Au CHU de Mantes-la-Jolie, le Service de neurologie du Dr. Olivier Ille n'était pas vraiment de ceux qui, comme les Services de gériatrie, peuvent admettre un taux de mortalité élévé sans attirer sur eux l'attention.
Le colloque à organisé le 24 février dernier à l'Institut de criminologie sur la mystification d'Outreau devrait pouvoir rendre plus crédibles qu'elles ne le sont des consignes criminelles concoctées par X hauts responsables de la Santé dans l'intérêt de l'équilibre budgetaire de l'Assistance Publique.
Avait en effet précédé de ces pseudo euthanasies le cas d'un
malade. Il était censé passer inaperçu, mais le patient avait de justesse pu échapper à la mort, et il en était resté lourdement invalide. Il porta plainte "pour coups et blessures volontaires et non asssitance à personne en péril de mort" mais la justice a fait tout ce qu'elle pouvait pour l'étouffer en avalisant les conclusions d'expertise formulées en dernière page que le patient était "consentant", conclusions qui étaient complétement démenties par les informations contenues dans les 43 pages précédentes !
L'affection de ce malade, un syndrome neuro-anémique, avait été parfaitement identifiée lorsqu'il avait été admis en neurologie à l'hôpital Bicêtre cinq semaines plus tôt. Son traitement nécessitait immédiatement une vitaminothérapie B12 intensive et prolongée. Le patient était censé le poursuivre dans l'Unité de Soins "Normalisés" de l'hôpital Charles-Foix après son transfert dans cette Unité, effectué sous le contrôle d'Olivier Ille, alors Interne à Bicêtre dans le Service de Neurologie du Pr. Gérard Saïd.
Un faux traitement avait été substitué à celui qu'il fallait faire. Pour autant que cet Interne ait procédé de sa seule initiative - ce qui est plus que douteux - c'est lui qui s'était chargé de le faire prescrire au Dr. Jean-Yves Beinis.
Le Dr. Beinis le répercuta sans chercher à voir qu'il était manifestement inadéquat. Il avait été invité, c'est-à-dire conditionné, à ne pas sortir, quoiqu'il arrive, du cadre thérapeutique qui lui avait été assigné par les neurologues de Bicêtre. Le "hic", c'est que le ou les prescripteurs n'avaient pas prévu que les infirmières de l' USN de Charles-Foix s'inquiéteraient de cette inadéquation, ni qu'elles me demanderaient de venir contrôler leurs prescriptions (voir sur Internet : 73331815 html, "maltraitance des personnes âgées", chapitre IV ou "blog de léon - Une nuit vitaminée ").
Comme j'ai eu l'occasion de n'en rendu-compte, une pluralité d'intérêts avait motivé cette mystification. Mais il est impossible d'entrer succinctement dans ses modalités sans être taxé de paranoïa antisémite. Ne s'en était pas privée madame Isabelle Pilot, la "chargée des relations de l'hôpital Bicêtre avec la clientèle" lorsque je lui ai demandé pourquoi le dossier du malade avait tout de suite été déclaré "égaré". Je savais par le Dr. François Chedru qu'il ne l'avait jamais été.
Le fait que le premier des experts nommés par l'instruction m'ait fait discrètement valoir qu'il fallait préserver "l'image" des médecins en ne révélant pas la réalité participe de la corruption des esprits.
Si, pour prendre un exemple un peu différent, l'entourage de Tristane Banon ne l'avait pas tout de suite dissuadé de porter plainte afin de préserver "l'image" de son agresseur, cette image et celui du parti socialiste seraient moins dégradées qu'elles ne l'ont été au final. C'est peut-être là le sens métaphorique et la raison profonde, mais mal comprise, de l'interdit religieux d'idolâtrie.
La Justice et les médecins responsables de cette mascarade se sont beaucoup dépensés pour préserver leur "image". C'est pourquoi, pour avoir été "invité" - par des menaces ordinales de réprésailles non moins ordinales (Cf. sur Internet la lettre que le Dr. Patrice Biodenan a adressé au Dr. Jean Penneau) - à respecter "l'image" de la médecine avec celle de la Clinique Elmelik, j'ai commencé par divulguer ce qui tournait autour de cet assassinat manqué (Cf. 73331815 html "maltraitances des personnes âgées), convaincu que je suis que la corruption par la terreur visant à préserver l'image des oligarchies au pouvoir se fait au dépens du plus grand nombre. Sa généralisation "culturelle" est au final responsable d' impasses sociales.
est au final responsable d' impasses sociales.
Chaque chapitre et chaque paragraphe nécessiteraient de longs développements pour être bien compris, à commencé de moi-même, car l'écrire me fait découvrir mon propre aveuglement devant la perversité et l'opacité du "système" en place, qui, comme dans cette affaire, autorise - en les tolérant - les faux témoignages manifestes.
Je n'avais pas encore assez réalisé - ni appris - qu'elle était pas circonscrite au cas de mon père par rapport à la Clinique Elmelik, que ce n'était pas seulement cette Cliunique qui était "protégée en hauts lieux", mais au delà de celle-ci tout un ensemble, jusqu'à la Mairie de l'Haÿ-les-Roses, qui "opprtunément" a brûlée avec ses archives et été reconstruite à grands frais. Les impôts locaux s'en ressentent. Les Haÿssiens assument sans le savoir le prix de la corruption.
Faire une relation exhaustive de ce qui s'est passé nécéssiterait un gros volume, encore faudrait-il trouver un éditeur.