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23 juin 2012 6 23 /06 /juin /2012 16:05

Dans un livre (1°) par ailleurs * impressionnant d'érudition et fort captivant Claude Hagège fustige la "pensée unique", qui nous viendrait des Etats-Unis, comme si la "pensée unique" n'était pas aussi un phénomène indigène,  (franco-français).

 

* Je  croyais que "par ailleurs" était une locution incorreste, condamnée par Robert Le Bidois quand il tenait une chronique linguistique dans Le Monde.  

 

Le problème médical sur lequel j' avais alerté la Justice ( Cf. le site blog  73331815 html ) ne relève-t-il pas d'une forme de pensée consensuelle (ou d'absence de pensée, ou de formatage de la pensé) qui fait en France des sonneurs d'alerte des mauvais sujets.   

 

Mon attitude a été écologique.  

 

J'avais insisté auprès de mes confrères pour que mon père  soit traité comme il était évident qu'il fallait qu'il le soit, c'est à dire sans tenir compte de ce que le test de Schilling était à 35 %, la clinique primant le laboratoire : je me suis alors heurté à un mur. d'incompréhension, pour ne pas dire plus.   Les médecins de mon père ne firent que semblant de tenir compte de mon avis .... jusqu'à ce de qu'une infirmière vienne me fasse voir,  devant l'état de plus en plus catastrophique du malade, le chahier de prescription  sur lequel n 'était inscrit qu'un semblant de traitement  : 1/2 mg par semaine au d'un milligramme par jour ! (voir infra en notes). 


Il n'aurait alors coûté que quelques francs à être rapidement résolu sans grosses séquelles invalidantes, au lieu que de traîner affreusement, à grands frais, sur des semaines, jusqu'à ce que mort s'ensuive pour le malade, une mort qui ne fut évitée que de justesse mais qui se devait de paraître avoir été l'inéluctable conséquence d'une DTA (une Démence de Type Alzheimer, en l'occurrence de toute pièce inventée pour servir de prétexte à une "erreur de traitement ". Cette intolérable mystification médicale bien de chez nous a été validée par la "justice"  en 1998. A la satisfaction  de l'Ordre des médecins, qui avait fait de même quatre ans plus tôt.

 

Les multiples erreurs de traitement infligées à mon père ont fait de moi un témoin de maltraitances mortelles, qui sont en réalité des assassinats. De tels crimes ont lieu dans certains Services hospitaliers mais passent la plupart du temps inaperçus des familles parce qu'ils leur sont cachés. Règne sur ces pratiques une terrible omerta.

 

Les médecins qui en France osent les dénoncer sont considéré comme des délateurs ou des traîtres. Ils s'exposent à de terribles représailles professionnelles alors qu'aux Etats-Unis et les pays nordiques les "whistleblower" semblent  au contraire mieux considérés et mieux protégés .

En France, monsieur Servier a reçu les honneurs et été décoré en 2009 par le président de la République. Madame Irène Frachon, elle, a dû son salut grâce la Revue Prescrire, qui a médiatisé l'affaire du Médiator*.

 

 

Claude Hagège, "Contre la pensée unique" Odile Jacob, chap. II p. 62 - 63 janvier 2012 )

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Notes : A la suite du sauvetage de mon père, l'Ordre m'a fait menacer a cherché à me discrédité  en représailles  au prétexte que j’avais dérogé à mes obligations de confraternité : il aurait soi-disant fallu que j'empêche mon père de porter plainte contre des confrères. L'intrusion malveillante de l'Ordre des médecins dans la plainte très justifiée que mon père avait adressé à la justice a été désastreuse. Elle a été illégale et criminelle, en flagrante contradiction avec les dispositions de la loi. Elle n'a pas même été sanctionnée par la Justice, formatée par la pensée INDIG7NE. 

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Je suis évidemment à la disposition du ministère de l'énergie pour préciser en quoi consiste mon procédé écologique d’exploitation de l’énergie des mers. En dehors de cette « invention », si s’en est vraiment une, il m’est en tant que médecin arrivé d’avoir des idées inventives qui se sont révélées intéressantes en médecine (2-3 )

 

