Note préliminaire : La cause profonde de la maladie d’Alzheimer et son traitement salvateur devraient valoir le Prix Nobel de médecine au médecin qui a finalement réussi à les découvrir.
La cause de la maladie d'Alzheimer, c'est-à-dire son étiologie, pour employer un terme plus médical, et la façon d'y remédier ont enfin été découvertes, non pas par Paracelce (1493 – 1541) qui a inspiré jusqu'à nos jours tant de chercheurs, mais grâce à ses judicieuses observations. Le docteur C. s'en est inspirées pour aller plus loin et découvrir la cause et la meilleur façon de s'en prémunir et de la traiter.
La découverte de l'étiologie de la maladie d’Alzheimer et de son traitement salvateur devrait valoir au génial docteur C., non pas la jalousie et l'hostilité destructrice de ses Confrères, comme ce fut le cas après qu'il a, en 1990, mis en évidence l'existence d'un syndrome neurologique débilitant et mortel qui était resté jusqu'à cette époque complètement méconnu, en France comme dans le monde, malgré sa très grande fréquence, un syndrome dont la fréquence s'est ensuite révélée être trois à quatre fois plus grande que celle de la maladie de Biermer, elle-même déjà très fréquente puisque celle-ci affecte plus de 5 % des personnes qui ont passé la soixantaine, malgré les mesures prises à son encontre par les neurologues du CHU de Bicêtre pour l'en empêcher, alors que ledit syndrome avait été par eux fallacieusement confondu avec une "atteinte diffuse du système nerveux" (sic) attribuée à la maladie de d'Alzheimer compliquant une "encéphalopathie vasculaire", un syndrome qui depuis 2003 a en France finalement reçu la dénomination de "syndrome NDB12PP" de la part des Drs. E. Andrès & al., Internistes des hôpitaux de Strasbourg, après qu'ils l'ont appelé en 1996 "syndrome de carence vitaminique B12 avec test de Schilling normal", mais le Prix Nobel de médecine, voire aussi le prix Nobel de littérature eu égard à la longueur toute proustienne de sa phraséologie.
Ce qui est le plus évident est souvent trop aveuglant pour être accepté sans réticence: ainsi en a-t-il été de l'acceptation de l'explication copernicienne de la course de la Terre autour du Soleil, le système compliqué de Ptolémée, qui fait de la terre le centre du monde ayant reçu l'aval de la papauté eu égard à sa conformité aux Saintes Écritures.
Paracelce avait mis le doigt sur la solution, bien que ç'ait été sans le savoir, ou plutôt sans qu'il s'en soit rendu compte.
Le dramaturge suédois Auguste Strindberg l'avait aussi fait, mais sans plus.
C'est aussi qu'à leur époque la maladie d'Alzheimer, décrite par Aloïs Alzheimer en 1906 à propos d'une malade, Auguste Deter, âgée de 51 ans lorsqu'elle a dû être hospitalisée en 1901 en psychiatrie, à la demande de son époux, n'était pas connue en tant que maladie, mais, comme encore aujourd'hui pour un bon nombre de médecins, comme une des inévitables conséquences du vieillissement, alors qu'il s'agirait, comme le pense maintenant le professeur Olivier Saint-Jean, gériatre et Chef de Service à l'hôpital européen Georges Pompidou, plus d'une "construction sociale" que d'une vraie maladie.
