<< En France, de toute façon, il n'y a pas de justice >> , m'avait tout de suite confié Maître Annick Dorsner-Dolivet en novembre 1993 sans pourtant s'être concertée avec Maître Catherine Scotto-Derouet, qui, l'année précédente, m'avait d'entrée de jeu fait exactement la même remarque.
Toutes les deux l’avaient formulée avant même de prendre connaissance du très grave problème dont j'étais venu les entretenir.
Leur remarque préfigurait en quelque sorte ce que le Président François Hollande a dit et pense de la magistrature. Ses propos été récemment publiés par deux journalistes du journal Le Monde, Des propos qu'il aurait, paraît-il, dû taire (Cf. "Un président ne devrait pas dire ça") ;
Le Président de la République sait ce qu'il en est. De par ses fonctions il est, le premier magistrat de France, et, en dehors de moi et de ceux à qui les problèmes que posent ce qu'on appelle pudiquement les "dysfonctionnements de la Justice", nombreux sont les justiciables gravement floués par ces "dysfonctionnements » qui se sont en désespoir de cause adressés à lui pour s'en plaindre (Cf. p. ex. encore récemment l’ingénieur et entrepreneur Richard Armenantes, qui a été jusqu'à réclamer, comme je l'avais fait moi-même, la désignation d'une enquête parlementaire, recourant, toujours en désespoir de cause, à Internet pour le faire savoir.
François Hollande m'avait d'ailleurs répondu au sujet du (des) problème que j'avais soumis aux susdites avocates.
Alors que l'une d'elle m'avait fait savoir que "rien ne lui faisait peur", elles s’en étaient montrées effrayées après qu'elles se sont rendu compte de la très (ou trop) grande gravité des exactions commises, les médecins en cause bénéficiant nécessairement de "hautes protections", premièrement pour avoir osé les commettre, et deuxièmement pour ne jamais avoir fait l'objet de poursuites pénales après les avoir commises.
Dès septembre 1990 le docteur André Souche, sous- directeur à la DRPS du Val-de-Marne, me l’avait fait comprendre, avant même qu’en janvier 1991 le Commandant Christian Raeckelboom, au Commissariat de La Haÿ-les-Roses, me le signale plus explicitement (voir le site-Web n° 34640255 html chapitre II § 5 et plus brièvement au 108281777 html).
Une seule plainte avait pu aboutir à une condamnation … civile ! ai-je appris plus tard, en 1994, de la part d'un Confrère Conseiller municipal qui exerçait à l’époque à L'Haÿ-les-Roses.
Quand j’en ai fait part à François Hollande, il n'était encore que le Secrétaire général du Parti Socialiste. Il m'avait répondu qu'il ne lui était pas possible, en tant que tel, de remédier à ce dont le Conseil de l'Ordre des Médecins et la Justice s'étaient fait les complices (Cf.infra).
Je m'étais plus tard - en 2007 – 2008 - de même adressé à Nicolas Sarkozy parce qu’il qui avait déclaré impossible l'enterrement des « affaires sensibles » depuis l'avènement d'Internet, ainsi qu’à madame Roselyne Bachelot-Narquin, ministre de la Santé, qui a botté en touche en se contentant de me communiquer le numéro de téléphone du 14 avenue Duquesne, comme si je n’avais pas été capable de le trouver tout seul et sans comprendre - ou plutôt sans vouloir comprendre - que ce n'était surtout pas ce qu'il fallait faire puisque ce Ministère était non seulement concerné, mais gravement en cause dans l'inavouable occultation des exactions dont j’avais à me plaindre – des exactions qui furent suivies en d’une tentative d’assassinat perpétrée au sein même de l'AP – HP, soit pour « couvrir » ces exactions de façon à empêcher le malade (mon père) qui en avait fait lourdement les frais physiques et financiers de porter plainte après qu’il s’en était sorti vivant, soit parce qu’il avait été transfusé en 1984 à l’hôpital Saint-Louis à une époque ou quasiment toutes les transfusions étaient contaminées par le VIH, soit pour ces deux « raisons » là (Cf. infra et les assassinats commis Christine Malèvre sous l'égide du même médecin, Olivier Ille au CHU de Mantes la Jolie, sinon dans d'autres structures hospitalières - hôpitaux et/ou Cliniques, telle p. ex. et entre autres la Clinique Léon Elmelik à La Haÿ-les-Roses. Des assassinats courageusement dénoncés en 1997 par le docteure Laurence Kouyoumdjian. Son signalement fit qu'ils ont dès lors cesser, mais cela ne lui valut aucune reconnaissance, bien au contraire : au lieu d’être félicitée, et elle fut priée de déguerpir alors que le docteur Olivier Ille, qui s’était bien gardé de les dénoncer, est toujours en poste. Ce dont aucun journaliste, à ma connaissance, ne s'est ému, ni même étonné !
