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12 mars 2016 6 12 /03 /mars /2016 17:05

Sous le titre "La transparen et l'indépendance du médecin sont les piliers de notre déontomlogie médicale" Michel Legman, alors qu'il présidait encore le Conseil National de l'Ordre des Médecins (le CNOM) écrivit dans le bulletin de l'Ordre des Médecins de novembre-décembre 2011, et alors même que le Conseil continuait de sciemment protéger les scandaleux agissements du Dr. André Hazout:  << Face à la crise de confiance que traverse le système de santé français, c’est à une véritable révolution culturelle que nous devons nous préparer. Refonte du fonctionnement des agences et des autorités sanitaires, renforcement législatif de la sécurité sanitaire des médicaments et des produits de santé, amélioration de la transparence et de la cohérence du circuit du médicament… Nous sommes tous concernés par cette mobilisation qui nous permettra de mieux faire face aux défis de la pharmacovigilance et de la santé publique.

Les médecins sont au cœur de cette mobilisation. Ils se doivent d’être suffisamment indépendants pour faire preuve d’un esprit critique accru vis-à-vis de toute tentative d’ingérence dans leurs décisions. Garant de la relation médecin/patient et de l’indépendance médicale, l’Ordre des médecins veut jouer un rôle essentiel dans la gestion et le contrôle des
conflits d’intérêts entre les praticiens et l’industrie pharmaceutiq
ue.

Comme vous le lirez dans le dossier de ce Bulletin, nous avons d’ailleurs présenté plusieurs propositions aux pouvoirs publics pour que cette volonté de transparence ne reste pas un vain mot.

Nous voulons notamment jouer un rôle d’accompagnement et d’arbitrage dans la gestion des conflits d’intérêt. Encore faut-il que la loi nous en donne les moyens.

Le conseil national de l’Ordre a également eu à cœur de rassembler tous les acteurs de ce dossier autour d’un débat dont vous trouverez le compte rendu intégral sur notre site. Ensemble, nous devons aboutir à un véritable Sunshine Act à la française.

C’est à ce prix que nous pourrons garantir demain de bonnes conditions d’exercice aux médecins, au bénéfice de nos patients.>> 

- / -

<< de toute façon, en France, il n'y a pas de justice >>

C'est ce m'avaient d'emblée annoncé Maître Catherine Scotto-Derouet en mars 1992, et ensuite, lui faisant écho, Maître Annick Dorsner-Dolivet, pénaliste de grande réputation, lorsque, l'année suivante, je lui ai, pour les mêmes raisons que celles que j'avais exposées à Maître Scotto-Derouet, confié la plainte que mon père avait adressée le 17 décembre 1990 au procureur du TGI de Créteil.

Le TGI de Créteil était à l'époque sous la coupe de Michel Barrau, le futur envoyé que, vu son efficacité pour "régler" les affaires relatives aux activités de la Clinique Léon Elmelik, Dominique Perben avait dépêché au TGI de Toulouse pour résoudre au mieux une autre affaire tout aussi scabreuse.

Mon père ignorait lorsqu'il a porté plainte que Michel Barrau avait été chargé par les instances gouvernementales d'enrayer toutes plaintes portées à l'encontre des médecins de la Clinique Léon Elmelik.

Mon père et moi ignorions que cette Clinique était "protégée en hauts lieux" à cause des grands services qu'elle rendait au CNTS comme à l'AP - HP , co-responsables de milliers de contaminations de patients par le VIH s'être servis trop longtemps de lots sanguins non décontaminés par la chaleur ((cf. "L'affaire du sang", du docteur Anne-Marie Casteret, aux éditions La découverte, 1992. toujours disponible chez tout libraire normalement constitué.

Nous avait fait part des protections dont cette Clinique faisait l'objet l'inspecteur Christian Rarckelboom le 23 janvier 1991 lorsque j'avais accompagné mon père, devenu estropié du fait de mauvais traitements (dont il avait failli mourir) au Commissariat de l'Haÿ-les-Roses, la Commune qui abritait la Clinique Léon Elmelik, pour confirmer la plainte qu'il avait adressé au procureur du TGI de Créteil au cours du mois précédent.

Pour savoir plus précisément pourquoi et comment cette Clinique jouissait de "protections en hauts lieux", et pourquoi les archives de la mairie de l'Haÿ-les-Roses se sont enflammées toutes seules dans la nuit du 30 juin 2002 tellement elles étaient brûlantes, on est prié de se reporter aux articles n° 34125637 et 34640355 html, qui datent de juillet 2009, celui intitulé "Omerta médicale - viols - Ordre des médecins", ainsi que les n° 108281777 et 116517337 du blog de leon (site http://génocides.over-blog.com)

NB : l'article n° 108281777 date du 18 juillet 2012, a été adressé par voie postale au Figaro, à François Hollande et au Comité Consultatif National d'Ethique sans susciter plus de réactions que la lettre RAR que j'avais adressée à Michelle Aliot-Marie alors qu'elle occupait le ministère de la Justice.

Les articles relatifs à l'incendie des archives de la mairie de l'Haÿ-les Roses en 2002 et de l'érection d'un panneau à la gloire du docteur Léon Elmelik décédé en novembre 1859 des suites de sa qui de sa déportation et sa condamnation à mort en 1944 sont rapportés sur ce blog.

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10 mars 2016 4 10 /03 /mars /2016 14:17

René Chiche, rédacteur à L'évenement, et avant lui Hervé Hamon ont enquêté sur les mandarins de la médecine 

Selon ce que m'avaient confié Maître Catherine Scotto-Derouet en mars 1992, et ensuite Maître Annick Dorsner-Dolivet, pénaliste de grande réputation, lorsque l'année suivante je lui ai, pour les mêmes raisons que celles exposées à Maître Scotto-Derouet, confié la plainte que mon père avait adressée au procureur du TGI de Créteil, TGI, tribunal à l'époque sous la coupe de Michel Barrau, le futur envoyé spécial de Dominique Perben au TGI de Toulouse pour "régler" une autre affaire sensible.

Mon père ignorait que Michel Barrau était chargé par les instances gouvernementales d'enrayer toutes plaintes portées à l'encontre des médecins de la Clinique Léon Elmelik à cause des énormes services que cette Clinique rendait au CNTS et à l'AP - HP. A ce sujet demandez-vous pourquoi le Conseil de l'Ordre et le professeur Gérard Saïd - pardon, je veux dire le Conseil de l'Ordre et l'AMIF - ont subitement éprouvé le besoin de se réconcilier et de sceller un pacte d'alliance le 11 octobre 1997 alors que ce à quoi s'était livrée Christine Malèvre dans le Service du docteur Olivier Ille au CHU de Mantes la Jolie (cf Dr. Bruno Halioua dans son livre "Blouses blanches, étoiles jaunes" page 12, chez Liana Lévi, décembre 1999 )qui cadre avec ce dont ce même Olivier Ille s'était livré dans le Service du professeur Gérard Saïd en 1990, avec le docteur Jean-Yves Beinis dans le rôle de Christine Malèvre, qui explique aussi pourquoi la Clinique Léon Elmelik était "protégée en hauts lieux", ainsi que me l'avait signalé l'inspecteur Chhristian Rarckelboom lorsque je l'ai rencontré le 23 janvier 1991 au Commissariat de, la sous-préfecture qui abritait la Clinique Léon Elmelik, en l'occurence l'Haÿ-les-Roses. 

Et aussi comment il se fait que l'AP - HP a nommé un cerain Emmanuel Hirsch, qui n'est pas médecin mais connaissait "par coeur" l'histoire de mon père, qui avait faillit par où sont passés les malades d'Olivier Ille - pardon : de Christine Malèvre - à Mantes la Jolie, pour enfumer le monde avec l''Espace Ethique de l'AP - HP, et que l'on pouvait s'entendre dire à l'hôpital Saint-Antoine que << dans cette afffaire, on n'avait rien à craindre puisqu'on ténait la presse, la médecine et la justice >>

Pour savoir plus précisément pourquoi et comment cette Clinique jouissait de "protections en hauts lieux", ainsi que me l'avait signalé ledit inspecteur, et pourquoi les archives de la mairie de l'Haÿ-les-Roses se sont enflammées toutes seules dans la nuit du 30 juin 2002tellement elles étaient brûlantes, on est prié de se reporter aux articles n° 34125637 et 34640355 html, qui datent de juillet 2009, celui intitulé "Omerta médicale - viols - Ordre des médecins", ainsi que les n° 108281777 et 116517337 du blog de leon (site http://génocides.over-blog.com)

NB : l'article n° 108281777 date du 18 juillet 2012, a été adressé par voie postale au Figaro, à François Hollande et au Comité Consultatif National d'Ethique sans susciter plus de réactions que la lettre RAR que j'avais adressée à Michelle Aliot-Marie alors qu'elle occupait le ministère de la Justice.

Les articles relatifs à l'incendie des archives de la mairie de l'Haÿ-les Roses en 2002 et de l'érection d'un panneau à la gloire du docteur Léon Elmelik décédé en novembre 1859 des suites de sa qui de sa déportation et sa condamanation à mort en 1944 sont rapportéssur ce blog.

 

SQUARE DU DOCTEUR

Léon ELMELIK

(1897 - 1959)

Fondateur de la clinique de l'Haÿ

Résistant, arrêté par la Gestapo

Torturé, interné, condamné à mort. Déporté à Buchenwald

Maire-adjoint, commandeur de la légion d'honneur

 

La précédente plaque ne prétendait certes pas que le Dr. Léon Elmelik était décédé en 1944, mais était bel et bien rédigée de façon à laisser entendre qu'il était décédé des suites de sa déportation en 1944, et qu'il avait été maire-adjoint précédemment à sa déportation.

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8 mars 2016 2 08 /03 /mars /2016 12:40

<< De toute façon, en France, il n'y a pas de justice >> 

m'avaient tout de suite annoncé Maître Catherine Scotto-Derouet en mars 1992, et ensuite, en lui faisant écho, Maître Annick Dorsner-Dolivet, pénaliste de grande réputation, lorsque, l'année suivante, je lui ai, pour les mêmes raisons que celles que j'avais exposées à Maître Scotto-Derouet, confié la plainte que mon père avait adressée le 17 décembre 1990 au procureur du TGI de Créteil, TGI à l'époque sous la coupe de  Michel Barrau, le futur envoyé spécial de Dominique Perben au TGI de Toulouse pour "régler" une autre "affaire sensible".