Mon expérience de médecin m'a plus d'une fois montré que les gestes les plus simples peuvent être salvateurs. Les solutions et les théories les meilleures et les plus simples ne sont pas les plus faciles à trouver et à faire valoir parce qu'elles se heurtent à des préjugés (souvent) erronés et suscitent des jalousies. Les exemples historiques abondent : le Dr. Semmelweis s'était heurté à l'incompréhension et à la jalousie de ses Confrères alors qu'il avait, avant Pasteur, démontré l'efficacité de l'asepsie dans la prévention des infections perpuérales (suite à des persécutions, il dut finir ses jours à l'asile). La réanimation par la ventilation bouche à bouche combinée au massage cardiaque externe n’est connue et mise en pratique que depuis quelques dizaines d'années (initiée par un non médecin). De même le stérilet est une technique récente alors que les Touaregs utilisaient depuis longtemps le procédé sur les chamelles (qui introduisaient des cailloux). Dans le domaine maritime, on a mis très longtemps avant de savoir construire des voiliers qui ne soient plus tributaires des vents arrières, et on a emprunté aux polynésiens le principe des multicoques. En astronomie l'idée que la terre tourne autour du soleil n'a guère plus de cinq siècles et a été en fait l'origine véritable de découverte de Newton .... Le récent livre des Drs. Patrick Berche et Jean-Jacques Lefrère intitulé "Quand la médecine gagne" ( Flammarion, avril 2012 ) montre que des découvertes importantes de la médecine ont souvent été fortuites et qu'elles ont mis du temps à s'imposer. Les plus controuvées ont a l’inverse connu et connaissent toujours un grand succès, comme c'est p. ex. le cas de la découverte de l'inconscient , de l'homéopathie - et/ou de la pseudo homéopathie (des médecins homéopathes faisaient introduire de la thyroxine dans la préparation amaigrissante qu'il faisaient confectionner par les pharmaciens avec qui ils s'acoquinaient et chez qui ils adressaient les patientes désireuses de perdre du poids .. ce qui les faisait certes maigrir mais provoquait inévitablement chez elles de dangereux syndromes hyperthyroïdiens et les rendaient invalides : j'ai dus un jour me charger d'une infirmière qui s'était adonné à la préparation n° 3 que confectionnait la pharmacie Y et que lui avait prescrit le Dr. M. D'autres éradiquaient des cancers qui n'existaient pas.. Ils se taillaient ainsi une "renommée internationale" (cas du célèbre Dr. Rossignol, très peu sanctionné par la justice et l'Ordre des médecins (qui trouve légitime de chercher à "gagner plus" (tant pis pour les hommes devenus ainsi impuissants et ont perdu et leur femmes et leur travail). Plus récemment Henri Chenot, "biontologue" s'est institué "docteur honoris causa" d'une Université américaine bidon et fait dispenser à prix d'or au Merano Palace (dans les Alpes Italiennes), des traitements fondés sur des concepts vaseux prétendument « scientifiques » "revitalisant et détoxiquant " les organismes par chélation, des traitements au mieux inopérants mais potentiellement dangereux que dénonce Martine Jandrot Perrus, directrice de recherche à l'Inserm (Unité 698, hôpital Bichat. Cf; Sciences et Avenir n° 783 mai 2012 p. 85 ).

 

3° J'ai personnellement été atteint au début des années 1981 d'un pityriasis versicolore (une dermatophytose fréquente mais bénigne) m'envahissant le cou, le thorax et plus ou moins le dos). Ce p.v. récidivait malgré le traitement spécifique classique. L'affection est certes bénigne, mais disgracieuse pour qui va au soleil. Le soleil fait apparaître des cartes géographiques  sur la peau parce que les zones touchées ne bronzent pas. Pour pouvoir aller à la piscine sans me faire refouler, de guerre lasse, j'ai essayé de faire disparaître d'un seul coup d'un seul cette dermatophytose inesthétique par un précédé très simple et logique, mais à ma connaissance alors inédit. L'ayant testé sur moi avec succès et le sachant a posteriori certainement sans danger, je l'ai l'année suivante racontée à un ami de mes amis, un Espagnol rencontré l'été 1983 aux Baléares. Il en était depuis des années couvert de la tête aux pieds. (un cas rare ! ). Il avait en vain essayé tous les traitements antifongiques que les médecins lui avaient presrit et n'osait toujours pas s'exposer au soleil. Il appliqua mon procédé. Son pityriasis disparut du premier coup au 3/4, donc pas aussi complètement que pour moi. Il dut s'y reprendre une seconde fois. J'avais entre-temps expliqué ma méthode à un Confrère dermatologue de la Clinique Tarnier. La méthode est depuis utilisée en dermatologie, mais en utilise un autre antifongique (administré per os) alors que celui auquel j'avais eu recours, appliqué directement sur la peau, n'était pas à proprement un antifongique, s'agissant de l'Ascabiol *, un lait soufré anciennement et traditionnellement utilisé contre la gale.



