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23 février 2015 1 23 /02 /février /2015 16:42
Je pense avoir été un lanceur d'alerte "malgré moi ".

je vais essayer de répondre à cette question, posée par France-Culture dans l'émission "Secret de sources". en empruntant l'intitulé de son émission.

En effet, en amorçant la redécouverte d'un syndrome oublié mais désormais reconnu (depuis 2003 sous le nom de syndrome NDB12PP), j'ai lourdement subi les conséquences financières et familiales (divorce, persécutions et exclusion) de sa mise en évidence.

Cette redécouverte a été faite en découvrant des pratiques inavouables au sein de l'AP - HP comme au sein de l'Ordre des médecins.

Les questions que j'avais soulevées en 1990 avaient à voir, sans que je ne puisse encore le prévoir, avec ce qui allait se passer quelques années plus tard dans le Service de neurologie du CHU de Mantes la Jolie, dans lequel en 1996-97 une certaine Christine Malèvre, sous l'égide du Dr Olivier Ille, exécutait secrètement, sous couvert d'euthanasie, des malades indésirables.

Déjà au CHU Bicêtre celui-ci avait donner la consigne au Dr. Jean-Yves Beinis, qui avait aveuglément exécuté ses ordres, de ne faire que semblant d'administrer à mon père, qu'il venait de faire transporter dans son Service, le seul traitement susceptible de lui sauver la vie, à savoir le traitement de la maladie de Biermer, maladie à tout coup mortelle quand elle est laissée sans son traitement spécifique.

La cause qui minait alors mon père était alors évidente : un sévère syndrome de carence vitaminique B12 probablement lié à la maladie de Biermer. Ce diagnostic avait été tout de suite porté à l'admission du malade aux Urgences de Bicêtre trois semaines plus tôt.

J'ai dans le Service du Dr. Beinis été au tout dernier moment contraint d'administrer moi-même le traitement salvateur après que les infirmières de ce Service m'ont fait savoir qu'ordre leur avait été donné de n'administrer qu'un simulacre de traitement vitaminique B12, le traitement spécifique de la maladie de Biermer et des syndromes NDB12PP (alors méconnus).

Mon père put ainsi sortir du coma où il venait de plonger, et regagner ses facultés cérébrales qui s'étaient envolées sous l'effet de la maladie.

Il fut ainsi en mesure de porter plainte contre des escrocs qui avaient profité de son affaiblissement intellectuel pour lui infliger subrepticement et indûment une opération chirurgicale illicite, et aussi tenté de le gruger financièrement.

Etrangement, sa plainte déclencha la panique au sein de l'AP - HP et à l'Ordre des médecins.

L'AP - HP et l'Ordre des médecins avaient un commun intérêt à faire capoter la plainte de mon père, qui n'était pourtant pas dirigée contre ces deux institutions.

Mais la plainte de mon père risquait de révéler les réalités inavouables du Service de neurologie de Bicêtre et de l'Ordre des médecins.

Le Pr. Gérard Saïd s'entendit ainsi en mars 1992 avec le Dr. Patrice Bodenan°°°; "haut" Conseiller de l'Ordre, pour réclamer contre moi l'application de l'article L 460 du CSP.

Je fus d'autre part accusé en 2004 (non pas devant les autorités judiciaires, seulement dans le "Bureau des relations des relations de l'hôpital Bicêtre avec la clientète" et devant le Pr. Patrice Hardy) d'avoir moi-même intentionnellement "fabriqué" (sic) la maladie de mon père par "anti-sémitisme" (sic, donc d'être un criminel pour être l'auteur d'un Münchhausen) donc de ce qui relève de l'Article 40 du CPP) , et de surcroît menacé de plainte en diffamation (après que j'ai fait appel à la CADA pour avoir enfin accès au dossier d'hospitalisation - prétendument perdu - de mon père.).

Le Pr. Saïd s'était entendu avec l'Ordre des médecins (via le Dr. Patrice Bodenan°°°) pour monter contre moi, à travers une savante manipulation, ce que qui s'appelle en franc-maçonnerie un "chantier".

Via le Dr. Catherine Bonnet (que l'Ordre avait d'autres raisons de redouter et qu'il voulait par la même occasion démolir à travers notre commune avocate, puisée à la Fondation Danan) l'Ordre me fit passer auprès d'elle (via l'avocate retournée de la Fondation Danan) auprès de Catherine Bonnet pour ce qu'elle-même dénonçait (et sera persécutée).

Catherine Bonnet fut "paranoïfiée" par ces manipulations "persécutives" (via donc les Drs. Patrice Bodenan°°° et Jean Pouillard, deux "hauts" Conseillers ordinaux, et une avocate retournée),et utilisée contre moi par l'usage des procédés dignes de la guerre psychologique (nous dresser l'un contre l'autre).

Catherine Bonnet mordit dans un premier temps à l'hameçon avant de comprendre, trop tard, qu'elle avait été manipulée.

Elle me demanda pardon avant de s'enfui en Italie et en Angleterre (elle fera paraître en 2007 aux éditions Moll "L'enfance muselée").

A ma connaissance cette affaire n'a guère suscité de commentaires dans la presse, si ce n'est brièvement dans "Le Penthèvre " (n° daté du 20 mars 2008°

Pas même Médiapart et le Parisien n'ont soufflé mot sur cette affaire, qui fait manifestement peur à trop de monde.

Le Nouvel Observateur et Le Point sauront peut-être, qui ont enfin commencé par dénoncer les méfaits de Freud et des analystes restés inféodés à ses théorisations iatrogènes (même E. Roudinesco, pour se mettre à la page, ose les dénigrer dans ses dernièrs propos sans vouloir encore aller au fond du secret fraeudien)

En remerciant les collaborateurs de Secret des Sources et France-Culture pour la qualité de ses émissions, qui finiront peut-être par faire évoluer ce pays, qu' Antoine Peillon dit de "basse démocratie".

Pour plus d'ibformatiions sur cette savante embrouille, consulter les articles du site-Web consacrés à la découverte du syndrome NDB12PP et à l'omerta médicale, articles publiés sur le "blog de leon - pierre cretien".

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