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16 mars 2015 1 16 /03 /mars /2015 17:15

La France dispose le long de sa façade atlantique d'un inépuisable et gigantesque gisement d'énergie qui pourrait bien mieux que le photo voltaïque, les hydroliennes, les éoliennes et autres procédés astucieux mais chers et très peu efficaces l'aider à résoudre le problème de son approvisionnement en énergie non polluante.

Plusieurs centaines de térawatts sont disponibles, facilement récupérables pour opérer la transition énergétique moyennant deux procédés techniques inédits , le STSMC et le STSMI.

Ils permettent de récupérer ce potentiel avec une efficacité au moins équivalente à celle des barrages conventionnels, donc de l'ordre du mégawatt/mètre sur des centaines de kilomètres, non seulement sur quelques centaines de mètres de côtes, comme le fait coûteusement depuis 1966 l'usine marémotrice de la Rance.

Ces deux procédés techniques sont écologiques et rapidement réalisables. Ils se passent de la nécessité d'un estuaire et de la construction de coûteux barrages et sont ainsi en mesure de couvrir rapidement presque en totalité l'approvisionnement énergétique de la France, et donc de la dispenser de recourir aux centrales nucléaires comme à l'importation ou à l'exploitation d'énergies fossiles pour faire tourner son économie.

L'Angleterre et d'autres pays devraient s'intéresser à ces procédés techniques, qui sont par construction aptes à résister aux pires conditions météorologiques et à la corrosion marine.

Ils sont fonctionnels sur maquettes cependant que leur opérationnalité ne dépend nullement de leur taille

On sait que les solutions révolutionnaires sont généralement mal reçues.

En 1990 je n'avais déjà pas pu faire facilement admettre  la réalité du "syndrome de carence vitaminique B12 avec test de Schilling normal"  auprès de mes confrères  quand j'en ai formulé l'hypothèse.

Il en sera peu-être de même pour que la validité des procédés STSMC et STSMI soient reconnue. On est rarement prophète en son pays. L'inventeur de la carte à puce, qui n'avait que le baccalauréat en poche, a mis a mis dix ans à faire valoir son invention 

Faire le démonstration de la pertinence du susdit syndrome m'avait valu les persécutions du Conseil de l'Ordre. Il avait été jusqu’à monter un « chantier maçonnique » contre moi (une sorte de fatwa des pays de basse démocratie).

L'Ordre des médecins et les neurologues qui avaient mon père en charge étaient trop orthodoxes pour y croire. Ils avaient avec l’Ordre des médecins voulu que l'article L 460 du CSP me soit appliqué.

L'existence de ce syndrome est cependant maintenant avérée. C’est même une des plus importantes découvertes médicales de ces dernières décennies

Ce syndrome était en effet inconnu en 1990. Il est depuis 2003 appelé "syndrome NDB12PP", après que le test de Schilling a été retiré du commerce.

Sa reconnaissance permet d'éviter que cette affection soit confondue avec la maladie d'Alzheimer, maladie encore incurable alors que le traitement du syndrome NDB12PP est simple et efficace, pourvu qu'il soit administré sans délai. D'où l'importance de sa reconnaissance le plus précocement possible, faute de quoi les malades risquent de mourir d’une soi-disant "maladie d'Alzheimer" ou de rester invalides pour le restant de leurs jours.

Or nombreux sont les praticiens qui ignorent encore l'existence de ce syndrome. Le « Magazine de la santé - allô docteur » (sur Fr 5) n'en a encore jamais parlé. Il semble vouloir l’ignorer alors qu’un diagnostic trop tardivement porté fait que les dommages causés au système nerveux deviennent irréversibles ou très peu rattrapables, y compris les facultés cérébrales. Les malades peuvent alors être étiquetés à tort "encéphalopathie vasculaire" et/ou "maladie d'Alzheimer".

C'est ce qui a non seulement failli arriver, mais est effectivement arrivé à mon père en août-septembre 1990.

Il avait alors été successivement étiqueté "DTA" (Démence de Type Alzheimer), "atteinte diffuse du système nerveux" et "encéphalopathie vasculaire" (sic) Cf. les comptes-rendus d'hospitalisation qui ont été rédigés à son sujet en 1990.

Ses médecins l’avaient promis à une "inéluctable plus grande dégradation" avant de l’adresser à un Service gériatrie. 

Ce déplacement m'a permis de  faire la preuve de la fausseté des diagnostics portés à Bicêtre (voir site 34640255 html). 

J'ai  alors ai pu intervenir à temps pour administrer moi-même le traitement approprié. Ce qui me valut d'entrer en conflit avec le Conseil de l'Ordre des médecins comme avec les neurologues de Bicêtre (voir sur ce blog l'article précédent). 

 

 

 

Le pronostic de l’inéluctabilité de l’aggravation des troubles fut  répétée par les médecins experts dans leur rapport pour des raisons qui n’ont rien à voir avec la vérité, mais pour éviter la condamnation des médecins responsables du contretemps qui a failli êttre mortel..

J'ai réalisé un sondage petit téléphonique il y a un an. Malgré son importance ce syndrome reste mal connu des médecins praticiens, sauf des plus jeunes du fait que son enseignement figure au programme des écoles de médecine. Il en est probablement de même en 2015.

Au sujet de la découverte de ce syndrome on peut utilement le consulter en composant NDB12PP sur le Web à et/ou l'article que lui a consacré l'association médicale FUMED le 16 novembre 2013.

<cretien.pierre@orange.fr>

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