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22 juin 2016 3 22 /06 /juin /2016 17:20

Les médecins se doivent de ne plus confondre comme cela l’a été dans un passé récent (encore en 1990) les démences dites "de type alzheimer "- brièvement dénommées "DTA", avec des états démentiels réversibles.

Les démences sont en principe définies par leur incurabilité et leur irréversibilité;

Nombreux sont en réalité les syndromes démentiels réversibles, mais réversibles à la condition d'être  traités suffisamment tôt, avant que les lésions neuro-physiologiques et/ou les déficits cognitifs qu’ils déterminent ne deviennent irréversibles et ne finissent par les faire, à tort, considérer comme relevant ou de la maladie d'Alzheimer ou des DTA.

Il en a probablement été ainsi assez souvent dans un récent passé, à l’époque où le syndrome NDB12PP n’avait pas encore été individualisé.

Les démences étant définies par leur incurabilité, et par conséquent par leur irréversibilité et leur évolution inexorable vers une plus grande aggravation, sans doute en est-il encore ainsi aujourd’hui d'un syndrome démentiel accessible à un traitement simple et efficace, un syndrome que j'ai eu l'heur et le malheur de savoir détecter en août 1990 chez un malade étiqueté DTA et qui est depuis 2003 connu en France sous la dénomination de syndrome NDB12PP (le syndrome de Non Dissociation de la Vitamine B12 de ses Protéines Porteuses) après qu'il a été appelé durant quelques années, de 1995 à 2003, « syndrome de carence vitaminique B12 AVEC test de Schilling normal ».

J’avais moi-même formulé cette dénomination en août 1990, à ceci près que je l'avais complétée en ajoutant ET vitaminémie B12 normale à la normalité du test de Schilling , en posant l’hypothèse de sa réalité existentielle à propos d’un malade de 79 ans (mon père) que des neurologues du CHU Bicêtre avaient laissé sans autre traitement que le Prozac* après l'avoir déclaré promis à une inéluctable plus grande aggravation (sic) en vertu d'une sévère « Atteinte diffuse du système nerveux » (sic), une « atteinte » rapportée à tort à une encéphalopathie vasculaire (sic) compliquant une démence sénile, c’est-à-dire à une DTA.

J’avais, sur ce cas désespéré, en formulant l’hypothèse de l'existence de ce syndrome et en mettant avec succès cette hypothèse à l’épreuve avec l'administration de son traitement correcteur, en fait initié en 1990 la mise en évidence de ce syndrome, que je supposais apparenté à maladie de Biermer, un syndrome qui loin d’être une réalité exceptionnelle qu'il concerne deux fois plus de malade que la maladie de Biermer proprement dite, qui déjà concerne au moins 5% de la population âgée ayant passé la soixantaine (7% de cette population, selon S. Dollfus et al., dans un article de « L’Encéphale » de décembre 2003, un article retentissant, cité par presse médicale d'outre-atlantique, dans laquelle je l'ai retrouvé, un article intitulé «Délire de Capgras chez une patiente de 64 ans atteinte de la maladie de Biermer» . Ils'agit d'un délire que présentait d’ailleurs le malade en question, qui ne voulait ou ne pouvais plus me reconnaître comme son véritable fils mais comme un succédané et un imposteur, conformément à la thématique du délire de Capgras, une thématique délirante qui disparaît non pas sous traitement neuroleptique, mais avec le traitement de la maladie de Biermer. En butte avec son délire, au cours duquel mon père croyait que je voulais attenter à sa vie en l‘empêchant de soigner un cancer qu‘il n‘avait pas mais qu‘il croyait avoir et me devoir, j’avais demandé aux neurologues de Bicêtre que mon père soit examiner par un psychiatre, mais en vain, alors que cela n‘aurait présenté aucune difficulté de le faire à ce moment-là puisque le Service psychiatrique du professeur Féline jouxtait le Service de neurologie du professeur Saïd. Compte tenu de ce délire, qui traînait déjà depuis quelques mois, j‘avais avant qu‘il ne soit hospitalisé en neurologie essayé de le faire examiner à Paul Brousse par les psychiatres du Service du professeur Danièl Gynestet. Mais méfiant vis-à-vis de moi à cause de son délire, il avait préféré se rendre à la Clinique Léon Elmelik, où un pseudo-chirurgien, le docteur Antoine Denis, lui infligea , sans crier gare et maklgré mon interdiction verbale et celle écrite du docteur Joseph Heller, une opération orthopédique bilatérale surfacturée de 75 % pour remédier à ses troubles de la marche, attribués à une soi-disant « mauvaise morphostatique » des pieds, sic, cf. sur la Toile site 34640255 html chap. II § 1 alors qu'ils étaient constitutifs d'un syndrome NDB12PP)

