ans atteinte d'une maladie de Biermer". ( C. Durand; S. Mary; P. Brazo; S. Dollfus).

9 - Sphie Coignard L'omerta française - Albin Michel  

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NB : En novembre 1997 le Professeur Saïd fit disparaître tous le numéros de la Revue Archives of Neurology des rayons de la Bibliothèque universitaire du CHU Bicêtre et cesser l'abonnement à cette Revue au prétexte que c'était une "très mauvaise Revue" (sic) cependant qu'il fit six plus tard des pieds et des mains pour pouvoir y cosigner un article au côté des Drs. Hélène Ogier de Baulny et Jacqueline

 

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3 décembre 2016 6 03 /12 /décembre /2016 15:42

Le 28 novembre 2016 un enfant de 3 ans est mort sous les coups du conjoint de sa mère. Son calvaire a duré un mois et demi sans que personne, dans le voisinage, n'en ait fait le signalement. L'enfant est mort à son arrivée à l'hôpital des enfants de Reims malgré les tentatives faites pour le réanimer. Le procureur de la République a dénoncé le silence des voisins, qui savaient pourtant  bien  que l'enfant était continuellement battu.

Mais pourquoi dénoncer leur silence et taire la théorie freudienne du fantasme œdipien masochiste formulé fantasmée par Freud en mars 1919 ? (Lire "Un Enfant Est Battu", un texte si "important" aux yeux des freudiens qu'ils l'ont acronymé UEEB !

La pédophilocratie* médicale était à l'époque, et reste encore aujourd'hui, comme chacun préfère l'ignorer, aussi prégnante et protégée que la pédophilocratie ecclésiastique. 

"Les pédophiles sont nombreux parmi les enseignants, éducateurs, médecins, parfois organisés en réseaux, ils ont une presse spécialisée et sont soutenus par certains milieux"  (Serge Bornstein et Gérard Lopez, Victimologie clinique, page 95 chapitre 2 § 8 Maloine 1995, qui auraient pu et même auraient dû aussi inclurent dans cette liste avocats, magistrats, parlementaires en passant par des psychiatres et des psychanalystes,qui n'avaient pas du tout été séduits par la théorie de la séduction, que Freud avait mis en avant en 1895 dans les "Etudes sur l'hystérie" malgré la réticence de  Josef Breuer à ce qu'elles soient publiées. Freud lui avait substitué en 1897 la théorie de fantasme pour lui complaire. 

L'UEEB n'en a été que le prolongement.

Les docteurs S. Bornstein et G. Lopez ne s'en étaient pas  avisés quand, près de cent ans après, il ont publié leur traité de Victimologie clinique   (chapitre 3 pages 190-191 ) 

* La paranoïa Freudo-lacanoïde ne reculant jamais  devant le ridicule progrès de la conne essence peut aller  jusqu'à déposer à l'INPI les néologismes qu'elle fomente, pardon, qu'elle  "perlalore" (sic). Ainsi du concept hyobs *, déposé à l'INPI par Nicole Cerf-Hofstein, avec la caution du docteur Francis Hofstein, psychiatre et psychanalyste. Nicole C-H se pense un vague on de Lacan, qui n'avait pourtant pas été, à ma connaissance, jusqu'à y déposer son "disque ourcourant", néologisme par lequel en 1972  Lacan désignait précisément le discours freudien, Freud étant resté ignorant de ce qui l'ancrait dans l'a-science qu'ont comme lui  (la plupart des psychanalystes) de son origine incestueuse (voir infra ce que disait Jacques Lacan du disque ourcourant de Laplanche et Pontalis en 1964 sur l'origine du fantasme froeudoedipené. (Le génie de la langue française aurait-il à dessein  inventé perlharboré  le E dans O ?).  

Ernest Jones a rejoint Freud après qu'il a compris le parti qu'il lui était possible de tirer de sa nouvelle théorie, qui faisait porter par l'enfant - y compris par le nourrisson de six mois, puisque Mélanie Klein s'y est associée - le poids des agressions X dont il est très ( et bien trop) souvent l'objet, conscient ou non qu'il sera plus tard de ce qu'il a alors subi (ce que Freud dit ressortir d'un tableau de Léonard de Vinci, ce que ses frères et le fils de Wilhelm Fliess, sinon lui-même, auraient eux-mêmes eu à subir dans leur enfance).

Jones était un médecin amateur de chairs tendres. Il avait pour ce motif dû fuir la justice  de son pays (l'Angleterre).

Jones n’avait pas tardé à comprendre pour lui l’intérêt qu’il y avait à développer et à exploiter la nouvelle idée de Freud,qui inversait le sens des causalités. Il le rejoignit en 1908 pour l'inciter Freud à exploiter le concept de "complexe d’Œdipe", qui allait pouvoir "museler" les victimes de ses exploits. (museler est l'expression du docteure Catherine Bonnet,dont le pape François a en mars 2014 eu l'idée de faire sa conseillère contre la pédophilie des prêtres)  

Jacques Lacan, consommateur consommé, savait pertinemment à quoi s’en tenir, qui l’appela "complexe des dupes". Il valait mieux - pour lui-  en effet rester vague sur le  sujet, afin de pouvoir rester sur le devant de la re-présentation, appelée l’autre scène pour faire mystérieux et a-tyranique

J ’ai essuyé du Lacan pour avoir voulu passé outre l’ impasse dans laquelle m’avait fourré Albertini, une groupie de Framboise Dolto, tout comme l'ont fait ensuite les adversaires d'icelle, tout aussi iatrogènes  - dont, à ma stupéfaction, la susdite Catherine Bonnet,pourtant  aussi antifreudienne que l'zuteur de ces lignes ! 

Instruit par l’expérience, j’avais cherché à la préserver des foudres de l’Ordres des médecins, sachant que  l’Ordre abrite les médicastres pédoclastes tout autant que le Vatican abrite - ou abritait avant son appel à Catherine Bonnet - les prêtres de cette engeance.

Catherine Bonnet (« L’inceste et la pédophilie », éd. Albin Michel  « L’enfance muselée », éd Mols) crut que je voulais l‘empêcher de faire des signalements quand je lui ai dit, preuve en main, que ce n’était surtout pas à l’Ordre qu‘il fallait faire les signalements.

Interprétant de travers mon avis, elle les fit, et s’en mordit bientôt les doigts. Elle me demanda ensuite pardon, mais bien trop, parce qu’entretemps elle s’était dépêcher de me faire la réputation d’avoir cherché à les protéger, notamment auprès de son confrère le docteur Pierre Sabourin, qui se mit à me snober comme il l’aurait (sans doute) fait pour Ernest Jones.

L'incestualité * est un concept  "perlaboré" par le Psychiatre et psychanalyste  Paul-Claude Racamier ("Le génie des origines" éd. Payot 1992).

En ce qui concerne l'incestualité  de Freud avec Anna, sa fille cadette, la question se pose de savoir si elle était plus inconsciente que perverse ?

Il avait en effet poussé le bouchon jusqu'à la coucher sur son divan, reproduisant ainsi (inconsciemment ?) le rapport incestueux interdit dont il était peut-être bien lui-même le fruit, comme l'a (trop clairement) exposé Jacques Lacan à travers ses Ecrits (aux éditions du Seuil), et ensuite plus radicalement la psychanalyste Gabrielle Rubin, en 2002, dans "Le roman familial de Freud" (éd. Payot).

Gabrielle Rubin s'était inspiré, sans vouloir l'avouer, de la sulfureuse (pour les freudiens) et honnie (par les mêmes) Marie Balmary ("L'Homme aux statues, la faute cachée du père", 1997, éd. Grasset) pour se cacher  derrière l’autorité autorisée de Marianne Krüll  ("Freud, fils de Jacob", 1984, éd. Gallimard, bibliothèque de l'Inconscient, une collection dirigée par  J.B. Pontalis, persona grata).

Gabrielle Rubin s'est par la suite aperçue qu'il aurait mieux valu ne pas éventer l'a-Chose, inavouée parce qu’inavouable. Aussi l'annula-t-elle en faisant cinq ans plus tard ostensiblement preuve, chez le même éditeur, d'un incroyable non-savoir. Pour se faire pardonner elle fit publier "Du bon usage de la haine et du pardon".
Gabrielle Rubin y fit de Bertha Pappenheim (alias Anna O, non pas Anna Freud) une patiente de Freud alors que "même un étudiant en première année de psychanalyse sait qu'Anna O était une patiente de Josef Breuer, et non pas de Freud" (dixit  Elisabeth Roudinesco)

 Mais pourquoi ne pas s‘être assez interrogé  sur la valeur « incestuelle » du prénom que Freud avait donné à sa fille cadette alors qu’Anna 0 avait été une patiente si proche de Joseph Breuer qu'elle en avait fait une « grossesse nerveuse ». 
Tellement nerveuse qu‘il avait fallu la faire passer en Suisse à la Clinique de Kreutzlingen.

Sigmund Freud  avait tellement mal digéré que son confrère, son contemporain et son compatriote le docteur Julius Wagner Jauregg ait obtenu le Prix Nobel qu'il a sollicité ses admirateurs d'aller le proposer pour l'obtention du Prix Nobel de médecine (notamment la Princesse Marie Bonarparte, à qui l'on doit d'avoir eu l'idée et le courage de soustraire la correspondance insensée que Freud avait entretenu avec le docteur Wilhelm Fliess des flammes alors que Freud, et non pas les nazis, voulait lui-même les y vouer),

Per Hallstöm, le président du Comité Nobel, prit en 1936, la peine de motiver son refus  de la manière suivante :

 << Freud possède sans aucun doute un style littéraire consommé et naturel, à l’exception peut-être de l’interprétation des rêves, sur laquelle toute sa doctrine repose. Là, il peut devenir obscur dans ses comptes rendus, et sa souplesse intellectuelle prend fin une fois ses matériaux organisés sur le lit de Procuste de son système. Pour résoudre le chaos du rêve, il travaille alors mécaniquement et de façon assez grossière, sans critique et à l’aide d’un langage symbolique dépouillé à l’extrême : le masculin et le féminin des organes sexuels. Toute la richesse des visions du rêveur sont réduites par des simplifications purement géométriques aux deux formes insinuées. Ce sont des Charybde et Scylla qui ne laissent rien passer. On peut exprimer ainsi quoi que ce soit, mais la méthode devient un peu trop commode et l’échange incontestablement pauvre et monotone.  Le fait que Freud ne peut, ne serait-ce qu’un instant, se délivrer de son idée fixe, ne parle d’ailleurs pas en faveur de la portée pratique de sa méthode curative : une confession illimitée jouant le rôle de l’éboueur de l’inconscient. Que l’époque ait fait main basse sur sa sagesse avec un tel engouement et dans de telles proportions devra être relevé comme un des côtés parmi les plus caractéristiques et les plus inquiétants de cette période. Un tel fait ne constitue pas une raison suffisante pour obtenir le prix Nobel de littérature. C’est d’autant moins le cas que ce sont plus particulièrement les auteurs littéraires qui se sont très souvent embourbés dans sa doctrine et en ont tiré des effets grossiers relevant d’une psychologie bien niaise. Celui qui a tant corrompu, ne serait-ce que les plus petits de ces nains littéraires, ne doit certes pas être couronné des lauriers du poète, eût-il une imagination féconde dans ses spéculations scientifiques.>>

(Déclarations de Per Hallström, en 1936 alors qu'il était  secrétaire perpétuel de l’Académie et président du Comité Nobel.)

Le 28 novembre 2016 un enfant de 3 ans est mort sous les coups.

Son calvaire a duré un mois et demi sans que personne dans le voisinage n'en fasse le signalement
L'enfant est décédé à son arrivée à l'hôpital malgré les tentatives pour le réanimer. Le procureur de la République dénonce un silence coupable du voisinage, qui avait bien conscience de ce que l'enfant était régulièrement battu.

« Un enfant est battu »

Exposé de Patricia Loubet, lundi 17 mars 2014, à propos du texte de Freud UEEB

<< Ce texte de Freud date de 1919 et se trouve dans "Névrose, psychose et perversion" (aux Editions PUF). Il est sous-titré : "Contribution à la connaissance des perversions sexuelles". J’ai relu ce texte dans le cadre de la préparation des dernières journées d’automne à la recherche d’une articulation entre trauma et fantasme.
Il y est plus question du fantasme que du trauma mais surtout, il y est question du père. C’est le père d’une certaine époque, celle du début du XX° siècle, un père dont il est admis que dans le cadre de l’éducation ses enfants, il puisse battre l’enfant. Le père et tous ceux qui entrent dans la série des représentants paternels comme le maître par exemple. Les temps changent ! De ce point de vue, on mesure avec cet article, un écart historique.
UEEB est un texte contemporain de « psychologie des foules et analyse du moi » où Freud avance que c’est l’identification primaire au père qui est première et non celle de la mère, on retrouve dans un UEEB que le père est, d’une façon élue, celui qui mérite l’amour.
Dans ce texte, Freud cherche à établir que le Complexe d’Œdipe est le noyau de la sexualité qui culmine en lui. Le fantasme de fustigation dont il est question tout du long, en est une des expressions les plus prégnantes. Freud compare ce fantasme aux « sédiments », à la « cicatrice » du Complexe d’Œdipe  (UEEB p 233).
Freud, rappelle Lacan, se tient au plus près de ce qui se rapporte à la jouissance, comprise ici comme jouissance sexuelle. Ce texte est exemplaire en la matière, c’est pour cette raison, dit-il, que Freud « ne déconne pas » : « il est clair que rien n’est plus brulant que ce qui, du discours, fait référence à la jouissance ».
C’est vraiment sur ce point que Lacan fera reposer son commentaire d’UEEB, sur la liaison que la formule du fantasme réalise entre le sujet et sa jouissance. Le parti pris de Freud est de faire du père le support de la jouissance du sujet. On prend ici la mesure que dans la théorie freudienne, « il n’y a de bonheur que du phallus  >> (sic).

 Signalons aux pas sages que Jacques Lacan traitait volontiers ses zélotes d'imbéciles, en particulier Jean Bertrand Pontalis et Jean Laplanche, pour avoir traité ses équations symboliques comme des équations mathématiques  dans "Fantasmes originaires et fantasme des origines", un texte paru en 1964 disparu pour reparaître expurgé des années plus tard. 

 3° Le silence des élites

Une émission de France 5, diffusée le 16 octobre dernier,  (C. POLÉMIQUE) déplore l'existence en France de zones de non-droit.
En France 3,1 % des décès font suite à un acte visant délibérément à abréger la vie, écrit en 2014 le docteure Nicole Delépine.
Autrement dit, ces décès font suite à des assassinats médicalisés, et ces assassinats ne sont quasiment jamais sanctionnés par la Justice, quand bien même celle-ci quand celle-ci en a parfaitement connaissance.
La Justice n'est pas faite en France pour rendre la justice, mais pour  "maintenir l'ordre public". 
C'est ce qu'a rappelé un magistrat il y a quelques années (Denis Salas sur France Culture),
Les procureurs sont là pour  "défendre les intérêts généraux de la société", rappelle  Maîtres My-Kim Yang-Paya et Céline Marcovici dans "Le guide Juridique des femmes victimes de violences", publié il ya  moins d'un an .

