LCP a très récemment diffusé un documentaire au sujet des faux médicaments made i India.
Mais pas question des faux made in France.
Selon l'Organisation Mondiale de la Santé, l'Afrique serait un des continents les plus touchés : 30 à 60 % des médicaments essentiels pour soigner certaines maladies (anti paludéens par exemple) seraient des faux. Le marché pèserait environ 200 milliards de dollars à l'échelle de la planète. L'Inde serait l'un des plus gros fabricants et sa population en serait tout autant victime.
"Contrefaçon de médicaments: un fléau sanitaire et économique" Keren Lentschner le "LE FIGARO" du 23 avril 2019.
Les faux médicaments feraient de plus de 700 000 morts par an.
Et, partant combien les traitements bidonnés, au temps des Elmelik et du professeur Gérard Saïd ?
X0.000 ?
Pas tant quand même, du moins pas à eux seuls, du temps où c'était permis "en haut-s lieu-x", quand jouait "l'affaire du sang" (cf. le livre du Dre. Anne-Marie Casteret disponible aux éditions de la Découverte, longuement cité par Sophie Coignard dans "L'omerta Française", aux éd. Albin Michel).
Outre certains Services de l'AP - HP tel celui du professeur Gérard Saïd au CHU de Bicêtre et celui du docteur Olivier Ille au CHU de Mantes la Jolie le CNTS pouvait compter sur certaines Cliniques telle celle de l'Haÿ-les-Roses.
" A (RE)VOIR SUR LCP AN : "TRAFIC DE MEDICAMENTS ..."
www.effervescenceprod.com › actualite › a-revoir-sur-LCP...11 sept. 2018 - << Cette investigation internationale inédite nous plonge au cœur d'un trafic responsable de plus de 700 000 décès chaque année.
Un document édifiant, un cri d’alarme.
Film documentaire de 70’ pour France 5
Réalisé par Ted ANSPACH et Eric DELSAUT
Produit par Simone HARARI BAULIEU et Ted ANSPACH
Palmyra Films et Effervescence Doc
Avec la participation de France Télévisions, de la RTS,
de LCP-Assemblée nationale et du CNC >>
En Inde, le docteur Nissar (si j'ai bien retenu son nom), a été menacé de mort et été interdit d'exercice professionnel pour s'en être pris aux mafias qui fabriquent et diffusent dans le monde de faux médicaments, des médicaments bidons qu'en Inde même les hôpitaux utilisent ! Alors qu'en France, au CHU de Bicêtre dans le Service du professeur Gérard Hardy, c'est un traitement adéquate, simple et efficaces, qu'on refuse d'administrer, au profit d'un faux-semblant. .
Peu sûr d'avoir correctement retenu et orthographié le nom du docteur Nissar médecin indien, j'ai essayé de revoir l'émission en "replay", mais impossible : l'écran affiche "Cette page n'existe plus ou a changé de place"
Le docteur Francis Hofstein, psychiatre et psychanalyste (un honnête lacanien à qui j'avais tout de suite adressé le compte-rendu truqué d'Olivier Ille daté du 30 septembre 1990) a, lui, trouvé stupide, pour des raisons évidentes, que la direction de l'hôpital Bicêtre m'ait quatorze ans plus tard, accusé d'avoir "moi-même sciemment fabriqué la maladie de mon père par antisémitisme", alors que toi, tu étais resté coi lorsque je t'ai fait part de cette accusation.
Cette accusation devrait pouvoir se retourner contre le professeur Gérard Saïd et ladite direction, et au delà de ceux-ci contre l'AP-HP, pour les raisons que tu sais, brièvement rappelées ci-dessus et inventoriées ci-après.
Il est à préciser que le professeur Patrick Hardy, médecin psychiatre et Chef du Service de psychiatrie de l'hôpital Bicêtre, avait été hâtivement appelé à la rescousse par la Direction de l'hôpital Bicêtre en tant que "médiateur" en remplacement du professeur Gilbert Tchernia, le médiateur titulaire. Ce changement était illogique mais mais compréhensible du point de vue la "politique" du mensonge menée depuis le début par le Service de neurologie. Une politique "à la soviétique", qui consiste à faire passer pour maladie mentale toute critique du système soviétique, celui-ci étant par définition parfait, et le Service de neurologie l'était aussi par définition, puisqu'il était dirigé par un membre éminent de l'IFREM (Institut de Formation de Recherche en Éthique Médicale juive).