Mon père et moi ignorions  en décembre 1990 que Michel Barrau avait été  chargé par les instances gouvernementales d'enrayer toutes plaintes portées à l'encontre des médecins de la Clinique Léon Elmelik, mais nous l'ignorions plus le 23 janvier 1991, avertis alors par le Principal du Commissariat de l'Haÿ-les-Roses que la Clinique Elmelik était "protégée en hauts lieux" sans qu'il sache pourquoi, attribuant le fait à la grande fortune de ses médecins actionnaires, alors qu'il apparaîtra en 1997 que c'était en relation avec les singuliers services qu'elle rendait au CNTS et à l'AP - HP. En 1997 les assassinats de malades réalisés au CHU de Mantes la Jolie par  l'infirmière Christine Malèvre ont montré qu'elle avait  joué dans cet hôpital de l'AP -HP le rôle qu'avait plus inconsciemment tenu en 1990 à l'hôpital Charles-Foix le Dr. Jean-Yves Beinis sous la direction d'Olivier Ille, à l'hôpital Bicêtre alors l'Interne du Service de neurologie du Pr. Gérard Saïd. 

Nous avait fait part de ces protections l'inspecteur Chhristian Rarckelboom lorsque mon père a été convoqué le 23 janvier 1991 au Commissariat de  l'Haÿ-les-Roses, la Commune qui abritait la Clinique Léon Elmelik, lorsqu'il s'y est rendu pour  confirmer sa plainte.

Pour savoir plus précisément pourquoi et comment cette Clinique jouissait de "protections en hauts lieux", et pourquoi les archives de la mairie de l'Haÿ-les-Roses se sont enflammées toutes seules dans la nuit du 30 juin 2002 tellement elles étaient brûlantes, se reporter aux articles n° 34125637 et 34640355 html, qui datent de juillet 2009, celui intitulé "Omerta médicale - viols - Ordre des médecins", ainsi que  les n° 108281777 et  116517337 du blog de leon (https://génocides.over-blog.com) 

NB : l'article n° 108281777 date du 18 juillet 2012, a été adressé par voie postale au Figaro, à François Hollande et au Comité Consultatif National d’Éthique sans susciter plus de réactions que la lettre RAR que j'avais adressée  à Michelle Alliot-Marie alors qu'elle occupait le ministère de la Justice. 

Les articles relatifs à l'incendie des archives de la mairie de l'Haÿ-les Roses en 2002 et de l'implantation d'un panneau en l'honneur du docteur Léon Elmelik décédé en novembre 1959 des suites de sa déportation en 1944 malgré sa condamnation à mort en 1944 sont rapportés dans ce blog.   

 

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6 mars 2016 7 06 /03 /mars /2016 02:13

Assister à la projection du film « Into Eternity », de Michael Madsen, m'aurait permis d'accéder à la discussion qui l'a suivie avec les personnalités invitées (Patrick Charton, de l’Agence nationale pour la gestion des déchets radioactifs, Yannick Rousselet, en charge du Climat et de l' Énergie à Greenpeace, et Isabelle Jouette, porte-parole de la Société française de l’énergie nucléaire);

Je serais peut-être arrivé à convaincre au moins l’un d’eux de l'existence d'une solution inédite, très écologique et économique au problème de l'approvisionnement énergétique de la planète.

Mais j'ai pris connaissance de cet événement trop tard, sur le site NOTRE TERRE MER..  

En 1966, à la mise en service de l'usine marémotrice de la Rance  j'ai eu l'intuition qu'un procédé beaucoup plus simple, beaucoup plus écologique et beaucoup plus économique devrait permettre de récupérer cette immense et quasi inépuisable source d'énergie. 

Sur seulement 300 mètres de long ce barrage réussit à fournir le quart de la puissance d'un réacteur nucléaire classique,

Après avoir beaucoup cherché, en 2012 une meilleure solution m'est venue à l'esprit. 

Je l'ai tout de suite testée sur une maquette, et il n'y a aucune raison qu'elle ne soit pas opérationnelle in situ, en vraie grandeur, quelles que soient les conditions météorologiques, et quelles que soient les dispositions du littoral.

Sa réalisation ne nécessite pas obligatoirement l'existence d'une baie, ni de très hautes marées.

Ce qui veut dire que l'énergie potentielle des marées pourrait être récupérée sur des centaines de kilomètres, non plus seulement sur quelques centaines ou quelques milliers de mètres.

Ce qui veut aussi dire que l'exploitation des gaz de schistes, et même l'exploitation de l'énergie nucléaire, pourraient à terme en grande partie être abandonnées. C'est peut-être aussi pourquoi le ministère de l'énergie, pourtant dûment averti de cette possibilité, n'a pas cherché à s'y intéresser.

C'est peut-être aussi parce que je ne suis pas ingénieur, mais médecin, donc a priori considéré cemme étant incompétent en la matière.

L'histoire apprend pourtant que ce ne sont pas toujours les spécialistes d'une activité qui l'ont révolutionnée, ou seulement trouvé la solution à un problème difficile.

Ainsi  du chimiste Louis Pasteur, qui a révolutionné la médecine et la biologie, et de l'orfèvre Filippo Brunelleschi, qui en 1418 proposa un procédé architectural permettant d'édifier la gigantesque coupole de Santa Maria del Fiore sans avoir besoin de faire appel à un lourd échafaudage.

Sa solution, jugée impossible par les commanditaires, fut immédiatement rejetée, avant être acceptée deux ans plus tard, après que Brunelleschi en a démontré la faisabilité en réalisant une autre coupole selon le procédé qu'il avait proposé.

Il en avait de même été quand, en 1990, j'ai proposé une thérapie très simple pour un malade affecté d'une "atteinte diffuse du système nerveux", déclarée incurable et promise à une "inéluctable plus grande aggravation

J'avais ainsi démontré l'existence de ce qui dorénavant s'appelle le syndrome NDB12PP.

Les neurologues avaient à tort, comme tant dans beaucoup d'autres cas semblables pris son état pour une "DTA" (Démence de Type Alzheimer). Voir site-Web 108281777 html. 

< 06 78 58 96 21 et 02 96 30 96 14 >

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25 février 2016 4 25 /02 /février /2016 12:16

Tartufe se porte toujours bien :

A Paray-le-Monial les 15 et 16 mars 2013  le cinquième Rassemblement du  Mouvement  "Amour et Vérité" faisait savoir 

- que  << Prendre soin du malade ne signifie pas seulement s’occuper de la maladie, mais prendre soin de toute sa personne corps, âme, esprit.

- que le malade est plus qu’un simple corps.

- que l'on ne peut séparer le corps de l’âme, car le corps lui-même est spirituel.

- que s’occuper d’un malade entièrement suppose de l’accompagner dans la durée, de l’aider à garder une certaine autonomie et de respecter sa dignité et son humanité

- que le docteur Olivier Ille reçoit la parole  "prends soin de lui"  comme une invitation personnelle du Christ,

- que le docteur Olivier Ille reçoit cette invitation comme un commandement d’amour qui s’adresse à tous,

- que la parabole du bon samaritain est un exemple d’humanité, une invitation à suivre Jésus dans son attention aux personnes qui souffrent,

- que le Christ nous envoie et nous guide,

- que le docteur Olivier Ille montre combien il est important d’être compatissant, mais sans asphyxier les malades…
- que pour lui, à l’hôpital, il est important de savoir faire équipe et de conjuguer les approches,

- que la médecine fondée sur les preuves a pleinement sa valeur pour obtenir une excellence dans la compétence technique, mais elle doit être située à sa juste place dans la relation médecin–malade pour que la dimension humaine puisse aussi pleinement s’exprimer.

- qu'il est nécessaire de bien distinguer ce qui relève des preuves au niveau institutionnel et de santé publique, de la situation personnelle des malades que l’on soigne.

- que la rencontre interpersonnelle est fondamentale,

- qu'Olivier Ille y montre le poids de la parole : « Des paroles inconsidérées blessent comme une épée, la langue des sages guérit » >>
______________________________________
Très bien, mais il se trouve qu'en août 1990 aucun de ces vertueux principes n'avaient été respectés par Olivier Ille.

Il m'avait alors fallu trouver et appliquer moi-même la solution thérapeutique qu'Olivier Ille avait donné ordre de ne pas administrer, mais de faire semblant devant moi de l'administrer à son malade.

L'administration réelle du traitement fut réalisée par moi après six semaines de ce faux-semblant, ce qui permit finalement à son malade, qui en l'occurrence se trouvait être mon père,  de sortir d'un coma carus  alors qu'il se trouvait en passe mourir dans un état cachectique, aussi épouvantable que désespéré https://108281777 html

Son malade avait fini par plonger dans cet état au terme de six semaines d'une vaine hospitalisation du fait de l'obstruction forcenée et délibérée de ce même Olivier Ille alors que la solution thérapeutique était simple et sans aucun danger.

Alors que je ne suis ni neurologue ni nutritionniste ni gériatre, j'avais permis à son malade de se rétablir.

Il retrouva ses esprits bien qu'il avait été à faux diagnostiqué par Olivier Ille, cautionné par ses pairs, "maladie d'Alzheimer" et "encéphalopathie vasculaire", le tout baptisé "atteinte diffuse du système nerveux" (sic, cf. sur ce blog, le CR d'hospitalisation rapporté dans l'article www.bibliographie-vitamine-B12-blog-de-leon 

Lesdits neurologues et gériatres l'avaient ainsi "voué à une inéluctable plus grande dégradation" (sic, dixit le rapport d'expertise rédigé par le Dr. François Chedru conformément aux désirs et sous la dictée des Prs. André Lienhart et René-Claude Touzart.

Ce qui n'avait pas été prévu, c'est que les infirmières du Service gériatrique où ils avaient fait transférer leur malade afin qu'il y termine "normalement" sa vie allaient déjouer leur mortel stratagème.

C'est ainsi que le rétablissement de leur malade ne leur fit nullement plaisir, mais les plongea dans la panique.
Au lieu de s'en réjouir, il les poussa à tout de suite déclarer, à faux, "perdu" son dossier quand j'ai demandé à le consulter.

Ils détournèrent à leur profit la proposition que j'avais conjecturée avant de la mettre en évidence en obtenant la résurrection du mourant

J'avais fait l'hypothèse qu'il devait exister un trouble au niveau de l'absorption ou du métabolisme de la vitamine B12, et parlé de "carence d'utilisation" pour rendre compte de l'existence de ce qui se passait, qui paraissait relever cliniquement de la maladie de Biermer, c'est-à-dire un état de profonde carence vitaminique B12 avec test de Schilling normal. ET vitaminémie normale .
J'étais très près de la réalité de ce qui s'était passé, puisque lesdits neurologues avaient ordonné de ne faire que semblant d'administrer à leur malade un traitement vitaminique B12 drastique, traitement normalement requis pour traiter la maladie de Biermer. Il s'agissait donc bien d'une "carence d'utilisation de la vitamine B 12" au sens strict.
Les affections de ce type, d'abord appelées "carences vitaminiques B 12 avec test de Schilling normal" sont désormais reconnues comme étant plus fréquentes que la maladie de Biermer, dont elles ne seraient que des variantes cliniques.