 

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29 novembre 2016 2 29 /11 /novembre /2016 17:37

L'imbécillité ubuesque (gigantesque) des psychanalystes freudiens est-elle aussi facilement mesurable que l'est l'hypertension artérielle ?  

Hélas non !

On peut cependant en prendre la pleine mesure en faisant l'effort de lire les commentaires alambiqués fallacieux que les psychanalystes et les psychiatres d'obédience freudienne consacrent à un texte de Freud datant de 1919, si important à leurs yeux éblouis aveuglés qu'ils l'appellent l'UEEB (Un Enfant Est Battu)   

Freud était bien plus atteint du complexe de Pygmalion - l'avatar un soupçon né du complexe de Laïos que du fantasmatique "complexe d'Oedipe" *, pseudo complexe que Jacques Lacan, qui sut comment - en verbigérations - à quoi mieux valait s'en tenir coi - pour rester en scène sur le devant - appelait le complexe des dupes 

L'incestualité * (concept psychanalytique "perlaboré" par le Psychiatre et psychanalyste  Paul-Claude Racamier "Le génie des origines" éditions Payot 1992) de Freud était-elle plus inconsciente que perverse. (?)

Toujours est-il qu'il avait poussé le bouchon jusqu'à coucher sa fille cadette, Anna, sur le divan analytique, reproduisant ainsi inconsciemment (?) le rapport incestueux interdit dont il était lui-même le fruit, comme l'a (trop) lumineusement exposé Jacques Lacan à travers ses Ecrits (aux éditions du Seuil), et aussi osé plus radicalement le rapporter la psychanalyste Gabrielle Rubin, en 2002, dans "Le roman familial de Freud" (aux éditions Payot).

Gabrielle Rubin s'était inspiré, sans oser l'avouer, de la sulfureuse et honnie Marie Balmary ("L'Homme aux statues", 1997, aux éditions Grasset) bien plus que de la très acceptable et permise Marianne Krüll  ("Freud, fils de Jacob", 1984, aux éditions Gallimard, bibliothèque de l'Inconscient, dirigée par J.B. Pontalis).

Gabrielle Rubin s'aperçut qu'il aurait mieux valu ne pas éventer l'a-chose. Aussi l'annula-t-elle en faisant cinq ans plus tard ostensiblement preuve, chez le même éditeur, d'un incroyable non-savoir en publiant, pour se faire pardonner "Du bon usage de la haine et du pardon".

Gabrielle Rubin fit ainsi de Bertha Pappenheim, (d'Anna O) une patiente de Freud alors que "même un étudiant en première année de psychanalyse sait qu'Anna O était une patiente de Josef Breuer, et non pas de Freud" (dixit  Elisabeth Roudinesco

 Né d'un inceste père-filleSigmund Freud, en tant que médecin, croyait ses divagations sur les "mécanismes de la psyché humaine" géniales et lui-même un pionnier de la Science de l'esprit,  à l'égal de Charles Darwin dans sa découverte de l'évolution des espèces, et d'Albert Einstein en physique fondamental.

Il avait tellement mal digéré que son confrère, son contemporain et son compatriote le docteur Julius Wagner Jauregg ait obtenu le Prix Nobel qu'il a sollicité ses admirateurs (notamment la Princesse Marie Bonarparte, à qui l'on doit d'avoir eu l'idée et le courage de soustraire la correspondance insensée que Freud avait entretenu avec le docteur Wilhelm Fliess des flammes alors que Freud, et non pas les nazis, voulait lui-même les vouer), d'aller le proposer pour l'obtention du Prix Nobel de médecine.

En 1936, Per Hallstöm, le président du Comité Nobel, après ces appels, prit le peine de motiver son refus    

<< Freud possède sans aucun doute un style littéraire consommé et naturel, à l’exception peut-être de l’interprétation des rêves, sur laquelle toute sa doctrine repose. Là, il peut devenir obscur dans ses comptes rendus, et sa souplesse intellectuelle prend fin une fois ses matériaux organisés sur le lit de Procuste de son système. Pour résoudre le chaos du rêve, il travaille alors mécaniquement et de façon assez grossière, sans critique et à l’aide d’un langage symbolique dépouillé à l’extrême : le masculin et le féminin des organes sexuels. Toute la richesse des visions du rêveur sont réduites par des simplifications purement géométriques aux deux formes insinuées. Ce sont des Charybde et Scylla qui ne laissent rien passer. On peut exprimer ainsi quoi que ce soit, mais la méthode devient un peu trop commode et l’échange incontestablement pauvre et monotone.  Le fait que Freud ne peut, ne serait-ce qu’un instant, se délivrer de son idée fixe, ne parle d’ailleurs pas en faveur de la portée pratique de sa méthode curative : une confession illimitée jouant le rôle de l’éboueur de l’inconscient. Que l’époque ait fait main basse sur sa sagesse avec un tel engouement et dans de telles proportions devra être relevé comme un des côtés parmi les plus caractéristiques et les plus inquiétants de cette période. Un tel fait ne constitue pas une raison suffisante pour obtenir le prix Nobel de littérature. C’est d’autant moins le cas que ce sont plus particulièrement les auteurs littéraires qui se sont très souvent embourbés dans sa doctrine et en ont tiré des effets grossiers relevant d’une psychologie bien niaise. Celui qui a tant corrompu, ne serait-ce que les plus petits de ces nains littéraires, ne doit certes pas être couronné des lauriers du poète, eût-il une imagination féconde dans ses spéculations scientifiques.>>

(Déclarations de Per Hallström, en 1936 alors qu'il était  secrétaire perpétuel de l’Académie et président du Comité Nobel.)

2° Le silence des témoins 

28 novembre 2016 : A Reims, un enfant de 3 ans est mort sous les coups. Son calvaire a duré un mois et demi sans que personne dans le voisinage n'en fasse le signalement.

L'enfant est décédé à son arrivée à l'hôpital des enfants de Reims malgré les tentatives pour le réanimer. Le procureur de la République dénonce un silence coupable du voisinage, qui avait bien conscience de ce que l'enfant était régulièrement battu.

« Un enfant est battu »-

Exposé de Patricia Loubet du lundi 17 mars 2014

<< Ce texte de Freud date de 1919 et se trouve dans « Névrose, psychose et perversion » (aux Editions PUF). Il est sous-titré : « Contribution à la connaissance des perversions sexuelles »
J’ai relu ce texte dans le cadre de la préparation des dernières journées d’automne à la recherche d’une articulation entre trauma et fantasme.
Il y est plus question du fantasme que du trauma mais surtout, il y est question du père. C’est le père d’une certaine époque, celle du début du XX° siècle, un père dont il est admis que dans le cadre de l’éducation ses enfants, il puisse battre l’enfant. Le père et tous ceux qui entrent dans la série des représentants paternels comme le maître par exemple.

Les temps changent ! De ce point de vue, on mesure avec cet article, un écart historique.

UEEB est un texte contemporain de « psychologie des foules et analyse du moi » où Freud avance que c’est l’identification primaire au père qui est première et non celle de la mère, on retrouve dans un UEEB que le père est, d’une façon élue, celui qui mérite l’amour.

Dans ce texte, Freud cherche à établir que le Complexe d’Œdipe est le noyau de la sexualité qui culmine en lui. Le fantasme de fustigation dont il est question tout du long, en est une des expressions les plus prégnantes. Freud compare ce fantasme aux « sédiments », à la « cicatrice » du Complexe d’Œdipe  (UEEB p 233).

Freud, rappelle Lacan, se tient au plus près de ce qui se rapporte à la jouissance, comprise ici comme jouissance sexuelle. Ce texte est exemplaire en la matière, c’est pour cette raison, dit-il, que Freud « ne déconne pas » : « il est clair que rien n’est plus brulant que ce qui, du discours, fait référence à la jouissance »

C’est vraiment sur ce point que Lacan fera reposer son commentaire d’UEEB, sur la liaison que la formule du fantasme réalise entre le sujet et sa jouissance. Le parti pris de Freud est de faire du père le support de la jouissance du sujet. On prend ici la mesure que dans la théorie freudienne, « il n’y a de bonheur que du phallus  >>. 

Signalons aux pas sages que Jacques Lacan traitait volontiers ses admirateurs d'imbéciles, notamment Jean Bertrand Pontalis et Jean Laplanche, pour avoir traité ses équations symboliques comme des équations mathématiques  dans "Fantasmes originaires et fantasme des origines", un texte paru en 1964 disparu pour reparaître expurgé des années plus tard.   

Le silence des élites

Une émission de France 5, diffusée le 16 octobre dernier,  (C. POLÉMIQUE) déplore l'existence en France de zones de non-droit.

En France 3,1 % des décès font suite à un acte visant délibérément à abréger la vie, écrit en 2014 le docteure Nicole Delépine.

Autrement dit, ces décès font suite à des assassinats médicalisés, et ces assassinats ne sont quasiment jamais sanctionnés par la Justice, quand bien même celle-ci quand celle-ci en a parfaitement connaissance.

La Justice n'est pas faite en France pour rendre la justice, mais pour  "maintenir l'ordre public". 

C'est ce qu'a rappelé un magistrat il y a quelques années (Denis Salas sur France Culture),

Les procureurs sont là pour  "défendre les intérêts généraux de la société", rappelle  Maîtres My-Kim Yang-Paya et Céline Marcovici dans "Le guide Juridique des femmes victimes de violences", publié il ya moins d'un an .

J'avais moi-même expérimenté  au sujet d'un malade, en l'occurrence mon père, que j'avais, en tant que médecin, in extremis réussi à sauver malgré l'obstination forcenée de ses médecins neurologues à le faire trépasser quand il ont ordonné à leurs subordonnés de ne faire que semblant d'administrer à leur malade le traitement, d'ailleurs extrêmement simple et très peu onéreux - le prix de deux paquets de cigarettes,  nécessaire à sa survie et à son rétablissement ad integrum, au prétexte controuvé qu'il était atteint de la maladie d' Alzheimer et d'une encéphalopathie vasculaire, et "voué à une inéluctable plus grande dégradation" (ou "plus grande aggravation", je ne me rappelle plus lequel des deux termes ils avaient employés) le tout officiellement et vaguement  baptisé "ATTEINTE DIFFUSE DU SYSTEME NERVEUX" (sic, cf. leur compte-rendu savamment bidonné au site-Web n° 69970222 html et la réalité sur le site 69972429 html, encore que cette vague appellation puisse désigné une LEMP, c'est-à-dire une Leuco-Encéphalopathie Multifocale Progressive, qui de toute façon aurait relevé du même traitement, selon la littérature médicale publiée par la Revue de référence qu'est "Archives of Neurology", une Revue que le professeur Gérard Saïd fit interdire de publication à la bibliothèque Universitaire de l'Hôpital Bicêtre au prétexte que c'était une très mauvaise Revue (sic, cf. infra le chapitre "Bibliographie"  ).  

J'avais quant à moi commis la faute impardonnable, aux yeux des autorités judiciaires et du Conseil de l'Ordre des médecins, de ne pas avoir été d'accord avec ces neurologues  en lui l'aider à signaler les faits aux autorités judiciaires en réunissant pour lui les preuves matérielles de ce qui s'était passé après qu'il s'est sorti vivant, mais non indemne, de cette tentative de meurtre, celle-ci l'ayant laissé très lourdement handicapé sur le plan moteur (ses médecins avaient fait semblant de confondre son état avec la maladie d'Alzheimer pour lui refuser le traitement approprié à sa maladie, en l'occurrence le traitement, très simple, de la maladie de Biermer)

Ceux-ci  ont bénéficié d'un non-lieu malgré les nombreuses preuves tangibles parce que leur tentative de meurtre, très savamment préméditée et programmée pour passer inaperçue  s'inscrivait dans ce que le Ministère public a considéré correspondre aux intérêts généraux de la société, ledit malade ayant subi une transfusion sanguine en avril 1984 à l'hôpital Saint-Louis, à une époque où quasiment toutes les transfusions sanguines étaient empoisonnées par le VIH. Six ans plus il parut à l'équipe qui soignait ce malade préférable de faire semblant lui administrer le traitement salvateur, en l'occurrence celui de la maladie de Biermer, après avoir, pour se couvrir, falsifié les résultats des tests servant à sa mise en évidence  

La responsabilité de l'Etat y étant associée, ce type d'exaction hospitalière était implicitement autorisé, voire encouragé, si bien que l'affaire à donné lieu à "non-lieu" requis par Michel Barrau au nom du Ministère public  .

C'est ainsi sauvetage qui m'a valu les persécutions des responsables, qui ont fait alliance  (au sens biblique du terme) avec l'ennemi héréditaire, à savoir l'Ordre des médecins

Il n'y pas là matière à s'étonner, car c'est une affaire de mentalité, la française s'attachant à protéger les citoyens les plus fortunés, quand bien même ce serait au détriment de la santé des autres, comme en témoigne, entre autres, l'affaire du Médiator, mais beaucoup plus celle du sang contaminé, où ce sont des ministères qui sont en cause.

Ainsi des assassinats de malades au CHU de Mantes la Jolie.  Déguisés en "euthanasies" ils avaient été réalisés non pas pour des raisons compassionnelles, comme on aurait aimé qu'ils aient parus,  mais pour des raisons économiques, les "circonstances" s'y prêtant : les médecins  pensaient que la famille n'y verrait que du feu, ou n'y trouverait rien à redire parce qu'elle s'en trouverait soulagée, les malades étant âgés, très gravement malades et vraiment embarrassants.  

Ce sont ce que j'ai précédemment appelé des "euthanasies économiques".

Economiques pour le CNTS, l'Assurance Maladie et l'AP - HP,  donc l'Etat, et par là "licites" !  

Que reprocher alors aux avocat(e)s qui trahissent en sabotant délibérément la Partie Civile parce qu'ils ou elles préfèrent ne pas être obligé(e)s de fermer boutique et de changer de métier pour s'être mis à dos des Institutions judiciaires et hospitalières à la botte du pouvoir politique et des pouvoirs administratifs et économiques.

Ces pouvoirs peuvent agir au mépris de l'état de droit tout en affichant ostensiblement qu'ils attachent la plus grande importance à le respecter comme à le faire respecter cependant qu'ils comptent bien que la raison économique continuera  comme toujours à prévaloir qui fait que  << en France il n'y a pas de justice >>  

Maître Annick Dorsner-Dolivet est - ou plutôt était, avant qu'elle ne change de statut,  une avocate pénaliste vers qui je m'étais tourné sur les conseils d'un juriste, le professeur de Droit François Chabbas, qui rédigeait dans la "La Revue du Praticien" des articles à l'usage des médecins praticiens, une Revue à laquelle j'étais abonné. 

Je m'étais ainsi tourné vers cette avocate après que Me Catherine Scotto-Scotto-Derouet s'est montrée épouvantée et "bloquée" dans son action en prenant connaissance de ce que les médecins de la Clinique Léon Elmelik étaient capables,

Cette Clinique étaIt "protégée en hauts lieux", selon le Commandant Christian Raeckelboom, Commissaire  Principal à La Haÿ-les-Roses, qui en avait "par dessus la tête" d'avoir à enregistrer en vain les nombreuses plaintes pour viols qu'y perpétrait son médecin propriétaire. 

