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19 mars 2013 2 19 /03 /mars /2013 14:50

La première de mes découvertes date de 1990. Elle m'est revenue très cher  parce qu'elle s'était faîte malgré l'avis de puissants confrères. Elle a trait aux redoutables leuco-encéphalopathies multifocales progressives (les LEMP) et aux infections à VIH.

 

Les LEMP sont  des affections heureusement très rares.  Elles se traduisent par une "atteinte diffuse du système nerveux". Les LEMP  étaient  jusqu'à cette époque et même encore actuellement, en France  tout au moins, réputées hors de tout recours thérapeutique. Il s'est trouvé que j'avais empiriquement trouvé remède à la mystérieuse "ATTEINTE DIFFUSE DU SYSTEME NERVEUX" qui avait failli tuer mon père en 1990 alors qu'il était hospitalisé à l'hôpital Charles-Foix, un hôpital de la région parisienne autrefois appelé "hôpital des incurables".

 

En désespoir de cause j'avais en dernière instance appliqué à mon père le traitement standard de l'anémie pernicieuse de Biermer, cette affection étant bien plus fréquente que les LEMP,   mais beaucoup moins redoutable dans la mesure où elle est accessible à un traitement très simple et très efficace, du moins  depuis que l'on sait fabriquer industriellement et à bas coût la cobalamine, c'est-à-dire  la vitamine B12.

L'anémie de Biermer, qui appartient au groupe des syndromes neuro-anémiques, est en effet la conséquence d'un défaut d'absorption intestinale de cette vitamine,  et par suite comme ces synfromes, guérissable par l'administration parentérale ou orale massive de celle-ci. Ce sont les nombreuses similitudes cliniques qu'avait présenté l'atteinte de mon père avec l'anémie de Biermer qui m'avaient poussé à réclamer que le traitement de l'anémie de Biermer lui soit appliqué. Ses médecins ne m'écoutèrent pas et ne  firent que  semblant d'accéder à ma demande, jusqu'à ce qu'une infirmière de l'USN où il avait été transféré me signale le fait. L'état de mon père était alors des plus inquiétants. Il avait sombré dans le coma et tout près de mourir quand je me suis décidé à lui administrer par moi-même le traitement dévolu à la maladie de Biermer.   Son effet fut miraculeux . Il est décrit sur la Toile, notamment aux sites 73331815 au chapitre IV et 108281777 html et 69970222 html (Cf. aussi Problèmes diagnostics posés par la non dissociation de la vitamine B 12 de ses transporteurs sanguins ( Cf. 20/08/2012 publié dans "santé médecine" l'article n° 108782200 (une anémie de Biermer ou une LEMP  confondue  avec la maladie d'ALZHEIMER)

Depuis  époque où ce traitement  a été appliqué avec succès, des  articles de la prestigieuse Revue américaine "Archives of Neurology" et d'autres Revues anglo-saxonnes ont fait état de ce que le traitement de la maladie de Biermer, c'est-à-dire la cobalamino-thérapie pouvait être bénéfique pour les malades souffrant de LEMP consécutives à des contaminations à VIH cependant que des Revues françaises continuent à les nier. Bien plus :   après que j'ai signalé le fait au Chef du Service qui avait refusé d'administrer le traitement de la maladie de Biermer à mon père quand il était malade, cette Revue fut interdite de parution à la bibliothèque du CHU de Bicêtre et les Revues existantes retirée de ses rayonnages sur  ordre de ce même Chef de Service au  prétexte que c'était "une très mauvaise Revue" cependant que lui-même continuait à y cosignait des articles relatifs aux traitements cobalaminiques de certaines affections dûes à un trouble du métabolisme de la vitamine B12 !  Son cas était incompréhensible. Les médecins qui s'occupaient de lui avaient parus dépassés. J'avais de plus à la même époque eu à m'occuper du cas de ma mère, victime elle de la maladie d'Alzheimer (diagnostic confirmé post mortem en 1994) cependant que son médecin habituel avait déclaré forfait.

- La seconde est d'une tout autre portée du fait qu'en avançant une technique nouvelle, que j'ai baptisée STSMC  pour exploiter l'énorme gisement énergétique contenu dans les marnages. Il se pourrait en effet que j'ai trouvé remède à la mauvaise santé économique de la France  Aussi invraisemblable que cela puisse  paraître , cette technique, qui repose sur un mécanisme inédit, permettrait de se dispenser d'avoir recours à l'importation d'énergies fossiles, ce qui devrait lui permettre de relancer l'industrie française sur des bases plus compétitives.
  