Je m'étais aussi adressé Fadela Amara quand elle a été nommée à la tête de l'IGAS (www.blog-de-léon-fadela-amara), et à François Copé du temps où il présidait l'UMP, du temps ou il espérait d'être un jour élu la Présidence de la République. François Copé s'était contenté de renvoyer l'épineux problème à madame Nora Berra, qui bien sûr fit, comme madame Bachelot, la sourde oreille.
De même à l'ex directeur de la Santé Jean de Kervasdoué l'année où il était venu exposer à l'Espace Ethique de l'AP - HP l'excellence de la Suède en matière de santé public.
Le professeur Bernard Debré est très au courant des problèmes que posent ces exactions. Je les lui ai exposées de façon concrètes et documentées, et il en a bien pris connaissance, d’autant que je lui avais à l’occasion fait connaître la découverte du syndrome NDB12PP, dont il paraissait méconnaître l’existence encore en 2012 malgré son importance clinique (Cf. infra). Mais e professeur Debré était lui-même en butte avec le Conseil de l’Ordre des Médecins depuis la publication de son livre sur la liste des 4000 médicaments utiles, inutiles, ou dangereux, mais qui montre combien le syndrome NDB12PP reste méconnu.
Le silence des élites
Une émission de France 5, diffusée le 16 octobre dernier, (C. POLÉMIQUE) déplore l'existence en France de zones de non-droit.
En France 3,1 % des décès font suite à un acte visant délibérément à abréger la vie, écrit en 2014 le docteure Nicole Delépine.
Autrement dit, ces décès font suite à des assassinats médicalisés, et ces assassinats ne sont quasiment jamais sanctionnés par la Justice, quand bien même celle-ci quand celle-ci en a parfaitement connaissance.
La Justice n'est pas faite en France pour rendre la justice, mais pour "maintenir l'ordre public".
C'est ce qu'a rappelé un magistrat il y a quelques années (Denis Salas sur France Culture),
Les procureurs sont là pour "défendre les intérêts généraux de la société", rappelle Maîtres My-Kim Yang-Paya et Céline Marcovici dans "Le guide Juridique des femmes victimes de violences", publié il ya moins d'un an .
J'avais moi-même expérimenté au sujet d'un malade, en l'occurrence mon père, que j'avais, en tant que médecin, in extremis réussi à sauver malgré l'obstination forcenée de ses médecins neurologues à le faire trépasser quand il ont ordonné à leurs subordonnés de ne faire que semblant d'administrer à leur malade le traitement, d'ailleurs extrêmement simple et très peu onéreux - le prix de deux paquets de cigarettes, nécessaire à sa survie et à son rétablissement ad integrum, au prétexte controuvé qu'il était atteint de la maladie d' Alzheimer et d'une encéphalopathie vasculaire, et "voué à une inéluctable plus grande dégradation" (ou "plus grande aggravation", je ne me rappelle plus lequel des deux termes ils avaient employés) le tout officiellement et vaguement baptisé "ATTEINTE DIFFUSE DU SYSTEME NERVEUX" (sic, cf. leur compte-rendu savamment bidonné au site-Web n° 69970222 html et la réalité sur le site 69972429 html, encore que cette vague appellation puisse désigné une LEMP, c'est-à-dire une Leuco-Encéphalopathie Multifocale Progressive, qui de toute façon aurait relevé du même traitement, selon la littérature médicale publiée par la Revue de référence qu'est "Archives of Neurology", une Revue que le professeur Gérard Saïd fit interdire de publication à la bibliothèque Universitaire de l'Hôpital Bicêtre au prétexte que c'était une très mauvaise Revue (sic, cf. infra le chapitre "Bibliographie" ).