Me Dorsner-Dolivet avait elle aussi dut abandonner son Cabinet et se reconvertir. Elle a été jusqu'à penser à entourloupe de la part du professeur  François Chabbas, qui lui aurait "refilé" une affaire trop dangereuse en me conseillant de m'adresser à elle (le professeur Chabbas entretenait de très bonnes relations avec le docteur Jean Penneau, Secrétaire général du CROM d'Île-de-France , professeur de Droit et accessoirement (ou principalement, tels les docteurs Patrice Bodenan et  Jean ¨Pouillard ?)   un des Frères °°° hauts protecteurs de la Clinique Léon Elmelik et du docteur Jean-Claude Elmelik.   

Le professeur Chabbas m'avait recommandé Maître Dorsner-Dolivet en vertu de sa très grande compétence. Il  me l'avait dite plus compétente que lui-même ! 

Me Dorner-Dolivet m'avait rétorqué lorsque je lui ai présenté l'affaire que << rien ne lui faisait peur >>.  

J'avais préféré la prévenir immédiatement que c'était une affaire qui faisait peur, échaudé par ce qu'avait été  la réaction de Me Scotto-Derouet après qu'elle a été consulter le bureau d'Ordre pénal concernant cette Clinique,  ainsi que celle de Maître Sylvie Ferval, du temps où celle-ci était inscrite au Barreau de Paris et exerçait à La Haÿ-les-Roses,

Je lui avais bien spécifié que dans l'affaire que je lui confiais des médecins de la Clinique Léon Elmelik étaient en cause et que son médecin propriétaire se permettait d'y violer impunément depuis des années ses (ou les) parturientes à tire-larigot. 

Je n'avais pas encore appris d'un Confrère Conseiller municipal à la mairie de l'Haÿ-les-Roses que l'Ordre des Médecins avait dû se résoudre à lui infliger une suspension d'exercice d'une durée de six mois après qu'une des victimes a réussi à obtenir une indemnisation au Civil.

La police m'a confirmé en 1993 qu'au cours de sa suspension elle n'avait plus eu à enregistrer de plaintes pour viol, mais que tout a recommencé après sa suspension. 

Me Scotto-Derouet s'était rendu compte, en allant consulter le Bureau d'Ordre Pénal du TGI de Créteil, que les médecins de cette Clinique devaient forcément être  "protégés en hauts-lieux" - ainsi que me l'avait déjà dit le Principal du Commissariat de l'Haÿ-les-Roses, pour ne pas avoir fait l'objet de poursuites et de condamnations malgré la quantité faramineuse de  "casseroles" épouvantables qu'ils se traînaient, toutes les plaintes ayant été classées sans suite ou fait l'objet d'un non-lieu, la nôtre risquant donc de subir le même sort.

De tout cela j'avais déjà été tout à fait prévenu dès septembre 1990, d'abord incidemment en téléphonant au docteur André Souche, sous-directeur de la DRPS du Val-de-Marne (la DRPS est la Direction des Relations avec les Professionnels de la Santé de la CPAM), qui , après m'avoir entendu dire ce qu'il s'y était passé d'hallucinant me mit tout de suite en garde après qu'il m'a demandé de quelle Clinique il s'agissait : << Si c'est la Clinique de La Haÿ-les-Roses, c'est pas la peine, laissez tomber >> Sur ce il avait raccroché sans m'en dire davantage. Sans doute avait-il deviné de quelle Clinique il s'agissait, car il avait plusieurs fois anxieusement insisté pour que je le lui dise, et c'est tout de suite après m'avoir entendu dire son nom qu'il a conclu l'entretien de la manière susdite. Or j'ai plus récemment appris, en avril 2010,par un membre du SAMU 94,  qu'une autre Clinique du département s'était livré à ce genre d'activité.

De surcroît, Me Scotto-Derouet avait tout de suite été débarquée du Cabinet d'avocats parisien où elle exerçait, au 32, de la rue Jouffroy, dans le 17e arrondissement, parce qu'elle avait accepté de se charger de l'affaire.

Autrement dit elle avait été virée parce que l'Ordre des médecins, via le docteur Patrice Bodenan, un Frère °°° poulain du professeur Christian Hervé, avait joué de ses relations maçonniques avec le Barreau pour l'en dissuader (il est bien connu depuis les recherches de Ghislaine Ottenheimer et Sophie Coignard que les Conseillers de l'Ordre des médecins et la franc-maçonnerie sont des états dans l’État, et qu'ils sont avec le Barreau comme un poisson dans l'eau.

Pour ce qu'il est de Patrice Bodenan (Bod °°° pour les intimes) on peut se référer à la carte de visite qu'il m'a remis le 27 avril 1992 en me disant avec un regard appuyé que l'Ordre me fera payer cher d'avoir laissé mon père se faire hospitaliser dans Clinique Léon Elmelik (la Clinique de son amie Edith Elmelik).

Dans les jours qui suivirent, Me Scotto-Derouet était débarquée. Elle trouva à se recaser chez Me Michel Blum, rue Villersexel.


De cela j'avais déjà été prévenu l'année précédente, d'abord indirectement, vers la mi-septembre 1990,  en téléphonant au docteur André Souche, sous-directeur à la DRPS du Val-de-Marne (la DRPS 94 est la Direction des Relations avec les Professionnels de la Santé de la CPAM 94), parce qu'après m'avoir entendu lui raconter  ce qu'il s'y était passé d'hallucinant, m'a demandé, avec une inquiétude perceptible au ton employé pour me le demander, de quelle Clinique il s'agissait,

Dès que je lui ai dit qu'il s'agissait de la Clinique de l'Haÿ-les-Roses, a tout de suite coupé : << Si c'est de la Clinique de l'Haÿ-les-Roses qu'il s'agit, c'est pas la peine, laissez tomber >> . Sur ce il avait raccroché sans m'en dire davantage. Sans doute avait-il deviné de quelle Clinique il s'agissait, car il avait plusieurs fois anxieusement insisté pour que je le lui dise, et c'est tout de suite après m'avoir entendu dire son nom qu'il a conclu l'entretien de la manière susdite. Or j'ai plus récemment appris, en avril 2010,par un membre du SAMU 94,  qu'une autre Clinique du département s'était livré à ce genre d'activité.   

Ce fut ensuite au tour du Commandant Christian Raeckelboom, le Principal du Commissariat de l'Haÿ-les-Roses, de me prévenir,  le 23 janvier 1991 (ce qu'il m'avait confié est rapporté sur le site-Web n° 108281777 html).

J'ai fini par me rendre sur place à la DRPS, en avril 1993, pour  tâcher de savoir de quoi il retournait, percer un mystère, savoir plus directement qu'elles étaient les motivations de la CPAM à vouloir bloquer toute information sur cette très sulfureuse Clinique alors qu'elle n'avait pas le droit de me refuser les informations demandées. J'avais ainsi pris rendez-vous avec le Directeur de la DRPS, le docteur X,
X m'avait écouté les yeux mi-clos, comme un sphinx. Après m'avoir écouté et avoir examiné les documents que je lui ai soumis, il a clos l'entretien et m'a renvoyé sans avoir dit un mot, sauf à s'enquérir de mes "qualités". Bizarre autant qu'étanche !

Le nom de X m'est revenu :  Garoust ou Garroust, et même je crois son prénom : Philippe.   

La justice n'étant pas en France indépendante des pouvoirs ministériels et de la toute puissante haute administration (en la circonstance de la direction de l'AP - HP et de l'ex CNTS ) s'agissant d'une affaire où la responsabilité de l’État et de l'Assistance Publique étaient lourdement engagée, comme c'était le cas avec l'affaire du sang contaminé.

Non seulement le Service de pneumo-neurologie (sic) du docteur Olivier Ille participait en 1997 au CHU de Mantes la Jolie à l'élimination physique des malades anciennement contaminés, avec Christine Malèvre pour les exécuter sous sa direction (en profitant de la séduction qu'il exerçait sur elle) comme précédemment en août 1990 quand il avait livré au docteur Jean-Yves Beinis, dans le Service duquel il avait fait transférer "son" malade (le malade du Service du professeur Gérard Saïd), des directives thérapeutiques que lui et ses supérieurs hiérarchiques, notamment le docteur Pascal Masnou, savaient pertinemment être mortelles à brève échéance, de façon que malade dont Olivier Ille n'avait pourtant pas vraiment la charge (il n'était alors qu'Interne et transmettait les directives de la hiérarchie) ne vienne à décéder dans le Service de neurologie de l'hôpital Bicêtre, apparemment très "naturellement" dans un grand Service de gériatrie, puisqu'il paraît a priori acceptable, car plus banal, pour ne pas dire "normal", de quitter le bas monde des vivants dans un Service de gériatrie.

Le Service qui abritait Olivier Ille en 1990 était celui du professeur Gérard Saïd, un service en principe insoupçonnable de telles monstruosités puisque le professeur Gérard Saïd était membre de l'IFREM et rédacteur à la Revue d’Éthique médicale que cette Institution édite (ou éditait), à savoir Médica Judaïca (l'IFREM est l'Institut de Recherche et d'Enseignement en Éthique Médicale juive.)

L'Institut était dirigé par Emmanuel Hirsch, un acolyte du Pr. Saïd. Il n'est pas médecin, mais "philosophe".

Alors qu'il n'est pas médecin Emmanuel Hirsch m'a cependant déclaré quand  je l'ai rencontré  "connaitre par cœur" l'histoire médicale de mon père lorsque j'ai voulu lui en parler.

Le Secret Médical avait donc été trahi vers qui n'est pas médecin cependant qu'il enseigne l'éthique médicale et l'absolue nécessité de le respecter et le faire respecter.

Or le Service du professeur Saïd avait déjà communiqué le dossier, soi-disant perdu, du malade aux médecins de la Clinique Léon Elmelik contre lesquels mon père avait porté plainte le 17 décembre 1990 quand et après qu'il est "par ma faute" sorti du coma où l'avait plongé le simulacre de traitement de la maladie de Biermer (ma faute et celles des infirmières du Service du docteur Beinis, mon intervention thérapeutique n'ayant pu se faire seulement après qu'elles elles m'ont informé du simulacre administré sur son ordre, qui suivait celui Olivier Ille afin que leur malade ne puisse inquiéter les médecins de la Clinique Léon Elmelik, une Clinique qui se chargeait de ce qu'il avait fallu après sa vente, survenue en 1995, déléguer au CHU de Mantes la Jolie, c'est-à-dire après le changement de propriétaires de la Clinique Léon Elmelik, les Elmelik ayant enfin trouvé repreneur (la Clinique la été reprise par le groupe Clinéa.)

Le monde étant petit  Emmanuel Hirsch est  le frère de Martin Hirsch, énarque et actuel directeur de l'AP - HP. 

Bien avant les exécutions des malades contaminés par les transfusions contaminées par le VIH au CHU de  Mantes la Jolie l'ex Clinique Léon Elmelik, participait à ces "euthanasies" avant lesdits  transfusés n'aient le temps de développer un SIDA maladie.

Ce qui faisait de cette Clinique une Clinique "protégée en hauts lieux", c'est-à-dire par l’État. c'est-à-dire par les ministères publics (de la Recherche, de la Santé et finalement de la Justice.)

Autour de 25.000 patients ont dans ces années-là été contaminés par les flacons livrés par le CNTS aux hôpitaux et autres établissements de soins chirurgicaux, selon le docteure  Anne-Marie Casteret, ("L'affaire du sang", La découverte, 1992, toujours disponible en librairie.)

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24 novembre 2016 4 24 /11 /novembre /2016 14:53

 << En France, de toute façon, il n'y a pas de justice >> , m'avait tout de suite confié Maître Annick Dorsner-Dolivet en novembre 1993 sans pourtant s'être concertée avec Maître Catherine Scotto-Derouet, qui, l'année précédente, m'avait d'entrée de jeu fait exactement la même remarque.

Toutes les deux l’avaient formulée avant même de prendre connaissance du très grave problème dont j'étais venu les entretenir.

Leur remarque préfigurait en quelque sorte ce que le Président François Hollande a dit et pense de la magistrature. Ses propos été récemment publiés par deux journalistes du journal Le Monde, Des propos qu'il aurait, paraît-il, dû taire (Cf. "Un président ne devrait pas dire ça") ;

Le Président de la République sait ce qu'il en est. De par ses fonctions il est, le premier magistrat de France, et, en dehors de moi et de ceux à qui les problèmes que posent ce qu'on appelle pudiquement les "dysfonctionnements de la Justice", nombreux sont les justiciables gravement floués par ces "dysfonctionnements » qui se sont en désespoir de cause adressés à lui pour s'en plaindre (Cf. p. ex. encore récemment l’ingénieur et entrepreneur Richard Armenantes, qui a été jusqu'à réclamer, comme je l'avais fait moi-même, la désignation d'une enquête parlementaire, recourant, toujours en désespoir de cause, à Internet pour le faire savoir.

François Hollande m'avait d'ailleurs répondu au sujet du (des) problème que j'avais soumis aux susdites avocates.

Alors que l'une d'elle m'avait fait savoir que "rien ne lui faisait peur", elles s’en étaient montrées effrayées après qu'elles se sont rendu compte de la très (ou trop) grande gravité des exactions commises, les médecins en cause bénéficiant nécessairement de "hautes protections", premièrement pour avoir osé les commettre, et deuxièmement pour ne jamais avoir fait l'objet de poursuites pénales après les avoir commises.

Dès septembre 1990  le docteur André Souche, sous- directeur à la DRPS du Val-de-Marne, me l’avait fait comprendre, avant même qu’en janvier 1991 le Commandant Christian Raeckelboom, au Commissariat de La Haÿ-les-Roses, me le signale plus explicitement (voir le site-Web n° 34640255 html chapitre II § 5 et plus brièvement au 108281777 html).

Une seule plainte avait pu aboutir à une condamnation … civile ! ai-je appris plus tard, en 1994, de la part d'un Confrère Conseiller municipal qui exerçait à l’époque à L'Haÿ-les-Roses. 

Quand j’en ai fait part à François Hollande, il n'était encore que le Secrétaire général du Parti Socialiste. Il m'avait répondu qu'il ne lui était pas possible, en tant que tel, de remédier à ce dont le Conseil de l'Ordre des Médecins et la Justice s'étaient fait les complices (Cf.infra).

Je m'étais plus tard - en 2007 – 2008 - de même adressé à Nicolas Sarkozy parce qu’il qui avait déclaré impossible l'enterrement des « affaires sensibles »  depuis l'avènement d'Internet, ainsi qu’à madame Roselyne Bachelot-Narquin, ministre de la Santé, qui a botté en touche en se contentant de me communiquer le numéro de téléphone du 14 avenue Duquesne, comme si je n’avais pas été capable de le trouver tout seul et sans comprendre - ou plutôt sans vouloir comprendre - que ce n'était surtout pas ce qu'il fallait faire puisque ce Ministère était non seulement concerné, mais gravement en cause dans l'inavouable occultation des exactions dont j’avais à me plaindre – des exactions qui furent suivies en d’une tentative d’assassinat perpétrée au sein même de l'AP – HP, soit pour « couvrir » ces exactions de façon à empêcher le malade (mon père) qui en avait fait lourdement les frais physiques et financiers de porter plainte après qu’il s’en était sorti vivant, soit parce qu’il avait été transfusé en 1984 à l’hôpital Saint-Louis à une époque ou quasiment toutes les transfusions étaient contaminées par le VIH, soit pour ces deux « raisons » là  (Cf. infra et les assassinats commis Christine Malèvre sous l'égide du même médecin, Olivier Ille au CHU de Mantes la Jolie, sinon dans d'autres structures hospitalières - hôpitaux et/ou Cliniques, telle p. ex. et entre autres la Clinique Léon Elmelik à La Haÿ-les-Roses. Des assassinats courageusement  dénoncés en 1997 par le docteure Laurence Kouyoumdjian. Son signalement fit qu'ils ont dès lors cesser, mais cela ne lui valut aucune reconnaissance, bien au contraire :  au lieu d’être félicitée, et elle fut priée de déguerpir alors que le docteur Olivier Ille, qui s’était bien gardé de les dénoncer, est toujours en poste. Ce dont aucun journaliste, à ma connaissance, ne s'est ému, ni même étonné !      

