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15 octobre 2015 4 15 /10 /octobre /2015 19:30

<< Comment un animateur peut-il réagir dans une discussion portant sur les thèmes conspirationnistes ? >> s'interroge le "Journal de l'animation" dans son numéro d'octobre 2015 (numéro 162) alors que la croyance en l'existence de conspirations n'est pas sans fondement.

Fr 2, Fr. 5, Artes et LCP et autres médias ne se privent pas d' enquêter sur l'intoxication des esprits et des corps par les industries du tabac, de la "malbouffe" et du médicament.

La revue "Science et pseudo-sciences" a tiré à boulets rouges sur "Les dessous du divan" (dans un numéro spécial de décembre 2010, alors que l'AFIS, l'Association française pour l'Information Scientifique qui l'édite est elle-même dupe des mystifications qui ont présidées à la Commission d'Enquête sur les Dysfonctionnements de la Justice à Outreau, faute d'avoir pris connaissance de la mise au point que madame Marie-Christine Gryson-Dejehansart,qui n'est pas psychanayste et qui en conteste elle-même le principe doctriniaire (le prétendu "complexe d'oedipe") a pu faire paraître en octobre 2009 chez Hugo & Cie );  Sophie Coignard sur "L'omerta française" (Albin Michel 1999) et sur la franc-maçonnerie dans "Un État dans l’État" (Albin Michel, février 2009) etc ...

Un État de non-droit et de passe-droit s'est installé en France, et cet état de chose est quasiment considéré  comme "normal".

Ainsi du "droit de cuissage ". En témoignent les commentaires de Jean-Francois Kahn et la réaction de nombre de députés et sénateurs masculins, en passant par celle de l'ancien ministre de la Justice  Robert Badinter au sujet des "dérapages" auxquels s'étaient livré  l'ancien Président du FMI Donimique Strass-Kahn, en passant par les actes auxquels se livrait en toute liberté dans les années 80 - 90 le Dr. Jean-Claude Elmelik en sa Clinique de l'Haÿ-les-Roses. 

Aussi les dires du Dr. Pierre Brassart sur le droit des médecins de gagner leur vie au dépens de la santé et même de la vie de leurs patients en 1994 lorsque je lui ai demandé des explications à propos de la letttre que le Dr. Antoine Denis lui avait adressée le 29 mars 1994;  

Le Dr. Pierre Brassart avait été réglementairement désigné  rapporteur du Conseil disciplinaire de l'Ordre régional d'Île-de-France, c'est donc un droit implicitement  soutenu par le Conseil régional et le Conseil national de Ordre des médecins.
Avait aussi soutenu ce "droit" le précédent rapporteur, le Dr. Patrice Bodenan°°°, désigné "par erreur" en 1992 par le Président du Conseil de l'Ordre du Val de Marne le Dr.Jean Pouillard (sic, cf. la lettre que m'a adressé le Sécrétaire général du Conseil de l'Ordre du 94 le Dr. Claude Poulain sur le site 69970222 html.

Pouillard et Bodenan°°° avaient cherché à me faire appliquer l'article L 460 du CSP non pas parce que j'avais réussi à tirer mon père du coma où l'avaient plongé les neurologues de Bicêtre en lui refusant le traitement de la maladie de Biermer, mais pour n'avoir pas par la suite cherché à empêcher mon père de porter plainte contre X pour non assistance à personne en péril de mort  après ce qui lui était arrivé en 1990 à la Clinique Léon Elmelik et peu après dans les Services du  Pr. Gérard Saïd et du Dr. Jean-Yves Beinis (voir site n° 71859487 la demande que le Dr. Patrice Bodenan°°° avait adressé le 10 janvier 1994 au Président du Conseil disciplinaire de l'Ordre le Dr. Jean Penneau

Le Dr. Pierre Brassart avait lui certes été plus régulièrement désigné rapporteur en 1993, mais il m'a personnellement tenu lesdits propos pour légitimer les actes du Dr. Denis quand je lui ai demandé des explications à propos de la lettre de remerciements  que lui avait adressé le Dr. Antoine Denis le 29 mars 1994. Cette lettre de remerciement est manuscrite, lisible sur le site n° 106212950.  Le Dr. Antoine Denis y renouvelle ses remerciements pour "le rôle bien difficile qu'il a accepté de jouer à son bénéfice au sein du Conseil régional".

