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1 mai 2015 5 01 /05 /mai /2015 12:24

- Le quotidien britannique The Guardian a révélé avant hier le contenu d'un rapport secret de l'ONU faisant état de viols commis par des soldats français en Centrafrique.

- Le psychiatre et psychanalyste (?) Samuel Lepastier pourra toujours écrire, comme il l'a fait en 2006 dans son commentaire omertiste (ou autistique ?)  sur les dysfonctionnements présumés de la Justice à Outreau, que les enfants de Bangui ont, comme les enfants violés à Outreau, surtout été victimes de leurs fantasmes inconscients, c'est-à-dire de leur Oedipe, qu'ils ne font donc que démontrer l'universalité de ce  complexe , inventé (découvert sur lui-même) par le génial professor Freud; Le Dr. Lepastier est lui-même professeur (sic). Cf.son commentaire dans Le Monde daté 8 février 2006. Il n'a pas l'air d'être au courant de ce qu'en France 2 millions de femmes ont été victimes d'incestes, et que son maître à penser est lui-même le fruit d'un inceste (ce qui a inspiré  sa théorie sur la théorie sexuelle des enfants ! Cf. Jacques Lacan "La lettre volée" et Gabrielle Rubin "Le roman familial de Freud", Payot 2002 en passant par Elisabeth Roudinesco "Freud en son temps et dans le nôtre" Le Seuil, nov 2014)

- Dans l'affaire dite du sang contaminé par le virus de l'immunodéficience acquise (VIH) Le Monde s'était déjà employé il y une trentaine années, via son chroniqueur scientifique le Dr. Yves Nau , à minimiser la responsabilité de l'Etat  alors qu'elle  impliquait la responsabilité du ministère de la Santé et celle de la Recherche.   

- A l'Haÿ-les-Roses la Police ne s'expliquait pas pourquoi le Dr. Jean-Claude Elmelik pouvait dans sa Clinique se permettre de violer impunément les parturientes (www. théorie du complot, mythe ou réalité - le blog de léon

En août-septembre 1990 de très nombreuses fautes, toutes plus grossières les unes que les autres, avaient été commises dans sa Clinique à l'encontre de mon père, où les médecins l'avaient attiré en lui accordant des consultations gratuites (d'après le rapport d'expertise du Dr. Yves Dano établit sept ans plus tard, en octobre 1997) alors qu'il était âgé de 79 ans sans que cela ait entraîné la moindre sanction judiciaire et ordinale envers les contrevenants. 

Mon père avait en 1990 développé depuis le début de l'année un grave affaiblissement intellectuel qui apparaît rétrospectivement avoir probablement été en  rapport avec  une infestation par le VIH post-transfusionnelle(le malade avait été transfusé en avril 1984 lors de la pose d'une prothèse de hanche (Cf. Infra bibliographie et CR d'hospitalisation).

Les médecins de la Clinique Léon Elmelik, qui travaillaient en accointance avec le maire de la ville, avaient profité de son délire-maladie (un délire de Capgras, aussi appelé délire des sosies, caractéristique voire spécifique de l'avitaminose B12) pour tenter de le dépouiller de ses avoirs  (le maire s'était proposé de se substituer à son notaire de Cachant,  Pierre Dauptain, qui s'y était refusé, pour transmettre la donation que dans son délire il voulait, avant de mourir, faire à "son vrai fils". Ces médecins  lui avaient en outre subrepticement infligé une dangereuse intervention orthopédique, au mieux inutile, mais surfacturée, au seul profit du cash-flow de leur Clinique.

Toutes ces crapuleries insensées et démontrées par des documents et l'expertise judiciaire du Dr. Yves Dano furent sanctionnées par un non-lieu judiciaire (Cf. celui-ci sur http:// ordonnance de non-lieu et omerta médicale

Des transgressions procédurales et des erreurs thérapeutiques potentiellement mortelles avaient été  commises. Il s'en était fallu de très peu qu'elles soient fatales. Elles ont toutefois laissé mon père lourdement handicapé sur le plan moteur, ce qui lui avait fait perdre son  autonomie d'antan.

Cette perte d'autonomie le plongea dans la panique, ce qui le conduisit à être admis aux Urgences de l'hôpital Bicêtre, où un diagnostic de syndrome neuro-anémique, c'est-à-dire d'un sévère syndrome de malabsorption de la vitamine B12 dû à la maladie de Biermer fut tout de suite porté.  

Il s'en était fallu de peu que les transgressions dont il fut à nouveau victime à l'hôpital Charles-Foix aient été mortelles, mais les infirmières du Service USN où les neurologues du CHU Bicêtre avaient fait transférer leur malade après trois semaines d'hospitalisation avaient fini par se rendre compte, alors qu'il était encore temps, que les directives thérapeutiques que leur faisait suivre le Dr Jean-Yves Beinis - leur Chef de Service – étaient mortellement erronées.