Je m'étais aussi adressé Fadela Amara quand elle a été nommée à la tête de l'IGAS   (www.blog-de-léon-fadela-amara), et à  François Copé du temps où il présidait l'UMP, du temps ou il espérait d'être un jour élu la Présidence de la République. François Copé s'était contenté de renvoyer l'épineux problème à madame Nora Berra, qui bien sûr fit, comme madame Bachelot, la sourde oreille.

De même à l'ex directeur de la Santé Jean de Kervasdoué l'année où il était venu exposer à l'Espace Ethique de l'AP - HP l'excellence de la Suède en matière de santé public.

Le professeur Bernard Debré est très au courant des problèmes que posent ces exactions. Je les lui ai exposées de façon concrètes et documentées, et il en a bien pris connaissance, d’autant que je lui avais à l’occasion fait connaître la découverte du syndrome NDB12PP, dont il paraissait méconnaître l’existence encore en 2012 malgré son importance clinique (Cf. infra). Mais e professeur Debré était lui-même en butte avec le Conseil de l’Ordre des Médecins depuis la publication de son livre sur la liste des 4000 médicaments utiles, inutiles, ou dangereux, mais qui montre combien le syndrome NDB12PP reste méconnu.

Le silence des élites 

Une émission de France 5, diffusée le 16 octobre dernier,  (C. POLÉMIQUE) déplore l'existence en France de zones de non-droit.

En France 3,1 % des décès font suite à un acte visant délibérément à abréger la vie, écrit en 2014 le docteure Nicole Delépine.

Autrement dit, ces décès font suite à des assassinats médicalisés, et ces assassinats ne sont quasiment jamais sanctionnés par la Justice, quand bien même celle-ci quand celle-ci en a parfaitement connaissance.

La Justice n'est pas faite en France pour rendre la justice, mais pour  "maintenir l'ordre public". 

C'est ce qu'a rappelé un magistrat il y a quelques années (Denis Salas sur France Culture),

Les procureurs sont là pour  "défendre les intérêts généraux de la société", rappelle  Maîtres My-Kim Yang-Paya et Céline Marcovici dans "Le guide Juridique des femmes victimes de violences", publié il ya moins d'un an .

J'avais moi-même expérimenté  au sujet d'un malade, en l'occurrence mon père, que j'avais, en tant que médecin, in extremis réussi à sauver malgré l'obstination forcenée de ses médecins neurologues à le faire trépasser quand il ont ordonné à leurs subordonnés de ne faire que semblant d'administrer à leur malade le traitement, d'ailleurs extrêmement simple et très peu onéreux - le prix de deux paquets de cigarettes,  nécessaire à sa survie et à son rétablissement ad integrum, au prétexte controuvé qu'il était atteint de la maladie d' Alzheimer et d'une encéphalopathie vasculaire, et "voué à une inéluctable plus grande dégradation" (ou "plus grande aggravation", je ne me rappelle plus lequel des deux termes ils avaient employés) le tout officiellement et vaguement  baptisé "ATTEINTE DIFFUSE DU SYSTEME NERVEUX" (sic, cf. leur compte-rendu savamment bidonné au site-Web n° 69970222 html et la réalité sur le site 69972429 html, encore que cette vague appellation puisse désigné une LEMP, c'est-à-dire une Leuco-Encéphalopathie Multifocale Progressive, qui de toute façon aurait relevé du même traitement, selon la littérature médicale publiée par la Revue de référence qu'est "Archives of Neurology", une Revue que le professeur Gérard Saïd fit interdire de publication à la bibliothèque Universitaire de l'Hôpital Bicêtre au prétexte que c'était une très mauvaise Revue (sic, cf. infra le chapitre "Bibliographie"  ).  

J'avais quant à moi commis la faute impardonnable, aux yeux des autorités judiciaires et du Conseil de l'Ordre des médecins, de ne pas avoir été d'accord avec ces neurologues  en lui l'aider à signaler les faits aux autorités judiciaires en réunissant pour lui les preuves matérielles de ce qui s'était passé après qu'il s'est sorti vivant, mais non indemne, de cette tentative de meurtre, celle-ci l'ayant laissé très lourdement handicapé sur le plan moteur (ses médecins avaient fait semblant de confondre son état avec la maladie d'Alzheimer pour lui refuser le traitement approprié à sa maladie, en l'occurrence le traitement, très simple, de la maladie de Biermer)

Ceux-ci  ont bénéficié d'un non-lieu malgré les nombreuses preuves tangibles parce que leur tentative de meurtre, très savamment préméditée et programmée pour passer inaperçue  s'inscrivait dans ce que le Ministère public a considéré correspondre aux intérêts généraux de la société, ledit malade ayant subi une transfusion sanguine en avril 1984 à l'hôpital Saint-Louis, à une époque où quasiment toutes les transfusions sanguines étaient empoisonnées par le VIH. Six ans plus il parut à l'équipe qui soignait ce malade préférable de faire semblant lui administrer le traitement salvateur, en l'occurrence celui de la maladie de Biermer, après avoir, pour se couvrir, falsifié les résultats des tests servant à sa mise en évidence  

La responsabilité de l'Etat y étant associée, ce type d'exaction hospitalière était implicitement autorisé, voire encouragé, si bien que l'affaire à donné lieu à "non-lieu" requis par Michel Barrau au nom du Ministère public  .

C'est ainsi sauvetage qui m'a valu les persécutions des responsables, qui ont fait alliance  (au sens biblique du terme) avec l'ennemi héréditaire, à savoir l'Ordre des médecins

Il n'y pas là matière à s'étonner, car c'est une affaire de mentalité, la française s'attachant à protéger les citoyens les plus fortunés, quand bien même ce serait au détriment de la santé des autres, comme en témoigne, entre autres, l'affaire du Médiator, mais beaucoup plus celle du sang contaminé, où ce sont des ministères qui sont en cause.

Ainsi des assassinats de malades au CHU de Mantes la Jolie.  Déguisés en "euthanasies" ils avaient été réalisés non pas pour des raisons compassionnelles, comme on aurait aimé qu'ils aient parus,  mais pour des raisons économiques, les "circonstances" s'y prêtant : les médecins  pensaient que la famille n'y verrait que du feu, ou n'y trouverait rien à redire parce qu'elle s'en trouverait soulagée, les malades étant âgés, très gravement malades et vraiment embarrassants.  

Ce sont ce que j'ai précédemment appelé des "euthanasies économiques".

Economiques pour le CNTS, l'Assurance Maladie et l'AP - HP,  donc l'Etat, et par là "licites" !  

Que reprocher alors aux avocat(e)s qui trahissent en sabotant délibérément la Partie Civile parce qu'ils ou elles préfèrent ne pas être obligé(e)s de fermer boutique et de changer de métier pour s'être mis à dos des Institutions judiciaires et hospitalières à la botte du pouvoir politique et des pouvoirs administratifs et économiques.

Ces pouvoirs peuvent agir au mépris de l'état de droit tout en affichant ostensiblement qu'ils attachent la plus grande importance à le respecter comme à le faire respecter cependant qu'ils comptent bien que la raison économique continuera  comme toujours à prévaloir qui fait que  << en France il n'y a pas de justice >>  

Maître Annick Dorsner-Dolivet est - ou plutôt était, avant qu'elle ne change de statut,  une avocate pénaliste vers qui je m'étais tourné sur les conseils d'un juriste, le professeur de Droit François Chabbas, qui rédigeait dans la "La Revue du Praticien" des articles à l'usage des médecins praticiens, une Revue à laquelle j'étais abonné. 

Je m'étais ainsi tourné vers cette avocate après que Me Catherine Scotto-Scotto-Derouet s'est montrée épouvantée et "bloquée" dans son action en prenant connaissance de ce que les médecins de la Clinique Léon Elmelik étaient capables,

Cette Clinique étaIt "protégée en hauts lieux", selon le Commandant Christian Raeckelboom, Commissaire  Principal à La Haÿ-les-Roses, qui en avait "par dessus la tête" d'avoir à enregistrer en vain les nombreuses plaintes pour viols qu'y perpétrait son médecin propriétaire. 

Me Dorsner-Dolivet avait elle aussi dut abandonner son Cabinet et se reconvertir. Elle a été jusqu'à penser à entourloupe de la part du professeur  François Chabbas, qui lui aurait "refilé" une affaire trop dangereuse en me conseillant de m'adresser à elle (le professeur Chabbas entretenait de très bonnes relations avec le docteur Jean Penneau, Secrétaire général du CROM d'Île-de-France , professeur de Droit et accessoirement (ou principalement, tels les docteurs Patrice Bodenan et  Jean ¨Pouillard ?)   un des Frères °°° hauts protecteurs de la Clinique Léon Elmelik et du docteur Jean-Claude Elmelik.   

Le professeur Chabbas m'avait recommandé Maître Dorsner-Dolivet en vertu de sa très grande compétence. Il  me l'avait dite plus compétente que lui-même ! 

Me Dorner-Dolivet m'avait rétorqué lorsque je lui ai présenté l'affaire que << rien ne lui faisait peur >>.  

J'avais préféré la prévenir immédiatement que c'était une affaire qui faisait peur, échaudé par ce qu'avait été  la réaction de Me Scotto-Derouet après qu'elle a été consulter le bureau d'Ordre pénal concernant cette Clinique,  ainsi que celle de Maître Sylvie Ferval, du temps où celle-ci était inscrite au Barreau de Paris et exerçait à La Haÿ-les-Roses,

Je lui avais bien spécifié que dans l'affaire que je lui confiais des médecins de la Clinique Léon Elmelik étaient en cause et que son médecin propriétaire se permettait d'y violer impunément depuis des années ses (ou les) parturientes à tire-larigot. 

Je n'avais pas encore appris d'un Confrère Conseiller municipal à la mairie de l'Haÿ-les-Roses que l'Ordre des Médecins avait dû se résoudre à lui infliger une suspension d'exercice d'une durée de six mois après qu'une des victimes a réussi à obtenir une indemnisation au Civil.

La police m'a confirmé en 1993 qu'au cours de sa suspension elle n'avait plus eu à enregistrer de plaintes pour viol, mais que tout a recommencé après sa suspension. 

Me Scotto-Derouet s'était rendu compte, en allant consulter le Bureau d'Ordre Pénal du TGI de Créteil, que les médecins de cette Clinique devaient forcément être  "protégés en hauts-lieux" - ainsi que me l'avait déjà dit le Principal du Commissariat de l'Haÿ-les-Roses, pour ne pas avoir fait l'objet de poursuites et de condamnations malgré la quantité faramineuse de  "casseroles" épouvantables qu'ils se traînaient, toutes les plaintes ayant été classées sans suite ou fait l'objet d'un non-lieu, la nôtre risquant donc de subir le même sort.

De tout cela j'avais déjà été tout à fait prévenu dès septembre 1990, d'abord incidemment en téléphonant au docteur André Souche, sous-directeur de la DRPS du Val-de-Marne (la DRPS est la Direction des Relations avec les Professionnels de la Santé de la CPAM), qui , après m'avoir entendu dire ce qu'il s'y était passé d'hallucinant me mit tout de suite en garde après qu'il m'a demandé de quelle Clinique il s'agissait : << Si c'est la Clinique de La Haÿ-les-Roses, c'est pas la peine, laissez tomber >> Sur ce il avait raccroché sans m'en dire davantage. Sans doute avait-il deviné de quelle Clinique il s'agissait, car il avait plusieurs fois anxieusement insisté pour que je le lui dise, et c'est tout de suite après m'avoir entendu dire son nom qu'il a conclu l'entretien de la manière susdite. Or j'ai plus récemment appris, en avril 2010,par un membre du SAMU 94,  qu'une autre Clinique du département s'était livré à ce genre d'activité.

De surcroît, Me Scotto-Derouet avait tout de suite été débarquée du Cabinet d'avocats parisien où elle exerçait, au 32, de la rue Jouffroy, dans le 17e arrondissement, parce qu'elle avait accepté de se charger de l'affaire.

Autrement dit elle avait été virée parce que l'Ordre des médecins, via le docteur Patrice Bodenan, un Frère °°° poulain du professeur Christian Hervé, avait joué de ses relations maçonniques avec le Barreau pour l'en dissuader (il est bien connu depuis les recherches de Ghislaine Ottenheimer et Sophie Coignard que les Conseillers de l'Ordre des médecins et la franc-maçonnerie sont des états dans l’État, et qu'ils sont avec le Barreau comme un poisson dans l'eau.

Pour ce qu'il est de Patrice Bodenan (Bod °°° pour les intimes) on peut se référer à la carte de visite qu'il m'a remis le 27 avril 1992 en me disant avec un regard appuyé que l'Ordre me fera payer cher d'avoir laissé mon père se faire hospitaliser dans Clinique Léon Elmelik (la Clinique de son amie Edith Elmelik).

Dans les jours qui suivirent, Me Scotto-Derouet était débarquée. Elle trouva à se recaser chez Me Michel Blum, rue Villersexel.


De cela j'avais déjà été prévenu l'année précédente, d'abord indirectement, vers la mi-septembre 1990,  en téléphonant au docteur André Souche, sous-directeur à la DRPS du Val-de-Marne (la DRPS 94 est la Direction des Relations avec les Professionnels de la Santé de la CPAM 94), parce qu'après m'avoir entendu lui raconter  ce qu'il s'y était passé d'hallucinant, m'a demandé, avec une inquiétude perceptible au ton employé pour me le demander, de quelle Clinique il s'agissait,

Dès que je lui ai dit qu'il s'agissait de la Clinique de l'Haÿ-les-Roses, a tout de suite coupé : << Si c'est de la Clinique de l'Haÿ-les-Roses qu'il s'agit, c'est pas la peine, laissez tomber >> . Sur ce il avait raccroché sans m'en dire davantage. Sans doute avait-il deviné de quelle Clinique il s'agissait, car il avait plusieurs fois anxieusement insisté pour que je le lui dise, et c'est tout de suite après m'avoir entendu dire son nom qu'il a conclu l'entretien de la manière susdite. Or j'ai plus récemment appris, en avril 2010,par un membre du SAMU 94,  qu'une autre Clinique du département s'était livré à ce genre d'activité.   

Ce fut ensuite au tour du Commandant Christian Raeckelboom, le Principal du Commissariat de l'Haÿ-les-Roses, de me prévenir,  le 23 janvier 1991 (ce qu'il m'avait confié est rapporté sur le site-Web n° 108281777 html).