J'avais quant à moi commis la faute impardonnable, aux yeux des autorités judiciaires et du Conseil de l'Ordre des médecins, de ne pas avoir été d'accord avec ces neurologues en lui l'aider à signaler les faits aux autorités judiciaires en réunissant pour lui les preuves matérielles de ce qui s'était passé après qu'il s'est sorti vivant, mais non indemne, de cette tentative de meurtre, celle-ci l'ayant laissé très lourdement handicapé sur le plan moteur (ses médecins avaient fait semblant de confondre son état avec la maladie d'Alzheimer pour lui refuser le traitement approprié à sa maladie, en l'occurrence le traitement, très simple, de la maladie de Biermer)
Ceux-ci ont bénéficié d'un non-lieu malgré les nombreuses preuves tangibles parce que leur tentative de meurtre, très savamment préméditée et programmée pour passer inaperçue s'inscrivait dans ce que le Ministère public a considéré correspondre aux intérêts généraux de la société, ledit malade ayant subi une transfusion sanguine en avril 1984 à l'hôpital Saint-Louis, à une époque où quasiment toutes les transfusions sanguines étaient empoisonnées par le VIH. Six ans plus il parut à l'équipe qui soignait ce malade préférable de faire semblant lui administrer le traitement salvateur, en l'occurrence celui de la maladie de Biermer, après avoir, pour se couvrir, falsifié les résultats des tests servant à sa mise en évidence
La responsabilité de l'Etat y étant associée, ce type d'exaction hospitalière était implicitement autorisé, voire encouragé, si bien que l'affaire à donné lieu à "non-lieu" requis par Michel Barrau au nom du Ministère public .
C'est ainsi sauvetage qui m'a valu les persécutions des responsables, qui ont fait alliance (au sens biblique du terme) avec l'ennemi héréditaire, à savoir l'Ordre des médecins.
Il n'y pas là matière à s'étonner, car c'est une affaire de mentalité, la française s'attachant à protéger les citoyens les plus fortunés, quand bien même ce serait au détriment de la santé des autres, comme en témoigne, entre autres, l'affaire du Médiator, mais beaucoup plus celle du sang contaminé, où ce sont des ministères qui sont en cause.
Ainsi des assassinats de malades au CHU de Mantes la Jolie. Déguisés en "euthanasies" ils avaient été réalisés non pas pour des raisons compassionnelles, comme on aurait aimé qu'ils aient parus, mais pour des raisons économiques, les "circonstances" s'y prêtant : les médecins pensaient que la famille n'y verrait que du feu, ou n'y trouverait rien à redire parce qu'elle s'en trouverait soulagée, les malades étant âgés, très gravement malades et vraiment embarrassants.
Ce sont ce que j'ai précédemment appelé des "euthanasies économiques".
Economiques pour le CNTS, l'Assurance Maladie et l'AP - HP, donc l'Etat, et par là "licites" !
Que reprocher alors aux avocat(e)s qui trahissent en sabotant délibérément la Partie Civile parce qu'ils ou elles préfèrent ne pas être obligé(e)s de fermer boutique et de changer de métier pour s'être mis à dos des Institutions judiciaires et hospitalières à la botte du pouvoir politique et des pouvoirs administratifs et économiques.
Ces pouvoirs peuvent agir au mépris de l'état de droit tout en affichant ostensiblement qu'ils attachent la plus grande importance à le respecter comme à le faire respecter cependant qu'ils comptent bien que la raison économique continuera comme toujours à prévaloir qui fait que << en France il n'y a pas de justice >>
Maître Annick Dorsner-Dolivet est - ou plutôt était, avant qu'elle ne change de statut, une avocate pénaliste vers qui je m'étais tourné sur les conseils d'un juriste, le professeur de Droit François Chabbas, qui rédigeait dans la "La Revue du Praticien" des articles à l'usage des médecins praticiens, une Revue à laquelle j'étais abonné.
Je m'étais ainsi tourné vers cette avocate après que Me Catherine Scotto-Scotto-Derouet s'est montrée épouvantée et "bloquée" dans son action en prenant connaissance de ce que les médecins de la Clinique Léon Elmelik étaient capables,
Cette Clinique étaIt "protégée en hauts lieux", selon le Commandant Christian Raeckelboom, Commissaire Principal à La Haÿ-les-Roses, qui en avait "par dessus la tête" d'avoir à enregistrer en vain les nombreuses plaintes pour viols qu'y perpétrait son médecin propriétaire.
