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28 janvier 2015 3 28 /01 /janvier /2015 21:22

"Psychologie magazine" de décembre 2014 présente la "somatic experimencing", une technique qui serait, à l'instar de l' EMDR pas complètement inutile, quoique vaine face aux dégâts traumatiques permanents infligés par les pervers narcissique X et/ou les prédateurs financiers, le fond étant de nature politique.

C'est pourquoi ils sont soutenus par des Institutions qui sont plus ou moins conscientes de leurs malfaisances.

Des Institutions auxquelles l'Etat a autrefois imprudemment confié "Mission de Service Public". C’est p. ex. le cas de l'Ordre des médecins, qui cherche et réussit à terroriser la défense des victimes d'abominables exactions médicales, comme les viols et les "euthanasies" de patients hospitalisés particulièrement vulnérables.

A travers ses relations dans les Loges maçonniques, l’Ordre est en mesure d'organiser un "chantier" (la fatwa des pays de basse démocratie) contre les avocats ou les médecins qui n'observent pas la loi du silence. Ils ont appris à redouter l'Ordre (cf. entre autres le blâme qui avait été infligé au Pr. Pierre Huguenard après qu’il a osé transgresser la "tradition" en délivrant une expertise qui mettait noir sur blanc en cause le déroulement d'une anesthésie au cours de laquelle un adolescent était décédé. Et plus récemment la condamnation infligée aux Prs. Philippe Even et Bernard Debré . Cet Ordre si soucieux du respect de sa conception de l’éthique médicale s'était ainsi permis de couvrir et de justifier des exactions inqualifiables dont il avait parfaitement connaissance : "parce qu'il faut bien que les médecins gagnent leur vie", m'avait dit leur deuxième Conseiller rapporteur le Dr. Pierre Brassart. Il venait d'être vivement félicité par le Dr. Antoine Denis. Cf. la lettre manuscrite qu'il lui a adressée fin mars 1994 au site-Web n° 10612950 html, lettre en vain transmise au parquet à l'appui de la plainte que mon père avait déposée. Il avait failli mourir des énormes fautes et exactions de la "fine équipe des pieds nickelés" (ainsi désignait-on le trio quand il sévissait à l'hôpital Henri Mondor, son chef arborant des chaussures à ferrures) . Après qu'il s'en est sorti vivant, les neurologues de l'hôpital Bicêtre lui ont refusé le traitement, très simple, coûtant moins que le prix de deux paquets de cigarettes, nécessaire à son rétablissement.

Ces neurologues prétextaient que leur malade était victime d'une "atteinte diffuse du système nerveux" irrécupérable (sic, c'est dans cet état que les médecins de la "fine équipe des pieds nickelés" lui avaient infligé une dangereuse mais parfaitement inutile double opération orthopédique pour "mauvaise morphostatique" des pieds) et par conséquent dévolu à une inéluctable plus grande aggravation de son état. Cette "appréciation" est reprise et spécifiée dans l'expertise rédigée par Dr. François Chedru à la demande expresse des Prs. René-Claude Touzart et André Lienhart.

Les neurologues de Bicêtre avaient donné, via leur Interne Olivier Ille, la consigne écrite, de faire semblant d’administrer le traitement adéquat après qu’ils ont demandé le transfert de leur malade en gériatrie à l’hôpital Charles-Foix 1° afin qu’il ne soit plus jamais en mesure de porter plainte contre leurs Confrères de la Clinique Elmelik et 2° pour qu’il y finisse ses jours et ne vienne ainsi pas grever la réputation d‘excellence du Service de neurologie du Pr. Gérard Saïd.

Après que mon père a récupéré ses facultés intellectuelles, ces exactions, commises de concert, autrement dit en bande organisée, ont fait l‘objet d‘une plainte au pénal portée devant le procureur du TGI de Créteilv le 17 décembre 1990.

Mon père a maintenu sa plainte malgré les menaces de représailles - à valoir sur son fils, c’est-à-dire moi, s‘il ne l‘a retirait pas. . Elles lui avaient été adressées par LE premier Conseiller-rapporteur commis par l'Ordre des médecins (le Dr. Patrice Bodenan°°°, relation d'Edith Elmelik).

La plaintede mon père a été sanctionnées par un méprisant "non-lieu" huit après.

Ce non-lieu était expressément requis par un parquet toujours placé sous le houlette du très obéissant Michel Barrau, qui avait tout autant que le CNOM connaissance de ce qui se passait à la Clinique Elmelik ( des viols de parturientes et l’élimination physique des malades transfusés dans les années 1984 et 1985. Une fonction que remplira aussi quelques années plus tard au CHU de Mantes la Jolie le Service de neurologie du Dr. Olivier Ille.

Le non-lieu fut prononcé malgré - ou plutôt parce que - les preuves des énormes fautes et transgressions commises. A ma grande surprise, le rapport d’expertise du Dr. Yves Dano les avait quasiment toutes énumérées, y compris celles que j’ignorais, qui n'étaient pas des moindres. Elles étaient même inimaginables (cf. ce rapport de 44 pages, resté aux mains de Me Régine de la Morinerie)

Le prétexte du parquet, insensé et absolument mensonger, était qu'aucune faute n’avait été commise (voir à "un non lieu abusif" et à "dans les pays démocratiques de basse intensité" sur http://genocides.over-blog.com et au site-Web n° 116517337 html, et accessoirement l'article publié le 24 juillet 2014 sur www.advertance.eu/lomerta-regne-dans-le-milieu-médical/ qui les inscrit dans le contexte politique de notre époque P.C. (33 (0) 2 96 30 96 14)

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commentaires

Y
First question: yes, write 9 a.
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