J'ai fini par me rendre sur place à la DRPS, en avril 1993, pour  tâcher de savoir de quoi il retournait, percer un mystère, savoir plus directement qu'elles étaient les motivations de la CPAM à vouloir bloquer toute information sur cette très sulfureuse Clinique alors qu'elle n'avait pas le droit de me refuser les informations demandées. J'avais ainsi pris rendez-vous avec le Directeur de la DRPS, le docteur X,
X m'avait écouté les yeux mi-clos, comme un sphinx. Après m'avoir écouté et avoir examiné les documents que je lui ai soumis, il a clos l'entretien et m'a renvoyé sans avoir dit un mot, sauf à s'enquérir de mes "qualités". Bizarre autant qu'étanche !

Le nom de X m'est revenu :  Garoust ou Garroust, et même je crois son prénom : Philippe.   

La justice n'étant pas en France indépendante des pouvoirs ministériels et de la toute puissante haute administration (en la circonstance de la direction de l'AP - HP et de l'ex CNTS ) s'agissant d'une affaire où la responsabilité de l’État et de l'Assistance Publique étaient lourdement engagée, comme c'était le cas avec l'affaire du sang contaminé.

Non seulement le Service de pneumo-neurologie (sic) du docteur Olivier Ille participait en 1997 au CHU de Mantes la Jolie à l'élimination physique des malades anciennement contaminés, avec Christine Malèvre pour les exécuter sous sa direction (en profitant de la séduction qu'il exerçait sur elle) comme précédemment en août 1990 quand il avait livré au docteur Jean-Yves Beinis, dans le Service duquel il avait fait transférer "son" malade (le malade du Service du professeur Gérard Saïd), des directives thérapeutiques que lui et ses supérieurs hiérarchiques, notamment le docteur Pascal Masnou, savaient pertinemment être mortelles à brève échéance, de façon que malade dont Olivier Ille n'avait pourtant pas vraiment la charge (il n'était alors qu'Interne et transmettait les directives de la hiérarchie) ne vienne à décéder dans le Service de neurologie de l'hôpital Bicêtre, apparemment très "naturellement" dans un grand Service de gériatrie, puisqu'il paraît a priori acceptable, car plus banal, pour ne pas dire "normal", de quitter le bas monde des vivants dans un Service de gériatrie.

Le Service qui abritait Olivier Ille en 1990 était celui du professeur Gérard Saïd, un service en principe insoupçonnable de telles monstruosités puisque le professeur Gérard Saïd était membre de l'IFREM et rédacteur à la Revue d’Éthique médicale que cette Institution édite (ou éditait), à savoir Médica Judaïca (l'IFREM est l'Institut de Recherche et d'Enseignement en Éthique Médicale juive.)

L'Institut était dirigé par Emmanuel Hirsch, un acolyte du Pr. Saïd. Il n'est pas médecin, mais "philosophe".

Alors qu'il n'est pas médecin Emmanuel Hirsch m'a cependant déclaré quand  je l'ai rencontré  "connaitre par cœur" l'histoire médicale de mon père lorsque j'ai voulu lui en parler.

Le Secret Médical avait donc été trahi vers qui n'est pas médecin cependant qu'il enseigne l'éthique médicale et l'absolue nécessité de le respecter et le faire respecter.

Or le Service du professeur Saïd avait déjà communiqué le dossier, soi-disant perdu, du malade aux médecins de la Clinique Léon Elmelik contre lesquels mon père avait porté plainte le 17 décembre 1990 quand et après qu'il est "par ma faute" sorti du coma où l'avait plongé le simulacre de traitement de la maladie de Biermer (ma faute et celles des infirmières du Service du docteur Beinis, mon intervention thérapeutique n'ayant pu se faire seulement après qu'elles elles m'ont informé du simulacre administré sur son ordre, qui suivait celui Olivier Ille afin que leur malade ne puisse inquiéter les médecins de la Clinique Léon Elmelik, une Clinique qui se chargeait de ce qu'il avait fallu après sa vente, survenue en 1995, déléguer au CHU de Mantes la Jolie, c'est-à-dire après le changement de propriétaires de la Clinique Léon Elmelik, les Elmelik ayant enfin trouvé repreneur (la Clinique la été reprise par le groupe Clinéa.)

Le monde étant petit  Emmanuel Hirsch est  le frère de Martin Hirsch, énarque et actuel directeur de l'AP - HP. 

Bien avant les exécutions des malades contaminés par les transfusions contaminées par le VIH au CHU de  Mantes la Jolie l'ex Clinique Léon Elmelik, participait à ces "euthanasies" avant lesdits  transfusés n'aient le temps de développer un SIDA maladie.

Ce qui faisait de cette Clinique une Clinique "protégée en hauts lieux", c'est-à-dire par l’État. c'est-à-dire par les ministères publics (de la Recherche, de la Santé et finalement de la Justice.)

Autour de 25.000 patients ont dans ces années-là été contaminés par les flacons livrés par le CNTS aux hôpitaux et autres établissements de soins chirurgicaux, selon le docteure  Anne-Marie Casteret, ("L'affaire du sang", La découverte, 1992, toujours disponible en librairie.)

                                                    ----------/ ----------

Hospitalisé depuis six semaines, l'état de mon père s'était dégradé à tel point que le 12 septembre 1990  au soir, il était  mourant.
Son état était devenu de plus en plus  pitoyable.  Il gisait sur son lit,  squelettique, prostré, incontinent, côtes cassées presque nu dans ses émonctoires . A force d'être tombé du lit dans les jours précédents, son corps etait, des pieds à la tête, couvert d'ecchymoses. Après s'être un instant agité comme s'il avait cherché à s' agripper à un objet imaginaire  (ces mouvements sont dits "carphologiques" et précèdent de peu la mort), il sombra dans le coma.  Ma sœur me dit
- Toi qui est médecin, tu ne peux vraiment rien faire   ?
J'étais certain qu'il  ne souffrait pas, comme ses médecins le prétendaient, d'une démence sénile, et qu'il  n'était pas non plus atteint d'une tumeur cérébrale. J'ai dit à ma sœur ;
- Cette histoire "d'hydrome sous-tentoriel" (sic)  pour lequel un rendez-vous d' I.R.M.  a été pris ne tient pas debout,  et il n'a certainement pas  la maladie de la vache folle.  Il y a  tout simplement qu'il ne reçoit  pas  le traitement nécessaire. C'est  pour ça qu' au lieu d' aller mieux, il  va de plus en plus mal . Je suis sûr de ce que je dis, j'ai été avec une infirmière vérifier le traitement qu'il reçoit  sur le cahier de prescription !  On n'a jusqu'ici fait que semblant de le soigner, tout comme on essaie de me faire croire qu'il a une tumeur cérébrale. Il  n' a pas plus de T.C. que la maladie d'Alzheimer ou la maladie de la vache folle !
Après avoir fait rapidement un examen neurologique et dis :
-  Il ne voit plus clair. Regarde ses yeux, les pupilles sont complètement dilatées. Elles ne réagissent  pas à la lumière quand je les éclaire et il ne réagit pas quand je le pince durement. Il reste une toute petite chance de le sauver. Si on ne fait rien, là, tout de suite,  demain il sera mort. Il n' est plus  temps d'attendre jusqu'au 24 septembre  le rendez-vous d 'I.R.M. cérébrale, ni même quelques heures de plus. Je peux faire le nécessaire, mais il  ne faudra rien  me reprocher si ça ne réussit  pas. S' il meurt cette nuit, comme c'est malheureusement ce qui risque d'arriver, j'y serai pour rien. J'ai tout juste le temps de  courir à la pharmacie chercher ce qu'il  lui faut avant qu'elle ne ferme pour le lui administrer.
- Je te promets de ne jamais t'accuser de l'avoir tué  s'il meurt cette nuit.
- Il faut aussi me promettre de m'aider après, parce que même si j' arrive à redresser la situation, ça va être très dur ! Il faudra après que tu m'aides !
- Je te promets ….  Je t'aiderai.  
-  Alors  c'est  d'accord,  j'y vais
Il  était 19 heures 15. Je n'avais  plus  temps  de discuter. J' ai couru au plus vite à la pharmacie la plus proche, sise à Vitry/Seine  me  procurer  pour  9  francs  et quelques 36 centimes une boite de 6 ampoules de cyanocobalamine, plus 3 francs de seringues …..  J' administrais  la moitié  du coffret, soit 3 milligrammes de cyanocobalamine.

Épilogue : Je suis resté jusqu'à une heure du matin auprès du malade. Je suis revenu vers six heures. Mon père respirait encore. Il y avait même un léger mieux, car la mydriase n' était plus aussi totale. Un soupçon d' iris était  perceptible. Le  lendemain soir, j'administrai les 3 ampoules restantes. Un mois plus tard,  après  avoir reçu  en intramusculaire 20 mg  de ce traitement étiologique, mon père pouvait se tenir debout sans tomber, et même refaire tout seul son lit, visiblement à la satisfaction des infirmières, mais pas du tout à celle du Chef de Service. Bien que le malade  n'ait  pas encore récupérer le contrôle de ses sphincters  - il ne les récupérera, et  une fois pour toutes, que le 17 octobre 1990 -  il  fut sans  ménagement  renvoyé chez  lui  le 12 octobre.

Pour comble, dans les jours qui suivirent,  l'hôpital  fit parvenir  une note d'hospitalisation salée au domicile de  son  ex-patient. Il n' était  même pas tenu compte de la prise en charge à 100 %, à laquelle il avait automatiquement droit.
.
Deux  mois après sa sortie  d'hôpital, mon père avait regagné  la quasi totalité  de ses capacités intellectuelles (elles furent objectivées à 30/30  au  MMSE  en février 1991).

Fortement handicapé,  diminué dans son autonomie en raison  de  parésies résiduelles au niveau des mains et des jambes, le 17 décembre 1990 mon père  porta  plainte  auprès du procureur de Créteil  pour escroquerie, mise en danger de la vie et non assistance à personne en péril, non contre les neurologues, mais contre les médecins de la Clinique  qui l'avaient  abusé précédemment à son hospitalisation à Bicêtre, car il était alors encore persuadé que c' était non pas à moi, mais aux neurologues qu'il devait d'être resté en vie,
 

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23 novembre 2016 3 23 /11 /novembre /2016 16:34

L'expérience de Standley Milgram  sur la soumission à l'autorité réalisée en 1963 pour essayer de comprendre comment des personnes aussi ordinaires qu'Adolf Eichmann avaient pu obéir sans rechigner et sans remords à des ordres aussi monstrueux qu'une exécution de masse ciblant des semblables a été popularisée depuis que la télévision française en a reproduit fictivement les modalités.

La notion (ou concept) de "consentement meurtrier" développé par Marc Crépon n'en est qu'un aspect, de même la notion contestée de  "banalité du mal" exposée par Hannah Arendt.

Le Dr. Jean-Yves Beinis, comme exposé ci-après, s'était sans sourcilier autorisé à ne pas administrer à son malade le traitement qui lui était absolument nécessaire pour survivre cependant que celui-ci souffrait d'une affection mortelle sans son traitement spécifique, un syndrome neuro-anémique cliniquement évident, c'est-à-dire d'une affection à la fois très douloureuse, très angoissante et inéluctablement mortelle. 

Pourquoi s'était-il plié à de tels ordres?

C'est parce que ceux-ci lui avait été transmis depuis l'hôpital Bicêtre par l'Interne du Service de neurologie du professeur Gérard Saïd, m'a-t-il lui-même expliqué, et parce qu'il les considérait comme venant de supérieurs hiérarchiques, et donc ne pas leur obéir risquait de lui coûter des ennuis, tels ceux qui ont conduit le docteur Jean-Louis Megnien au suicide le 17 décembre 2015, n'avait-il pas ajouté, car son explication datait de mars 2011, alors qu'il était encore en fonction (la question se pose de savoir s'il aurait pu conserver son poste s'il avait désobéi ?).

Au lieu s'abattre sur lui les ennuis se sont abattus sur l’auteur du sauvetage fait en catastrophe sur ledit malade, c'est-à-dire sur moi.

Le docteur Beinis s'était interdit de chercher à comprendre ce que cachait de si meurtrières recommandations !  

Le médiatique docteur Michel Cymès est au courant de tout ceci, mais lui aussi se garde, et probablement pour les mêmes raisons que le docteur Beinis, de faire état de cette affaire, qui a pourtant conduit à reconnaître la découverte d'un important syndrome, celui de « syndrome de carence vitaminique B12 avec test de Schilling normal », une affection rebaptisée en 2003 « syndrome NDB12PP » (syndrome de Non Dissociation de la vitamine B12 de ses Protéines Porteuses), un syndrome  important par le nombre de malades concernés. Ils sont des dizaines de milliers - mais un syndrome à ce jour généralement méconnu du praticien lambda du fait même que le très couru  Magazine de la Santé, que le docteur Cymès anime avec sa consoeur Marina Carrère d’Encausse  fait exprès d'oublier (refuse) d'en parler.

C’est aussi que l’affaire renvoie aux nombreux assassinats de malades commis en 1997 au CHU de Mantes la Jolie par Christine Malèvre sous l’égide du docteur Olivier Ille, celui-là qui avait en août 1990 donné l’ordre au docteur Jean-Yves Beinis de ne faire que semblant d’administrer au malade qu’il venait de lui adresser le traitement de la maladie de Biermer, qui est aussi celui du syndrome NDB12PP, ce syndrome n’étant en fait  qu’une forme clinique de la maladie de Biermer, mais deux fois plus fréquente que celle-ci !  

Les infirmières de l'USN de l'hôpital Charles-Foix se rendirent compte que simuler l'administration du traitement de la maladie de Biermer était criminel.

Elles avaient  fait  le diagnostic d'avitaminose B12 en essayant de faire manger leur malade, qui depuis dix jours ne touchait plus la nourriture. Il avait développé une glossite de Hunter, une glossite caractéristique de cette maladie et des carences vitaminiques B12 profondes, c'est-à-dire en fait de la maladie de Biermer, considérée à l'époque ^comme étant à 80% la cause principale des carences vitaminiques B12 profondes, et dont le traitement consiste tout simplement à administrer massivement et durablement cette vitamine par voie parentérale.

Elles en firent part à leur Chef de Service, le docteur Jean-Yves Beinis, mais celui-ci ne voulut rien entendre, craignant de déroger aux consignes des neurologues de Bicêtre. Il ne tînt aucun compte de cette observation, si bien que, ne voulant pas participer à ce qui revenait à une mise à mort, elle me firent ostensiblement savoir la supercherie  Ce qui me permit d'intervenir alors qu'il était encore temps.pour administrer moi-même le traitement de cette maladie

Il était temps. Mon père avait sombré dans le coma et il était tout près de mourir. Ce qui s'est passé ensuite est rapporté brièvement sur le Web au "blog de léon - une nuit vitaminée", et de manière plus circonstanciée sur les sites n° 34640255  et 108281777 html, ainsi que dans les derniers articles de ce blog.