N.B. Les neurologues qui s'occupaient de mon père à Bicêtre ne pouvaient en aucun cas ignorer, sauf à être totalement incompétents, que la maladie de mon père relevait d'un traitement à mettre en oeuvre au plus tôt. Ils ne pouvaient en ignorer le traitement, sa maladie rentrant précisément dans leur domaine de Recherches au sein de Inserm, à l'époque affiché bien en vue en salle d'attente, sollicitant les familles de participer à leur financement cependant que pour X raisons (la protection de la Clinique Elmelik et/ou celle de l'A.P. elle-même ?) concocté une embrouille pouvant donner prétexte à refuser à mon père les quelques francs que coûtaient le traitement vitaminique B12 exigé par sa maladie, en l'occurrence un syndrome neuro-anémique (SNA). Celui-ci avait devant moi été diagnostiqué dès son admission aux Urgences de Bicêtre : le tableau clinique dit de "sclérose combinée" et l'hémogramme étaient alors concordants et de ce fait étaient pathognomoniques. Aucune confusion n'était possible avec une DTA, même si le MMSE fait dans les jours suivants était à 25/30, le SNA en étant essentiellement la cause (MMSE est revenu à 30/30 après le traitement vitaminique B12).



Les infirmières du Service U.S.N. du Dr. Jean-Yves Beinis, chez qui mon père avait été transféré après avoir passé trois semaines en neurologie à Bicêtre, trouvèrent intolérable la consigne qui leur avaient été donnée de ne faire que semblant devant moi d'administrer le traitement vitaminique alors qu'elles voyaient leur malade sur point de mourir à brève échéance. Il suffisait en effet d'examiner la bouche du malade quand on essayait de le faire manger : la présence d'une glossite (dite de Hunter) avait sauté aux yeux de la Surveillante (madame Pondu). Elle avait compris ce que cela voulait dire : que le traitement vitaminque B12 devait être impérativement et très rapidement réellement institué. Une de ses infirmières était ainsi venue me trouver le lendemain pour me demander de venir contrôler le cahier de prescription, c.-à-d. de constater de mes yeux qu'un simulacre de traitement avait été prescrit. Cette constatation m'avait placé devant obligation de mettre moi-même de toute urgence en route ce qu'il fallait faire (voir blog de leon - "une nuit vitaminée" combien la situation était devenue d'une urgente absolue).

 

Après avoir raté leur coup les neurologues prétendirent avoir été induit en erreur par le test de Schilling, qui aurait été négatif, alors qu'ils savaient pertinemment qu'il ne l'était pas, puisqu'ils l'avaient eux-mêmes à dessein falsifié, comme s'ils ne savaient que la "clinique la prime le laboratoire", un des fondamentaux de la médecine. Or le test de Schilling, qui nécessite d'injecter une quantité non négligeable de vitamine B12 avait, quand il était encore à Bicêtre, très visiblement amélioré l'état du malade pendant quelques jours, avant qu'ils ne l'envoient à Charles-Foix poursuivre un faux traitement sur un faux diagnostic d' ATTEINTE DIFFUSE DU SYSTEME NERVEUX (sic).

4° A chaque fois que j'ai demandé à voir le dossier du malade, c.-à-d. dès 1991, il m'avait été répondu qu'il avait été perdu (j'appris plus tard, en juillet 1996, par le Dr. François Chedru, qu'il avait pu le consulter en janvier 1996). La "directrice-adjointe" de Bicêtre, madame Isabelle Pilot, m'accusa en 2004, lorsque je me suis adressé à la CADA, d'avoir moi-même, par "antisémitisme" (sic) sciemment provoqué la maladie de mon père ! S'agissant d'un syndrome intrinsèque dont on connaît encore aujourd'hui mal le déterminisme, comment aurais-pu, sauf à avoir procédé moi-même auparavant à l'ablation de l'estomac et des 3/4 des intestins grèles de mon père ?!. Un tel retournements d l'accusation, qui ne pouvait que lui avoir été suggéré par le Pr. Saïd et son équipe, revenait à faire de moi un criminel. Il aurait dû, s'il avait eu le moindre fondement, ipso facto dû être portée en justice, conformément à l'Article 40 du CPP, qui fait obligation de dénoncer les crimes dont on a connaissance au cours de l'exercie professionnel. Comme il ne l'a pas fait alors qu'il m'en fait accuser, je suis fondé à porter plainte contre lui pour non dénonciation d'un crime dont il a eu connaissance (provoquer intentionnellement une maladie est pénalement condamnable, et porte un nom, celui de Münchhausen)

 

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