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15 avril 2015 3 15 /04 /avril /2015 13:39

A l'instar d' Adolf Hitler, Siegmund Freud n'aimait pas les fous, qui disait que le mieux serait << d'en faire des cargaisons pour les couler >> (voir article pécédent).

Dans le livre d' Éric-Emmanuel Schmitt  "La part de l'autre" on trouve cette expression  « J'admets la part de l'autre dans la constitution de mon destin »

(p. 247, reprise d'une lettre qu'Hitler aurait écrit à Sœur Lucie ? )

 

Éric-Emmanuel Schmitt veut-il dire que cette "part" aurait dû permettre à Hitler de se rendre compte de ses qualités et de ses défauts pour l'éloigner de cette monstrueuse part de lui-même, une part si proche de Freud ?


Autrement dit Éric-Emmanuel Schmitt découvre, comme l'avait fait avant lui Thomas Mann, que Freud et Hitler étaient en miroir l'un par rapport à l'autre, c'est-à-dire quasiment des jumeaux.

De son côté.le psychiatre-psychanalyste Roger Zagdoun parle d'un rapport paranoïaque concernant la génèse incestueuse (monstrueuse) de l'un, et donc de l'autre (voir article pécédent).

 

Quoi qu'il en soit, pour Michel Onfray Freud était en affinité avec  le fascisme 


Accusé d'antisémitisme par la marxiste Elisabeth Roudinesco pour avoir osé faire la critique de Freud  dans "Le crépuscule d'une idole", Michel Onfray  pose en huit point la question de savoir qui des deux (de lui ou de Freud)  défend des positions fascisantes /... /  manifeste un antimarxisme agréable aux oreilles fascistes /... / est le complice concret du fascisme historique / ... / est le complice concret du fascisme historique  ...

(Cf. LIBERATION DU 3 MAI 2010)

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