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LAPSUS  CALAMI

<< Mon Cher Confrère,   J'ai l'honneur de porter à votre connaissance que votre dossier de plainte a été totalement transmis au Conseil de la Ville de Paris où est inscrit le Docteur DENIS et que ce dossier a été transmis au Conseil Régional par le Conseil de Paris, ce qui démontre bien (?) notre impartialité et l'absence de mesure d'intimidation de notre part.
Votre opinion concernant notre conseiller rapporteur me paraît sans fondement puisque tous les faits que vous alléguez ne peuvent pas être pris en compte dans la mesure où le Conseil de Paris a été le rapporteur réel de cette affaire et a rédigé la délibération de transmission en toute indépendance. Nous n'avions d'ailleurs pas eu connaissance de la suite réservée à ce dossier jusqu'à votre visite au Conseil.
Je vous serais infiniment reconnaissant de considérer - et je vous le demande solennellement - qu'il n'y a eu dans l'étude de ce dossier aucune pratique indélicate, voire "répréhensible" et qu'il n'a jamais été question d'une quelconque animosité de la part de Confrères.
Il serait nécessaire que vous soyez plus conscient que l'honneur de la mission de l'Ordre départemental et sa réputation n'ont jamais été entachées d'aucune impartialité dans le cadre du respect de la déontologie et de l'éthique.
Restant à votre disposition, je vous prie de croire, mon cher Confrère, de mes sentiments distingués. >>
                                                                     Le Président
                                                       Docteur Jean POUILLARD

Jean Pouillard était en 1992 le président du CROM (Conseil Régional de l'Ordre des Médecins  du Val-de-Marne). Il s'était en tant que tel attaché, avec son acolyte le Dr. Patrice Bodenan°°° à me créer toutes sortes d'ennuis, ainsi qu'à Me Catherine Scotto-Derouet. qui avait pris notre défense. 

Pouillard en sera récompensé dans les années suivantes: il sera bombardé Rédacteur en Chef du Bulletin de l'Ordre des Médecins, et son acolyte Patrice Bodenan°°° prendra la tête du Conseil disciplinaire d'Ordre en Ile-de-France au début des années 2000.   

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23 novembre 2016 3 23 /11 /novembre /2016 09:02

Continuer d'obéir aux ordres du Chef de Service de me faire croire que le malade recevait réellement le traitement de la maladie de Biermer était criminel.

La Surveillante, madame Pondu, en infirmière expérimentée, avait comme moi fait le diagnostic de la maladie de mon père, resté depuis une dizaine de jours sans toucher à la nourriture alors qu'il était hospitalisé depuis le 22 août 1990 dans son Service, l'Unité de Soins Normalisés de l'hôpital Charles-Foix, à Ivry-sur-Seine, le Service dans lequel les neurologues du CHU de Bicêtre l'avaient  transféré  pour qu'il y finisse ses jours plutôt que dans le leur.

En essayant de le faire manger avec une petite cuillère madame Pondu vit que le malade avait développé une glossite de Hunter, une glossite caractéristique des carences vitaminiques B12 profondes, c'est-à-dire en pratique de la maladie de Biermer, une des principales causes des carences profondes en vitamine B12, un taux suffisant de vitamine B12 étant indispensable au bon fonctionnement du système nerveux, et à son intégrité et donc à la vie.

Madame Pondu en fit part au docteur Jean-Yves Beinis, le Chef de ce Service, mais celui-ci ne voulut rien entendre, craignant par dessus tout de déroger à des consignes provenant du Service de neurologie de l'hôpital Bicêtre. Aussi ne tînt-il aucun compte de son observation.

Ne voulant pas participer à ce qui se présentait comme une non assistance délibérée à personne en péril de mort, me sachant médecin, elle me fit part de la supercherie : suivre l'ordre qui leur avait été donné de ne faire que semblant devant moi d'administrer le traitement de la maladie de Biermer au malade.

Madame Pondu  envoya une de ses élèves me montrer le cahier des prescriptions médicamenteuses, me permettant ainsi de faire le nécessaire pour que le traitement de la maladie de Biermer lui soit réellement administré au malade .

Il était temps. Mon père avait sombré dans le coma et il était tout près de mourir.

Ce qui s'est passé ensuite est rapporté brièvement sur le Web au "blog de léon - une nuit vitaminée", et de manière plus circonstanciée sur les sites n° 34640255 et 108281777 html, ainsi que dans les derniers articles de ce blog et dans les suivants.

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LAPSUS  CALAMI

<< Mon Cher Confrère,   J'ai l'honneur de porter à votre connaissance que votre dossier de plainte a été totalement transmis au Conseil de la Ville de Paris où est inscrit le Docteur DENIS et que ce dossier a été transmis au Conseil Régional par le Conseil de Paris, ce qui démontre bien (?) notre impartialité et l'absence de mesure d'intimidation de notre part.
Votre opinion concernant notre conseiller rapporteur me paraît sans fondement puisque tous les faits que vous alléguez ne peuvent pas être pris en compte dans la mesure où le Conseil de Paris a été le rapporteur réel de cette affaire et a rédigé la délibération de transmission en toute indépendance. Nous n'avions d'ailleurs pas eu connaissance de la suite réservée à ce dossier jusqu'à votre visite au Conseil.
Je vous serais infiniment reconnaissant de considérer - et je vous le demande solennellement - qu'il n'y a eu dans l'étude de ce dossier aucune pratique indélicate, voire "répréhensible" et qu'il n'a jamais été question d'une quelconque animosité de la part de Confrères.
Il serait nécessaire que vous soyez plus conscient que l'honneur de la mission de l'Ordre départemental et sa réputation n'ont jamais été entachées d'aucune impartialité dans le cadre du respect de la déontologie et de l'éthique.
Restant à votre disposition, je vous prie de croire, mon cher Confrère, de mes sentiments distingués. >>
                                                                     Le Président
                                                       Docteur Jean POUILLARD

Jean Pouillard était en 1992 le président du CROM (Conseil Régional de l'Ordre des Médecins  du Val-de-Marne). Il s'était en tant que tel attaché, avec son acolyte le Dr. Patrice Bodenan°°° à me créer toutes sortes d'ennuis, ainsi qu'à Me Catherine Scotto-Derouet. qui avait pris notre défense. 

Pouillard en sera récompensé dans les années suivantes: il sera bombardé Rédacteur en Chef du Bulletin de l'Ordre des Médecins, et son acolyte Patrice Bodenan°°° prendra la tête du Conseil disciplinaire d'Ordre en Ile-de-France au début des années 2000.   

Interprétation psychanalytique du phénomène  

L'expérience de Standley Milgram  sur la soumission à l'autorité réalisée en 1963 pour essayer de comprendre comment des personnes aussi ordinaires qu'Adolf Eichmann avaient pu obéir sans rechigner et sans remords à des ordres aussi monstrueux qu'une exécution de masse ciblant des semblables a été popularisée depuis que la télévision française en a reproduit fictivement les modalités.

La notion (ou concept) de "consentement meurtié" développé par Marc Crépon n'en est qu'un aspect, de même la notion contestée de  "banalité du mal" exposée par Hannah Arendt.

Le Dr. Jean-Yves Beinis, comme exposé ci-après, s'était sans sourcilier autorisé à ne pas administrer à son malade le traitement qui lui était absolument nécessaire pour survivre cependant que celui-ci souffrait d'une affection mortelle sans son traitement spécifique, un syndrome neuro-anémique cliniquement évident, c'est-à-dire d'une affection à la fois très douloureuse, très angoissante et inéluctablement mortelle. 

Pourquoi s'était-il plié à de tels ordres?

C'est parce que ceux-ci lui avait été transmis depuis l'hôpital Bicêtre par l'Interne du Service de neurologie du professeur Gérard Saïd, m'a-t-il lui-même expliqué, et parce qu'il les considérait comme venant de supérieurs hiérarchiques, et donc ne pas leur obéir risquait de lui coûter des ennuis, tels ceux qui ont conduit le docteur Jean-Louis Megnien au suicide le 17 décembre 2015, n'avait-il pas ajouté, car son explication datait de mars 2011, alors qu'il était encore en fonction (la question se pose de savoir s'il aurait pu conserver son poste s'il avait désobéi ?).

Au lieu s'abattre sur lui les ennuis se sont abattus sur l’auteur du sauvetage fait en catastrophe sur ledit malade, c'est-à-dire sur moi.

Le docteur Beinis s'était interdit de chercher à comprendre ce que cachait de si meurtrières recommandations !  

Le médiatique docteur Michel Cymès est au courant de tout ceci, mais lui aussi se garde, et probablement pour les mêmes raisons que le docteur Beinis, de faire état de cette affaire, qui a pourtant conduit à reconnaître la découverte d'un important syndrome, celui de « syndrome de carence vitaminique B12 avec test de Schilling normal », une affection rebaptisée en 2003 « syndrome NDB12PP » (syndrome de Non Dissociation de la vitamine B12 de ses Protéines Porteuses), un syndrome  important par le nombre de malades concernés. Ils sont des dizaines de milliers - mais un syndrome à ce jour généralement méconnu du praticien lambda du fait même que le très couru  Magazine de la Santé, que le docteur Cymès anime avec sa consoeur Marina Carrère d’Encausse  fait exprès d'oublier (refuse) d'en parler.

C’est aussi que l’affaire renvoie aux nombreux assassinats de malades commis en 1997 au CHU de Mantes la Jolie par Christine Malèvre sous l’égide du docteur Olivier Ille, celui-là qui avait en août 1990 donné l’ordre au docteur Jean-Yves Beinis de ne faire que semblant d’administrer au malade qu’il venait de lui adresser le traitement de la maladie de Biermer, qui est aussi celui du syndrome NDB12PP, ce syndrome n’étant en fait  qu’une forme clinique de la maladie de Biermer, mais deux fois plus fréquente que celle-ci !

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20 novembre 2016 7 20 /11 /novembre /2016 07:15

Selon l'économiste médiatique François Lenglet, "mieux vaut avoir tort avec tout le monde que raison tout seul" (à "Grand Ecran", l'émission parlementaire, pour commenter un film sur le "New deal" et la relance économique des Etats-Unis en 1937).

Avoir eu raison tout seul m'est arrivé en août 1990 lorsque, en tant que médecin, devant une évidence clinique, celle à laquelle nous étions confrontés, j'ai formulé devant des neurologues en principe plus savants et expérimentés que moi exprimé l'hypothèse qu'il devait exister des cas dans lesquels ni la normalité  de la cobalaminémie (la mesure du taux de la vitamine B12 plasmatique) ni la normalité des résultats chiffrés du test de Schilling (un test qui servait jusqu'en 2003, avant qu'il ait été retiré du marcher, à mesurer le taux de l'absorption intestinale de la vitamine B12) n'étaient suffisants pour éliminer le diagnostic d'un syndrome neuro-anémique lié à la maladie d'un Biermer (aussi appelée anémie de Biermer). 

C'était l'impudente remarque que j'avais eu l'imprudence de formuler lorsque le 13 août 1990 le docteur Pascal Masnou m'a déclaré qu'il fallait renoncer au diagnostic de maladie de Biermer, le diagnostic de présomption qui avait été porté dans la soirée du mercredi 31 juillet 1990 aux "Lits-Portes" de l'hôpital Bicêtre, au vu de l'examen clinique et de l'hémogramme du malade.

Contre l'avis du docteur Masnou j'avais postulé devant lui qu'il ne fallait certainement pas tenir compte de ce que ni les  données  chiffrées du test de Schilling ni la mesure de la cobalaminémie qu'il avait fait pratiquer pour confirmer le diagnostic de syndrome neuro-anémique porté aux Lits-Portes, pour éliminer le diagnostic de maladie de Biermer, d'une part parce qu'il devait exister des formes cliniques de cette maladie compatibles avec un test de Schilling normal ET une cobalaminémie elle aussi normale, et d'autre part parce que le test de Schilling s'était montré cliniquement bénéfique dans les jours suivant sa passation, sa passation exigeant  l'administration d'une dose non négligeable, c'est-à-dire déjà thérapeutique , de vitaline B12. J'avais appliqué le principe élémentaire de la médecine qui dit que "la clinique prime le laboratoire".

C'était de ma part oublier qu'un autre principe, plus psychologique que médical - à moins de le tenir pour relevant de la psychiatrie - édicte qu'il n'y a de pire sourd que celui qui ne veut pas entendre, un principe qu'il m'avait fallu rappeler au professeur André Lienhart le 5 janvier 1996, lorsque aussi fit semblant de ne pas entendre - au sens de comprendre - ce que lui disais alors qu'il avait eu tout le temps de le faire en lisant le rapport que lui avait communiqué le doyen des Juges d'Instructions (*) 

J'avais en conséquence dit qu'il devait certainement s'agir d'un syndrome "para biermerien", un syndrome que j'avais devant lui dit de carence vitaminique B12 avec test de Schilling normal ET vitaminémie B12 normale, a maladie de Biermer étant à l'époque considérée à 80% la principale causse des syndromes neuro-anémiques, cependant que le syndrome de carence vitaminique B12 avec test de Schilling normal l'a depuis détrôné en passant à la seconde place (Cf. en bibliographie les nombreux articles publiés par Emmanuel Andrès & al. sur le sujet dans la presse médicale, et mis en ligne sur le Web)  

Pour en revenir au docteur Pascal Masnou et au  deuxième semaine d'août 1990 celui-ci était alors Chef de Clinique dans le Service de neurologie du professeur Gérard Saïd.

Les Lits-Portes du CHU de Bicêtre, c'est-à-dire le Service des Urgences, était alors dirigé par le professeur Jean-Paul Passeron. Les Urgentistes de ce Service avaient très logiquement demandé l'admission de mon père en neurologie plutôt qu'en hématologie à cause des troubles neurologiques très inquiétants que présentait leur malade. Ils sont rapportés en autres sur le sites Web n° 34640255 et 699701777 html.)

Il ne m'a par la suite jamais été possible d'avoir communication, malgré mes multiples demandes, du dossier d'hospitalisation de mon père aux Lits-Porte, pas plus que celui du professeur Gérard Saïd, au prétexte mensonger qu'ils avaient été "perdus".

Au CHU de Bicêtre le docteur Pascal Masnou est maintenant l'Assistant du Service de neurologie et préfère prendre la tangente dès qu'il m'aperçoit.

J’ignorais totalement en 1990 que le docteur Michel Serdaru, neurologue émérite de la Fédération Français de Neurologie avait sur cette possibilité la même opinion que moi.

Si  mes souvenirs sont bons, car le livre a vite disparu de la bibliothèque universitaire du CHU de Bicêtre, le docteur Serdaru l’a exprimée dans un précis paru l'année  suivante, en 1991, chez Flammarion Médecine Science intitulé « La maladie d’Alzheimer et autres démences », (un ouvrage collectif dirigé par les professeurs Jean-Jacques Hauw et Jean-Louis Signoret, un ouvrage de référence qui a mystérieusement disparu de la bibliothèque universitaire du CHU de Bicêtre, comme tant d'autres relatives au sujet, dont la prestigieuse Revue Archives of Neurology, dont le professeur Gérard Saïd a commandé le retrait au préteste que c'est "une très mauvaise Revue" (sic, voir infra au chapitre bibliographie)

Faisant suite aux roublardises du professeur Gérard Saïd, membre des plus éminents de l’IFREM, et de son non moins réputé vertueux Confrère le docteur François Chedru, bien secondés par le CNOM et le procureur Michel Barrau, j’ai fini par me retrouver, en 2009, à la rue et sans un kopeck, et donc dans l’incapacité de parfaire la connaissance que j’avais de l’existence d’un syndrome dont j’avais en fait initié la découverte en supposant probable son existence à partir de ce cas clinique, à mes yeux évident, ce syndrome neurologique que je prétendais, à raison et contre tous, parent de la maladie de Biermer, mais comme l'a rappelé François Lenglet "mieux vaut avoir tort avec tout le monde que raison tout seul".