Me Dorsner-Dolivet avait elle aussi dut abandonner son Cabinet et se reconvertir. Elle a été jusqu'à penser à entourloupe de la part du professeur François Chabbas, qui lui aurait "refilé" une affaire trop dangereuse en me conseillant de m'adresser à elle (le professeur Chabbas entretenait de très bonnes relations avec le docteur Jean Penneau, Secrétaire général du CROM d'Île-de-France , professeur de Droit et accessoirement (ou principalement, tels les docteurs Patrice Bodenan et Jean ¨Pouillard ?) un des Frères °°° hauts protecteurs de la Clinique Léon Elmelik et du docteur Jean-Claude Elmelik.
Le professeur Chabbas m'avait recommandé Maître Dorsner-Dolivet en vertu de sa très grande compétence. Il me l'avait dite plus compétente que lui-même !
Me Dorner-Dolivet m'avait rétorqué lorsque je lui ai présenté l'affaire que << rien ne lui faisait peur >>.
J'avais préféré la prévenir immédiatement que c'était une affaire qui faisait peur, échaudé par ce qu'avait été la réaction de Me Scotto-Derouet après qu'elle a été consulter le bureau d'Ordre pénal concernant cette Clinique, ainsi que celle de Maître Sylvie Ferval, du temps où celle-ci était inscrite au Barreau de Paris et exerçait à La Haÿ-les-Roses,
Je lui avais bien spécifié que dans l'affaire que je lui confiais des médecins de la Clinique Léon Elmelik étaient en cause et que son médecin propriétaire se permettait d'y violer impunément depuis des années ses (ou les) parturientes à tire-larigot.
Je n'avais pas encore appris d'un Confrère Conseiller municipal à la mairie de l'Haÿ-les-Roses que l'Ordre des Médecins avait dû se résoudre à lui infliger une suspension d'exercice d'une durée de six mois après qu'une des victimes a réussi à obtenir une indemnisation au Civil.
La police m'a confirmé en 1993 qu'au cours de sa suspension elle n'avait plus eu à enregistrer de plaintes pour viol, mais que tout a recommencé après sa suspension.
Me Scotto-Derouet s'était rendu compte, en allant consulter le Bureau d'Ordre Pénal du TGI de Créteil, que les médecins de cette Clinique devaient forcément être "protégés en hauts-lieux" - ainsi que me l'avait déjà dit le Principal du Commissariat de l'Haÿ-les-Roses, pour ne pas avoir fait l'objet de poursuites et de condamnations malgré la quantité faramineuse de "casseroles" épouvantables qu'ils se traînaient, toutes les plaintes ayant été classées sans suite ou fait l'objet d'un non-lieu, la nôtre risquant donc de subir le même sort.
De tout cela j'avais déjà été tout à fait prévenu dès septembre 1990, d'abord incidemment en téléphonant au docteur André Souche, sous-directeur de la DRPS du Val-de-Marne (la DRPS est la Direction des Relations avec les Professionnels de la Santé de la CPAM), qui , après m'avoir entendu dire ce qu'il s'y était passé d'hallucinant me mit tout de suite en garde après qu'il m'a demandé de quelle Clinique il s'agissait : << Si c'est la Clinique de La Haÿ-les-Roses, c'est pas la peine, laissez tomber >> Sur ce il avait raccroché sans m'en dire davantage. Sans doute avait-il deviné de quelle Clinique il s'agissait, car il avait plusieurs fois anxieusement insisté pour que je le lui dise, et c'est tout de suite après m'avoir entendu dire son nom qu'il a conclu l'entretien de la manière susdite. Or j'ai plus récemment appris, en avril 2010,par un membre du SAMU 94, qu'une autre Clinique du département s'était livré à ce genre d'activité.
De surcroît, Me Scotto-Derouet avait tout de suite été débarquée du Cabinet d'avocats parisien où elle exerçait, au 32, de la rue Jouffroy, dans le 17e arrondissement, parce qu'elle avait accepté de se charger de l'affaire.