En acceptant de jouer sous le masque de "médiateur" un rôle de "phlichiatre" , Patrick Hardy s'est compromis dans cette accusation imbécile.
Le mécanisme de la compromission de tiers issu de l'establishment est aussi pervers qu'élémentaire. C'est par exemple celui que Myriam Badoui a utilisé à Outreau pour leurrer et entraver l'instruction judiciaire.
Dans son livre traitant de la perversion, E. Roudinesco conçoit l'imbécilité comme une perversion (La part obscure de nous-mêmes : une histoire des pervers. Albin Michel, 2007)
L'accusation du professeur Saïd est donc non seulement idiote mais aussi perverse, et intolérable, et qui plus est implicitement criminelle en tant qu'aveu de complicité.
Avec cette accusation proférée par Isabelle Pilot, P. Hardy été témoin de la menace proférée par le professeur Gérard Saïd de soumettre l'affaire à la Justice. La loi lui en faisait d'ailleurs obligation en vertu de l'article 40 du CPP pénal.
Le professeur Gilbert Tchernia, médecin hématologue, avait déjà "instruit" cette affaire pour le compte de l'hôpital. Il était en tant qu'hématologue bien plus qualifié que P. Hardy pour en connaître les ténébreux tenants et aboutissants, après que l'affaire mal-nommée "affaire Christine Malèvre" a mal tournée et défrayé la chronique, effrayante pour l'AP-HP, because les antécédents d'Olivier Ille quand il (s') était chargé de transmettre des consignes mortifères au docteur Jean-Yves Beinis alors qu'il était au CHU de Bicêtre Interne dans le Service du Pr. Gérard Saïd.
Gilbert Tchernia avait préféré botter en touche. S'était-il de lui même empressé de céder la place à Patrick Hardy, ou était-ce la direction de l'hôpital qui l'avait incité après que me suis adressé à la CADA et après que la direction de l'hôpital Bicêtre m'a transmis cette accusation en juillet 2004, via madame Isabelle Pilot, "chargée des relations de l'hôpital Bicêtre avec la clientèle" (sic), selon les termes de l'écriteau accroché sur la porte de son bureau, bureau depuis longtemps disparu.
Après avoir pris connaissance de ma longue lettre explicative relatant les circonstances - très scabreuses - des événements relatifs à la plainte de mon père, la CADA a adressé un avis favorable à ma demande pour que me soit enfin communiqué le dossier d'hospitalisation prétendument perdu de mon père dans le Service du professeur Gérard Saïd : le docteur François Chedru m'avait en 1996 dit qu'il avait pu le consulter pour les besoins de son expertise, rédigée en février 1996 sous les indications et la direction des professeurs André Lienhart et René-Claude Touzard après que ces derniers l'ont dissuadé de se rendre au rendez-vous d'expertise fixé au 5 janvier 1996 auquel la Juge Bénédicte Scelle l'avait convié pour y entendre mon témoignage. Le dossier n'était donc nullement perdu pour tout le monde, puisque même le docteur Antoine Denis, impliqué dans la plainte que mon père avait porté devant le procureur, du TGI de Créteil, avait pu en prendre connaissance en 1993 après que le docteur Jean Pouillard, alors le président du Conseil de l'Ordre du Val de Marne est intervenu pour que le Conseiller rapporteur qu'il avait désigné, le docteur Patrice Bodenan, puisse en tant que tel en demander copie. Une copie que Bodenan s'est empressé de remettre au docteur Antoine Denis. En témoigne entre autres lui-même Antoine Denis dans la lettre de remerciement qu'il a adressé en mai 1994 au docteur Pierre Brassart "pour le rôle bien difficile qu'il a accepté de jouer au Conseil de l'Ordre à son bénéfice"
à Monsieur le Docteur Brassart le 29 III 94
J'ai bien reçu la notification de la décision du Conseil Régional dans l'affaire qui m'opposait à monsieur P.A. Chretien et à son fils le Dr. P. Cretien, jugement qui je veux le croire, sera sans appel.
Je tenais à vous exprimer ma gratitude. Je vous redis d'abord combien j'ai apprécié la qualité de votre accueil lorsque vous m'avez reçu pour m'entendre rue de l'Université. Je voulais également vous dire combien votre rapport m'a paru excellent. Vous avez présenté les faits, avec intelligence et clarté. Je n'ai pas douté (pas) de son efficacité auprès des membres de la section disciplinaire chargée de trancher.