Ce syndrome a, en 2003, du fait de l'abandon de la commercialisation du test de Schilling, reçu le nom de "syndrome NDB12PP".

Les neurologues profitèrent de cette mise en évidence pour se faire attribuer une Unité de Recherche à l'INSERM pour leurs si méritants travaux.

Pour me clouer le bec, ils me firent accuser par la direction de leur CHU d'avoir moi-même "fabriqué" (sic) la maladie de mon père "par antisémitisme "(*), ce qui s'appelle en médecine un "syndrome de Münchhausen", c'est-à-dire d'être l'auteur d'un crime passible d'une lourde condamnation pénale (ou d'un internement psychiatrique).

Cette accusation leur faisait obligation d'en faire le signalement aux autorités judiciaires (Article 40 du Code de Procédure Pénale). Le Pr. Gérard Saïd m'en menaça en 2004, sans bizarrement oser donner suite

J'ai découvert (en 1992) que le docteur Michel Serdaru, neurologue émérite de la Fédération Fançaise de Neurologie, avait fait la même découverte, celle-ci incidemment mentionnée sous la forme d'une simple remarque dans un précis de neurologie paru chez Flammarion Médecine-Sciences en 1991, un précis intitulé "La maladie Alzheimer et autres démences" (livre rédigé sous la direction des Prs. Jean-Jacques Hauw et Jean-Louis Signoret
..............................................................................
(*) Cette crapuleuse accusation provient en fait du Chef du Service responsable, le très "éthique" Pr. Gérard Saïd.
Il fit appel à Emmanuel Hirsch, un philosophe de ses relations, tout aussi " Madoff" que lui, pour créer en 1995 un enseignement de l'éthique médicale dans son CHU, avant de faire transférer cet enseignement à l'hôpital Saint-Louis.
Ce beau rideau de fumée fut pompeusement appelé "Espace Ethique de l'AP - HP". Il était d'autant plus nécessaire que ce qui s'était passé dans son Service avec Olivier Ille allait se reproduire en 1997 au CHU de Mantes la Jolie.

Sous l'égide du même Dr. Olivier Ille, Christine Malèvre se vantera d'avoir "euthanasié" une trentaine de malades,  avant de comprendre que ce n'était pas surtout chose à claironner sur les toits.
Il fallait garder secret l'entreprise génocidaire.
Elle dut se rétracter et ne concéda finalement  que quatre  assassinats.

Le Dre. Laurence Kouyoumdjian, qui avait fait mettre fin à ces assassinats génocidaires  au lieu d'être récompensée et décorée, fut au contaire sans ménagement prié d'aller se faire voir ailleurs cependant que le très "éthique" et très catholique Dr. Olivier Ille, qui s'était gardé de mettre fin aux assassinats et qui avait déjà transmis, depuis l'hôpital Bicêtre, au Dr. Jean-Yves Beinis la consigne de n'administrer qu'un traitement mortel à mon père, est toujours en place
Ce qui démontre  que le règne de Tartufe est solidement établi en France.

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23 février 2016 2 23 /02 /février /2016 16:36

Dans le compte-rendu du Cinquième Rassemblement du Mouvement "Amour et Vérité", qui s'est tenu à Paray le Monial du 13 au 15 mars 2013 sur le thème "Prends soin de lui": on peut lire :

<< Prendre soin du malade ne signifie pas seulement s’occuper de la maladie, mais prendre soin de toute sa personne corps, âme, esprit. Le malade est plus qu’un simple corps. On ne peut séparer le corps de l’âme, car le corps lui-même est spirituel. S’occuper d’un malade entièrement suppose de l’accompagner dans la durée, de l’aider à garder une certaine autonomie et de respecter sa dignité et son humanité.

Olivier Ille reçoit la parole « prends soin de lui » comme une invitation personnelle du Christ. Il le reçoit comme un commandement d’amour qui s’adresse à tous. La parabole du bon samaritain est un exemple d’humanité, une invitation à suivre Jésus dans son attention aux personnes qui souffrent. Le Christ nous envoie et nous guide.

« J’ai tendance à répondre à sa place car j’ai l’impression qu’il souffre » disait d’un malade une aide soignante.

Olivier Ille montre combien il est important d’être compatissant, mais sans asphyxier les malades… Pour lui, à l’hôpital, il est important de savoir faire équipe et de conjuguer les approches.

La médecine fondée sur les preuves a pleinement sa valeur pour obtenir une excellence dans la compétence technique, mais elle doit être située à sa juste place dans la relation médecin – malade pour que la dimension humaine puisse aussi pleinement s’exprimer.

Il est nécessaire de bien distinguer ce qui relève des preuves au niveau institutionnel et de santé publique, de la situation personnelle des malades que l’on soigne. La rencontre interpersonnelle est fondamentale. Olivier Ille y montre le poids de la parole : « Des paroles inconsidérées blessent comme une épée, la langue des sages guérit »

- Il se trouve que je ne suis ni neurologue ni nutritionniste ni gériatre, ce qui ne m'avait pas empêché, en 1990, de trouver la solution qui permit à un malade (mon père, en l'occurrence) de sortir d'un état désespéré et du coma où il avait fini par plonger au terme de six semaines d'hospitalisation.

Je lui avais ainsi permis de se rétablir. Il retrouva ses esprits alors qu'il avait été diagnostiqué par les neurologues hospitaliers qui l'avaient en charge "maladie d'Alzheimer" et "encéphalopathie vasculaire", le tout baptisé "atteinte diffuse du système nerveux" (sic, cf. sur ce blog, en annexe, le CR d'hospitalisation de l'article "L'omerta dans les affaires de viol impliquant la responsabilité de l'Etat").

Lesdits neurologues et gériatres l'avaient ainsi "voué à une inéluctable plus grande dégradation" (sic, cf. le rapport d'expertise rédigé par le Dr.François Chedru conformément aux désirs et sous la dictée des Prs. André Lienhart et René-Claude Touzart afin de soustraire leurs confrères à leurs responsabilités. Ils n'avaient proposé qu'une opération orthopédque, qui outre qu'elle était dangereuse et totalement inadéquate, avait été faite par chirurgien autoproclamé. Les neurologues du CHU Bicêtre, pour parfaire la mortelle inadéquation dec cette opération, s'étaient entendus pour n'aministrer au malade que du Prozac*, confiant à leur Intene Olivier Ille le soin de transmettre la consigne de ne faire que semblant d'administrer au malade le traitement approprié au très obéissant gériatre Jean-Yves Beinis.

Ce qui n'avait pas été prévu, c'est que les infirmières du Service gériatrique où ils avaient fait tranférer leur malade afin qu'il y termine "normalement" sa vien allaient déjouer leur mortel stratagème.

C'est ainsi que le rétablissement de leur malade ne leur fit nullmement plaisir, mais les plongea dans la panique.

Au lieu de s'en réjouir, il les poussa à tout de suite déclarer, à faux, "perdu" son dossier quand j'ai demandé à le consulter.

Ils détournèrent à leur profit la proposition que j'avais conjecturée, et en mise en évidence en obtenant la résurrection du mourant.

J'avais fait l'hypothèse qu'il devait exister un trouble au niveau de l'absorption ou du métabolisme de la vitamine B12, et parlé de "carence d'utlisation" pour rendre compte de l'existence de ce qui se passait, qui paraissait être comme une maladie de Biermer, c'est-à-dire un état de carence vitaminique B12 sévère avec test de Schilling normal. ET vitaminémie normale .

J'étais très près de la réalité de ce qui s'était passé, puisque lesdits neurologues avaient ordonné de ne faire que semblant d'administrer à leur malade un traitement vitaminique B12 drastique, traitement normalement requis pour traiter la maladie de Biermer. Il s'agissait donc bien d'une "carence d'utilisation de la vitamine B 12" au sens strict.

Les affections de ce type, d'abord appélées "carences vitaminiques B 12 avec test de Schilling normal" sont désormais reconnues comme étant plus fréquentes que la maladie de Biermer, dont elles ne seraient que des variantes cliniques.

Ce syndrome a, en 2003, du fait de l'abandon de la commercialisation du test de Schilling, reçu le nom de "syndrome NDB12PP".

Les neurologues profitèrent de cette mise en évidence pour se faire attribuer une Unité de Recherche à l'INSERM pour leurs méritants travaux.

Pour me clouer le bec, ils me firent accuser par la direction de leur CHU d'avoir moi-même "fabriqué" (sic) la maladie de mon père (*), ce qui s'appelle en médecine un "syndrome de Münchhausen", c'est-à-dire d'être l'auteur d'un crime passible d'une lourde condamnation pénale (ou d'un internement psychiatrique).

Cette accusation leur faisait obligation d'en faire le signalement aux autorités judiciaires (Article 40 du Code de Procédure Pénale). Le Pr. Gérard Saïd m'en menaça en 2004, sans donner suite,

J'ai découvert (en 1992) que le docteur Michel Serdaru, neurologue émérite de la Fédération Fançaise de Neurologie, avait fait la même découverte, celle-ci incidemment mentionnée sous la forme d'une simple remarque dans un précis de neurologie paru chez Flammarion Médecine-Sciences en 1991, un précis intitulé "La maladie Alzheimer et autres démences" (livre rédigé sous la direction des Prs. Jean-Jacques Hauw et Jean-Louis Signoret)

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(*) j'aurais volontairement "fabriqué" la maladie de mon père par "antisémitisme" (parce que je m'appelle Cretien ?! ). Cette stupode et crapuleuse accusation provient en fait du Chef du Service responsable, le très "éthique" Pr. Gérard Saïd.

Il fit appel à Emmanuel Hirsch, un philosophe de ses relations, tout aussi madoff que lui, pour créer en 1995 un enseignement de l'éthique médicale dans son CHU, avant de faire transférer cete enseignement à l'hôpital Saint-Louis.

Ce beau rideau de fumée fut pompeusement appelé "Espace Ethique de l'AP - HP". Il était d'autant plus nécessaire que ce qui s'était passé dans son Service avec olivier Ille allait se reproduire deux ans plus tard CHU de Mantes la Jolie.

Sous l'égide du même Dr. Olivier Ille, aussi Madoff de l'éthique que lui, Christine Malèvre se vanta d'avoir "euthanasié" une trentaine de malades avant de comprendre que ce n'était pas surtout chose à claironner sur les toit.

Il fallait garder secret l'entreprise génocidaire.

Elle dut se rétracter et ne concéder que six assassinats.