Autrement dit elle avait été virée parce que l'Ordre des médecins, via le docteur Patrice Bodenan, un Frère °°° poulain du professeur Christian Hervé, avait joué de ses relations maçonniques avec le Barreau pour l'en dissuader (il est bien connu depuis les recherches de Ghislaine Ottenheimer et Sophie Coignard que les Conseillers de l'Ordre des médecins et la franc-maçonnerie sont des états dans l’État, et qu'ils sont avec le Barreau comme un poisson dans l'eau.
Pour ce qu'il est de Patrice Bodenan (Bod °°° pour les intimes) on peut se référer à la carte de visite qu'il m'a remis le 27 avril 1992 en me disant avec un regard appuyé que l'Ordre me fera payer cher d'avoir laissé mon père se faire hospitaliser dans Clinique Léon Elmelik (la Clinique de son amie Edith Elmelik).
Dans les jours qui suivirent, Me Scotto-Derouet était débarquée. Elle trouva à se recaser chez Me Michel Blum, rue Villersexel.
De cela j'avais déjà été prévenu l'année précédente, d'abord indirectement, vers la mi-septembre 1990, en téléphonant au docteur André Souche, sous-directeur à la DRPS du Val-de-Marne (la DRPS 94 est la Direction des Relations avec les Professionnels de la Santé de la CPAM 94), parce qu'après m'avoir entendu lui raconter ce qu'il s'y était passé d'hallucinant, m'a demandé, avec une inquiétude perceptible au ton employé pour me le demander, de quelle Clinique il s'agissait,
Dès que je lui ai dit qu'il s'agissait de la Clinique de l'Haÿ-les-Roses, a tout de suite coupé : << Si c'est de la Clinique de l'Haÿ-les-Roses qu'il s'agit, c'est pas la peine, laissez tomber >> . Sur ce il avait raccroché sans m'en dire davantage. Sans doute avait-il deviné de quelle Clinique il s'agissait, car il avait plusieurs fois anxieusement insisté pour que je le lui dise, et c'est tout de suite après m'avoir entendu dire son nom qu'il a conclu l'entretien de la manière susdite. Or j'ai plus récemment appris, en avril 2010,par un membre du SAMU 94, qu'une autre Clinique du département s'était livré à ce genre d'activité.
Ce fut ensuite au tour du Commandant Christian Raeckelboom, le Principal du Commissariat de l'Haÿ-les-Roses, de me prévenir, le 23 janvier 1991 (ce qu'il m'avait confié est rapporté sur le site-Web n° 108281777 html).
J'ai fini par me rendre sur place à la DRPS, en avril 1993, pour tâcher de savoir de quoi il retournait, percer un mystère, savoir plus directement qu'elles étaient les motivations de la CPAM à vouloir bloquer toute information sur cette très sulfureuse Clinique alors qu'elle n'avait pas le droit de me refuser les informations demandées. J'avais ainsi pris rendez-vous avec le Directeur de la DRPS, le docteur X,
X m'avait écouté les yeux mi-clos, comme un sphinx. Après m'avoir écouté et avoir examiné les documents que je lui ai soumis, il a clos l'entretien et m'a renvoyé sans avoir dit un mot, sauf à s'enquérir de mes "qualités". Bizarre autant qu'étanche !
Le nom de X m'est revenu : Garoust ou Garroust, et même je crois son prénom : Philippe.
La justice n'étant pas en France indépendante des pouvoirs ministériels et de la toute puissante haute administration (en la circonstance de la direction de l'AP - HP et de l'ex CNTS ) s'agissant d'une affaire où la responsabilité de l’État et de l'Assistance Publique étaient lourdement engagée, comme c'était le cas avec l'affaire du sang contaminé.