Soyez donc remercié, cher Confrère. La décision qu'avec vos Confrères vous avez prise à mon bénéfice me soulage d'un grand poids; je ne vous cache pas que depuis le début de cette malheureuse affaire, mon souci, mon inquiétude, mes craintes étaient grandes.
En vous redisant mon admiration pour le rôle bien difficile que vous avez accepté de jouer au Conseil Régional je vous renouvelle ma gratitude et vous adresse l'expression de mes sentiments Confraternels les plus cordiaux.
Dr. A. Denis
L'accusation de la direction était non seulement en soi extrêmement perverse, mais située dans le prolongement de ce que les neurologues de son Service avaient fait, à savoir que semblant d'administrer à mon père le traitement de la maladie de Biermer, bien que ce soit sur le diagnostic de ce genre d'affection fait aux Lits-Portes de l'hôpital Bicêtre dans la soirée du 31 juillet 1990 que mon père avait été admis dans le Service du professeur Gérard Saïd le 2 août au matin.
L'Interne Olivier Ille s'était chargé de passé la consigne au docteur Jean-Yves Beinis. Les neurologues savaient que le docteur Beinis était peu regardant et obéissant, beaucoup plus intéressé par le charme de ses collaboratrices que par celui de la gérontologie. Madame Weil, l'assistante sociale, passait son temps à se faire les ongles auprès de lui, à en oublier de faire ce pourquoi elle était là. Mais elle avait les yeux de Michèle Morgan, et madame Saïda, la psychologue, était pas mal non plus.
Ce qui s'est passé dans le Service du professeur Saïd puis dans celui du docteur Beinis était dans le prolongement de ce qui s'était passé et se passait dans la Clinique des intouchables docteurs Elmelik (intouchables d'après le Dr. André Souche, médecin préposé à la Direction des Relations avec les Personnels Soignants du Val-de-Marne) c'est-à-dire dans le prolongement ce que m'en dira un peu plus tard le Commandant Christian Raeckelboom au Commissariat de l'Haÿ-les-Roses, et plus tard encore le docteur Michel Serdaru à la Fédération Française de Neurologie, puis le professeur Pierre Huguenard, l'ancien Directeur du SAMU 94 au 47 de la rue Falkirke à Créteil, à la Société de Médecine de Catastrophe, en lisant le compte-rendu de l'hospitalisation qu'avait rédigé le docteur Olivier Ille.
Cf. le blog de leon "medecine-de-catastrophe-et-medecines-catastrophiques". http://genocides.over-blog.com/2016/10/6/
FAUX TRAITEMENTS ET EXPERTISES MEDICALES BIDONS
Olivier Lyon-Caen, Chef du Service de Neurologie à l'hôpital de la Pitié-Salpêtrière, Coordinateur du pôle des maladies des systèmes nerveux, Professeur en neurologie à l'Université Pierre et Marie Curie, Directeur Médical de l’Institut hospitalo-universitaire des neurosciences et Chef du Pôle des maladies du système nerveux de l'hôpital de la Pitié-Salpêtrière, a aussi occupé les fonctions de conseiller médical du Premier ministre Lionel Jospin de 1998 à 2002, puis de conseiller pour la santé et la recherche médicale auprès de François Hollande à l'Élysée de 2012 à 2017 avant d’être nommé Médecin-conseil national de la CNAMTS en juillet 2017.
Il est aussi l’un des membres-fondateurs de l’ICM (Institut du Cerveau et de la Moelle épinière.)
France-Culture écrit dans la présentation de l’émission « Le monde de l’expertise est à la fois méconnu et inquiétant. Méconnu car on ne sait pas qui est expert et comment on le devient. Inquiétant car toute évaluation est soumise à une appréciation par essence partiale puisqu’elle est le reflet de l’analyse d’un homme. Il était temps donc d’essayer de mieux connaître l’expert et l’expertise, et pour traiter de ce sujet notre invité est le Docteur François Chedru. Ancien médecin des hôpitaux, François Chedru est expert près la cour d’appel de Paris et la cour administrative d’appel de Paris, agréé par la cour de cassation. »
Pouvait-il, en 2011, à l’époque où il animait l’émission radiophonique de France-Culture « Avec ou sans rendez-vous », www.franceculture.fr/emissions/avec-ou-sans-rendez-vous quand il a choisi le docteur François Chedru, Chef d’un Service de neurologie de l’AP – HP, pour venir discuter des expertises médicales, ignorer qu’en 1996 cet expert avait bien mal rempli ses obligations d'expert en rédigeant un rapport d'expertise savamment bidonné - il me l'a lui-même avoué quelques mois plus tard - de façon à satisfaire le besoin qu’avaient d'une part l’AP – HP de disculper les neurologues du Service de Neurologie du CHU de Bicêtre, alors tenu par le professeur Gérard Saïd, cependant que d'autre part, à la même époque, et pour des raisons croisées, l'Etat était intéressé à innocenter les médecins de la Clinique Léon Elmelik, des prédateurs contre lesquels mon père, dans une lettre datée du 17 décembre 1990 et adressée au procureur du TGI de Créteil, avait porté plainte.