- Il y en aurait même une troisième, qui a moins de chance aboutir : je me suis élevé contre le charlatanisme de certains psychanalystes se réclamant de Freud et de Jacques Lacan, en cause dans le retard pris par la France dans la prise en charge de l'autisme par rapport aux pays où les théories de Freud n'ont plus cours.

                                                                      -/-


1°) Il m'avait dans les années 1988 - 1994  fallu relayer la défaillance des médecins de mes parents, c'est-à-dire prendre seul en charge et la santé de mon père et celle de ma mère. Chacun de leur cas était devenu apparemment trop difficile pour que leurs médecins respectifs veuillent ou sachent leur prodiguer des soins appropriés.  

Parmi les médecins de la CARMF, le Dr. Claude Poulain, en tant qu'il était à l'époque Secrétaire Général du Conseil de l'Ordre des médecins du Val-de-Marne, est un peu au courant de ce qui s'était passé en 1990, du moins en ce qui concerne mon père, celui-ci ayant, à la demande de ses avocats, commis l'erreur de porter les mauvais traitements dont il avait été victime  devant  le Conseil départemental de l'Ordre des médecins cependant qu'il ignorait que le responsable du bureau de presse de cet Ordre était une relation d'un des médecins qu'il mettait en cause. D'où l'intervention, tout à fait illégale, pour ne pas dire plus, de ce responsable irresponsable pour faire achopper sa plainte en justice.

Ma mère avait depuis des années développé à bas bruit une maladie d'Alzheimer,  et de  graves erreurs de prescriptions avaient été commises à son encontre. Celles-ci me rendirent la tâche d'autant plus complexe qu'il me revint de l'assumer en remplacement de mon père, lui-même diminué  après qu'il a été victime d'une opération complètement inappropriée. Ma sœur invoqua le fait que j'étais médecin pour m'en laisser la charge.

Pour tout compliquer, les fautifs firent disparaître les dossiers et falsifièrent des données d'examens. Sur ce, mon épouse, qui n'avait jamais eu à faire face à pareille situation avec ses propres parents   sur les conseils d'un psychanalyste pour le moins mal informé, demanda le divorce sans qu'elle-même ni ce psychanalyste n'aient pris la peine de comprendre ce qui se passait, qui faisait que mes parents étaient soudainement devenus très envahissants (les parents de mon épouse avaient disparu alors qu'elle était enfant, et c'est son frère de 18 ans son aîné aîné et son épouse qui l'avaient prise en charge durant sa scolarité).        

Pour comble, ma mère avait concurremment à la maladie d'Alzheimer développé une double cataracte et était devenue quasi aveugle. Sur ce, son médecin habituel cessa brusquement de vouloir la recevoir alors qu'il la suivait régulièrement depuis plus d'une trentaine années. Alors qu'il n'était pas psychiatre, ce médecin venait de lui prescrire une association de psychotropes connue pour être inappropriée parce que susceptible de provoquer des bouffées délirantes, ce qui ne manqua pas de se produire. L'état de santé de ma mère ne lui avait auparavant pas posé de réels problèmes. Il ne s'était pas soucié de la faire opérer de la cataracte. Ma mère n'en sera débarrassée  qu'en janvier 1991, après que mon père, en tant qu'ancien opticien, se soit occupé de lui trouver un opérateur. J'avais entre-temps réussi à sortir mon père du coma où l'avait plongé le traitement grossièrement erroné que lui avaient prodigué  l'équipe de neurologues qui s'étaient occuper de lui à l'hôpital Bicêtre en août 1990. De deux choses l'une : où les neurologues s'étaient réellement trompé de diagnostic, où ils avaient fait semblant de se tromper,  ce qui n'est pas impossible eu égard au fait que le prescripteur deviendra quelques années plus tard le Chef du Service où Christie Malèvre "euthanasia" une grande quantité de malades.

Au début de 1984, mon père était âgé de 73 ans. Il souffrant d'une coxarthrose devenue douloureuse et invalidante. Il m'avait demander de lui trouver un chirurgien,  son rhumatologue lui refusant l'opération. J'aurais sans doute dû demander à celui-ci  pourquoi il la lui refusait. Mon père ne voulait pas d'une anesthésie générale. Je savais que le professeur Witvoët posait les prothèses sous rachi-anesthésie à l'hôpital Saint-Antoine.  Aussi ai-je adressé mon père à ce chirurgien. Il plaça en avril 1984 une prothèse de type Ceraver, qui donna à mon père entière satisfaction, ... jusqu'en 1989, époque où mon se mit à filer un mauvais coton. Il développa un petit syndrome neurologique de type parkinsonien et se mit alors à faire de nombreuses chutes, qui finirent par desceller sa prothèse sans que cela ne se voit sur les clichés radiologiques. Sa hanche était à cause de ces chutes redevenue douloureuse.

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