J'ai à la suite des actes inconsidérés (Cf. note *) du Dr. Antoine Denis fait lourdement les frais financiers et moraux du "complotisme" institutionnel.  

Il m'avait fallu intervenir en catastrophe en septembre 1990 pour sortir mon père du coma et d'une mort  imminente survenant dans des conditions affreuses. Des conditions que les neurologues du CHU de Bicêtre (Service du Professeur Gérard Saïd) lui avaient en août 1990 préparées en ne faisant que semblant de lui administrer le traitement de la maladie de Biermer. Ils l'avaient ainsi condamné à une «inéluctable plus grande dégradation» (sic, selon leur expression, proférée par le Dr. Pascal Masnou, alors Chef de Clinique dans ce Service puis rapportée par le Dr. François Chedru dans l'expertise de complaisance qu'il a accepté de rédiger au début le l'année 1996 sous la houlette de ses Confrères les professeurs André Lienhart et René-Claude Touzard, au prétexte que le plaignant et son fils étaient "des méchants", sic, dixit le Dr. François Chedru quand je lui ai demandé de s'expliquer.    

Ce n'est probablement pas par hasard que le Pr Olivier Lyon-Caen a fait appel au Dr. Chedru, dans une émission de France-Culture intitulée "Avec ou sans rendez-vous", diffusée le 11 septembre 2011, pour traiter du problème de l'expertise médicale, notamment celui des expertises médicales dites de complaisance.

Les expertisent mensongères, dites de complaisance, sont en principe, mais en principe seulement, en France passibles d'une lourde amende et d'une non moins lourde peine d'emprisonnement (trois ans d'emprisonnement et 45000 euros d'amende). Il est vrai qu'en l'occurrence la complaisance de l'expertise l'était aussi à l'égard du parquetet de l'AP - HP, qui n'attendaient que cela, ainsi que le démontre les "attendus" de son Ordonnance non-lieu.

Le Dr. Chedru savait très bien que ses Confrères, les neurologues de Bicêtre, avaient indûment prescrit au Chef de l'Unité de Soins Normalisés de l'hôpital Charles-Foix, le Dr. Jean-Yves Beinis, de continuer à n'administrer au malade qu'un simulacre du traitement de la maladie de Biermer après qu'ils l'ont fait transférer dans son Service et après qu'ils l'ont eux-mêmes gardé trois semaines dans leur propre Service sans autre traitement que du Prozac* Cf. leur CR d'hospitalisation site 69970222 htlm. Ces neurologues  ne pouvaient pourtant absolument pas ignorer que le traitement de cette affection était la condition sine qua non de la survie de leur malade et de son rétablissement.

Prévenu du simulacre par les infirmières de l'Unité de Soins Normalisés de l'hôpital Charle-Foix j'ai pu intervenir in extremis en le mettant moi-même en route le 12 septembre 1990.

Le rapide rétablissement de mon père ne fut ni du goût de l'Ordre des médecins ni de celui des neurologues de Bicêtre ni de celui de la direction de l'AP – HP, qui s'entendirent pour monter contre moi ce qui s'appelle en franc-maçonnerie un «chantier», une entreprise qui ne fait apparemment pas l'objet de condamnations judiciaires. 

Il ne fut pas plus du goût du parquet, cf le site n° 116517337 relatif à ce non-lieu et à l'omerta médicale.   