Mon père avait déjà à cette date retrouvé ses esprits alors qu’il avait trois mois plus tôt été "étiqueté" « Alzheimer » et « encéphalopathie vasculaire », le tout curieusement dénommé « ATTEINTE DIFFUSE DU SYSTEME NERVEUX » par les neurologues de l’hôpital Bicêtre, une dénomination neurologique servant à désigner à mot couvert les très rares mais très rédoutables LEMP (Leuco Encéphalopathie Multifocales Progressives), consécutives à des infections virales, quelques qu'elles soient. A l'époque les LEMP étaient en légère recrudescence, une augmentation de l'ordre de 20% attribuable aux contaminations par le VIH.
Les LEMP étaient jusqu'alors réputées de pronostic effroyables, aucun traitement ne pouvant en modifier le cours. Mais à partir de 1990 la prestigieuse revue américaine "Archives of Neurology" se mit à publier plusieurs d'articles mettant en avant l'effet thérapeutique positif de la vitaminothérapie B12.
Mon père avait pu récupérer ses facultés cérébrales du fait que j'étais intervenu deux mois auparavant, plus exactement le 12 septembre 1990, pour lui administrer moi-même in extremis le traitement de la maladie de Biermer, un traitement qui consiste à administrer la vitamine B12 de façon drastique.
C'était un traitement que mon père était censé recevoir depuis son hospitalisation à Bicêtre. Les neurologues de Bicêtre m’avaient fait croire qu’il le recevait cependant qu'en réalité ils avaient en sous-main donné l’ordre qu’il ne soit fait que semblant de le lui administrer, et ce bien que le diagnostic de syndrome neuro-anémique ait tout de suite été porté, en ma présence, aux Lits-Portes de l'hôpital Bicêtre, au terme de l'examen neurologique et à la lecture de l'hémogramme du malade, dans la soirée du 31 juillet 1990.
Mais pourquoi les neurologues du service du professeur Saïd avaient-ils refusé que le traitement de la maladie de Biermer soit réellement administré à leur malade ?
Ils avaient pris prétexte que le test de Schilling était à 35 % (cependant qu'il était en réalité à 5 %, ainsi que je l'ai incidemment appris plus tard).
Après qu'ils ont fait transférer mon père en gériatrie à l'hôpital Charles-Foix dans l'USN du docteur Jean-Yves Beinis, mon père continua à ne recevoir qu'un simulacre de traitement de la maladie de Biermer.
Le prétexte était qu'il occupait à Bicêtre inutilement un coûteux lit de spécialité cependant qu'il ne se rétablissait pas
Il avait été admis en neurologie sur le diagnostic de syndrome neuro-anémique, un syndrome neurologique rapidement mortel s’il ne reçoit pas son traitement spécifique, un traitemnt simple et très efficace, à savoir une cobalaminothérapie drastique.
Il s'agit d'un traitement qui ne coûte que le prix de 2 ou 3 paquets de cigarettes, alors que le prix de journée de journée d'hospitalisation dans un Service de neurologie est très élevé.
Mais avant qu'il finisse par sombrer dans un coma carus, la Surveillante, madame Pondu, l’expérience aidant, avait reconnu la nature de sa maladie en le faisant manger. Elle envoya une élève-infirmière pour qu'elle me fasse savoir qu'en fait de traitement il ne recevait qu'un simulacre.
C'est ainsi que le 12 septembre 1990 j'ai pu in extremis mettre véritablement en route le traitement de la maladie de Biermer. Ce le professeur François Piette au CEGAP et le docteur Michel Serdaru à la F.F.N. ont pu lapprendre en 1992 lorsqu'ils se sont occupé de mes parents.