L'ouvrage en question a aussi mystérieusement que rapidement disparu de la bibliothèque universitaire de l’hôpital Bicêtre, tout comme d’autres traités neurologiques relatifs à la question, notamment mais moins mystérieusement la prestigieuse collection de la Revue « Archives of Neurology », le professeur Gérard Saïd, membre éminent de l'IFREM, ayant expressément  commandé sa disparition des numéros existants de ses rayonnages après en avoir fait cesser l’abonnement en novembre 1997, parce que, m’avait-il expliqué, c’était « une très mauvaise Revue » (sic , cf. infra bibliographie NDB12PP)

L’IFREM est ou était l’Institut Français de Recherche en Ethique Médicale juive, émanation de la Revue Médica Judaïca, alors que le CNOM est, en France, avant Dieu, le très craint et Tout-Puissant Vengeur Conseil National de l’Ordre des Médecins, ses petits envoyés étant les docteurs Patrice Bodenan, Jean Pouillard et Pierre Brassart.

Mais l’IFREM existe-t-elle encore aujourd’hui ? On pouvait encore en 2011 savoir par Internet le nom des médecins qui y étaient affiliés, dont évidemment l’infrémique professeur Gérard Saïd.

Apparemment non ! puisqu’en recherchant à : www.institut-français-de-recherche-en-éthique-médicale, qui édite (ou éditait) Médica Judaïca, rien n’apparaît, de même que si on recherhe surle Web le Mémoire de DEA d’éthique médicale du docteur Patrice Bodenan intitulé « Problèmes éthiques posés par les Commissions de Conciliation hospitalières . sa publication a elle aussi disparue l’année dernière de sa mise en ligne sur  d’Internet, alors que son auteur en était si fier qu’il s’était dépêché de l’y faire paraître en 1999. Bodenan - qui éprouva on ne sait pourquoi le besoin de signer la lettre qu'il a adressé le 10 janvier 1994 au Secrétaire général de l'Ordre des médecins Bod°°° pour lui demander ma radiation - y soutenait que les directeurs d’établissements hospitaliers avaient pour premier devoir d’équilibrer les comptes de leur établissement, quand bien même ce pourrait être au détriment des patients (en 2004 les patients de l'AP - HP étaient  appelés « la clientèle » Cf . la fonction dévolue à madame Isabelle Pilot, sous-directrice de l’hôpital Bicêtre « chargée des relations de l’hôpital avec la clientèle »). L’intitulée de sa fonction était clairement placardé à l’entrée de son bureau, occupé aussi par madame Le Goff. Celle-ci fut à l’été 2004 témoin de l’accusation que sa supérieure porta à mon encontre, après qu’elle s’est montrée incapable de faire suite aux démarches auxquelles elle m’avait contraint pour que je puisse accéder au dossier soi-disant perdu de mon père hospitalisé en neurologie dans le Service du professeur Gérard Saïd, en l’occurrence l'accusation d’antisémitisme : « En réalité vous avez-vous-même ‘’fabriqué’’ (sic) la maladie de votre père par antisémitisme » (resic) Une accusation qui ne pouvait qu’avoir été élaborée d’un commun accord avec la direction de Bicêtre, voire avec celle de l’AP HP , par le professeur Gérard Saïd pour de multiples raisons. D’une part sans doute en raison de mon nom mais principalement du fait que mon père avait subi en avril 1984 une transfusion sanguine à l’époque quasiment toutes véhiculaient le VIH   et par suite le traitement mortel auquel mon père avait été exposé dans son Service et dans celui du docteur Jean-Yves Beinis.

Ledit traitement avait été  à l’instar des ‘’euthanasies’’ découvertes en 1997 par le docteure Laurence Kouyoumdjian, des euthanasies ciblant les malades de son ex Interne Olivier Ille, qui avait en 1990 intentionnellement ordonné au docteur Jean-Yves Beinis de s’abstenir de lui administrer un traitement salvateur, en l’ »occurrence celui de la maladie de Biermer en vue d’éviter qu’il puisse évoluer après son rétablissement vers un SIDA maladie avéré, donc de lui ôter, à lui comme à sa famille, c’est-à-dire à moi-même, qui suis médecin, la possibilité d’une mise en cause du CNTS et de Laurent Fabius. Un procès que pour père voulait intenter contre les médecins de la Clinique Léon Elmelik et contre Marc Méchain, le maire très sulfureux de l’Haÿ-les-Roses, très proche des Elmelik. Après avoir tenté de le spolier en profitant de sa très grande vulnérabilité psychologiques, en accord avec le maire, les médecins de la Clinique Léon Elmelik lui avaient subir une opération non seulement inutile illicite et surfacturée, mais réalisée contre les règles élémentaires de l’art chirurgical par le rhumatologue de leur établissement, qui se prenait et se faisait passer pour un chirurgien orthopédiste ! Le tout avec l’aval du Conseil de l’Ordre, l’Assurance Maladie de la CPAM et de la DRPS du Val de Marne (sous l’égide du docteur Garroust)

On pourra en principe se procurer le désopilant Mémoire du docteur Fabrice Bodenan °°° en en faisant la demande auprès de son mentor, le professeur Christian Hervé, au 45, de la rue des Saints-Pères à Paris (à l’Ecole de médecine donc ).

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Note * André Lienhart s'en était tellement inquiété qu'il avait téléphoné à ma sœur pour qu'elle vienne témoigner contre moi après qu'il a appris par je ne sais quel canal elle était violemment opposée à ce que son père puisse porter l'escroquerie dont il avait été victime devant la Justice.

Affaire à suivre …

Bibliographie relative à la découverte du NDB12PP

1 - 1978 Kolhouse & al, New Engl. J. Med. 299, 15, 787 - 792. "Cobalamin analogues are present in human plasma and can mask cobalamin defiency because current radioisotope dilution assays are not specifique for true cobalamin".

2 - 1987 Berger JR & al. Ann Intern Med. 107 : 78 "Progressive multifocal leukoencephalopathy associated with human immunodefiency virus infection".

3 - 1987 Ogier H. & al. éd. Masson "La cobalamine (vitamine B12), APECTS METABOLIQUES, GENETIQUES, NUTRITUIONNELS ET THERAPEUTIQUES"; 254-281.

4 - 1988 J. Lindebaum & al. N. Engl. J. of Med. "Neuropsychiatric disorders caused by cobalamin deficiency in the absence of anemia or macrocytosis"

5 - Arch Neurol 1991;48(3):312-314. "Abnormal vitamin B12 tabolism in human immunodeficiency virus infection : association with neurological dysfunction" (Accepted for publication September 5,1990).

6 - Arch Neurol 1992;49:501-506. "Plasma Vitamin B12 Level as a Potential Cofactor in Studies of Human Immunodeficiency Virus Type 1- Related Cognitive Changes".

7 - Arch Neurol 1993;50:807-811. Robertson et al. "Vitamin B12 Deficiency and Nervous System Disease in HIV Infection"

8 - JAMA 1993;269:1144-1153. "Preventive Health Care for Adults With HIV Infection"

9 - Arch Fam Med 1994;3:988-1002. "Human Immunodeficiency. Physician Guidelines, Advisory Group on HIV Second Edition"

10 - J. Nutr. 1997;127:345-351. "Low Serum Vitamin B-12 Concentrations Are Associated With Faster Human Immunodeficiency Virus Type 1 (HIV-1) Disease Progression".

11 - AIDS Clin Care 1998;1-1 "Peripheral Neuropathy in HIV Disease".

12 - Neurology 1999;53:592-592. "Prevalence of peripheral neuropathy in injection drug users"

13 - Arch Neurol 1999;56:84-89. "Peripheral Nerve Function in HIV Infection: Clinical, Electrophysiologic, and Laboratory Findings"

14 - Pediatrics 2000;106:35e-35. "Distal Sensory Polyneuropathy in a Cohort of HIV-Infected Children Over Five Years of Age"

15 - Neurology 2002;58:730-735. "Abnormal cobalamin-dependent transmethylation in AIDS-associated myelopathy"

16 - Revue de Médecine Interne 2003;24 (4): 218-223. "Carence en vitamine B12 avec test de Schilling normal ou syndrome de non dissociation de la vitamine B12 de ses protéines porteuses chez le sujet âgé. Etude de 60 patients".

17* - Arch Neurol. 2003;60(10):1457-62.) "Neuropsychiatric disturbances in presumed late-onset cobalamin C disease". (E. Roze, D. Gervais, S.Demeret, H. Ogier de Baulny, J. Zittoun, J.-F. Benoist, G. Saïd, C. Pierrot-Deseilligny, F. Bolgert)

18 - L' Encéphale, décembre 2003 Vol 29 (6), p. 560 - 565. "Délire Capgras chez une patiente de 64 ans atteinte d'une maladie de Biermer". ( C. Durand; S. Mary; P. Brazo; S. Dollfus).

................................................................................

NB : En novembre 1997 le Professeur Saïd fit disparaître tous le numéros de la Revue Archives of Neurology des rayons de la Bibliothèque universitaire du CHU Bicêtre et cesser l'abonnement à cette Revue au prétexte que c'était une "très mauvaise Revue" (sic) cependant qu'il fit six plus tard des pieds et des mains pour pouvoir y cosigner un article au côté des Drs. Hélène Ogier de Baulny et Jacqueline Zittoun.

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20 novembre 2016 7 20 /11 /novembre /2016 06:54

Bien que le docteur Pascal Masnou m'ait déclaré le 13 août 1990 qu'il fallait renoncer au diagnostic de maladie de Biermer, le diagnostic de présomption qui avait été porté dans la soirée du mercredi 31 juillet aux "Lits-Portes" de l'hôpital Bicêtre, au vu de l'examen clinique et de l'hémogramme du malade, j’avais postulé devant lui qu'il ne fallait certainement pas tenir compte de ce que ni test de Schilling ni la mesure de la cobalaminémie (la vitaminémie B12) qu'il avait fait pratiquer pour confirmer le diagnostic de syndrome neuro-anémique porté aux Lits-Portes pour éliminer le diagnostic de maladie de Biermer.

 Je lui avais dit qu'il devait exister des formes cliniques de cette maladie compatibles avec un test de Schilling normal ET une cobalaminémie elle aussi normale, et d'autre part parce que le premier principe de la médecine énonce que "la clinique prime le laboratoire". Je lui avais dit qu'il devait certainement s'agir d'un syndrome "parabiermerien", et l'avais devant lui appelé syndrome de carence vitaminique B12 avec test de Schilling normal ET vitaminémie B12 normale (La maladie de Biermer était à l'époque considérée à 80% la principale causse des syndromes neuro-anémiques).

On était alors dans la deuxième semaine d'août 1990. Le docteur Masnou était alors Chef de Clinique dans le Service de neurologie du professeur Gérard Saïd.

Les Lits-Portes du CHU de Bicêtre, c'est-à-dire le Service des Urgences, était alors dirigé par le professeur Jean-Paul Passeron. Les Urgentistes de ce Service avaient très logiquement demandé l'admission de mon père en neurologie plutôt qu'en hématologie à cause des troubles neurologiques très inquiétants que présentait leur malade. Ils sont rapportés en autres sur le site Web n° 699701777 html.

Il ne m'a par la suite jamais été possible d'avoir communication, malgré mes multiples demandes, du dossier d'hospitalisation de mon père aux Lits-Porte, pas plus que celui du professeur Gérard Saïd, au prétexte mensonger qu'ils avaient été "perdus".

Au CHU de Bicêtre le docteur Pascal Masnou est maintenant l'Assistant du Service de neurologie et préfère prendre la tangente dès qu'il m'aperçoit.

J’ignorais totalement en 1990 que le docteur Michel Serdaru, neurologue émérite de la Fédération Français de Neurologie avait sur cette possibilité la même opinion que moi. Il l’a exprimé en 1991 dans un précis paru chez Flammarion Médecine Science intitulé « La maladie d’Alzheimer et autres démences », (un ouvrage collectif dirigé par les professeurs Jean-Jacques Hauw et Jean-Louis Signoret, un ouvrage de référence qui a mystérieusement disparu de la bibliothèque universitaire du CHU de Bicêtre, comme tant d'autres relatives au sujet, dont la prestigieuse Revue Archives of Neurology, dont le professeur Gérard Saïd a commandé le retrait au préteste que c'est "une très mauvaise Revue" (sic, voir infra au chapitre bibliographie)

Faisant suite aux roublardises du professeur Gérard Saïd, membre des plus éminents de l’IFREM, et de son non moins réputé vertueux Confrère le docteur François Chedru, bien secondés par le CNOM et le procureur Michel Barrau, j’ai fini par me retrouver, en 2009, à la rue et sans un kopeck, et donc dans l’incapacité de parfaire la connaissance que j’avais de l’existence d’un syndrome dont j’avais initié la découverte en supposant probable son existence à partir de ce cas clinique, à mes yeux évident, de ce syndrome neurologique que je prétendais à raison et contre tous parent de la maladie de Biermer (c'est aussi que, selon l'économiste médiatique François Lenglet, invité par Emilie Aubry à "Grand Ecran", sur LCP, l'émission parlementaire, "mieux vaur avoir tort avec tout le monde que raison tout seul". a

L'ouvrage en question aussi mystérieusement que rapidement disparu de la bibliothèque universitaire de l’hôpital Bicêtre, tout comme d’autres traités neurologiques relatifs à la question, notamment la prestigieuse collection de la Revue « Archives of Neurology », dont le professeur Gérard Saïd a commandé la disparition des numéros existants des rayonnages après en avoir fait cesser l’abonnement en 1997, parce que, m’avait-il expliqué, c’était « une très mauvaise Revue » (sic , cf. infra bibliographie NDB12PP )

L’IFREM est ou était l’Institut Français de Recherche en Ethique Médicale juive, émanation de la Revue Médica Judaïca, alors que le CNOM est, en France, avant Dieu, le très craint et Tout-Puissant Vengeur Conseil National de l’Ordre des Médecins, ses petits envoyés étant les docteurs Patrice Bodenan, Jean Pouillard et Pierre Brassart.

Mais l’IFREM existe-t-elle encore aujourd’hui ? On pouvait encore en 2011 savoir par Internet le nom des médecins qui y étaient affiliés, dont évidemment l’infrémique professeur Gérard Saïd.

Apparemment non ! puisqu’en recherchant à : www.institut français de recherche en éthique médicale juive, qui édite (qui éditait) Médica Judaïca , rien n’apparaît, de même que si on recherche aussi sur Interner le Mémoire de DEA, d’éthique médicale du docteur Patrice Bodenan intitulé « Problèmes éthiques posés par les Commissions de Conciliation hospitalières » , sa publication a elle aussi disparue l’année dernière d’Internet, alors que son auteur en était en 1999 si fier qu’il s’était dépêché de l’y faire paraître .