Ainsi que le Dr. Laurence Kouyoumdjian, qui avait mis fin au génocide, au lieu d'être récompensée et décorée, fut au contaire sans ménagement prié d'aller se faire voir ailleurs cependant que le très "éthique" et très catholique Dr. Olivier Ille, qui s'était gardé de mettre fin aux assassinats et qui avait déjà transmis, depuis l'hôpital Bicêtre, au Dr. Jean-Yves Beinis la consigne de n'administrer qu'un traitement mortel à mon père, est toujours en place.

 

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19 février 2016 5 19 /02 /février /2016 18:50

Les éoliennes sont dans le vent, bien qu'elles soient coûteuses, d'entretien difficile et dangereuses à installer.

Elles sont bruyantes, déparent l'horizon des plaines comme des mers cependant que leur rendement est dérisoire, alors qu'une alternative beaucoup plus intéressante existe, qui outre qu'elle est entièrement française et originale, ne présente aucun de ces défauts, et alors que son potentiel ne se chiffre pas en mégawatts ni même en gigawatts, mais en térawatts.

Lors de l'émission que France Inter consacré à la question des éoliennes cette semaine, je n'ai pas pu joindre Jean-Louis Butré, président de la FED (Fédération de l'Environnement Durable), alors que je comptais lui parler la susdite solution.

Il ne s'agit pas de la "fusion froide" qui n'est probablement qu'un rêve et une mystification, mais d'une technique beaucoup plus basique et efficiente que la construction de barrages qui permet de récupérer l'énergie marémotrice.

J'avais en 2012 et 2013 tenté de la proposer aux responsables gouvernementaux, mais ceux-ci n'ont pas même daigné essayé de savoir de quoi il s'agissait. Seul Jean-Marc Ayrault avait, en septembre 2012, à plusieurs reprises demandé à Delphine Batho puis à Philippe Martin, ministres en charge de l'Energie, de l'Ecologie et du Développement durable, de s'en préoccuper.

Delphine Batho n'avait pas même cherché à me rencontrer quand elle s'est rendue à Brest le 10 avril 2013 à la deuxième convention Thétis des Energies Marines Renouvelables. Peut-être parce que je suis médecin, et non pas ingénieur, et qu'elle-même n'a pas la formation adéquate. Il est vraisemblable qu'elle pensait que si une telle solution pouvait exister, il y a longtemps qu'elle aurait été trouvée et exploitée par EDF. Je ferais remarquer à ce sujet que Phillipo Brunelleschi était ni maçon ni architecte, mais orfèvre, ce qui ne l'a pas empêché d'être le seul à avoir proposé une solution qui ne fasse pas appel à un lourd étayage pour terminer à Florence l'édification du munumental dôme de Santa-Maria del Fiore.

Il se trouve que je ne suis ni neurologue ni nutritionniste ni gériatre, ce qui ne m'avait pas empêché, en 1990, de trouver la solution qui permit à un malade (mon père, en l'occurrence) de sortir d'un état désespéré et du coma où il avait fini par plonger au terme de six semaines d'hospitalisation.

Je lui avais ainsi permis de se rétablir. Il retrouva ses esprits alors qu'il avait été diagnostiqué par les neurologues hospitaliers qui l'avaient en charge "maladie d'Alzheimer" et "encéphalopathie vasculaire", le tout baptisé "atteinte diffuse du système nerveux" (sic, cf. sur ce blog, en annexe, le CR d'hospitalisation de l'article "L'omerta dans les affaires de viol impliquant la responsabilité de l'Etat").

Lesdits neurologues et gériatres l'avaient ainsi "voué à une inéluctable plus grande dégradation" (sic, cf. le rapport d'expertise rédigé par le Dr.François Chedru conformément aux désirs et sous la dictée des Prs. André Lienhart et René-Claude Touzart afin de soustraire leurs confrères à leurs responsabilités. Ils n'avaient proposé qu'une opération orthopédque, qui outre qu'elle était dangereuse et totalement inadéquate, avait été faite par chirurgien autoproclamé. Les neurologues du CHU Bicêtre, pour parfaire la mortelle inadéquation dec cette opération, s'étaient entendus pour n'aministrer au malade que du Prozac*, confiant à leur Intene Olivier Ille le soin de transmettre la consigne de ne faire que semblant d'administrer au malade le traitement approprié au très obéissant gériatre Jean-Yves  Beinis.

Ce qui n'avait pas été prévu, c'est que les infirmières du Service gériatrique où ils avaient fait tranférer leur malade afin qu'il y termine "normalement" sa vien allaient déjouer leur mortel stratagème.

C'est ainsi que le rétablissement de leur malade ne leur fit nullmement plaisir, mais les plongea dans la panique.

Au lieu de s'en réjouir, il les poussa à tout de suite déclarer, à faux, "perdu" son dossier quand j'ai demandé à le consulter. 

Ils détournèrent à leur profit la proposition que j'avais conjecturée, et en mise en évidence en obtenant la résurrection du mourant.

J'avais fait l'hypothèse qu'il devait exister un trouble au niveau de l'absorption ou du métabolisme de la vitamine B12, et parlé de "carence d'utlisation" pour rendre compte de l'existence de ce qui se passait, qui paraissait être comme une maladie de Biermer, c'est-à-dire un état de carence vitaminique B12 sévère avec test de Schilling normal. ET vitaminémie normale .  

J'étais très près de la réalité de ce qui s'était passé, puisque lesdits neurologues avaient ordonné de ne faire que semblant d'administrer à leur malade un traitement vitaminique B12 drastique, traitement  normalement requis pour traiter la maladie de Biermer. Il s'agissait donc bien d'une "carence d'utilisation de la vitamine B 12" au sens strict.

Les affections de ce type, d'abord appélées "carences vitaminiques B 12 avec test de Schilling normal" sont désormais reconnues comme étant plus fréquentes que la maladie de Biermer, dont elles ne seraient que des variantes cliniques.

Ce syndrome a, en 2003, du fait de l'abandon de la commercialisation du test de Schilling, reçu le nom de "syndrome NDB12PP".

Les neurologues profitèrent de cette mise en évidence pour se faire attribuer une Unité de Recherche à l'INSERM pour leurs méritants travaux.

Pour me clouer le bec, ils me firent accuser par la direction de leur CHU d'avoir moi-même "fabriqué" (sic) la maladie de mon père (*), ce qui s'appelle en médecine un "syndrome de Münchhausen", c'est-à-dire d'être l'auteur d'un crime passible d'une lourde condamnation pénale (ou d'un internement psychiatrique).

Cette accusation leur faisait obligation d'en faire le signalement aux autorités judiciaires (Article 40 du Code de Procédure Pénale). Le Pr. Gérard Saïd m'en menaça en 2004, sans donner suite,  

J'ai découvert (en 1992) que le docteur Michel Serdaru, neurologue émérite de la Fédération Fançaise de Neurologie, avait fait la même découverte, celle-ci incidemment mentionnée sous la forme d'une simple remarque dans un précis de neurologie paru chez Flammarion Médecine-Sciences en 1991, un précis intitulé "La maladie Alzheimer et autres démences" (livre rédigé sous la direction des Prs. Jean-Jacques Hauw et Jean-Louis Signoret)

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(*) j'aurais volontairement "fabriqué" la maladie de mon père par "antisémitisme" (parce que je m'appelle Cretien ?! ). Cette stupode et crapuleuse accusation provient en fait du Chef du Service responsable, le très "éthique" Pr. Gérard Saïd.

Il fit appel à Emmanuel Hirsch, un philosophe de ses relations, tout aussi madoff que lui, pour créer en 1995 un enseignement de l'éthique médicale dans son CHU, avant de faire transférer cete enseignement à l'hôpital Saint-Louis.

Ce beau rideau de fumée fut pompeusement appelé "Espace Ethique de l'AP - HP". Il était d'autant plus nécessaire que ce qui s'était passé dans son Service avec olivier Ille allait se reproduire deux ans plus tard CHU de Mantes la Jolie.

Sous l'égide du même Dr. Olivier Ille, aussi Madoff de l'éthique que lui, Christine Malèvre se vanta d'avoir "euthanasié" une trentaine de malades avant de comprendre que ce n'était pas surtout chose à claironner sur les toit.

Il fallait garder secret l'entreprise génocidaire.

Elle dut se rétracter et ne concéder que six assassinats.

Ainsi que le Dr. Laurence Kouyoumdjian, qui avait mis fin au génocide, au lieu d'être récompensée et décorée, fut au contaire sans ménagement prié d'aller se faire voir ailleurs cependant que le très "éthique"  et très catholique Dr. Olivier Ille, qui s'était gardé de mettre fin aux assassinats et qui  avait déjà transmis, depuis l'hôpital Bicêtre, au Dr. Jean-Yves Beinis la consigne de n'administrer qu'un traitement mortel à mon père, est toujours en place.  

Dans le compte-rendu du Cinquième Rassemblement du Mouverment "Amour et Vérité", qui s'est tenu à Paray le Monial du 13 au 15 mars 2013 sur le thème  "Prends soin de lui"on peut lire : << Prendre soin du malade ne signifie pas seulement s’occuper de la maladie, mais prendre soin de toute sa personne corps, âme, esprit. Le malade est plus qu’un simple corps. On ne peut séparer le corps de l’âme, car le corps lui-même est spirituel. S’occuper d’un malade entièrement suppose de l’accompagner dans la durée, de l’aider à garder une certaine autonomie et de respecter sa dignité et son humanité.

Olivier Ille reçoit la parole « prends soin de lui » comme une invitation personnelle du Christ. Il le reçoit comme un commandement d’amour qui s’adresse à tous. La parabole du bon samaritain est un exemple d’humanité, une invitation à suivre Jésus dans son attention aux personnes qui souffrent. Le Christ nous envoie et nous guide.

« J’ai tendance à répondre à sa place car j’ai l’impression qu’il souffre » disait d’un malade une aide soignante.

Olivier Ille montre combien il est important d’être compatissant, mais sans asphyxier les malades… Pour lui, à l’hôpital, il est important de savoir faire équipe et de conjuguer les approches.

La médecine fondée sur les preuves a pleinement sa valeur pour obtenir une excellence dans la compétence technique, mais elle doit être située à sa juste place dans la relation médecin – malade pour que la dimension humaine puisse aussi pleinement s’exprimer.

Il est nécessaire de bien distinguer ce qui relève des preuves au niveau institutionnel et de santé publique, de la situation personnelle des malades que l’on soigne. La rencontre interpersonnelle est fondamentale. Olivier Ille y montre le poids de la parole : « Des paroles inconsidérées blessent comme une épée, la langue des sages guérit » 

 

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18 février 2016 4 18 /02 /février /2016 23:38

Pour ester en bonne santé et vivre longtemps ne suivez surtout pas les fallacieux conseils des médecins et des nutritionnistes.