Non seulement le Service de pneumo-neurologie (sic) du docteur Olivier Ille participait en 1997 au CHU de Mantes la Jolie à l'élimination physique des malades anciennement contaminés, avec Christine Malèvre pour les exécuter sous sa direction (en profitant de la séduction qu'il exerçait sur elle) comme précédemment en août 1990 quand il avait livré au docteur Jean-Yves Beinis, dans le Service duquel il avait fait transférer "son" malade (le malade du Service du professeur Gérard Saïd), des directives thérapeutiques que lui et ses supérieurs hiérarchiques, notamment le docteur Pascal Masnou, savaient pertinemment être mortelles à brève échéance, de façon que malade dont Olivier Ille n'avait pourtant pas vraiment la charge (il n'était alors qu'Interne et transmettait les directives de la hiérarchie) ne vienne à décéder dans le Service de neurologie de l'hôpital Bicêtre, apparemment très "naturellement" dans un grand Service de gériatrie, puisqu'il paraît a priori acceptable, car plus banal, pour ne pas dire "normal", de quitter le bas monde des vivants dans un Service de gériatrie.
Le Service qui abritait Olivier Ille en 1990 était celui du professeur Gérard Saïd, un service en principe insoupçonnable de telles monstruosités puisque le professeur Gérard Saïd était membre de l'IFREM et rédacteur à la Revue d’Éthique médicale que cette Institution édite (ou éditait), à savoir Médica Judaïca (l'IFREM est l'Institut de Recherche et d'Enseignement en Éthique Médicale juive.)
L'Institut était dirigé par Emmanuel Hirsch, un acolyte du Pr. Saïd. Il n'est pas médecin, mais "philosophe".
Alors qu'il n'est pas médecin Emmanuel Hirsch m'a cependant déclaré quand je l'ai rencontré "connaitre par cœur" l'histoire médicale de mon père lorsque j'ai voulu lui en parler.
Le Secret Médical avait donc été trahi vers qui n'est pas médecin cependant qu'il enseigne l'éthique médicale et l'absolue nécessité de le respecter et le faire respecter.
Or le Service du professeur Saïd avait déjà communiqué le dossier, soi-disant perdu, du malade aux médecins de la Clinique Léon Elmelik contre lesquels mon père avait porté plainte le 17 décembre 1990 quand et après qu'il est "par ma faute" sorti du coma où l'avait plongé le simulacre de traitement de la maladie de Biermer (ma faute et celles des infirmières du Service du docteur Beinis, mon intervention thérapeutique n'ayant pu se faire seulement après qu'elles elles m'ont informé du simulacre administré sur son ordre, qui suivait celui Olivier Ille afin que leur malade ne puisse inquiéter les médecins de la Clinique Léon Elmelik, une Clinique qui se chargeait de ce qu'il avait fallu après sa vente, survenue en 1995, déléguer au CHU de Mantes la Jolie, c'est-à-dire après le changement de propriétaires de la Clinique Léon Elmelik, les Elmelik ayant enfin trouvé repreneur (la Clinique la été reprise par le groupe Clinéa.)
Le monde étant petit Emmanuel Hirsch est le frère de Martin Hirsch, énarque et actuel directeur de l'AP - HP.
Bien avant les exécutions des malades contaminés par les transfusions contaminées par le VIH au CHU de Mantes la Jolie l'ex Clinique Léon Elmelik, participait à ces "euthanasies" avant lesdits transfusés n'aient le temps de développer un SIDA maladie.
Ce qui faisait de cette Clinique une Clinique "protégée en hauts lieux", c'est-à-dire par l’État. c'est-à-dire par les ministères publics (de la Recherche, de la Santé et finalement de la Justice.)
Autour de 25.000 patients ont dans ces années-là été contaminés par les flacons livrés par le CNTS aux hôpitaux et autres établissements de soins chirurgicaux, selon le docteure Anne-Marie Casteret, ("L'affaire du sang", La découverte, 1992, toujours disponible en librairie.)
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Hospitalisé depuis six semaines, l'état de mon père s'était dégradé à tel point que le 12 septembre 1990 au soir, il était mourant.
Son état était devenu de plus en plus pitoyable. Il gisait sur son lit, squelettique, prostré, incontinent, côtes cassées presque nu dans ses émonctoires . A force d'être tombé du lit dans les jours précédents, son corps etait, des pieds à la tête, couvert d'ecchymoses. Après s'être un instant agité comme s'il avait cherché à s' agripper à un objet imaginaire (ces mouvements sont dits "carphologiques" et précèdent de peu la mort), il sombra dans le coma. Ma sœur me dit
- Toi qui est médecin, tu ne peux vraiment rien faire ?