François Chedru avait en mains leurs observations lorsqu'il a rédigé son rapport d'expertise, ce qui ne l'avait pas empêché d'y innocenter tout le monde, à la satisfaction du procureur Créteil Michel Barrau, qui avait à protéger la Clinique Léon Elmelik quoi qu'il s'y soit passé, ainsi que je l'ai appris du Commandant Christian Raekelboom au Commissariat de l'Haÿ-les-Roses lorsque mon père a été appelé à venir confirmer sa plainte, le 23 janvier 1991. Mais peut-on ...
De quoi mon père avait-il à se plaindre à cette époque, avant qu'il a été réhospitalisé à Bicêtre en février 1991 ?
De ce qu'il avait subi par surprise, sans qu'il l'ait demandée et encore moins désirée, une anesthésie générale, au cours de laquelle une opération orthopédiique bilatérale prétendant corriger une "mauvaise morphostatique" de ses avant-pieds fut réalisée au prétexte que celle-ci était responsable de ses difficultés à marcher. Ses difficultés étaient à l'évidence non pas en rapport avec des pieds ronds antérieurs, mais en rapport avec un syndrome cordonal postérieur (tableau de sclérose combinée) compliqués d' un syndrome neuro-psychiatrique propre aux profondes carences cobalaminiques (un délire d'illusion qui lui faisait croire 1° que je n'étais pas son vrai fils et 2° que ses douleurs (de type neuropathiques), au vu des radiographies de sa prothèse de hanche, étaient causées par un cancer des os développés à partir de cette prothèse. Un cancer que moi, son fils, dans son délire il prenait pour un faux-fils cherchain à empêcher qu'il le sache pour l'empêcher de se soigner. Preuve en était (dans son esprit) le commentaire du radiologue, qui avait dans son compte-rendu porté le diagnostic de "protrusion acétabulaire", une terminologie lui cachant, dans son esprit troublé par la maladie, qu'il s'agissait d'un cancer !
Les médecins de la Clinique Léon Elmelik avaient profité de sa vulnérabilité psychologique pour l'anesthésier et l'opérer sans crier gare.
Sa croyanc que je n'étais pas vraiment son fils mais un imposteur était du délire, un délire depuis 1923 connu sous le nom de Sérieux et Capgras.
Le malade lorsqu'il a été opéré était déjà affecté de troubles pyramidaux et extrapyramidaux et de troubles cérébelleux responsables de déséquilibres et de chutes.
Il est donc invraisemblable que ce fut pour des raisons économiques que ce traitement ne lui fut pas administré. alors que c'est au prétexte qu'il ne guérissait pas. Mais comment aurait-il pu, puisqu'il ne le recevait pas vraiment ?
Comment ou plutôt pourquoi François Chedru a-t-il fait semblant de l’ignorer ?
Il ne pouvait pas ne pas le savoir parce qu’en décembre 1997 j’avais fait part à la Fédération Française de Neurologie de ce qui s’était passé en 1990 au sujet de mon père dans le Service du professeur Saïd et dans celui du docteur Jean-Yves Beinis à l’hôpital Charles-Foix, sachant que l'AP - HP est un "panier de crabes" où tout finit par se savoir.
Question écrite n° 02717 de M. Jean-Pierre Decool (Nord – Les Indépendants)
M. Jean-Pierre Decool attire l'attention de Mme la ministre des solidarités et de la santé Agnès Buzin à propos du trafic de faux médicaments.
Les médias se sont emparés de cette question alors que, selon un documentaire récemment diffusé sur France 5, intitulé « Trafic de médicaments », ce trafic serait à l'origine de plus de 800 000 morts par an.
Selon l'Organisation mondiale de la santé, l'Afrique serait un des continents les plus touchés : 30 à 60 % des médicaments essentiels pour soigner certaines maladies (anti paludéens par exemple) seraient des faux.
Le marché pèserait environ 200 milliards de dollars à l'échelle de la planète. L'Inde serait l'un des plus gros fabricants alors que sa population serait tout autant victime de ce fléau.
Il lui demande s'il entend prendre des initiatives afin de sensibiliser la communauté internationale.
Corruptions médicales ordinaires et ... - Le blog de leon
genocides.over-blog.com/2015/12/le-secret-medical-au-service-de-la...
Faute de quoi le Dr. Dano aurait eu à subir ce qui sera le lot du Dr. Bernard Dalbergue après qu'il a refusé de participer aux tromperies des experts médicaux rémunérés par les laboratoires qui taisent la réalité, faisant fi de la santé quand ce n'est pas de la vie des malades (Cf. l'affaire du Vioxx*, qui avait été lancé et présenté dans la presse médicale - dans le Quotidien ...