Ils vous répètent à longueur de journées de faire de l'exercice et de faire plus souvent crac-crac.

Les saumons font beaucoup d'exercices en remontant le cours des fleuves et des torrents pour aller faire crac-crac

Ils s'y épuisent et en crèvent rapidement

Or en tant que vertébrés ils sont génétiquement proches de nous

CQFD

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17 février 2016 3 17 /02 /février /2016 01:18

Lorsqu'en avril 1993 je me suis rendu au siège du Conseil de l'Ordre régional des médecins rendre compte des turpitudes des médecins de la Clinique Léon Elmelik, sise à l'Haÿ-les-Roses, en me remettant le dossier relatif à celle-ci, les secrétaires (du moins l'une d'elles, mais elle devait parler au nom des autres, qui avaient comme elle forcément connaissance du sulfureux dossier) m'avertirent que ce n'était certainement pas l'Ordre des médecins qui allait mettre fin aux viols et à la pédophilie : << Mon pauvre monsieur - me dit celle qui sortit les pièces d'un dossier relatif à cette Clinique - pourquoi voulez-vous que l'Ordre poursuive les violeurs et les pédophiles, ils sont au conseil de l'Ordre ! >>.

Sur ce, en me remettant ces documents, la secrétaire me mit entre les mains un imprimé à signer, dans lequel il était stipulé que je m'engageais à ne pas me servir des pièces du dossier qu'elle m'avait remis pour les communiquer à la justice. J'ai refusé de signer ledit imprimé. La secrétaire me laissa néanmoins le consulter et en faire des copies.

Je les ai confié à notre défense, à Me Annick Dorsner-Dolivet, avocat pénaliste, qui les joignit à la plainte contre X qu'elle avait réussi à faire ouvrir malgré les réticences manifestes du parquet de Créteil (madame Scelle, alors Juge d'instruction au TGI de Créteil, la pria de s'arranger pour que je n'aille pas ébruiter l'affaire.

Il fallait s'y attendre. En janvier 1991, l'inspecteur principal du Commissariat de l'Haÿ-les-Roses, le Commandant Christian Raeckelboom, avait tenu à m'informer qu'il avait à déplorer que la Clinique Léon Elmelik, propriété de médecins qu'il disait "milliardaires", était "protégée en hauts lieux", mais qu'il en ignorait la raison,

l avait enregistré des dizaines (cent cinquante m'avait-il précisé), qui toutes avaient été "bloquées au parquet" (sic).

En 1974, je n'avais que très peu d'expérience en psychiatrie, quand, au staff d'un Service dit institutionnel ("institutionnel" parce qu'un psychanalyste, François Roustang,  assistait à la présentation des cas pour donner un avis psychanalytique) mon tour fut venu d'exposer le cas d'un nouvel "entrant". C'était un grand-père  de 73 ans admis dans le Service pour un "état dépressif". Je m'étais rendu compte qu'il n'était pas vraiment déprimé, mais surtout très inquietSa petite fille, une adolescente, venait d'être hospitalisée à l'hôpital Saint-Anne sur le diagnostic de présomption de schizophrénie. Il s'inquiétait de ce qu'elle pourrait dire des relations qu'il avait entretenu avec elle, qui, m'assura-t-il, s'étaient limitées à des caresses, bien que celles-ci aient parfois abouti à une éjaculation, mais jamais, m'assura-t-il, il y avait eu pénétration.

Lorsque j'ai proposé en staff d'avertir le Service de Saint-Anne où la jeune fille avait été hospitalisée de ce qui s'était passé, la Chef du Service, madame Piret, fut prise d'angoisse. Elle coupa tout de suite court à mes dires en disant quve" ce n'était que des fantasmes", que le grand-père avait rêvé, et décida que l'on passe au cas suivant.

J'ai alors protesté qu'il ne s'agissait certainement pas de fantasmes, et me suis tourné vers le psychanalyste pour avoir son avis. A mon étonnement, François Roustang  resta à regarder le bout de ses chaussures (très bien cirées) sans bouger ni dire un mot, si bien que l'on passa au cas suivant. J'étais stupéfait.

L'analyste démissionna cependant peu après, devint de plus en plus critique envers la psychanalyse, critiquant la soumission des analystes au "chef de bande" qu'avait été Sigmund Freud et se tourna vers l'hypnothérapie.

- / -

Une "loi" hors la loi  permet à l'Ordre des Médecins d'imposer, sous peine d'exclusion, le silence sur les fautes, même et surtout les fautes les fautes relatives aux attentats sexuels commis par des médecins dans l'exercice de leur profession (Cf. encore récemment l'affaire du chirurgien de Jonzac,  le Dr. Joël Lescouarnec, qui a secoué la Presse nationale et internationale).

Cette "loi" autorise tous les débordements, y compris les viols les plus abominables, ceux commis sur les enfants, parfois même sur des nourrissons.

Le Parti Socialiste semblaient avoir pris conscience de la dangerosité  de l'Ordre de Médecins, qui en avait dans son Programme Commun de Gouvernement prévu la dissolution.

Mais François Mitterrand a "oublié" de mettre cette promesse à exécution une fois élu Président de la République, sans ne personne ne s'interroge sur les raisons de cet abandon.

Ma consœur Catherine Bonnet a fait l'amère expérience, en juin 1998, de ce qu'est en réalité l'Ordre des Médecins, le Conseil disciplinaire de l'Ordre des Médecins lui ayant infligé une interdiction de 9 ans (trois fois trois ans) d'exercice professionnel pour avoir fait trois signalements de viols pédocriminels, en dépit de l'article 40 du CPP, qui fait obligation aux médecins de Services publics, ce que sont les Conseillers de l'Ordre des Médecins, de signaler aux autorités judiciaires les crimes dont ils ont connaissance dans l'exercice de leur fonction.

Mais ce faisant,  Catherine Bonnet s'était sans trop le savoir mis au travers des "lois" hors la Loi interne au CNOM.  Des "lois" qu'il faut bien dire providentielles pour les médecins pédophiles, c'est à dire pour la pédophilocratie interne.

L'ancien ministre de l'Intérieur Pierre Joxe, devenu avocat, a pris conscience de ce problème pour se consacrer à la défense des enfants. Il était présent à la Table Ronde du 24 février 2011 organisée par le docteur Gérard Lopez à l'Institut de criminologie de Paris.

Cette "Table Ronde" était consacrée aux conséquences de la mystification d'Outreau.

Dans sa présentation le Dr. Gérard Lopez écrit << Les résultats de la recherche se heurtent aux positions idéologiques et aux réactions émotionnelles largement entretenues par les médias. Les nouveaux masques du déni de la maltraitance infantile – syndrome des faux souvenirs, syndrome d'aliénation parentale, résilience mal interprétée, critique d'une société soi-disant compassionnelle – parviennent à relativiser dans une large mesure le discours scientifique concernant les conséquences personnelles et sociales de la maltraitance infantile. A cet titre le procès dit d'Outreau a des conséquences particulièrement délétères sur le plan sociétal et probablement sur les droits des enfants bien que 12 des 15 enfants aient été reconnus victimes de viols et d'actes de proxénétismes >> ...

Il est à noter que le docteur Lopez avait fait l'objet d'une campagne de dénigrement tendant à le faire passer pour “scientologue”.

La gent médico-pédophilocratique ne recule en effet devant aucun procédé pour essayer de discréditer ses contempteurs : Anne Fournier, déléguée à la lutte contre les dérives sectaires, répétait à l'envie dans ses conférences que Gérard Lopez était “scientologue”.

D'autre part, alors qu'il me savait investi dans la lutte contre les mensonges psychanalytiques, le Conseil Départemental de l'Ordre des Médecins du Val-de-Marne  s'était arrangé par je ne sais quel truchement de me faire passer pour pédophile et antisémite auprès de ma Consœur Catherine Bonnet.

Celle-ci me demanda par la suite de la pardonner d'y avoir cru (ou de ne m'avoir pas cru lorsque je lui rapporter ce que m'avait confié le Commandant Christian Raeckelboom, le Principal du Commissariat de l' Haÿ-les-Roses au sujet des médecins de la Clinique Léon Elmelik, qui, se sachant "protégés en haut.s lieu.x", se permettaient d'y faire tout ce qu'ils voulaient sans risquer de se voir sanctionnés, y compris de violer les femmes en couches (en salle de réveil ?)

En 1996, l'affaire Dutroux battait son plein, qui coïncidait avec du Congrès de Stockholm qui eut lieu en août 1996 - en présence de la Reine de Suède - sur la pédophilie et l'exploitation sexuelle des enfants à des fins  commerciales.

Ce qui inquiéta la pédophilocratie ordinale, qui se mit sur la défensive.

Catherine Bonnet, Pascal Vivet et Bernard Lemper en firent les frais.

Selon ce que m'avait rapporté maître Annick Dorsner-Dolivet à propos de l'affaire qui nous opposait à des médecins de la Clinique Léon Elmelik, madame Toxé, Juge d'instruction au TGI de Créteil? prétendit "que les prisons étaient déjà suffisamment pleines et qu'elle ne voulait pas aller pour rien embêter de vieilles personnes" pour refuser d'instruire la plainte pour "coups et blessures volontaires et non assistance à personne en péril de mort" que le doyen des Juges d'instruction Serge Portelli lui avait transmise.

Sollicitée par Me Dorsner-Dolivet, Madame Bénedicte Scelle accepta d'ouvrir une instruction ... à condition qu'il soit fait attention "à ce que l'affaire ne soit pas "ébruitée" (sic), m'a rapporté Me Annick Dorsner-Dolivet au début de l'année 1995 !

 

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12 février 2016 5 12 /02 /février /2016 18:55

Les très médiatiques et populaires docteurs Michel Cymès et Marina Carrère d'Encausse n'osent toujours pas faire état dans le Magazine de la Santé de l'importante découverte que fut en 1990 celle du "syndrome de carence vitaminique B12 avec test de Schilling normal", découverte confirmée dans les années suivantes pour finir par s'appeler en 2003 "syndrome NDB12PP"  du fait  de l'abandon de la commercialisationn du test de Schilling

Le syndrome NDB12PP (le syndrome de Non Dissociation de la vitamine B12 de ses Protéines Porteuses, précédemment appelé "syndrome de carence vitaminique B12 avec test de Schilling normal") est pourtant une découverte majeure sur le plan médical et thérapeutique, puisque sa fréquence (sa prévalence) dépasse celle, déjà très conséquente, de la maladie de Biermer, maladie inéluctablement mortelle sans son remède spécifique, maladie dont ledit syndrome ne serait qu'une forme clinique, à l'époque non repérée parce que non détectée par le test de Schilling, responsable de faux négatifs.