Les causes relatives aux carences vitaminiques B12, hormis celles relatives au syndrome NDB12PP, ont été clairement exposées en 1987 par le docteure Hèlène Ogier de Baulny (Cf. Ogier H. & al. éd. Masson "La cobalamine, APECTS METABOLIQUES, GENETIQUES, NUTRITUIONNELS ET THERAPEUTIQUES"; 254-281) c’est-à-dire à l’époque où le syndrome NDB12PP n’avait pas encore été individualisé alors que ce syndrome est maintenant considéré comme le plus grand pourvoyeur d’affaiblissements cognitifs réversibles sous traitement spécifique, un syndrome curable pourvu que l'on sache le diagnostiquer à temps, ainsi que l’illustre le cas ci-dessus et ci-après après rapporté.

Car c'est ce qui était arrivé en 1990 avec mon père, un cas qui en a initié la découverte, ou tout au moins la redécouverte, puisque selon les Internistes des hôpitaux de Strasbourg (Emmanuel Andrès et al.) cette découverte aurait été faite une première fois en 1973 par Doscherholmen, mais est tombée ensuite dans l’oubli (Cf. 2008 E. Andrès et al, syndrome de carence vitaminique B12 avec test de Schilling normal), si bien que probablement avant et après lui bien d’autres malades qui n'ont pas comme mon père eu la ‘‘chance’’ de recevoir à temps le traitement apte à le faire sortir d’une épouvantable erreur de diagnostic, pour ne pas dire d’une maligne erreur de jugement (mon père aurait sans cela rejoint la cohorte des malades comptabilisés comme décédés de la maladie d’Alzheimer et/ou d’une DTA.)

N’ayant pas commis cette erreur, ou plutôt l’ayant déjouée, j'avais sans le savoir semé la terreur à l’AP - HP, d’autant plus que j’avais immédiatement estimé non seulement utile, mais de mon devoir de médecin de faire rapidement part à des Confrères que je savais, du fait de leur spécialité, plus particulièrement concernés par le diagnostic différentiel des démences, de l’étonnante résurrection de ce malade après qu’il a à tort été « étiqueté » Démence de Type Alzheimer, mais aussi plus vaguement - ou plus précisément - lors de son transfert à l’hôpital Charles-Foix « ATTEINTE DIFFUSE DU SYSTÈME NERVEUX » (sic , Cf. les stupéfiantes conclusions du compte-rendu d’hospitalisation signées Olivier Ille et datées du 30 septembre 1990 au site 69970222 html, un article formulé avant que je ne découvre sur la Toile la traduction anglaise de l'article des docteurs S. Dollfus et al.).

Ce CR , adressé a posteriori au docteur Jean-Yves Beinis, ne préconise pour traiter cette « atteinte diffuse » que l’administration de Prozac*, et plus évasivement un possible traitement « antispastique » (sic), donc symptomatique, et non pas, comme il aurait fallu faire si seulement avait été pris en considération et l’avis des urgentistes du CHU Bicêtre, le mien et l’évidence clinique, tous en faveur d’un traitement étiologique, à savoir celui de la maladie de Biermer, qui est aussi celui du syndrome NDB12PP.

Non seulement le CR officiel signé de l’Interne Olivier Ille ne préconise pas le traitement de la maladie de Biermer, mais une lettre manuscrite de cet Interne, datée du 22 août 1990, accompagnait le transfert du patient à l’hôpital Charles-Foix dans l’USN (Unité de Soins Normalisés) du docteur Jean-Yves Beinis, une lettre qui préconisait de n’administrer à ce patient qu'un simulacre du traitement de la maladie de Biermer au prétexte qu’il ne s’agissait que de satisfaire les lubies d'un fils, certes médecin, mais incompetent en la matière ! Moi donc en l’occurrence.

Non seulement le CR n’a pas mentionné le diagnostic de probabilité de maladie de Biermer porté par les urgentistes avant son transfert en neurologie, mais il a surtout évité de le mentionner au profit de celui d’ATTEINTE DIFFUSE DU SYSTÈME NERVEUX, un ''diagnostic'' quasiment synonyme de LEMP, les LEMP évoquant à l’époque au premier chef les infections à VIH.

Ce CR n’oubliait cependant pas de stipuler d’entrée que le malade avait subi une lourde intervention chirurgicale en avril 1984, une intervention hémorragique nécessitant généralement une transfusion de sang alors qu’en 1984 quasiment toutes les transfusions étaient infectées par le VIH. Or 25.000 patients ont ainsi été en France infectés par le VIH dans la première moitié des années 1980, donc aussi ledit malade, un malade qu’il valait donc mieux, du point de vue de l’AP - HP et du CNTS, laisser mourir de carence vitaminique B12, c’est-à-dire de la maladie de Biermer, celle-ci étant, de même que les autres causes de carences vitaminiques B12 sévères, bien connue pour être à bref délai mortelle si elle n'est pas corrigée par une vitaminothérapie B12 drastique.