Le Dr. Beinis leur avait commandé de simuler devant moi l'administration du traitement de la maladie de Biermer, c'est-à-dire le traitement vitaminique B12 drastique nécessaire à son rétablissement. Quand, en tentant de le faire manger, la Surveillante, Madame Pondu, constata que le malade souffrait d'une glossite de Hunter, elle et ses infirmières  lui signalèrent le fait parce que cette glossite est bien connue pour être caractéristique d'une  avitaminose B12 sévère. Mais bien qu'elles l'aient signalé à leur Chef de Service, celui-ci ne voulut pas tenir compte de cette observation. Il tenait ses directives des neurologues de Bicêtre. Les lui avait dictée, dans une lettre manuscrite mais  certainement  aussi par voie téléphonique, le très catholique Olivier Ille, un Interne qui ne faisait lui-même que transmettre les décisions prises en staff, c'est-à-dire par les Drs Pascal Masnou et Martine Desi, respectivement  Chef de clinique et Assistante, en l'absence de leur "patron", le Pr. Gérard Saïd, qui cependant les couvrira en cherchant à me rendre responsable de leurs mauvaises directives en me faisant accuser quatorze ans plus tard  par la direction de l'hôpital Bicêtre d'avoir moi-même sciemment "fabriqué" (sic) la maladie de mon père "par antisémitisme" (sic) et en faisant à faux déclarer le dossier médical de mon père, puis en se faisant attribuer le titre de directeur d'une Unité de Recherche  Inserm sur  l'intérêt de la vitamminothérapide des

maladies  neurologiques.

Le Dr. Beinis ne s'était pas senti le droit de contester des directives venues "d'en haut". C'est du moins ce qu'il m'a lui-même plus tard expliqué.

Me sachant médecin et ne voulant apparemment pas participer à ce qui leur paraissait relever d'une non assistance à personne en péril de mort les infirmières de son Service m'avaient invité à venir vérifier sur le cahier de prescription que, malgré leur signalement, le même traitement inadéquat et de ce fait mortel était poursuivi.

Leur signalement me permit de me rendre compte que l'état épouvantable où se trouvait mon père après six semaines d'hospitalisation n'était pas plus dû à l'évolution péjorative d'une prétendue maladie d'Alzheimer qu'à une prétendue "encéphalopathie vasculaire" (sic) concomitante - une "DTA" selon la terminologie de l'époque – mais à l'administration simulée du traitement de la maladie de Biermer, la maladie qui avait été diagnostiquée aux Urgences de Bicêtre et qui avait motivé l'admission de mon père en neurologie le 2 août de cette année-là.

Le diagnostic d'anémie de Biermer y avait tout de suite été évoqué devant moi au vu de son hémogramme et d'un tableau neurologique de sclérose combinée, symptomatique d'un syndrome neuro-anémique, c'est-à-dire de troubles neurologiques consécutifs à une avitaminose B12 sévère et donc à traiter comme telle, c'est-à-dire à traiter comme la maladie de Biermer, à l'époque considérée la plus fréquente cause des avitaminoses B12 sévères, sachant que la maladie de Biermer est non seulement mortelle en l'absence de traitement, mais extrêmement fréquente passé l'âge de 60 ans quoique parfaitement curable par vitaminothérapie B12 intensive, pourvu que celle-ci soit administrer sans tarder, c'est-à-dire sans attendre que les paralysies et le syndrome démentiel qu'engendre cette carence ne deviennent irréversibles ou que le malade ne vienne à décéder inopinément, ce qui arrive assez souvent.

Or non seulement le malade n'avait pas été traité par cobalaminothérapie intensive, mais ce traitement avait fait l'objet d'un simulacre au prétexte que le test de Schilling et la vitaminémie B12 du malade étaient dans les normes.

Après que les infirmières du Service du Dr. Beinis m'ont signalé que mon père n'avait reçu qu'un simulacre de ce traitement et que leur Chef de Service n'y avait rien voulu changer, je me suis vu dans l'obligation de le mettre moi-même en route, ce qui eut pour effet de sortir mon père du coma où il avait fini par plonger et de le remettre non seulement débout, mais, à la surprise générale (y compris la mienne)  de lui permettre de récupérer ses facultés cérébrales. Ce qui curieusement, loin de réjouir ses médecins - les neurologues de Bicêtre comme le Dr. Beinis – les plongea dans l'affliction et bientôt dans la panique.