C'était une découverte majeure dans la mesure où les graves troubles neurologiques et intellectuels que ce syndrome fini par engendrer avant d'entraîner la mort des malades sont remédiables de façon aussi simple et efficace que le traitement de la maladie de Biermer.

Une découverte majeure dans la mesure où  ledit syndrome concerne un très grand nombre de malades, qui  en l'absence de traitement sont inéluctablement voués à la mort dans un état de dégradation épouvantable, une dégradation qui peut être prise pour celle causée par la maladie d'Alzheimer. 

Le nombre de malades qui n'ont pas bénéficier et continuent de ne pas bénéficier de son individualisation, et par conséquent de son traitement, est difficile à chiffrer, d'autant qu'encore actuellement nombreux sont les praticiens qui en ignorent l'existence, ainsi que j'ai pu le constater en me livrant à un sondage téléphonique : seuls les jeunes praticiens sont une majorité à en connaître l'existence du fait qu'il faitb l'objet d'un enseignement universitaire, alors que les praticiens des anciennes générations continuent de l'ignorer, y compris certains gériatres et neurologues, et même certains nutritionnistes et hématologues, pourtant les premiers concernés !

Si seulement Michel Cymès et Marina Carrère d'Encausse y consacrait quelques émissions sans doute finirait-elle par toucher un plus grand nombre de praticiens.

Or bien qu'averrtis ils ne daignent toujours pas en faire état.

Les malades non détectés ont probablement été des milliers et sont encore tout aussi probablement nombreux, comme ce fut le cas de mon père en août 1990, à avoir été ou à être encore étiquetés "déments Alzheimer" et/ou "encéphalopathes vasculaires", deux affections semblablement causes de détériorations intellectuenles irrémédiables.

Mon père avait été déclaré  atteint de ces deux affections sous l'appellation  fallacieuse de "ATTEINTE DIFFUSE DU SYSTEME NERVEUXpar le très catholique Olivier Ille (Cf. son allocution sur le thème "prends soin de lui" au Cinquième Rassemblement d'Amour et Vérité du 17 mars 2013) alors que celui-ci était Interne dans le Service de neurologie de l'hôpital Bicêtre  dans le Service du Pr. Gérard Saïd, pour sa part membre de Médica judaïca, une Revue d'éthique médicale juive dirigée par Emmanuel Hirsch.

L'appellation "atteinte diffuse du système nerveux" est habituellement dévolue à la désignation des rarissimes, terrifiantes et irrémédiables "LEMP" (les Leuco Encéphalopathies Multifocales Progressives).

Ce diagnostic, aussi improbable que terrifiant, faisait suite à celui de  "DTA" (Demence de Type Alzheimer), et de "encéphalopathie vasculaire".

Du fait que ces affections sont irrémédiables, le malade fut délibérément laissé sans autre traitement qu'un anti-dépresseur (du "Prozac* un comprimé par jour") Cf. ci-après et les conclusions du compte-rendu d'hospitalisation et le  CRH complet dans un article précédemment publié sur ce blog sous le titre "vulnérabilité des malades et maltraitances hospitalières".

 

<< CONCLUSION

TROUBLES DE LA MARCHE EN RAPPORT AVEC UNE ATTEINTE DIFFUSE DU SYSTEME NERVEUX
UN TRAITEMENT ANTI-SPASTIQUE POURRAIT ETRE BENEFIQUE
PAS D'INDICATION OPERATOIRE
SYNDROME DEPRESSIF TRAITE PAR PROZAC UN COMPRIME PAR JOUR
REVALUATION DES FONCTIONS SUPERIEURES APRES TRAITEMENT
PATIENT TRANSFERE DANS LE SERVICE DE MEDECINE DU Dr. BEINIS Hôpital CHARLES-FOIX 
>> 

 

Cette "atteinte diffuse du système nerveux" fut contre toute attente, ("à la surprise générale", dixit le commentaire du Dr. Michel Serdaru, qui a pris connaissance de ce cas deux ans plus tard)  parfaitement remédiable après qu'elle a été traitée de la même manière que la maladie de Biermer, c'est-à-dire à partir du moment où il m'a fallu mettre moi-même en route un traitement plus adéquat que du Prozac*

Ainsi l'a démontré la mise en oeuvre de ce traitement alors que le malade était tout près de mourir, dans un état tel qu'il était devenu semblable à celui des déportés des camps de concentration nazis.

Ne recevant pour tout taitement que du Prozac un comprimé par jour il était dans cet état (voir site-Web  n° 108281777 html ) dans la totale et stupéfiante indifférence des médecins qui l'avaient en charge (l'indifférence des neurologues de l'hôpital Bicêtre comme des gériatres de l'hôpital Charles-Foix).

Il avait fallu que ce soit moi, le fils du malade, qui mette en route le traitement, après que les infirmières de l'hôpital Charles-Foix, voyant que leur malade allait de plus en plus mal, m'ont prévenu qu'il leur avait été demandé par leur Chef de Service de ne faire que semblant de lui administrer le traitement de la maladie de Biermer.

Soucieuses de ne pas se faire le complice d'un simulacre mortel, l'une d'elle m'invita à venir jeter un coup d’œil sur le cahier de prescription, afin que je puisse constater par moi-même que seulement un faux semblant de traitement avait été administré au malade, ce malgré la remarque qu'elles avaient faite à leur Chef dec Service que le malade présentait une glossite de Hunter, un symptôme pathognomonique des carences vitaminiques sévères.

Autrement dit symptômatique de la maladie de Biermer, une maladie à l'époque  (1990) considérée comme la principale causalité - à 80 % - des carences vitaminiques B12 sévères, c'est-à-dire mortelles, contre actuellement, 30 %, depuis l'identification du syndrome  NDB12PP, principale causalité des carences vitaminique B12 sévères, c'est-à-direc mortelles. 

Je laisse au lecteur le soin de calculer le nombre de malades décédés dans de si atroces conditions avant sa découverte, quand ils étaient  étiquetés maladie d'Alzheimer (Cf; l'article du Dr. Michel Serdaru paru dans "La maladie d'Alzheimer et autres démences" publié en 1991 chez Flammarion Médecine-Sciences sous la direction des Prs. Jean-Jacques Hauw et Jean-Louis Signoret.

La maladie de Biermer est une maladie fréquente causée par un défaut d'assimilation intestinale de la vitamine B12.  

Remédiable par uen vitaminothérapie B12 drastique, elle concerne autour de 5% des personnes de plus de 70 ans. Elle est mortelle si elle est laissée sans son traitement spécifique.

Depuis et du fait même que la preuve a été apportée que le diagnostic de maladie d'Alzheimer  était chez mon père erroné,  le syndrome NDB12PP a été identifié.  

Il est désormais reconnu comme étant en fait une variante de la maladie de Biermer. 

- / -

Addendum 

1 - La découverte ou plutôt la notion qu'il soit possible qu'un état de carence vitaminique B12 sévère puisse s'installer et être compatible avec une vitaminémie B12 normale et un test de Schilling normal n'était pourtant pas neuve en 1990.

Depuis que le Dr. Michel Serdaru et moi l'avons pointée,  cette notion est devenue en France plus présente dans l'esprit des internistes du fait même sa découverte a été faite dans des circonstances dramatiques et terrifiantes.  

Des circonstances qui semèrent la panique et la consternation au sein de l'administration de l'AP  comme au ministère de Santé.

2 - Bien que le New England Journal of Medicin depuis des années (Kolhouse, 1978, ainsi qu’en France les docteures J. Zittoun et H. Ogier de Baulny) aient attiré l'attention des praticiens sur le fait, cliniquement très important étant donné la grande fréquence de la maladie de Biermer, à tout coup mortelle si elle n'est pas traitée par une vitamino-thérapie B 12 intensive et prolongée, instituée le plus rapidement possible pour pallier à la mort inopinée des malades et les empêcher de développer des séquelles irréversibles, le syndrome NDB12PP restait mal connu des praticiens français, voire, chose étonnante, totalement méconnu (du moins apparemment) des neurologues du Service de neurologie de l'hôpital Bicêtre, alors dirigé par le Pr. Gérard Saïd, qui l'avaient confondu avec une démence vasculaire compliquée d'un Alzheimer, le tout baptisé "ATTEINTE DIFFUSE DU SYSTEME NERVEUX (sic, voir supra et www.34640255 html)

3 - Ce qui n'était alors que l'application d'une conjecture  auva la vie de mon père (Cf. infra § 12 et 13), mais fit de moi un paria : pour ne pas avoir tu les circonstances dans lesquelles furent faites son sauvetage, j'ai été menacé de représailles ordinales (qui furent effectives).

J’avais en effet contrevenu à ce que, dans "Blouses blanches, étoiles jaunes" (Liana Lévi, 1999), le Dr. Bruno Halioua appelle "l'omertà du milieu médical", autrement dit à la loi du silence, une "loi" qui contrevient terriblement à l'article 40 du Code de Procédure Pénale, qui dit l’obligation de dénoncer les crimes dont on a connaissance dans l'exercice de sa profession, une "omertà" que le Dr. Laurence Kouyoumdjian eut par la suite le courage de transgresser au CHU de Mantes la Jolie alors que son collègue que le Dr. Olivier Ille la respectait scrupuleusement.

4 - "L'omertà du milieu médical" consiste non seulement à taire, mais à occulter activement les fautes, même et surtout les plus lourdes, y compris les assassinats, que peuvent commettre des médecins dans l'exercice de leur profession.
5 - L'omerta qui règne dans le milieu médical explique que l'affaire relative au sauvetage de mon père fut vivement étouffée par la direction de l'Assistance Publique et par l'Ordre des médecins, si ce n ’est par la Direction de la Santé et la D.R.P.S. du Val-de-Marne (Cf. Google 73331815 html I A § 1).

6 - La préface du Pr. B. Glorion, la postface et la page 12 du livre du Dr. Halioua sont symptomatiques d'une tractation entre l'Ordre des médecins et les médecins affiliés à l'Association Médicale Rambam derrière leur soudaine et étonnante volonté de se réconcilier.

7 - Le Service de neurologie de Bicêtre s'est après celaz fait attribuer une Unité de Recheche à l'Inserm. le Pr. Saïd était auparavant affilié à l'IFREM, l'Institut de Recherche en Ethique Médicale Juive, éditeur de Médica Judaïca.