Ce CR n’a été rédigé que le 30 septembre 1990 alors même que la preuve venait d’être apportée que cette atteinte avait été relative non pas à une LEMP (une Leuco-Encéphalopathie Multifocale Progressive), une affection rarissime et imparable généralement consécutive à une infection virale quelconque mais à l’époque en recrudescence à cause des infections liées au VIH, mais à une carence vitaminique B12 sévère curieusement non corroborée par le test de Schilling pas plus que par la mesure de la vitaminémie B12, et alors que l‘on s‘était abstenu de les compléter par une myélographie et une mesure de l’acidurie méthylmalonioque, deux examens complémentaires à faire obligatoirement en cas de divergence entre la clinique, les données du test de Schilling et la mesure de la vitaminémie B12 !

Or refait le test de Schilling était à 5%, donc significatif de la maladie de Biermer, et non pas à 35 %, comme il avait été prétexté et mis en avant pour refuser au malade le réel traitement de la maladie de Biermer, un traitement qui ne connaît aucune contre-indication hormi les tumeurs gliales, et qui ne coûte que le prix de deux ou trois paquets de cigarettes alors que le prix d’une journée d’hospitalisation en neurologie s’élève à plus de 2000 euros !

Non seulement ce traitement lui avait été refusé, mais on avait fait semblant de le lui administrer, et la consigne avait été donnée au docteur Jean-Yves Beinis lors de son transfert à l’hôpital Charles-Foix de ne faire que semblant de le lui administrer ,(bis) !

Autrement dit tout avait été fait pour que le malade décède de son syndrome neuro-anémique, que celui-ci ait été dû à la maladie de Biermer ou à toutes autres causes de carence vitaminique B12 sévère.

L’état épouvantable où se trouvait le malade lors de son transfert et après dans le Service du docteur Beinis avait été astucieusement baptisé «atteinte diffuse du système nerveux » afin de bien faire comprendre sans le dire explicitement au docteur Jean-Yves Beinis pourquoi il ne fallait surtout pas lui administrer un traitement salvateur. Ce serait là typique de la subtilité du savoir médical à la française, sachant que le docteur Oliver Ille est aussi membre de la Communauté de l’Emmanuel (Cf. la conférence « Prends soin de lui » qu’il a tenu le 15 ou 16 mars 2013 à Paray-le-Monial)

En 1990 les LEMP étaient cliniquement décrites comme une « atteinte diffuse du système nerveux ».

Le fait que cette discrète tentative d’assassinat a été déjouée et donc découverte a semé la panique au sein de l’AP - HP comme au sein du Conseil de l’Ordre et au ministère de la Santé, ce pourquoi ces institutions se sont mobilisées et alliées pour contrecarrer la plainte que le rescapé a été par la suite en mesure de porter devant les tribunaux en se prtant partie civile.

L'AP - HP et les ministères concernés avaient profité du fait qu'en France la Justice n’est pas indépendante du pouvoir politique et/ou gouvernemental et/ou administratif.

Le plus ahurissant de cette savante embrouille déjouée in extremis grâce à la sagacité et la conscience professionnelle des infirmières du Service du docteur Beinis, notamment de la Surveillante madame Pondu, qui avait en vain tenté d’alerter son Chef de Service (Cf . le site n° 108281777 htlm) c’est que la mobilisation de l’AP - HP pour contrecarrer la plainte du rescapé contre les médecins de la Clinique Léon Elmelik a fini par faire prendre en compte l’hypothèse que j’avais formulée en août 1990 pour réclamer que le traitement de la maladie Biermer soit appliqué au malade, du fait que j’avais dit qu’il devait s’agir d’un « para-biermer » , c’est-à-dire d’un « syndrome de carence vitaminique B12 avec test de Schilling normal ET vitaminémie normal » pour réclamer que le malade soit traité comme s’il s’agissait d’une véritable maladie de Biermer.