Réponse du Ministère des solidarités et de la santé
"La contrefaçon de médicaments représente aujourd'hui 10 % du marché mondial. Internet est l'un des vecteurs de diffusion des médicaments falsifiés ou contrefaits. Ainsi, selon l'organisation mondiale de la santé (OMS), 50 % des médicaments vendus sur internet, sur des sites non autorisés, sont falsifiés ou contrefaits. La ministre des solidarités et de la santé réaffirme son attachement à la prévention et à la lutte contre la contrefaçon des médicaments falsifiés. L'opération PANGEA, lancée en 2008, est destinée à lutter contre la vente illicite de médicaments sur internet. Coordonnée par Interpol, l'opération annuelle rassemble l'organisation mondiale des douanes, les organismes de réglementation de la santé dont l'agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) pour la France, la police nationale et le secteur privé des pays à travers le monde. En 2017, l'opération « PANGEA X » en France a notamment abouti à une saisie de plus de 433 000 produits de santé illicites et 1,4 tonne de produits de santé en vrac. Plus de 70 % des produits saisis proviennent d'Asie (principalement d'Inde et de Singapour). La majorité de ces produits est constituée de médicaments dépourvus d'autorisation de mise sur le marché, de médicaments détournés de leur usage et utilisés comme stupéfiants, de produits dopants (stéroïdes, hormones de croissance, etc.), de crèmes éclaircissantes pour la peau mais aussi de principes actifs pharmaceutiques en vrac. Au total, 185 sites internet illégaux de vente de faux médicaments ont été identifiés au cours de l'opération. Parmi les médicaments illicites, l'opération PANGEA X s'est axée sur le Fentanyl et ses dérivés. Dans un contexte international de recrudescence du trafic et de la consommation récréative de fentanyloïdes depuis environ cinq ans et de plusieurs cas d'overdoses dont une mortelle en France ces dernières années, seize nouveaux dérivés du fentanyl ont été inscrits le 8 septembre 2017 sur la liste des stupéfiants (arrêté du 5 septembre 2017 du Directeur général de la santé pris sur proposition de l'ANSM). La réglementation applicable aux stupéfiants permet en effet aux autorités de lutter plus efficacement contre leur trafic. Depuis 2011, l'Union européenne s'est dotée d'un arsenal permettant de lutter contre les médicaments falsifiés. Ainsi, la directive 2001/83/CE modifiée par la directive 2011/62/UE relative à la prévention de l'introduction dans la chaîne d'approvisionnement légale de médicaments falsifiés, a introduit, à l'article 54 bis, l'obligation de doter les médicaments, qui sont les plus à risque de falsification, de « dispositifs de sécurité » pour permettre, notamment, la vérification de leur authenticité. Ces dispositifs de sécurité sont de deux types : un système d'identifiant unique (sérialisation) et un système antieffraction, permettant d'apporter la preuve que le médicament n'a pas fait l'objet d'une effraction. La directive renvoie la mise en œuvre de ces nouvelles obligations à un règlement délégué de la Commission européenne (CE) qui a été publié, le 9 février 2016, au Journal officiel de l'Union européenne. Le texte de ce règlement est d'intégration immédiate dans notre ordre juridique interne dans un délai de trois ans et s'applique à compter du 9 février 2019. La France, en conformité avec le règlement délégué (UE) 2016/161 de la Commission du 2 octobre 2015 complétant la directive 2001/83/CE du Parlement européen et du Conseil en fixant les modalités des dispositifs de sécurité figurant sur l'emballage des médicaments à usage humain, fera doter les médicaments de dispositifs de sécurité afin de lutter contre les médicaments falsifiés. Au niveau international, le 19 mai 2016, l'Assemblée nationale a adopté la loi portant ratification à la convention du Conseil de l'Europe sur la contrefaçon des produits médicaux et les infractions similaires menaçant la santé publique (Médicrime). La France, en ratifiant la Convention Médicrime, a impulsé une nouvelle dynamique permettant la criminalisation du trafic de faux médicaments et une meilleure coopération internationale."
Mais aucune réponse sur les agissements des médecins de la Clinique Léon Elmelik et ceux du Service du professeur Saïd malgré ma longue lettre RAC explicative qu'en décembre 2018 je lui ai adressée.