8 - En août 1990, il avait fallu que ce soit moi qui prenne conscience de ce que le test de Schilling pouvait faillir, et qui en fasse la remarque aux neurologues de Bicêtre après que mon père a été admis dans leur Service. Le diagnostic de syndrome neuro-anémique avait été porté aux Urgences du même hôpital.
9 - Le diagnostic s'était tout de suite montré évident au vu d’un hémogramme significatif coïncidant avec un tableau de sclérose combinée, une telle coïncidence étant pathognomonique des syndromes neuro-anémiques, c'est-à-dire d'une carence vitaminique B12 probablement en rapport avec une anémie pernicieuse de Biermer.

10 - Rapidement transféré en neurologie dans le Service du Pr. Saïd mon père failli mourir faute de n'y avoir pas reçut le traitement approprié au traitement la maladie de Biermer, pendant et après qu'il a séjourné dans ce Service, au prétexte que le test de Schilling avait été négatif.

11 - A cette époque, le Pr. Saïd, compte tenu de ce que le traitement des carences viaminique B12 ne souffre aucun délai (cf.§ 2), était en conflit avec le Dr. Jeannine Yvart, Chef du Laboratoire de médecine nucléaire, à qui il voulait imposer le test Dicopac * en remplacement du test de Schilling, le Dicopac * étant sensé donner un verdict deux fois plus rapidement. Madame Yvart le reprouvait, le disant beaucoup moins sûr que le test de Schilling (qui se fait sur 48 heures).

12 - Le test de Schilling avait été mesuré à 35 % et avait sur ce seul motif conduit les neurologues de Bicêtre à rejeter le diagnostic porté par les médecins aux Urgences de Bicêtre. Il n’avait pas été reconduit ou complété par une mesure de l’acidurie méthylmalonique, soi-disant indisponible à Bicêtre, ni même par un myélogramme.

13 - Afin que malgré ce résultat contradictoire soit normalement administré le traitement de l’anémie pernicieuse, je demandais qu'il ne soit pas tenu compte d’un résultat si discordant et de privilégier le diagnostic clinique porté à l'admission plutôt que celui d’une démence vasculaire, d’un improbable Alzheimer et d'une improbable compression médullaire.
14 - Mon argumentation face au Dr. Masnou, Chef de clinique, était simple : le test de Schilling, qui pour se faire nécessite d'administrer une quantité non négligeable de vitamine B 12, avait durant quelques jours apporté un évident mieux être neurologique au malade. Si une tumeur gliale avait été la cause de ses troubles neurologiques, le test de Schilling les aurait au contraire aggravés. On ne risquait donc rien à traiter le malade comme s'agissant d'un malade atteint d’une anémie de Biermer, le traitement par la vitamine B12 ne connaissant aucune contre-indication, hormis les gliomes.

15 - Le Dr. Masnou parut souscrire à mon raisonnement et accéder à ma demande, mais ne fit après cela que semblant de faire administrer à son malade la vitamine B12 de façon protocolaire alors que, comme la suite l'a démontré, celle-ci était absolument nécessaire à sa survie et au rétablissement de son malade : le test de Schilling, refait six mois plus tard par madame Yvart était à 5 %, un résultat non mentionné dans le CR hospitalisation signé du Dr. Masnou, qui en dépit de cette mesure significative d’une anémie pernicieuse porta en conclusion "AU TOTAL : Encéphalopathie vasculaire " ! (Cf. son CR)

16 - Après trois semaines passées dans leur Service, les neurologues firent transférer leur patient à l’hôpital Charles-Foix dans l'Unité de Soins Normalisés du Dr. Jean-Yves Beinis au prétexte qu'il ne guérissait pas et qu'il occupait indûment le lit, très coûteux, d'un Service de spécialité.

17 - Le Service fit accompagner ce transfert d'une lettre manuscrite écrite par l'Interne (Olivier Ille) en guise de compte-rendu d'hospitalisation, un CR dans lequel le diagnostic fait aux Urgences n'était pas mentionné, au profit d'indications cliniques vagues et non spécifiques (cf. § 13 ), ce qui désorienta un Dr. Beinis plus soucieux d’obéir aux recommandations qui lui avaient été faites que d’avoir un avis personnel. La lettre stipulait en conclusion de n'administrer qu'un semblant de vitamine B12 : seulement 1ampoule IM (d'un 1/2 mg par semaine au lieu d'1mg par jour, dose protocolaire pour le traitement de la neuro-anémie de Biermer), soit une dose tout juste suffisante pour que le malade puisse tenir en vie encore quelques jours.

18 - D’après ce que rapportaient des affiches placardées dans les couloirs du Service du Pr. Saïd, son activité dans la Recherche était axée sur la prévention des complications neurologiques du diabète. Les affiches sollicitaient en cela le soutien participatif des familles. Elles furent retirées quand, après que j’ai dû par moi-même faire ce qu'il fallait à Charles-Foix (Cf. infra § 19 ), pour que mon père puisse sortir vivant de cette forfaiture, j’ai pointé la contradiction de ses prétentions.

19 - Madame Pondu, la Surveillante de l'Unité de Soins "Normalisés" du Dr. Beinis avait d'elle-même su faire le diagnostic de la maladie de mon père. Son état était devenu tel qu'il était devenu nécessaire de le faire manger à la cuiller alors qu'il présentait une glossite de Hunter, un signe aussi très caractéristique de l'anémie de Biermer. Consciente de ce que continuer le simulacre de traitement commandé par son Chef de Service était criminel, mais n'obtenant pas de le faire réellement administrer, elle envoya une de ses infirmières m'en aviser. L'état de mon père était devenu effroyable. Le Dr. Beinis n'y prêtait aucune attention, averti qu'il avait été de ce que le malade était "voué à une inéluctable dégradation", ainsi qu'il me l’avait dit lorsqu'il me reçut le jour de son transfert, le 22 août 1990.

20 - Le 12 septembre 1990, il était 19 h quand je suis venu rendre visite au malade. J'y ai rencontré ma sœur qui venait de sortir de sa chambre. Elle descendait l’escalier qui y conduisait l'air soucieux. Elle me dit << Il va très mal, il divague, dit que "Paulette" (une amie d'enfance) est venue le voir ... >>. Elle retourna sur ses pas et me suivit dans la chambre.

Mon père, à moitié dévêtu et couché sur le dos gesticulait comme s'il avait cherché à s'agripper à un objet imaginaire. Il avait cette agitation qui précède de peu la mort. Il sombra peu après dans le coma.

Ma sœur dit : << Toi qui est médecin, tu ne peux vraiment rien faire ?! Je dis : Mlle Sitruk prétend qu'il a une tumeur cérébrale et souffre d'une DTA. Il n'a pas plus de T.C. qu'un Alzheimer ou la maladie de la vache folle. Cette histoire d'hydrome sous-tentoriel (sic) ne ressemble à rien. Une infirmière m'a demandé de vérifier son traitement. On n'a fait que semblant de lui administrer, c'est pourquoi on en est arrivé là. Il ne voit plus alors que ses pupilles sont complètement dilatées. Elles ne réagissent pas du tout quand je les éclaire. Il est en train de mourir. Il n'est plus temps d'attendre le 24 septembre le rendez-vous d 'I.R.M. à Broca. Je peux essayer de faire ce qu'il faut, mais il ne faudra rien me reprocher si ça ne réussit pas. J'ai tout juste le temps de courir à la pharmacie chercher ce qu'il faut avant qu'elle ne ferme >>. Il était 19 heures 15. Je me suis rendu en courant à la pharmacie la plus proche acheter une boite de 6 ampoules de cyanocobalamine Labaz * et 3 seringues (le tout pour 12 francs et quelques centimes). J'administrai immédiatement la moitié du coffret, soit 3 milligrammes (épilogue sur Google 73331815 html chap. IV ou 88401419 html et " Une nuit vitaminée").

21 - Le Dr. Bruno Halioua avait été tout surpris d'être invité par l'Ordre des médecins à transgresser "L’omertà du milieu médical". Dix jours après que le Pr. Gérard Saïd s’est rendu-compte, lors d’une discussion orageuse qu'il eut avec moi, que j’étais en mesure de démontrer à la Justice que l’erreur de diagnostic ’abonnement de la bibliothèque du CHU de Bicêtre à la Revue Archives of Neurologie, au prétexte qu’ elle était mauvaise, et retirer les numéros existants de ses rayonnages.

22 - Dans les années qui suivirent l'hospitalisation de mon père à Bicêtre, la prestigieuse Revue Archives of Neurologie avait attiré l'attention des médecins sur l'augmentation significative, de l'ordre de 20 %, de l'incidence de la maladie de Biermer chez les malades VIH +. Plus tardivement encore, en décembre 2003, l' Encéphale, une Revue neurologique française lue aux Etats-Unis, publiait un article signé d'un collectif, sur l'incidence de la maladie de Biermer dans la survenue du délire de Capgras (aussi appelé délire d'illusion des sosies), un délire qui se résout non pas par l'administration de neuroleptiques, mais plus logiquement et plus efficacement par le traitement de la maladie causale, c'est-à-dire par l'administration d'une vitamino-thérapie B12 intensive, traitement spécifique de la maladie de Biermer (L'Encéphale, Vol 29, N° 6, pp 560 - 565). Les numéros antérieurs à 2004 de cette Revue ont aussi curieusement disparu des rayonnages de la bibliothèque du CHU Bicêtre, cependant que le Pr. Saïd avait fait des pieds et des mains pour faire figurer en 2003 son nom dans un savant article du Dr. Hélène Ogier de Baulny publié par Archives of Neurology, un article portant sur les maladies neurologiques héréditaires liées à des troubles métaboliques de l’utilisation cellulaire de la vitamine B 12.

23 - Le délire de Capgras peut avoir des répercutions médico-légales, et c'est bien ce qui s'est passé en 1990 lorsque mon père, miné et vulnérabilisé par un syndrome neuro-anémique en cours de constitution, a été victime de médecins prédateurs. Ceux-ci cherchèrent à exploiter son évident état d'affaiblissement intellectuel pour le dépouiller de ses biens. Contrairement à ce que l'Ordre des médecins, institution para-étatique perverse, voudrait faire croire extra muros, il existe des médecins qui cherchent avant tout à exploiter leurs malades quand l'occasion s'y prête plutôt que de leur rendre réellement service. C'est d'ailleurs pourquoi le PS, qui en était conscient, avait prévu de le dissoudre en 1981 (Cf. § 2 sur l'omertà du milieu médical : nombreux furent les médecins qui profitèrent de l'occupation nazie pour spolier les malades vulnérabilisés par les lois de Vichy, et bien après la guerre cf. aussi l'affaire Rossignol).

