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22 mai 2015 5 22 /05 /mai /2015 17:13

Faire croire à des victimes de violences sexuelles subies dans l'enfance qu'elles ne sont en fait que victimes de soi-disant désirs incestueux relève des conneries incestuelles freudiennes, que de nombreux psychiatres ont osé gober, soutenir et

propager, ce qui a eu pour effet de sur-culpabiliser les victimes et souvent de les pousser au suicide.

La théorie œdipienne n'est pourtant pas totalement absurde, comme l'a fait dernièrement remarquer Philippe Vergnes sur AgoraVox,  mais révélatrice et projective, c’est-à-dire paranoïaque. Elle révèle en le cachant ce que Freud ne pouvait et ne voulait pas savoir, mais que Jacques Lacan avait parfaitement compris, et pour cause (lire E. Roudinesco "généalogies"paru en 1994, qui faisait dire à Lacan non sans raison que la psychanalyse est un délire, et en tant que tel fondée sur la théorie conceptuelle de " forclusion du nom du père", cette forclusion étant vectrice de psychoses, y compris de la PHC (la psychose hallucinatoire chronique), à juste titre incluse dans la psychiatrie suédoise en tant que forme de la  schizophrénie (qui n'est en Suède pourtant présente qu'à 0,35 % de la population, contrairement à ce qu'il en est en France, pays freudien, où 1% est taxé de schizo).

Le  concept de "forclusion du nom du père" est à juste titre assis sur un "retour à Freud". Lacan tablait ainsi sur le sens strict des mots pour n’être compris que par ceux qui savaient mais n'en pouvaient parler sous peine de mort sociale (comment dire autrement que Freud était le fils de son grand-père maternel Jacob Nathansohn, et non pas de Jakob Freud, son père de saugarde pour l'honneur du père et de la fille Nathansohn).

L'imposture de la phallocratie médicale n'est donc pas nouvelle. Sigmund Freud n’avait pas été long à se rendu compte que dénoncer l'inceste et la pédo-criminalité en tant que cause de psycho-névroses (il se disait lui-même hystérique) revenait à se mettre à dos les nombreux pratiquants de la prédation incestueuse, c’est-à-dire les détenteurs de pouvoirs. Il choisit  dès lors de se ranger deleur côté et de nier nier la réalité, parla de fantasmes, bien secondé en cela par un grand amateur de tendrons, Ernest Jones, qui lui inventa la grossesse nerveuse d' Anna O et le complexe des dupes.

François Balmès, un exégète de Jacques Lacan, qui n'avait pas compris ce que Lacan avait compris et soutenu , poussa le ridicule jusqu'à vouloir répondre en 2003 à la question (stupide et pertinente !) qu'un auditeur lui avait posée (au Collège de philosophie, Paris Ve) : << Comment Lacan concevrait-il l'inconscient maintenant que l'on sait que l'univers a onze dimensions et non pas quatre ? >> Au bout de 10 minutes, le courageux exégète a fini par caler : il ne savait plus à quoi il répondait. C'est que la psychanalyse, comme l'incestualité qui la fonde, a effectivement le don de rendre sesa dapetes comme la lune. En psychanalyse comme en physique, il y a des variables cachées, impossibles à résoudre sans risquer de se voir socialement transformé en statue de sel. L'avaient mis en évidence Mary Balmary, dans "L'homme aux statues" (1979) et Gabrielle Rubin "Le roman familial de Freud" (2002) . Après l’avoir compris et révélé, GR a dû se tirer une balle dans le pied cinq ans plus et feindre l’imbécilitétard (en 2007), tandis que MB a dû changer de sujet (transmettre à Marinopoulos et Etienne Klein, à Yapaka (Belgique) ou à Philippe Vergnes (sur Agora-Vox).

Si j'avais les pouvoirs de Staline - je n'ose dire ceux d' Hitler, tant l'idéologie de Freud était proche de celle d'A.H. et pour les mêmes raisons (l'inceste et l'incestualité étaient à leur fondement). Freud professait en privé que ses patients l'insupportaient, qu'ils ne servaient à le faire vivre et à ses recherches, que c'était de la racaille, que le mieux aurait été d'en faire des cargaisons pour les couler - j'enverrais volontiers tous les freudiens au goulag.

J’ai été ultra-violenté en 1945, d'abord dans le cabinet d'un médecin pédoclaste (celui du Dr. B., mais pas Breuer) qui avait réussi à convaincre mes parents que je risquais le rachitisme (il savait que c'était là leur phobie, et pour cause) mais qu'il pouvait m'en prémunir par des séances d'UV thérapie. Ca tombait bien parce qu'il pouvait m'en faire dans son cabinet ou il y avait aménagé une chambre exprès pour ça !