Il y soutenait que les directeurs d’établissements hospitaliers avaient pour premier devoir d’équilibrer les comptes de leur établissement, quand bien même ce pourrait être au détriment des patients, à l’époque dénommés « la clientèle » Cf . la fonction dévolue à madame Isabelle Pilot, sous-directrice de l’hôpital Bicêtre « chargée des relations de l’hôpital avec la clientèle » (sic). L’intitulée de sa fonction était clairement placardé à l’entrée de son bureau, occupé aussi par madame Le Goff. Celle-ci fut à l’été 2004 témoin de l’accusation que sa supérieure porta à mon encontre, après qu’elle s’est montrée incapable de faire suite aux démarches auxquelles elle m’avait contraint pour accéder au dossier soi-disant perdu de mon père hospitalisé en neurologie dans le Service du professeur Gérard Saïd, en l’occurrence d’antisémitisme : « En réalité vous avez-vous-même ‘’fabriqué’’ (sic) la maladie de votre père par antisémitisme » (resic) Une accusation qui ne pouvait qu’avoir été élaborée d’un commun accord avec la direction de Bicêtre, voire avec celle de l’AP HP , par le professeur Gérard Saïd pour de multiples raisons. D’une part sans doute en raison de mon nom mais principalement du fait que mon père avait subi en avril 1984 une transfusion sanguine à l’époque quasiment toutes véhiculaient le VIH le traitement mortel auquel mon père avait été exposé dans son Service et dans celui du docteur Jean-Yves Beinis l’avait été intentionnellement , à l’instar des ‘’euthanasies’’ découvertes en 1997 par le docteure Laurence Kouyomdjian, ces euthanasies ciblant les malades de son ex Interne Olivier Ille, qui avait en 1990 intentionnellement ordonné au docteur Jean-Yves Beinis de s’abstenir de lui administrer un traitement salvateur, en l’ »occurrence celui de la maladie de Biermer en vue d’éviter qu’il puisse évoluer après son rétablissement vers un SIDA maladie avéré, donc de lui ôter, à lui comme à sa famille, c’est-à-dire à moi-même, qui suis médecin, la possibilité d’une mise en cause du CNTS et de Laurent Fabius. Un procès que pour père voulait intenter contre les médecins de la Clinique Léon Elmelik et contre Marc Méchain, le maire très sulfureux de l’Haÿ-les-Roses, très proche des Elmelik. Après avoir tenté de le spolier en profitant de sa très grande vulnérabilité psychologiques, en accord avec le maire, les médecins de la Clinique Léon Elmelik lui avaient subir une opération non seulement inutile illicite et surfacturée, mais réalisée contre les règles élémentaires de l’art chirurgical par le rhumatologue de leur établissement, qui se prenait et se faisait passer pour un chirurgien orthopédiste ! Le tout avec l’aval du Conseil de l’Ordre, l’Assurance Maladie de la CPAM et de la DRPS du Val de Marne (sous l’égide du docteur Garroust)

On pourra en principe se procurer le désopilant Mémoire du docteur Fabrice Bodenan °°° en en faisant la demande auprès de son mentor, le professeur Christian Hervé, au 45, de la rue des Saints-Pères à Paris (à l’Ecole de médecine donc ).

Affaire à suivre …

Bibliographie relative à la découverte du NDB12PP

1 - 1978 Kolhouse & al, New Engl. J. Med. 299, 15, 787 - 792. "Cobalamin analogues are present in human plasma and can mask cobalamin defiency because current radioisotope dilution assays are not specifique for true cobalamin".

2 - 1987 Berger JR & al. Ann Intern Med. 107 : 78 "Progressive multifocal leukoencephalopathy associated with human immunodefiency virus infection".

3 - 1987 Ogier H. & al. éd. Masson "La cobalamine (vitamine B12), APECTS METABOLIQUES, GENETIQUES, NUTRITUIONNELS ET THERAPEUTIQUES"; 254-281.

4 - 1988 J. Lindebaum & al. N. Engl. J. of Med. "Neuropsychiatric disorders caused by cobalamin deficiency in the absence of anemia or macrocytosis"

5 - Arch Neurol 1991;48(3):312-314. "Abnormal vitamin B12 tabolism in human immunodeficiency virus infection : association with neurological dysfunction" (Accepted for publication September 5,1990).

6 - Arch Neurol 1992;49:501-506. "Plasma Vitamin B12 Level as a Potential Cofactor in Studies of Human Immunodeficiency Virus Type 1- Related Cognitive Changes".

7 - Arch Neurol 1993;50:807-811. Robertson et al. "Vitamin B12 Deficiency and Nervous System Disease in HIV Infection"

8 - JAMA 1993;269:1144-1153. "Preventive Health Care for Adults With HIV Infection"

9 - Arch Fam Med 1994;3:988-1002. "Human Immunodeficiency. Physician Guidelines, Advisory Group on HIV Second Edition"

10 - J. Nutr. 1997;127:345-351. "Low Serum Vitamin B-12 Concentrations Are Associated With Faster Human Immunodeficiency Virus Type 1 (HIV-1) Disease Progression".

11 - AIDS Clin Care 1998;1-1 "Peripheral Neuropathy in HIV Disease".

12 - Neurology 1999;53:592-592. "Prevalence of peripheral neuropathy in injection drug users"

13 - Arch Neurol 1999;56:84-89. "Peripheral Nerve Function in HIV Infection: Clinical, Electrophysiologic, and Laboratory Findings"

14 - Pediatrics 2000;106:35e-35. "Distal Sensory Polyneuropathy in a Cohort of HIV-Infected Children Over Five Years of Age"

15 - Neurology 2002;58:730-735. "Abnormal cobalamin-dependent transmethylation in AIDS-associated myelopathy"

16 - Revue de Médecine Interne 2003;24 (4): 218-223. "Carence en vitamine B12 avec test de Schilling normal ou syndrome de non dissociation de la vitamine B12 de ses protéines porteuses chez le sujet âgé. Etude de 60 patients".

17* - Arch Neurol. 2003;60(10):1457-62.) "Neuropsychiatric disturbances in presumed late-onset cobalamin C disease". (E. Roze, D. Gervais, S.Demeret, H. Ogier de Baulny, J. Zittoun, J.-F. Benoist, G. Saïd, C. Pierrot-Deseilligny, F. Bolgert)

18 - L' Encéphale, décembre 2003 Vol 29 (6), p. 560 - 565. "Délire Capgras chez une patiente de 64 ans atteinte d'une maladie de Biermer". ( C. Durand; S. Mary; P. Brazo; S. Dollfus).

................................................................................

NB : En novembre 1997 le Professeur Saïd fit disparaître tous le numéros de la Revue Archives of Neurology des rayons de la Bibliothèque universitaire du CHU Bicêtre et cesser l'abonnement à cette Revue au prétexte que c'était une "très mauvaise Revue" (sic) cependant qu'il fit six plus tard des pieds et des mains pour pouvoir y cosigner un article au côté des Drs. Hélène Ogier de Baulny et Jacqueline Zittoun.

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17 novembre 2016 4 17 /11 /novembre /2016 11:48

English  : Donald Trump says that France is on the decline.

It must be true, because in 1986, regarding its natural resources, Danemark espected France to be at 2000  the first economic power in Europe, but the danish  conjecture did not take into account that France is much more than Denmark a corrupted country, reaching the thirty-seventh rank among 43 European countries, while Denmark ranks the first, and as everyone nows, corruption has a very high cost.

Immadiatly after the last world war the corruption was less because of the purgation.

So it is not so amaising that when François Hollande now says that french magistrates are cowards and corrupted, a lot of politian are protesting against him when he got telling the truth.

At the same time, France has solutions, but France is unable to sell them. 
 
French : Donald Trump prétend  que la France est sur le déclin. En 1986, en ce qui concerne ses ressources naturelles, le Danemark a estimé que la France sera en l'an  2000 la première puissance économique en Europe, mais la conjecture danoise ne prenait pas en compte que la France est bien plus que le Danemark un pays corrompu, avec une  justice  classée  en 2014  au trente-septième rang des 43 pays européens, tandis que celle du  Danemark est classée au premier. Or chacun devrait savoir  que la corruption a un coût très élevé.

Dans les années qui ont fait suite à  la dernière guerre mondiale, la corruption était moindre dans la mesure où  l'épuration avait écarté quelques  mauvaises graines des instances dirigeantes.

Elles se sont réinstallées aux commandes. Il n'est donc pas  étonnant que François Hollande puisse maintenant dire que les magistrats français sont lâches et corrompus, et que que nombreux soient  politiciens qui hurlent à l'infamie quand il ose dire la vérité.

 La France a certes des attouts majeurs, mais ses dirgeants préfèrent ne pas s'en servir pour ne pas faire de l'ombre à des intérêts catégoriels, quittent à lui faire faire du surplace.

Un surplace qui insupporte un certain Emmanuel  Macron, qui voudrait faire remarcher la France cependant qu'un concurrent voudrait d'abord la remettre debout.

Je pourrais pour ce faire leur proposer le STSMC, mais à la suite des roublardises  d’un des membres les plus  éminents de  l’IFREM, à savoir le professeur  Gérard Saïd, et de son réputé vertueux  Confrère le docteur François Chedru, bien secondés par le CNOM et le procureur Michel Barrau,  j’ai fini par me retrouver,  en 2009, à la rue et sans un kopeck, et donc  dans l’incapacité de parfaire  la connaissance  que j’avais de l’existence d’un syndrome dont  j’avais initié la découverte en supposant  probable son existence à partir d’un cas clinique à mes yeux évident, un syndrome neurologique que je prétendais parent de la maladie de Biermer.  

Je l’avais, en août 1990, postulée devant les neurologues de son Service, l’intitulant « syndrome  de carence vitaminique B12 avec test de Schilling normal  ET vitaminémie B12 normale ».

 J’ignorais alors totalement que le docteur Michel Serdaru, de la Fédération Français de Neurologie avait sur cette possibilité la même opinion que moi, puisqu’il l’a exprimé en 1991 dans un précis paru chez Flammarion  Médecine Science intitulé « La maladie d’Alzheimer et autres démences », (un ouvrage collectif dirigé par les professeurs Jean-Jacques Hauw et Jean-Louis Signoret. Il a mystérieusement disparu de la bibliothèque universitaire de l’hôpital Bicêtre, tout comme d’autres ouvrages relatifs à la question, notamment la prestigieuse collection de la Revue  « Archives of Neurology », que le professeur Gérard Saïd a fait disparaître des rayonnages après en avoir fait cesser l’abonnement en 1997, parce que, m’avait-il fait savoir, c’était « une très mauvaise Revue » (sic , cf. sur ce site «  bibliographie  NDB12PP »)

L’IFREM  est ou était l’Institut  Français de Recherche en Ethique Médicale juive, émanation de la Revue Médica Judaïca, alors que le CNOM est, en France, avant  Dieu, le très craint et Tout-Puissant  Vengeur   Conseil National de l’Ordre des Médecins, ses petits envoyés étant les docteurs  Patrice Bodenan,  Jean Pouillard et Pierre Brassart.    

Mais l’IFREM existe-t-elle encore aujourd’hui ?  On pouvait encore en 2011 savoir par Internet  le nom des médecins qui y étaient affiliés, dont évidemment  l’infrémique  professeur Gérard Saïd.   

Apparemment  non , puisque si je recherche à : institut français de recherche en éthique médicale juive éditeur de médica judaïca rien n’apparaît, de même que le Mémoire de DEA d’éthique médicale du docteur Patrice Bodenan  en 1999 intitulé « Problèmes éthiques posés par les Commissions de Conciliation hospitalières » , a lui aussi disparu, seulement  l’année dernière d’Internet, alors que son auteur en était si fier qu’il s’était dépêché de l’y faire paraître ;

On pourra en principe se le procurer en en faisant la demande auprès de son mentor, le professeur Christian Hervé, au 45, de la rue des Saints-Pères à Paris  (à l’Ecole de médecine).    

Bibliographie relative à la découverte du NDB12PP

1 - 1978 Kolhouse & al, New Engl. J. Med. 299, 15, 787 - 792. "Cobalamin analogues are present in human plasma and can mask cobalamin defiency because current radioisotope dilution assays are not specifique for true cobalamin".

2 - 1987 Berger JR & al. Ann Intern Med. 107 : 78 "Progressive multifocal leukoencephalopathy associated with human immunodefiency virus infection".

3 - 1987 Ogier H. & al. éd. Masson "La cobalamine (vitamine B12), APECTS METABOLIQUES, GENETIQUES, NUTRITUIONNELS ET THERAPEUTIQUES"; 254-281.

4 - 1988 J. Lindebaum & al. N. Engl. J. of Med. "Neuropsychiatric disorders caused by cobalamin deficiency in the absence of anemia or macrocytosis"

5 - Arch Neurol 1991;48(3):312-314. "Abnormal vitamin B12 tabolism in human immunodeficiency virus infection : association with neurological dysfunction" (Accepted for publication September 5,1990).

6 - Arch Neurol 1992;49:501-506. "Plasma Vitamin B12 Level as a Potential Cofactor in Studies of Human Immunodeficiency Virus Type 1- Related Cognitive Changes".

7 - Arch Neurol 1993;50:807-811. Robertson et al. "Vitamin B12 Deficiency and Nervous System Disease in HIV Infection"

8 - JAMA 1993;269:1144-1153. "Preventive Health Care for Adults With HIV Infection"

9 - Arch Fam Med 1994;3:988-1002. "Human Immunodeficiency. Physician Guidelines, Advisory Group on HIV Second Edition"

10 - J. Nutr. 1997;127:345-351. "Low Serum Vitamin B-12 Concentrations Are Associated With Faster Human Immunodeficiency Virus Type 1 (HIV-1) Disease Progression".

11 - AIDS Clin Care 1998;1-1 "Peripheral Neuropathy in HIV Disease".

12 - Neurology 1999;53:592-592. "Prevalence of peripheral neuropathy in injection drug users"

13 - Arch Neurol 1999;56:84-89. "Peripheral Nerve Function in HIV Infection: Clinical, Electrophysiologic, and Laboratory Findings"

14 - Pediatrics 2000;106:35e-35. "Distal Sensory Polyneuropathy in a Cohort of HIV-Infected Children Over Five Years of Age"

15 - Neurology 2002;58:730-735. "Abnormal cobalamin-dependent transmethylation in AIDS-associated myelopathy"

16 - Revue de Médecine Interne 2003;24 (4): 218-223. "Carence en vitamine B12 avec test de Schilling normal ou syndrome de non dissociation de la vitamine B12 de ses protéines porteuses chez le sujet âgé. Etude de 60 patients".

17* - Arch Neurol. 2003;60(10):1457-62.) "Neuropsychiatric disturbances in presumed late-onset cobalamin C disease". (E. Roze, D. Gervais, S.Demeret, H. Ogier de Baulny, J. Zittoun, J.-F. Benoist, G. Saïd, C. Pierrot-Deseilligny, F. Bolgert)

18 - L' Encéphale, décembre 2003 Vol 29 (6), p. 560 - 565. "Délire Capgras chez une patiente de 64 ans atteinte d'une maladie de Biermer". ( C. Durand; S. Mary; P. Brazo; S. Dollfus).

.........................................................................................

NB : En novembre 1997 le Professeur Saïd fit disparaître tous le numéros de la Revue Archives of Neurology des rayons de la Bibliothèque universitaire du CHU Bicêtre et cesser son abonnement à cette Revue au prétexte que c'était une "très mauvaise Revue" (sic) cependant qu'il fit des pieds et des mains pour pouvoir six ans plus tard y cosigner un article au côté des Drs. Hélène Ogier de Baulny et Jacqueline Zittoun.

 

 

 

 

 
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