24 - Depuis quelques mois, vulnérabilisé par la maladie, mon père s'était mis en tête et répétait à qui voulait l'entendre que je n'étais pas son vrai fils. Il se croyait atteint d'un cancer des os et m'en voulais de ne pas abonder dans ses fantasmes quand je lui affirmais qu'il n'en souffrait aucunement. Dans son esprit, si j'avais été son vrai fils, jamais je n'aurais pu ne pas être sincère avec lui. Un vrai fils n'aurait pu que lui ressembler, donc être comme lui-même intelligent et dévoué. Il s'était trouver un autre fils, qui était, prétendait-il, brillant professeur en chirurgie dentaire, et non pas, comme je l'étais, un imbécile et un hypocrite. Il avait été jusqu'à croire, mais j'ignorais qu'il le répétait à qui voulait l'entendre, que son faux fils, c.-à-d. moi, était un alcoolique (!?) qui voulait sa mort à essayer de l'empêcher de se soigner ! Il se sentait alors très malade et proche de la mort. Et il l'était effectivement, mais pas comme il le croyait, à cause d'un cancer des os, mais à cause d'un sous-jacent syndrome neuro-anémique : si j'avais bien perçu qu'il délirait et qu'il fallait qu'il soit vu par un psychiatre tiers, je n'avais pas à l'époque réussi à l'y amener, ni même pensé que son délire pouvait être attribuable à un délire de Capgras et à un affaiblissement dû à syndrome neuro-anémique. Celui-ci n'avait pas encore été diagnostiqué, et sans doute un autre que moi n'y aurait pas non plus immédiatement pensé. J'avais seulement réussi à l'amener à consulter un pneumologue au Centre pneumologique de Chevilly-Larue, le 10 mai 1990, quinze jours avant qu'il ne succombe aux charmes des susdits prédateurs, car si cancer il y avait effectivement à craindre - il était depuis quelques semaines pris de toux subintrantes et avait énormément maigri - ce qui pouvait être l'expression d'un cancer pulmonaire. Mais sa toux était, d'après le pneumologue qui l'examina, l'effet d'un médicament anti-hypertenseur (le Lopril *), qui fut changé pour un autre (pour l'Adalate *). Ce qui arrangea les choses, mais peut-être aussi sa toux était-elle surdéterminée par une abolition du réflexe du voile du palais, une découverte faite quelques mois plus tard à Bicêtre et noté dans le CR d'hospitalisation (cf. sa reproduction sur le site 69970222hrml). Comme souvent en médecine comme dans d'autres domaines, un train peut en cacher un autre; Cette abolition était aussi cause de toux en favorisant les fausses routes alimentaires.

25 - Quand j'étais enfant, mon père, qui était d'un tempérament jaloux, avait été jusqu'à apprendre le suédois parce que je le parlais moi-même couramment. Il s'était de même plus tard mis à lire Freud parce que j'avais trouvé utile de suivre une psychanalyse dans les années 1970. A l'époque il était inconcevable de se vouloir psychiatre sans avoir fait une analyse personnelle. De fait, si la méthode est valable, je découvris par celle-ci que la théorie qui sous-tend la psychanalyse, qui prétend que les fils veulent "tuer les pères" pour les remplacer auprès de leur mère, est loin d'être universalisable et commune à tout un chacun. Elle est controuvée (ce que ne conçoivent toujours pas de nombreux analystes intégristes, restés dogmatiquement inféodés à leur messie. Cette inféodation est a contrario la preuve qu'eux-mêmes tiennent à la survie, tout au moins "spirituelle", de leur père doctrinaire. La psychanalyse orthodoxe repose en effet moins sur une réelle investigation scientifique que sur un postulat tiré d'une interprétation greffée sur une mythologie, une interprétation qui visait à absoudre le père du "père" de la psychanalyse (voir à ce sujet la thèse, remarquable, de Marie Balmary - rééditée en 1997 chez Grasset - intitulée "L'homme aux statues- la faute cachée du père", bien que Balmary ait à un moment elle-même voulu montrer patte blanche en souscrivant au délire freudo-lacanien, que les prénoms des enfants de Freud ont été inconsciemment choisis pour composer le nom de Moïse, c.-à-d, le nom du père des religions monothéistes et théocratiques.

26 - Le mien avait dans sa maladie et son angoisse fini par délirer et confondre la théorie de Freud avec la réalité. Dans son délire, il n'arrivait pas à se détacher de l'image radiologique dans laquelle il croyait voir un méchant cancer des os iliaques, un cancer dont j'aurais été avec le Pr. Witvoet la cause. Je l'avais en effet adressé six ans plus tôt à cet éminent chirurgien orthopédiste plutôt qu'à un autre, pour satisfaire sa propre demande d'être opéré sans être totalement endormi. L'opération eut lieu en avril 1984. Elle lui donna satisfaction ... jusqu'à ce que, à la suite de chutes dues à un statut neurologique devenu en 1989 très précaire, sa prothèse (de type Ceraver *) ne se descelle légèrement. Sa hanche en devint douloureuse. En scrutant les radiographies, il voyait dans l'image des crampons cotyloïdiens de la prothèse l'expansion d'un redoutable cancer, et dans le commentaire médical du radiologue une paraphrase destinée à lui cacher la terrible "vérité". Signe qu'il délirait, je n'arrivais pas à lui faire comprendre, malgré l'évidence, qu'il ne s'agissait que de l'image de crampons de fixation. J'avais fait part de son ingérabilité à mon confrère le Dr. Jean Garrabé en mars ou avril 1990, et à Paul Brousse à une consœur du Service du Pr. Daniel Ginestet (une consœur dont je n'ai pas retenu le nom).

J'avais tout juste réussi à l'amener consulter un pneumologue à Chevilly-Larue, mais n'étais pas arrivé à l'amener consulter en neuropsychiatrie quand il succomba à l'équipe directrice de la Clinique de l'Haÿ-les-Roses. Celle-ci avait depuis quelques mois réussi à l'appâter en lui offrant des consultations gratuites (d'après ce que rapporta l'expertise du Dr. Dano en novembre 1997). L'équipe lui tendait une oreille pseudo-compatissante et en le caressait dans le sens du poil. Travaillant en harmonie avec le maire Marc Méchain et sous la protection du président départemental du Conseil de l'Ordre des médecins le Dr. Jean Pouillard, l'équipe n'eut aucun scrupule à me prendre de court pour me court-circuiter. Elle le ferra le 25 mai 1990 alors qu'elle me savait en province à 500 km. Leur proie faillit ne pas sortir vivant de l'aventure. L'intention n'avait pas été d'attenter à sa vie, mais lui faire remettre, par l'intermédiaire de Marc Méchain, à son vrai pseudo fils professeur en chirurgie dentaire, le transfert que son notaire de Cachan s'était refusé de faire (un transfert illicite qui ne serait probablement jamais parvenu à destination).

27 - Je certifie véridiques et encore vérifiables les faits monstrueux et effrayants, ci-dessus et ci-après rapportés, que la Justice, sous la houlette de Michel Barrau, a balayer d'un méprisant non-lieu le 3 juin 1998 malgré le rapport d'expertise du Dr. Yves Dano, accablant pour les opérateurs (44 pages d'une dactylographie serrée, dont les dernières en conclusions contredises du tout au tout les précédentes : le plaignant aurait dans sa conclusion été consentant pour ce qui lui était arrivé à la Clinique de l'Haÿ-les-Roses le 25 mai 1990 ! Ne dit-on pas aussi des femmes et des enfants violés qu’ils ont été consentants ?

28 - Cinq ans plus tôt (en novembre 1992 et mars 1993), mon excellent Confrère le docteur Michel Serdaru, un des meilleurs cliniciens de la Fédération Française de Neurologie, en se chargeant du patient, prit connaissance des CR d'hospitalisation établis à son sujet à Bicêtre par Olivier Ille et le Dr. Pascal Masnou. Il se demanda devant moi si mon père avait eu affaire à de véritables médecins ! Il fit des photocopies des CR. L'IRM réalisée à Broca le 24 septembre 1990 était de mauvaise qualité mais suffisamment parlante. Il la fit refaire. Apprenant comment l'Ordre des médecins s'était comporté par rapport à cette affaire, il s'était écrié, indigné et en colère, que le centième des fautes qui avaient été commises méritait un procès, et qu'il allait avertir la presse. Il me communiqua le nom d'un bon avocat (Me Bernfeld). Mais quand il apprit qu'un des médecins de Clinique Elmelik (la Clinique de l'Haÿ-les-Roses) était en cause, il blêmit. Il me dit, stupéfait : "Ah mais celui-là, il a des relations ! " (sic), Et il ne fut plus question d‘avertir la Presse.

29 - Après le 12 septembre 1990, après que mon a reçu un traitement plus approprié à son état, mon père fut réopéré de sa hanche à Bicêtre en Juin 1991. Ces années furent pour moi très éprouvantes. Il me fallut exposer à la Justice les faits relatifs à ces forfaitures après la mort de mon père, subitement décédé le 2 octobre 1994 à l'hôpital Charles-Foix dans des circonstances non seulement très douloureuses, mais extrêmement suspectes, non élucidées malgré ma demande expresse. Ma mère était peu avant lui décédée dans le même Service d'une maladie d'Alzheimer. Elle fut autopsiée sans que je ne le demande et malgré l'inutilité de cette entreprise. J'avais longtemps dû assumer quasiment seul avec mon père la défaillance du médecin traitant de ma mère. Il ne voulut plus s'occuper d'elle à partir du moment où elle tomba plus réellement malade (en 1988). Il s'était durant des dizaines d'années contenté de lui prescrire de façon inintérompue du Valium* à fortes doses, un traitement antihypertenseur et un traitement hypocholestérolémiant. J'ai fait arrêté les benzodiazépines, les suspectant d'avoir eu un rôle dans la survenue de son Alzheimer, une hypothèse que je ne suis plus tout à fait seul à formuler.

30 - Quand je me suis adressé à la CADA en 2004 pour que le dossier d’hospitalisation de mon père dans le Service du Pr. Saïd me soit enfin communiqué (j’avais appris qu’il n’était pas réellement perdu comme on prétendait) j’ai été accusé par la sous-directrice de l’hôpital d’avoir moi-même volontairement provoqué la maladie de mon père par anti-sémitisme !? Les autres articles du blog de léon - pierre cretien tels que « Théories du complot, mythes ou réalités » compléteront votre information.

Après que mon père a récupéré ses esprits en décembre 1990 grâce au traitement vitaminique que j'avais dû moi-même mettre en route en septembre 1990, ancien opticien, il s'occupa de faire opérer ma mère de la cataracte en janvier 1991. Il fallut quelques mois après de le faire lui-même réopérer de sa hanche pour changer sa prothèse, qui s’était plus complètement descellée après une mauvaise chute. Cette réintervention, effectué par le Dr. Thévenin dans le Service du Pr. François Mazas donna entière satisfaction au patient malgré les séquelles neurologiques dues au traitement trop longtemps retardé de son syndrome neuro-anémique.

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