Il était depuis longtemps connu, du moins des Internistes, que ni un test de Schilling normal ni une vitaminémie normale n'excluaient la possibilité d'un syndrome neurologique dû à une carence vitaminique B12, ainsi que l'avait depuis des lustres signalé la littérature savante (Cf. en 1978 Kolhouse & al, dans le New England Journal of Medicin. 299, 15, 787 - 792. "Cobalamin analogues are present in human plasma and can mask cobalamin defiency because current radioisotope dilution assays are not specifique for true cobalamin).

Epilogue : lire la suite avec une tentative d'explication sur les site Web n° 73331815 et 108281777 html et ceux dernièrement consacrés à la dénonciation des non-lieux judiciaires abusifs et l'omerta médicale (http://génocides.over-blog.com)

Bibliographie (articles revues savantes)

1 - 1978 Kolhouse & al, New Engl. J. Med.  299, 15, 787 - 792. "Cobalamin analogues are present in human plasma and can mask cobalamin defiency because current radioisotope dilution assays are not specifique for true cobalamin". 
2 - 1987 Berger JR & al. Ann Intern Med. 107 : 78  "Progressive multifocal leukoencephalopathy associated with human immunodefiency virus infection". 
3 - 1987 Ogier H. & al. éd. Masson  "La cobalamine (vitamine B12), APECTS METABOLIQUES, GENETIQUES, NUTRITUIONNELS ET THERAPEUTIQUES"; 254-281. 
4 -  1988  J. Lindebaum &  al. N. Engl. J. of Med.  "Neuropsychiatric disorders caused by cobalamin deficiency in the absence of anemia or macrocytosis" 
5 - Arch Neurol 1991;48(3):312-314. "Abnormal vitamin B12 tabolism in human immunodeficiency virus infection : association with neurological dysfunction" (Accepted for publication September 5,1990). 
6 - Arch Neurol 1992;49:501-506. "Plasma Vitamin B12 Level as a Potential Cofactor in Studies of Human Immunodeficiency Virus Type 1- Related Cognitive Changes". 
7 - Arch Neurol 1993;50:807-811. Robertson et al. "Vitamin B12 Deficiency and Nervous System Disease in HIV Infection" 
8 - JAMA 1993;269:1144-1153. "Preventive Health Care for Adults With HIV Infection" 
9 - Arch Fam Med 1994;3:988-1002. "Human Immunodeficiency. Physician Guidelines, Advisory Group on HIV Second Edition" 
10 - J. Nutr. 1997;127:345-351. "Low Serum Vitamin B-12 Concentrations Are Associated With Faster Human Immunodeficiency Virus Type 1 (HIV-1) Disease Progression".  
11 - AIDS Clin Care 1998;1-1 "Peripheral Neuropathy in HIV Disease". 
12 - Neurology 1999;53:592-592. "Prevalence of peripheral neuropathy in injection drug users" 
13 - Arch Neurol 1999;56:84-89. "Peripheral Nerve Function in HIV Infection: Clinical, Electrophysiologic, and Laboratory Findings" 
14 - Pediatrics 2000;106:35e-35. "Distal Sensory Polyneuropathy in a Cohort of HIV-Infected Children Over Five Years of Age" 
15 - Neurology 2002;58:730-735. "Abnormal cobalamin-dependent transmethylation in AIDS-associated myelopathy" 
16 - Revue de Médecine Interne 2003;24 (4): 218-223. "Carence en vitamine B12 avec test de Schilling normal ou syndrome de non dissociation de la vitamine B12 de ses protéines porteuses chez le sujet âgé. Etude de 60 patients".
17* - Arch Neurol. 2003;60(10):1457-62.) "Neuropsychiatric disturbances in presumed late-onset cobalamin C disease". (E. Roze, D. Gervais, S.Demeret, H. Ogier de Baulny, J. Zittoun, J.-F. Benoist, G. Saïd, C. Pierrot-Deseilligny, F. Bolgert) 
18 - L' Encéphale, décembre 2003 Vol 29 (6), p. 560 - 565. "Délire Capgras chez une patiente de 64 ans atteinte d'une maladie de Biermer". ( C. Durand; S. Mary; P. Brazo; S. Dollfus).
 19 - Revue Neurogique 2006;162 (1):22-42. Atteintes du système nerveux central et infections par le virus VIH -1 (Antoine Moulignier, Service de Neurologie, Fondation Adolphe Rotschild, 75019, Paris)

Bibliographie (livres)

1 - Anne-Marie Casteret  - "L'Affaire du sang" La découverte 1992

2 - Martine Bouillon - "Viols d'anges"  Claman-Lévy 1997 

3 - Catherine Dérivery  "L'enfer" Nil 1999

4 - Sophie Coignard - Alexandre Wickham  "L'omerta française" Albin Michel,  octobre 1999

