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16 février 2015 1 16 /02 /février /2015 15:19

Je souhaite pouvoir mener à bien le développement et l'expérimentation en vraie grandeur d'une technique originale susceptible de participer très vigoureusement au développement économique de la France et des pays qui, en Europe ou en d'autres continents, bénéficient comme elle d'un littoral maritime présentant de grands coefficients de marées.

Le potentiel énergétique des marées est en effet colossal, susceptible de rendre superflu le recours à l'énergie nucléaire s'il était possible de l'exploiter plus massivement, plus économiquement et plus écologiquement qu'il n'est actuellement exploité avec la technologie des barrages.

Or c'est possible avec le STSMC et le STSMI, deux procédés techniques que j'ai mis une quarantaine d'années à concevoir, qui sont, par leur principe de fonctionnement, à l'abri de la corrosion marine et susceptibles de résister aux conditions météorologiques et maritimes les plus extrêmes, hormis évidemment les grands tsunamis.

Outre ces qualités économiques, ils peuvent être très rapidement et sans danger développés, ne dépareront nullement l'horizon des mers ni ne gêneront la navigation, contrairement aux éoliennes off-shore, qui sont chères et dangereuses à monter, et dont bilan énergétique est faible, voire dérisoire par rapport aux énergies que lesdits procédés techniques sont capables de délivrer.

Le problème que ma précédente découverte, faite en 1990 (il s'agit du syndrome de carence vitaminique B12 avec test de Schilling normal, depuis 2003 rebaptisé syndrome NDB12PP) m'a été ruineuse. L'Ordre des médecins avait malencontreusement décidé de me faire payer cher son application en me menant menant la vie dure.

L'Ordre avait monté contre moi ce qui s'appelle un "chantier". En effet, après avoir postulé la possibilité d'un tel syndrome, j'avais appliqué son traitement à la mystérieuse "atteinte diffuse du système nerveux" dignostiquée en neurologie à Bicêtre en 1990 chez mon père. Je l'avais ainsi mis en évidence en lui sauvant la vie, alors que ses médecins n'avaient pas su le faire le bon diagnostique, lui refusant par là-même un traitement salvateur.

Il me fallut moi-même le mettre en route alors qu'après six semaines d'hospitalisation sans le recevoir leur malade était tout près de mourir. A leur décharge, ce syndrome était resté méconnu malgré une première découverte faite en 1973 par Doscherholmen.

L'ayant redécouvert, j'avais voulu rendre cette possibilité plus connue en alertant mes confrères les plus à même de la confirmer, à savoir premièrement à Saint Louis le Pr. Yves Najean, à Bicêtre madame le Dr. Jeanine Yvart, à la Fédération Française de Neurologie le Dr. Michel Serdaru, à Henri Mondor madamel le Dr. Jacqueline Zittoun, à Charles-Foix le Pr. François Piette, qui sont tous susceptibles de confirmer l'information que je leur ai adressée et que je vous adresse présentement. Le Pr. Gérard Saïd ayant officiellement campé sur ses possitions en soutenant malgré l'évidence du contraire que mon père n'avait souffert que d'une "encéphalopathie vacsulaire" compliquant une maladie d'Alzheimer (Cf. le CR d'hospitalisation établi dans son Service à Bicêtre daté du 20 septembre 1990 et la lettre manuscrite datée du 20 août 1990 que son Interne a adressé au Dr. Jean-Yves Beinis, qui lui interdisait le traitement que je préconisais.)

Après que j'ai réussi à sortir mon père du coma, le Pr. Gérard Saïd m'a menacé de plainte en diffamation lorsque je me suis étonné qu'il puisse déclarer perdu le dossier de mon père alors qu'il ne l'était pas.

Pour en savoir plus sur cette ruineuse affaire consulter aussi le sites-Web n° 34640255 html mis en ligne en juillet 2009 et l'article "dans les pays de basse démocratie".

Votre message a bien été réceptionné. Vous allez recevoir une copie du courriel en guise de confirmation.

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commentaires

G
” and “post meridiem” becomes “p.
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