C’était de ma part avoir avancé l’hypothèse d'une nouvelle entité pathologique. Pour avoir semé la panique chez les neurologues du Service du professeur Gérard Saïd et par la suite à l’administration de l’AP - HP à ses X commanditaires, cette hypothèse s’est par la suite vérifiée en ce qui concerne beaucoup d’autres malades, ce qui fait d’une découverte clinique que je venais fortuitement de faire à partir d’un cas une découverte majeure difficilement avouable (Cf. sur la Toile « Le syndrome NDB12PP, une découverte problématique »)

Une découverte importante puisque à partir de ce cas, tant il a fait l’objet d’une occultation forcenée de la part des neurologues de l’hôpital Bicêtre comme de l’administration de l’AP – HP et des ministères concernées (Santé et Justice) on a pris conscience non seulement que le cas n'était pas unique, mais que le syndrome NDB12PP était une cause deux fois plus fréquente de carence vitaminique B12 que la maladie de Biermer.

Sur les conseils du docteur Pascal Masnou, neurologue dans le Service du Professeur Gérard Saïd, j'avais premièrement fait part du cas :

1° au professeur Yves Najean, alors médecin-directeur du Laboratoire de médecine nucléaire à l'hôpital Saint-Louis, qui m’a immédiatement répondu en me renvoyant à la lecture d'un tout récent article de Lindenbaum et al. paru dans la revue "Medicin of Baltimore" traitant du diagnostic des carences vitaminique B12 et de la maladie de Biermer.

2° l’année suivante au docteur Pierre Sabourin, psychiatre du Centre Psychothérapique des Buttes Chaumont, ainsi qu’au docteur Francis Hofstein, un psychiatre parisien que je connaissais depuis 1973.

Aussi cette année-là à Mme le Pr. Jacqueline Zittoun, biologiste à Henri Mondor, très versée dans l'étude de la vitamine B12.

3° au premier jour ouvrable du mois de janvier 1992 au professeur François Piette, fondateur à l'hôpital Charles-Foix, du CEGAP (Centre d'Etudes Gériatriques de l'AP) qu’il venait d’inaugurer et dont il avait pris la direction, et peu après au docteur Michel Serdaru, neurologue émérite de la Fédération Française de Neurologie, sans savoir encore que lui aussi avait fait pareille(s) observation(s), (elles sont rapportées dans l’ouvrage collectif « Maladie d’Alzheimer et autres démences » publié en 1991 CHEZ Flammarion Médecine-sciences)

4° au printemps 1994 à la S.F.M. (Société Française de Médecine) au professeur Pierre Huguenard, médecin fondateur des SAMU et directeur du SAMU 94.

La même année au docteur Claude Poulain, alors Secrétaire général du Conseil de l'Ordre des médecins du Val-de-Marne suite aux persécutions qu'avaient dirigées contre moi le Président de ce Conseil le docteur Jean Pouillard et le Responsable du Bureau de Presse de cet Ordre, le faux "réanimateur" Patrice Bodenan (Bodenan, frère °°°, se prévalait du titre de réanimateur, un titre que lui avait refusé le professeur Pierre Huguenard, ce qui ne l’avat pas empêché de s’en réclamer et de réclamer contre moi dans une lettre manuscrite adressée au docteur Jean Penneau, président du Conseil disciplinaire de l’Ordre des médecins en Île-de-France et lui aussi frère°°° l’application de l’article L 460 du CSP en guise de représailles ordinales pour avoir contrevenu à l’omerta médicale en n’empêchant pas mon père de porter ce qu’il reprochait aux médecins de la Clinique Léon Elmelik)

Et 5° par la suite à bien d’autres Confrères et Consœurs.

Le fait que j'avais grâce à la mise en application de mes constatations pu rétablir un malade promis à une fin déclarée rapidement "inéluctable" avait indisposé les neurologues qui n'avaient pas su ou voulu admettre leur erreur, soit par incompétence, soit par manque de perspicacité, soit par rigidité psychologique ("Le bâton de l'habitude frappe l'âne, et la bête avance", écrivait Taine), soit plus probablement pour des raisons en rapport avec le principe mis en évidence en 1963 par Stanley Milgram, c'est-à-dire l'obéissance aveugle et déresponsabilisés à des ordres criminels venus "d'en haut".

N.B. Le Pr. Pierre Huguenard connaissait particulièrement bien les docteurs Elmelik (le frère et la soeur) pour avoir eu à les subir dans son propre Service à Henri Mondor. Il m'en dit pis que pendre, en me disant que rien qu'à entendre leur nom, "son sang ne faisait qu'un tour" (sic)

Dans une explosion de colère il n'en dit pis que pendre, au point que je n'ose pas même répéter les trois substantifs dysqualificatifs dont il gratifia le docteure Edith Elmelik et celui, pas plus reluisant, qu'il asséna à son frère Jean-Claude Elmelik.

De sa Consœur Edith il avait dit dans une explosion de colère que c'était une G, une P, une S. (d'où le titre de cet article, voir sur 108281777 html ce que m'en avait aussi dit le Principal du Commissariat de La Haÿ-les-Roses le 23 janvier 1990.) 

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