5 - Sophie Coignard - Rapport omertà  2002 - 2003 - 2004  Albin Miche

6 - Sophie Coignard  "Un Etat dans l'Etat" Albin Michel,  mars 2009 

Sites Web 

1 -  www.lavoixdelenfant.org

2 -  www.jacquesthomet.com

 

CR d'hospitalisation daté du 30 septembre 1990 :

MOTIF DE L’HOSPITALISATION        
       Troubles de la marche

ANTECEDENTS
       HTA essentielle, ancienneté inconnue.
       Intervention orthopédique pour orteils en marteau en Avril-Mai 90
       Prothèse totale de hanche gauche opérée en 84 pour coxarthrose

HISTOIRE DE LA  MALADIE
      Se plaint de difficultés à la marche d’installation rapidement progressive au décors de l’intervention orthopédique,
      Stable depuis deux mois, la marche est hésitante, la montée des escaliers n’est plus possible, tendance à la rétropulsion et à la chute, le patient étant obligé de
      se déplacer avec un déambulateur;

EXAMEN CLINIQUE
        Etat général conservé. Apyrexie. Tension fluctuante à l’entrée entre 18/12 et 20/12
        La station debout et la marche sont très difficiles petits pas.
        Membres inférieurs en hyper-extension. Polygone de sustentation légèrement élargi. Tendance au piétinement et à la rétropulsion.
        L’occlusion aggrave l’équilibre  (sic)

       Au plan neurologique on objective un déficit moteur discret prédominant sur les raccourcisseurs  aux membres inférieurs et coté à 4 +.

       Aux membres supérieurs les  petits muscles des mains interosseux et lombricaux sont  discrètement déficitaires à 4. Le tonus est spastique. Les réflexes pyramidaux aux quatre membres, jusqu’en C 4 : Babinski bilatéral.

      Au plan de la sensibilité, pas d'astéréognosie. Les troubles prédominent aux membres inférieurs sur la sensibilité proprioceptive. La sensibilité extéroceptive semble  normale, bien que fluctuante d'un examen à l'autre et avec une hypo-esthésie au chaud et au froid et à la douleur en chaussette. Il existe une discrète incoordination motrice bien nette aux membres supérieurs avec hypermétrie. L'examen des paires crâniennes est normal en dehors des réflexes du voile abolis. Enfin, il existe depuis deux à trois mois une incontinence sphinctérienne avec mictions impérieuses.

EXAMEN CARDIO-VASCULAIRE: Pouls régulier, pas de souffle cardio-vasculaire. Le reste de l'examen clinique est sans particularité en dehors une tendance dépressive de l'humeur, une critique insuffisante des histoires absurdes chez cet ancien opticien et des capacités d'abstraction qui semblent altérées.Le mini mental est évalué à 25/30.

.../...

DISCUSSION 
 Myélopathie cervicale, affection dégénérative, encéphalopathie vasculaire.

EXAMENS  COMPLEMENTAIRES                                                                                                                                   
     Biologie usuelle normale. Hémogramme,   hémostase, vitesse de sédimentation, ionogramme, glycémie,  fonctions hépatorénales, fonctions phosphocalciques, électrophorèse des protéines sériques, vitamine B12, pholates sériques, test de SCHILING normaux.(sic) Sérologie syphilitique  négative. 

Infection  urinaire à acinectobacter traitée et stérilisée par NOROXINE     
Radiographie rachis cervical et charnière cervico-occipitale : impression basilaire, arthrose cervicale modérée. Scanner cérébral : atrophie cortico-sous-corticale. Aspect de leuco-araïose mais le scanner est de mauvaise qualité, l’analyse de la substance blanche est difficile.                                                                                                                                             Une  IRM du rachis cervical avait été proposée pour étayer le diagnostic d'une myélopathie cervicale mais non réalisée devant une peur panique du patient deux jours avant l'examen

CONCLUSION
TROUBLES DE LA MARCHE  EN RAPPORT AVEC UNE ATTEINTE DIFFUSE DU SYSTEME NERVEUX
UNTRAITEMENT ANTI-SPASTIQUE POURRAIT  ETRE BENEFIQUE
PAS D’INDICATION OPERATOIRE
SYNDROME DEPRESSIF TRAITE PAR PROZAC UN COMPRIME PAR JOUR
REVALUATION DES FONCTIONS SUPERIEURES APRES TRAITEMENT
PATIENT TRANSFERE DANS LE SERVICE DE MEDECINE DU Dr. BEINIS Hôpital CHARLES-FOIX

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