Comme il exerçait dans l'immeuble mitoyen, après les premières séances, qui évidemment s’étaient bien passées, je pouvais m'y rendre seul. A la enième séance, je ne peux pas dire laquelle, sans doute la quatrième ou la cinquième, lui ou un assistant ou je ne sais qui a profité de ce que je n'y voyais rien - j'avais les yeux couverts par un bandeau de feutre noir - pour me sauter dessus et me violenter de la pire façon. Après quoi je suis devenu pantophobique et me suis mis à avoir peur de tout ce qui pouvait de près ou de loin ressembler à son installation soi-disant préventive du rachitisme, en particulier les salons de coiffure, où je refusai de mettre les pieds, et refusai de dormir dans ma chambre (c'était la salle de séjour qui me servait de chambre) et exigeai de dormir dans la chambre de mes parents avec la lumière allumée. D’où la colère de mon père, qui ne comprenait pas comment j'avais pu changé de caractère à ce point. Il avait jusqu'alors été très fier de son fils, de ce que les maitresses d'école pouvaient dire de moi, qui faisait qu'il me plaçait sur un piédestal, disant être "à genou devant mon intelligence" (sic). Et voilà que tout à coup j'étais devenu idiot. Il se mit à me haïr au point de me battre presque à mort pour m'apprendre raison. Le médicastre avait beau lui avaoir epliqué que les UV parfois pouvaient provoquer des telles réactions ! Mon père crut ce connard sur parole. Ma mère s'en fut trouver une pédo-psychiatre au dispensaire de la rue Furtado Heine (75014), qui lui expliqua , après m'avoir fait passer des tests et fait faire un dessin (qu'elle trouva bizarre), que j'étais intelligent mais que j'étais une "lavette" (sic). Je souffrais parait-il du complexe des dupes. Impossible d'en parler ensuite en analyse sans être accuser de fantasmer des désirs oedipiens refoulés et d'être accusé de "perversions" (sic) "C'est pas à vous d'imposer vos conceptions" me dit la psy (chiatre-lacanienne crétinisé du 286 Boulevard Saint-Germain) longtemps après que celle du dispensaire Furtado Heine (haine) a expliqué à ma mère que c’était sa faute (les psychanalystes comme Maud Mannoni avaient expliqué que les mères d'enfants autistes étaient responsables de l' autisme de leur progéniture - voir le film "Le mur" de Sophie Robert, qui valu à celle-ci la persécution des psychanlystes)

Freud avait compris que pour sa carrière, il avait intérêt, après qu’il s'est aperçu que dénoncer l'inceste et la pédocriminalité lui barrerait la route de la richesse et de la célébrité, de nier la réalité, bien secondé en cela par un amateur de tendrons, Ernest Jones, qui lui inventa la grossesse soi-disant nerveuse d'Anna O et le complexe des dupes, une mystification qui a provoqué quantité de suicides chez d'innombrables victimes, y compris des psychanalystes qui avaient naïvement cru à ses grosses ficelles (+ c'est gros …). Même Roudinesco dans son dernier livre sur Freud a fini concéder que ce complexe était de la foutaise, après que je lui ai mis les points sur les i X au sujet du "ramonage de cheminée" que le "bon" Dr. Josef B. (B. comme mon UV-thérapeute) offrait tous les jours de la semaine à sa jeune patiente Berha Pappenheim ("Anna 0") maintenue sous morphine (l'inconscient étant structuré comme un langage, il la morphi-niquait). Ramonage et labourage de crâne étant les mamelles de la sphinge fraeudienne, une "grossesse nerveuse" (dite hystérique) s'en était suivie chez sa patiente et une tentative de suicide chez madame Breuer. Mais c’est Freud qui accoucha deux ans plus tard de Théorie, qui stipulait que les petites filles ne désirent rien tant (inconsciemment) que papa les niques pour leur faire un bébé (conformément à ce qu'avait fait la mère de Freud avec son papa Nathansohn ! ) et les garçonnets rien tant que bousiller papa pour niquer maman à sa place (ce que le petit Sigi se rappelait avoir voulu faire avec sa maman quand il l'a vue "nudam" (ou sa maman avec lui, pour parfaire la tradition et boucler la boucle)

François Balmès, expliquant Lacan (qui lui au moins avait tout compris, et pour cause, à défaut de vouloir se faire comprendre) avait répondu en 2003 à une question d'auditeur au Collège de philosophie (Paris Ve) : Comment Lacan concevrait-il l'inconscient maintenant que l'on sait que l'univers a onze dimensions et non pas quatre ? Au bout d'une dizaine de minutes, François Balmès a fini par caler : il ne savait plus à quoi il répondait. C'qui prouve qu’en psychanalyse, comme en physique, il y a des variables cachées, impossibles àn situer sous peine de se voir transformé en statue de sel . Cf. "L'homme aux statues" (Balmary) et "Le roman familial de Freud" (Gabrielle Rubin) Après l’avoir située (la variable cachée ), Gabrielle Rubin a dû se tirer une balle dans le pied et feindre imbécillité totale cinq ans plus tard tandis que Marie Balmary a dû changer de sujet d'étude (soumettre aux regards Sophie Marinopoulos et à Etienne Klein voir si ça les transformerait pas en statues de sel).

Cf. http://genocides.over-blog.com ou "Yapaka" et Sophie Robert.

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