Olivier Saint-Jean en a formulé l'idée après s'être rendu compte au sujet de son père, qui avait été hospitalisé dans son Service à l'hôpital Charles-Foix en septembre 1994, accompagné du diagnostic "ATTEINTE DIFFUSE DU SYSTEME NERVEUX". Son père était affecté de troubles neurologiques et psychiatriques que lesdits neurologues s'étaient empressés d'attribués à une "DTA" (une Démence de Type Alzheimer) compliquant une "encéphalopathie vasculaire". (Cf. sur demande le compte-rendu d'hospitalisation rédigé par les neurologues du CHU de Bicêtre), un pseudo diagnostic énoncé à la mi-août 1990 par les neurologues de l'hôpital Bicêtre. Cf. http://http://genocides.over-blog.com/2016/09/petits-pots-pour-bebes-pour-sauver-la-vie-des-vieux.html
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Son père était en réalité affecté d'un syndrome neurologique resté jusqu'alors méconnu, et auquel bien plus tard, en 2003, les Internistes des hôpitaux de Strasbourg, E. Andrès & al., après qu'ils l'ont re-découvert "vers le milieu des années 1995", l'ont défini comme une forme clinique de la maladie de Biermer insensible au test de Schilling. Ils lui ont finalement donné le nom de "syndrome NDB12PP" compte tenu du fait qu'il est provoqué par une"Non Dissociation de la vitamine B12 de ses Protéines Porteuses".
L' Encéphale, décembre 2003 Vol 29 (6), p. 560 - 565. "Délire Capgras chez une patiente de 64 ans atteinte d'une maladie de Biermer". ( C. Durand; S. Mary; P. Brazo; S. Dollfus).
1978 Kolhouse & al, New Engl. J. Med. 299, 15, 787 - 792. "Cobalamin analogues are present in human plasma and can mask cobalamin deficiency because current radioisotope dilution assays are not specifique for true cobalamin".
Autant dire qu'il s'agit d'un syndrome potentiellement mortel s'il ne reçoit pas, à l'instar de l'a maladie de Biermer, le plus rapidement possible le traitement de celle-ci, c'est-à-dire de la vitamine B12 à doses drastiques et durant suffisamment longtemps.
Mais la maladie d'Alzheimer, contrairement à la maladie de Biermer et au syndrome NDB12PP , n'a pas du tout besoin de ce traitement.
En effet, pour les naturopathes, qui sont des adeptes d'une médecine naturelle, le contenu des noix ressemble au cerveau humain, et selon la loi des similitudes énoncée par Paracelse, les plantes soignent les organes auxquels leur nom ou leur formes font penser, cependant que pour les homéopathes, les maladies répondent favorablement à des doses infinitésimales des poisons qui provoqueraient des symptômes similaires avant que d'être mortels s'ils étaient administré à des doses pas du tout homéopathiques. Comprenne qui peut !
Pour les naturopathes les noix sont bonnes pour le système vasculaire et donc pour le cœur et ausi pour le cerveau parce qu'elles sont riches en oméga 3 et en vitamines hydosolubles.
Ils recommandent par conséquent de consommer des noix ou de l'huile de noix en prévention de la maladie d'Alzheimer.
Or cette recommandation n'arrange rien. Elle ne fait qu'aggraver la maladie. Elle serait même la cause de l'augmentation de nos jours observée du nombre de plus plus en plus grand de malades qui en sont affectés. Et cela en “vertu” de la loi des similitudes !
En effet, si l'intérieur des noix évoque bien un cerveau humain, ce n'est pas à un cerveau sain qu'il fait penser, mais à un cerveau atteint de la maladie d'Alzheimer.
La grande consommation des noix recommandée par les naturopathes est à n'en pas douter à l'origine de l'augmentation de la prévalence de la maladie d'Alzheimer.
Mais là où est le mal se trouve aussi la solution
N'en pas consommer pour éviter de l'attraper, et au cas où la maladie serait déjà installée, en consommer à doses homéopathiques pour la faire régresser.
Évidemment les habitants de la région de grenobloise vont faire tout ce qu'ils peuvent pour me discréditer, à l’instar de ce qu’ont fait les neurologues de Bicêtre après que j’ai formulé l’hypothèse, qui malheureusement pour moi, s'était avérée pertinente, que mon père, étiqueté en août 1990 « Alzheimer » et « encéphalopathie vasculaire », souffrait en réalité d’une profonde carence vitaminique B12, en dépit d’un test de Schilling déclaré normal et d'une vitaminémie B12 déclarée suffisante.
CQFD : La découverte de la cause essentielle de la maladie d’Alzheimer et de son traitement salvateur devraient bien valoir le Prix Nobel de médecine au docteur C.