J'ai de ce fait à la suite des actes inconsidérés (Cf. note *) du Dr. Antoine Denis fait lourdement les frais financiers et moraux du "complotisme" institutionnel.  Il m'avait fallu intervenir en septembre 1990 pour sortir mon père du coma et d'une mort imminente survenant dans des conditions affreuses. 

Des conditions que les neurologues du CHU de Bicêtre (Service du Professeur Gérard Saïd) lui avaient en août 1990 préparées en faisant semblant de lui administrer le traitement de la maladie de Biermer. Ils l'avaient ainsi condamné à une «inéluctable plus grande dégradation» (sic, selon leur expression, dite puis rapportée par le Dr. François Chedru dans l'expertise de complaisance qu'il accepté de rédiger au début le l'année 1996 sous la houlette de ses Confrères les professeurs André Lienhart et René-Claude Touzard, au prétexte que le plaignant et son fils étaient "des méchants", sic, dixit le Dr. François Chedru quand je lui ai demandé de s'expliquer sur ses manquements.   

C'est au Dr. Chedru que le Pr Olivier Lyon-Caen fit appel dans une émission de France-Culture intitulée "Avec ou sans rendez-vous", diffusée le 11 septembre 2011, pour traiter du problème de l'expertise médicale, notamment celui des expertises dites de complaisance, en principe, mais en principe seulement, en France passibles d'une lourde amende et d'une non moins lourde peine d'emprisonnement (trois ans d'emprisonnement et 45000 euros d'amende) 

Prévenu du simulacre par les infirmières de l'Unité de Soins Normalisés de l'hôpital Charle-Foix j'ai pu intervenir in extremis en le mettant moi-même en route le 12 septembre 1990. 

L'AP-HP créera en 1995 l'Espace Ethique de l'AP - HP en guise de couverture pour ce qui s'était passé à Bicêtre, et probablement aussi en prévision de bavures à venir avec la nomination du Dr. Olivier Ille à la tête du Service de Neuro-pneumologie du CHU de Mantes la Jolie, où s'illustrera deux ans plus tard Christine Malèvre, sa trop zélée infirmière alors que la direction de Bicêtre et elle de l'AP - HP ne pouvaient en aucun cas ignorer qu'il avait transmis des directives mortelles au Dr. Jean-Yves Beinis quand il l'avait fait transférer à l'hôpital Cherles-Foix dans son Unité de Soins Normalisés. 

J'ai à ce sujet tout dernièrement écrit à Madame Marisol Touraine, ministre des Affaires sociales, de la Santé et des Droits des femmes une lettre explicative sur cet état de chose.

Son contenu peut-être retrouvé dans l'article que j'ai dernièrement mis en ligne, intitulé  "VW,  le CNTS,  l'IFREM, l'INSERM et l'AP - HP", pour souligner qu'il n'y a pas que VW qui a trouvé intelligent de truquer les mesures.

Cf. aussi les sites n° 34640255, 69970222 et 108281777 html 

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* Notes -  J'avais dans un Mémoire écrit à juste titre de ses actes opératoires qu'ils étaient "intempestifs". Dans sa réquisition de non-lieu le parquet de Créteil s'était moqué de ce qualificatif (voir cette ordonnance de non-lieu datée du 3 juin 1998). Faisant fi de la contre-expertise accablante du Dr. Yves Dano, ce non-lieu confirmait ce que m'avait annoncé l'Inspecteur Christian Raeckelboom le 23 janvier 1991 au Commissariat de l'Haÿ-les-Roses, qu'aucune plainte portée à l'encontre des médecins de la Clinique Léon Elmelik ne pouvait aboutir, ladite Clinique étant "protégée en hauts-lieux". Il en avait "par desssus la tête" d'avoir à enregistrer pour rien les plaintes pour viols, toutes  - il me parla de 150 plaintes - étaient systématiquement "bloquées" par le parquet. Il se demandait pourquoi, avançant que les actionnaires de la Clinique Elmelik étaient "milliardaires" en guise d'explication. 

 

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