J'étais certain qu'il ne souffrait pas, comme ses médecins le prétendaient, d'une démence sénile, et qu'il n'était pas non plus atteint d'une tumeur cérébrale. J'ai dit à ma sœur ;
- Cette histoire "d'hydrome sous-tentoriel" (sic) pour lequel un rendez-vous d' I.R.M. a été pris ne tient pas debout, et il n'a certainement pas la maladie de la vache folle. Il y a tout simplement qu'il ne reçoit pas le traitement nécessaire. C'est pour ça qu' au lieu d' aller mieux, il va de plus en plus mal . Je suis sûr de ce que je dis, j'ai été avec une infirmière vérifier le traitement qu'il reçoit sur le cahier de prescription ! On n'a jusqu'ici fait que semblant de le soigner, tout comme on essaie de me faire croire qu'il a une tumeur cérébrale. Il n' a pas plus de T.C. que la maladie d'Alzheimer ou la maladie de la vache folle !
Après avoir fait rapidement un examen neurologique et dis :
- Il ne voit plus clair. Regarde ses yeux, les pupilles sont complètement dilatées. Elles ne réagissent pas à la lumière quand je les éclaire et il ne réagit pas quand je le pince durement. Il reste une toute petite chance de le sauver. Si on ne fait rien, là, tout de suite, demain il sera mort. Il n' est plus temps d'attendre jusqu'au 24 septembre le rendez-vous d 'I.R.M. cérébrale, ni même quelques heures de plus. Je peux faire le nécessaire, mais il ne faudra rien me reprocher si ça ne réussit pas. S' il meurt cette nuit, comme c'est malheureusement ce qui risque d'arriver, j'y serai pour rien. J'ai tout juste le temps de courir à la pharmacie chercher ce qu'il lui faut avant qu'elle ne ferme pour le lui administrer.
- Je te promets de ne jamais t'accuser de l'avoir tué s'il meurt cette nuit.
- Il faut aussi me promettre de m'aider après, parce que même si j' arrive à redresser la situation, ça va être très dur ! Il faudra après que tu m'aides !
- Je te promets …. Je t'aiderai.
- Alors c'est d'accord, j'y vais
Il était 19 heures 15. Je n'avais plus temps de discuter. J' ai couru au plus vite à la pharmacie la plus proche, sise à Vitry/Seine me procurer pour 9 francs et quelques 36 centimes une boite de 6 ampoules de cyanocobalamine, plus 3 francs de seringues ….. J' administrais la moitié du coffret, soit 3 milligrammes de cyanocobalamine.
Épilogue : Je suis resté jusqu'à une heure du matin auprès du malade. Je suis revenu vers six heures. Mon père respirait encore. Il y avait même un léger mieux, car la mydriase n' était plus aussi totale. Un soupçon d' iris était perceptible. Le lendemain soir, j'administrai les 3 ampoules restantes. Un mois plus tard, après avoir reçu en intramusculaire 20 mg de ce traitement étiologique, mon père pouvait se tenir debout sans tomber, et même refaire tout seul son lit, visiblement à la satisfaction des infirmières, mais pas du tout à celle du Chef de Service. Bien que le malade n'ait pas encore récupérer le contrôle de ses sphincters - il ne les récupérera, et une fois pour toutes, que le 17 octobre 1990 - il fut sans ménagement renvoyé chez lui le 12 octobre.
Pour comble, dans les jours qui suivirent, l'hôpital fit parvenir une note d'hospitalisation salée au domicile de son ex-patient. Il n' était même pas tenu compte de la prise en charge à 100 %, à laquelle il avait automatiquement droit.
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Deux mois après sa sortie d'hôpital, mon père avait regagné la quasi totalité de ses capacités intellectuelles (elles furent objectivées à 30/30 au MMSE en février 1991).
Fortement handicapé, diminué dans son autonomie en raison de parésies résiduelles au niveau des mains et des jambes, le 17 décembre 1990 mon père porta plainte auprès du procureur de Créteil pour escroquerie, mise en danger de la vie et non assistance à personne en péril, non contre les neurologues, mais contre les médecins de la Clinique qui l'avaient abusé précédemment à son hospitalisation à Bicêtre, car il était alors encore persuadé que c' était non pas à moi, mais aux neurologues qu'il devait d'être resté en vie,